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17/04/2015 Gabriel Boyer - armée de Terre
Engagée à Meyenheim du 25 mars au 1er avril 2015, une section du 13e régiment du génie a construit un checkpoint d’instruction au profit du régiment de marche du Tchad (RMT).
Disposant d’une pelle de 5 tonnes et de livraisons de matériaux par des entreprises civiles, les jeunes sapeurs ont commencé par retirer les « infrastructures » existantes et appris à traiter avec différentes entités comme ils pourraient le faire en opération. Les premiers bastion-walls* ont ensuite été dressés et l’emplacement pour un VBCI achevé. Afin de répondre à toutes les exigences de sûreté d’un checkpoint infanterie, ils ont bâti un poste de combat prévu pour accueillir une arme collective. Ce poste doit être capable d’arrêter des tirs directs ainsi que des éclats d’obus de 155mm éclatant à 3 mètres. Enfin, un poste de tireur de précision a été ajouté pour compléter ce système de défense.
En plus du travail sur l’organisation du terrain, la collaboration avec le RMT a ouvert les jeunes sapeurs sur d’autres régiments de la 2e brigade blindée qu’ils retrouveront en opérations et en exercice.
Bastion-walls : Cube de gravats pour fortification de camp militaire.
02/04/2015 Camille Pegol – Armée de Terre
22 décorations, dont 16 médailles de la valeur militaire, ont été remises aux marsouins du régiment de marche du Tchad (RMT) pour leurs actions de feu lors des opérations Sangaris et Serval en 2014.
Les décorations pour Sangaris concernent notamment les combats de Bossembélé, Yoro-mina, Békadili et en particulier ceux du 5 mai à Boguila, où les éléments de la 4e compagnie du RMT ont lutté pendant plusieurs heures contre un assaillant lourdement armé et déterminé. Les décorations pour le Mali récompensent quant à elles des actions menées suite à des attaques par mine et véhicule suicide.
D’autres marsouins du RMT, actuellement déployés dans l’opération Sentinelle, doivent encore recevoir des décorations pour ces deux opérations.
L’adjudant-chef Christophe Bottino a également reçu à cette occasion la médaille de l’ordre national du mérite au grade de chevalier.
Cette remise de décoration s’est déroulée lors de la cérémonie de commémoration du 74e anniversaire des combats de Koufra, au quartier Colonel Dio du RMT, le 26 mars 2015.
14/01/2015 Camille Pégol - Armée de Terre
Du 1er au 12 décembre, le centre d’entraînement au tir interarmes (CETIA) de Suippes a organisé une rotation au profit du 501e régiment de chars de combat (501e RCC) qui a mis en œuvre un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) à dominante blindée (XL).
Dans le cadre de l’expérimentation du complexe de tir Symphonie, le 501e RCC a été désigné « corps leader » pour l’organisation d’une rotation à dominante blindée. L’ossature principale du SGTIA XL était armée par le 4e escadron de chars Leclerc. Le renfort infanterie était assuré par le régiment de marche du Tchad (RMT). Le soutien artillerie provenait du 40e régiment d’artillerie (40e RA).
La rotation s’est déroulée en deux phases : une semaine d'apprentissage et d'entraînement et une semaine d'évaluation opérationnelle.
01/10/2014 Sources : Etat-major des Armées
Le 21 septembre 2014, le colonel Ivan Martin, chef de corps du 35e régiment d’infanterie (35eRI), a succédé au colonel Philippe de Maleissye à la tête du GTD Ouest, principal élément de la force Barkhane sur le fuseau Ouest. Sur la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao, la cérémonie de transfert d’autorité a officiellement marqué la relève du groupement tactique (GT) Dio,armé par le régiment de marche du Tchad (RMT), par le GT As de Trèfle, en référence au 35e RI.
Entre mai et septembre 2014, le GT Dio aura mené plus de 650 missions, 50 opérations, dont 10 opérations majeures, nécessitant d’importants déploiements de force. Le GT Dio s’est notamment déployé le long de la frontière mauritanienne pour une opération tripartite effectuée début août. En septembre, le GT Dio a réalisé une autre opération tripartite de grande envergure avec la MINUSMA et les forces armées maliennes (FAMa) dans le nord du Tigharghar. Cette opération a nécessité le déploiement de plus de 400 soldats français et de 90 véhicules.
Ce mandat aura été marqué par la gestion du crash de l’avion d’Air Algérie le 24 juillet. En coopération avec les FAMa et la MINUSMA, la force a contribué à localiser l’épave, à sécuriser la zone du crash et à appuyer les enquêteurs en mettant à leur disposition des moyens logistiques. Enfin, le mandat du GT Dio aura été endeuillé par la mort du major Devjid Nikolic, tué dans l’attaque d’un véhicule suicide le 14 juillet.
Fort de près de 600 soldats, le GT As de Trèfle se compose d’une compagnie d’infanterie (35eRI), d’un escadron d’aide à l’engagement (1erRCH), d’une compagnie de commandement et de logistique (35eRI), d’un sous-groupement aéromobile (SGAM - 5eRHC), et d’une section du génie (19eRG). Il comprend également cinq détachements de liaison et d’appui opérationnels (DLAO), répartis sur le territoire en fonction d’une logique géographique auprès de la MINUSMA et des FAMa. Au cours du mandat du GT As de Trèfle, l’un de ces DLAO basculera du Mali vers le fuseau Est.
Lancée le 1er août, l’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste d’une part à appuyer les forces armées des pays partenaires de la BSS dans leurs actions de lutte contre les groupes armés terroristes, et d’autre part, à contribuer à empêcher la reconstitution de sanctuaires terroristes dans la région.
25/09/2014 Sources : Etat-major des Armées
La force Barkhane compte 3 000 hommes.
Au Mali, la MINUSMA (ONU) compte plus de 8 000 hommes.
Cette semaine, la situation sécuritaire a été marquée par la reprise des actions de harcèlement par les groupes armés terroristes dans le nord du Mali.
La semaine a également vu la relève des militaires français du « fuseau Ouest » qui constitue une première étape dans la relève de la force Barkhane. Le 21 septembre, le groupement tactique du fuseau Ouest, basé à Gao, a ainsi été relevé après quatre mois de mission. Le colonel Ivan Martin du 35e régiment d’infanterie (35eRI) de Belfort succède au colonel Aymeric de Maleissye du régiment de marche du Tchad (RMT) de Meyenheim.
Focus emprise de Gao
La plateforme militaire de Gao, appelée « plateforme opérationnelle Désert » (PfOD), est située sur l’ancien aéroport de Gao et sur une ancienne base aérienne des FAMa. Cette emprise a servi de plateforme logistique et de base opérationnelle avancée durant l’opération Serval.
Depuis le 1eraoût 2014, la PfOD est le point d’appui permanent de la force Barkhane pour le « fuseau Ouest ». Elle accueille le groupement tactique du « fuseau Ouest », des militaires du bataillon logistique et divers détachements d’appui et de soutien. Ces unités remplissent les missions de la force Barkhane dans l’ensemble du « fuseau Ouest ». Elles sont pour cela dotées de près de 150 véhicules blindés, d’une centaine de véhicules logistiques, de 13 hélicoptères et d’un avion de transport de type CASA Nurse.
2 septembre 2014 à 6h20, dans la région d’Aguelhoc, au Sud du Tigharghar, au Nord-Mali, le commandant du Groupement Tactique Désert (GTD) étudie avec son chef d’opération les itinéraires possibles pour rejoindre la base opérationnelle avancée (BOA), afin de lancer une opération de reconnaissance
28/05/2014 Sources : EMA
Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 65 sorties, dont une quarantaine dédiées aux missions de transport. Une dizaine de sorties ont été réalisées par les avions de chasse et une quinzaine de sorties ont été dédiées aux missions de renseignement et de ravitaillement.
A Kidal, la journée du 21 mai a été marquée par des combats entre des unités des forces armées maliennes (FAMa) et les groupes armés touaregs.
Pour les forces françaises, ces évènements ont conduit au report de la bascule du PC de Serval vers N’Djamena. Par ailleurs, afin de faciliter les actions de relève de la force Serval qui étaient en cours, un détachement de la force Licorne en provenance d’Abidjan a été déployé au Mali.
La relève entre les mandats Serval 3 et Serval 4 s’est effectuée conformément à la planification le 26 mai. Le GT-Vercors, armé par la 27e Brigade d’Infanterie de Montagne, a cédé la place à Gao au nouveau GT-DIO, armé principalement par la 2e Brigade Blindée.
Le GT-DIO tire son nom du Général Louis Dio qui a été le 1er chef de corps du Régiment de marche du Tchad, créé en 1943. Il était présent sur les rangs lors du serment de Koufra prononcé par le Maréchal Leclerc.
Le 7e BCA et le 4e RCH, qui armaient les compagnies de combat du GT Vercors, ont été respectivement relevées par le RMT et le 12e RC.
Les cinq DLAO ont eux aussi effectué leur relève sur leur site respectif : à Tessalit, le DLAO 1 armé par la 27e BIM a été relevé par le 40e RA, et le DLAO 5 armé par le CPA a été relevé par le CPA 30 et des renforts ; à Kidal, le DLAO 2 armé par GCM de la 27e BIM a été relevé par le 1er RI ; à Ansongo le DLAO 3 armé par la 27e BIM a été relevé par le 1er REC ; enfin à Tombouctou le DLAO 4 armé par le 1er RA et le 4e RD a été relevé par le 16e BC.
Les éléments d’appui ont également été relevés. Le 2e REG a ainsi cédé sa place au 13e RG.
Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent la mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.
06.05.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale
Des éléments du GTIA Dragon de la force Sangaris, progressant sur la RN1, l'axe majeur entre le Cameroun et Bangui, ont été accrochés lundi 5 mai par une colonne adverse à hauteur de la localité de Boguila à 450 km au nord-ouest de la capitale (photo de l'accrochage, ministère de la Défense). Pas de blessé du côté français qui a dû riposter sévèrement, au missile MILAN et au mortier de 81 mm, pour disperser cette bande d'une quarantaine d'hommes lourdement armée qu'on soupçonne de perpétrer des exactions et des pillages depuis une dizaine de jours dans la région.
Le GTIA (groupement tactique interarmes) Dragon est installé à Bossangoa au nord-ouest de la Centrafrique depuis quelques semaines, remplaçant les troupes tchadiennes de la MISCA parties le 10 avril. C'est un axe stratégique, la RN1, Main Supply Road, la route principale d'approvisionnement entre le Cameroun et Bangui tout au sud de la Centrafrique.
La patrouille du GTIA Dragon, armé à Bossangoa par le RMT (régiment de marche du Tchad) de Meyenheim (deux sections d'infanterie) et le 12e RC (cuirassiers) d'Olivet (l'état-major tactique et un peloton blindé), tentait de prendre contact avec un détachement camerounais de la MISCA, en position à Paoua au nord de la Centrafrique, quand un renseignement fit état de la progression rapide d'une colonne d'une quarantaine d'adversaires, composée de pick-up et de motos. Le détachement Sangaris se déploya pour protéger le village et barrer la route à cette bande " lourdement armée, avec de l'armement de combat, pas ancestral ", souligne le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l'état-major des armées.
" Nos adversaires ont immédiatement engagé le combat, visiblement décidés à s'emparer de la position ", constate le colonel Jaron. Le contact, établi après 16 h, dura pendant trois heures jusqu'à la nuit. Les soldats de Sangaris ont fait usage de missiles MILAN et Eryx (antichars) et de mortiers de 81 mm. Une patrouille d'avions de chasse, venant de N'Djamena, a apporté son concours. Saluons au passage le travail du photographe et militaire anonyme.
Les combats ont cessé avec la nuit. Les adversaires en profitant pour s'enfuir de la zone. Pas de bilan précis officiel pour l'heure. " On pense avoir détruit une partie de la colonne adverse ", commente-t-on. Détruire signifiant à la fois : tuer, blesser ou anéantir des véhicules.
Ce " TIC " (troops in contact) est assez notable. Depuis décembre, Sangaris a plutôt eu affaire, dans Bangui et ailleurs à des contacts sporadiques, voire individuels. Là, il s'agissait d'une quarantaine d'hommes entrant résolument dans une logique de combat. Une affaire sérieuse à surveiller de près.
Une manœuvre interne à la force (pas de détails opérationnels donc) a actuellement lieu pour sécuriser la zone et rétablir la sécurité. L'hôpital de Boguila avait été ainsi attaqué le 26 avril par d'anciens de la Séléka. Seize personnes avaient été tuées, dont trois membres de l'ONG Médecins sans frontières qui s'est retirée de la RCA depuis.
Dernière étape avant le départ / Crédits : Armée de Terre
21/03/2014 J. SEVERIN
Les marsouins de la 2e compagnie du régiment de marche du Tchad effectuent leurs derniers exercices dans le sud de Colmar, avant leur projection au Mali, fin mai 2014.
Trois jours sur le terrain pour mettre les militaires en condition, avant leur projection sur le théâtre d’opération. Un entraînement intensif pour travailler la reconnaissance, le contrôle de zone et le combat en milieu urbain. Une dernière étape, indispensable, pour valider l’ensemble des acquis et s’assurer de la préparation optimale de l’ensemble de la compagnie.
21/02/2014 Sources : EMA
Les 14 et 15 février 2014, se sont déroulés la passation de commandement du groupement terre de l’opération Epervier à N’Djamena et le transfert d’autorité du commandement du détachement stationné à Faya-Largeau.
Le 14 février, à N’Djamena, le colonel Damien Wallaert, chef de corps du 12erégiment de Cuirassiers d’Olivet a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au lieutenant-colonel Guillaume Ponchin, chef de corps du 126e régiment d’infanterie de Brive la Gaillarde. La cérémonie s’est déroulée sous la présidence du colonel Paul Peugnet, commandant de la force Epervier (COMANFOR Epervier), en présence de l’attaché de défense, le colonel Michel de Mesmay.
Le groupement Terre est composé d’un escadron blindé armé par le 1er escadron du 12ème Régiment de Cuirassiers, une compagnie d’infanterie du Régiment de Marche du Tchad de Mayenheim en poste à N’Djaména, et une unité élémentaire de protection terrestre à capacité mortier armée par le 40ème Régiment d’Artillerie de Suippes, positionnée à Abéché. En parallèle, une quinzaine de militaires travaillent au profit de la base de soutien (BSVIA).
Le groupement Terre arme plus d’un tiers de l’effectif du dispositif Epervier. Avec le groupement Air et la base de soutien à vocation interarmées (BSVIA), il assure deux missions permanentes : conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, il apporte un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes et, par ailleurs, il assure la protection des intérêts français (tout particulièrement la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad), et
Le 15 février à Faya-Largeau, le commandant Maufroid a pris le commandement du détachement, succédant ainsi au commandant Argans. La cérémonie, présidée par le colonel Colinet, adjoint soutien interarmées (ASIA) de la Force Epervier s’est déroulée en présence de nombreuses autorités civiles et militaires tchadiennes et françaises. Le commandant du détachement (COMDET) exerce le commandement tactique sur le personnel et les matériels positionnés à Faya Largeau et les renforts éventuels mis en place. Il est également le représentant du COMANFOR auprès des autorités locales de Faya Largeau.
27/01/2014 ASP M. FOUQUET - Armée de Terre
Le régiment de marche du Tchad (RMT) a effectué, du 07 au 17 janvier 2014, sa mise en condition avant projection (MCP) au camp de Valdahon, en vue de son départ pour le Mali, à la fin du mois de mai.
«C’est une bonne remise en question et une bonne préparation : ça fait plaisir de quitter le bureau, l’ordinateur et sa souris, pour retourner sur le terrain et renforcer la cohésion avec ceux qui nous accompagneront sur place », se réjouit l’ADC Chupeau, chef de la section ravitaillement-transport du RMT.
Au programme, aguerrissement (marches, techniques d’intervention opérationnelle rapprochée, combat au corps à corps), validation des acquis individuels dans le domaine du tir, combat en zone urbaine, procédures d’intervention sur engins explosifs improvisés (EEI), et révision des savoir-faire en secourisme au combat. « Ça nous permet de vraiment nous remettre dans le bain depuis notre dernière OPEX, de recadrer notre façon de travailler et de retrouver les bons réflexes », reconnaît le CPL Galmiche de la 2ecompagnie de combat.
Durant cette mise en condition, l’escadron d’éclairage et d’investigation de la 2e brigade blindée EEI 2, une section de combat et une équipe de démineurs du 13e régiment du génie qui armeront, avec le RMT, le GTIA Dio, étaient également présents pour amorcer le travail interarmes avec les compagnies d’infanterie.
16/12/2013 Ministère de la Défense
Commandos parachutistes, stage de survie, pompiers de Paris… Retrouvez l’intégralité du magazine TV « Journal de la Défense, mission défense » sur votre site internet. Ce journal tout en images inédites propose des reportages en immersion au sein des forces armées.
Au programme de ce numéro 86 de décembre 2013 :
Pour ce numéro, l’équipe s’est rendue en Alsace, à Meyenheim. Elle a rejoint le régiment de marche du Tchad pendant un exercice de terrain de grande envergure. Ce sont 700 militaires et 100 véhicules qui sont déployés pendant 4 jours et 4 nuits sur une quinzaine de communes.
29/11/2013 defense.gouv.fr
Du 5 au 10 novembre, le régiment de marche du Tchad (RMT) a effectué un exercice de grande ampleur en terrain libre pour marquer les 70 ans de sa création : le « Serment de Koufra ». 700 soldats et 100 véhicules ont été déployés pendant quatre jours et quatre nuits.
Reportage photos
Débarquement du VBCI pour les marsouins du régiment de marche du Tchad pendant l'exercice ''Serment de Koufra''. Crédits : SIRPATerre
20/11/2013 Armée de Terre
« Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront à nouveau sur la cathédrale de Strasbourg ». Koufra, 1941
Le régiment de marche du Tchad (RMT), régiment du serment, célèbre le 70e anniversaire de sa création autour d’un exercice grandeur nature baptisé « Serment de Koufra ». Début novembre, entre Colmar et Mulhouse, 500 militaires, près de 60 véhicules et des hélicoptères de combat ont ainsi été mobilisés pour cet entrainement grandeur nature. Génie, artillerie, transmissions, blindés, hélicoptères et marsouins étaient sur les rangs pour conduire avec efficacité cette manœuvre en terrain libre. La preuve en image.