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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 15:55
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le porte-avions Charles de Gaulle

 

12 nov. 2015 par Chasse Embarquée / RMC Découverte


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13 novembre 2015 5 13 /11 /novembre /2015 16:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

13/11/2015 lorientlejour.com

 

Le porte-avions Charles-de-Gaulle appareillera de Toulon le 18 novembre pour rejoindre le "golfe arabo-persique" mi-décembre, a annoncé vendredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

 

"Le groupe aéronaval appareillera de Toulon dans quelques jours, le 18 novembre, pour rejoindre le golfe arabo-persique mi-décembre", a déclaré Stéphane Le Foll lors du point presse à l'issue du Conseil des ministres, indiquant par ailleurs que le débat au Parlement (Assemblée nationale et Sénat) sur la prolongation de l'intervention des forces armées françaises en Syrie aurait lieu le 25 novembre.

 

Le Charles-de-Gaulle, un navire à propulsion nucléaire qui est le seul porte-avions français, est à quai à Toulon depuis le printemps pour des opérations d'entretien. Il avait été déployé pendant deux mois, du 23 février à la mi-avril, dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique en Irak.

 

"Sur la base de la campagne de renseignements menée au dessus de la Syrie, nos avions de combat ont déjà frappé Daech à cinq reprises en Syrie, dont trois fois cette semaine sur des sites d'infrastructures pétrolières", a précisé aussi le porte-parole.

 

"Deux cent quatre-vingt trois frappes ont par ailleurs été menées en Irak depuis le 19 septembre 2014", a-t-il indiqué, citant une intervention du Premier ministre devant le Conseil des ministres.

 

"Notre objectif est d'accroître et de poursuivre la lutte contre Daech. Nous ciblons cette organisation dans le cadre de la légitime défense collective", a enfin dit Stéphane Le Foll.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:50
La frégate Léopold Ier va accomplir une mission d'escorte du porte-avion Charles de Gaulle

 

11.11.2015 LaLibre.be (AFP)

 

La frégate multifonctions Léopold Ier, qui croise actuellement en Méditerranée, escortera dès la semaine prochaine le porte-avion français Charles de Gaulle jusque dans le golfe Persique. La mission commencera le 18 novembre et devrait durer jusqu'en janvier prochain. La frégate Léopold Ier participe actuellement à la mission Sophia en mer Méditerranée, une mission navale à laquelle prennent part 22 pays européens. Elle a pour but de "briser le modèle économique du trafic organisé d'êtres humains en Méditerranée, en effectuant des rondes d'observation, en arraisonnant et saisissant les embarcations utilisées pour faire traverser la Méditerranée à des centaines, voire des milliers de candidats à l'asile.

 

La frégate a d'ailleurs secouru la semaine dernière 258 migrants et permis l'arrestation de trois trafiquants.

 

Dès le 18 novembre, le Léopold Ier rejoindra Toulon, en France, pour participer à une mission internationale (France, Grande-Bretagne et Belgique) d'escorte du porte-avion Charles de Gaulle jusqu'au golfe Persique, via le canal de Suez et la mer Rouge, ont annoncé mercredi le Premier ministre Charles Michel et le ministre de la Défense Steven Vandeput, à bord du Léopold Ier où ils ont assisté à un exercice de tir de missile.

 

Les deux ministres ont précisé que la mission du Léopold Ier consistait à escorter, dans une optique défensive, le Charles de Gaulle et qu'il a été demandé aux Français d'informer aussitôt que possible le gouvernement belge si la mission devait évoluer, afin que les décisions éventuellement nécessaires puissant être prises. La mission devrait durer jusqu'au 2 janvier, et la frégate revenir au port le 22 janvier.

 

L'exercice de tir a été un succès, toutes les cibles ayant été atteintes.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 16:56
L’école de l’aviation embarquée (EAE) à bord du Charles de Gaulle - Katsuhiko Tokunaga

L’école de l’aviation embarquée (EAE) à bord du Charles de Gaulle - Katsuhiko Tokunaga

 

09/11/2015 Sources : Marine nationale

 

Depuis le 3 novembre 2015, le porte-avions Charles de Gaulle a quitté son port base de Toulon pour une période de deux semaines consacrée à l’école de l’aviation embarquée (EAE). Cette période à la mer permet aux nouveaux pilotes de l’aviation embarquée de la Marine nationale de se qualifier à apponter sur le porte-avions nucléaire français.

 

Pour se préparer, ces pilotes ont suivi un entraînement particulièrement poussé, propre aux pilotes de l’aéronautique navale. Formés initialement aux États-Unis dans le Mississipi, ils ont réalisé leurs premiers appontages sur porte-avions américain. Ils se sont ensuite entraîné plusieurs semaines à terre, au cours d’appontages simulés sur piste (ASSP) sur les Bases d’Aéronautique Navale de Landivisiau ou Lann-Bihoué, ainsi que sur la Base Aérienne d’Istres. Pour ces jeunes pilotes, l’enjeu de cette période d’EAE est avant tout de s’adapter à l’environnement du Charles de Gaulle.

Pour se qualifier, ils doivent réaliser une série de six appontages jugés satisfaisants. Leur performance est évaluée par les officiers d’appontage (OA), des pilotes experts sur un type d’avion en particulier : Rafale, Super Étendard Modernisé (SEM) ou E 2-C Hawkeye. In fine, la décision de qualifier un pilote revient au commandant du porte-avions.

Si elle permet de les qualifier, la période d’école de l’aviation embarquée n’est pour les jeunes pilotes qu’une première étape avant d’être pleinement opérationnels. Il leur faut maintenant « vieillir » pour accrocher la «confirmation» et poursuivre en parallèle l’acquisition de qualifications tactiques en assaut ou défense aérienne.

photo Marine Nationale

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 16:30
photo Marine Nationale

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05 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - La France va déployer son porte-avions Charles de Gaulle pour participer aux opérations contre le groupe Etat Islamique (EI), a annoncé jeudi la présidence, à l'issue d'un conseil restreint de défense consacré notamment à la situation en Syrie et en Irak.

 

Le déploiement du groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle a été décidé pour participer aux opérations contre Daech (NDLR: acronyme arabe de l'EI) et ses groupes affiliés, a annoncé la présidence française dans un communiqué.

 

Ce déploiement va plus que doubler le potentiel militaire français dans la région, en s'ajoutant aux six Rafale présents aux Emirats arabes unis et aux six Mirage basés en Jordanie.

 

Le Charles de Gaulle, un navire à propulsion nucléaire qui est le seul porte-avions français, est à quai à Toulon (sud) pour des opérations d'entretien depuis le printemps.

 

Il avait été déployé pendant deux mois, du 23 février à la mi-avril, dans les opérations de la coalition internationale contre l'EI en Irak. En huit semaines dans le Golfe, la vingtaine d'appareils embarqués sur le porte-avions avaient réalisé quotidiennement 10 à 15 sorties de combat, selon l'état-major français.

 

La France participe depuis septembre 2014 à la coalition anti-EI en Irak et a commencé à mener des frappes sur la Syrie un an plus tard.

 

Les chasseurs-bombardiers français ont mené depuis le 19 septembre 2014, dans le cadre de l'opération Chammal d'appui à l'armée régulière irakienne, 1.285 missions aériennes, qui ont donné lieu à 271 frappes et permis, d'après l'état-major français, la destruction de 459 objectifs. Pour l'instant seules deux frappes aériennes ont été effectuées contre des positions de l'EI en Syrie.

 

Outre l'envoi du Charles de Gaulle, Paris a réaffirmé jeudi son soutien au processus de discussions enclenchées à Vienne fin octobre pour tenter de dessiner les contours d'une transition politique en Syrie, tout en excluant à nouveau le maintien au pouvoir du président Bachar al-Assad.

 

Le président François Hollande a souligné l'importance de soutenir le processus de Vienne (...). Il a rappelé que les lignes directrices de tout accord devaient être la lutte contre Daech et l'arrêt des bombardements contre les populations civiles. Bachar El Assad ne peut être en aucune façon l'avenir de la Syrie, selon le communiqué de l'Elysée.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 14:55
photo Marine Nationale

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05 Novembre 2015 Elysée

 

Le président de la République a réuni un Conseil restreint de Défense consacré à la situation en Syrie et en Irak.

 

Le chef de l’Etat a souligné l’importance de soutenir le processus de Vienne pour progresser vers une transition politique, seule solution pour résoudre le conflit syrien. Il a rappelé que les lignes directrices de tout accord devaient être la lutte contre Daech et l’arrêt des bombardements contre les populations civiles. Bachar El Assad ne peut être en aucune façon l’avenir de la Syrie.

 

Le déploiement du groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle a été décidé pour participer aux opérations contre Daech et ses groupes affiliés.

 

Le Conseil a examiné l’état de la menace terroriste dirigée contre notre pays et la mise en œuvre des mesures nécessaires à la protection de nos concitoyens.

 

Les conséquences de l’écrasement du vol russe le 31 octobre dans le désert du Sinaï ont été examinées. Toutes les mesures ont été prises à titre préventif pour assurer la sécurité des ressortissants français. Il n’y a d’ailleurs aucun vol direct entre Charm El-Cheikh et la France.

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 13:55
photo Marine Nationale

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03.11.2015 Le Télégramme

 

Alors que le bâtiment a mené depuis le 16 octobre des entraînements avec l’aéronautique navale, le groupe aéronaval français se prépare désormais pour son prochain déploiement. Une information exclusive de Mer et Marine

 

Pour l’heure, Paris n’a pas annoncé cette mission, mais le départ rapide du Charles de Gaulle et de son escorte est un secret de Polichinelle.

Les Belges ont involontairement vendu la mèche en faisant savoir que la frégate Léopold I, actuellement déployée en Méditerranée dans le cadre de l’opération européenne Sophia (lutte contre les passeurs de migrants), intégrerait le GAN ce mois-ci à l’occasion de son déploiement dans le golfe Persique.

Selon la presse australienne, la France aurait également proposé à l’Australie de joindre l’une de ses frégates à la Task Force que le Charles de Gaulle va emmener. Celle-ci devrait logiquement, comme ce fut le cas l’hiver dernier, être employée contre le groupe islamiste Daesh.

photo Marine Nationale

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 11:55
Le porte-avions Charles de Gaulle est qualifié

 

16/10/2015 Sources : Marine nationale

 

Du 6 au 16 octobre, le porte-avions Charles de Gaulle a poursuivi sa remontée en puissance en effectuant une phase de remise à niveau opérationnelle (RANO) à la mer.

 

Cette étape vise à éprouver le bâtiment et ses marins dans tous les domaines de lutte.  Une quinzaine d’entraîneurs de la force d’Action navale est ainsi chargée d’organiser, de jour comme de nuit, une série d’exercices pour vérifier la bonne réaction de l’équipage, dont le tiers a été renouvelé cet été. Le Groupe Aérien Embarqué (GAé) était également associé à cet entraînement pour une phase importante de qualification des pilotes.  Douze avions Rafale et deux Super Etendard Modernisé ainsi que le personnel des flottilles ont pris part à cet entraînement, les exercices se sont succédés avec un niveau de difficulté croissant : intervention incendie, ravitaillement à la mer, lutte contre des menaces asymétrique, crash aéronef, détection et lutte contre menaces surface, sous-marines ou aériennes…  Les scénarii variés ont permis de tester l’équipage dans tous les domaines, de la navigation à la mise en œuvre des avions en passant par la sécurité, les opérations ou encore les systèmes de combat ou d’informations. A cette occasion,  le Charles de Gaulle a procédé au tir d’une salve de 4 missiles Aster 15, démontrant ainsi sa capacité à faire face à des menaces simultanées provenant de différentes directions. Les menaces étaient simulées par des cibles mises en œuvre depuis le centre d’essais missiles de l’île du Levant.

 

Une phase d’entraînement a également été dédiée à l’aéronautique navale afin que le porte-avions et ses aéronefs soient aptes à conduire, au sein du groupe aéronaval,  l’ensemble des missions opérationnelles qui  leur seraient confiées.

 

L'équipage du Charles de Gaulle a fait preuve tout au long de sa RANO d'un très grand professionnalisme. Au terme de deux semaines particulièrement denses, la qualification opérationnelle du bâtiment et de son équipage a été confirmée ainsi que la capacité du porte-avions à mettre en œuvre les aéronefs de la Marine nationale dans d'excellentes conditions.

 

 La prochaine étape de cette remontée en puissance sera une nouvelle période d’entraînement dédiée cette fois à l’aéronautique navale, sous l’autorité de la force maritime de l'aéronautique navale.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 07:55
FLIGHT DECK OPS 2


9 oct. 2015 par Chasse Embarquée

 

Vidéo non disponible ? cliquez sur le lien/ Video not available ? click the link : https://vimeo.com/141897242

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6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 11:30
[Intégrale] Le groupe aéronaval : un outil de précision (JDef)

 

06/10/2015 Paul Hessenbruch  - DICOD / Economie et technologie

 

Faire décoller et apponter des avions en pleine mer, c’est la mission du porte-avions Charles-de-Gaulle. Pour la mener à bien, le porte-avions est en permanence escorté par des bâtiments qui complètent sa protection contre les menaces aériennes, de surface ou sous-marines. Cet ensemble appelé GAN, pour groupe aéronaval, est mis en œuvre par 2 600 marins. Avec les États-Unis, la France est ainsi un des seuls pays à pouvoir déployer un tel dispositif en opérations. En avril 2015, une équipe du Journal de la Défense (#JDef) a embarqué sur plusieurs navires durant l’opération Chammal. Au-delà de l’activité du groupe aérien embarqué, engagé contre DAECH, les témoignages des acteurs du GAN vont vous permettre de comprendre l’impressionnante machine déployée par la France pour projeter sa force partout dans le monde.

 

Dans les coulisses...

« Ce reportage a été mené en pleine opération Chammal en avril 2015. Durant les 10 jours passés avec les marins du groupe aéronaval,  nous devions nous adapter aux exigences opérationnelles, notamment pour les liaisons qui nous ont permis de passer du porte-avions, au ravitailleur et la Frégate de défense aérienne. Chaque jour, il a fallu définir un planning qui n’a cessé d’évoluer en fonction de l’activité. Dans ce reportage, nous avons pris le parti de sortir des chemins battus en ne vous montrant pas les images classiques du porte-avions : les pilotes, les chiens jaunes, le défilé des catapultages et appontages, etc. Vous découvrirez d’autres séquences inédites, l'ensemble du dispositif qui est projeté loin et longtemps et qu'il faut faire durer dans le temps.» Paul Hessenbruch, journaliste

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 10:55
[Teaser] Le groupe aéronaval : un outil de précision (Jdef)



1 oct. 2015 par Ministère de la Défense

 

Faire décoller et apponter des avions en pleine mer, c’est la mission du porte-avions Charles-de-Gaulle. Pour la mener à bien, le porte-avions est en permanence escorté par des bâtiments qui complètent sa protection contre les menaces aériennes, de surface ou sous-marines. Cet ensemble appelé GAN, pour groupe aéronaval, est mis en œuvre par 2 600 marins. Avec les États-Unis, la France est ainsi un des seuls pays à pouvoir déployer un tel dispositif en opérations.

En avril 2015, une équipe du Journal de la Défense (#JDef) a embarqué sur plusieurs navires durant l’opération Chammal. Au-delà de l’activité du groupe aérien embarqué, engagé contre DAECH, les témoignages des acteurs du GAN vont vous permettre de comprendre l’impressionnante machine déployée par la France pour projeter sa force partout dans le monde.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 19:55
Ouverture du domaine d’interopérabilité du BPC avec le V-22

 

29/09/2015 Sources : Marine nationale

 

Le 28 septembre 2015, le centre d’expérimentations pratiques et de réception de l’aéronautique navale (CEPA/10S) a tenu la conférence de clôture sur l’interopérabilité entre BPC et aéronef convertible V22-Osprey à bord du bâtiment de projection et de commandement Dixmude. Cette conférence concrétise le résultat de deux années d’investigation et de tests communs.

 

En 2014, les premiers essais débutent grâce à la coopération de groupes expéditionnaires américains (ESG – Expeditionary Strike Groups). Un V22-Osprey effectue pour la première fois des tests d’appontage sur le pont d’envol du Dixmude en février.

 

En juillet dernier, lors de la mission Jeanne d’Arc 2015, des appontages suivis d’exercices de ravitaillement - moteurs coupés - ont apporté la confirmation d’une interopérabilité avec les V22.

 

Une fois l’homologation prononcée par le CEPA/10S, le BPC, se verra doté d’une nouvelle fonction : l’accueil et le soutien de missions opérationnelles de ces aéronefs spécialisés dans le transport de troupes et le ravitaillement.

 

Cette capacité ouvre  la voie à de nouvelles interactions avec les marines américaine et japonaise, cette dernière ayant récemment acquis des V22. Le CEPA débutera prochainement des essais similaires sur le porte-avions Charles de Gaulle.

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19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 11:50
photo Composante Marine - MIL.be

photo Composante Marine - MIL.be


18.09.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

C'est, comme on dit, dans les tuyaux: selon mon excellent collègue de l'agence Belga, Gérard Gaudin, la Belgique devrait participer à partir de début octobre et durant six semaines à l'opération navale européenne en Méditerranée [EUNAVFOR MED] avec la frégate Leopold 1, l'un des deux navires de cette classe en service dans la Marine belge.

La frégate belge devrait ensuite participer à partir de la mi-novembre "durant environ quatre semaines à la Task Force internationale" qui croise dans le Golfe persique. Selon Belga, "le navire aura un rôle d'escorte du porte-avions Charles de Gaulle" qui pourrait effectuer un nouveau déploiement en Méditerranée, son aviation embarquée bombardant des objectifs de l'Etat islamique (EI) en Irak et certainement aussi en Syrie.

Entre février et avril dernier, le PA français avait déjà été déployé et ses avions (SEM et Rafale) avaient été engagés en Irak. Une frégate britannique, le HMS Kent, avait rallié le groupe aéronaval pour assurer la mission la lutte anti-sous-marine.

Selon Belga, Paris n'a pas encore répondu formellement à l'offre belge. Ce que confirme l'EM de la Marine nationale.

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 16:55
photo DCNS

photo DCNS

 

20.05.2015 par DCNS

 

DCNS est maître d’œuvre unique de l’arrêt technique majeur n°2 (ATM2) du porte-avions Charles de Gaulle, programmé début 2017. Le Groupe s’y prépare activement depuis plusieurs années à travers une montée en puissance progressive de ce chantier d’exception. Cette opération est réalisée en lien étroit avec la Direction Générale de l’Armement (DGA), le Service de Soutien de la Flotte de Marine nationale et l’équipage du porte-avions. Des échanges d’autant plus importants que l’équipage participera activement aux travaux d’entretien et de rénovation du navire. Revue des trois enjeux industriels majeurs pour l’un des fleurons de la Marine nationale.

 

Redonner du potentiel à la plateforme

DCNS réalisera le maintien en condition opérationnelle décennal du bâtiment afin de redonner du potentiel à l’ensemble des installations. Seront notamment réalisés la visite des chaufferies et le remplacement du combustible, la visite des lignes d’arbres, les travaux de maintenance sur les catapultes, la visite des machines ainsi que la rénovation de la climatisation et d’une cuisine.

 

Moderniser le système de combat

Durant cet arrêt technique, les équipes de DCNS assureront également la rénovation du système de combat. Elle comporte plusieurs aspects liés au changement des réseaux informatiques ainsi qu’à la mise en place de moyens garantissant la sécurité des systèmes informatiques. Différents changement de senseurs, radars de veille, radars de navigation, capteurs infrarouge, caméra optronique ainsi que la rénovation du système de communications sont prévus. Le portage du SENIT donnera lieu à une refonte du central opérations.

 

Assurer le passage au « Tout Rafale » en optimisant la plateforme

Pour finir, des travaux seront engagés pour adapter le navire au nouveau groupe aérien embarqué, avec un passage au « tout Rafale » suite au retrait du service actif du Super Etendard modernisé. Plusieurs systèmes et installations seront remplacés et refondus : les installations d’aides à l’appontage, et les systèmes de trajectographie. Par ailleurs, le système de surveillance centralisée des installations, les systèmes d’aide à la maîtrise des avaries ainsi que les automates de conduite de la plateforme sont aussi modernisés pour remettre le porte-avions au meilleur standard technologique.

Intervenant à mi-vie du bâtiment, une opération de cette envergure se prépare plusieurs années à l’avance. Dès à présent, plus de 400 personnes chez DCNS œuvrent au développement des futurs systèmes et préparent les opérations pour atteindre un pic de 2000 personnes pendant l’arrêt technique.

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 14:55
photo Marine Nationale

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19/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 19 mai 2015, les bâtiments du groupe aéronaval (GAN) ont retrouvé les quais de la base navale de Toulon, leur port base. Ces accostages, précédés il y a quelques jours par celui du sous-marin nucléaire d’attaque Améthyste (SNA), marquent pour le porte-avions Charles de Gaulle, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, la frégate anti sous-marine Jean de Vienne et le pétrolier-ravitailleur Meuse, la fin de la mission Arromanches qui les aura menés en océan Indien et dans le nord du golfe arabo-persique.

 

C’est avec émotion que, plus de quatre mois après leur départ, les 2 600 marins de la Task Force 473 ont été accueillis par leur famille, sur les quais Milhaud où chacun des bâtiments venait d’accoster. Le 13 janvier 2015, ils avaient mis le cap vers l’océan Indien pour une mission de prépositionnement qui s’est révélée d’une exceptionnelle densité.

 

Ainsi, après une séquence opérationnelle en Méditerranée réalisée en coopération avec les forces armées italiennes et grecques et ayant comporté une patrouille commune avec la force maritime de l’OTAN déployée en Méditerranée, la SNMG2 (Standing NATO Maritime Group 2), le GAN a conduit, dès son arrivée en mer Rouge à la fin du mois de janvier, un exercice bilatéral avec les forces armées saoudiennes. Baptisé White Shark, il a contribué au développement des savoir-faire communs avec ce partenaire important de la région et s’est achevé par une patrouille opérationnelle conjointe précédant le franchissement du détroit de Bab el Mandeb.

 

C’est ensuite vers le golfe arabo-persique que s’est dirigé le GAN afin de participer pendant huit semaines à l’opération Chammal de lutte contre le groupe terroriste Daech en Irak. Cet engagement opérationnel couronné de succès, au cours duquel le GAN a mené quotidiennement dix à quinze sorties de combat, a été conduit au sein des structures de commandement américaines, en coordination étroite avec la Task Force 50, constituée autour du porte-avions américain Carl Vinson. Signe des progrès considérables réalisés dans l’interopérabilité avec nos alliés américains et des relations de confiance qui unissent nos marines, la TF 473 a, à plusieurs reprises, assuré la permanence aéronavale dans le nord du golfe arabo-persique, notamment pendant la relève des porte-avions américains. Avec l’intégration du HMS Kent, qui a assuré pendant près de trois mois, jusqu’à la mi-avril 2015, la protection du Charles de Gaulle, on se souviendra que cette mission a également marqué une étape important dans la coopération bilatérale franco-britannique.

 

A sa sortie du Golfe, la TF 473 a mis le cap vers l’Inde où elle a conduit l’exercice Varuna du 28 avril au 2 mai 2015. Pour sa 14ème édition, cet exercice a été l’occasion pour le GAN et son homologue indien constitué autour du porte-avions Viraat, de renforcer la capacité des deux marines à opérer ensemble au service de la sécurité maritime en océan Indien. Après avoir franchi le canal de Suez le 12 mai 2015, le GAN a contribué à la sécurité maritime en Méditerranée orientale avant d’entraîner durant quelques jours les jeunes pilotes de chasse de l’aéronautique navale.

 

Symbole fort de l’importance accordée à cette mission, le vice-amiral d’escadre Coindreau commandant la force d’action navale a tenu à venir saluer les marins de la force pour le courage, le professionnalisme et la pugnacité dont ils ont fait preuve durant ces mois intenses. Il a également assisté au dernier retour de mission du pétrolier ravitailleur Meuse,qui sera retiré du service actif d’ici quelques semaines, après 35 années de bons et loyaux services.

 

Cette mission dorénavant accomplie, les marins du groupe aéronaval vont profiter de quelques jours de repos bien mérités, tout en se tenant prêts à répondre à toute nouvelle sollicitation opérationnelle. Les équipages du Charles de Gaulle et de son groupe aérien embarqué, hisseront bientôt les voiles vers les Champs-Elysées où ils défileront le 14 juillet 2015.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationalephoto Marine Nationale
photo Marine Nationale

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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 19:30
photo Marine Nationale

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12 Mai 2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le groupe aéronaval (GAN) rassemblé autour du porte-avions Charles de Gaulle et formant la Task Force 473 (TF) a franchi le canal de Suez le 12 mai. L’arrivée du GAN en mer Méditerranée, quatre mois après avoir quitté son port base, marque le début de la dernière phase du déploiement Arromanches.

 

Débuté le 13 janvier 2015, le déploiement Arromanches 2015 a conduit dans les zones d’intérêt stratégique pour la France en Océan Indien et dans le Golfe arabo persique (GAP), le porte-avions Charles de Gaulle, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, le pétrolier-ravitailleur Meuse, la frégate anti sous-marine Jean de Vienne – qui a relevé en cours de mission son homologue britannique le HMS Kent – ainsi qu’un sous-marin nucléaire d’attaque.

 

 L’objectif de cette mission de pré-positionnement stratégique est de contribuer à la sécurité maritime des espaces traversés grâce notamment au renforcement des liens avec les principaux partenaires de notre pays, de contribuer au renforcement de la connaissance des différentes zones, et bien entendu de s’intégrer aux opérations en cours ou qui pourraient se déclencher. Dans ce cadre, le groupe aéronaval a participé aux exercices White Shark avec les forces armées saoudiennes, Varuna avec la marine indienne et durant 8 semaines à l’opération Chammal au large de l’Irak.

 

Il se trouve désormais en Méditerranée occidentale où il patrouille au large de zones rendues sensibles par la succession de crises qui s’y sont déroulées. Il effectuera ensuite des manœuvres au profit des jeunes pilotes de chasse de l’école de l’aviation embarquée avant d’amorcer son retour vers Toulon, prévu avant la fin du mois.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 08:35
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

04/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 28 avril au 2 mai 2015, le groupe aéronaval composé du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, de la frégate anti sous-marine Jean de Vienne et du pétrolier ravitailleur Meuse, a conduit la 14e édition de l’exercice Varuna au large de la côte ouest de l’Inde avec le groupe aéronaval indien, constitué autour du porte-avions Viraat. C’était la 5ème fois que la Task Force 473 participait à cet exercice depuis 2001, la dernière datant de 2011, lors de la mission Agapanthe.

 

Après une phase de préparation de l’exercice, à quai à Mormugao, dans l’Etat indien de Goa, les deux groupes aéronavals comptant au total dix bâtiments de combat se sont ainsi retrouvés au large pour s’entraîner dans les différents domaines de lutte aéromaritime, afin d’améliorer leur interopérabilité. Les Rafale Marine et Super Etendards Modernisés français avec, et parfois contre, les Sea Harrier indiens se sont entrainés à l’attaque de cibles maritimes et au combat aérien tandis que les frégates d’escorte des deux pays s’exerçaient aux ravitaillements à la mer ou au tir. De nombreux exercices de lutte contre la menace sous-marine, qui tend à devenir la menace prioritaire en eaux libres en océan Indien, ont également été menés, mettant notamment en scène les avions de patrouille indiens Poséidon P-8I et le sous-marin de type Shishumar.

 

L’exercice s’est finalement conclu le 2 mai 2015 par une visite d’autorités françaises et indiennes suivi d’un débriefing des commandants des deux forces sur les porte-avions Charles de Gaulle et Viraat. A cette occasion, le chef de l’exécutif de l’État de Goa, l’ambassadeur de France en Inde, l’amiral commandant en chef de la flotte de l’ouest indienne ainsi que le contre-amiral Antoine Beaussant, commandant la zone maritime de l’océan Indien, ont été accueillis en mer. Au total, 17 exercices maritimes et 120 sorties aériennes ont été réalisés pendant cette période.

 

Cet exercice marque les progrès importants réalisés dans la coopération maritime franco-indienne. La mise en place de systèmes bilatéraux de communication protégée a permis aux deux forces d’atteindre un niveau de coordination inégalé jusqu’à présent, permettant d’accroître la réactivité globale et la coordination des unités pendant la phase tactique.

Symbole fort du partenariat stratégique signé avec l’Inde en 1998, cet exercice  a également permis de renforcer la connaissance mutuelle et d’établir des liens étroits d’amitié avec une marine indienne en plein développement. Ce sont ces liens et cette interopérabilité qui permettent aux deux marines d’être d’ores et déjà capables d’opérer ensemble au service de la sécurité maritime en océan Indien.

 

Le groupe aéronaval a quitté Toulon depuis presque quatre mois et vient d’achever huit semaines d’opérations dans le golfe arabo-persique au sein de la coalition internationale luttant contre le groupe terroriste Daech en Irak. Il se dirige désormais vers le golfe d’Aden pour continuer sa mission de pré-positionnement stratégique baptisée Arromanches.

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 07:55
La 17F fête ses 57 ans à bord du porte-avions Charles de Gaulle

 

13 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

C’est embarquée à bord du porte-avions Charles de Gaulle pour la mission Arromanches et engagée dans l’opération Chammal que la flottille de chasse 17F vient de fêter ses 57 ans.

 

Née le 1er avril 1958, la 17F  porte fièrement son surnom, « la glorieuse ». Équipée à l'origine de Corsair F4U7, elle a très vite fait ses preuves sur les théâtres d’opération en Algérie, Tunisie, dans le Golfe, au Liban, en ex Yougoslavie, en Afghanistan ou encore en Libye. Aujourd’hui dernière flottille à mettre en œuvre les Super Etendard modernisés, elle participe aux efforts de la coalition internationale au-dessus de l’Irak.

 

« Fêter cet anniversaire en opération à bord du Charles de Gaulle, c’est, pour la flottille, tout un symbole », confie le commandant de la 17F. « Opérant en zone hostile à des distances inédites du porte-avions, les Super Etendard modernisés de la flottille conduisent quotidiennement, avec efficacité, les multiples missions d’appui des forces de sécurité irakiennes en Irak ».

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 07:30
photo Marine Nationale

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13 Avril 2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 12 au 16 avril, le groupe aéronaval français (GAN), engagé aux côtés du groupe du porte-avions Carl Vinson au sein de la Task Force 50 depuis le 23 février, assure seul la permanence aéronavale de la coalition dans le golfe arabo-persique.

 

Pendant ces quatre jours, cette permanence sera assurée uniquement par le groupe aéronaval français. Pour la première fois dans l’histoire de la coopération navale entre les deux pays, le porte-avions Charles de Gaulle et ses escorteurs remplacent le groupe aéronaval américain dans un contexte opérationnel. En effet, cette relève permettra au porte-avions USS Theodore Roosevelt de prendre hors du golfe arabo-persique la relève de l’USS Carl Vinson qui rentre à son port de base.

 

Le rôle qu’assume depuis le GAN depuis le 12 avril dans cette région du monde illustre le haut niveau de confiance et d’interopérabilité qui unit les deux  marines. Le général Dempsey, chef des armées américaines, a ainsi confié le 8 mars dernier. : « Sans le Charles de Gaulle nous n’aurions pas pu combler le fossé causé par le départ du Carl Vinson du Golfe ».

 

Déployés dans l’océan Indien et le golfe arabo-persique dans le cadre de leur mission « Arromanches », le porte-avions Charles de Gaulle, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, le pétrolier-ravitailleur Meuse, la frégate anti sous-marine HMS Kent et un sous-marin nucléaire d’attaque sont aujourd’hui dans leur 8e semaine d’opération au large de l’Irak. Aux côté des aéronefs français de l’armée de l’Air et de ceux de la coalition, les avions du groupe aérien embarqué réalisent chaque jour des missions de reconnaissance, de commandement et de contrôle de l’espace aérien, et d’appui aux forces irakiennes.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion de contrôle aérien E3F, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval et de son groupe aérien embarqué (douze Rafale Marine, neuf Super Etendard modernisés et un Hawkeye).

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 17:30
photo Marine Nationale

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31/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 25 au 31 mars 2015, une partie du groupe aéronaval, composée du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, du pétrolier ravitailleur Meuse et du sous-marin nucléaire d’attaque Améthyste, a réalisé une relâche à Abu Dhabi après plus d’un mois d’engagement dans le cadre de l’opération Chammal.

 

Engagé depuis le 23 février dans l’opération Chammal, le groupe aéronaval vient de conduire cinq semaines d’opérations au-dessus et au large du territoire irakien avant de rejoindre Abu Dhabi, pour une escale de six jours. 

 

Cette période à quai a permis de régénérer les potentiels humain et technique, soumis à rude épreuve durant les longues périodes de mer comme le souligne le contre-amiral Chaperon, commandant de la Task Force 473 : « Cette relâche opérationnelle aux Emirats Arabes Unis nous permet de conduire des opérations vitales sur nos installations et d’accorder un peu de repos à nos équipages avant la reprise d’une activité opérationnelle qui s’annonce aussi intense ».

 

A l’issue des derniers mouvements logistiques, les navires du groupe aéronaval ont quitté Abu Dhabi le 31 mars pour conduire l’exercice Big Fox, en coopération avec les forces armées des Emirats Arabes Unis. Ces manœuvres communes permettent de renforcer les savoir-faire et l’interopérabilité avec nos alliés dans les différents domaines aéromaritimes : lutte anti surface, lutte anti aérienne, lutte anti sous-marine et opérations aériennes.

 

Le GAN est de retour dans le nord du golfe arabo persique et reprend ses opérations en Irak. Il assure seul la permanence et la continuité des opérations aéronavales puisque le groupe américain du Carl Vinson fait relâche à son tour. Il met en œuvre ses aéronefs embarqués pour réaliser des missions de reconnaissance, de commandement et de contrôle, de renseignement et d’appui aérien au profit des forces de sécurité irakiennes déployées sur le terrain.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion E3F, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval et de son groupe aérien embarqué (douze Rafale Marine, neuf Super Etendard modernisés et un Hawkeye).

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:36
A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

 

New Delhi, March 20: telegraphindia.com

 

French aircraft carrier Charles de Gaulle, heading a battlegroup of ships involved in strikes against the Islamic State from the Persian Gulf, will be in the Arabian Sea next month for 10 days of war games with the Indian Navy.

 

The exercise, the latest of a series named "Varuna", will also involve India's aircraft carrier, the INS Vikramaditya, other Indian warships and a submarine.

 

The nuclear-powered Charles de Gaulle carries on board the navalised Rafale fighter jet that also landed on and took off from the American USS Carl Vinson aircraft carrier earlier this month in the Persian Gulf.

 

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:55
photo Marine Nationale

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22 mars 2015 par PA Charles De Gaulle – Marine Nationale

 

Ils sont jeunes et pleins d’enthousiasme : les matelots Emilie, Allan, Guillaume et Jedaey sont ce qu’on appelle des « veilleurs OA ». Portrait.

 

A l’arrière du porte-avions sur bâbord, au niveau du pont d’envol et donc à l’air libre, se trouve la plateforme des officiers d’appontage ou « PFOA ».

 

Aussi connus sous le nom d’ « OA », les officiers d’appontage sont des pilotes très expérimentés qui vont aider les pilotes à apponter (c’est-à-dire se poser) en toute sécurité sur le pont du Charles, un peu comme des anges gardiens. Pour accomplir ce travail minutieux, les OA ne sont pas seuls : une petite équipe de matelots les assiste dans l’objectif de rassembler les conditions optimales pour mener à bien les appontages. Mais qui sont-ils ?

 

Emilie, Allan, Guillaume et Jedaey sont les « veilleurs OA ». «On est une aide aux OA, ils comptent sur nous pour vérifier si l’avion est prêt à se poser » explique Guillaume, 21 ans. Pour cela, il faut s’assurer que les trains d’atterrissage (les roues), les volets (dispositif mobile sur les ailes permettant d’augmenter la portance de l’avion à basse vitesse) et la crosse (sorte de gros crochet à l’arrière de l’avion qui lui permet d’attraper un des brins d’arrêt et d’être stoppé) sont bien baissés. Les veilleurs OA travaillent par binômes : il y a un veilleur et un héraut de pont.

 

Le veilleur, armé de jumelles, détermine si l’avion est dans la bonne configuration et transmet l’information aux OA par un signe de la main. « Trains, volets, crosse ! » s’écrit Allan en levant trois doigts. Il n’est de service que le jour, étant donné le manque de visibilité la nuit tombée.

 

Le héraut de pont, lui, est positionné juste à côté de la piste d’appontage et dispose de plusieurs outils : une radio, une manette électronique et deux pavillons, vert et rouge. Son rôle est d’indiquer la disponibilité du pont ; le héraut va d’abord observer l’officier de pont, une personne habillée en jaune en charge de la sécurité et de la maitrise des sinistres sur le du pont d’envol, qui lèvera un pouce pour renseigner la disponibilité ou l’indisponibilité de la piste. « Ensuite, on relaye l’information aux OA en appuyant sur un bouton afin que cela s’affiche sur leurs écrans » décrit Emilie. Les pavillons, eux, permettent de signaler l’occupation du pont à l’ensemble des marins y travaillant : si un avion vient de se poser, le pont est alors « engagé » et le héraut l’indiquera par un pavillon rouge tandis que s’il est vert, l’avion peut apponter en toute sécurité. Pour les appontages de nuit, les pavillons sont remplacés par des bâtons lumineux.

 

Si ce métier implique des responsabilités, il comprend aussi sa part de traditions : lorsqu’un pilote, pour apponter sur le Charles, oublie de baisser un des trois éléments, il doit offrir une grosse boîte de bonbons aux veilleurs OA !

 

Equipés de casques, de ceintures de protection, de masques et de gilets de sauvetage, les veilleurs OA évoluent dans un milieu où les règles de sécurité sont primordiales : ils se trouvent à moins de 10 mètres d’avions appontant à une vitesse de 250km/h. «Le vrai risque, c’est de tomber dans la routine et de ne plus voir le danger» témoigne Jedaey.

 

Lorsqu’ils ne sont pas veilleurs OA, ces jeunes sont en charge de poser des cales et des saisines sur les aéronefs stationnés sur le pont. Ils apprécient néanmoins leur fonction spéciale : « ça nous sort de l’ordinaire » raconte Emilie. Pendant leur temps libre, lorsqu’ils ne sont pas de quart, notre petite bande de veilleurs OA privilégie le repos et la pratique du sport. « On enchaine les heures de travail, le créneau 00h00 – 06h00 est particulièrement dur. Alors ça fait du bien d’aller à la salle de musculation ! » précise Allan, 23 ans.

 

Au fait, comment sont-ils arrivés là ? « Nous avons eu 4 semaines de formation militaire et 5 semaines de formation spécifique sur les métiers du pont d’envol, à la Base Aéronavale de Hyères » raconte Emilie. Et pour l’avenir ? « Pour moi, ce métier est un tremplin, mon but est de devenir plongeur d’hélicoptère. Je dois passer une formation en juin» rajoute Guillaume, avignonnais engagé dans la Marine depuis 2 ans et demi. Allan et Jedaey, tous deux originaires de Guadeloupe sont eux aussi contents de s’être engagés : « C’est une passion » dit en souriant le premier, « mais je voudrais à terme devenir commando ». Pour Jedaey, qui a auparavant travaillé dans le secteur des télécommunications, être marin lui « permet d’avancer dans la vie ».

 

Nous leur souhaitons une bonne continuation et du succès dans leurs projets !

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 17:30
photo Marine Nationale

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20.03.2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

Lancée depuis le 19 septembre 214, l’opération Chammal mobilise 3 000 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion ravitailleur C-135 FR, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval.

 

Voir le reportage photos

 

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 08:30
USS Carl Vinson & FS Charles de Gaulle in the Northern Arabian Gulf photo US Navy

USS Carl Vinson & FS Charles de Gaulle in the Northern Arabian Gulf photo US Navy

 

19-03-2015 Par Sami Boukhelifa - RFI

 

L’opération Chammal dans laquelle est engagé le porte-avions français, le Charles-de-Gaulle se poursuit en Irak. Chaque jour une vingtaine de chasseur-bombardiers tricolores survolent le territoire irakien. Des frappes peuvent être menées mais l’objectif principal reste le renseignement, essentiel pour aider les troupes irakiennes, qui luttent au sol contre les jihadistes. RFI a pu embarquer cette semaine sur le navire amiral français.

 

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

photo Porte-Avions Charles de Gaulle - Marine Nationale

 

 

14 mars 2015 par PA Charles De Gaulle

 

La plongée, une qualification ouverte à tous

La plongée est une qualification, et non une spécialité. Elle est accessible à tous les marins sur la base du volontariat. Les conditions? Être âgé entre 17 et 33 ans, être apte médicalement et surtout, ne pas avoir peur de l’eau! A bord, les plongeurs appartiennent à différentes spécialités et services: les fusiliers marins, le service vie, le service météo ou encore la conduite de navigation.

L’Ecole de plongée de Saint Mandrier, école interarmées forme aussi bien les nageurs de combat, les plongeurs démineurs que les plongeurs de bord (destinés à être embarqué ou à travailler dans les formations de l’aéronautique navale). Ces derniers, après 5 semaines de formation, se voient délivrer un certificat et sont prêts à s’immerger dans les profondeurs du grand bleu.

Nous vous invitions à plonger dans leur univers !

 

«La cellule plongée », un système d’armes à part entière du porte-avions

A bord du porte-avions Charles de Gaulle, la «cellule plongée» est aujourd’hui composée de 16 plongeurs dits « de bord » (pour les différencier des plongeurs d’hélicoptères). De l’officier au matelot, la plongée est une qualification pour laquelle il n’y a pas de distinction entre les grades. Elle représente une force spécifique en elle-même. «Nous sommes considérés comme un véritable système d’armes à part entière du porte-avions. Nous sommes les yeux, les oreilles et les mains du bâtiment pour tout ce qui se passe en dessous de la ligne de flottaison» explique le Maître Julien, 33 ans. La ligne de flottaison c’est le niveau de la mer, qui sépare la partie immergée (environ 12 m de tirant d’eau) et émergée (une cinquantaine de mètres) du bâtiment.

Formés à l’exécution d’opérations militaires subaquatiques, ce qui implique des embarquements très fréquents sur tous les types de bâtiments de la Marine et la participation à de nombreuses campagnes, les plongeurs endossent un rôle essentiel pour la sûreté du bâtiment. « En cas de menace terroriste élevée, nous effectuons plusieurs plongées par jour, afin de vérifier qu’il n’y ait rien de suspect à proximité du porte-avions» indique le Second maître Jérémy, 28 ans. Des visites de contrôle sont aussi de rigueur afin de «blanchir le quai», autrement dit s’assurer qu’aucune menace n’est présente avant une manœuvre importante, en particulier l’accostage. Les plongeurs sont ainsi parfois héliportés vers le port d’escale quelques jours à l’avance afin d’assurer l’arrivée du porte-avions en toute sécurité.

 

Un important travail de maintien en condition opérationnelle du bâtiment

Les plongeurs ont également une part importante à jouer dans le maintien en condition opérationnelle du porte-avions, qui passe évidemment par l’entretien régulier de sa coque, dont la surface est de 30 000m2 l’équivalent de 5 terrains de foot réunis.

Les travaux sous coque représentent l’activité principale de la cellule plongée. Ceux-ci consistent en plusieurs tâches : les plongeurs sont notamment amenés à exécuter des visites de coque à quai ou en mer, de jour comme de nuit, pour la localisation d’avaries (trous, brèches). En outre, pendant l’escale de Djibouti en février, les plongeurs se sont particulièrement illustrés, rappelant leur concours essentiel à la disponibilité du porte-avions : ils ont effectué une opération d’ampleur en bouchant des orifices de coque pour permettre le démontage d’une pompe défectueuse, le tout avec une visibilité nulle. « C’était la première fois qu’on réalisait un chantier aussi important. L’ensemble des plongeurs a été monopolisé pendant toute la durée de l’escale » indique Christian, l’officier chargé de plongée. Le 9 mars, lors d’une cérémonie sur le pont d’envol, tous les plongeurs se sont vus attribué une lettre de félicitations par le Capitaine de vaisseau Vandier, commandant du Charles de Gaulle, pour cette intervention majeure.

Les plongeurs de bord sont également compétents pour accomplir des expertises et investigations sommaires de la coque et de réaliser des travaux de découpage ou d’obturation (ils sont un peu comme des «mécanos aquatiques») pour étanchéifier une zone inondée.

De plus, ils ont un minutieux travail de nettoyage à effectuer : « Il pourrait arriver qu’un filet de pêche se coince dans les hélices. Nous contrôlons et assurons aussi l’entretien des sondeurs et des lochs (différents appareils permettant de mesurer la profondeur et la vitesse du bateau) et mettons en place des plaques de chloration, pour éviter la prolifération de crustacés dans les appendices et orifices de coque » détaille le Maître Olivier. Les plongeurs peuvent aller jusqu’à une profondeur maximale de 35 mètres dans le cadre de leur missions.

 

Qui dit polyvalence, dit entraînement!

« Polyvalents » est le mot qui qualifierait le mieux les plongeurs, car ceux-ci ont aussi d’autres fonctions, comme par exemple la récupération d’objets de faible poids (jusqu’à 100 kilos) qui consiste la plupart du temps à repêcher des badges ou des coiffes tombées à l’eau.

Un de leurs rôles est également celui de sauvetage : un appel au 55 (numéro interne d’urgence pour signaler l’homme à la mer), 4 klaxons et nos marins revêtent leur uniforme de super-héros (ou plutôt leur combinaison néoprène thermo-isolante) pour aller porter secours à la victime. « Je suis prêt en 3 minutes » affirme Julien, le plongeur d’alerte.

Pour être habilité à effectuer des sauvetages en mer, les plongeurs sont tous détenteurs du certificat de premiers secours en équipe (PSE 1). Car c’est bien en équipe qu’ils interviennent : en l’espace de 15 minutes chrono, un zodiac est envoyé auprès de la personne en détresse, à bord duquel se trouvent un mécanicien (pour le pilotage de l’embarcation et des réparations éventuelles), un manœuvrier, en contact direct avec la passerelle de navigation du bâtiment, et un plongeur de bord. Le plongeur est ainsi amené à établir un bilan santé de la victime et lui prodiguer si nécessaire les premiers secours (ventilation, massage cardiaque) en attendant la prise en charge par l’équipe médicale du bord.

Afin d’être 100% opérationnels, les plongeurs se doivent de suivre des entrainements rigoureux. Chaque semestre, ces derniers doivent effectuer cinq exercices de plongée obligatoires pour leur permettre de conserver leur qualification. Ils s’exercent entre autres à remonter 15 m sans détendeur (embout placé dans la bouche qui distribue de l’air), assister un plongeur blessé et le ramener à la surface et plonger de nuit sous le bateau. En plus de cela, il existe des entrainements propres au bâtiment comme la plongée à la dérive en pleine mer, pendant laquelle les hélices du porte-avions sont stoppées. Un exercice conjoint entre les plongeurs du porte-avions américain USS Carl Vinson et ceux du Charles du Gaulle est actuellement en cours d’élaboration.

 

Sous la mer, des hommes et des dauphins

Mais comment devenir un bon plongeur ? L’entrainement ne suffit pas, il faut aussi faire preuve de certaines qualités. « Le plongeur doit être calme et autonome, tout en ayant le souci de son camarade » souligne Jérémy. Pour minimiser les risques, les plongées s’effectuent en effet toujours par groupes de plusieurs plongeurs (qui travaillent par binômes), qu’on appelle « palanquée ». Car la plongée comporte des dangers, principalement « la routine, la fatigue et le manque d’entrainement » selon Christian, officier chargé de plongée. Il y a aussi la faune sous-marine (à Djibouti un plongeur s’est fait mordre par un barracuda, d’où la nécessité de disposer d’un couteau pour se protéger) et surtout le bâtiment lui-même (les hélices, les aspirations possible par des orifices de coque) qui peuvent constituer une menace. Sous l’eau, tout peut vite devenir très compliqué.

En ce qui concerne les contraintes, outre les températures de l’eau (7°C en hiver à Toulon), elles sont plutôt matérielles : les plongeurs sont équipés de tout un attirail composé de «blocs» (bouteille d’air), de détendeurs, palmes, gilets et masques. « 18 kg de matériel, c’est lourd et encombrant. Le plus dur c’est d’arriver jusqu’à l’eau, après ça va ! » sourit Julien. Pour pouvoir porter ces lourdes charges, avoir une hygiène de vie saine et faire du sport est indispensable.

L’esprit d’équipe est tout aussi important. Christian, plongeur depuis 24 ans (il a effectué environ 1500 plongées) et instructeur plongeur bénévole à la Société Nationale de Sauvetage en Mer à Hyères, décrit l’atmosphère du groupe : « c’est une « dream team »; le mélange de grades et d’ancienneté en font une alchimie de qualité. Chacun donne de soi-même, de son temps, car la plongée se fait en plus du travail quotidien ». Et leur patch l’illustre bien : le symbole des plongeurs du Charles est le dauphin, car « c’est beau (!), gentil, inoffensif et surtout protecteur ».

Il faut avant tout « aimer la mer » (la plupart des plongeurs sont en effet férus de sports nautiques) et avoir une aisance aquatique. «Je me sens à l’aise. Quand on sort de l’eau on a envie d’y retourner de suite » raconte Jérémy, qui pratique la chasse sous-marine. Olivier plongeur de bord, membre de la brigade de sécurité (face à l’eau et au feu, il est sur tous les fronts!) et papa de deux enfants qui adorent aussi l’eau, témoigne : « il y a une sensation de plénitude, c’est calme, il n’y a pas un bruit. C’est le paradis ».

Leurs meilleurs moments ? Pour Olivier « une rencontre avec des lamentins, à Valparaiso au Chili », tandis que pour Jérémy, « une attaque de crabes par centaines à Djibouti » reste l’instant le plus marquant de la mission. Et quels sont les projets de nos plongeurs ? « Arrêter de fumer ! » s’exclame Julien. Ce toulousain, guitariste à ses heures perdues, va présenter les épreuves du Brevet Supérieur très bientôt. Quant à Olivier, il sera affecté à Abu Dhabi l’année prochaine. Jérémy lui, se voit continuer dans la voie subaquatique en s’orientant vers l’hydrographie.

 

Voilà ce qui s’appelle voir la vie en bleu.

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