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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 11:50
L'École Royale Militaire et Schaffen aux couleurs néerlandaises

4 juin 2014 Belgian Defense

 

Ce lundi 2 juin 2014, le ministre de la Défense Pieter De Crem a accueilli son homologue néerlandais, la ministre Jeanine Hennis-Plasschaert. La visite ministérielle a débuté par les bâtiments de l'École Royale Militaire pour se diriger ensuite vers le centre parachutiste de Schaffen.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:50
Poelkapelle - photo MIL.be

Poelkapelle - photo MIL.be

 

25 Avril 2014 internet@lesoir.be (LeSoir, AFP, AP, Belga)

 

Le Conseil des ministres a donné vendredi son accord sur le lancement d’une procédure de marché public pour l’acquisition d’une installation pour la destruction de projectiles toxiques, destinée à remplacer celle de Poelkapelle (Flandre occidentale), à l’arrêt depuis l’été 2012. Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, a été autorisé à lancer la procédure pour l’acquisition de cette installation, sa construction, sa mise en service et son entretien, a précisé son cabinet à l’agence BELGA. Aucun montant n’a été mentionné. M. De Crem a assuré début avril en commission de la défense de la Chambre que cette procédure démarrerait «encore pendant cette législature» (qui se termine le 25 mai par les élections législatives). Elle doit durer au total près de 33 mois. Les paiements, à charge du ministère de la Défense qui gère l’installation de Poelkapelle, n’interviendront qu’en 2015 et 2016, avait expliqué M. De Crem. La destruction des munitions toxiques datant de la Première Guerre mondiale devrait dès lors reprendre en 2016, quand la capacité de stockage à Poelkapelle aura atteint son maximum, avait assuré le ministre.

 

L’installation de démantèlement des armes chimiques est gérée par le Service d’Enlèvement et de Destruction d’Engins explosifs (SEDEE) de l’armée. Elle est à l’arrêt depuis l’explosion accidentelle d’un obus chimique, en août 2012. Depuis lors, quelque 3.200 projectiles toxiques s’accumulent dans les installations du service de déminage. Selon la Défense, le coût d’une nouvelle installation s’élève à environ douze millions d’euros. Entre 2007 et 2011, plus de 5.500 munitions toxiques datant de la Première Guerre mondiale ont été détruites à Poelkapelle.

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 11:50
photo GMP

photo GMP

Pieter de Crem, ministre de la défense: " La politique du gouvernement belge est celle de la loyauté et de la fiabilité dans les engagements internationaux"

 

3 avril 2014 par Henri Weill Ainsi va le monde !

 

Pieter de Crem est depuis décembre 2007, le ministre de la défense belge. Il est également vice-Premier ministre, depuis mars 2013. Chrétien-démocrate, ce flamand polyglotte (il parle couramment sept langues) a accepté dans cette interview à Ainsi va le monde de balayer l’actualité. M. de Crem, qui apparaissait jusqu'à vendredi dernier comme un successeur possible au secrétaire général de l’OTAN, plaide dans cet entretien pour un nécessaire soutien économique de l’Union européenne à l’Ukraine, évoque les sanctions éventuelles contre la Russie en cas « d’ escalade ultérieure », explique les relations militaires belgo-françaises notamment au Mali et en Centrafrique et annonce la participation de François Hollande au centenaire de la bataille de Liège, le 4 août prochain.

 

Q : Les Européens ne mourront jamais pour l’Ukraine ?

P.de Crem : La Belgique a toujours tenu à défendre les valeurs de respect de la souveraineté nationale et de l’inviolabilité des frontières d’un Etat. Nous  condamnons dès lors l’annexion de la Crimée par la Russie. La Belgique a également toujours défendu la nécessité de respecter le droit international. Et privilégie aussi, en toute circonstance, la négociation. Si malgré tout l’emploi à la force devenait nécessaire, qu’elle le soit en tout dernier recours et après l’épuisement de tous les autres moyens pacifiques destinés à mettre fin à un conflit. L’important à ce stade est de rester engagé dans la crise ukrainienne, en soutenant tout d’abord l’Ukraine économiquement par l’intermédiaire de l’UE, en amenant la Russie à la table des négociations, en augmentant la pression sur celle-ci et en faisant jouer à l’OTAN pleinement son rôle, en veillant à la protection des Alliés.

 

Suite de linterview

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:50
European Defence Matters: Speech by Pieter de Crem


Brussels - 27 March, 2014 European Defence Agency
 

Pieter de Crem - Belgian Deputy Prime Minister and Minister of Defence - outlined his commitment to a more systematic and long term approach to European Defence cooperation, in his speech at the EDA Annual Conference today.

 

He called for a "reinvigorated and strong European vision" of what role the EU wanted to assume in foreign policy and a commitment to pursue the military capabilities needed to underpin it.

 

The full text of his speech can be found here.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:45
Pas de participation belge en Centrafrique "sans financement supplémentaire"

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03 février 2014 lalibre.be(Belga)

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, a exclu lundi toute participation significative de l'armée belge à l'opération militaire européenne en préparation en Centrafique à moins d'un financement spécifique, soit national, soit européen. "Il est pour nous impossible de participer d'une manière considérable à toute opération (en République centrafricaine) s'il n'y a pas une contre-valeur financière", a-t-il dit devant les chefs de postes diplomatiques et consulaires belges à l'étranger, réunis à Bruxelles pour les "journées de contact diplomatiques" organisées par les Affaires étrangères.

 

"Je pense que l'on devrait avoir quelques garanties sur le financement" pour une participation éventuelle, a ajouté M. De Crem (CD&V).

 

La Défense a fait, comme d'autres départements, l'objet en fin d'année dernière d'une réduction de ses possibilités d'investissements - une centaine de millions d'euros - au nom de la "prudence budgétaire" décidée par le gouvernement.

 

Les membres de l'Union européenne, qui ont décidé le 20 janvier dernier de lancer une opération militaire en République centrafricaine (RCA), doivent prêter main forte aux 4.000 militaires africains de la force de l'Union africaine (Misca, censée passer à 6.000 hommes) et aux 1.600 soldats français de l'opération Sangaris.

 

Cette opération, baptisée Eufor RCA, vise, selon l'UE, à contribuer, pour une période pouvant aller jusqu'à six mois, à fournir un environnement sûr et sécurisé dans la région de Bangui, l'objectif étant de passer à terme le relais à l'Union africaine (UA). Elle a reçu l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU et devrait rassembler de 500 à 1.000 hommes, selon de premières estimations.

 

M. De Crem a rappelé lundi que la Belgique avait déjà mis un avion de transport C-130 "Hercules" à la disposition de l'opération française Sangaris en répondant positivement à une demande bilatérale spécifique de Paris datant de décembre dernier. Cet appareil vole depuis le 21 janvier au profit de l'armée française au départ de Libreville, la capitale du Gabon voisin.

 

Cet appareil est mis en œuvre par une équipe de quelque 35 militaires pour assurer des liaisons internes au théâtre d'opération africain, à la fois entre Libreville et Bangui et à l'intérieur de la Centrafrique. Il a pour mission de transporter du matériel français et africain de la mission de l'Union africaine en Centrafrique (Misca) entre les capitales concernées et Bangui.

 

Selon des sources informées, la question d'une participation belge à l'opération Eufor-RCA devrait être évoquée lors de la visite que le roi Philippe et la reine Mathilde effectueront jeudi en France, en compagnie du Premier ministre Elio Di Rupo. Le président français François Hollande devrait en parler avec le chef du gouvernement, a prédit une de ces sources.

 

Au prochain gouvernement de décider du maintien de la présence en Afghanistan

 

La décision de participer à une - toujours éventuelle - mission de formation de l'Otan en Afghanistan à partir de l'an prochain incombera au gouvernement qui sortira des élections générales du 25 mai, a affirmé lundi le ministre de la Défense, Pieter De Crem. "C'est le prochain gouvernement qui décidera sur une participation" belge à cette mission et sur les conditions dans lesquelles" la Belgique participera à cette opération de formation, de conseil et d'aide" aux forces de sécurité nationales afghanes (ANSF) - provisoirement baptisée "Resolute Support" ("Soutien résolu") -, a-t-il dit devant les chefs de postes diplomatiques et consulaires belges à l'étranger, réunis à Bruxelles pour les "journées de contact diplomatiques" organisées par les Affaires étrangères.

 

La Belgique participe depuis plus de dix ans aux opérations militaires en Afghanistan, menées sous l'égide de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan). Les effectifs engagés n'ont cessé de varier, passant de quelques dizaines d'hommes à plus de 600, à l'instigation de M. De Crem (CD&V), avant de se réduire à quelque 200 personnes actuellement.

 

La mission de combat de l'Isaf doit prendre fin en décembre prochain. Mais l'Otan prépare une mission de suivi, chargée de "la formation, du conseil et de l'aide" aux forces de sécurité nationales afghanes (ANSF), encore sous-équipées et peu organisées. Pour peu toutefois que les autorités afghanes acceptent de donner à cette présence internationale une base légale en signant le traité bilatéral de sécurité (BSA) conclu entre Kaboul et les Etats-Unis et en approuvant l'accord régissant la présence de troupes étrangères connu sous le nom de Sofa ("Status of Forces Agreement").

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 12:50
M. De Crem en catimini à Washington pour parler des relations transatlantiques

06 novembre 2013 lavenir.net  (Belga)

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, effectue depuis lundi en toute discrétion une visite - non annoncée au préalable - aux Etats-Unis pour mener notamment des discussions avec l'administration du président Barack Obama alors que débute la course à la succession du Danois Fogh Anders Rasmussen à la tête de l'Otan, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

 

M. De Crem a notamment rencontré mardi à Washington son homologue américain, Chuck Hagel, qui a "salué le rôle majeur joué par la Belgique" en faveur des efforts en matière de sécurité dans plusieurs parties du monde, selon le porte-parole du Pentagone, George Little. Selon lui, la Belgique s'est notamment engagée à (continuer à) entraîner les forces de sécurité afghanes au-delà de (fin) 2014, la date prévue pour la fin de la mission de combat de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan) en Afghanistan. "Le secrétaire (à la Défense) Hagel a remercié M. De Crem pour son soutien inébranlable aux questions de sécurité", a ajouté M. Little. Les deux ministres "ont exprimé leur engagement à maintenir la relation étroite en matière de défense partagée par les Etats-Unis et la Belgique", a souligné le porte-parole du Pentagone.

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