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19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 12:30
photo Ouest-France

photo Ouest-France

 

19 décembre 2015 Portail des Sous-Marins

 

Les deux Mistral qui occupent le port de Saint-Nazaire depuis un an vont retrouver des occupants. Le nouveau propriétaire, à savoir la marine égyptienne va envoyer un premier équipage pour se former dans les prochaines semaines.

 

Référence : Ouest-France

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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 12:55
Lancement du projet « The Bridge 1917- 2017 »

 

29/10/2015 DICOD

 

Mercredi 28 octobre, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a assisté, en compagnie de Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, au lancement du projet « The Bridge 1917-2017 » à l’Hôtel de Brienne.

 

À l’approche du centenaire de l’entrée en guerre des États-Unis durant le premier conflit mondial, le projet « The Bridge 1917-2017 » jette « un pont d’histoire et de culture, de mémoire mais aussi de fête, entre les deux rives de l’Atlantique », a expliqué Jean-Yves Le Drian, président d’honneur du comité de soutien. Ce 28 octobre, le ministre a assisté en compagnie de Jean-Marc Todeschini au lancement du projet « The Bridge 1917-2017 » à l’Hôtel de Brienne.

L’événement consiste en une course entre le Queen Mary 2 et plusieurs dizaines de multicoques au départ de Saint-Nazaire (44).

L’amitié, entre la France et les Etats-Unis, est « l’une des plus anciennes et des plus fortes qui soient ». C’est en souvenir du soutien de la Fayette que des pilotes américains se sont portés volontaires dès 1916 avec la création de l’escadrille la Fayette. Et c’est ensuite en 1917 avec l’entrée en guerre des États-Unis que de nombreux soldats américains sont venus sur les champs de bataille de France. Le succès récent de la tournée outre-Atlantique de la frégate Hermione a également illustré que, depuis l’expédition de La Fayette pour soutenir la révolution américaine jusqu’à l’engagement des Américains sur le sol de France en 1917 puis en 1944, « un même combat rapproche nos deux nations, celui de la liberté ».

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 16:40
Mistral, Delayed Submarine Projects May Cause Euro 300 Million loss to DCNS - photo F. Dubray

Mistral, Delayed Submarine Projects May Cause Euro 300 Million loss to DCNS - photo F. Dubray

 

March 17, 2015 defenseworld.net

 

The French Mistral helicopter carrier Vladivostok could be relocated from Saint-Nazaire to Brest Naval base due to high maintenance costs, Local media reported.

 

DCNS and STX shipyard operators are subject to port and maintenance fees of about $2.7 million. It is rumored that the companies might think of relocating the aircraft carrier to join the naval base in Brest, Le Telegramme reported Monday.

 

Controversy erupted with non delivery of the Mistral ships to Russia after US and allied European countries imposed sanctions against Moscow in regard to Ukraine conflicts. France was to deliver the ship in November last year.

 

General Director of Russian state-run arms exporter Rosoboronexport Anatoly Isaykin had announced in January that Moscow will make a final decision on the non-delivery of Mistral ships by May.

 

If the Mistral ships are not delivered, Paris is obliged to return money Moscow paid, Isaykin had said.

 

Non delivery of the Mistral amphibious assault ship to Russia and delays in the Scorpene and Barracuda submarine projects to different customers has weighed down on the financials of DCNS.

 

In addition, a delay in the civil nuclear program of France has affected revenues of DNCS. The loss of DNCS is also expected to affect the financials of Thales which owns 35 percent of DCNS.

 

However, its performance may improve in 2015 due to a recent contract with Egypt to supply warships and another with Saudi Arabia for patrol vessels.

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 09:40
BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev - Sputnik

BPC Sebastopol photo Grigory Sysoev - Sputnik

 

Saint-Nazaire, 20 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

Le "Sébastopol", second bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral commandé par la Russie à la France, dont la livraison est suspendue du fait de la crise ukrainienne, est rentré vendredi à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) après ses premiers essais en mer, a constaté une correspondante de l'AFP.

 

Le bâtiment militaire, sans marin russe à bord, avait quitté son quai lundi matin pour rejoindre la forme-écluse Joubert, d'où il est parti en début d'aprés midi, après la montée des eaux, aidé par trois remorqueurs.

 

Le navire était de retour à l'entrée du port de Saint-Nazaire vendredi, peu avant 16h30. Il devrait ressortir pour de nouveaux essais en mer d'ici un mois.

 

Le "Sébastopol", dont la construction est quasiment achevée aux chantiers STX de Saint-Nazaire, doit théoriquement être livré à la Russie à l'automne 2015.

 

Mais la livraison du premier des deux navires de guerre, le "Vladivostok", qui devait être initialement remis à Moscou à la mi-novembre 2014, est suspendue et il est toujours stationné à Saint-Nazaire.

 

Paris a annoncé fin novembre le report "jusqu'à nouvel ordre" de la livraison du "Vladivostok", compte tenu du rôle de la Russie dans le conflit en Ukraine.

 

La France a depuis répété à plusieurs reprises que les conditions de la livraison n'étaient "toujours pas réunies".

 

La vente à la Russie de deux Mistral, conclue en juin 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, avait été évaluée à environ 1,2 milliard d'euros.

 

Ces BPC sont des navires de guerre polyvalents pouvant transporter des hélicoptères, des chars ou accueillir un état-major embarqué.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 16:55
Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet - photo Thierry Hameau (O-F)

Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet - photo Thierry Hameau (O-F)

 

Saint-Nazaire, 16 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

Le navire "Sébastopol", second bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral commandé par la Russie à la France, dont la livraison est suspendue du fait de la crise ukrainienne, a quitté lundi le port de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) pour sa première sortie en mer, a constaté une journaliste de l'AFP.

 

Le bâtiment militaire avait quitté son quai lundi matin pour rejoindre la forme-écluse Joubert, d'où il est parti peu après 13H00 après la montée des eaux, aidé par trois remorqueurs, sans marins russes à bord.

 

Cette première sortie en mer du "Sébastopol", dont le programme n'a pas été précisé, a été suivie des yeux par des dizaines de curieux.

 

Le navire devrait regagner le port de Saint-Nazaire vendredi, selon une source proche du dossier. D'autres essais techniques sont programmés en avril.

 

Le "Sébastopol", dont la construction est quasiment achevée aux chantiers STX de Saint-Nazaire, doit théoriquement être livré à la Russie à l'automne 2015, alors que le premier des deux navires de guerre, le "Vladivostok", toujours stationné à Saint-Nazaire, devait être initialement remis à Moscou à la mi-novembre 2014.

 

Paris avait annoncé fin novembre le report "jusqu'à nouvel ordre" de la livraison du "Vladivostok", compte tenu du rôle de la Russie dans le conflit en Ukraine. La France a depuis dit à plusieurs reprises que les conditions de la livraison n'étaient "toujours pas réunies".

 

La vente à la Russie de deux Mistral, conclue en juin 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, avait été évaluée à environ 1,2 milliard d'euros. Ces BPC sont des navires de guerre polyvalents pouvant transporter des hélicoptères, des chars ou accueillir un état-major embarqué.

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4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 19:40
Les BPC russes à Saint Nazaire - photo F. Dubray - Ouest-France

Les BPC russes à Saint Nazaire - photo F. Dubray - Ouest-France

 

3 Mars 2015 rusnavyintelligence.com

 

Tandis que la livraison du premier BPC russe, le Vladivostok, reste suspendue à une amélioration sensible de la situation en Ukraine orientale, le second BPC en cours de construction au chantier naval STX de Saint-Nazaire, le Sébastopol, se prépare pour ses premiers essais en mer.

 

Le BPC Sébastopol devrait réaliser son premier cycle d'essais en mer entre le 16 et le 22 mars prochain, avec un objectif de livraison fixé à octobre 2015. Le 12 février dernier - jour de la signature de l'accord de Minsk 2 par les chefs d'Etat et Premiers ministre du "format Normandie" - le Sébastopol, qui est achevé à 96%, a été immatriculé pour la première fois sur le système d'identification automatique AIS comme un navire battant pavillon français.

 

L'équipage russe du Vladivostok est, pour sa part, revenu à Cronstadt le 2 mars après des congés. Les marins russes avaient en effet été formés à manœuvrer le BPC en France, entre juin et décembre 2014, avant de rentrer à Saint-Pétersbourg à bord du navire école Smolny. Le second équipage, celui du Sébastopol, reste pour le moment à la base navale de Vladivostok.

 

Rappelons que la construction des infrastructures destinées à accueillir les BPC se poursuit à Bolchoï Kamen, près de Vladivostok. Selon différentes sources, l'immobilisation du premier BPC coûterait entre €2,5 millions est €5 millions par mois en frais de port, de gardiennage, de maintenance et de carburant, une somme déboursée par DCNS ou par l'Etat. Enfin, il convient de rappeler que dans l'hypothèse d'une livraison des Mistrals, ces derniers passeraient entre un an et un an et demi à Saint-Pétersbourg où ils devraient recevoir leur armement, puis effectuer de nouveaux essais, avant d'entrer dans le cycle opérationnel.

 

Sources : flotprom, lenta, flot.com.

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14 février 2015 6 14 /02 /février /2015 12:40
Les BPC russes à Saint Nazaire - photo F. Dubray - Ouest-France

Les BPC russes à Saint Nazaire - photo F. Dubray - Ouest-France


13.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Mon excellent camarade Jean-Dominique Merchet écrivait hier (lire ici) que la non livraison des deux BPC destinés à la Russie "couterait 5 millions d'euros par mois, uniquement en frais de gardiennage et de maintenance des deux bateaux qui devraient rester en France. Une somme considérable, soit près de 60 millions par an à la charge de DCNS ou de l'Etat."

Ces frais sont bien réels, mais ils ne concernent que le BPC livrable (le Vladivostok) puisque son frère jumeau (le Sébastopol) est toujours en construction; l'avancée des travaux sur ce second BPC serait conforme au calendrier.

Ces coûts portent sur les frais de port (qui ne seraient pas trop élevés, du fait d'accord entre STX et le port autonome de Nantes-Saint Nazaire), les frais d'entretien (peinture par exemple) et de carburant (pour tester la propulsion); mais ce sont surtout les frais liés à la main-d'œuvre qui sont les plus élevés.

 

Quant à la livraison des BPC, hier après la signature de l'accord de Minsk (qui laisse perplexes bien des gens), une source diplomatique russe citée par Interfax a déclaré que "l'ordre de livrer le Mistral viendra de l'Elysée visiblement au début de semaine prochaine. Dans la première quinzaine de mars, le navire sera complètement prêt à être transmis à la partie russe" (lire ici). A méditer avec prudence, surtout après les propos de François Hollande, hier soir: "Les conditions ne sont toujours pas réunies. Elles le seront je l'espère un jour".

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 07:40
BPC Vladivostok photo RP Defense

BPC Vladivostok photo RP Defense

 

19.01.2014 par RFI
 

Les 400 marins russes formés en France au maniement des navires de guerre Mistral sont repartis jeudi 18 décembre. Ils ont finalement embarqué dans le navire école dans lequel ils étaient venus pour rentrer en Russie. Ils s’en vont sans leurs Mistral puisque la France refuse toujours de livrer ces navires tant que la situation en Ukraine ne se sera pas améliorée.

 

Cela faisait presque un mois et demi qu'ils n'avaient plus rien à faire. Au total, deux équipages complets destinés au Sébastopol et au Vladivostok ont été formés à Saint-Nazaire, ainsi qu'une soixantaine d'instructeurs russes. A l'origine, ils devaient rentrer chez eux en prenant possession du premier Mistral, mais le navire est bloqué jusqu'à nouvel ordre. Les marins russes ont donc réembarqué dans le navire à bord duquel ils étaient venus et dans lequel ils vivaient depuis six mois, le navire-école Smolny, pour rejoindre la Russie avant Noël.

A ce jour, le constructeur DCNS n'est pas en mesure de dire quand les marins reviendront pour récupérer leur premier Mistral. Depuis quelques temps, on parle du mois de février mais rien n'est confirmé officiellement. Les Russes jouent l'apaisement. « Nous ferons preuve de compréhension quelle que soit la manière dont la situation évoluera, mais nous espérons que la Russie sera remboursée si la France ne livre pas les bateaux », avait affirmé Vladimir Poutine au début du mois après sa rencontre avec François Hollande.

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian avait pour sa part laissé entendre que la France pourrait ne jamais livrer les Mistral. Cette hypothèse est hautement improbable tant la France perdrait de l'argent dans cette affaire. Ce serait surtout un très mauvais signal envoyé aux futurs clients de la France en matière d'exportation d'armement.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 08:40
BPC Vladivostok - photo Franck Dubray Ouest-France

BPC Vladivostok - photo Franck Dubray Ouest-France

 

Dec. 17, 2014 – Defense News

 

PARIS — About 400 Russian sailors are returning home, French shipbuilder DCNS said Wednesday, as Paris weighs whether to deliver the Mistral-class warship to Russia amid the Ukraine crisis.

“I can confirm that the Russian sailors will return (to Russia) before the end of year,” said a DCNS spokesman.

The spokesman did not give a date of departure and could not say whether they would return for more training on the high-tech vessel.

According to the Ouest-France local paper, the sailors’ departure is “definitive” and sources said they could leave as early as Thursday morning.

Last month, French President Francois Hollande pushed back “until further notice” the delivery of the first of two Mistral-class warships Russia has ordered from France.

The first of the two assault ships — which can carry 16 helicopters, four landing crafts, 13 tanks, 450 troops and a hospital — was supposed to be delivered in November, according to the original deal signed in 2011.

But amid the Ukraine conflict and the rapid decline in the West’s relations with Russia, France has come under intense pressure from its allies, particularly the United States, and in September postponed the delivery.

Paris faces a serious dilemma over the Mistrals.

It could be liable for hefty fines if it breaches the €1.2 billion ($1.5-billion) contract.

But it would also risk the wrath of its allies around the world if it were to deliver the hot-button technology to Russia at a time when Moscow is in the diplomatic deep-freeze over the Ukraine unrest.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 18:40
Mistral : les marins russes quittent le navire

La vente du Porte-hélicoptères Vladivostok à Moscou a été suspendue en raison de la crise ukrainienne. photo Alexei Filippov - RIA Novosti

 

17/12/2014 Le Point

 

Les 400 matelots russes vont partir de Saint-Nazaire avant les fêtes de fin d'année après la suspension de la vente du navire français à la Russie.

 

DCNS a confirmé mercredi le départ "avant les fêtes de fin d'année" et pour une durée indéterminée, des 400 marins russes, qui étaient en formation depuis plusieurs mois au port de Saint-Nazaire sur le premier navire militaire Mistral en attente de livraison. "Je peux confirmer que les marins russes vont rentrer avant les fêtes de fin d'année", a déclaré à l'AFP un porte-parole du groupe confirmant partiellement des informations publiées dans le journal Ouest-France. Il s'est refusé à indiquer une date précise et n'était pas en mesure de donner une date de retour éventuel. Selon Ouest-France, "ce départ est définitif". Le départ des marins pourrait intervenir dès jeudi matin, ont indiqué de leur côté des sources concordantes.

 

Le premier Mistral, le Vladivostok, devait initialement être remis à Moscou à la mi-novembre, dans le cadre d'un contrat de 1,2 milliard d'euros signé en juin 2011 entre la Russie et le constructeur naval DCNS sous l'ancien président de droite Nicolas Sarkozy. Mais cette livraison a été suspendue sine die en raison de la situation en Ukraine. Le président François Hollande a lié, le 4 septembre, l'exportation du premier navire à un règlement politique dans ce pays. Les marins russes étaient, eux, arrivés fin juin pour être formés sur ce bâtiment. Ils repartiront à bord du Smolny, leur navire-école qui les hébergeait à Saint-Nazaire. "Aucune date de livraison du Vladivostok ne peut être confirmée à ce stade", a ajouté le porte-parole de DCNS, soulignant que la réalisation du second bâtiment, le Sébastopol, se poursuivait normalement. Celui-ci doit théoriquement être livré à la Russie en octobre 2015. Les Mistral sont des navires polyvalents, pouvant transporter des hélicoptères et des chars, ou accueillir un état-major embarqué.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 12:40
"Do svidaniya" (au revoir et à la prochaine) disent les marins russes de Saint-Nazaire

 

17.12.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Les 400 marins russes, qui étaient arrivés au port de Saint-Nazaire le 30 juin dernier, passeront les fêtes de Noël et de fin d'année en famille. Ils vont bientôt repartir à bord de leur navire-école, le Smolniy. Selon les informations de mes confrères de la rédaction nazairienne d'Ouest-France, ce départ est définitif.

La formation de ces militaires, venus en France pour se former au maniement des porte-hélicoptères commandés par la Russie à la France et construits par STX à Saint-Nazaire, est en effet terminée. La livraison du premier des deux BPC, le Vladivostok, aurait du avoir lieu le 14 novembre, mais en raison de la situation politique en Ukraine, elle a été suspendue.

"On imagine le soulagement de ces militaires que les Nazairiens voyaient, depuis des semaines, tuer le temps à se promener dans le centre-ville et à faire du sport sur les quais, face à leur navire-école... Au fil du temps, depuis la date supposée de livraison et donc celle de la fin de leur formation, leur présence à Saint-Nazaire, suspendue à un statu quo politique international, perdait de son sens. Ce dénouement contraindra la Russie à faire revenir un équipage sur place, en cas de livraison du Vladivostok. Les militaires ne disent peut-être pas adieu au navire qu'ils ont appris à manier", écrit ce matin ma consoeur Claire Robin dans les pages de nos éditions de Loire-Atlantique.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 13:55
Assises de l’économie de la mer


3 Décembre 2014 Marine Nationale

 

Rendez-vous annuel de référence des acteurs économiques, politiques et institutionnels du monde maritime, les 10èmes Assises de l’économie de la mer se déroulent actuellement à Nantes et Saint-Nazaire. La France maritime prend la parole ! Une occasion unique de parler des océans et de l’exploitation de leur potentiel. Retour sur une mission de surveillance emblématique menée par la Marine nationale.

 

La campagne annuelle de pêche au thon rouge à la senne s’est déroulée en Méditerranée au printemps dernier. Cette année encore, la Marine a déployé l’un de ses bâtiments afin de faire respecter les quotas de pêche et de permettre ainsi une exploitation durable de cette ressource halieutique fort prisée des consommateurs, et donc des armateurs. Une trentaine d’opérations de contrôles ont ainsi été menées par l’équipage de l’aviso Commandant Ducuing et des inspecteurs des affaires maritimes français et européens embarqués à bord. Leur mission ? Faire respecter les quotas de pêche et permettre une gestion durable du thon rouge de Méditerranée.

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 19:40
Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet de Saint-Nazaire - photo Thierry Hameau / Ouest-France

Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet de Saint-Nazaire - photo Thierry Hameau / Ouest-France

 

29 novembre 2014 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le navire Mistral Sébastopol a été victime d’un vol de matériel informatique à son bord, a-t-on appris vendredi. Aucune information dite «sensible» n’aurait cependant été dérobée.

 

 

Le Sébastopol est l’un des deux navires commandés par la Russie à la France et dont la livraison est suspendue en raison de la crise en Ukraine.

C’est donc dans les chantiers de construction à Saint-Nazaire, dans l’ouest de la France, à bord de ce navire, qu’ont été dérobés deux disques durs, une carte mère ou une carte graphique, mais aussi un logiciel de gestion de communications entre différents serveurs mis au point par le groupe français d’électronique et de défense Thalès.

Le logiciel de Thalès, mis au point notamment dans le cadre du transfert de technologies à la Russie, ne peut toutefois fonctionner que sur le navire concerné… un vol inutile donc.

Les autorités concernées se sont apercues du vol le mardi 25 novembre, mais le délit a pu avoir lieu entre le 18 novembre et cette date, selon une source proche du dossier.

Le Sébastopol, jumeau du Vladivostok, navires militaires Mistral construits par la France pour Moscou, a été mis à flot à Saint-Nazaire il y a une semaine. Baptisé du nom du grand port de Crimée, annexé en mars par la Russie, le Sébastopol doit théoriquement être livré en octobre 2015.

La France avait reporté mardi « jusqu’à nouvel ordre », au vu de la dégradation du dossier ukrainien, la livraison du premier navire militaire Mistral commandé par Moscou. Le Vladivostok devait initialement être remis à Moscou mi-novembre, dans le cadre d’un contrat de 1,2 milliard d’euros (1,70 milliards $) signé en juin 2011 entre la Russie et le constructeur naval DCNS.

Les Mistral sont des navires polyvalents, pouvant transporter des hélicoptères et des chars, ou accueillir un état-major embarqué.

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28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 13:55
Le BPC Vladivostok - photo Thierry Hameau Ouest France

Le BPC Vladivostok - photo Thierry Hameau Ouest France

 

28/11/2014 Le Point

 

Le parquet de Rennes a ouvert une enquête préliminaire après un vol de matériel sensible sur la frégate dont la Russie réclame la livraison.

 

Le Vladivostok, ce bâtiment de projection et de commandement de type Mistral, que la Russie a acheté, mais que la France refuse de livrer, vient de subir une avarie inattendue à quai. Amarré dans le port de Saint-Nazaire, le porte-hélicoptère a été délesté des disques durs de ses ordinateurs ainsi que d'une partie de son matériel de transmission, des équipements de haute technologie installés par Thales.

 

Le vol a été constaté le 25 novembre. Selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la police judiciaire de Rennes, aucune trace d'effraction n'a été relevée. Aucune hypothèse n'est pour le moment privilégiée. Le début des investigations concerne néanmoins l'environnement immédiat du navire. "On n'en est pas encore à soupçonner les Russes", indique une source au ministère de la Défense.

 

Le 17 juin 2011, la France et la Russie avaient signé un accord pour la construction de deux ce porte-hélicoptère de type Mistral pour un montant de 1,2 milliard de dollars. Il s'agit du plus important contrat jamais signé entre un pays membre de l'Otan et Moscou.

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 12:55
Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet de Saint-Nazaire 21 nov 2014  - photo Thierry Hameau

Le BPC Sébastopol dans le bassin de Penhöet de Saint-Nazaire 21 nov 2014 - photo Thierry Hameau

 

20/11/2014

 

La manoeuvre a duré toute la nuit : le Vladivostok est désormais dans la forme Joubert du port et le Sébastopol a pris sa place dans le bassin de Penhoët

 

Suite de l'article, reportage photo et videos

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 08:40
photo Franck Dubray - Ouest France

photo Franck Dubray - Ouest France

 

18.11.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Une jolie info de mes camarades de la rédaction de Saint-Nazaire: depuis lundi matin, les 400 marins russes en formation à Saint-Nazaire sur le porte-hélicoptères Vladivostok, un BPC (bâtiment de projection et de commandement) de type Mistral, n'ont plus accès à bord. Aucune mesure physique n’a cependant été mise en œuvre pour leur interdire l’accès au porte-hélicoptères qui aurait dû être livré au client russe il y a quelques jours.

 

Un peu de contexte. Amarré sur un quai du bassin de Penhoët, à Saint-Nazaire, le Vladivostok est prêt pourtant à prendre la mer. La formation des hommes de deux équipages russes est terminée depuis quelques jours et ils ont procédé à des manœuvres en mer à plusieurs reprises.

 

Le second bâtiment de la classe Mistral destiné à la marine russe, le Sébastopol, également en construction aux chantiers STX de Saint-Nazaire, devrait être mis à l’eau cette semaine. Ces navires ont été vendus par la France à la Russie pour 1,2 milliard d'euros en juin 2011, sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

 

Qui a pris l'initiative d'une telle mesure d'interdiction? Lundi soir, alors que Jean-Yves Le Drian inaugurait le bureau du Tigre, le ministère de la Défense disait tout ignorer de cette information. En fait, l'Intérieur a visiblement servi de relais à l'Elysée qui a choisi d'intensifier la pression sur les Russes.

 

Bien sûr, il n'y a aucune "pression physique" à craindre de la part des Russes qu'on pourrait croire tentés de prendre la mer au nez et à la barbe de la France. Un tel scénario rappelerait la sortie clandestine des vedettes de Cherbourg, lors de la nuit de Noël 1969. Il reste que le départ d’un BPC avec 400 marins et du navire école Smolniy, avec 150 marins, reste hautement improbable. Surtout que le BPC et sa conserve sont dans un bassin clos. Exit l'hypothèse romanesque.

 

Guerre des nerfs? Jeu de chat et de souris? Qui est le chat, entre Vladimir et François, parce que chat croque toujours la souris.

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 07:55
Porte-hélicoptères Vladivostok photo Alexei Filippov - RIA Novosti

Porte-hélicoptères Vladivostok photo Alexei Filippov - RIA Novosti

 

PARIS, 17 novembre - RIA Novosti

 

Le premier porte-hélicoptères construit en France pour les forces navales russes, le Vladivostok, bat toujours pavillon français, a annoncé lundi le porte-parole du Quai d'Orsay, Romain Nadal.

 

"Je confirme que le bâtiment de projection et de commandement Vladivostok bat pavillon français", a déclaré M. Nadal lors d'un point de presse à Paris.

 

Vendredi dernier, le Vladivostok a été immatriculé dans le système international d'enregistrement et d'identification des navires comme un bâtiment de guerre battant pavillon russe et amarré dans le port de Saint-Nazaire.

 

La livraison de ce navire à la Russie reste en suspens. Les autorités françaises, qui tentent d'amener Moscou à modifier sa position sur la crise ukrainienne, affirment que les "conditions ne sont toujours pas réunies" pour remettre le Vladivostok à la partie russe. Moscou a fait savoir à cette occasion qu'il attendrait jusqu'à fin novembre avant de réclamer des indemnités pour la non-exécution du contrat et que les montants réclamés seraient rendus publics.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 23:40
Les marins russes devant leur navire ecole  photo Franck Dubray - Ouest France

Les marins russes devant leur navire ecole photo Franck Dubray - Ouest France

 

17/11/2014 à 20:49 Par LEXPRESS.fr

 

Selon Ouest France, les centaines de marins de l'armée russe, en formation à Saint-Nazaire, ne peuvent plus monter à bord du plus avancé des porte-hélicoptères de type Mistral que la France construit pour la Russie.

 

Nouvelle illustration de la tension sur le dossier de la livraison des Mistral à la Russie. Selon Ouest-France, les 400 marins russes en formation à Saint-Nazaire n'ont pas pu monter ce lundi à bord du batîment que la France construit pour la Russie. Jusqu'à présent, malgré les sanctions entre l'Occident et le Kremlin, dans le contexte de la guerre dans l'Est de l'Ukraine, la phase technique qui précède la livraison suivait son cours. 

 

Suite de l'article

 

Note RP Defense : voir reportage (14 nov.) de Franck Dubray - Ouest France

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 15:55
Le BPC Vladivostok et le Smolniy à Saint-Nazaire - photo RP Defense

Le BPC Vladivostok et le Smolniy à Saint-Nazaire - photo RP Defense

 

15/11/2014 Par lefigaro.fr

 

L'incertitude à propos de la livraison des navires Mistral à la Russie fait peser un risque sur les 2500 emplois des chantiers STX de Saint-Nazaire.

 

«Des centaines d'emplois», voilà l'enjeu de la livraison des navires Mistral à la Russie, selon les syndicats. La décision prise à l'Élysée et assujettie à la situation diplomatique en Ukraine pourrait bien avoir des répercussions néfastes dans l'Hexagone. Davantage qu'un sujet de discussion lors de la rencontre Hollande-Poutine ce samedi en marge du G20, le Mistral constitue une garantie de travail pour les ouvriers des chantiers navals de Saint-Nazaire.

 

Suite de l’article

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 10:40
First Mistral-Class Ship Built for Russia Sets Off for Sea Trials: Reports

 

September 16th, 2014 defencetalk.com (RIA Novosti)

 

The Mistral-class helicopter carrier, the Vladivostok, carrying some 200 Russian sailors on Saturday left the French port of Saint-Nazaire to pass a series of tests.

 

The Vladivostok had left docks at 3:30 a.m. local time (1:30 GMT), but was forced to wait until the tide thus eventually sailing out to sea at 7:20 a.m. (5:20 GMT) accompanied by two tugboats, Agence France-Presse reported.

 

This is the first time the ship goes to sea since its arrival to Saint-Nazaire in June where two crews of Russian sailors, a total of 400 crew members, have been awaiting sea trials.

 

The $1.6 billion contract to supply the Mistral-class ships between the French ship-building company DCNS and Russia’s state-run arms exporter Rosoboronexport was signed in June of 2011. The first carrier, the Vladivostok is to be operated by the Russian Navy in 2014, while the second ship, the Sevastopol will arrive in 2015. While the United States were against the deal, DCNS insisted that Western sanctions imposed on Russia for its role in Ukraine not prohibit the construction and transfer of Mistral ships.

 

Last week, France threatened to suspend the supply of the helicopter carriers, linking its decision to the crisis in Ukraine, claiming Moscow’s direct involvement. Later, a French government spokesman told RIA Novosti that the delivery of the ship is not officially suspended and that French President Francois Hollande was simply outlining his political stance. Hollande stated he would not approve of the transfer of the vessel in November should the situation in Ukraine not improve. Hollande later stated he would make the decision in late October.

 

The president added that the two conditions for the delivery of the ship is an observed ceasefire in Ukraine, as well as a political settlement agreement.

 

The French President also stressed that the sanctions adopted by the European Union have never prevented the delivery of the helicopter carrier to Russia.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 04:40
photo Franck Dubray

photo Franck Dubray

 

30.06.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Le Smolny, tiré par des remorqueurs français, est entré dans le port peu après 7h, avant de traverser l'écluse donnant accès au bassin où l'attendait le Vladivostok. Les marins étaient visibles à travers les hublots de leurs cabines dans le navire portant la croix bleue, l'enseigne de la marine russe.

 

Peu après 8h30, le navire a accosté dans une zone interdite au public. Un officier en est descendu et a serré les mains de personnes présentes à quai, qui sont ensuite montées à bord. Sur le pont supérieur, lors d'une courte cérémonie, les marins se sont rassemblés en uniforme et en rang puis, après quelques minutes, se sont dispersés sur le navire sans en descendre. Certains téléphonaient, d'autres regardaient, accoudés au bastingage le port où ils doivent demeurer quatre mois.

Le Vladivostok et le Smolniy à Saint-Nazaire  photo Franck Dubray

Le Vladivostok et le Smolniy à Saint-Nazaire photo Franck Dubray

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 17:55
BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

 

26/06/2014 bfmtv.com

 

Quatre cents marins russes sont attendus à partir de lundi à Saint-Nazaire pour être formés au maniement des Bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral dont le premier doit être livré à la mi-octobre à la Russie, a-t-on confirmé jeudi chez STX France.

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 07:55
Les marins de Kronstadt à Saint-Nazaire

Le "Vladivostok", porte-hélicoptère de la classe Mistral construit pour la Russie à Saint-Nazaire. série d'essais à la mer en avril puis en mai. Photo Marine Nationale

 

20/06/2014 par François d'Orcival- V.A.

 

Mistral. Quatre cents marins russes vont s’entraîner sur le premier des deux bateaux commandés aux chantiers navals français. Même si les Américains ne sont pas contents…

 

Le pavillon de Saint-André flottera sur un quai de Saint-Nazaire, ce dimanche 22juin. Le Smolny, navire-école de la marine russe, y est attendu avec 400 marins à bord. Il devait appareiller, ce 18 juin, de son port d’attache de Kronstadt, situé sur la Baltique en face de la baie de Saint-Pétersbourg. Kronstadt est un symbole ancien de l’amitié franco-russe, car c’est dans ce port que le tsar Alexandre III accueillit pour la première fois une escadre française, commandée par l’amiral Gervais. Cela se passait le 22 juillet 1891 et ce fut le point de départ de l’alliance franco-russe. Les marins russes offrirent, selon la coutume de l’époque, le pain et le sel à leurs camarades français.

 

Il n’est pas sûr que les marins du Smolny aient eu connaissance de ces détails en se préparant à accoster à Saint-Nazaire ; il est aussi improbable que le nouveau maire de la ville portuaire, David Samzun, leur offre le pain et le sel. Les circonstances de cette visite sont un peu particulières, en effet. Ces marins venus de Kronstadt célèbrent pourtant la perpétuation de l’amitié franco-russe, puisqu’ils doivent prendre livraison du premier des deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) que les chantiers navals STX de Saint-Nazaire construisent pour la Russie. Mais si les circonstances sont particulières, c’est que les Américains ont tout fait pour empêcher cette livraison, au motif d’un embargo décidé par eux seuls sur les livraisons d’armes à la Russie de Vladimir Poutine, en raison de l’annexion de la Crimée. Les Français sont passés outre et les marins de Kronstadt vont s’entraîner à bord de ce bateau tout neuf qui est le leur.

 

Baptisé Vladivostok (le suivant s’appellera Sébastopol, du nom de la base navale russe de Crimée), ce bâtiment a effectué sa première sortie à la mer au début du mois de mars. Entre sa mise sur cale et sa mise à l’eau, il se sera écoulé à peine plus de deux ans ! Un record pour un bâtiment de ce tonnage (21 000 tonnes) et de cette dimension — il dépasse la hauteur du porte-avions Charles-de-Gaulle qui, lui, a été réalisé en quatorze ans. C’est d’ailleurs parce que cela avait trop duré que l’on a voulu aller bien plus vite pour construire un porte-hélicoptères.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:40
BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

 

12.04.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Alors que le BPC russe Vladivostok poursuit ses essais (il était en mer depuis mardi et jusqu'à vendredi dernier), Saint-Nazaire attend toujours les 400 marins russes qui seront formés par l'entreprise française DCI et qui constitueront les premiers équipages du navire.

 

L'attente se prolonge en fait. On les attendait cette semaine; arrivée reportée sine die!

 

La question n'est donc plus de savoir si Paris bloquera la livraison du premier BPC (réponse en octobre, a précisé le ministre français de la Défense il y a quelques jours), mais si et quand les visas d'entrée seront attribués aux marins russes.

 

Précision: les 400 marins ne seront pas tous logés à terre (dans des hôtels locaux qui jonglent actuellement avec les reports et annulations). Certains devraient coucher à bord d'un navire russe.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:40
France Floats Out First Russian Mistral Warship

SAINT-NAZAIRE (France), October 15 (RIA Novosti)

 

A French shipyard floated out Tuesday the first of two Mistral-class amphibious assault ships being built for the Russian Navy.

The ship, named Vladivostok, being built at the DCNS shipyard in Saint-Nazaire, is expected to start sea trials in March next year.

“The ship will be handed over unarmed, but equipped with French-made landing equipment,” DCNS program manager Yves Destefanis said at the launch ceremony. It will be fitted with Russian-made weapons systems later, he added.

The vessel will receive its additional Russian systems at the Severnaya Verf shipyard in St. Petersburg, and then be handed over to Russia’s Pacific Fleet in November 2014.

Russia and France signed the 1.2 billion euro ($1.6 billion) contract for two French-built Mistral-class helicopter carriers in June 2011.

A second Mistral-class warship, the Sevastopol, is due to be floated out in October 2014.

According to the Russian Defense Ministry, both warships will be based in the Far East ports of Vladivostok and Petropavlovsk-Kamchatsky when they enter service.

A decision on whether to acquire a build a third and fourth Mistral for the Russian Navy will be taken based on the experience of testing the first one, a Russian defense procurement official said Tuesday.

“The final decision on construction of the third and fourth [Mistrals] has not been taken,” said Andrei Vernigora, director of the defense ministry’s procurement department. ‘We must see how all the systems have adapted. It’s possible the project might require further revision.”

The decision to buy a major foreign-made warship – an unprecedented move for Russia since World War II - was a controversial one. Earlier this year, Deputy Prime Minister Dmitry Rogozin, who oversees defense procurement, criticized the Mistral purchase, made under the auspices of his predecessor Anatoly Serdyukov, for requiring special lubricants and other liquids not produced in Russia in order to work properly in cold weather.

The Pacific Fleet is currently forming crews for the two helicopter carriers, a Pacific Fleet spokesman told RIA Novosti on Tuesday.

Mistral-class vessels are capable of carrying 16 helicopters, four landing craft, 70 armored vehicles, and 450 soldiers.

The Russian Mistral air wings are expected to comprise eight Kamov Ka-52K attack helicopters and eight Ka-29/31 Helix assault transport helicopters.

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