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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:35
FANC : participation du COMSUP à un séminaire sur l’amphibie

 

27/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 17 au 21 mai 2015, le général de Revel, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC), a participé au« PACOM Amphibious Leaders’ Symposium » (PALS) à Honolulu.

 

Le général de Revel, accompagné du lieutenant – colonel Courtiau (officier de liaison au commandement pacifique américain basé à Quantico, PACOM), a représenté le chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT) à l’occasion de ce séminaire qui regroupait les CEMAT ou les représentants des corps amphibies de 22 nations : Australie, Bangladesh, Cambodge, Canada, Chili, Colombie, Etats-Unis, Indonésie, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Philippines, Corée du sud, Singapour, Sri-Lanka, Taiwan, Thaïlande, Tonga, Grande Bretagne et Vietnam.

 

Organisé par l’USMC (United States Marine Corps), ce séminaire visait principalement à échanger sur les connaissances de chaque force dans le domaine de l’amphibie, à établir un bilan capacitaire de l’amphibie dans le Pacifique et à développer des actions de coopération régionale.

 

Après une première journée consacrée aux présentations des moyens de chaque pays et à la nécessité d’une coopération amphibie multinationale dans le Pacifique, les participants ont pu assister à différentes démonstrations dynamiques (assaut amphibie, logistique amphibie et concept de seabasing 1) le deuxième jour. La dernière journée était consacrée à des travaux de réflexion organisés en groupe de travail sur un scénario d'intervention amphibie en coalition au profit d'un Etat victime d'une catastrophe naturelle doublée d'une déstabilisation par des groupes armés.

 

Dans le cadre de leurs missions les FANC participent aux activités de coopération régionale et entretiennent des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentes sur le théâtre Pacifique où ils constituent, avec les forces armées en Polynésie Françaises (FAPF) le principal point d’appui de nos forces armées.

 

Les FANC ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.

 

1 Seabasing : concept développé par USMC et la Navy, qui vise à utiliser les bâtiments de la Marine pour constituer au large une base logistique, et s’affranchir des menaces et contraintes pesant sur les bases établies à terre. Ces ports en mer doivent permettre, grâce à l’établissement de quais flottants, de décharger sélectivement en mer les stocks prépositionnés sur des navires (24 navires dans le Pacifique), pour équiper ou recompléter d’autres navires ou unités. Le seabasing comprend des stocks de tous les services (USMC, Army, Air Force).

photo USMCphoto USMCphoto USMC
photo USMC

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 20:35
Polynésie française : un accord qui renforce les relations franco-américaines.

 

16/07/2014 Sources : EMA

 

Du 30 juin au 5 juillet 2014, le contre-amiral Anne Cullerre, commandant la zone de responsabilité permanente Asie-Pacifique (ZRP ALPACI) et commandant supérieur des forces armées en Polynésie française (COMSUP FAPF), s’est rendue à Hawaii, aux Etats-Unis, dans le cadre d’une série d’entretiens de haut niveau et de réunions avec les principaux responsables militaires américains de la zone « Asie-Pacifique » .

 

A cette occasion, elle s’est entretenue avec l’amiral Harry Harris, commandant la flotte du Pacifique (PACFLEET), le vice-amiral Kenneth Floyd commandant la 3e flotte basée à San Diego et organisatrice de l’exercice Rim of the Pacific (RIMPAC), et le général de division Anthony Crutchfield, numéro deux du commandement interarmées américain dans la zone Pacifique (PACOM).

 

Ce déplacement a été marqué par la signature d’un accord entre ALPACI et PACOM cadrant les relations et échanges entre les deux  états-majors. Ces terms of  reference instituent ainsi la mise en place de réunions annuelles, alternativement à Hawai et Tahiti, ainsi que la création de groupes de travail chargés de traiter les sujets d’intérêts communs dans le Pacifique, dans les domaines  des opérations, de l’échange d’informations et des systèmes de communication.

 

Ce document représente une avancée significative dans la relation franco-américaine dans le Pacifique. Il renforce la coordination entre les forces françaises et les forces américaines et favorisant le développement de leur interopérabilité. La première de ces réunions d’état-major aura lieu à Hawaii en février 2015.

 

Le contre-amiral Cullerre a également rencontré de  nombreux officiers généraux américains et étrangers présents à Hawaii dans le cadre de l’exercice RIMPAC, exercice aéronaval annuel majeur qui a eu lieu au large d’Hawaï du 26 juin au 15 juillet et auquel participait la frégate Prairial. Dans le cadre du cycle de commémoration de la Seconde Guerre mondiale, le Prairial a par ailleurs organisé à son bord une cérémonie de remise de la légion d’honneur à des vétérans américains.

 

En temps qu’ALPACI et COMSUP FAPF, l’amiral Cullerre a pour mission de garantir la souveraineté nationale dans les zones maritimes de la Polynésie française et du Pacifique. Sa zone de compétence s’étend sur tout l’océan Pacifique, sur les détroits indonésiens et du méridien du cap sud de la Tasmanie à l’ouest, à la côte américaine à l’est, à l’exception de la zone entourant la Nouvelle-Calédonie sous la responsabilité du COMSUP Nouméa. ALPACI, au nom du CEMA, participe aux activités de coopération régionale et entretient des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentes sur cette zone.

Polynésie française : un accord qui renforce les relations franco-américaines.
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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 07:35
photo EMA

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09/04/2014 Sources : EMA

 

Du 24 au 26 mars 2014, le contre-amiral Anne Cullerre, commandant la zone de responsabilité permanente Asie-Pacifique (ZRP ALPACI) et commandant supérieur des forces armées en Polynésie française (COMSUP FAPF), a reçu le lieutenant-général Conant, commandant en second les forces armées américaines du Pacifique (Deputy PACOM).

 

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la coopération accrue entre les commandements français et américains pour le maintien de la sécurité en zone Asie-Pacifique.

 

Ces entretiens ont conduit à l’adoption de plusieurs procédures permettant de renforcer les liens et les échanges entre les différents bureaux des deux états-majors régionaux: intégration à très brève échéance d’un officier de liaison français auprès de l’état-major de PACOM à Hawaï ; augmentation du nombre d’escales de bâtiments américains en Polynésie et poursuite active de l’intégration d’un navire français à différents exercices militaires, dont l’exercice Rim of the pacific exercise (RIMPAC), le plus important exercice aéronaval au monde qui aura lieu au large d’Hawaï à l’été 2014.

 

ALPACI, au nom du CEMA, participe aux activités de coopération régionale et entretient des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentes sur cette zone. En temps qu’ALPACI et COMSUP FAPF, l’amiral Cullerre a pour mission de garantir la souveraineté nationale dans les zones maritimes de la Polynésie française et du Pacifique. Sa zone de compétence s’étend sur tout l’océan Pacifique, les détroits indonésiens et du méridien du cap sud de la Tasmanie à l’ouest, à la côte américaine à l’est, à l’exception de la zone entourant la Nouvelle-Calédonie sous la responsabilité du COMSUP Nouméa.

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 13:35
amiral Locklear, commandant interarmées de la zone Pacifique (PACOM),

amiral Locklear, commandant interarmées de la zone Pacifique (PACOM),

 

23/01/2014 Sources : EMA

 

Du 7 au 11 janvier 2014, le contre-amiral Anne Cullerre, commandant la zone de responsabilité permanente Asie-Pacifique (ZRP ALPACI) et commandant supérieur des forces armées en Polynésie française (COMSUP FAPF), s’est rendue à Hawaï, aux Etats-Unis, dans le cadre d’une série d’entretiens de haut niveau et de réunions avec les principaux dirigeants militaires américains de la zone « Asie-Pacifique » .

 

A cette occasion, elle s’est entretenue avec l’amiral Locklear, commandant interarmées de la zone Pacifique (PACOM), l’amiral Harris, commandant la flotte du Pacifique (PACFLEET), le contre-amiral Thomas, commandant le 14e district des garde-côtes américains et le contre-amiral Rendon, commandant de la Task Force inter-agences chargée de la lutte contre les stupéfiants dans le Pacifique ( JIATF/W). 

 

Cette rencontre désormais annuelle s’inscrit dans le cadre de la coopération accrue entre les commandements français et américains pour le maintien de la sécurité en zone Asie-Pacifique. Ces entretiens ont confirmé l’importance d’un dialogue régulier avec les deux commandements régionaux américains, à l’occasion de rencontres entre autorités militaires, mais également lors des escales de bâtiments de l’US Navy en Polynésie française.

 

En temps qu’ALPACI et COMSUP FAPF, l’amiral Cullerre a pour mission de garantir la souveraineté nationale dans les zones maritimes de  la Polynésie française et du Pacifique. Sa zone de compétence s’étend sur tout l’océan Pacifique, les détroits indonésiens et du méridien du cap sud de la Tasmanie à l’ouest, à la côte américaine à l’est, à l’exception de la zone entourant la Nouvelle-Calédonie sous la responsabilité du COMSUP Nouméa. ALPACI, au nom du CEMA, participe aux activités de coopération régionale et entretient des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentes sur cette zone.

amiral Harris, commandant la flotte du Pacifique (PACFLEET)

amiral Harris, commandant la flotte du Pacifique (PACFLEET)

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 07:25

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/09/Admiral_Samuel_J._Locklear_III_2012.jpg/480px-Admiral_Samuel_J._Locklear_III_2012.jpg

 

16 October 2012 By Donna Miles / American Forces Press Service – Pacific Sentinel

 

WASHINGTON, Oct. 15, 2012 – In his first visit to India as commander of U.S. Pacific Command, Navy Adm. Samuel J. Locklear III encouraged a closer defense relationship between the United States and India in which they address shared interests to promote long-term regional security and stability.

 

Locklear emphasized the U.S. interest in taking its relationship with India to the next level during meetings with Defense Minister A.K. Antony, Chief of Integrated Defense Staff Vice Adm. SPS Cheema and other officials in New Delhi.

 

“Building a strong military relationship with India builds understanding and deepens established ties that will contribute to the larger Asia-Pacific region,” Locklear said during an Oct. 12 roundtable discussion at the Observer Research Foundation think tank following the sessions.

 

Locklear, who made a priority of developing the U.S.-India strategic partnership when he took the helm at Pacom in March, noted the two countries’ common values and their mutual interest in a secure environment that promotes stability and allows economies to grow.

 

He emphasized the impact of globalization, which has increased the importance of sea lanes as a conduit of global commerce and the free flow of information in cyberspace.

 

“The economic system is so interlocked that a disruption of the flow of … goods that disrupts the economy, in and of itself, is a security threat,” the admiral told a Hindustan Times reporter.

 

But globalization also has given rise to terrorist structures and groups conducting illicit activities no longer limited by national borders, he noted. That demands closer cooperation among regional nations so they can work together to support their shared concerns, Locklear said.

 

“We’re seeing an environment that demands more multilateralism,” he said. “A regional environment utilizing strengthened partnerships and alliances will uphold long-term diplomacy, security and prosperity.”

 

Locklear noted a “quite productive” effort to increase compatibility between the U.S. and Indian militaries, particularly in the maritime domain. But he encouraged closer future cooperation in two additional areas: counterterrorism and disaster response.

 

“I believe that where we have the most to gain in interaction is counterterrorism,” he said. “We both have similar concerns, not just about counterterrorism in the immediate area of any one country. It’s the spread of that terrorism, and its ability to upset the security environment in a way not productive for the future.”

 

Locklear also recognized the value of regional collaboration to provide better responses to natural disasters and reduce suffering. “Militaries have a role in being able to respond early and jump start [that response],” he said. “I believe the United States and India share a very similar perspective on the importance of that.”

 

To improve their ability to work cooperatively, the admiral acknowledged the need to increase technology-sharing. Defense Secretary Leon E. Panetta made that point when he visited India in June, and Deputy Defense Secretary Ashton B. Carter re-emphasized it during his follow-up visit to New Delhi in July.

 

“When it relates to our defense trade initiatives, there needs to be some streamlining, with more efficiency in it,” Locklear agreed. “Certainly the timelines and bureaucracies on both sides need to be streamlined.”

 

He applauded efforts both countries are making in that direction, recognizing that increasing compatibility benefits the entire region.

 

“We … need the Indian military to have the very best equipment it can,” Locklear said. “It is in the best interest of Pacom, and I believe of the security of the Asia-Pacific region, for the United States and our partners and allies in this region to be able for us to come together in a military way and be able to operate together effectively when necessary.”

 

Asked about China’s role, Locklear emphasized the importance of engaging positively with China as it emerges as a regional and global power and leader.

 

“If you step back and look at the strategic rise of China, it shouldn’t be unexpected that as China rises in both economic and military power, they will start to have a greater influence on their neighbors and the region in which they live, and eventually, on the global environment,” he said.

 

“The question is, ‘How do we as a global community … attempt to allow China to … become a productive member of the security environment?’” Locklear said. “India and the U.S. share that as a common concern, and it should be a common objective.”

 

The alternative, he said, is not good for anyone. Historically, turmoil has occurred when emerging powers like China entered into mature security environments that included a superpower like the United States. “In the past, we haven’t had a lot of success with that happening without conflict,” Locklear said.

 

“But today, the stakes are different. The world population is much more interlocked than in the past,” he said. “We must see a future where China emerges productively and is contributing to a secure, peaceful environment and is not on the outside, looking in, or vice versa.”

 

(Army Staff Sgt. Carl N. Hudson of U.S. Pacific Command contributed to this article.)

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