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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 6 juin 2015, le commandant de la force Sangaris est allé, avec plusieurs autorités centrafricaines et françaises, à la rencontre des habitants de Boda, pour constater les progrès accomplis dans le processus de paix et de reconstruction.

 

Accompagné du ministre résident de la ville de Boda, de l'ambassadeur de France et du ministre conseiller à la présidence centrafricaine, le général Gillet a été accueilli par les autorités et les principaux acteurs locaux. Après avoir visité un camp de réfugiés, la délégation s'est entretenue avec le comité des sages, les représentants religieux, les chefs de villages, les délégués du commerce local, les artisans miniers et les ONG, sur les thèmes de la sécurité, de la réconciliation et du développement. L'objectif était d'évaluer les progrès réalisés et d'identifier les problèmes résiduels qui pourraient entraver l'accomplissement du processus de paix. « C'est la quatrième fois que je viens à Boda. Je constate à chaque fois l'évolution que connaît cette ville grâce à la détermination de la population à vouloir reprendre une vie normale. Il y a beaucoup à faire encore pour que le calme revienne. Nous allons engager tous les moyens possibles pour reconstruire la ville et aider la population. Il faut que "Boda la belle" redevienne "Boda la belle" » a déclaré monsieur Malinas, ambassadeur de France en Centrafrique, lors de ces entretiens.

 

Depuis que les éléments français de Sangaris ont quitté cette ville, il y a près de huit mois, une compagnie congolaise de la MINUSCA a pris le relais afin de sécuriser la région et aider les habitants à continuer à œuvrer pour la cohésion sociale, le développement et le retour de la paix.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 12:45
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12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 25 mai au 8 juin 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le détachement des hélicoptères Fennec (DETFENNEC) a réalisé des missions d'appui, de reconnaissance et de renseignement au profit des troupes au sol. À cette occasion, il a passé le cap des 600 heures de vol cumulées depuis la mise en place des appareils sur le théâtre centrafricain.

 

Rattachés au sous groupement de renseignement multicapteurs (SGRM), ces hélicoptères de combat de l'armée de l'Air sont engagés sur l’ensemble du théâtre pour effectuer des missions d’appui-renseignement et d’appui-feu au profit des troupes au sol, mais également des missions de reconnaissance et d'évacuation sanitaire. Pour la première fois, ces appareils multifonctionnels ont été déployés en autonomie sur le terrain avec les capteurs au sol. "Habituellement nous dépendons d'une base avancée pour effectuer nos missions. Cette fois nous avons testé le concept de la nomadisation, c'est-à-dire de bivouaquer avec la troupe au sol. Cela présente le double avantage de pouvoir rayonner sur une distance de 200 km autour de notre installation et de traiter directement les informations prises en vol", explique le commandant Cédric, chef du DETFENNEC.

 

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Présent en RCA depuis le 7 décembre 2013 et stationné sur le camp de M’Poko, ce détachement est constitué d’une vingtaine de personnels incluant les pilotes, les mécaniciens et les spécialistes chargés d'exploiter le renseignement. Il a atteint dernièrement le nombre de 600 heures de vol et plus de 1 000 comptes rendus d'informations prises sur le terrain. Grâce à sa rapidité, sa mobilité et la précision des informations qu’il récolte, le Fennec apporte une plus-value à l’action de la force Sangaris.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:55
photo Armée de Terre

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09/06/2015 Armée de Terre

 

La cérémonie d’adieu aux armes du général de corps d’armée Alain Bouquin, général inspecteur de l’armée de Terre, présidée par le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), s’est déroulée le 2 juin 2015 dans la cour d’honneur de l’Hôtel National des Invalides à Paris.

 

Cette prise d’armes a débuté par une remise de décorations individuelles. Médaille Militaire, l’ordre national du Mérite et croix de la Valeur militaire ont ainsi été remises, suivies de l’adieu aux armes avec lecture de l’ordre du jour par le CEMAT.

 

La Croix de la Valeur Militaire a été décernée à des militaires du 2e REP, de la BFST, de l’IAT,  de la 1re BM, de la SIMMT, du CESAT, du CMA de Nancy et à une équipe images du SIRPA Terre, dans le cadre de l’opération SANGARIS en république centre-africaine.

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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 16:20
photo EMA

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07/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 3 et 4 juin 2015, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, était aux États-Unis où il s’est rendu à Norfolk, Washington et New York. Lors de ce déplacement, il a rencontré différentes autorités civiles et militaires américaines, mais aussi les responsables de l’OTAN, avant de se rendre au siège des Nations Unies.

 

Le 3 juin, le général de Villiers était à Washington pour participer à différentes rencontres de niveau politico-militaire. Il s’est tout d’abord rendu au Pentagone où il a retrouvé son homologue, le général Dempsey. Lors de cette rencontre, les deux CEMA ont fait le point des différents volets de la coopération militaire bilatérale, avant de conduire un briefing opérationnel qui a plus particulièrement porté sur la lutte contre le terrorisme au Sahel et au Levant. A l’issue de cette rencontre, le général de Villiers a été reçu par le sénateur Jack Reed, doyen des sénateurs américains, ainsi que par le sénateur John McCain, membre de la commission des forces armées du Sénat américain. A chaque fois, les interlocuteurs du général de Villiers ont salué l’action des forces françaises, considérée comme essentielle, en particulier dans le cadre des engagements que conduit la France au Sahel aux côtés de ses partenaires africains.

 

Le lendemain, le général de Villiers s’est rendu à Norfolk au sein du commandement allié pour la transformation de l’OTAN (Allied Command Transformation - ACT). Évoquant le rôle de « plateforme de l’interopérabilité » que devait continuer à jouer ce commandement, le CEMA est revenu sur les enjeux liés à la rénovation stratégique de l’OTAN, ainsi que sur le rôle moteur que la France entend jouer dans la mise en œuvre de ses principaux axes (interopérabilité, réaction rapide, et rationalisation budgétaire), points qu’il avait évoqués fin mai à l’occasion de la réunion du comité des chefs d’état-major de l’OTAN à Bruxelles [lien vers brève]. Le CEMA a également rencontré le général Jean-Paul Paloméros, commandant suprême allié pour la transformation de l’OTAN (SACT), auquel succédera bientôt le général Denis Mercier, actuel chef d’état-major de l’armée de l’Air.

 

Enfin, le CEMA s’est rendu au siège de l’ONU à New York, où il a été reçu en audience par le secrétaire général des Nations Unies, monsieur Ban Ki Moon. Ce dernier a remercié la France pour son engagement aux côtés de l’ONU, notamment dans la bande sahélo-saharienne où est déployée la MINSUMA, mission des Nations Unies pour la stabilisation au Mali. Lors de cette rencontre, le général de Villiers est revenu sur les enjeux des conflits actuels, et sur la nécessaire coordination entre les forces françaises, alliées et de l’ONU. Le CEMA a souligné qu’en République centrafricaine, Sangaris passait progressivement et avec succès le témoin aux forces de la MINUSCA. Les autres opérations de l’ONU auxquelles la France contribue ont également été abordées, dont celle de la force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL).

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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 12:55
photo 1e REC

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03-04-2015  par 1e REC Réf : 206 | 1005

 

En vue de la projection d’un de ses pelotons en RCA à l’été 2015, le 3ème escadron du Royal Etranger a commencé sa mise en condition avant projection (MCP) à CANJUERS du 02 au au 13 Mars. Ce fut l’occasion pour les légionnaires d’apprendre ou de se réapproprier les savoir-faire inhérents à leurs spécialités respectives.

 

Les tireurs, pilotes et chefs d’engins ont suivi une formation d’adaptation sur ERC 90D « SAGAIE ». Après avoir bénéficié des cours sur l’armement, l’entretien, et le pilotage, ils ont travaillé en équipage et en peloton lors de parcours d’observation et des passages sur différents simulateurs.

 

Les pilotes et chefs de bord des patrouilles d’investigation ont pu se former à la conduite des VBL et des VAB, en assimilant les caractéristiques techniques ainsi que les composantes tactiques relatives à ces véhicules, comme la progression en appui mutuel ou le franchissement. Le combat débarqué ainsi que les actes élémentaires ont également été révisés. A l’issue d’une formation dense et technique, les meilleurs pilotes se sont vu attribuer la FSI cavalier blindé pilote option pilote VBL.

 

Les plus jeunes ont fait effort sur l’aguerrissement et les actes élémentaires. Marches, tirs ISTC de jour et de nuit, formation à la technique d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR) ainsi que le maniement des armes individuelles et collectives étaient au programme.

 

Opérationnel, le PCL s’est entraîné au déploiement d’un PC tactique de niveau UE, avec notamment la mise en œuvre d’un réseau de transmissions de données de niveau unité élémentaire (liaison SIR/SITEL). Tous les légionnaires de l’escadron ont bénéficié d’un recyclage de la formation de premier secours niveau 1 (PSC1) ainsi que de l’apprentissage du sauvetage au combat de niveau 1 (SC1).

 

L’escadron a testé ensuite ses nouvelles connaissances à la fin du mois de mars lors des tirs de niveau 9, 7 et 6 (tir canon niveau tireur, équipage et peloton) à MAILLY-LE-CAMP, validant ainsi les prérequis nécessaires à la projection et qualifiant l’ensemble de l’escadron à l’emploi des pelotons SAGAIE.

 

L’escadron s’est qualifié opérationnel sans restriction sur ERC90 (dont un peloton opérationnel exceptionnel) et a vu ainsi son investissement individuel et collectif récompensé.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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04/06/2015 Source : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, qui devrait l’amener à un format de 900 militaires d’ici fin juin 2015.

 

Le dispositif français se resserre ainsi progressivement autour de la capitale, tout en conservant une posture de « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférée à la MINUSCA les 22 et 28 mai 2015. Pour ce qui est du dispositif français, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre fin mai.

Les 800 militaires qui seront désengagés du théâtre dans les semaines à venir passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar, qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

En parallèle, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:45
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04/06/2015 SCH Beltran  - armée de Terre

 

Le 1er régiment de tirailleurs (1er RTir) a célébré le 71e anniversaire de la bataille du Garigliano.

 

Cette bataille, menée lors de la campagne d’Italie en 1944, a permis aux troupes du Corps expéditionnaire français (CEF) commandé par le général Juin, d’enfoncer la ligne de défense située sur le fleuve Garigliano et de libérer la voie vers Rome pour les Alliés. 60% du CEF était constitué de soldats issus de l’armée d’Afrique.

Aujourd’hui, le 1er RTir est l’héritier de ces unités et de leurs traditions. Projeté en République centrafricaine, plusieurs commémorations ont eu lieu sur les camps de M’Poko, Bangui et à Bambari. Le général Pierre Gillet, commandant la force Sangaris, a présidé la cérémonie nocturne empreinte d’émotion et de solennité.

 

Note RP Defense :

voir La campagne d'Italie (3 septembre 1943 - 2 mai 1945)

voir L’engagement des Français aux côtés des Alliés pendant la campagne d’Italie (décembre 1943-juillet 1944)

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:45
photo Armée de Terre

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04 juin 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - La force française Sangaris, engagée en Centrafrique depuis décembre 2013, va passer de 1.700 à 900 hommes d'ici la fin du mois de juin, a annoncé jeudi l'armée française.

 

Le volume des forces dans le mois à venir passera de 1.700 à 900 militaires, a déclaré le porte-parole de l'armée, le colonel Gilles Jaron, soulignant que ce retrait s'inscrivait dans un processus de désengagement amorcé il y a plusieurs mois.

 

De plus en plus notre dispositif va se recentrer sur la capitale Bangui. A partir de Bangui nous serons capables de nous déployer extrêmement rapidement en appui des forces de l'Onu mobilisées dans le pays, a ajouté l'officier, précisant qu'un certain nombre de sites où étaient présents les soldats français allaient passer sous l'autorité de l'Onu.

 

L'opération Sangaris a été déclenchée en 2013, sous mandat de l'Onu, pour stabiliser la situation en Centrafrique alors en proie au chaos total, et tenter d'enrayer les tueries entre communautés chrétienne et musulmane.

 

Au plus fort de sa présence elle a compté 2.000 hommmes.

 

Une force onusienne de maintien de la paix de quelque 10.000 hommes est déployée dans le pays, censé organiser des élections avant la fin 2015.

 

La Centrafrique a plongé dans la tourmente après le renversement du président François Bozize par une rébellion à dominante musulmane, la Seleka, en mars 2013.

 

Cette rébellion a été évincée du pouvoir en janvier 2014 après l'intervention de l'armée française, consécutive à un cycle sanglant de violences et de représailles entre combattants de la Séléka et milices anti-balaka à dominante chrétienne.

 

Paris, qui au départ misait sur une intervention de six mois, n'a jamais fait mystère de sa volonté de se désengager, notamment pour renforcer son dispositif anti-terroriste Barkhane déployé dans cinq pays du Sahel.

 

L'opération Sangaris a été entachée par des accusations de viols sur des enfants qu'auraient commis des militaires français.

 

Une enquête est ouverte en France sur cette affaire où 14 soldats ont été mis en cause, dont trois identifiés, par les témoignages de six enfants dénonçant des faits commis entre fin 2013 et début juin 2014.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:55
Viols en Centrafrique : l’enquête déclassifiée

 

03/06/2015 par valeursactuelles.com

 

Centrafrique. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a donné cet après-midi son feu vert pour déclassifier l’enquête interne sur les accusations de viols en Centrafrique sur des enfants, par des militaires français.

 

L’enquête déclassifiée

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a donné son feu vert à la déclassification de l’enquête interne de l’armée sur les accusations de viols d’enfants par des militaires français en Centrafrique. « Le ministre a répondu favorablement à la demande de la justice » après « un avis favorable » de la Commission consultative du secret de la défense nationale, a précisé l’entourage du ministre à l’AFP.

Une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Paris le 7 mai dernier, après des révélations publiées dans le quotidien britannique The Guardian. La gendarmerie prévôtale et la section de recherches de la gendarmerie de Paris se sont déplacés à Bangui en août 2014 pour mener une enquête. « Ils ont procédé à un certain nombre de vérifications » a indiqué le parquet.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
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Crédit: Etat-major des armées / armée de Terre

 

18 mai 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, le détachement d'hélicoptères Gazelle, du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda, a effectué plusieurs reconnaissances d'axes au profit des GTIA Vercors et Turco qui menaient des missions de contrôle de zone avec la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

Reportage photos

 

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
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28/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre du Forum de Bangui, qui a eu lieu du 4 au 11 mai 2015, le sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) réserve de théâtre, armé par le GTIA Vercors, s’est déployé au sud-est de la ville afin de maintenir une présence continue mais discrète dans cette zone.

 

En appui de la MINUSCA et des forces de sécurité centrafricaines, le SGTIA a patrouillé, de jour comme de nuit, dans les 6e et 7e arrondissements de Bangui. Pour cette opération de sécurisation, un poste de commandement provisoire (PCP) a été déployé à 15 km de la capitale, dans la commune de M'Boko. La compagnie véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) du 1errégiment de tirailleurs, avait pour mission d'occuper le secteur sud-ouest, du quartier de la Fatima jusqu'à PK 9. Parallèlement, les éléments du 7e bataillon de chasseurs alpins occupaient le secteur sud-est, entre les rives du L'Oubangui et M'Boko.

 

Ces patrouilles avaient pour objectif de prendre contact avec la population et de veiller au bon déroulement du Forum de Bangui en dissuadant d’éventuels fauteurs de troubles. Le SGTIA s’est désengagé le 12 mai 2015 pour revenir au camp de M’Poko.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
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28/05/2015 Source: État-major des armées

 

La force Sangaris resserre progressivement ses troupes et matériels autour de Bangui pour densifier la « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférées à la MINUSCA les 22 et 28 mai. Cette semaine, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre.

 

Lors des prochaines relèves, les militaires de Sangaris qui quitteront la RCA passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

 

Parallèlement, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:45
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27/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 20 mai 2015, la MINUSCA et la force Sangaris ont mené une opération conjointe de contrôle de zone de grande amplitude entre Kaga Bandoro et Mbrès. Baptisée Dragon 2, elle visait à exercer une pression dissuasive sur les groupes armés qui peuvent encore sévir dans la région.

 

Pendant plusieurs jours, dans des conditions climatiques défavorables, les éléments de la MINUSCA et du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco ont effectué plusieurs reconnaissances d’axes. L’escadron du 1er régiment de spahis du GTIA agissait en appui du détachement d’un bataillon pakistanais. Les patrouilles mixtes, à pied et en véhicules sur les pistes et dans les villages, ont contribué à rassurer la population.

 

Durant cette opération, le général Gillet, commandant la Force Sangaris, et le général Chaudry, commandant le secteur centre de la MINUSCA, se sont rendus sur la position de déploiement du poste de commandement tactique de Turco et ont assisté à une action conjointe.

 

L’opération Dragon 2 a permis au contingent pakistanais de la MINUSCA, stationné à Kaga Bandoro et Mbrès, d’affirmer son implication dans la sécurisation de sa zone de responsabilité.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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21 mai 2015 4 21 /05 /mai /2015 12:45
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21/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La situation est restée calme dans l’ensemble du pays. La semaine a été principalement marquée par la clôture du forum de Bangui, le 11 mai 2015. La capitale a par ailleurs connu quelques agitations de faible ampleur les 11 et 12 mai 2015, entièrement résorbées par la MINUSCA qui a engagé sa force de police de réaction rapide (QRF). La force Sangaris n’a pas eu besoin d’intervenir en appui. Dans le même temps, quelques patrouilles conjointes avec la MINUSCA ont été conduites dans les régions de Kaga Bandoro, Damara et Sibut.

 

Le mardi 19 mai, la base opérationnelle de Bria été transférée à la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 19:45
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13/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La semaine a été marquée par la tenue du Forum de Bangui, du 4 au 11 mai 2015, qui constituait une étape essentielle dans le processus de réconciliation nationale. Les forces de sécurité internationales ont veillé à son bon déroulement, aux côtés de leurs homologues centrafricains. La force Sangaris constituait quant à elle une force de réaction mobile capable d’intervenir en appui, si nécessaire.

 

 

Après une semaine d’échanges sur les thèmes de gouvernance, de paix, de justice, et de « désarmement et démobilisation », le Forum de Bangui, rassemblant l’ensemble des acteurs de la reconstruction du pays, s’est déroulé sans incident sécuritaire. Une telle rencontre, qui aurait été inenvisageable en décembre 2014 au regard de la situation sécuritaire dans la capitale et dans le pays, constitue une démonstration complémentaire des avancées sécuritaires permises par l’action de la force Sangaris depuis décembre 2014.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 16:45
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10.05.2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre

 

Cet événement mémoriel est l’occasion de faire le point sur l’engagement des armées françaises depuis le 8 mai 2014.

Les armées ont été fortement sollicitées depuis mai 2014. Environ 19 000 hommes sont déployés hors métropole dont plus de 7 000 engagés en OPEX. En opérations et à l’étranger, les militaires français participent à la résolution des crises, à la protection des populations civiles et de nos ressortissants, à la protection de nos intérêts.

 

Reportage photos

 

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
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06/05/2015 Sources EMA

 

Le 29 avril 2015, la force Sangaris à mené une opération de reconnaissance conjointe avec les forces pakistanaises de la MINUSCA sur l’axe Kaga Bandoro - Mbres, dans le « couloir central » de la Centrafrique.

 

Le but de l’opération, à laquelle un détachement du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco participait en appui des troupes de la MINUSCA, consistait à montrer à la population que les forces de la MINUSCA présentes à Kaga Bandoro sont pleinement opérationnelles et impliquées dans leur mission de sécurisation de la région.

 

Au cours de cette mission de reconnaissance, les Pakistanais ont organisé deux réunions avec la population. La première a eu lieu à N’Denga, en présence du général Amin, commandant le secteur Centre de la MINUSCA, et du général Gillet commandant la force Sangaris. Cette rencontre avec les autorités du village a permis de recueillir leurs préoccupations et de les rassurer sur l’action des forces internationales. La deuxième réunion, qui a eu lieu dans le village de Doukouma, a répondu aux mêmes objectifs.

 

Le 28 avril 2015, la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA a été officiellement déclarée. Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le « couloir central » et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

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06/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Les 27 et 28 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Vercors a mené des patrouilles et des missions de contrôle de zone sur la Main Supply Road n°1 (MSR1), l’axe entre Bangui et Bogola, en direction de Boali.

 

Sur une distance de 60 km depuis Bangui, la compagnie du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), appuyée par la compagnie de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) du 1er régiment de Tirailleurs, a conduit une opération de présence sur la MSR1 afin de contrôler toute cette zone en vue de déceler les réseaux de brigandage qui pourraient nuire à la sécurité de la population. Afin d’appliquer les lois centrafricaines lors de ces contrôles, un agent des forces de la sécurité intérieure (FSI) était intégré aux patrouilles.

 

Sur cet axe, les éléments du GTIA Vercors ont mené des patrouilles motorisées et à pieds, dans les différents villages traversés par cette route. Afin d’évaluer la situation sécuritaire, les soldats de la force Sangaris sont allés à la rencontre des chefs des villages, puis des directeurs d’écoles et des directeurs des centres de santé. « Grâce à votre présence et aux patrouilles menées sur la MSR, j’arrive à garder mon stock de médicaments en sécurité. Cela fait six mois que je n’ai pas été victime de vol », leur a indiqué Monsieur Lazar, chef du centre de santé du village de Bouboui.

 

Les forces de la MINUSCA assurent les mêmes opérations sur la partie supérieure de cet axe à partir de la ville de Boali. La MSR1 est un axe logistique principal reliant Bangui au Cameroun. La présence des forces de la communauté internationale permet de sécuriser les déplacements des convois logistiques et de favoriser la reprise des échanges commerciaux entre la Centrafrique et les pays voisins.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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source EMA

29 avril 2015, à Bangui, en République Centrafricaine.


Chargement de PVP et de fret à bord d'un C17 de l'US AIR FORCE. Au total 23 tonnes ont été embarquées.

 

suite du reportage photos et ICI

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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07/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris du 7 mai 2015

 

La République Centrafricaine est actuellement plongée dans le forum de Bangui, qui a débuté le 4 mai 2015. La sécurité de ce grand rendez-vous de politique intérieure est assurée par les forces de sécurité du pays, appuyées par la MINUSCA, pleinement opérationnelle depuis la semaine dernière.

De façon générale, Sangaris constitue désormais une force de réaction mobile et souple, en mesure d’appuyer la MINUSCA si nécessaire, et dont le dispositif s’allègera progressivement dans les semaines à venir, comme cela est planifié depuis plusieurs mois.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

photo EMA / Armée de Terre

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 05:45
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30.04.2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de la poursuite du déploiement de la MINUSCA en province, la force Sangaris a rétrocédé, le 25 avril 2015, l’emprise française de Dékoa. Une cérémonie présidée par le colonel Espitalier, commandant le groupement tactique interarmes (GTIA) Turco, en présence de la préfète de la région de Kémo et du maire de Dékoa, a officialisé le transfert de la base opérationnelle française aux militaires de la MINUSCA récemment déployés à Dékoa. Le désengagement de Dékoa ne signifie pas un retrait de Sangaris de la région. Le GTIA Turco poursuivra ses patrouilles dans la zone, à partir de Sibut.

 

La semaine a été marquée par la visite du Secrétaire général adjoint des Nations Unies, chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, monsieur Hervé Ladsous.  Le 28 avril 2015, il a présidé une cérémonie marquant la déclaration de la pleine capacité opérationnelle de la MINUSCA.

 

Le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA déployé dans Bangui, le couloir central et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 14:45
photo MinDefFR

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30/04/2015 Ministère de la Défense

 

Le ministère des Affaires étrangères et du Développement international et le ministère de la Défense ont été saisis à la fin du mois de juillet 2014 de témoignages d’enfants centrafricains accusant d’agressions sexuelles des militaires français de l’opération SANGARIS.

 

Ces témoignages, recueillis par un agent du BINUCA (Bureau Intégré de l'Organisation des Nations Unies en Centrafrique) assisté de personnels de l’UNICEF, et consignés dans un rapport de la MINUSCA (Mission des Nations Unies en Centrafrique), retracent des faits qui auraient été commis sur une dizaine d’enfants, sur le site de l’aéroport de M’Poko, en Centrafrique, entre décembre 2013 et juin 2014.

 

Au vu du caractère circonstancié des témoignages et de l’extrême gravité des faits allégués, le ministre de la Défense a alors réagi en prenant toutes les mesures nécessaires pour que les faits et les éventuelles responsabilités pénales et disciplinaires puissent être établis au plus vite. Une enquête de commandement a été immédiatement conduite. Elle sera transmise au Parquet dès lors qu’il en fera la demande.

 

Le jour-même de la réception du rapport du BINUCA le mardi 29 juillet 2014, le ministre de la Défense a saisi le Parquet de Paris sur le fondement de l’article 40 du Code de procédure pénale. Le Parquet de Paris a pu ouvrir immédiatement une enquête préliminaire, toujours en cours. Celle-ci est confiée au commandement de la gendarmerie prévôtale dont des agents se sont rendus en Centrafrique, dès le 1eraoût, pour commencer les investigations.

 

Le ministre de la Défense a pris et prendra toutes les mesures nécessaires pour permettre la manifestation de la vérité. Si les faits étaient avérés, il veillera à ce que les sanctions les plus fermes soient prononcées à l’égard des responsables de ce qui serait une atteinte intolérable aux valeurs du soldat.

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 10:45
Militaires français sous enquête pour des viols d'enfants en RCA

 

29.04.2015 Romandie.com (ats)

 

La justice française enquête sur des accusations de viols d'enfants par des militaires français déployés en Centrafrique. Elles ont été dénoncées dans un rapport interne de l'ONU et révélées mercredi par le quotidien britannique "The Guardian".

Les faits auraient été commis sur une dizaine d'enfants entre décembre 2013 et juin 2014 dans le camp de réfugiés de l'aéroport de M'Poko, à Bangui, qui accueille des personnes déplacées.

L'enquête a été ouverte à Paris le 31 juillet 2014 pour viols sur mineurs de moins de 15 ans, a déclaré mercredi le ministère français de la Justice. Elle est assortie de demandes d'entraide à l'international. "L'enquête est en cours, nous n'avons pas de commentaire à faire", ajoute le ministère de la justice.

Dans un communiqué, le ministère de la Défense indique avoir été saisi, avec le Quai d'Orsay (ministère français des affaires étrangères), à la fin du mois de juillet 2014 par le Haut commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU (HCDH).

 

Lanceur d'alerte suspendu

Selon le quotidien britannique "The Guardian", le document des Nations unies aurait été transmis aux autorités françaises par un membre suédois du HCDH, Anders Kompass, choqué par l'inertie de sa hiérarchie. Haut responsable, il est le directeur des opérations du Haut Commissariat.

"La version préliminaire a été fournie de manière non officielle par un membre de l'équipe aux autorités françaises fin juillet avant même d'être transmise à la direction du bureau du Haut commissaire aux droits de l'Homme", a confirmé a confirmé le porte-parole adjoint de l'ONU Farhan Haq.

"Cela constitue un manquement grave au protocole", ajoute-t-il dans un communiqué. Selon le quotidien britannique, Anders Kompass a été suspendu de ses fonctions la semaine dernière et fait l'objet d'une enquête interne qui pourrait aboutir à son licenciement. Le porte-parole de l'ONU et le conseiller juridique du ministère suédois de la Justice, Anders Rönquist, ont confirmé ces informations.

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:45
Sangaris : un drone effectue un mission de reconnaissance


24 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre​

 

Sangaris, 17 avril 2015

Un drone effectue une mission de reconnaissance de zone pour sécuriser la route allant de Bangui à Damara

 

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:45
Sangaris: mission de contrôle à Bambari

 

24/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 20 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Turco a mené une opération de surveillance et de sécurisation au sud-est de la ville de Bambari en République centrafricaine, en appui des forces de la MINUSCA.

 

L'objectif principal de cette mission de reconnaissance était de contrôler les quartiers de l'Evêché, de l'Elevage, et les alentours du quartier Bournou, afin de repérer d’éventuels points de contrôle illégaux tenus par des individus armés. Les éléments du 1er Spahis, intégrés au GTIA Turco, ont ainsi sillonné cette zone, appuyés par les hélicoptères Tigre du sous groupement aéromobile (SGAM). Cette mission était également l’occasion de prendre contact avec la population et vérifier la mobilité et la circulation sur ces axes.

 

Situés à l’extrémité de la ville, ces quartiers forment un lieu de passage incontournable pour les commerçants et les producteurs de sucre et de café centrafricains. Afin de garantir leur sécurité et d'éviter le développement de réseaux de banditisme, les forces congolaise et pakistanaise de la MINUSCA, ainsi que les tirailleurs de la force Sangaris, mènent régulièrement des patrouilles dans cette zone et dans les autres points d'entrée de la ville.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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