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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 21:50
New MBR system to be installed on HMS Ocean

May 31, 2013 ASDNews Source : Babcock International

 

Work has been completed on schedule in preparation for the installation by Babcock of a first of class state-of-the-art Membrane Bio-Reactor (MBR) on HMS Ocean.  This represents a significant proportion of the vessel’s current upgrade package and is an integral part of the 15 month overhaul programme underway at Babcock’s Devonport Royal Dockyard.

 

The new MBR replaces the ship’s existing 15 year old sewage treatment system and will be capable of processing both waste water and sewage (black and grey water, galley, laundry, sink and shower waste).  Installation of this new system will ensure that HMS Ocean leaves this upkeep period in full compliance with current and future planned IMO and MARPOL regulations due to come into force in 2015, enabling the ship to operate globally in carrying out her designated tasking.

 

The project to manufacture, supply and fit the new MBR system is being undertaken in a joint approach by Babcock (responsible for removal of old and installation of the new system and equipment in the installation path) and the system Original Equipment Manufacturer Hamworthy Water Systems (providing custom built modular components, on-site fabrication of new tanks and setting the system to work).  This substantial project, which extends through the length of the ship at 7-9 deck, impacts on the upkeep schedule at every level.

 

Last month (April 2013) saw completion to schedule of considerable preparatory work to allow the installation phase of the new system to commence.  This has included cutting three shipping routes (approximately 2.5m2) into the hull, removal of the three redundant sewage treatment plants located forward, aft and amidships, and removal or re-routing of systems and equipment in the path of the new equipment fit.  The Mid Auxiliary Room (MAR) – the ship’s compartment most affected by the MBR installation – is now virtually empty, ready to accommodate the new system.

 

The scale of the installation project ahead is huge.  As well as more than 3km of constructive and mechanical fluid system pipework to be taken out and/or re-sited, over 1.5km of new MBR pipework is to be fitted between the various system components, along with over 3.7km of new cabling to be run and sealed for the new equipment fit.  New holding, collection and pumping tanks are to be fabricated & fitted forward and aft, and transfer pumps, filtration membranes, grease separators and screen presses integral to the MBR system will also be installed, along with control and monitoring equipment.  Almost every compartment of the ship will see some MBR-related work.

 

Babcock Warship Support SSS Delivery Director, Mike Weeks, said: “A particular challenge lies in the re-installing or re-routing of existing systems and accommodation of the new system equipment within the Mid Auxiliary Room.  3D computer modelling has been undertaken to facilitate this, with installation drawings now agreed and approved.  We are now starting installation of the MBR.  It’s a tight timescale to achieve a working system ready for when ship’s staff move on board, but good progress has been made to date by all parties involved, and work on this critical path project is currently on-schedule.  We’ll be working hard to maintain that through the installation phase.  As in all aspects of this massive upkeep period, we will be focusing on delivering this fit safely, on-schedule and at optimum value for money.”

 

The extensive deep maintenance programme on HMS Ocean is the first on an amphibious capital ship since full implementation of the Surface Ship Support Alliance (SSSA), under which Babcock leads the Class Output Management (COM) team responsible for delivering support to all amphibious vessels.  The knowledge and experience gained through this project will contribute to de-risking future upkeeps, most notably for HMS Albion and Bulwark, as well as helping to inform and guide the maintenance strategy for the new Queen Elizabeth class aircraft carriers.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 12:55
Squale 2013 en Méditerranée : entraînement qualifiant à la lutte anti-sous-marine

30/05/2013 Actu Marine

 

L’exercice majeur annuel de lutte sous la mer Squalea eu lieu du 22 au 29 mai 2013 en Méditerranée. L’édition 2013 de cet entraînement avancé, précédée d’une phase de préparation opérationnelle à quai, a rassemblé une force aéronavale à la mer composée des frégates anti-sous-marines Jean de Vienne et Dupleix, de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul et de l’aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet  avec le concours de moyens de l’aéronautique navale: avions de patrouille maritime Atlantique 2 et un hélicoptère anti-sous-marin Lynx. Le sous-marin d’attaque Améthyste a pris part à Squale en exerçant une opposition permanente aux actions de la force navale tandis que son alter ego britannique, le HMS Talent, a alterné les rôles de sous-marin ami ou hostile selon la nature des phases tactiques planifiées ainsi que des objectifs de qualification poursuivis. 

 

La frégate de défense aérienne (FDA) Forbin et le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude se sont joints au dispositif lors d’une phase tactique mêlant menace et protection sous-marine pendant que se déroulaient des opérations amphibies. Le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne a pris part  aux trois derniers jours de manœuvre tactique à la mer. 

Marqué par des conditions météorologiques très variées, Squale 2013  démontré la capacité d’adaptation des équipages et la très bonne maîtrise des savoir-faire. La contribution active du sous-marin britannique HMS Talent a permis d’élever le niveau de coopération interalliée.  Cet entraînement majeur a également permis de mener un certain nombre d’expérimentations pratiques pour les forces: cette année, des tirs ont été réalisés ainsi que des actions participant au renforcement des capacités de l’hélicoptère Caïman.         

Témoignages

 

Commandant la frégate Jean de Vienne et son équipage, le capitaine de vaisseau Pierre-Yves Grente occupait pour la durée de l’entraînement  les fonctions de commandant tactique à la mer (OTC: Officer in Tactical Command). Pour lui, «Squale permet d’expérimenter des tactiques nouvelles et de valider «en vrai grandeur» certains scénarios exploitables en opérations ou lors de périodes d’entraînement à la mer. Parmi les phases importantes deSquale, je retiens celle de la protection du Dixmude contre la menace sous-marine. Cela a constitué un véritable défi que nous avons relevé avec succès et qui confirme la prépondérance de la frégate anti-sous-marine Jean de Viennedans sa fonction de protection d’unité précieuse et de force amphibie déployée».

 

Pour le CC Anthony Jupin, entraîneur «lutte sous la mer» à l’état-major de la force d’action navale et planificateur de Squale: «ce rassemblement de moyens, une fois par an et par façade, permet d’atteindre des objectifs d’entraînement et de qualification supérieurs au gré d’un scénario tactique très réaliste. Squale est aussi l’occasion d’attribuer des qualifications spécifiques à chacune des trois composantes représentées: La force d’action navale (ALFAN) qualifie ses équipages de bateaux, la force océanique stratégique (ALFOST) entraîne ses SNA en même temps qu’il  procède en «live» à la sélection du COURCO (cours de commandement destiné aux futurs commandants de sous-marin nucléaire d’attaque)et la force de l’aéronautique navale ALAVIA aguerrit ses équipages d’hélicoptères et d’avions de patrouille maritime fraîchement qualifiés».

 

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 12:50
SNA Barracuda : DCNS reçoit les amiraux commandants des forces sous-marines de la Marine nationale et de la Marine britannique.

30/05/2013 DCNS

 

En avril dernier, dans le cadre du programme Barracuda*, l’un des plus importants qui soient pour le renouvellement des forces navales françaises, l’amiral ALFOST, le VAE Coriolis – commandant de la force océanique stratégique –  et l’amiral COMOPS, le RA Corder – homologue britannique de l’amiral ALFOST – sont venus visiter à Toulon la Plateforme d’Intégration Système de Combat des SNA Barracuda.

 

Cette plateforme à terre va permettre d’installer l’ensemble des équipements nécessaires à l’intégration, à la validation des interfaces et des chaînes fonctionnelles du système de combat des SNA Barracuda (Sous-Marins Nucléaire d’Attaque). Ceci avant que s’opèrent les phases d’essais à quai puis à la mer. Ainsi, pendant les trois ans à venir, toutes les fonctionnalités du Système de Combat seront testées et vérifiées avant leur embarquement sur le sous-marin.

 

Lors de cette rencontre, qui illustre la volonté de DCNS et de la Marine nationale de joindre leur savoir-faire maritime et technique au profit du développement de l’ergonomie du système de combat de cette nouvelle génération de SNA, de nombreuses innovations du Système de Combat des SNA Barracuda ont été présentées :

 

    Une détection sous-marine issue des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE),

    Un mât optronique remplaçant les périscopes classiques (optiques),

    Un logiciel d’aides à la navigation électronique développé adapté,

    Une capacité d’emport d’armes doublée par rapport aux SNA de type Rubis,

    Un CMS (Combat Management System) intégrant l’ensemble des capacités de veille au dessus et au dessous de la surface de la mer.

 

* Les sous-marins Barracuda sont destinés à succéder entre 2017 et 2027 aux sous-marins du type « Rubis en version Améthyste » actuellement en service. Les capacités de mission du Barracuda couvriront la collecte du renseignement, les opérations spéciales (avec déploiement de commandos et forces spéciales), la lutte contre les navires de surface et la lutte anti-sous-marine, les frappes en direction de la terre, ainsi que la participation à des opérations interarmées.

 

Le marché global de réalisation du programme Barracuda a été notifié en décembre 2006 par la Direction générale de l’armement (DGA) à DCNS, maître d’œuvre d’ensemble du navire, et à AREVA TA, maître d’œuvre de la chaufferie nucléaire. La tranche ferme du marché porte sur le développement et la réalisation du premier sous-marin de la série de six, le Suffren. Le contrat comprend également le maintien en condition opérationnelle des sous-marins dans leurs premières années de service.

 

Le programme Barracuda occupe une place majeure dans le plan industriel du Groupe. Il devrait mobiliser les équipes et les moyens industriels de DCNS jusqu’en 2027.

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 07:50
A pair of new combat boots

A pair of new combat boots

28 May 2013 Ministry of Defence

 

Military aircrews are set to benefit from new personal equipment designed specifically to meet their flying needs.

 

As part of a series of contracts worth more than £11 million new body armour, combat boots and eyewear will be provided to all pilots and aircrew on operations across the Royal Navy, Army and RAF.

The new body armour, supplied by Level Peaks Associates, has been designed so that it allows crews to manoeuvre easily around the cockpit while still offering armoured protection. The lightweight jacket is able to carry all essential kit, including radios, pistols and ammunition, and can also be fitted with a lifejacket and a winch hook for emergency rescues.

As part of a £3.25 million contract, pilots and crew members who wear glasses will now have access to specialist lightweight eyewear and contact lenses. The glasses, developed by ASE Corporate Eyewear, have flexible, polymer arms and lighter lenses which allow them to integrate fully with helmets and oxygen masks. This is the first time MOD has provided contact lenses for aircrew who prefer wearing them to glasses.

Personnel are also being provided with new footwear that has a flexible sole created to give pilots greater sensitivity and contact with control pedals in aircraft. The boots are available in both black and sand to give crews a choice depending on where they are operating.

The new body armour and eyewear being tested
The new body armour and eyewear being tested by the Centre of Aviation Medicine team based at RAF Henlow [Picture: Crown copyright]

Flight Sergeant Baz Reynolds, a Puma crewman who tested the new body armour, said:

The level of ballistic protection offered by the new body armour is fantastic. Fitting and adjusting the jacket is a simple process and the ability to configure the pockets is great. It’s quick and easy to put on too, which is especially important when you need to get airborne in a hurry.

Flight Lieutenant Calum ‘Claw’ Law of 72 (Reserve) Squadron, who trialled the new boots, said:

The boots perform really well. You can feel so much more through the soles than other boots that it really helps with accurate braking and rudder control. Outside the cockpit, they are good too because they give better grip and ankle support.

Minister for Defence Equipment, Support and Technology Philip Dunne said:

This new aircrew-specific equipment will help increase performance and comfort for those engaged in vital lifesaving roles in the skies above Afghanistan and here in the UK.

These latest contracts worth more than £11 million demonstrate MOD’s ongoing commitment to provide Service personnel with the best equipment possible.

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 07:50
Nuclear submarine HMS Vanguard [Picture UK MoD]

Nuclear submarine HMS Vanguard [Picture UK MoD]

28 May 2013 Ministry of Defence

 

The contract to maintain the eyes and ears of the Navy's ships and submarines will sustain 530 defence jobs across the UK.

 

The £600 million Sensor Support Optimisation Project will provide a decade of maintenance and repair for 17 different systems across the Royal Navy fleet, including the Astute, Trafalgar and Vanguard Classes of submarines as well as the Type 45 warships, Type 23 frigates and the Hunt and Sandown Classes of minehunting vessels.

 

The contract will secure 230 Thales jobs at sites in Glasgow, Manchester, Somerset and Crawley in West Sussex. A further 300 jobs will be secured through the UK supply chain.

 

Under this new contractual arrangement, MOD will make an estimated saving of around £140 million over the 10-year period.

 

Philip Dunne, Minister for Defence Equipment, Support and Technology, signed the contract during a visit to Thales headquarters in Crawley today, 28 May. He said:

This contract is good news for the Ministry of Defence and UK industry. Not only will it secure over 500 jobs across the UK, whilst delivering savings of £140 million to the taxpayer, but it will also provide essential support for the combat equipment that helps give the Royal Navy’s fleet of ships and submarines a vital technological edge wherever they are based in the world.

Vice Admiral Sir Andrew Mathews, Chief of Materiel Fleet for MOD’s Defence Equipment and Support organisation, said:

Securing support for this combat equipment, the electronic eyes and ears of our fleet of submarines and surface warships, is key to ensuring that the Royal Navy will continue to be able to protect the UK’s interests wherever they may be.

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 12:50
Thales awarded milestone Royal Navy services contract

28 May 2013 Thales UK

 

Thales UK has today signed a 10-year contract with the Ministry of Defence (MOD), worth up to £600M, for the in-service support of the Royal Navy’s major sensor systems.

 

The new Sensors Support Optimisation Project (SSOP) builds on the proven success of Thales’s Contractor Logistics Support contract, originally signed in 2003, which has provided support to the Royal Navy’s sonar and electronic warfare systems for the past 10 years.

 

Under the terms of SSOP, the in-service support contract has now been extended to include all of the Royal Navy’s submarine visual systems, including periscopes for the Vanguard and Trafalgar Class submarines and the non-hull-penetrating optronic masts for the Astute Class submarines, previously supported under separate contract arrangements with Thales UK’s optronics business in Glasgow.

 

This means Thales is now providing significant in-service support to the ‘eyes and ears’ of the submarine fleet, as well as across the major surface sonar and electronic warfare systems.

 

The contract will be run through the Equipment Support Delivery Team, which is a joint MOD/Thales UK team based in Abbey Wood, Bristol. This team is augmented by several Thales and J+S Ltd waterfront engineers in the Royal Navy’s three naval bases (Portsmouth, Plymouth and Faslane), who together ensure that specialist technical advice and support is delivered whenever it is needed to ensure the continued availability of the sensor systems, both at home and overseas.

 

Philip Dunne, Minister for Defence Equipment, Support and Technology, signed the contract during a visit to Thales’s facility in Crawley today.  He said: “This contract is good news for the Ministry of Defence and UK industry. Not only will it secure a number of jobs across the UK whilst delivering savings but will also provide essential support for the combat equipment that helps give the Royal Navy’s fleet of ships and submarines a vital technological edge wherever they are based in the world.”

 

Victor Chavez, CEO of Thales UK, said: “This contract recognises the value that can be achieved and the savings that can be delivered through a long-term services agreement. It also reflects the successful way in which Thales UK has delivered the required outputs over the past ten years. This project refines that approach to optimise performance over the next ten years, and reinforces our positive well-established relationship with the Royal Navy.”

 

During the previous support contract, the levels of equipment availability have improved significantly and substantial overall savings in the cost of support have been achieved. The new SSOP contract builds on this experience and success, from the outset delivering further savings to the MOD whilst continuing to deliver high levels of available and serviceable equipment.

 

The new contract secures employment for 230 Thales employees and a further 300 people within the extended supply chain across the UK.

 

Major suppliers to Thales include J+S Ltd (Barnstaple, Devon), MacTaggart Scott (Loanhead, Scotland), Atlas Elektronik UK (Newport, South Wales and Winfrith, Dorset), Parkburn Ltd (Telford, Shropshire), AB Precision (Poole) Ltd (Dorset), and Defence Support Group (Sealand, Flintshire).

 

Thales UK will support the project from its sites in Templecombe, Cheadle Heath, Glasgow and Crawley, where ongoing development of these important systems will enable yet further improvements to be made in the levels of capability and availability.

HMS Trafalgar, pictured during Tomahawk missile trials - photo US DoD

HMS Trafalgar, pictured during Tomahawk missile trials - photo US DoD

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 11:50
Typhoon aircraft photo UK MOD 2012

Typhoon aircraft photo UK MOD 2012

WIMBORNE, England, May 24 (UPI)

 

Britain's Ministry of Defense has extended Cobham PLC's contract for providing essential operational readiness training for the Royal Air Force and Navy.

 

The extension is for a five-year base period of performance and is worth about $248.5 million. Cobham, however, said the anticipated value if worth were to carry through to 2019 would be about $301.2 million.

 

"We have successfully adapted our operational readiness training to meet the needs of the Armed Forces through to the end of 2019, using the extensive technology and know-how we have developed since the service was first introduced in the mid-1980s," said Cobham Chief Executive Officer Bob Murphy.

 

"We look forward to further developing this highly effective partnership with the MoD."

 

The operational readiness training services are provided to personnel operating Eurofighter Typhoon aircraft and Type 45 destroyers.

 

Cobham said most of the training for fighter personnel is conducted in Britain. Its services will also support overseas detachments.

UK Royal Navy's first Type 45-class destroyer HMS Daring

UK Royal Navy's first Type 45-class destroyer HMS Daring

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:35
A Lynx Mk9A helicopter flying over the desert in Helmand province (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, UK MoD]

A Lynx Mk9A helicopter flying over the desert in Helmand province (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, UK MoD]

 

22 May 2013 Ministry of Defence

 

The final tour of duty in Afghanistan of the Commando Helicopter Force fliers of 847 Naval Air Squadron (847 NAS) has ended today, 22 May.

 

The Lynx helicopter crews, based at Royal Naval Air Station Yeovilton in Somerset, ended their fourth and final deployment to Afghanistan after a 4-month tour of duty working out of Camp Bastion as the ‘eyes in the skies’ for ground forces and RAF Chinook and Merlin helicopters.

847 NAS deployed to Afghanistan in January after a 2-year break from deployments to the country, this time flying Army Air Corps wheeled Lynx Mk9As.

A Lynx Mk9A helicopter coming in to land
A Lynx Mk9A helicopter coming in to land (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, Crown copyright]

As well as lacking the distinctive skids of the Lynx aircraft previously flown by the squadron, the Mk9As have more powerful engines – the same as those fitted to the Wildcats which are replacing them – and are armed with a 0.5-inch calibre machine gun.

The missions ranged from escorting RAF helicopters around Helmand to acting as the airborne eyes of international and Afghan troops and security forces when conducting patrols outside operating bases.

To meet those demands, 847 NAS’s engineers and technicians put in 10,500 man-hours of work on the helicopters over 103 shifts. The result was a serviceability rate of over 80% – and over 90% in the final month of the deployment – and 650 hours flown by the squadron.

This detachment has seen weather comparable to the cold temperatures of Norway and, more recently, in the mid-30s Celsius. Personnel also struggled with a tropical storm which led to a flood sweeping through the aircraft hangar, regular sandstorms and some of the highest gusts of winds ever recorded in Helmand during the final days of their deployment.

Lynx Mk9A helicopter
A Lynx Mk9A helicopter run by Naval Air Squadrons working from Camp Bastion in Helmand province (library image) [Picture: Leading Airman (Photographer) Alex Cave, Crown copyright]

847 NAS’s Commanding Officer, Lieutenant Colonel Nick Venn Royal Marines, said his men and women left Afghanistan having forged ‘an enviable reputation’ with all the units they had worked with since January – and having achieved ‘some real operational successes’:

This tour has been an exceptionally busy one in which the squadron has made a very positive contribution to operations in Helmand – a contribution that is universally recognised out here,” he said.

The fantastic work rate and innovation of the engineering team has ensured that, despite only a small pool of aircraft, we have been able to ‘punch above our weight’, consistently ensuring that we always have aircraft ready to meet operational demands.

In no small part, the work of the squadron has also contributed directly to helping create the secure environment that the Afghans need as they move towards effective self-governance and security; the same secure environment that will allow the UK to leave Afghanistan in due course.

Having handed over duties to the Army Air Corps’ 661 Squadron, 847 NAS was due back at RAF Brize Norton this afternoon, before personnel are bussed down to Yeovilton for reunions with loved ones.

After leave, 847 NAS personnel will begin the conversion process as they get to grips with the Wildcat which is replacing all the Fleet Air Arm and Army Lynx helicopters in the coming years; the squadron is the first front line unit to get its hands on the new helicopter.

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 16:50
HMS Montrose test fires Harpoon missile. Photo: courtesy of PO(AET) Danny Swain

HMS Montrose test fires Harpoon missile. Photo: courtesy of PO(AET) Danny Swain

8 May 2013 naval-technology.com

 

HMS Montrose (F236), the UK Royal Navy's Type 23 Duke-class frigate, has demonstrated its combat power by successfully test-firing the Boeing-built Harpoon anti-ship missile as part of a specialist training week off the coast of Scotland.

 

During the test, HMS Montrose launched the Harpoon missile at a speed of 800mph that hit a specially designed target barge located in the Scottish exercise areas within minutes, and validated its capability.

 

The firing is a part of Royal Navy's effort to put weapons through their paces to ensure their capabilities and test personnel on exercises and training series to enhance mission readiness.

"The intensity and stress of conducting complex warfare training increases tenfold when you know that there is almost a quarter of a tonne of warhead on the end of the live missile you are about to fire, but so is the satisfaction increased when you successfully achieve your goal."

 

Principal warfare officer lieutenant Ben Evans said: "The intensity and stress of conducting complex warfare training increases tenfold when you know that there is almost a quarter of a tonne of warhead on the end of the live missile you are about to fire, but so is the satisfaction increased when you successfully achieve your goal."

 

HMS Montrose participated in the Joint Warrior 2013 multinational exercise off the coast of Scotland.

 

Harpoon is a 15ft-long all-weather over-the-horizon missile system that features active radar guidance, warhead design, low-level cruise trajectory, and terminal mode sea-skim or pop-up manoeuvres for high survivability and effectiveness.

 

Capable of accommodating a crew of 185, the 133m-long Duke-class frigates have been designed to provide anti-submarine warfare (ASW) and anti-surface warfare (ASuW) capabilities.

 

In addition to vertical-launch Seawolf (GWS 26 Mod 1 VLS), the Duke-class frigates are armed with eight Harpoon surface-to-surface missiles in two four-cell launchers, as well as four 324mm torpedo tubes capable of carrying Stingray lightweight torpedoes.

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 11:50
Bridge Section of HMS Queen Elizabeth Put into Place

The 700 tonne navigation bridge of the future aircraft carrier HMS Queen Elizabeth is lowered into place at Rosyth Shipyard in Scotland.

The construction of the Royal Navy’s new Aircraft Carrier took a huge step forward, as the Defence Secretary Philip Hammond MP witnessed the installation of the ship’s navigation bridge.

Nearly two thirds of the ship has now been built and the structure is due to be completed by the end of this year. The Carrier is then expected to leave the dockyard in 2014 before beginning her sea trials with the Royal Navy.

The forward island fitted houses the bridge where the captain and navigation crew will operate. The enormous steel section was built in Portsmouth and transported by barge to Fife, where the Carriers are being assembled. Both HMS Queen Elizabeth and her sister ship HMS Prince of Wales will have two island sections which will provide independent control of navigation and air traffic control operations.

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© Crown Copyright 2013
Photographer: Aircraft Carrier Alliance

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 16:50
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

30/04/2013 Sources : EMA

 

Le dimanche 14 avril 2013, la frégate de surveillance Germinal et le ravitailleur britannique Wave Knight ont procédé à un exercice de ravitaillement à la mer (RAM) au large de la Martinique.

 

Le Wave Knight, actuellement en déploiement de longue durée dans les Caraïbes, appartient à la flotte des bâtiments de soutien de la Marine britannique, la Royal fleet auxiliary (RFA). Ce bâtiment de près de 200 mètres de long et de 30 mètres de large est capable d’apporter un important soutien en gazole, vivres, eau douce, carburéacteur et munitions à tous les bâtiments britanniques et alliés déployés en mer.

 

Ce RAM fait partie des actions engagées dans le cadre de la coopération mise en œuvre par les marines présentes dans la zone Caraïbes-Pacifique et intervenant conjointement pour les opérations de secours aux populations lors de catastrophes naturelles, par exemple, ou dans la lutte contre le narcotrafic. Ce type d’exercice permet ainsi d’améliorer leur capacité à mobiliser leurs moyens logistiques dans le cadre d’une action coordonnée. Il permet également d’améliorer la fluidité des manœuvres d’approche et de ravitaillement à la mer des équipages et de renforcer l’interopérabilité entre les marines françaises et britanniques dans ce domaine.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Après un court ravitaillement en gazole et un exercice de séparation d’urgence, le Wave Knight a repris sa route en direction de la Martinique où il a participé à l’exercice Caraïbe 2013. De son côté, le Germinal a repris sa patrouille.

 

Dans le cadre de l’exercice Caraïbe 2013 qui a lieu du 17 au 26 avril en Martinique et en Guadeloupe, le ravitailleur britannique a été engagé aux côtés des forces néerlandaises et des forces armées françaises aux Antilles (FAA) pour participer à la manœuvre des moyens militaires engagée dans un scénario de secours aux populations.

 

Les exercices de ravitaillement à la mer font partie des actions de coopération bilatérale visant à renforcer l’interopérabilité entre les forces françaises et britanniques. Depuis le traité de Lancaster House (2010) et le sommet franco-britannique de 2012, la France et le Royaume-Uni entendent approfondir leur coopération opérationnelle en la portant au plus haut niveau. La mise en œuvre d’une force expéditionnaire conjointe interarmées (Combined Joint Expeditionary Force – CJEF) et d’un état-major de force interarmées rapidement déployables dans le cadre d’une opération multinationale constituent un pilier de cette coopération. La première étape de la montée en puissance du volet maritime du CJEF a été franchie en octobre 2012 avec l’exercice Corsican Lion.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 16:50
UK Navy receives CUTLASS bomb ordnance disposal vehicle

 

 

25 April 2013 naval-technology.com

 

UK Royal Navy Divers have received the new remote-controlled explosive ordnance disposal (EOD) unmanned ground vehicle (UGV) called CUTLASS, to help detect and clear hidden improvised explosive devices (IEDs).

 

Following its delivery, the £1m Northrop Grumman-built robot was tested by the Southern Diving Group (SDG) to validate its capabilities.

 

During the Naval Bomb Disposal capability exercise, conducted within HM Naval Base, Devonport, UK, CUTLASS demonstrated its ability in a simulated terrorist car bomb scenario.

 

Southern Dive Unit 1 officer in charge lieutenant commander Ross Balfour said that the new vehicle, controlled via a computer, features advanced optics to enable a high-level of situational awareness of its surrounding area and any device.

 

Using its integrated three-fingered advanced gripper-equipped manipulator arm and disruptive weapons, the bomb disposal robot can quickly respond to IED threats.

 

"The divers demonstrated their comprehensive underwater ability using the 7m deep training tank with divers using closed-circuit re-breathing equipment, lifting and moving a practice bomb with a remote airbag and attaching dummy explosive charges to simulate rendering it safe," Balfour added.

 

Designed for efficient detection and disposal of both vehicle-borne and IEDs from safer distances in all types of terrain and weather conditions, the six-wheeled next-generation UGV can accommodate a broad spectrum of payloads, sensors and tools.

 

"CUTLASS represents a major improvement in our explosive ordnance disposal (EOD) capability, whilst improving safety for the general public and our EOD operators," Balfour said.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:50
Queen Elizabeth UK aircraft carrier - Picture Aircraft Carrier Alliance

Queen Elizabeth UK aircraft carrier - Picture Aircraft Carrier Alliance

 

April 24, 2013: telegraph.co.uk

 

The first of the UK's two new aircraft carriers - The Queen Elizabeth - takes shape at Rosyth. The ship, which will have a displacement of 65,000 tons, is the largest warship ever to be built in the UK. She is so big that she is being built in blocks at dockyards around Britain and then assembled in dry dock in Rosyth. Two ships of the class are being built - the Queen Elizabeth and the Prince of Wales

 

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 07:50
Photographer: PO(Phot) Paul Punter

Photographer: PO(Phot) Paul Punter

As warships and aircraft from across the Royal Navy begin a huge maritime exercise off the coast of Scotland, HMS Diamond has been gearing up for her role with a series of training drills.

The Portsmouth-based Type 45 destroyer has been putting her sailors to the test as she sails to meet the rest of the Task Force near Cape Wrath for a Combined Amphibious Landing Forces Exercise later this week.
HMS Diamond, which is affiliated to the cities of Aberdeen and Coventry, is to provide the air defence role for the exercise which will see Royal Marines storm the remote area by landing from the sea and air under the cover of warship firepower.
The Marines will be going ashore from HMS Illustrious and Bulwark to carry out their assault on land, explained Principal Warfare Officer (Above Water), Lieutenant Ben Martin. As well as keeping an eye on the airspace, we will attack enemy positions on land by providing naval gunfire support from our 4.5 gun as they arrive on the ground.
To prepare for this role, the warship has been taking part in a number of smaller scale exercises including practising firing at a moving target.
For this, JTEPS release a remote controlled dummy craft that acts as a small fast boat or Fast Inshore Attack Craft – for all the ships in the task group to fire on.
The aim is to disperse the craft – if we hit it then it is a bonus, explained Midshipman Annabel Broad. It is really about working with other nations – we all get a feel for how the other operates and it helps makes relations stronger for when we work together in the future.
As well as conducting the larger scale gunnery and air defence exercises, HMS Diamonds ships company regularly practise their firefighting and damage control routines to make sure they are fully prepared for all eventualities.
All the exercises are as real as possible with smoke machines used to severely limit visibility and personnel given strict time limits.

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Image 45155336.jpg from www.defenceimages.mod.uk

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 17:10

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/exercice-amphibie/2034740-1-fre-FR/exercice-amphibie.jpg

Exercice amphibie

Crédits : ADJ G.Gesquière

 

16/10/2012 armée de Terre - Opérations

 

Du 16 au 26 octobre 2012 aura lieu l’exercice Corsican Lion en Méditerranée qui vise à regrouper les forces françaises et britanniques et auquel participera la 9e brigade blindée de marine (BLBMa), brigade faisant partie du Commandement des forces terrestres (CFT).

 

Les marines française et britannique ont planifié un exercice conjoint durant le déploiement du Response Force Task Group (RTFG) en mer Méditerranée, au large de la Corse, qui se déroulera du 16 au 26 octobre 2012 : Corsican Lion. Il permet d’établir le développement de la coopération technique et tactique avec les forces britanniques dans le cadre d’activités amphibies.

 

Cet exercice, basé sur un scénario élaboré par la partie britannique, fera participer la 9e BLBMa, force terrestre spécialisée dans le combat amphibie, à bord des bâtiments MISTRAL et HMS BULWARK (UK). A dominante marine, il fait valoir la collaboration entre un groupe amphibie sous commandement britannique et un groupe aéronaval sous commandement français. Il comprend notamment des menaces terrestre et maritime, l’interdiction des approches maritimes et l’évacuation de ressortissants.

 

Les objectifs principaux pour le côté français sont de développer un modèle de Commandement des forces terrestres binational, d’entraîner un Groupement Tactique Embarqué (GTE) et un Sous-Groupement AéroMobile (SGAM)à opérer au sein d’une force franco-britannique.

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 16:45
Naval force gears up for Cougar 12

Young Royal Marines Commando Officers in training conducting a beach insertion exercise Picture MOD 2012

 

27 Sep 12 UK MoD - A Training and Adventure news article

 

More than 3,000 sailors and marines are gearing up for a three-month training deployment to the Mediterranean - this year's key workout of the UK's high-readiness task force.

 

The deployment, known as Cougar 12, will see Royal Navy warships, Royal Marines commandos and naval airpower, which make up the Response Force Task Group (RFTG), train with French and Albanian maritime forces.

 

The RFTG was created under the 2010 Strategic Defence and Security Review and is a rapid reaction force that deals with unexpected world events that require military intervention.

 

Cougar 12 will start with a beach assault by the Royal Marines in the UK's South West, from 1-9 October, before the entire Group meets up in the Mediterranean later in the month.

 

Four warships, one amphibious support ship, a giant transport ship, three commando units, and helicopters and personnel from eight Fleet Air Arm, RAF and Army Air Corps squadrons are committed to the three-month deployment - in all more than 3,000 sailors, Royal Marines, soldiers and airmen.

 

 

Naval force gears up for Cougar 12

Three Sea Kings are recovered to the deck of HMS Illustrious

[Picture: Petty Officer (Photographer) Ray Jones, Crown Copyright/MOD 2012]

 

They will take part in two large-scale exercises, interspersed with various smaller exercises and training and goodwill visits - in some cases to places which rarely see the White Ensign.

 

The deployment will be the second test for the RFTG which was called upon last year to support operations off Libya: HMS Ocean launched repeated Apache gunship strikes from her flight deck while HMS Liverpool spent seven months enforcing the no-fly zone and preventing arms from reaching pro-Gaddafi forces by sea.

 

Twelve months on and Portsmouth-based HMS Illustrious will be taking HMS Ocean's place as the helicopter carrier assigned to the task group.

 

Illustrious will be joined by the nation's flagship, HMS Bulwark, from where Commodore Paddy McAlpine, Commander UK Task Group, and 3 Commando Brigade's Brigadier Martin Smith will direct Cougar 12.

 

They will oversee two key exercises: Corsican Lion, working hand-in-hand with the French and, later this autumn, the Group will shift to the Adriatic to work with the Albanian military.

 

Corsican Lion, in the second half of October, will see the RFTG link up with France's flagship, the aircraft carrier FS Charles de Gaulle - the most powerful surface ship in western European waters.

 

Her flight deck will be the launchpad for Super Étendard and Rafale jets, offering a first real glimpse of how the RFTG should look at the end of the decade when the new HMS Queen Elizabeth aircraft carrier enters service with the Royal Navy.

 

In the nearer future, Corsican Lion is the most important strand of Cougar and a major step along the road towards forging a fully-operational Anglo-French force by 2016.

 

There will be planned exercises with the US and Algerian forces and visits to Algeria and Malta - particularly poignant for Illustrious as she has ties with the island going back to her predecessor and the dark days of the Second World War:

    "Cougar 12 provides us with a superb opportunity to rekindle our amphibious capability after a prolonged period when our focus has been on operations elsewhere," said Cdre McAlpine.

 

His force stands at five days' notice to deploy anywhere in the world should the Government require it; in theory the Task Group can poise off the coast of 147 nations - three out of four countries in the world.

 

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14 août 2012 2 14 /08 /août /2012 09:24
HMS Westminster returns from successful Middle East mission

Aug 14, 2012 ASDNews Source : Ministry of Defence (United Kingdom)

 

Portsmouth-based warship HMS Westminster returned home today from a deployment to the Middle East which included a £14m drugs bust.

 

The Type 23 frigate seized more than 70 bales containing pure heroin from a dhow in the Indian Ocean.

 

During seven months away - clocking up more than 44,000 miles (71,000km) - the ship disrupted three groups of suspected pirates who were targeting merchant shipping and conducted security patrols in the Gulf and Indian Ocean.

 

HMS Westminster also paid goodwill visits across the region from Aqaba in Jordan to Dar es Salaam in Tanzania, and took part in numerous exercises with coalition and allied forces.

 

The ship's Commanding Officer, Captain Nick Hine, said:

 

"I am tremendously proud of all that we have achieved. My fantastic ship's company has risen to every challenge that has been laid before them and we have had a tangible effect in making the UK's interests more secure as a result."

 

The ship's Merlin helicopter, which performed vital roles during the drugs bust and anti-piracy raids, performed a flypast as the ship entered Portsmouth Harbour.

 

In keeping with tradition the ship's company lined the upper decks for the homecoming, but a gap was left as a mark of respect for the family of missing crew member Leading Seaman Timothy MacColl.

 

Captain Hine added:

 

"Clearly we are all desperately disappointed that LS MacColl remains missing and our thoughts and prayers remain with his family at this particularly difficult time."

 

LS MacColl went missing while on shore leave in Dubai in May. The Royal Navy remains concerned for his safety and continues to provide support for his family. The matter is being treated as a missing person case.

 

The Dubai Police have primacy in the investigation into LS MacColl's disappearance but the MOD and Royal Navy continue to liaise with and provide assistance to the Dubai authorities. The Foreign and Commonwealth Office also remains in contact with the Emirati police over their ongoing investigation.

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 11:44
F 35 britanniques : what a mess[*] !

 

13 Mai 2012 Jean-Dominique Merchet

 

Le revirement de Londres sur le choix du futur avion de combat F 35, annoncé jeudi dernier, illustre le désarroi dans lequel se trouve la défense britannique. Des finances publiques à sec, des forces armées littérallement lessivée par dix ans de guerres (Irak, Afghanistan), une industrie qui a perdu des pans entiers de ses compétences et, cerise sur le gateau, des politiques, très divisés, qui ne savent pas où ils veulent vraiment aller.

 

En comparaison, la situation française apparait exceptionnellement favorable... mais il n'y a pas lieu de s'en réjouir. Car, volens nolens, le destin de nos pays est lié. Le Royaume-Uni est, pour l'heure, le principal partenaire militaire de la France. Son affaiblissement est au final notre affaiblissement.

 

Revenons au F 35... en sachant bien que ce n'est qu'une étape de plus dans une longue descente aux enfers. Il y en aura d'autres, et elles se décideront d'abord aux Etats-Unis, puisque Londres a fait le choix de s'en remettre à Washington pour équiper son aviation. Et que le programme de F 35 (l'ancien Joint Strike Fighter) de Lockheed n'est pas à proprement parler une réussite. Trop complexe (trois versions très différentes) et trop cher : le dernier rapport du Congrès américain parle de 400 milliards. Ce n'est pas fini, car les avions ne sont toujours pas en service et on ne sait ni quand, ni qui sous quelle forme et en quels nombres ils le seront un jour.

 

En décembre 2006, le gouvernement britannique annonçait sa décision d'acheter 135 F 35 dans sa version B. Cette version est à décollage court et atterrisage vertical (STOVL, en anglais). C'est la version développée spécialement pour l'aviation de l'US Marine Corps et qui doit succèder aux Harriers britanniques.

En octobre 2010, le gouvernement britannique (qui entre temps est devenu conservateur) change de cap. Il est décidé d'acquérir des F 35 mais dans sa version C, celle de l'US Navy. C'est un appareil naval traditionnel conçu pour décoller d'un porte-avions avec une catapulte et y apponter avec un brin d'arrêt (Catobar, en anglais). Moins complexe techniqument, l'appareil est à la fois moins couteux et plus performant en terme de capacités d'emport (carburant ou armement). Il oblige cependant à disposer de porte-avions pouvant le mettre en oeuvre. Le nombre d'appareils que Londres souhaitent acheter est réduit, mais le chiffre exact n'a pas été rendu public. En tout cas, pas 135...

Nouveau contre-ordre, jeudi 10 mai 2012 : le secrétaire à la Défense Philipp Hammond annonce aux Communes que Londres a décidé de revenir à l'achat de la version B (STOVL) ! La justification est la suivante : même si l'avion est moins cher, l'adaptation du futur porte-avions Queen Elizabeth se révèle hors de prix : la facture de l'adaptation a doublée, pour atteindre 2 milliards de livres (2,5 milliards d'euros...) ! Une somme proprement folle. Et l'avion ne sera pas disponible, au mieux, avant 2023, dans douze ans... Passons sur le fait que les Britanniques construisent deux porte-avions, sans savoir que faire de l'un des deux (Prince of Wales) puisqu'il a été jugé trop cher d'arrêter le chantier. Quant au reste de l'aviation britannique, elle repose sur l'Eurofighter Typhoon, qui n'est pas non plus la réussite du siècle, en matière de coûts et de performances...

 

De ce côté-ci de la Manche, on fait grise mine. Le choix de 2010 apparaissait comme la volonté de Londres de se rapprocher du modèle français pour, à terme, envisager un groupe aéronaval commun. Cette perspective s'éloigne, même si l'on avait beaucoup exagéré les possibilités de rapprochement en la matière. En effet, poser un avion sur un porte-avions est une chose, le mettre en oeuvre en est une autre. On a vu des Rafale se poser sur des porte-avions américains et participer à quelques exercices, mais imaginer que les avions français ou britanniques puissent être mis en oeuvre, de manière opérationnelle, à partir de porte-avions de l'un ou l'autre pays est une pure vue de l'esprit. Ne serait-ce que parce qu'il faut tout le soutien mécanique et l'armement des avions : il faut beaucoup de place et beaucoup de monde pour s'en occuper. Où les mettrait-on ? On oublie aussi un peu vite que le F 35 C (Catobar) est plus lourd (plus de 31 tonnes, à pleine charge) et qu'il ne pourrait pas être mis en oeuvre par le Charles de Gaulle. Les Américains développent d'ailleurs, à très grand prix, des catapultes électriques. Bref, on a un peu rêvé, comme on le fait depuis plus dix ans, sur un porte-avions franco-brtiannique. L'annonce de jeudi n'est qu'un douloureux retour au réel.

 

Très réelle aussi, l'inconséquence du choix des pays qui se sont embarqués dans le projet F 35... et qui s'en mordent les doigts. L'avion n'est pas là, il siphonne leurs crédits de recherche-développement et même les Britanniques découvrent qu'ils n'auront pas accès aux codes-sources, les secrets les plus précieux pour un programme de cette complexité. En clair, ils se sont mis entre les mains des Américains et financent la destruction d'une capacité européenne (ou autres, pensons au Canada, au Japon...) de concevoir les futurs avions de combat. Belle réussite !

 

* "Quel b*** ! "... pour les non-anglophones

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 21:03
Les Britanniques veulent attendre pour l’extension Eunavfor Atalanta

 

 

Mar 7, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2, exclusif)

 

« My god, j’avais oublié de vous dire, navré. Mais, bon, voila, nous ne pouvons pas approuver aujourd’hui cette décision ». C’est un peu ce qu’aurait pu dire l’ambassadeur britannique au Coreper, Jon Cunliffe, quand il a posé – ce qu’on appelle en termes diplomatiques – une « réserve d’attente » devant ses collègues du Coreper sur la décision visant à prolonger la mission Eunavfor Atalanta, et à l’étendre géographiquement aux côtes somaliennes. Aucun justificatif n’a été donné. Il n’y en a pas besoin. Ce qui semble sûr, et confirmé, c’est que les Britanniques n’ont pas de problème de principe, avec cette décision. Mais un petit état d’âme passager … Un peu comme quand on pose une « réserve parlementaire » pour ne pas se fâcher avec un parlement susceptible. Du coup, la décision européenne qui avait pourtant fait l’objet d’une discussion, au sein des ambassadeurs du Comité politique et de sécurité, puis d’une procédure de silence, et qui n’avait plus qu’un parcours tout à fait formel au Coreper, est suspendue jusqu’à nouvel ordre. Et elle ne pourra pas non plus être approuvée au prochain Conseil des ministres de l’UE vendredi.

 

Mais pourquoi ?

Un problème à Londres ?

 

On ne peut pas croire que l’ambassadeur, qui est par ailleurs l’ancien sherpa de David Cameron au G8 et coordinateur des affaires européennes au Cabinet du premier ministre durant plusieurs années ait oublié d’en parler au Cabinet… ou qu’il ait oublié que la Chambre des Communes existait. Ou que son collègue du COPS ne l’ait pas prévenu du travail déjà accompli depuis plusieurs semaines. Ou qu’il fait voulu « rendre service » (mauvais coup en anglais ) à la Haute représentante de l’UE, Catherine Ashton, qui avait prévu d’annoncer cette nouvelle lors du gymnich, la réunion informelle des Affaires étrangères, vendredi à Copenhague.

 

Des Britanniques devenus poltrons ?

 

On ne peut pas imaginer non plus que le Royaume-Uni soit opposé à avoir une attitude plus offensive contre les pirates somaliens. A plusieurs reprises, des officiels britanniques ont exprimé leur souhait, leur désir, leur volonté, d’avoir une action plus robuste. Le secrétaire d’Etat au Foreign Office, Henry Bellingham avait été particulièrement explicite devant la Chambre des Armateurs, le 12 octobre dernier : « This Government is 100% behind a more robust response to piracy, and we are glad to see the Royal Navy, EUNAVFOR and NATO leading the way. » (lire ici son speech). Et l’antienne d’une nécessaire action à terre a été repris à plusieurs reprises, en dernier lieu lors de la dernière conférence sur la Somalie à Londres, le 23 février.

 

… ou un peu lents à la détente

 

Certaines mauvaises langues pourraient toujours dire que les Britanniques songent à déployer au large de la Somalie son navire amiral, de débarquement, l’HMS Ocean, comme le rapporte le populaire Daily Mail il y a quelques jours : « Mr Cameron has ordered plans be drawn up to deploy Apache helicopter gunships from helicopter carrier HMS Ocean against Somali pirates and terrorists. » Et celui-ci est un peu lent et aurait un peu de retard sur l’agenda prévu pour se trouver, in time, face aux côtes somaliennes. Ou alors l’équipage n’est pas tout à fait pour son nouveau Lipdub comme il nous avait gratifié au retour de mission l’année dernière (lire : De retour de Libye, en chantant), avec leur joyeuse reprise du tube de Mariah Carey, « All I want for Christmas Is You » 

 

Un problème avec les Somaliens ?

 

On pourrait aussi se demander si les Somaliens ont bien approuvé cette initiative. Ne cherchez pas de ce côté là, c’est déjà fait. Et le secrétaire général de l’ONU a déjà reçu la lettre d’acceptation du gouvernement fédéral de transition à ce que les bateaux européens pénètrent dans ces eaux.

 

Et si ce n’était ni Londres, ni en Somalie mais… à Bruxelles ?

 

La raison est peut-être tout simplement prosaïque et se nicherait à quelques kms du Justus Lipsius, le siège de l’Union européenne, mais bd Leopold III, au siège de l’OTAN. L’Organisation atlantique n’a pas encore en effet adopté une décision similaire pour son opération de lutte contre la piraterie, Ocean Shield. Le comité militaire se réunit seulement demain (jeudi) et la décision d’étendre Ocean Shield jusqu’à décembre 2014 devrait être entérinée – sauf problème supplémentaire – au prochain conseil de l’Alliance atlantique (NAC) mardi ou mercredi prochain (13 ou 14 mars). L’Alliance ne devrait cependant pas aller aussi loin que l’Union européenne. Le « même niveau d’engagement devrait être maintenu », précise un diplomate à B2. Il n’est pas ainsi prévu d’étendre sa zone d’action aux côtes et aux eaux territoriales ou de changer des règles d’engagements (qui sont déjà plutôt robustes, en témoignent les actions menées récemment par les navires britannique RFA Fort Victoria ou danois Absalon).

 

Selon nos informations. ce sont … les Américains qui n’ont pas souhaité une telle prolongation. Et plusieurs Etats de l’Alliance – qui participent déjà à la mission de l’UE – ont estimé que ce n’était pas non plus nécessaire de faire coup double. Voilà qui doit expliquer sans doute la « position d’attente » de nos « amis » Britanniques. Le Royaume-Uni – fidèle à sa préférence atlantiste – n’aurait tout simplement pas voulu à l’Union européenne une petite primeur aurait ainsi décidé de faire jouer son droit « d’attente », juste pour quelques jours ou quelques semaines, le temps que la grande soeur du bd Léopold III se mette au niveau.

 

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le Royaume-Uni use de ce superfuge…

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 18:05

http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/02116/HMS-Westminster_2116808b.jpg

HMS Westminster Photo: Chris Ison/PA

 

23 Jan 2012 The Telegraph

 

A Royal Navy warship is to set sail today on a seven-month mission to provide security in the Middle East.

 

Type 23 frigate HMS Westminster, which will be leaving its home port of Portsmouth Naval Base, will also carry out counter-piracy patrols during its deployment and police busy shipping lanes.

 

Commanding officer Captain Nick Hine said: ''It takes a tremendous amount of effort to get a complex and sophisticated warship ready for operations and I am extremely proud of my ship's company for the work they have done in getting us to this point.

 

''Operations are what the Royal Navy is all about and we are itching to get going.

 

''We sail into a region of heightened tensions and great challenges and we are ready and up for it.''

 

Last year HMS Westminster was deployed at short notice to the Mediterranean to assist in evacuating UK nationals from Libya and to conduct operations in support of United Nations Security Council resolutions against the Gaddafi regime.

 

Many of the ship's company who are deploying to the Middle East are still on board from the mission off Libya, including Operations Officer Lieutenant Commander Andy Brown.

 

He said: ''We learnt a lot last year on our successful involvement in the Libyan operations and we will carry that experience forward to our next mission.

 

''The ship's company are excited about the deployment ahead and we are all determined to make it a success.''

 

The move comes as Britain, America and France delivered a pointed signal to Iran, sending six warships led by a 100,000 ton aircraft carrier through the highly sensitive waters of the Strait of Hormuz.

 

This deployment defied explicit Iranian threats to close the waterway. It coincided with an escalation in the West's confrontation with Iran over the country's nuclear ambitions.

 

European Union foreign ministers are today expected to announce an embargo on Iranian oil exports, amounting to the most significant package of sanctions yet agreed. They are also likely to impose a partial freeze on assets held by the Iranian Central Bank in the EU.

 

Tehran has threatened to block the Strait of Hormuz in retaliation. Tankers carrying 17 million barrels of oil pass through this waterway every day, accounting for 35 per cent of the world's seaborne crude shipments. At its narrowest point, located between Iran and Oman, the Strait is only 21 miles wide.

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 08:55
Royal Navy Sea Kings making a big difference in Helmand

photo UK MoD

 

November 18, 2011 defpro.com

 

Royal Navy Sea Kings have over the last five months helped seize more than seven tonnes of drugs and stop insurgents in Afghanistan building over 1,500 homemade bombs.

 

The Sea King Airborne Surveillance and Control helicopters of 854 Naval Air Squadron act as 'eyes in the sky', and have guided forces on the ground in making a series of busts in a summer and autumn of successful operations.

 

The Sea King crews' success can be attributed to the helicopter's cutting-edge radar which tracks insurgents so the crews can inform ground troops where to pounce.

 

The helicopters, based at Camp Bastion, are flying up to 50 hours a week, using the specialist radar in a large grey 'bag' on the side of the aircraft - which gives them their 'Bagger' nickname - to follow the movements of insurgents thousands of feet below on the ground.

 

In the past fortnight alone 854 Naval Air Squadron (NAS) - which comprises fewer than 50 personnel in Helmand - has directed troops to three men travelling in a truck which was carrying 570kg of opium, while a large amount of heroin was found on another vehicle.

 

The Sea Kings, known as 'cloudwalkers' by Afghans, have also this summer helped with the seizure of 7.2 tonnes of explosives - enough to produce more than 1,500 ten-pound (4.5kg) small improvised explosive devices which are then used to kill and maim British, Allied and Afghan troops, and Afghan civilians.

 

In addition to these successes, the past two weeks have also seen the helicopters pass on 70 intelligence tip-offs for ground troops to follow up.

 

Commander Pat Douglas, Commander Maritime Sea King Force, said: "Individually, these 'busts' are quite small, but, collectively, our small force is making a very big difference.

 

"We may be only operating over Helmand and environs but the impact of what we do spreads across the entire country.

 

"Every single time a vehicle we've tracked is stopped and drugs or explosives are found by ground forces, we are making things a percentage safer for Afghan civilians and the forces there who are protecting them."

 

The Baggers have been in Afghanistan since May 2009, with 854 NAS and her sister squadron from Royal Naval Air Station Culdrose, 857 NAS, taking it in turns to constantly monitor insurgent activity.

 

Although their missions are hundreds or thousands of feet above Helmand and the helicopters are based many miles from the scene of the various interdiction operations, Allied troops are very quick to pass on their gratitude for the intelligence the Baggers provide.

 

Commander Douglas added: "We're told quite quickly the outcome of our actions and the feedback we get is that we're making a difference, which has a big effect on morale - really satisfying."

 

Crews initially used their sorties over Helmand to build up their knowledge and experience of each area and to understand life on the ground, day-to-day traffic and seasonal movements (such as harvest-gathering).

 

With two-and-a-half years' experience under their belts, Commander Douglas said his men and women are well-attuned and familiar with their operating areas, making it easier for them to spot the unusual: "Operations now are more focused, more targeted and much more effective because we know the ground - there's a lot of knowledge in the squadrons," Commander Douglas added.

 

"We are on a campaign footing. We will continue to do the job out there as long as we are needed - we stay until our job is done."

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 12:50
Le HMS Astute lance son 1er missile Tomahawk – photo Royal Navy

Le HMS Astute lance son 1er missile Tomahawk – photo Royal Navy

 

15 novembre 2011 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Le HMS Astute, le plus récent sous-marin nucléaire d’attaque de la Royal Navy, a tiré pour la 1ère fois des missiles Tomahawk dans les cieux américains dans le cadre de ses essais.

 

 

 

 

Le HMS Astute se trouve dans le golfe du Mexique pour y effectuer les premiers essais du système. Il pourra embarquer une combinaison de 38 missiles Tomahawk et torpilles Spearfish.

 

La Grande-Bretagne est le seul pays à qui les Etats-Unis fournissent la technologie Tomahawk.

 

Le HMS Astute va poursuivre ses essais aux Etats-Unis jusqu’au début du printemps, avant de rentrer en Grande-Bretagne pour son entraînement avant son premier déploiement opérationnel.

 

Référence : Royal Navy

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30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 12:00

http://www.meretmarine.com/objets/500/33536.jpg

 

30/05/2011 MER et MARINE

 

Le navire amiral de la flotte britannique navigue désormais au large des côtes libyennes, a annoncé la Royal Navy. Le HMS Ocean, qui embarque des hélicoptères de combat Apache, est prêt à intervenir en soutien des opérations contre les forces du colonel Kadhafi. Il s'agit, selon Londres, d' « accroître la pression sur le régime pour en finir avec ses persécutions sur le peuple libyen ». Les quatre Apache embarqués sur le HMS Ocean pourront intervenir de concert avec la douzaine d'hélicoptères Tigre et Gazelle déployée sur le bâtiment de projection et de commandement français Tonnerre, qui a lui aussi rejoint la zone. Ces moyens doivent permettre de traiter certaines cibles terrestres échappant aux frappes de l'aviation.


Apache sur le HMS Ocean (© : ROYAL NAVY)

On notera qu'il s'agit du premier déploiement opérationnel de l'Apache sur un bâtiment de la Royal Navy. Outre le HMS Ocean, la marine britannique compte sur zone le destroyer lance-missiles HMS Liverpool, le sous-marin nucléaire d'attaque HMS Triumph (qui en est à son second déploiement en Libye et a tiré, à ces deux occasions, des missiles de croisière Tomahawk), ainsi que le chasseur de mines HMS Brocklesby, qui a déminé les accès au port de Misrata début mai.


On notera également que le groupe amphibie britannique, déployé en Méditerranée à l'occasion de la mission Cougar 2011 et auquel appartient le HMS Ocean, n'est pas loin de la Libye. Le pétrolier-ravitailleur RFA Wave Knight, qui appartient à cette force, a d'ailleurs ravitaillé le HMS Liverpool et la frégate espagnole Mendez Nunez le 17 mai, au large de Misrata. La force de projection anglaise comprend aussi le transport de chalands de débarquement HMS Albion, deux TCD auxiliaires du type Bay (RFA Mounts Bay et FRA Cardigan Bay), ainsi que le ravitailleur de combat RFA Fort Rosalie.


L'Albion, le Fort Rosalie, l'Ocean et le Wave Knight (© : ROYAL NAVY)


Le Mounts Bay, le Wave Knight et le Cardigan Bay (© : ROYAL NAVY)


Le HMS Liverpool (© : ROYAL NAVY)


Le HMS Triumph (© : ROYAL NAVY)

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