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10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:45
photo R. Veron - FFDj

photo R. Veron - FFDj

 

09/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 juin 2015, sur la base aérienne (BA) 188, les soldats du pétrole et du feu des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont travaillé de concert pour fournir le carburant nécessaire à l’entraînement d’un hélicoptère Panther.

 

Embarqué sur la frégate légère furtive Surcouf (FLF) qui croisait dans la région, l’hélicoptère a desserré sur la BA 188 bénéficiant ainsi de l’espace d’entraînement en 3 dimensions qu’offre Djibouti. Vers 13h, sur court préavis et aux ordres du directeur des vols (DV), un avitaillement selon la technique de moteur tournant rotor tournant (MTRT) a été mis en œuvre.

 

L’avitaillement MTRT est complexe. Ce savoir-faire spécifique doit être entretenu de façon régulière afin de maîtriser les procédures et de minimiser les risques notamment d’incendie. Grâce aux compétences acquises et préservées, les marins, les soldats du pétrole et du feu ont pu fournir le carburant nécessaire en moins de dix minutes en communiquant uniquement avec des gestes, en raison du bruit du rotor du Panther. Cette technique permet effectivement un gain de temps précieux mais nécessite une maîtrise totale pour être effectuée en toute sécurité.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo R. Veron - FFDjphoto R. Veron - FFDj

photo R. Veron - FFDj

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 08:54
Portrait du LV Lorélie, pilote d’hélicoptère Panther à la 36F

 

8 Mars 2015 Source: Marine nationale

 

À 32 ans, le lieutenant de vaisseau Lorélie fait partie de la Flottille 36F basée sur la base d’aéronautique navale de Hyères et est aux commandes d’un hélicoptère Panther. Retour sur une carrière de femme passionnée par l’aéronautique navale… Elle sera, cette année, la marraine de la journée mondiale des femmes de l’air qui se déroulera sur l’aéroport d’Avignon-Provence.

 

« Née en 1983 à Arles, originaire du Vaucluse, j’ai suivi ma scolarité à Apt avant d’intégrer en classe de 2nde l’École des Pupilles de l’Air de Grenoble avec pour objectif de devenir pilote d’hélicoptère. C’est à cette période que j’ai fait mes premiers pas dans l’aéronautique en obtenant à l’âge de 16 ans le brevet de pilote de planeur au sein de la section aérienne de vol à voile. En 2003, après 3 années de classes préparatoires, j’ai intégré l’École Navale et commencé ma formation d’officier de Marine. Brevetée chef de quart et parachutiste militaire, j’ai débuté ma formation de pilote d’hélicoptère en 2007 à Dax, à l’issue d’une campagne Jeanne d’Arc de 5 mois en océan Indien.

 

J’ai obtenu le brevet de pilote d’hélicoptère embarqué en janvier 2010 après 2 ans et demi de formation et ai rejoint la 36F basée à Hyères.

 

Très rapidement, j’ai fait mes premières armes comme adjoint chef de détachement embarqué sur la frégate Aconit, à bord de laquelle j’ai vécu ma première mission opérationnelle. Il s’agissait d’un déploiement de 4 mois et demi en océan Indien dans le cadre de la lutte contre la piraterie et les trafics illicites (opération Atalante). J’ai ensuite participé à l’opération Harmattan en Libye, par deux fois, à bord des frégates de défense aérienne Forbin et Chevalier Paul. Devenue chef de détachement à l’été 2011, j’ai poursuivi ma progression de pilote et l’acquisition des différentes qualifications.

 

L’année 2012 est marquée pour moi par un nouveau déploiement de 4 mois en ocean Indien et d’une mission de lutte contre le narcotrafic en Méditerranée. Je pars sur alerte pour une nouvelle mission au large des côtes syriennes.

 

L’année 2013 fut donc jalonnée par 3 déploiements successifs en Méditerranée orientale et en mer Noire. En 2014, je pars pour une dernière mission en océan Indien et golfe Arabo-Persique avant d’être affectée à l’état-major de la force de l’aéronautique navale à Toulon à l’été comme responsable du bureau « Activités Hélicoptères ».

 

Cumulant plus de 600 jours embarqués en opérations comme pilote d’hélicoptère, je totalise à présent 1200H de vol dont 1000H sur Panther.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:55
Méditerranée orientale : Interview d’un matelot de pont d’envol à bord de la frégate La Fayette

 

11 Février 2015 Marine nationale

 

Embarqué sur la frégate La Fayette actuellement en déploiement en Méditerranée orientale, le matelot H. occupe les fonctions de matelot de pont d’envol. Sous les ordres  d’un officier directeur de pont d’envol, il est chargé du saisinage des hélicoptères sur la plate-forme. Il a fêté ses 18 ans le 2 février 2015 à bord de la frégate…

 

Comment avez-vous connu  la Marine ? Comment y êtes-vous rentré ?

Mon grand-père était marin civil de la défense et travaillait à l’arsenal de Cherbourg. Son métier consistait à produire des meubles pour des sous-marins, des bâtiments de surface, des chasseurs de mine et des bateaux ateliers. 

Il a arrêté de travailler à ma naissance en 1997, après avoir fait ça pendant plus de 35 ans. Il côtoyait beaucoup de marins et avait pour habitude de me raconter ses histoires : campagnes et missions formaient son quotidien, avec entre autre un long séjour de cinq ans à Tahiti et deux de trois ans à Nouméa et Dakar. Il me montrait des photos dans les ateliers, me parlait des bateaux en bois et me montrait les tapes de bouche des bâtiments sur lesquels il travaillait. Je me rappelle lui avoir demandé un jour d’où venait cette curieuse tape en bois, et il me raconta la façon dont il avait fabriqué de ses mains la coque du chasseur de mines Andromède.

À la fin de ma troisième, je décide de pousser la porte d’un CIRFA. On m’a proposé de rentrer à l’école des mousses, alors que j’avais seulement 16 ans. Le cadre que m’a offert la Marine est pour moi un réel épanouissement.

 

Le métier / la vie embarquée

Je suis « ponev », c’est-à-dire équipier de pont d’envol. Sous les ordres d’un directeur de pont d’envol, je suis chargé de mettre des cales et des saisines sur les aéronefs de l’aéronautique navale. En ce moment, je suis chargé de la saisine des hélicoptères, ce qui leur évite de glisser lors de leur appontage sur la plateforme.

Ma journée commence au branle-bas, à 7h30 du matin. Après avoir petit déjeuné, je me charge d’entretenir toutes les installations du secteur aviation. Sur le La Fayette, je suis affecté au hangar des hélicoptères, ou est stationné le Panther. Le bateau est constitué d’un certain nombre de locaux, qui servent à  stocker du matériel essentiel pour les techniciens aéronautiques.

Au moment du vol de l’hélicoptère, je m’équipe avec mon casque, mon maillot bleu (de pont) et mes gants. Chacun a sa couleur particulière : le vert désigne les techniciens du détachement que nous accueillons, le bleu les matelots du pont d’envol, et le jaune celui du directeur, mon chef direct.

Je suis également membre de la brigade de protection du bateau. C’est une équipe constituée de marins de hautes spécialités chargés de différentes missions. Je peux être amené à visiter un bateau dans le cadre d’un contrôle de pêche ou encore participer activement à la protection d’un site afin d’évacuer des ressortissants français. Cet été, j’ai participé à un exercice de ce type sur le BPC Tonnerre. C’était impressionnant, des grands chalands de débarquement ont déchargés toute la brigade de protection.

 

Quel est votre parcours de formation ?

Ma formation à l’école des mousses de Brest a durée dix mois. Tout d’abord, j’ai suivi des cours académiques « Marine », puis un enseignement plus spécialisé une fois ma spécialité choisie. En alternant théorie et pratique, on nous a appris le rôle des marins sur les bateaux, le maniement des armes, et nous avons ait des sorties sur le terrain. Par ailleurs, j’ai eu l’occasion de passer mon permis bateau dans la rade de Brest. Pour finir l’année, j’ai défilé le 14 juillet à Cherbourg, devant une partie de ma famille. C’était un moment de grande fierté pour moi, et même mon plus beau souvenir pour le moment.

J’ai ensuite été affecté sur le Tonnerre en tant que Ponev, en attendant de suivre ma formation élémentaire de métier. Cette formation à l’école du personnel de pont d’envol de Hyères a duré un mois. Grace à beaucoup de pratique, j’y ai appris les règles de sécurité, le compartimentage des bateaux mais aussi la manipulation des saisines et les gestes des directeurs. J’ai pu profiter de reconstitutions d’hélicoptère et d’avions, tels que celle de l’Alouette, du Puma, ou encore du Super Etendard. Après cela, j’ai fait une semaine sur le porte-avions avant d’être embarqué sur le La Fayette. Seulement trois mois après, c’est mon premier grand départ pour une mission. Et c’est en pleine mer que je fête aujourd’hui ma majorité !

 

Méditerranée orientale : Interview d’un matelot de pont d’envol à bord de la frégate La Fayette

Engagement

 

Que vous apporte la vie de marin ?

La Marine m’a apporté à la fois un cadre et du bonheur. Je ne vois pas les journées passer. Lorsque j’étais jeune, je rêvais comme beaucoup de garçons de devenir pilote de chasse. Lorsque je vois des hélicoptères ou des avions décoller en pleine mer, je m’en approche un peu et je retrouve mes rêves d’enfant. Avec ma famille, j’étais parti en vacances à Chypre il y a quelques années, et il y a quelques jours, j’y suis retourné pour le travail !

 

Quel conseil donneriez-vous à un jeune qui souhaite s’engager ?

Je lui dirai de ne pas baisser les bras, de toujours persévérer. J’ai failli tout arrêter à un moment de ma formation lorsque je me suis blessé alors que je voulais devenir fusilier marin. Aujourd’hui, je ne regrette pas du tout d’avoir fait ce choix.

 

Qu’est-ce que pour vous être marin ? Qu’est-ce que « l’esprit d’équipage » ?

La cohésion est pour moi une force qui traverse les unités. Lorsque quelqu’un a un peu le cafard, les autres essayent de lui remonter le moral. L’esprit d’équipage consiste à ne jamais laisser  quelqu’un seul. Quand je suis arrivé à bord on est parti en mer pour plusieurs jours. Je n’étais pas habitué à ne plus avoir de nouvelles de ma famille, j’étais un peu démoralisé. Très vite, on est venu me soutenir, me faire rire. Ça m’a fait beaucoup de bien.

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 17:45
Embarquement Panther 36F

 

9/12/14 – Alban Battestini - Détachement Air181

 

Nos camarades de l"escadron "Anjou" retournent sur leur base avec le Transall N°90 ZH, certainement la dernière relève Transall sur la Réunion… avec un chargement hors du commun…Il emporte dans son cargo l'hélicoptère de la 36F « Panther » de la FS Nivôse.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 17:55
Les installations aviation des FREMM homologuées pour le Panther

 

4 Décembre 2014 Source : Marine nationale

 

Du 4 au 12 novembre 2014, s’est déroulée la deuxième campagne d’homologation des installations aviation de la FREMM Normandie organisée par le CEPA/10S.

 

La météo automnale a permis d’atteindre les objectifs de cette campagne : établissement des diagrammes d’homologation à l’appontage du Panther (Vent, Roulis, Tangage) pour l'ensemble des FREMM et validation des aides à l’appontage (IPD[1] et BRH[2]) et du convertisseur électrique de la frégate Normandie. Les installations aviations doivent en effet être contrôlées sur chaque FREMM.

 

 Pour l’établissement des diagrammes d’appontage les conditions aux limites sont recherchées lors des vols d’expérimentations afin de garantir leurs emplois opérationnels par les flottilles.

 

[1] IPD : Indicateur de pente de descente

[2] BRH : Barre de référence horizontale

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 17:25
FAA : le Germinal de retour de mission de lutte contre le trafic de stupéfiants

 

06/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 25 octobre 2014, la frégate de surveillance (FS) Germinal a accosté à la base navale de Fort-de-France en Martinique. Depuis trois semaines, la frégate, ainsi que son détachement hélicoptère Panther de la flottille 36F embarqué, étaient déployés en haute mer pour lutter contre le trafic de drogue dans la zone Caraïbe.

 

Durant ce déploiement, baptisé Colfra, mené en coopération avec les forces armées colombiennes, la frégate de surveillance Germinal et son hélicoptère Panther ont conduit deux opérations majeures ayant permis la saisie de plus d’une tonne de drogue. 595 kg de cocaïne ont été saisis dans la nuit du 10 au 11 octobre 2014, puis ce sont 540 kg de marijuana qui ont été interceptés dans la nuit du 20 au 21 octobre 2014.

 

Colfra est une opération se déroulant au large de la Colombie. Cette coopération bilatérale s’inscrit dans la continuité des opérations de surveillance maritime et de lutte contre le narcotrafic conduites dans l’arc caribéen. Des petites Antilles (opération Carib Royal) jusqu’ au Nord de la Colombie (opération Colfra) en passant par le Nord du Venezuela, le Suriname, la Guyana (opération Atlantic Watch), mais aussi les îles néerlandaises d’Aruba, Bonaire et Curaçao (opération Carib Venture), la France est militairement engagée aux côtés de ses partenaires pour lutter contre les trafics illicites.

 

La tonne de drogue saisie en un seul déploiement par la frégate de surveillance Germinal témoigne une nouvelle fois de la volonté de la France de lutter activement contre le crime organisé et le trafic de produits stupéfiants, aux côtés de ses partenaires européens, américains et caribéens. Ces résultats illustrent également la pertinence des accords internationaux mis en place et ratifiés par la France pour éradiquer ce fléau.

 

Les forces armées aux Antilles (FAA) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis les départements de la Martinique et de la Guadeloupe. Elles constituent un dispositif interarmées à dominante aéromaritime de premier plan sur le Théâtre Antilles-Guyane, en coordination avec les forces armées en Guyane (FAG).

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 12:35
Hélicoptères : joli coup d’Airbus à Jakarta

Les 11 Panther de lutte anti-sous-marine vendus à Jakarta complètent une flotte déjà bien garnie - photo Airbus HC

 

05/11 Alain Ruello - lesechos.fr

 

Airbus Helicopters a vendu 11 Panther de lutte anti-sous-marine à l’Indonésie. Une poire pour la soif car l’industriel européen a absolument besoin d’un gros contrat militaire dans les six mois.

 

C’est toujours ça de pris. Airbus Helicopters a annoncé ce mercredi la vente de 11 AS565 MBe Panther, la version anti-sous-marine du Panther, à l’Indonésie. Le montant du contrat n’a pas été communiqué mais il avoisinerait les 150 millions d’euros, selon nos informations.

Les appareils seront livrés à la marine de Jakarta dans les trois prochaines années, après être passés par les hangars de PT Dirgantara Indonesia, charge au partenaire local d’Airbus Helicopters d’installer un sonar et le système de lancement des torpilles. Une fois en service, les 11 Panther compléteront la flotte, déjà bien garnie, des hélicoptères de l’ex-Eurocopter au sein de l’armée indonésienne qui comprend des Colibris pour l’entraînement, des Fennec (attaque) ou encore des EC725 (pour les missions de sauvetage).

 

La Pologne dans le radar

Avec ce succès, les commerciaux d’Airbus Helicopters ne vont pas bouder leur plaisir. Mais l’essentiel est ailleurs. Le marché des hélicoptères militaires est déprimé dans les pays occidentaux à cause de la baisse des budgets de défense. L’industriel européen, comme tous ses grands concurrents, se bat férocement pour arracher les quelques grosses affaires dans les pays émergents. « Nous devons conclure une vente significative dans les six mois », confirme un de ses responsables.

Au Mexique, la conclusion de la vente de 10 Panther attend les autorisations budgétaires. Au Qatar, qui a choisi d’acheter 22 NH90 de gré à gré, les discussions avancent au rythme habituel des pays du Golfe. Comme cela sera le cas au Koweït qui vient de lancer un appel d’offres portant sur 24 hélicoptères de transport pour lequel Airbus propose son EC 725.

Mais « LA » grosse affaire sur le radar, c’est la Pologne , toujours sur le segment du transport. Airbus Helicopters, Agusta et Sikorsky remettront à la fin du mois leurs propositions finales pour l’appel d’offres portant sur 70 appareils. A ceci près que le troisième larron a menacé de retirer son Black Hawk si les termes de la compétition n’étaient pas modifiés. Varsovie a répliqué sèchement qu’il n’en était pas question, mais depuis chacun s’interroge sur les motivations de l’Américain.

 

L’ombre des Mistral russes...

L’autre incertitude en Pologne concerne le projet d’achat de 32 hélicoptères d’attaque. La consultation a été lancée avec retard sur le calendrier initial mais le ministère de la défense semble vouloir aller plus vite que prévu. Au point de rassembler dans un même appel d’offres hélicoptères de transport et d’attaque ? Si c’était le cas, ce serait un avantage pour Airbus qui alignerait son EC725 et son Tigre.

Appel d’offres globalisé ou non, Airbus Group jette toutes ses forces dans la bataille, bien décidé, pour emporter la mise, à faire de la Pologne un de ses pays de référence à grands renforts de transferts de technologie et de partenariat industriel. L’enjeu est stratégique car outre les hélicoptères, l’ex-EADS est en lice sur un important contrat de défense anti-missiles via sa filiale MBDA. Mais tout cela pourrait ne pas peser grand chose si Paris décide entre temps de livrer les Mistral russes à Moscou ...

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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 07:35
AS565 Panther

AS565 Panther

 

13.10.2014 Ridzwan Rahmat - Pacific Sentinel

 

The Indonesian Navy (Tentera Nasional Indonesia - Angkatan Laut, or TNI-AL) will equip its three Bung Tomo-class corvettes with AS565 Panther anti-submarine warfare (ASW) helicopters from Airbus Helicopters, a navy source told IHS Jane's on 6 October in Surabaya, Indonesia.

 

The lead ship in class, KRI Bung Tomo (357), conducted trials with an AS365N Dauphin 2 on 29 September. The trials, which included touch-and-go operations and landings, were held in the seas of central Java ahead of the vessel's appearance at the Indonesian Armed Forces Day celebration on 7 October.

 

According to the source, the Dauphin 2 involved in the recent trials is on loan from Indonesia's search-and-rescue body (Badan SAR Nasional, or BASARNAS). However, the trials were conducted with the aircraft sporting TNI-AL livery to "keep the exercises realistic," the source said.

 

Read the full story at IHS Jane's 360

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 21:55
Premier déploiement opérationnel d’un hélicoptère Panther standard 2 à bord d'une frégate de type La Fayette

 

 

12/02/2014 Sources : Marine nationale

 

Depuis quelques semaines, un hélicoptère Panther standard 2 de la flottille 36F opère en Méditerranée Orientale à partir de la Frégate type La Fayette Surcouf. Si l’efficacité de la coopération entre la frégate et son hélicoptère n’est plus à démontrer, cette mission est la première réalisée avec un Panther pleinement opérationnel au nouveau standard. Ces nouveaux équipements embarqués, notamment le FLIR et la console tactique « STEP 2 » (Système Tactique Embarqué sur Panther standard 2) apportent une véritable plus value aux missions assignées à l’hélicoptère et à son bâtiment-porteur.

 

La console « STEP 2 » améliore l’échange des informations entre les différentes unités d’une force. L’ensemble de visualisation infrarouge FLIR permet, après détection radar, d’identifier les pistes à des distances bien supérieures au Panther de standard précédent, de jour comme de nuit. Associé à un système d’enregistrement, il permet un travail en aval sur les vidéos réalisées lors du vol.

 

Cette augmentation des senseurs des nouveaux standards renforce d’autant l’efficacité du binôme FLF/Panther qui se révèle toujours mieux adapté au spectre des missions dévolues aux frégates type Lafayette..

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 12:30
The "Defenders of the West" Squadron Meets the French Navy

 

25.11.2013 Noa Fenigstein - iaf.org.il

 

The IAF Maritime Patrol Squadron –The "Defenders of the West" – and its French equivalent met last week for a brainstorming aimed to enrich each other's instructional knowledge. "Being a unique squadron, it is very important for us to learn from other air forces around the world"

 

The AS-565 "Panther" (AKA "Bat" in the IAF) maritime patrol Helicopters Squadron, located in Ramat-David Airbase had a special meeting last week: teams from the equivalent French Maritime Patrol Squadron joined them at Haifa port for an enriching instructional gathering.

 

"The French "Panther" helicopters squadron is a sister-squadron to the Israeli "Defenders of the West" and we've met with it before", says Captain M., the squadron's second-in- command, in charge of the squadron's instructional field. "The purpose of the meeting is creating a mutual learning process and to form a base of optional cooperation between the forces".

 

This time, unlike previous cooperation sessions, soldiers from the squadron's technical division also took part in the project. "The "Panther" helicopter's technicians have many unique and complex missions", says Captain M. "The technical maintenance regulations are an integral part of the squadron's development, and it's important to learn from the aerial and marine capabilities of the French Navy".

 

AS-565 Panther photo IAF

AS-565 Panther photo IAF

The "Defenders of the West" Squadron is one-of-a-kind in the IAF and has many designated missions combining air and sea and often working with foreign air forces and navies. "We see great importance in learning from different forces, practicing with them and comparing work methods for the joint missions", adds Captain M. "The main objective is to expand and improve the squadron and simultaneously tighten the IAF's relations with air forces and navies all around the globe".

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 07:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-au-fil-de-l-eau/arrivee-et-depart-du-panther-de-la-36f-c-marine-nationale/2203022-1-fre-FR/arrivee-et-depart-du-panther-de-la-36f-c-marine-nationale.jpg

Arrivée et départ du Panther de la 36F

 

27/02/2013 Sources Marine nationale

 

Tous les ans, l’hélicoptère Panther affecté au détachement 36F en Martinique est remplacé par un nouvel appareil. Cette substitution permet de répartir la charge de l’activité entre les différents Panther appartenant à la 36F.

 

Le 11 février 2013, après une préparation minutieuse, le Panther a été confié à un Hercules C130 de l’armée belge, pour le ramener en métropole dans le cadre d’un accord de transport européen. Le C130 était arrivé en Martinique quelques jours plus tôt avec le nouvel hélicoptère. Dès lors que l’hélicoptère arrive de métropole, quatre jours sont nécessaires pour suivre le bon déroulement de l’échange et la remise en état de vol de la nouvelle machine.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-au-fil-de-l-eau/le-panther-de-la-36f-a-l-interieur-du-c130-de-l-armee-de-l-air-belge-c-marine-nationale/2203027-1-fre-FR/le-panther-de-la-36f-a-l-interieur-du-c130-de-l-armee-de-l-air-belge-c-marine-nationale.jpg

Le Panther de la 36F à l'intérieur du C130 de l'armée de l'air belge

 

Cette opération nécessite une préparation minutieuse, répartie sur plusieurs jours. Des techniciens assistent le détachement dans la préparation de la machine quittant la Martinique. Plusieurs éléments sont démontés pour permettre le transport par voie aérienne, parmi lesquels la tête rotor, les pales et une partie des dérives.

 

Le détachement 36Fde Martinique est attaché à la frégate Ventôse, il embarque à bord dès que celle-ci prend la mer.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-au-fil-de-l-eau/preparation-du-depart-du-panther-de-la-36f-c-marine-nationale/2203032-1-fre-FR/preparation-du-depart-du-panther-de-la-36f-c-marine-nationale.jpg

Préparation du départ du Panther de la 36F

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 21:55

http://www.meretmarine.com/objets/500/18964.jpg

 

23/06/2011 DGA

 

La Direction générale de l’armement (DGA) vient de livrer le premier hélicoptère Panther « standard 2 » à la Marine nationale le 31 mai 2011. L’ensemble de la flotte Panther, soit 16 hélicoptères, sera aux normes de ce nouveau standard à l’horizon 2016.

 

Cette nouvelle version améliore l’interopérabilité OTAN de l’hélicoptère grâce à l’intégration de la liaison de données L11. L’avionique a également été totalement modernisée et mise en conformité OACI (Organisation de l’aviation civile internationale) : intégration d’écrans de navigation et d’un écran de mission sur la planche de bord, sécurisation des communications radios, installation d’un GPS, d’un répondeur mode S. Ces hélicoptères seront aussi équipés d’une caméra capable de filmer de jour comme de nuit.

 

La DGA a notifié un contrat d’un montant de 54 M€ à Eurocopter en janvier 2007  et un autre de 7 M€ au Service industriel de l’aéronautique (SIAé) en mai 2007. Au titre de ce contrat, le SIAé est en charge du développement et de la fourniture des consoles tactiques qui viendront compléter ce nouveau standard.

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 12:25
Les Bulgares achèteront bien les hélicoptères Panther… sans enthousiasme

Un hélicoptère Panther déployé à bord de la Marine française

(crédit : Ministère français de la Défense / Sirpa Marine)

 

9 juin 2011 par Nicolas Gros-Verheyde(BRUXELLES2)

 

Le ministère de la défense bulgare devrait, finalement, confirmer l’achat de 6 hélicoptères supplémentaires à Europcopter. Un peu à contre-coeur… Il avait passé un contrat de 18 dont 12 Cougars ont déjà été livrés à la Bulgarie et 6 hélicoptères Panther Marine restaient encore à livrer. Il souhaitait renoncer à la commande de trois de ces six hélicoptères restants ; pour cause d’économie budgétaire. Eurocopter a utilisé des arguments … solides, menaçant d’exiger le versement d’un important dédit. Le ministre de la Défense, Aniou Anguélov, s’est donc rangé à la raison, expliquant début juin, comme comme le raporte le quotidien national Sega, « qu’il est important de finaliser les négociations relatives à ce contrat, celles-ci étant toujours en cours ». Dernier point de la négociation entre les Bulgares et le constructeur franco-européen : la demande bulgare de renforcer la protection des Cougars, en installant un système de protection anti-munitions développé par l’Académie des sciences bulgares.

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 12:30
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