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29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 07:55
photo EMA / ECPAD

photo EMA / ECPAD

 

24/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Les 14 et 15 septembre 2015, le général Pierre de Villiers a participé à la 13e Université d’été de la Défense (UED) qui avait cette année pour thème : « savoir, pouvoir, agir ». Ce rendez-vous annuel a mis en avant le renseignement militaire et les soutiens interarmées (santé, pétrolier et soutien de l’homme) qui constituent pour le CEMA « le ciment de l’autonomie stratégique de notre pays ».

 

Dans le discours qu’il a prononcé devant les acteurs clés de la défense, le général Pierre de Villiers a insisté, face à la menace actuelle, sur la pertinence du choix d’un modèle complet d’armée ; sur l’importance de la cohérence entre les missions données aux armées et les moyens dont elles disposent ; sur l’importance enfin des forces morales qui font « la valeur de nos armées ».

 

Le CEMA est aussi allé au contact de la troupe, sur les stands organisés par la direction du renseignement militaire (DRM), le service de santé des armées (SSA), le service des essences des armées (SEA) et la direction centrale du commissariat des armées (le SCA, chargé du soutien de l’homme). Il a pu, comme toujours, mesurer l’enthousiasme, le professionnalisme et la détermination de ceux qui reviennent ou se préparent à partir en opérations.

 

photo EMA / ECPAD

photo EMA / ECPAD

Repère :

 Cette édition de l’Université d’Eté de la Défense (UED) s’est déroulée sous le Haut Patronage de Monsieur François HOLLANDE, Président de la République. Elle était présidée par Madame Patricia ADAM, Députée du Finistère, Présidente de la Commission de la Défense Nationale et des Forces armées, et par Monsieur Jean-Pierre RAFFARIN, Sénateur de la Vienne, Président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées, en présence de Monsieur Jean-Yves LE DRIAN, Ministre de la Défense.

Depuis 2002, les Présidents des Commissions de la Défense de l’Assemblée Nationale et du Sénat organisent chaque année l’UED. Elle réunit plus de 400 hauts responsables politiques français et européens, ainsi que des acteurs clés de l’administration et du secteur industriel. Sous forme de séances plénières, d’ateliers, de forums, de rencontres informelles, l’objectif des UED est d’offrir un espace d’échange et de réflexion sur la Défense de demain.

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 14:47
"Savoir, Pourvoir, Agir" en images (UED2015)


14 sept. 2015 Ministère de la Défense

 

#UED2015 : L'Université d'été de la Défense a pour ambition de montrer que les moyens du renseignement militaires, les soutiens assurés par le service du commissariat des armées, le service dess essences des armées et le service de santé des armées, sont tournés vers une finalité opérationnelle.

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 14:35
Les soutiens des opérations en images (UED2015)


14 sept. 2015 Ministère de la Défense

 

#UED2015 : Illustration des soutiens en opérations assurés le service du commissariat des armées, le service des essences des armées et le service de santé des armées.

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 11:55
Laurent Mari (à droite) et Christophe Ferreira de Toulon, grand vainqueur de l’épreuve, posent avec le trophée trident d’or. - photo Thomas Trophime

Laurent Mari (à droite) et Christophe Ferreira de Toulon, grand vainqueur de l’épreuve, posent avec le trophée trident d’or. - photo Thomas Trophime

 

21/05/2015 Joseph Dauce -- armée de Terre

 

Le 7 mai dernier s’est déroulé au sein de l’Institut Paul Bocuse à Ecully (69) la finale du concours cuisine interarmées « Trident d’or ». Un événement haut en saveur organisé par le Service du commissariat des armées (SCA) en partenariat avec l’Economat des armées (EdA).

 

Qui est le meilleur cuisinier des armées ? Après une phase de sélection en octobre dernier et la  finale du concours « Trident d’or » ce 7 mai, la question a été tranchée. Le titre revient à l’équipe du Gsbdd de Toulon pour cette première édition.  Mais, au-delà du podium, la gloire ne revenant qu’à un seul, ce concours a surtout été l’occasion de mettre en évidence les qualités des spécialistes de la restauration militaire.

 

Le concours, dans ses modalités, intégrait les spécificités de la cuisine des armées : une limitation budgétaire de 8 € en finale correspondant à un repas de prestige type « réception d’autorités » ou encore des aliments limités à ceux référencés par l’EdA. C’est que « la qualité se démontre avant tout au travers de la capacité de transformation du produit. Dépasser les contraintes, voilà le vrai défi », explique le commissaire en chef de 1ère classe Catherine Bournizien, directrice du centre d’expertise pour la restauration et l’hébergement interarmées et organisatrice de l’événement.

 

Défi relevé ! Au vu des plats proposés, ce n’est pas seulement de qualité dont ont fait preuve les concurrents mais aussi de talent. Ceux qui servent au quotidien les personnels du monde de la Défense n’ont rien à envier aux plus grands. A l’institut Paul Bocuse, ils ont fait école à leurs côtés.

 

Résultats de la finale (par ordre chronologique) : Gsbdd de Toulon (1er), de Bordeaux-Mérignac (2ème), de Strasbourg (3ème), de Brest, de Belfort, d’Evreux, de Montlhéry et de Mourmelon.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:55
photo EMA

photo EMA

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Sur la base de défense (BdD) de Rennes, la distribution des colis individuels d’habillement est désormais assurée au plus près du militaire.

 

Après avoir commandé ses effets via le site de distribution par correspondance (DPC) du service du commissariat des armées (SCA), le militaire devaient auparavant récupérer son colis au magasin du corps, ce qui générait des contraintes pour les unités soutenues. Il fallait en effet consulter le site à plusieurs reprises, choisir le moment opportun pour se rendre au magasin et trouver un véhicule.

 

Le service de soutien commun (SSC) du GSBdD de Rennes a donc décidé d’améliorer le service rendu. Sa démarche a reçu l’appui de la direction interarmées des réseaux d’infrastructures et des systèmes d’information (DIRISI). Cela s’est traduit dans un premier temps par le développement d’un nouveau logiciel de suivi des commandes, puis par la mise en œuvre d’un système de livraison efficient.

 

Si les commandes s’effectuent toujours en ligne, le soutenu précise désormais quand et où, sur le site, il souhaite être livré. L’application développée se charge ensuite de confirmer par mail ces informations puis d’assurer le suivi de la commande. Le militaire reçoit des mails à chaque étape de sa commande. Le vaguemestre prend en compte dans sa tournée quotidienne de distribution du courrier, la livraison de ces colis. Grâce à l’application, il peut adapter son véhicule en fonction du nombre de colis à distribuer, selon la date de livraison souhaitée par le soutenu.

 

Après plusieurs mois de fonctionnement, le nouveau processus donne entière satisfaction. S’il facilite la vie des administrés, il permet de surcroît aux personnels du magasin de mieux gérer leurs stocks et de connaître avec précision les différents délais de traitement et d’acheminement de l’ensemble des colis.

 

S’inscrivant également dans une démarche d’éco-mobilité, cette pratique permet une diminution des coûts de transport et aussi de limiter l’absence des personnels à leur poste de travail. Des gains non négligeables pour la BdD et les unités.

 

Soucieux de répondre aux objectifs fixés par le SCA dans le cadre de son plan de transformation, le GSBdD de Rennes a prouvé son attachement à la qualité du service rendu et à la préservation de la proximité du soutien.

 

Un bel exemple pour être « opérationnels, autrement » !

crédits : EMA

crédits : EMA

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 17:55
L’ Ecole des Fourriers rejoint le SCA

 

11/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 5 février 2015, l’école des fourriers, qui a fait pendant plus de 100 ans la fierté de la Marine nationale, rejoint le service du commissariat des armées (SCA).

 

Au cours d’une cérémonie présidée par le vice-amiral d’escadre Chaplet, sous-chef performance de l’état-major des armées (EMA), le commissaire général Laroche de Roussane, directeur central adjoint du SCA s’est vu confier, par le vice-amiral d’escadre Prazuck, directeur du personnel militaire de la Marine, le fanion de l’école des fourriers.

 

Fondée en 1912 à Cherbourg, l’école forme les commis aux vivres et les fourriers destinés à embarquer sur les bâtiments de la flotte. Elle acquiert en 2002 une toute autre dimension en devenant interarmées avec le rattachement des formations similaires de l’armée de terre, de l’armée de l’air et de la gendarmerie. L’école des fourriers s’impose comme l’unique centre de formation du personnel non officier des armées dans les domaines de l’administration générale, des soutiens communs et des ressources humaines. Elle est aujourd’hui un modèle d’interarmisation réussi autour de savoir-faire métiers.

 

Ce transfert s’inscrit dans la cadre de la transformation du soutien de l’administration générale et du soutien commun (AGSC), portée par le SCA au travers du projet « SCA 21 ». Il constitue un pas supplémentaire vers la réalisation du futur modèle d’armée au sein duquel les élèves sortant de l’école des fourriers, ils ont été 3522 en 2014, sauront parfaitement trouver leur place.

L’ Ecole des Fourriers rejoint le SCA
L’ Ecole des Fourriers rejoint le SCA
L’ Ecole des Fourriers rejoint le SCA
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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 12:55
Vigipirate : le défi relevé par les opérationnels du soutien interarmées

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre du renforcement Vigipirate (opération Sentinelle), les armées ont déployé en quelques jours sur le territoire national plus de soldats qu’elles n’ont en OPEX. Ainsi, plus de 10 000 soldats servent actuellement dans cette opération intérieure d’une ampleur sans précédent en métropole comme outremer. Quelque 6 000 d’entre eux ont rejoint l’Ile de France et sécurisent des sites sensibles en région parisienne. Ils proviennent des différentes garnisons réparties sur l’ensemble du territoire national.

 

Les soldats qui patrouillent sont les plus visibles, mais en coulisse, les chaînes logistique et de soutien se sont également massivement mobilisées pour organiser, sous très faible préavis, ce déploiement, transporter, accueillir équiper les soldats, les héberger et les nourrir.

 

Fournir, acheminer

Afin de relever ce défi, l’État-major des armées (EMA) a sollicité les États-majors opérationnels (EMO) des armées et du service du commissariat des armées (SCA) pour fournir les ressources humaines et matérielles nécessaires (gilets pare-balles, matériels de campement, etc…).

Le Centre du soutien des opérations et des acheminements (CSOA) a ordonné le transport par voie aérienne militaire des premiers échelons du dispositif renforcé. Trois rotations aériennes ont été nécessaires pour la seule région Ile de France. Il a par ailleurs fait acheminer la ressource logistique des établissements et dépôts métropolitains vers les zones d’engagement.

Ainsi plus de 8 000 soldats ont été acheminés en cars militaires depuis les garnisons jusqu’aux points de regroupement avant engagement, principalement vers la région parisienne : 170 cars provenant de 35 groupements de soutien de base de défense (GSBdD) et 340 conducteurs ont aussi été mobilisés. Une fois sur zone, sur la base de Satory pour la région Ile de France, les moyens ont été répartis et déployés sur les sites à protéger par les états-majors interarmées de zones de défense et de sécurité (EMIA-ZDS), en charge de la conduite des opérations.

 

Héberger, nourrir

L’hébergement des militaires en région parisienne a imposé le recours à des capacités d’hébergement que les restructurations et réorganisations de nos armées avaient laissées vacantes. Certains de ces lieux manquant d’installations disponibles pour offrir des conditions durables d’hébergement, quelques jours ont été nécessaires pour fournir la totalité des services attendus (douches, laveries, réfrigérateurs, etc…).

Tous les soldats engagés en Ile de France dorment aujourd’hui sous un toit, 25% d’entre eux passent leur nuit sur des lits de camp.

 

Soutenir médicalement

Le soutien médical déployé en Ile de France comprend notamment trois équipes médicales mobiles qui arment une antenne médicale de circonstance à Satory, Brétigny, ainsi qu’au Fort de l’Est. Par ailleurs, les antennes du SSA de Villacoublay et de St Germain en Laye ont été renforcées.

Durant cette opération de projection, les GSBdD, coordonnés par l’EMO-SCA, ont été particulièrement efficaces pour assurer la projection et l’accueil des renforts et pour délivrer aux militaires venant de toute la France l’ensemble du matériel nécessaire à l’exécution de leur mission de protection des sites sensibles et de nos concitoyens.

Les femmes et les hommes impliqués dans cette manœuvre n’en ont que plus de mérite, eux qui portent au quotidien la transformation du soutien interarmées.

Vigipirate : le défi relevé par les opérationnels du soutien interarméesVigipirate : le défi relevé par les opérationnels du soutien interarmées
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