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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 07:20
a GBU-38 JDAM explodes in Iraq

a GBU-38 JDAM explodes in Iraq

 

Oct 13, 2014 by James Drew - war-is-boring

 

New munitions rain down iron fragments

 

The U.S. Air Force is developing a terrifying new weapon to replace cluster bombs. Instead of scattering thousands of tiny bomblets over a target, the service plans to rain down iron fragments … to essentially achieve the same effect. During the opening phase of Operation Iraqi Freedom in 2003, the United States and coalition forces dropped thousands of cluster bombs on targets including missile and radar sites, Iraqi aircraft, armored vehicles, artillery batteries and troops. While effective, the cluster bombs often left behind thousands unexploded bomblets that killed many civilians. Responding to international pressure, in 2008 then-Secretary of Defense Robert Gates ordered the services to phase out the procurement of cluster bombs—and stop using them completely after 2018.

 

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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 18:20
la cybersurveillance de la NSA - infographie LeMonde.fr

la cybersurveillance de la NSA - infographie LeMonde.fr

 

24/05/2014  Par

 

L'affaire des écoutes de la NSA, révélée par Edward Snowden, l'a prouvé, les Américains n'hésitent pas à écouter le reste de la planète, y compris des dirigeants comme Angela Merkel. Qu'ils soient eux-même espionnés, en revanche, ne leur fait pas vraiment plaisir.



Mercredi, l'ancien secrétaire à la Défense de George W. Bush et Barack Obama, Robert Gates, a tenu une conférence à New York pour expliquer que les États-Unis devaient se méfier de leur partenaires économiques. La Chine n'est pas le seul pays à en vouloir aux intérêts américains, "il y a probablement une douzaine ou quinzaine de pays qui volent notre technologie", a assuré Robert Gates.
Et, juste après les Chinois, les pires espions, selon l'ancien ministre, sont les Français, rapporte The Diplomat. "Et ils espionnent depuis longtemps", affirme Robert Gates, qui fait apparaître le phénomène sous Louis XIV. Selon lui, les services de renseignement français ont l'habitude de s'introduire dans les chambres d'hôtel des dirigeants américains pour télécharger les contenus des ordinateurs portables. 

L'ex-secrétaire à la Défense assure que les États-Unis n'ont eux jamais eu recours à l'espionnage industriel.

Note RP Défense : pour "une" partie émergée de l'iceberg, à lire Comment la CIA déstabilise les entreprises françaises et relire le rapport ci-dessous.

 

 

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 20:20
La France deuxième cyber-ennemi des Etats-Unis ?

 

23/05/14 par Laurent Cointot - 01net

 

Les espions français seraient ceux qui dérobent le plus de technologies aux Etats-Unis juste après les Chinois, selon l’ancien secrétaire à la Défense d’Obama, Robert Gates.

 
L’ancien secrétaire à la Défense des Etats-Unis, Robert Gates, n’y va pas par quatre chemins. «Il y a probablement une quinzaine de pays qui volent notre technologie… Et les plus capables après les chinois, ce sont les Français. Et ils le font depuis longtemps.» Dans le cadre d’une interview organisée par le conseil des Relations Etrangères à New-York mercredi dernier, Gates a accablé un des plus proches alliés de l’Amérique : la France. Un discours qui intervient 4 jours après l'inculpation de cinq officiers chinois par la justice américaine pour cyber-espionnage. Robert Gates n’est pas un nouveau venu dans le petit monde du renseignement. Sous le premier mandat de George.W Bush, il était aux commandes de la prestigieuse CIA.

Entrées par effraction

 

Au cours de cet entretien, qui a été diffusé sur la chaîne HBO, il détaille ses dires par un exemple pratique. Ainsi, lorsqu’il s’adresse à des businessmen, il leur demande souvent : « Combien d’entre vous vont à Paris pour affaires ? » La plupart des gens de l’assistance lèvent la main. « Combien d’entre vous emporte leur ordinateur portable ? ». Même réponse positive. « Combien d’entre vous prenne leur ordinateur portable pour diner ? » Et là, peu de personnes acquiescent.
« Pendant des années, précise Gates, les services de renseignement français sont entrés par effraction dans les chambres d’hôtel d’hommes d’affaires pour télécharger les informations sensibles de leurs ordinateurs portables… quand cela pouvait intéresser la France ou les entreprises françaises ». Pas moins !
Et Robert Gates enfonce le clou en affirmant : « la France est pays mercantile. Le gouvernement et les entreprises avancent main dans la main et ce depuis Louis XIV. » L’ancien secrétaire à la défense conclut ses invectives par une pique sur la Chine : « les Chinois ont probablement le système le plus répandu de collecte contre nous parmi tous les pays au monde, mais je pense qu’il est important de se rappeler qu’ils ne sont pas les seuls. »
Après les innombrables révélations d’Edward Snowden sur les intrusions de la NSA vis-à-vis des partenaires économiques des Etats-Unis, ce genre de discours peut paraitre déplacé. Même si les pratiques dénoncées demeurent courantes dans le monde des affaires.

Difficile à croire !

 

Mais le plus amusant, c’est que l’ancien secrétaire à la Défense ne s’arrête pas à incriminer les autres pays, il essaye de dédouaner ses propres services. Il est vrai que l’administration Obama a soutenu à plusieurs reprises que, s’il est tout à fait légitime pour les pays à utiliser l’espionnage à des fins diplomatiques et de sécurité, l’utilisation de services de renseignements nationaux pour donner un avantage aux entreprises nationales est déloyal. Et robert Gates d’enchainer, « même s’il est difficile de croire cela, le gouvernement américain ne fait pas ce genre de choses… Nous sommes presque les seuls au monde à ne pas utiliser nos services de renseignement pour apporter un avantage concurrentiel à nos entreprises. » Effectivement, c’est difficile à croire ! Cet ex-directeur de la Cia, ex-secrétaire à la Défense est devenu hier, jeudi 22 mai, président des Boy Scouts of America. Une façon pour lui de tourner la page ?
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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:35
Afghanistan: Obama ne croyait plus dans sa propre stratégie

 

08 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - L'ancien secrétaire américain à la Défense Robert Gates critique vivement la conduite de la guerre en Afghanistan par l'administration de Barack Obama dans ses mémoires, affirmant que le président lui-même ne croyait plus dans sa propre politique.

 

Dans ses mémoires intitulées Duty: Memoirs of a Secretary at War (non traduit) à paraître le 14 janvier et dont le New York Times et le Washington Post ont publié des extraits mardi, l'ancien chef du Pentagone (2006-2011) sous les présidents George W. Bush et Barack Obama ne ménage pas ses piques.

 

Il décrit notamment une réunion en mars 2011 au cours de laquelle le président démocrate semble ne plus croire dans la stratégie qu'il a décidée 18 mois plus tôt, en envoyant 30.000 hommes supplémentaires, et exprime ses doutes sur les capacités du général David Petraeus, le commandant des forces en Afghanistan.

 

J'étais assis là, je me suis dit: le président ne fait pas confiance à son commandant (militaire), ne peut pas supporter (le président afghan Hamid) Karzaï, ne croit pas en sa propre stratégie et ne considère pas cette guerre comme la sienne. Pour lui, il s'agit juste de se retirer, écrit M. Gates, un républicain qui avait accepté de rester à la tête du Pentagone sous l'administration de Barack Obama.

 

Il était sceptique sinon totalement convaincu que (sa stratégie) allait échouer, ajoute-t-il.

 

Refusant d'entrer dans la polémique, la Maison Blanche a souligné que le président était reconnaissant envers Bob Gates pour son travail en tant que secrétaire à la Défense.

 

Il est de notoriété publique que le président a toujours été déterminé à mener à bien la mission visant à démanteler Al-Qaïda tout en s'assurant que nous ayons un programme clair, qui s'achèvera cette année, pour mettre progressivement fin à la guerre, a souligné Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil à la sécurité nationale (NSC) de la présidence américaine.

 

Dans son livre, Robert Gates raconte surtout son exaspération face à la gestion des affaires de défense par l'administration de la Maison Blanche, qui a porté le micromanagement et l'immixtion dans les opérations à un nouveau niveau.

 

Bien trop tôt sous cette administration, la suspicion et la méfiance à l'égard des généraux par les responsables de la Maison Blanche, y compris le président et le vice-président, sont devenus un gros problème, regrette-t-il encore.

 

Robert Gates est particulièrement acerbe à l'égard du vice-président Joe Biden qui, avec le conseiller à la sécurité nationale Tom Donilon, était partisan de l'envoi d'un nombre beaucoup plus faible de renforts en Afghanistan.

 

Il s'est trompé sur quasiment toute décision majeure de politique étrangère et de sécurité nationale ces quatre dernières décennies, écrit-t-il à propos de Joe Biden, qu'il considère toutefois comme un homme intègre.

 

De son rôle dans les Balkans lorsqu'il était au Sénat à ses efforts pour mettre fin à la guerre en Irak, Joe Biden a été l'un des hommes d'Etat majeurs de son époque et a contribué à faire progresser le leadership américain dans le monde, a rétorqué la Maison Blanche, faisant part du désaccord de M. Obama avec l'analyse de l'ex-secrétaire à la Défense.

 

Robert Gates se reconnaît des erreurs, comme celle de déconseiller l'envoi d'un commando à Abbottabad (Pakistan), finalement ordonné par Obama. Les Américains pensaient, sans être sûrs, qu'Oussama ben Laden s'y cachait.

 

C'était l'une des décisions les plus courageuses que j'aie jamais pu voir à la Maison Blanche, écrit M. Gates, qui a servi sous huit présidents à divers titres.

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 20:21

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d3/NATO_flag.svg/800px-NATO_flag.svg.png

 

15 Juin 2011 Belga

 

La baisse des dépenses consacrées à la défense dans les pays de l'Otan constitue un "grave problème" qui risque à terme de détourner les Etats-Unis de l'Alliance, a affirmé mercredi le secrétaire américain à la Défense Robert Gates.

Réitérant devant les sénateurs d'une sous-commission de la Défense ses critiques après son discours véhément de Bruxelles vendredi, le ministre a affirmé que la part des Etats-Unis était passé de la moitié aux trois-quarts du budget militaire des 28 pays de l'Otan. "C'est un grave problème. C'est un souci depuis quelques années mais je pense que nos propres difficultés financières et ce à quoi le budget militaire américain va devoir faire face pose le problème comme jamais auparavant", a-t-il jugé. "Un nombre croissant" de membres du Congrès "pour qui la guerre froide et nos liens avec l'Europe et l'Otan ne sont pas dans les gênes" va finir par ne plus vouloir prendre en charge le fardeau, selon lui. Mais le secrétaire à la Défense a toutefois estimé préférable une Otan aux capacités réduites que "pas d'Otan du tout". Robert Gates avait mis en garde à Bruxelles les alliés occidentaux contre leur manque d'investissements militaires et de volonté politique, soulignant que ces "lacunes" pourraient "compromettre" l'efficacité de la mission en Libye et contre la perspective "inacceptable" d'une "alliance à deux vitesses". (MPK)

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