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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 16:40
Les médias étrangers ont salué le nouveau char russe T-14 « Armata »

Le nouveau char russe T-14 a dépassé le Léopard 2 allemand et l’Abrams américain par sa technologie (plateforme chenillée, tourelle plate, capsule blindée d’équipage, canons mitrailleurs télécommandés, station radar de guidage des obus, nouveau type d’acier et de céramique du blindage)

 

27 avril, 2015 Aleksandar Le Comte - Les réflexions d'Arès

 

La première apparition officielle du nouveau char russe T-14 « Armata » en public se produira le 9 mai 2015, lors de la parade militaire de Moscou commémorant le Jour de la Victoire. Les médias étrangers ne cessent d’aborder ce thème depuis des mois. Le magazine illustré allemand Stern a même publié un article le 31 Mars 2015 intitulé « Une nouvelle arme-miracle de Poutine ».

 

En cette matière, les Allemands ont décidé de rassembler toutes les informations à caractère secret concernant ce char. Outre l’unique vidéo provenant de Nizhny Tagil, de nombreuses vidéos-animations amateurs faites par informatique sur l’aspect supposé de ce char que les Allemands ont qualifiée de « Wunderwaffe ». Les conclusions et les notations vont bon train, et il faut le noter que la création ex-nihilo d’un nouveau modèle de char de combat de base est une grande rareté pour la plupart des armées du monde. Le « Leopard-2 » est le char principal de la Bundeswehr — créé il y a plus de 35 ans, le M1 « Abrams » américain n’est pas plus jeune. Parmi les modèles existants de véhicules de combat occidentaux, il y a toujours des refit ou un certain nombre d’améliorations, mais la conception de base ancienne.

 

Une attention particulière des articles est accordée au canon de 120-mm, qui d’après les rumeurs, surpassera l’un des meilleurs armements de char au monde – à savoir, l’arme du char allemand Leopard-2. Les médias allemands méticuleux n’ont pas non plus ignoré la tourelle plate inhabitée T-14 « Armata ».

 

La plus grande différence fondamentale caractérisant ce nouveau char est qu’aucun des membres de son équipage ne sera placé dans la tourelle et, par conséquent, ne sera pas exposé à un risque accru. Selon divers témoignages, les deux ou trois membres de l’équipage seront protégés dans une capsule spéciale située dans la partie avant de la machine. L’équipage sera mieux protégé que dans tous les autres chars au monde (Source : Stern)

 

L’éloge du char russe ne se termine pas là, puisque les observateurs américains ont également fait l’éloge du nouveau char, de sa mobilité, et de la plateforme technique de son système de chenille, blindage ultramoderne à base d’acier et de céramique.

 

« Imaginez que vous êtes responsable de la flotte d’une brigade de chars, et que vous avez des châssis chenillés différents, alors, vous devez garder en réserve une quantité suffisante de pièces de rechange, puis enseigner aux personnels l’assemblage de toutes les pièces sur chaque châssis différent. Or, il est beaucoup plus facile de prévoir le succès d’une réparation et sa mise en œuvre lorsque vous n’avez plus qu’à vous soucier que d’un seul type de châssis », a commenté l’expert américain sur la technologie russe Charles Bartlay sur ce même portail.

 

Rappelons que divers autres modèles de matériel militaire sont à l’étude pour la plate-forme T-14 « Armata », telle que la pièce d’artillerie automotrice 2S35 « Coalition-SV », ainsi que le futur véhicule de combat d’infanterie russe T-15.

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 15:50
T-80 MBT - photo Anton Denisov / Sputnik

T-80 MBT - photo Anton Denisov / Sputnik

 

27.04.2015 sputniknews.com

La Bundeswehr est incapable de faire face aux forces armées russes en cas de conflit armé, car elle ne dispose pas d'obus suffisamment puissants pour percer le blindage des chars T-80 et T-90, sans parler de l'Armata, indique le quotidien Die Welt.

 

Bien que l'armée allemande possède l'un des meilleurs chars du monde, Leopard 2, elle n'est pas en mesure d'opposer une riposte au matériel blindé russe, estime l'observateur militaire du journal Thorsten Jungholt. La cause en est l'absence de munitions capables de neutraliser les T-90 et la version modernisée des T-80. 

"Au moment du tir, les obus au noyau de tungstène en service dans la Bundeswehr n'acquièrent pas une énergie cinétique suffisante pour percer le blindage des chars russes modernes. Pour y parvenir, il faut utiliser des obus au noyau d'uranium, ce qui est difficile à réaliser pour des raisons politiques", constate M. Jungholt. 

Lors d'une réforme de la Bundeswehr, le nombre de Leopard 2 a été réduit jusqu'à 225 véhicules. Suite à l'aggravation de la crise ukrainienne, les troupes de l'Otan ont été mises en état d'alerte. A cette occasion, 100 chars déclassés seront remis en service, a annoncé la ministre allemande de la Défense, Ursula Gertrud von der Leyen.  

Cette mesure sera cependant inefficace sans munitions suffisamment puissantes, estiment les experts.  

"Remettre ces chars en service sans munitions est insensé du point de vue militaire", estime Hans Rühle, ancien chef d'état-major de la Bundeswehr.   

 

En attendant, la Russie mène à bien une modernisation de son matériel blindé, constate Die Welt. Bien que les caractéristiques du char Armata soient tenues secrètes, les informations provenant de sources ouvertes laissent supposer qu'il s'agit d'un char de nouvelle génération et qui supasse d'un cran aussi bien ses prédécesseurs que les modèles similaires étrangers.  

Les nouveaux chars Armata constituent le progrès le plus spectaculaire en matière de véhicules blindés russes. Leur principal trait distinctif consiste dans leur agencement permettant de placer l'équipage dans une capsule blindée isolée et d'installer les armements dans une tourelle commandée à distance, rapporte le magazine japonais Diplomat.

 
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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 10:50
Coup de semonce de la Finlande contre un sous-marin non identifié

 

29-04-2015 Par RFI

 

La marine finlandaise a repéré mardi un objet sous-marin dans ses eaux territoriales et a tiré un coup de semonce. Il pourrait s'agir d'un sous-marin russe.

 

L'activité militaire russe en mer Baltique s'est accrue depuis quelques mois et c'est dans ce contexte que la Défense finlandaise a informé qu'un objet sous-marin avait été repéré dans ses eaux territoriales.

 

« Une mission de reconnaissance a été conduite avec des navires en surface, puis une deuxième observation dans la zone de recherche » et « du fait des observations, un coup de semonce a été tiré au moyen de bombes sous-marines d'avertissement », a déclaré le ministre finlandais de la Défense. Il a précisé qu'il s'agissait de bombes qui émettent un bruit sourd mais ne causent pas de dommages directs. Le but de l'opération était de montrer qu'une activité « suspecte » avait bien été repérée.

 

La Finlande a une très longue frontière avec la Russie voisine, avec laquelle elle a essayé de maintenir de bonnes relations depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais récemment, Helsinki a annoncé l'intensification de sa coopération avec d'autres pays nordiques, en particulier avec la Suède.

 

En octobre dernier, la Suède avait recherché pendant plus d'une semaine, mais sans succès, un sous-marin observé à plusieurs reprises dans ses eaux territoriales.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 10:55
Collier's New Photographic History of the World's War (New York, 1918)

Collier's New Photographic History of the World's War (New York, 1918)


22.04.2015 Service Historique de la Défense (SHD)

 

22 avril 1676 : bataille d’Agosta (au large de la Sicile). Le lieutenant général Abraham Duquesne bat une flotte hispano-hollandaise commandée par l’amiral Ruyter dans le cadre de la campagne de Sicile menée par Louis XIV. Blessé au combat, Ruyter meurt quelques jours plus tard à Syracuse où s’est réfugiée sa flotte.

 

22 avril 1809 : bataille d'Eckmühl (Bavière).  Napoléon 1er bat les Autrichiens et pour récompenser le maréchal Davout qui s'est bien comporté, le fait prince d'Eckmühl.

 

22 avril 1900 : bataille de Kousseri (actuel Cameroun). Le commandant Lamy avec 1300 hommes (issus de 3 colonnes ayant opéré leur jonction la veille) dont 700 équipés de fusils, attaque le chef de guerre Rabah et son armée (estimée à 10 000 hommes) près de Kousseri.  Lamy et Rabah meurent au combat. C’est la dernière grande bataille du Sud Saharien qui sans pacifier totalement la zone fait cesser les raids sanglants de Rabah. L’affrontement a eu lieu sur la rive gauche du Chari, juste en face du village de Kotoko (rive droite tchadienne) qui sera rebaptisé Fort Lamy un mois plus tard. Depuis 1973, Fort Lamy est N’Djamena.

22 avril 1915 : utilisation pour la première fois des gaz de combat (Ypres). Les Allemands répandent des milliers de litres de chlore sur le front, au niveau du saillant d'Ypres. Le vent porte le gaz sur les positions françaises tenues par deux divisions qui se replient précipitamment. Les Canadiens, fraichement arrivés, doivent se redéployer pour faire face au vide laissé par les Français (8 km de large) et s’y sacrifient pour contenir la progression allemande.

22 avril 1945 : Hitler admet devant témoin que la guerre est perdue et qu'il va se suicider (Berlin)

22 avril 1956 : les sapeurs soviétiques découvrent un tunnel de la CIA (Berlin). A la faveur de travaux, un tunnel secret de 449 mètres est découvert sous la RDA. Creusé par les services secrets américains, ce tunnel a permis à la CIA, pendant près d'un an, d'intercepter les communications téléphoniques de l'armée rouge. Le KGB est en fait parfaitement au courant depuis le début des travaux mais pour ne pas griller sa source (un diplomate britannique, George Blake), patiente un an avant de simuler la découverte.

 

 

Monument érigé à Dumbéa (Nouvelle-Calédonie) en hommage aux gendarmes victimes de l'attaque de la brigade de Fayaoué (Ouvéa) le 22 avril 1988 - Photo Jaqui Monnier extraite du livre la Gendarmerie outre-mer de Gérard CABRY.jpg

Monument érigé à Dumbéa (Nouvelle-Calédonie) en hommage aux gendarmes victimes de l'attaque de la brigade de Fayaoué (Ouvéa) le 22 avril 1988 - Photo Jaqui Monnier extraite du livre la Gendarmerie outre-mer de Gérard CABRY.jpg

22 avril 1988 : attaque de la gendarmerie de Fayaoué (ile d’Ouvéa – Nouvelle Calédonie). En pleine campagne présidentielle française, un groupe d’indépendantistes Kanaks du FLNKS tue 4 gendarmes et en prend en otage 27 autres. Le  5 mai après avoir tenté à plusieurs reprises de négocier, le GIGN appuyé par le 11ème Choc, le commando Hubert et 2 lance-flamme du 17ème RGP donne l’assaut contre la grotte d’Ouvéa où sont encore retenus 16 otages.

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21 avril 2015 2 21 /04 /avril /2015 16:40
BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev - Sputnik

BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev - Sputnik

 

22/04/2015 latribune.fr 

 

Toutes les hypothèses seront évoquées lors de la rencontre de vendredi avec Poutine, a assuré le président français. Il a toutefois réaffirmé que, "pour l'instant, la livraison des deux navires de guerre à Moscou n'est pas possible".

 

Pour François Hollande, il n'y a pas de raison de se prendre la tête:

"Si les bateaux ne sont pas livrés, je ne vois pas comment ils peuvent être payés, c'est quand même un principe assez simple", a-t-il affirmé mercredi 22 avril.

Le président de la République française répondait ainsi à Vladimir Poutine au sujet du contrat de vente de deux navires de guerre Mistral conclu en juin 2011 entre Paris et Moscou et suspendu en novembre par la France en raison de la crise ukrainienne.

Le 16 avril, le chef de l'Etat russe avait en effet signifié que la Russie entendait être remboursée par Paris des sommes déjà versées. Expliquant qu'il n'avait pour autant pas "l'intention d'exiger des pénalités excessives" pour la rupture de ce contrat évalué à près de 1,2 milliard d'euros, le chef de l'Etat russe avait déclaré:

"Je pars du principe que les autorités françaises, les Français, étant des gens corrects, ils nous rendront l'argent."

 

"Exactement le même langage"avec la Russie

"Nous évoquerons toutes les hypothèses", a affirmé François Hollande évoquant sa rencontre prévue pour vendredi avec Poutine à Erevan. "Selon les différentes hypothèses, vous aurez paiement ou remboursement", a-t-il expliqué à la presse, précisant:

"Soit vous livrez et vous êtes payés, soit vous ne livrez pas et vous devez rembourser ce qui a été payé et, en tout cas, vous ne pouvez pas demander à être payés en plus".

"De ce point de vue-là, avec le président Poutine, nous sommes parfaitement au clair", a insisté François Hollande pour qui "avec la Russie, c'est exactement le même langage".

Le président français, qui a ainsi admis pour la première fois que Paris pourrait ainsi être amené à rembourser Moscou, n'a toutefois pas manqué de souligner:

"Pour l'instant, je l'ai dit, la livraison du Mistral n'est pas possible".

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:50
Rear Admiral Anders Grenstad photo sverigesradio.se

Rear Admiral Anders Grenstad photo sverigesradio.se

 

13 Apr 2015 thelocal.se

 

UPDATED: A suspected submarine spotted in the Stockholm archipelago a week after Sweden's extensive hunt for Russian underwater vessels last autumn was only a civilian boat, Sweden's Armed Forces have now said. But they remain convinced that the first sighting was a small foreign sub.

 

 

On October 31st 2014, retired naval officer Sven Olof Kviman snapped a picture of what looked like a 20-30 metre long, black submarine in waters just outside Lidingö in Stockholm. The incident has remained unconfirmed, but has been classed by the military as a “potential” submarine.

But Rear Admiral Anders Grenstad has now told Swedish newspapers that the Armed Forces reported to the Swedish government last Wednesday that the suspected underwater vessel was in fact only a civilian “working boat”.

 

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:55
Le Normandie-Niémen

 

10/04/2015 par DICoD

 

Lorraine, Bretagne, Anjou, Béarn, Provence, Côte-d’Argent… Les escadrons de l’armée de l’air française portent souvent un nom lié à la géographie de notre pays. Pourtant, quelques-uns échappent à cette règle. Parmi eux, le Normandie-Niémen.

 

Aux sources du Niémen…

 

Le Niémen est un fleuve d’Europe de l’Est qui prend sa source en Biélorussie, traverse la Lituanie et longe la frontière russe. Pour comprendre le rapport entre ce fleuve, la Normandie et notre escadron de chasse, il faut remonter à la Seconde Guerre mondiale. Après la rupture du pacte de non-agression germano-soviétique en 1941, le général de Gaulle tente un rapprochement avec l’Union soviétique. En 1942, il décide qu’une unité d’aviation de chasse sera désormais présente sur le Front de l’Est. À cette époque, il existe déjà deux groupes de chasse : l’Alsace et l’Île-de-France. Cette nouvelle formation s’appelle Normandie. Soixante militaires français, dont quinze pilotes, sont alors envoyés à 250 km au nord-est de Moscou, sur la base d’Ivanovo. Ils disposent de quelques mois seulement pour apprendre à communiquer avec leurs nouveaux collègues soviétiques, s’adapter aux conditions climatiques très rudes, et apprendre à se repérer dans les paysages immenses et recouverts de neige.

 

Les débuts d’une unité exemplaire

 

En mars 1943, ils sont fin prêts. À bord des Yakovlevs (ou Yaks) fournis par le commandement soviétique, les Français entament la première de leurs trois campagnes le 22 mars 1943. Au fil des combats, les pilotes français deviennent rapidement des modèles pour leurs homologues soviétiques. Le 21 juillet 1944, par ordre de Staline, l’unité française reçoit le titre de « Régiment du Niémen », et change alors son nom en Normandie-Niémen. Elle est la seule unité de chasse française à porter l’appellation de régiment et à être pourvue d’un drapeau. Le 27 novembre 1944, le Normandie-Niémen est la première unité française à stationner sur le sol allemand. Entre mars 1942 et mai 1945, fin de leur troisième et dernière campagne, les 97 pilotes engagés comptent pas moins de 273 victoires confirmées avec dans ses rangs une trentaine d’As, dont une dizaine comptabilisent plus de 10 victoires chacun. Quarante-deux officiers ne reviendront jamais en France. À la fin de la guerre, les pilotes ont l’honneur de retrouver le sol français à bord des avions qui leur ont permis de s’illustrer dans le ciel soviétique. Ces militaires exceptionnels reçoivent de nombreuses décorations, tant françaises que soviétiques.

 

Le 3 juillet 2009, alors basé à Colmar, l’escadron est officiellement mis en sommeil. Il est finalement recréé le 1erseptembre 2011 et devient le quatrième escadron Rafale de l’armée de l’Air.

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8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 11:40
Le sous-marin nucléaire en feu sur le chantier naval de Zvezdotchka, dans le nord du pays, le 7 avril. photo RT.com

Le sous-marin nucléaire en feu sur le chantier naval de Zvezdotchka, dans le nord du pays, le 7 avril. photo RT.com

 

08.04.2015 Le Monde.fr

 

L'incendie qui s'était déclaré mardi 7 avril dans l' après-midi dans un sous-marin nucléaire russe en dans le port de Severodvinsk, dans la mer de Barents, a été éteint, selon les chantiers navals où il se trouvait. Le feu s'était déclaré au niveau du 9e compartiment, à l'arrière du sous-marin à propulsion nucléaire Orel – de classe Oscar II selon les codes OTAN – alors qu'étaient effectués des travaux de soudure, a expliqué un porte-parole de l'Union des constructeurs navals, Ilia Jitomirski. Après plusieurs heures de lutte contre l'incendie, les pompiers avaient dû se résoudre à noyer le dock avec de l'eau de mer pour éteindre le feu, une opération fastidieuse qui ne s'est achevée que trois heures plus tard. Signe du sérieux de l'incident, l'amiral Viktor Chirkov, chef d'état-major de la marine russe, s'est rendu sur place, rejoignant plusieurs hauts responsables de la marine militaire.

 

Suite de l’article

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:40
More than 100,000 people will visit Army-2015

 

31 Mar 2015 by Rostec

 

More than 500 military-industrial companies will participate in the forum

 

The International Military-Technical Forum Army-2015 will be held June 16-19, 2015, in the Moscow region. More than 500 companies are expected to present their products at the exhibition. According to organizers, over the course of four days, more than 100,000 guests, as well as representatives of the military-diplomatic corps of more than 100 countries, will visit the forum and exposition.

The Russian Defense Ministry is facilitating the forum, the first it has organized on this scale.

The forum seeks to facilitate all necessary conditions for reaching technical and technological solutions for the production of weapons, as well as military and special equipment, and to create a positive image for the Armed Forces of the Russian Federation.

Many leading enterprises and holdings companies of Russia’s military-industrial complex have already confirmed their participation in the Army-2015 forum, including: Rosoboronexport, United Aircraft Corporation, Russian Helicopters, United Engine Corporation, holdings of Ruselectronics, High Precision Systems, and others. Leading Russian research institutes, civil and military institutions of higher education, as well as a number of large foreign companies that produce military equipment, are also expected to participate.

In the city of Kubinka, Patriot Park of Culture and Leisure of the Russian Armed Forces is under construction and will be home to an aviation sector that features airplanes, helicopters, weapons, and military equipment for aerospace and defense troops. At least 43 pieces of equipment will be housed here, which will also be a demonstration site for military and aerobatic flights from the teams Russian Knights, Swifts, and Golden Eagles.

Demonstrations will also take place at land and water sectors, where visitors can see tanks, self-propelled guns, armored personnel carriers and battle vehicles, modern automotive and robotic equipment, and unmanned systems. In total, 75 pieces of equipment will be housed here. Sample units will fire on simulated enemies and overcome land obstacles on a test track, or water obstacles on a hydraulic course constructed specially for this event.

The business part of the forum will consist of round tables and training workshops with the participation of representatives of the military administration. In addition, several dozen sections of the Scientific and Technical Council of the Russian Ministry of Defense will be organized. Experts will discuss topics including the development of robotic systems for military use, control of troops, the simulation of weapons and combat operations, and issues regarding national security in the Arctic.

Meetings of the highest level, including those with representatives of foreign delegations, are planned to take place during the forum.

“I am confident that the possibility of direct communication with leading experts and an exchange of views on future design decisions of breakthrough technologies and their practical applications will promote the development of military thought and strengthen international military-technical cooperation,” said Sergey Shoigu, Russian Defense Minister.



Construction and installation is currently underway at Patriot Park for a year-round exhibition of arms and military equipment. According to the Defense Minister, this area will be able to compete with the largest military exhibitions around the world.

The park has an area of 5,414 hectares. It will be divided into five main areas: exhibition halls, museum exhibits, demonstration sites for modern models of equipment and weapons, military-historical reconstruction, and a cultural and recreational area.

Patriot Park is estimated to be able to accommodate 20,000 people a day. Visitors will be able to do more than see the exhibits. Beginning in June of this year, they will have the opportunity to purchase military vehicles, along with various types of uniforms and equipment.

It may be recalled that an agreement to establish an exhibition site to display weapons and military and special equipment at Patriot Park was signed in December 2014 by Sergey Chemezov, CEO of Rostec Corporation, Sergey Shoigu, Russian Defense Minister and Army General, Denis Manturov, Russian Minister of Industry and Trade, and Andrey Vorobyov, Moscow Region Governor.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:40
Kalashnikov will increase the level of investment by a billion rubles

CEO of Concern Kalashnikov, Aleksey Krivoruchko, spoke in an interview with Vesti.ru about how sanctions have affected the work of the company, which, despite the sanctions being in place, has managed to increase its production capacity, and about the newly reshaped global geography of the weapons purchasing market.

 

02.04.2015 by Rostec

 

CEO of the Concern Aleksey Krivoruchko discussed how it was possible to increase production under sanctions


 

 

 

- Earlier you mentioned the launch of boats and drones. What is the volume of investment in these areas?

- The amount of investment will be approximately 700-800 million rubles for the two companies. We purchase a share in the assets of the already existing companies, which are promising and already present in the market. We believe this investment will be very promising, since it is an area that we are seriously pursuing.

 

- In your opinion, why is there such an interest in these particular areas?

- With regard to the boats, this niche is still quite reasonably free. They are light, small boats, and we believe that this niche is going to develop further, both for the Defense Ministry and for other customers, including those in the civil field. And also, we are considering installing weapons of our production on these boats.

 

Our program will increase due to currency exchange rates. Originally it stood at 5 billion rubles. Now it will be no less than 6 billion rubles

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- As far as boats and drones go, who are your main customers?

- We are currently working on exporting boats and drones, and we hope and believe that there will be many export orders.

 

- Who else are you looking at as potential buyers in the long term?

- There’s EMERCOM, and Customs who were buying and will continue to buy, and, of course, the Ministry of the Interior. Therefore, we believe that there is a great potential for development.

 

- What kind of return on these investments do you expect?

- We expect to fully recoup this investment within three years.

 

- Our experts believe the way for the Concern to reach its past capacity is now possible by expanding and updating the range. What other projects can be expected in the near future?

- Our primary area of activity, is, of course, small arms of various calibers, and we are conducting more development in this field, with already more than 40 works in progress, and many of these works we will showcase this year at the "Russian Army" Expo in the Maritime Defense hall of the exhibition. Therefore, we have a lot to do, and you are absolutely right, without modern, new developments, it is, of course, hard to expand to larger volumes of production and sales, including abroad. The investment program, which was around 5 billion rubles, will increase in the overall amount, primarily due to currency exchange rates. And we now know that it will be an investment of at least 6 billion rubles. Approximately one and a half billion has been invested last year, and about one and a half billion will also be invested this year, meaning that, in regards to the investment program, we are not making any reductions. So far, we have a situation that allows us to save on all volumes.

 

We have no personnel reductions, and instead have increased production by more than half this year, compared to 2014.

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- Are there any other areas for reducing costs, as far as you know, within the company?

- The Concern has a lot of experience in reducing costs, due to the fact that for many years there was no new technology, or for that matter, new equipment. And today we already have a great example: we changed out 30 machines for one machine, which is much more technologically advanced. And, of course, there is the transition to new technology when it comes to metals that can save tens or even hundreds of percentage points in costs. This is one of the key areas where we are seeing positive results.

 

- So, as it turns out, you are reducing costs through investment and through the purchase of new equipment?

- Partly so, even though up to now the Concern has been profitable, but it is impossible to acquire new machines and technologies without making the necessary investment. However, for now it has a strong effect, and today we were able to increase production by more than double over the previous year, in comparison to 2013, proving that, in that regard, it is working.

 

- So the main effect is already visible. But what is the main result that you are aiming for?

- We are planning very seriously to reduce our costs, both in production and overhead costs. We expect to finalize our investment program in 2017.

 

- Nowadays, many companies are trying to reduce personnel, how do you see your future staffing concerns?

- We are not planning any reductions, there are even jobs available for hiring - mainly for workers. We were able to expand the overall enterprise by expanding our exports. We have our orders. We have a large order from the Defense Ministry, and therefore, we have no plans to implement cuts, and instead, we expect a production increase even two times greater than the growth of 2014.

 

- How have sanctions affected the work of Kalashnikov Concern and what results have you achieved during 2014 ?

- They really had a huge affect upon us. Of all the companies that were targeted on the sanctions list, we were the only one that had almost 80 percent of products that were exported to the United States market - they were our civilian weapon sales. For us, this was certainly a serious blow. But thanks to the work with our colleagues at Rosoboronexport and other companies, we were to completely replace these volumes. And as I said, in 2014, we increased the volume almost two-fold compared to 2013 - despite the sanctions. So this is one of our, let's say, problem areas.

The second issue, which is also connected with the sanctions, it that it has become difficult to obtain foreign exchange transfers from customers. Banks are afraid to cooperate with us, which created a number of difficulties.

And the third area, which is also affected by the sanctions, is the supply of equipment. Equipment from European or other manufacturers. You may buy equipment from a European manufacturer, and then, for reasons beyond you, they refuse to supply spare parts or other services. For us, this was, of course, a bit of a kick and a lesson learned, so now we go to Russian manufacturers for machine tools, and as of right now, the industry is actively developing. We also work with Asian producers.

 

- Some people believe that 100 percent import substitution is impossible. As far as the Concern goes, do you imagine making it happen?

- In our case, thankfully, it is entirely possible to pull it off, thanks to our partners in Asia. To date, we have had cases of refusal to supply equipment, and it is only caused a negative impact in regards to the image of those companies.

 

Almost 80% of the products were shipped to the United States, so the sanctions and closing of this market was a serious blow for us, but we were able to completely replace these volumes

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- What is the current ratio between imported and domestic equipment?

- Not all equipment is made in Russia - but around 15-20% we purchase from Russian and Belorussian manufacturers.

 

- At what prices are you now having to buy imported components and how have they changed after the imposition of sanctions?

- In rubles, it is certainly more expensive, but these are very good quality products, which are still much cheaper than the European ones.

 

- You say that previously Kalashnikov Concern had 80 percent of its sales coming from the United States. Who became the new buyer that filled the void?

- A year ago, we had 80 percent civilian weapons being sold. Then, due to the ban, we had to reorient our civilian market, and, of course, we had to refocus our strategy and production. And today we have realigned 80 percent of our production to military weapons. In this area, the main customers are Africa and the Middle East, as well as South East Asia, Latin America, and the countries where we have been able to significantly increase sales by working with Rosoboronexport.

 

- When you were talking about drones and boats, you mentioned purchasing of companies. Do you have any such purchases planned for the future?

-Indeed, these options are not excluded - they are definitely being considered fully. We have already conducted a detailed study of purchasing abroad, however, because of the sanctions, we have suspended it for now and hope that it will soon come back online.

 

- What are the financial goals and objectives of Kalashnikov Concern for 2015?

- As you already know from the Company’s reporting statement for 2014, we carried a net profit. It was relatively small at 88 million rubles, but this was a very positive result, considering the imposition of sanctions. This year we plan to significantly increase net income and revenue, so we have great confidence in the future.

 

- Significantly, by how much?

- We have a number of contracts that we have to implement. There are a number of difficulties involved, but we are planning for an increase of up to 15 billion rubles in the near future, compared to 4 billion in the past.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:40
Photo FB Цаплиенко

Photo FB Цаплиенко

 

April 1, 2015: Strategy page

 

 One of the many reasons NATO believes the Russians are actively involved in the fighting in eastern Ukraine (Donbas) is the presence of Russian electronic warfare equipment. Not just Cold War era stuff (which Ukraine inherited some of when the Soviet Union collapsed in 1991) but equipment NATO knows was developed in the 1990s or later. This Russian gear has greatly aided the rebels, who have neither captured any advanced Ukrainian electronic warfare equipment or possess the number of electronic warfare experts needed to operate the equipment needed to explain the amount of jamming and eavesdropping the rebels are being supported with. Thus the rebels can jam or eavesdrop on all manner of Ukrainian communications (cell phones, military communications and control equipment for UAVs and anything else operated remotely) and jam those communications as well.

 

Ukraine has asked NATO for electronic warfare support and there has been no publicity about the result. That could mean that some NATO nations responded, quietly, mainly for the opportunity to get a better understanding of the latest Russian electronic warfare gear under combat conditions. That is important because Russia exports a lot of this equipment. The Russians don’t mind making their electronic warfare tech more vulnerable to theft because Russian manufacturers need the money to stay in business. NATO would simply like to know more about the latest Russian gear, just in case.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:40
Su-30MK russe photo Sukhoi

Su-30MK russe photo Sukhoi

 

30 mars 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Sukhoi vient de livrer au Kazakhstan les 4 derniers Su-30SM de la première phase d’une commande, annoncée en février, portant sur la construction et l’exportation d’un nombre total de 36 appareils au Kazakhstan. Ce contrat s’inscrit dans un ambitieux programme de développement d’un avion de chasse datant de l’époque soviétique.

 

Le projet Su-remonte à l’ère soviétique et plus précisément au lancement, en 1988, de la conception d’un avion d’attaque au sol inspiré de l’avion d’entrainement au combat Su-27UB. Quatre ans plus tard, le 14 avril 1992, le premier avion de série décollait avec succès. Apres l’effondrement de l’URSS, toutefois, la production de masse a ralenti avant de cesser complètement et le Su-30 a principalement été utilisé pour des essais et expositions dans des salons aéronautiques internationaux. La production du Su-30 d’origine a fini par s’arrêter alors que les ingénieurs s’employaient à libérer le plein potentiel de l’appareil. La conception du Su-30MK (M pour modernisé et K pour commercial) a débuté en 1992.

 

Suite de l’article

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:40
Hélicoptère Ka-27 - photo Russian Helicopters

Hélicoptère Ka-27 - photo Russian Helicopters

 

30.03.2015 sputniknews.com

 

L'exercice aéronaval qui a débuté lundi dans l'Extrême-Orient russe est la plus importante depuis la chute de l'URSS.

 

Le plus grand exercice de l'aviation et des forces navales depuis la chute de l'Union soviétique a commencé lundi dans l'Extrême-Orient russe, a annoncé une source au sein du ministère de la Défense. L'exercice réunit plus de 100 avions et hélicoptères de différentes classes, des systèmes sol-air S-300 et S-400 et des bâtiments de guerre de la Flotte russe du Pacifique.

 

Ces manœuvres ont pour but de perfectionner les techniques de transfert de l'aviation et de riposte à une frappe massive contre les bases navales russes.

 

Le service de presse de la Flotte du Pacifique a fait état lundi d'une phase de l'exercice liée à la vérification des systèmes de liaison et à la coopération entre aéronefs et navires.

 

"L'exercice qui s'est déroulée sur la base aérienne d'Elisovo visait à perfectionner l'utilisation opérationnelle des avions Il-38 et des hélicoptères Ka-27 pour effectuer des missions de reconnaissance et rechercher des cibles navales. Les équipages ont rempli des missions de débarquement et d'évacuation de blessés conventionnels de la zone d'opération",  a annoncé Roman Martov, porte-parole de la Flotte du Pacifique.

 

Selon le porte-parole, une attention particulière été accordée à la coopération au sein des binômes et des sections d'avions, ainsi qu'entre les aéronefs et les bâtiments faisant partie des groupes de recherche et de reconnaissance.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:40
Armor: Why The T-72 Survives

T-72B3 - photo Military-today

 

March 31, 2015: Strategy Page

 

A Russian motorized infantry brigade in Western Siberia recently received fifteen modernized T-72B3 tanks. This is a modernized version of T-72 with an improved fire control system and next-generation communications equipment. The delivery was of the Russian effort to modernize its armed forces. Russia has over 5,000 T-72 tanks in use (2,000 in active service and 3,000 in reserve) and most of them are Cold War (pre-1991) vintage and seriously out-of-date compared to American, European and Chinese tanks.

 

The T-72 is a Soviet second-generation tank that entered production in 1971. About 20,000 T-72 tanks were built, making it one of the most widely produced post–World War II tanks, second only to the T-54/55 family. The T-72 was widely exported and saw service in 40 countries and in numerous conflicts. Improved variants are still being built for export customers. The T-72 was the most common tank used by the Warsaw Pact from the 1970s to the collapse of the Soviet Union. It was also exported to other countries, such as Finland, India, Iran, Iraq, Syria, and the former Yugoslavia, as well as being copied elsewhere, both with and without licenses.

 

Licensed versions of the T-72 were made in Poland and Czechoslovakia, for other East European countries. These tanks had better and more consistent quality of make but inferior (to Russian made models) armor, lacking the resin-embedded ceramics layer inside the turret front and glacis armor. The Polish-made T-72G tanks also had thinner armor compared to Soviet Army standard (410 mm for turret). Before 1990, Soviet-made T-72 export versions were similarly downgraded for non-Warsaw Pact customers (mostly the Arab countries). Many parts and tools are not interchangeable between the Russian, Polish and Czechoslovakian versions, which caused logistical problems.

 

The T-72 shares many design features with earlier Soviet tanks. Some of these are viewed as deficiencies in a straight comparison to NATO tanks, but most are a product of the way these tanks were envisioned to be employed, based on the Soviets' practical experiences in World War II. The T-72 is extremely lightweight, at forty-one tons, and very small compared to their Western counterparts. Some of the roads and bridges in former Warsaw Pact countries were designed so that T-72s can easily use them while NATO tanks could not pass at all, or only at very low speed.

 

The basic T-72 is relatively underpowered, with a 780 hp (580 kW) supercharged version of the basic 500 hp (370 kW) V-12 diesel engine block originally designed for the World War II-era T-34. The 0.58 m (23 inch) wide tracks run on large-diameter road wheels, which allows for easy identification of the T-72 and descendants (the T-64/80 family has relatively small road wheels).

 

The T-72 has a comprehensive nuclear, biological, and chemical (NBC) protection system. The inside of both hull and turret is lined with a synthetic fabric made of boron compound, meant to reduce the penetrating radiation from neutron bomb explosions. The crew is supplied clean air via an extensive air filter system. A slight over-pressure prevents entry of contamination via bearings and joints. Use of an autoloader for the main gun allows for more efficient forced smoke removal compared to traditional manually loaded ("pig-loader") tank guns, so NBC isolation of the fighting compartment can, in theory, be maintained indefinitely. Exported T-72s do not have the anti-radiation lining.

 

Armor protection of the T-72 was strengthened with each succeeding generation. The original T-72 turret is made from conventional cast armor. It is believed the maximum thickness is 280 mm (11 inches), the nose is about 80 mm (3.1 inches) and the glacis of the new laminated armor is 200 mm (7.9 inches) thick, which when inclined gives about 500–600 mm (20–24 inches) thickness along the line of sight. Late model T-72s feature composite armor protection.

 

The T-72A featured a new turret with thicker but nearly vertical frontal armor. The cast steel turret included a cavity filled with quartz or sand. The T-72M (export version of the Soviet T-72A) featured a different armor protection compared to the T-72A: it had a different composite insert in the turret cavity which granted it less protection against HEAT and armor-piercing (AP) munitions. The modernized T-72M1 featured an additional 16 mm (0.63 inch) of armor on the glacis plate, which produced an increase of 32 mm (1.3 inch) horizontally against both HEAT and AP. It also featured a newer composite armor in the turret with pelletized filler agent.

 

Several T-72 models featured explosive reactive armor (ERA), which increased protection primarily against HEAT type weapons. Certain late-model T-72 tanks featured heavy ERA to help defeat modern HEAT and AP against which they were insufficiently protected. Late model T-72s, such as the T-72B, featured improved turret armor, visibly bulging the turret front. The turret armor of the T-72B was the thickest and most effective of all Soviet tanks; it was even thicker than the frontal armor of the T-80B. The T-72B used a new "reflecting-plate armor" in which the frontal cavity of the cast turret was filled with a laminate of alternating steel and non-metallic (rubber) layers. The glacis was also fitted with 20 mm (0.8 in) of appliqué armor. The late production versions of the T-72B/B1 and T-72A variants also featured an anti-radiation layer on the hull roof.

 

Early model T-72s did not feature side skirts; instead the original base model featured gill or flipper-type armor panels on either side of the forward part of the hull. When the T-72A was introduced in 1979, it was the first model to feature the plastic side skirts covering the upper part of the suspension, with separate panels protecting the side of the fuel and stowage panniers.

 

After the collapse of the Soviet Union, U.S. and German analysts had a chance to examine Soviet-made T-72 tanks equipped with Kontakt-5 ERA, and they found this ERA impenetrable to most modern American and German tank projectiles. This sparked the development of more modern Western tank ammunition, such as the M829A2 and M829A3. Russian tank designers responded with newer types of reactive armor, including Relikt and Kaktus.– Ryan Schinault

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:40
Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

 

27.03.2015 sputniknews.com

 

Selon un journal US, la Russie modernise avec succès son armée et pourra présenter de nouveaux matériels de guerre lors du défilé de la Victoire du 9 mai prochain.

 

La Russie construit plus de 100 bombardiers de génération 4+ Sukhoi Su-34 dont 16 seront livrés à l'armée dès 2015, rapporte le journal américain Newsweek.

 

Les bombardiers Su-34 remplaceront les Su-24. Leur production en série n'est qu'un élément du programme destiné à moderniser 70% des armements russes d'ici 2020.

 

Le bombardier tactique russe avec des capacités de lutte anti-navire Su-34 (code Otan: Fullback) a un rayon d'action de 4.000 km et sa vitesse maximale est de 1.900 km/h. Il est doté d'un canon de 30 mm et peut emporter une charge de combat de 8.000 kg.

 

Selon le journal, la Russie présentera plusieurs nouveaux matériels de guerre lors du Défilé qui aura lieu sur la place Rouge de Moscou à l'occasion du 70e anniversaire de la Victoire dans la Grande guerre patriotique de 1941-1945.

 

La Russie présentera notamment le blindé Taïfoun-U, le véhicule blindé de combat d'infanterie Kourganets-25 et la plateforme lourde à chenilles Armata, d'après Newsweek.

 

La Marine russe sera elle aussi modernisée. La Russie entend construire ses propres grands navires de débarquement au lieu des porte-hélicoptères Mistral que la France refuse de livrer à Moscou.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 09:30
Nucléaire iranien: la Chine appelle les deux parties à rapprocher leurs positions

 

01 avril 2015 Romandie.com (AFP)

 

 

Lausanne - La Chine a appelé mercredi les grandes puissances et l'Iran à rapprocher leurs positions pour parvenir à un accord sur le nucléaire iranien, quelques heures après que la suspension des négociations dans la confusion la plus totale, selon un communiqué distribué mercredi par la délégation chinoise à Lausanne.

 

Il est important de réduire les différences. Dans cette phase finale, toutes les parties doivent être prêtes à rapprocher leur position, a déclaré le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, avertissant que si les négociations sont coincées, tous les efforts précédents seront gâchés.

 

Il est important de donner une impulsion politique plus forte aux négociations, a également souligné M. Wang, qui a quitté les négociations de Lausanne mardi soir, laissant son adjoint le représenter.

 

Les négociateurs, qui discutent sans relâche depuis une semaine à Lausanne, se sont séparés au petit matin mercredi dans la confusion, Iran et Russie sur une note optimiste, tandis que les Etats-Unis assuraient que toutes les questions n'étaient pas réglées.

 

Les grandes puissances (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) et l'Iran sont engagés depuis un an et demi dans d'intenses discussions pour résoudre la crise du nucléaire iranien, qui plombe les relations internationales depuis 12 ans.

 

Ils étaient censés aboutir à un premier compromis avant le 31 mars. Un accord final garantissant que Téhéran ne cherchera pas à se doter de la bombe atomique en échange d'une levée des sanctions doit être trouvé d'ici le 30 juin.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 07:40
photo Alexei Philippov - Sputnik

photo Alexei Philippov - Sputnik

 

26.03.2015 sputniknews.com

 

Le holding russe de hautes technologies Rostec a conçu des éléments du "soldat du futur" permettant aux militaires de se connecter aux drones de reconnaissance.

 

Le système d'armes individuel russe (UNKV) comprend désormais des éléments permettant aux militaires de se connecter aux drones de reconnaissance, a annoncé le Holding unifié de construction des instruments de précision (OPK), membre du holding russe de hautes technologies Rostec.

 

"Les équipements faisant partie d'UNKV permettent au militaire d'être relié aux réseaux locaux de commandement et d'échange de données, aux systèmes de navigation par satellites GLONASS/GPS, donnent l'accès à distance aux véhicules de combat, permettent de se connecter aux moyens de surveillance et de reconnaissance, notamment aux drones. La nouvelle version du système est la première où toutes les communications sont cryptées", a indiqué le groupe OPK dans un communiqué.

 

Cette année, OPK envisage de livrer un lot important de nouveaux systèmes d'armes individuels aux troupes terrestres russes. "En 2014, nous avons achevé les travaux de conception de la nouvelle version d'UNKV et commencé à livrer ces équipements à l'armée. Des livraisons importantes sont prévues pour 2015", a déclaré le directeur adjoint d'OPK Sergueï Skokov.

 

Selon lui, "la composante intellectuelle de l'équipement du soldat du futur sert à automatiser le contrôle des unités d'infanterie motorisée au niveau compagnie-section-unité-soldat et assure une intégration totale dans le système automatisé de gestion du combat. Ses éléments permettent aux soldats de coopérer, de s'orienter sur le terrain et de produire, transmettre et recevoir des données sur la situation tactique.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 20:40
Photo Patrick Brion – MIL.be

Photo Patrick Brion – MIL.be

 

23/03/2015 Johan Van Herck –MIL.be

 

Du 16 au 21 mars 2015, la Fédération russe a effectué un vol d'observation au-dessus du territoire du Benelux et de l'Allemagne. Cela s'est déroulé dans le cadre du traité Open Skies.

 

Open Skies est un traité signé en 1992 par l'OTAN et les anciens États membres du pacte de Varsovie afin d'ouvrir l'espace aérien à leurs avions d'observation. En prenant des images des territoires de chacun, les participants tentaient de maintenir la paix et d'éviter les conflits.

 

Le lundi 16 mars à 16 heures, l'avion russe Antonov 30B atterrissait à la base de Melsbroek, l'unique terrain d'aviation belge à partir duquel les avions d'observation peuvent décoller. Mardi, les spécialistes de la Benelux Arms Control Agency (BACA) ont contrôlé le plan de vol prévu et l'ont coordonné avec les contrôleurs du trafic aérien belge, néerlandais et allemand. Mercredi, jeudi et vendredi, les vols d'observation ont eu lieu.

 

Un premier vol est parti de Melsbroek vers la base aérienne allemande d'Ingolstadt en passant par les Pays-Bas. Un deuxième depuis Ingolstadt vers Cologne-Bonn et un troisième et dernier depuis Cologne-Bonn pour revenir à Melsbroek.

 

Les collègues russes ont été dirigés par le personnel de la Benelux Arms Control Agency (BACA) et quelques collègues allemands.

 

Trois semaines avant le vol russe Open Skies, plusieurs membres de la BACA ont été préparés au cours d'un vol d'entraînement avec des militaires provenant des États-Unis et du Royaume-Uni.

 

Samedi 21 mars dernier, à 10 heures, l'avion d'observation russe quittait à nouveau le territoire belge.

 

Photo Patrick Brion – MIL.be
Photo Patrick Brion – MIL.be

Photo Patrick Brion – MIL.be

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 07:40
Dans l’Arctique, une ancienne base de l’Otan aujourd’hui mouillage russe

Photo prise de 1er décembre 2008 de la base sous-marine d'Olavsvern vendue quelques années auparavant à la Russie (Photo Bjornbakk, Jan-Morten. AFP)

 

31 mars 2015 Liberation.fr (AFP)

 

D’anciens hauts gradés norvégiens pestent contre l’erreur qu’a commise le pays en cédant une base sous-marine secrète dans l’Arctique, d’autant plus qu’elle accueille aujourd’hui... des navires russes.

 

Terrain de chasse des sous-marins soviétiques et de l’Otan au temps de la guerre froide, les eaux de l’Arctique ont regagné une importance stratégique à l’aune des dernières tensions entre la Russie et l’Alliance atlantique, jamais vues depuis la chute de l’Union soviétique.

 

Faute d’avoir anticipé la remontée en puissance du géant russe qui déploie en mer de Barents son imposante flotte du Nord, la Norvège a décidé en 2008, dans un contexte régional alors apaisé, de se séparer de la base d’Olavsvern, près du port de Tromsø.

 

En renonçant à cet énorme complexe logistique logé dans les entrailles d’une montagne protectrice, le pays scandinave a privé ses sous-marins d’un point d’appui crucial dans le Grand Nord, les obligeant à parcourir des centaines de milles supplémentaires pour rallier ce qui constitue leur principal théâtre d’opérations.

 

Sept ans plus tard, la décision du pouvoir politique nourrit toujours les rancoeurs, notamment parmi les officiers supérieurs à la retraite, plus prompts à s’exprimer que leurs collègues d’active.

 

«On a vendu la seule base digne de ce nom qu’on avait là-haut. C’est de la pure folie», fulmine l’ex-vice-amiral Einar Skorgen, ancien commandant de la Marine dans le Nord de la Norvège.

 

«Nous sommes les seuls avec la Russie à opérer en permanence en mer de Barents, où nous avons une frontière commune. Il est évident que notre Marine doit y être stationnée, y compris nos sous-marins», déplore-t-il. «Si les bateaux ne sont pas là où on en a besoin, autant les mettre au rancart».

 

La potion est d’autant plus amère qu’après avoir été mise en vente sur un site d’annonces en ligne sans trouver acquéreur, la base qui a coûté près de 4 milliards de couronnes (environ 500 millions d’euros) financés par l’Otan a été bradée moins de 40 millions à un homme d’affaires.

 

Ce dernier loue maintenant les quais à des navires russes de recherche ou de collecte de données sismiques. Trois d’entre eux ont ainsi passé l’hiver dans ce qui était il y a peu un site jalousement gardé.

 

«Il n’y a plus rien de secret autour de cette base», se défend le nouveau propriétaire, Gunnar Wilhelmsen. «Plus depuis que l’armée et l’Otan ont convenu de la mettre en vente sur internet, photographiée dans ses moindres recoins», explique-t-il à l’AFP.

 

- 'Gaffe' historique -

 

Le hic, c’est que l’on prête aux navires russes des capacités utiles aux militaires comme, par exemple, l’étude des fonds marins ou du littoral avec, au besoin, des sous-marins de poche.

 

«La Russie est un pays où l’État a un droit de regard dans toutes les activités commerciales ou semi-publiques. C’est clair: il y a peu de gens qui savent ce qui se passe à partir de ces bateaux», souligne l’ex-vice-amiral Jan Reksten, ancien numéro deux de l’armée norvégienne.

 

Olavsvern, «c’est une double perte pour notre pays: la défense norvégienne a perdu une base importante et maintenant ce sont des bâtiments russes qui viennent y mouiller», regrette-t-il.

 

Ironie du sort, la décision de fermer a été prise par le gouvernement de Jens Stoltenberg, devenu depuis secrétaire général de l’Otan, un poste d’où il exhorte aujourd’hui les pays membres de l’Alliance à ne pas baisser la garde.

 

Pour Kjell-Ola Kleiven, blogueur sur les questions de sécurité, l’épisode est «la plus grosse gaffe de l’Histoire récente» dans un pays riche en pétrole, qui dispose du plus gros fonds souverain de la planète.

 

«Avec 7.000 milliards de couronnes de côté, on aurait cru que la nation norvégienne avait les moyens et assez de jugeote pour conserver la propriété de la base d’Olavsvern, mais la vente qui n’a rapporté que 35 millions de couronnes pourrait être beaucoup plus qu’un fiasco financier», a-t-il écrit.

 

La majorité politique en Norvège a beau avoir changé, l’actuel gouvernement reste sourd aux protestations des militaires.

 

«Il n’est pas question de réinstaller des activités militaires à Olavsvern», a affirmé Audun Halvorsen, conseiller politique au ministère de la Défense, dans un courriel à l’AFP. «Le propriétaire du site en dispose comme il l’entend et la défense n’a pas autorité à imposer des restrictions ni mandat pour contrôler les navires civils qui y mouillent».

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 17:55
Nicolas Roumiantzoff Crédit : ordre de la Libération

Nicolas Roumiantzoff Crédit : ordre de la Libération

 

27 mars 2015 par Henri Weill - Ainsi va le monde !

 

Il y a des personnages de roman parmi ces hommes qui, au XXème siècle, rejoignaient la France, poussés par les contraintes de l’Histoire. Ainsi le comte Nicolas Roumiantzoff, né en 1906, fils d’un général d’infanterie du tsar Nicolas II. A la révolution bolchévique, en 1917, il quitte la Russie. Sept ans plus tard, "le Roum" (son surnom) est à Saint-Cyr, comme élève étranger. Puis ce sera sa première grande aventure, la Légion étrangère, notamment au 1er régiment étranger de cavalerie. Naturalisé français en 1939, il est incarcéré l’année suivante à Ceuta (enclave espagnole au Maroc) pour avoir tenté de rejoindre le général de Gaulle à Londres. Il s’évade. Intègre les Français libres. Puis devient adjoint du chef de corps du 1er régiment de marche de spahis marocains. Fred Moore, chancelier de l’ordre de la Libération raconte cette anecdote qui résume "cet homme inoubliable", dans "Toujours Français Libres" Elytis, 2014.

 

" … La campagne de Tunisie terminée le 6 mai 1943, il se souvient du consul d’Italie, désormais dans le camp des vaincus. Il le connut à Tunis quand il servit au 1er régiment étranger de cavalerie de 1927 à 1929. Il n’oublie pas non plus Madame le Consul et la voiture de grand luxe du diplomate, une Isotta-Frasquini blanche et décapotable. Il se dit : "Je vais aller voir le consul. Sa voiture m’intéresse". Et le voilà parti. "Le consul n’était pas très chaud pour me laisser la voiture si facilement. Sa femme me faisait des oeuillades et toutes sortes de minauderies devant son mari pour que je leur laisse la voiture ". Le Roum dit à la charmante épouse : "Vous n’allez pas la perdre puisque je vous emmène ! "  Le soir, les spahis ébahis voient débarquer le Roum au volant de la belle bagnole, une belle femme à ses côtés…"

 

Nicolas Roumiantzoff est Compagnon de la Libération (1943). Il a quitté l'armée en 1962 avec le grade de général. Il est décédé en 1988.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:40
BMD-4M

BMD-4M

 

24.03.2015 sputniknews.com

 

Les troupes aéroportées russes recevront prochainement un véhicule blindé combinant les caractéristiques d'un module de combat et d'un appareil de type hélicoptère, écrit mardi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

 

Le lancement de ce projet a été annoncé par le commandant des troupes aéroportées (VDV) Vladimir Chamanov. Une compagnie de recherche composée de quatre sections sera formée à la base de l'école aéroportée de Riazan pour concevoir un "véhicule de combat d'infanterie volant". Les meilleurs élèves diplômés des écoles techniques spécialisées y seront appelés sur la base du volontariat. Ils travailleront en coopération avec les spécialistes de l'Université technique Baumann de Moscou, de l'Institut d'aviation de Moscou, de l'Université technique automobile et routière de Moscou et de l'Université d'État Lomonossov de Moscou.

 

Entre temps, les nouveaux véhicules blindés de transport de troupe Rakouchka (coquille) et les véhicules blindés de combat d'infanterie BMD-4M seront présentés pour la première fois au grand public lors du défilé sur la Place Rouge à l'occasion du 70e anniversaire de la Victoire dans la Grande Guerre patriotique.

 

Les essais du nouveau VBCI avec le module de combat Bakhtcha se sont achevés en décembre 2014. En mars 2015 déjà, la division aéroportée de Toula a reçu les premiers VBCI modernisés. Plus de soixante véhicules supplémentaires devraient être construits d'ici la fin de l'année. Au sujet du renforcement de la puissance de feu, Vladimir Chamanov a annoncé: "Il existe une étroite coopération avec les entreprises de l'armement, notamment de Toula et d'Ijevsk, pour améliorer le poids volumique de l'armement avec de nouveaux équipements optiques et thermiques de fabrication russe". Des travaux actifs sont également en cours pour créer un nouveau module de combat sur roues.

 

Des unités spéciales ont été créées au sein des garnisons de troupes aéroportées (VDV) pour réagir rapidement aux menaces inattendues. Les officiers et les soldats sont prêts à se rendre en 24 heures partout en Russie et même en dehors pour y remplir leur mission.

 

Des bataillons de reconnaissance ont également été formés dans cinq unités aéroportées, précise Vladimir Chamanov. L'un d'eux est une force spéciale dotée de parachutes guidés Arbalet-2. On y trouve essentiellement des militaires professionnels. Le VDV prévoit pour eux certains privilèges, dont des primes. Et pour que les contractuels passent davantage de temps avec leurs familles, ils travaillent désormais cinq jours par semaine.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 16:40
T-14 Armata tank Photo Alexander Smirnov / YouTube

T-14 Armata tank Photo Alexander Smirnov / YouTube

 

24.03.2015 sputniknews.com

 

The first photos of Russia’s top-secret tank have appeared on the Internet. Moreover, the all-new T-14 Armata tank were captured as they were being transported by rail to a range outside Moscow ahead of the May 9 Victory Day parade on Red Square.

 

Even though the tanks were partially camouflaged to hide their silhouette and size, the seven-track design was clearly visible.

 

The tanks apparently feature a new generation 125mm extended-length smoothbore gun.

 

Also taking part in the May 9 parade in Moscow will be advanced Kurganets 25 and Bumerang tracked armored vehicles, Taifun-U armored cars, Coalitsia-SV self-propelled artillery pieces and Kornet-D missile complexes.

 

After five years of development, the Uralvagonzavod Research and Production Corporation finalized manufacture of the first batch of Armata tanks and heavy personnel carriers. They have been included in Russia’s 2015 defense order.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 08:50
Des députés britanniques appellent leur gouvernement au réarmement face à la Russie

 

Londres, 24 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

La Grande-Bretagne doit d'urgence reconstruire ses capacités de défense abandonnées après la fin de la guerre froide, face à des menaces mondiales croissantes notamment de la part de la Russie, a estimé mardi une commission parlementaire.

 

La Commission de Défense, chargée d'examiner les dépenses et la politique du ministère de la Défense, a estimé dans un communiqué qu'une capacité nucléaire, des chars, des navires de guerre et des avions étaient nécessaires comme armes de dissuasion face au président russe Vladimir Poutine.

 

"Le monde est plus dangereux et instable que jamais depuis la fin de la guerre froide", ont-ils indiqué dans un communiqué en référence au rattachement de la Crimée par la Russie et à l'avancée des jihadistes de l'organisation Etat islamique et du groupe islamiste Boko Haram.

 

"Mais les moyens actuels de défense dont dispose la Grande-Bretagne ne sont pas suffisants face à cet environnement transformé. La Grande-Bretagne doit reconstruire ses capacités conventionnelles rognées depuis la guerre froide", a-t-elle poursuivi.

 

Le communiqué intervient alors qu'un cessez-le-feu entre rebelles prorusses et forces ukrainiennes est globalement respecté depuis la mi-février dans l'Est rebelle. Le conflit, qui a fait quelque 6.000 morts depuis avril, a sérieusement mis à mal les relations entre la Russie et les pays occidentaux.

 

La commission a ajouté qu'il sera nécessaire pour la Grande-Bretagne de respecter ses engagements dans le cadre de l'Otan prévoyant des investissements de défense à hauteur de 2% de son PIB, tout en précisant que ce ne sera "pas suffisant".

 

"Il est vital de repenser les fondamentaux de nos plans de défense, si nous devons aider à stopper la spirale du chaos, qui menace de s'étendre de l'ouest de la Méditerranée à la Mer noire", selon la même source.

 

La commission a souligné par ailleurs les faiblesses de la défense de l'Otan, indiquant que la Russie pourrait déployer 150.000 hommes en 72 heures, alors que cela prendrait 6 mois pour l'Otan.

 

L'Otan a récemment annoncé que sa nouvelle force de réaction très rapide en Europe, annoncée en septembre pour faire face entre autres à la menace russe, pourrait déployer 5.000 hommes en l'espace de 48 heures, mais ne serait pas prête avant 2016, selon la commission.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 16:40
Mistral, Delayed Submarine Projects May Cause Euro 300 Million loss to DCNS - photo F. Dubray

Mistral, Delayed Submarine Projects May Cause Euro 300 Million loss to DCNS - photo F. Dubray

 

March 17, 2015 defenseworld.net

 

The French Mistral helicopter carrier Vladivostok could be relocated from Saint-Nazaire to Brest Naval base due to high maintenance costs, Local media reported.

 

DCNS and STX shipyard operators are subject to port and maintenance fees of about $2.7 million. It is rumored that the companies might think of relocating the aircraft carrier to join the naval base in Brest, Le Telegramme reported Monday.

 

Controversy erupted with non delivery of the Mistral ships to Russia after US and allied European countries imposed sanctions against Moscow in regard to Ukraine conflicts. France was to deliver the ship in November last year.

 

General Director of Russian state-run arms exporter Rosoboronexport Anatoly Isaykin had announced in January that Moscow will make a final decision on the non-delivery of Mistral ships by May.

 

If the Mistral ships are not delivered, Paris is obliged to return money Moscow paid, Isaykin had said.

 

Non delivery of the Mistral amphibious assault ship to Russia and delays in the Scorpene and Barracuda submarine projects to different customers has weighed down on the financials of DCNS.

 

In addition, a delay in the civil nuclear program of France has affected revenues of DNCS. The loss of DNCS is also expected to affect the financials of Thales which owns 35 percent of DCNS.

 

However, its performance may improve in 2015 due to a recent contract with Egypt to supply warships and another with Saudi Arabia for patrol vessels.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:40
Russia's New 4th Generation Lada Submarine To Nullify USA's Naval Power


March 20, 2015 by asian-defence.net
 

The new Russian submarine, Lada, will end the era of USA's reign at sea. Washington will lose the main instrument of "power projection" to remote regions and may finally lose its global geopolitical role as well.

Anti-Russian militaristic hysteria has been snowballing in the West lately. Having noticed the revival of the traditionalist, imperial Russia that the deceitful Western Sodom has been humiliating and insulting for decades, the "free" European and American media filled their reports and pages with alarmist headlines about Moscow's "military preparations."

Should the Russians launch a rocket from the Plesetsk cosmodrome or from a submarine in the Barents Sea, or send its strategic aircraft flying along European borders, countless Western publications explode in accusations of "militarism and imperialism," "nuclear weapons rattling" "intimidation of the international community," and so on and so forth. Meanwhile, important news reports that are directly related to a change in the military-strategic balance of power in Eurasia, often pass unnoticed.

 

The message did not receive any attention of the general public. Even military observers paid no proper attention to it. Yet, the news marked a real revolution in the field of military submarine making.For example, on October 13, 2014, RIA Novosti news agency reported, citing a source at the military-industrial complex of the Russian Federation that Russia decided to launch serial production of air-independent propulsion power plants that would be used for future Project 677 "Lada" submarines."

 

Advantages and disadvantages of underwater hunters

 

Today, all submarines are divided into two groups by the type of power plants: submarines with a nuclear power plant (nuclear reactor) and diesel-electric submarines that move on the surface with the help of a diesel engine, and use battery-powered electric motors when navigating under the water. 

Nuclear submarines appeared in the Soviet Navy in the late 1950s. The first nuclear submarine of Project 627 called the Leninsky Komsomol was put into operation in 1957. Since then and to this day, nuclear submarines constitute the main striking force of the Russian navy. They carry a wide range of most formidable weapons in the world - from strategic intercontinental missiles and tactical nuclear torpedoes to high-precision long-range cruise missiles - the core of the Russian strategic forces of non-nuclear deterrence.

 

Nuclear submarines possess a number of outstanding advantages. A nuclear sub can stay under the water for a practically unlimited period of time; it has high underwater speed, impressive submersion depth and an ability to carry a huge number of various weapons and equipment. Modern large displacement nuclear subs can be equipped not only with weapons, but also with highly efficient sonars, systems of communications, electronic reconnaissance and navigation.

At the same time, the main advantage of a nuclear power plant - its power - is the source of the main drawback of nuclear submarines. This drawback is noisiness. The presence of a nuclear reactor (and sometimes two) on board the submarine along with a whole range of other systems and mechanisms (turbines, generators, pumps, refrigeration units, fans, etc.) inevitably produces a variety of frequency oscillations and vibrations. Therefore, a nuclear submarine requires sophisticated technology to reduce the noise level.

 

Yet, a diesel-electric submarine is almost silent under water. Battery-powered electric motors do not require turbines and other noisy equipment. However, a diesel sub can stay under water for a relatively short period of time - just a few days. In addition, a diesel submarine is slow. The shortage of power, in turn, imposes serious constraints on displacement, weapons, and other key characteristics of diesel-electric submarines. In fact, these subs can hardly be referred to as "underwater" vessels. "Diving" would be a better word as they stay on the surface most of the time on deployment routes. In combat patrol areas, diesel-electric submarines have to ascend regularly and start diesel engines to recharge batteries.

 

For example, Russia's state-of-the-art diesel-electric submarine of Project 636.3 has only 400 miles of undersea navigation. In addition, the submarine moves under water at the speed of 3 knots, i.e. 5.4 km/h. Thus, such a submarine is unable to pursue an underwater target. The sub relies on intelligence information first and foremost. Hence, the main technique to use diesel-electric submarines in combat action is known as "veil" when submarines are deployed in a line perpendicular to the probable movement of the target, at specific distances from each other. The entire group of submarines receives commands from an external command post, which creates extra telltale factors and reduces the stability of underwater combat groups.

It has long been a dream for many navy engineers to create a submarine with a fundamentally new power plant that would combine the advantages of nuclear and diesel-electric submarines: power and stealth, longer autonomous diving and low noisiness. 

 

 

Project 677 Lada: Major technological breakthrough

 

Russian submarines of Project 677 Lada with air-independent power plant will mark a serious breakthrough in this direction. The new submarine will take the Russian undersea fleet to new frontiers.

The Lada sub is not large - their displacement is almost twice as less as that of the famous Varshavyanka. Yet, its arms complex is unusually large. In addition to traditional mine and torpedo weapons (six 533-mm torpedo tubes, 18 torpedoes or mines), Project 667 is the world's first non-nuclear submarine, equipped with specialized launchers for cruise missiles (ten vertical launchers in the middle part of the body). These cruise missiles can be both tactical and long-range missiles designed to destroy strategic targets deep into enemy territory. 

 

The most important feature of the new Russian submarine is the new air-independent propulsion plant. Without going into details, we would only say that with these power plants a Lada submarine will be submerged for up to 25 days - that is almost ten times longer than of its famous predecessor - Project 636.3 Varshavyanka. To crown it all, the Lada submarine will be even less noisy than the famous "black hole" Varshavyanka, which the Americans dubbed so because it is almost impossible to detect it. 

 

NATO countries, particularly Germany and Sweden, have long been trying to equip their submarines with such power plants. German shipbuilders have tried to build small submarines equipped with a hybrid power plant since late 1990s. It includes surface speed diesel engine for recharging batteries, silver-zinc batteries for energy-conserving underwater navigation and air-independent propulsion plant  for energy-saving underwater navigation on the base of fuel cells that include tanks with cryogenic oxygen and metal hydride containers (special metal alloy with hydrogen).

The Germans succeeded in increasing the duration of underwater navigation of their submarines to 20 days. Presently, German submarines with air-independent propulsion plants of various modifications are in navy service in Germany, Italy, Portugal, Turkey, Israel, Korea and several other countries.

 

Swedish group Kockums Submarin Systems began the construction of Gotland class submarines with air-independent propulsion power plants based on the so-called "Stirling engine". Swedish subs can also stay under water for up to 20 days without recharging batteries. Stirling engine submarines currently serve not only in Scandinavia, but also in Australia, Japan, Singapore and Thailand.

However, both German and Swedish submarines pale in comparison with Russian Lada submarines. Project 667 Lada is qualitatively a new generation of submarines. 

 

Rubin Design Bureau - the main developer of submarines in Russia - designed the Lada to deliver salvo torpedo-missile strikes on marine and stationary ground targets both from torpedo tubes and specialized vertical missile silos. Due to the unique sonar system, the Russian sub has a significantly increased distance for target detection. It can submerge at the depth of 300 meters, develop underwater speed of up to 21 knots and submerged endurance of 45 days. To reduce noisiness, vibration isolators are used along with all-mode propulsion motor with permanent magnets. The hull of the submarine is covered with "Molniya" ("Lightning") material that absorbs sonar signals.

The Russian air-independent propulsion power plant will be a lot more energy conserving than its German analogue with up to 25 days of continuing underwater navigation. At the same time, Lada will be substantially less expensive than the German Project 212\214 sub. 

Before 2020, the Russian Navy expects to receive 14 of new 4th generation submarines

"Four to six of such submarines can completely block closed or semi-closed water area as of the Black, Baltic and Caspian Seas. Their advantages are obvious to any naval specialist," Vice-Admiral Viktor Patrushev said in an interview with RIA Novosti in late 2010.

 

The deployment of two or three groups of Lada submarines can fundamentally change the balance of power not only in the Baltic, Caspian and Black seas, but also in the North, in the Mediterranean water areas and in the Atlantic and the Indian Ocean. In the North, in the Barents Sea, Lada will cover the routes of deployment of Russian strategic missile submarines from any activity that US and NATO forces may show. This will significantly improve the combat stability of the naval component of Russian strategic nuclear forces.

 

Presently, Russian missile cruisers are mainly on duty under the Arctic ice, where they are virtually inaccessible to enemy action. The Americans can detect, track and attack our submarine only at the stage of its transition to the ​​combat patrol area. The Lada sub is ideally suited to counter US submarines as they hear them at much greater distances.

With regard to the Mediterranean, the Atlantic and the Indian Ocean, the presence of Lada-type submarines in those waters nullifies the American naval power that is primarily based on aircraft carrier strike groups.

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