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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

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13/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 31 mars au 9 avril 2015, le détachement d’assistance opérationnelle « commando » des éléments français au Sénégal (EFS) est retourné au Burkina-Faso, afin de poursuivre l’action de formation entreprise au profit des élèves-officiers de deuxième année de l’académie militaire Georges Namoano (AMGN).

 

Cette formation consistait à former les deux brigades de 23 élèves dans les domaines de l’instruction sur le tir de combat (ISTC) et les techniques commandos.

 

Dans le cadre de l’ISTC, les élèves ont été formés au maniement de leurs futures armes de dotation : modules A (manipulations), B (tirs de 25 à 100 m) et C (tirs en zones létales) avec le fusil d’assaut AK47. Ils ont procédé à des manipulations de base et à des tirs de 25 cartouches sur pistolet automatique CZ99. Tous les élèves ont réussi les modules de qualification, dans les temps et en cible.

 

Concernant les techniques commandos, les instructions se sont basées sur les pistes d’audace, le franchissement (rappels et aide au franchissement) et le combat commando avec des exercices de mise en situation nocturne. Lors d'une synthèse, les élèves devaient s’infiltrer puis installer et descendre sur un rappel tactique avant de récupérer des explosifs dans une « boîte aux lettres morte ».

 

Cette formation s’est clôturée par la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage. Les élèves recevront encore plusieurs mois de formation avant leur sortie d’école en juillet 2015.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire (FFCI), seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

photo EMA / Armée de Terre

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 07:45
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30/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 30 mars au 10 avril 2015, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) composé des plongeurs de l’unité de coopération régionale (UCR) et du groupement administratif de la base des éléments français au Sénégal (GABEFS) s’est rendu à Cotonou au Bénin pour réaliser une formation de deux semaines au profit du personnel de la base navale de Cotonou.

 

Ce détachement a mené une action de formation et de remise à niveau dans le domaine de la plongée sous-marine. A l’issue d’une période d’évaluation de deux jours, les stagiaires ont reçu une formation qui comportait deux volets. D’une part, ils ont suivi une formation théorique basée sur la sécurité dans la gestion et la maîtrise d'un chantier  sous-marin. Et d’autre part, une formation pratique sur les techniques de recherches subaquatiques et la gestion des cas non conformes rencontrés en plongée.

 

Cette instruction théorique et pratique de deux semaines a permis de former sept stagiaires. L’objectif était de les rendre plus opérationnels concernant les visites de coques notamment, et sur d’autres interventions sous-marines. L’excellente coopération avec les autorités militaires béninoises a permis d’effectuer un travail de qualité dans le domaine de la sécurité.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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10/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 23 février au 6 mars 2015, un détachement d’assistance opérationnelle « feux dans la profondeur » de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS), s’est rendu au centre d’entraînement tactique n°7 (CET7) de Thiès, au Sénégal. Ils y ont conduit une action de formation artillerie au profit de soldats sénégalais.

 

Les stagiaires sénégalais issus des sections de mortiers des 4ème  et 6ème bataillons d’infanterie et du bataillon parachutiste des forces armées sénégalaises (FAS), ont reçu une formation qui avait pour objectif de les remettre à niveau dans le domaine de l’artillerie. Le travail s’est axé autour des domaines suivants : calcul des éléments de tir (EPT), service de la pièce (EDP) et utilisation d’une équipe de reconnaissance (RECO), permettant ainsi de gagner en vitesse lors de l’équipement d’une position de tir.

 

La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique, dispensée entre salle de cours. La deuxième semaine a quant à elle été réservée à la mise en pratique des savoir-faire acquis. Des exercices ont été effectués sur le terrain de manœuvre du CET7, permettant ainsi au personnel de s’entraîner à la manœuvre tactique et d’appliquer les procédures de travail étudiées plus tôt.

 

Au terme de ces deux semaines enrichissantes, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé à la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
photo EFS

photo EFS

 

30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 27 février 2015, un détachement de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS) s’est rendu à Abidjan en République de Côte d’Ivoire, afin de dispenser une formation au profit de soldats ivoiriens.

 

Composé des commandos de l’air de l’unité de coopération régionale (UCR), ce détachement a ainsi instruit 103 stagiaires, sous-officiers et militaires du rang de la base aérienne d’Abidjan, à la sécurisation de points géographiques sensibles.

 

Les stagiaires ont tout d’abord passé en revue les savoir-faire indispensables en matière de filtrage, patrouille, contrôle et intervention sur les individus et véhicules. Puis, la deuxième partie de la formation s’est axée sur la sécurité et l’emploi des armes. Enfin, les stagiaires ont appréhendé les techniques d’autodéfenses.

 

L’excellente coopération avec les autorités militaires ivoiriennes a permis aux EFS et aux stagiaires ivoiriens d’approfondir cette formation et d’en atteindre tous les objectifs.

 

 Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix.

photo EFSphoto EFS
photo EFS

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
DIO TIOR et techniques commandos en RCI

 

30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 21 février au 1er mars 2015, un détachement d’assistance opérationnelle « commando », composé de six instructeurs de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS), s’est rendu sur le camp d’Akouédo en Côte d’Ivoire, afin de mener une formation au profit de l’armée ivoirienne.

 

L’objectif de cette formation était l’apprentissage des techniques d’interventions opérationnelles rapprochées (TIOR). Tous les officiers et soldats ivoiriens ont suivi cette instruction technique élémentaire qui doit leur permettre, à terme, de mener une instruction TIOR dans leur propre unité. Cette formation a aussi été l’occasion de passer en revue les savoir-faire en termes de franchissement (exercices de rappel) et de combat commando.

 

Une démonstration de TIOR a été faite par les stagiaires aux autorités militaires ivoiriennes présentes, le dernier jour du stage. La traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage a clôturé la formation.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:45
Kedougou OPV

Kedougou OPV

 

25 March 2015 by defenceWeb

 

The Senegalese Navy will soon take delivery of the 45 metre long offshore patrol vessel (OPV) Kedougou, which has completed sea trials in France.

 

The vessel’s 22 crewmembers have been training in Lorient since the beginning of this month reports Mer et Marine, and are preparing for delivery to Dakar before the end of the week. Once delivered to Senegal the ship will be armed with a 20 mm gun and two 12.7 mm machineguns.

 

Senegal ordered the OPV from Raidco Marine, which subcontracted construction to the STX Lorient shipyard, which launched the vessel in October last year.

 

The Kedougou is 45.6 metres long, 8.4 metres wide and crewed by 17, with the option of accommodating four to eight passengers such as special forces personnel, but the vessel can be used for missions such as search and rescue, fisheries enforcement, pollution prevention, anti-piracy and anti-trafficking.

 

The vessel has a steel hull and aluminium superstructure. It is powered by two Cummins diesel engines developing 1 940 kW giving a speed of 20 knots. Endurance is ten days with a range of 2 000 nautical miles. It is able to launch two small boats.

 

The new vessel is part of Senegal’s plan to renew its naval fleet and allow the maritime arm of service to carry out missions such as fisheries inspection, fighting drug trafficking and piracy.

 

As part of its expansion process, Senegal’s Navy in the third quarter of 2013 took delivery of the Ferlo, a Raidco RPB 33 offshore patrol vessel. The 33 metre long vessel can accommodate a crew of 17 and travel 1 500 miles at 15 knots for an endurance of one week at sea, although top speed is over 40 knots. Armament includes a 20 mm cannon and two 12.7 mm machineguns and a boat can be launched from its stern.

 

Senegal recently ordered a 58 metre offshore patrol vessel from France’s OCEA, with the OPV 190 Mk II to be delivered to Senegal’s navy in late 2016. The OPV 190 is a 58 m (190 foot) long, 9.4 metre wide vessel made from aluminium for less corrosion and lighter weight. Its shallow draft (2.3 metres) allows operation close to the shore. It has a crew of 30 but can take 24 passengers on board. Range is between 4 and 5 000 km at 12 knots, while maximum speed is 30 knots. Endurance is three weeks.

 

For the offshore patrol vessel role the ship can be equipped with sensors and weapons such as machineguns and cannons as well as two 7.5 metre speedboats, lowered into the water via davits. Various options are available for different missions, such as a holding cell, water cannons etc.

 

In the last couple of years Senegal has ordered hardware for its air, land and sea forces, including three Super Tucano trainer/light combat aircraft from Brazil, five RAM-2000 armoured vehicles, a single AgustaWestland AW139 helicopter and 39 Puma M26 armoured vehicles, according to the Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI).

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 19:45
EFS : Formation au combat en zone urbaine des officiers élèves de l’EAI de Thiès

 

17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 23 au 27 février 2015, le détachement d’assistance opérationnelle (DAO) « infanterie » des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu à l’école d’application de l’infanterie (EAI) de Thiès, à l’est du Sénégal, afin de mener une action de formation de combat en zone urbaine au profit d’officiers-élèves africains.

 

L’objectif pour les instructeurs des EFS était de former au combat en zone urbaine 30 stagiaires en provenance du Sénégal, du Niger, du Burkina Faso, d’Ouganda, du Gabon, de Guinée Equatoriale, du Bénin, du Tchad, du Mali, du Maroc, du Congo Brazzaville et de Djibouti.

 

Après avoir revu pendant deux jours les fondamentaux du combat urbain, les stagiaires ont appliqué leurs savoirs théoriques acquis. Au cours d’exercices de plus en plus complexes, ils ont rédigé l’ordre initial, donner les ordres sur caisse à sable, puis diriger le « Rehearsal » (répétition de mission) afin de contrôler leurs groupes. Le « Rehearsal » a été une nouveauté pour les stagiaires qui ont particulièrement apprécié cet outil permettant de vérifier la compréhension des ordres avant la conduite de l’action. En fin de formation, les officiers-élèves ont appris à conduire une manœuvre de niveau DIA avec l’intégration des renforts interarmes puisqu’un groupe génie ainsi qu’un véhicule blindé AML étaient sous leurs ordres. La découverte de la plus-value qu’apporte l’interarmes à la manœuvre de l’infanterie fut une réelle opportunité pour ces jeunes officiers.

 

Le sérieux et la discipline des stagiaires ont permis d’avancer rapidement et efficacement dans l’instruction. Ils ont reçu leur attestation de stage lors de la traditionnelle cérémonie de fin de formation.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

EFS : Formation au combat en zone urbaine des officiers élèves de l’EAI de Thiès
EFS : Formation au combat en zone urbaine des officiers élèves de l’EAI de Thiès
EFS : Formation au combat en zone urbaine des officiers élèves de l’EAI de Thiès
EFS : Formation au combat en zone urbaine des officiers élèves de l’EAI de Thiès
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 20:45
photo EFS - Armée de Terre

photo EFS - Armée de Terre

 

02/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 19 au 30 janvier 2015, un détachement d’instruction opérationnelle « combat des blindés » des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu à Thiès dans le cadre d’une formation au profit de soldats provenant de différentes unités blindés sénégalaises.

 

L’objectif de cette instruction était la formation au combat blindé de quatre chefs de peloton, huit chefs d’engin et dix tireurs du bataillon de blindés sénégalais.

 

Lors de la première semaine du stage, les stagiaires ont passé en revue leurs savoir-faire, dans les domaines de la tactique et surtout du tir sous tourelle, au sein du bataillon de blindés de Thiès, doté notamment d’automitrailleuses AML 60, 90 et de véhicules blindés Eland 90. Ils ont revus les mécanismes élémentaires du tir d’équipage et du peloton blindé, notamment en s’entraînant à bord des trois Eland. Les instructeurs des EFS ont parallèlement formé des chefs de peloton à la conduite des feux d’un peloton de cavalerie blindée ainsi qu’au montage d’une instruction de tir.

 

La deuxième semaine a été consacrée à une campagne de tir blindé au polygone de tir à Thiès, au cours de laquelle les équipages ont réalisé un exercice de tir commandé tactiquement par les chefs de peloton sénégalais. Ceci leur a permis de valider leur instruction à la conduite des feux de la semaine précédente, obtenant de très bons résultats.

 

Cette instruction enrichissante s’est terminée par la traditionnelle cérémonie de remise d’attestation de stage, présidée par le chef de corps du bataillon de blindés.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

photo EFS - Armée de Terre

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
OPV Kedougou - photo Ouest-France

OPV Kedougou - photo Ouest-France

 

27.02.2015 Françoise ROSSI – Ouest-France

 

Commandé par le Sénégal à la société lorientaise Raidco, construit par STX à Lanester, le patrouilleur a désormais son équipage. Après formation, il fera route vers Dakar à la fin du mois de mars.

 

Il a été baptisé Kedougou, du nom d'une ville et d'une région sénégalaises. C'est la société lorientaise Raidco qui a capté la commande il y a un peu plus de deux ans et en a confié la construction au site lanestérien de STX.

Ce patrouilleur de type OPV (offshore patrol vessel) fait 45 mètres de long. Il a été mis à l'eau en septembre et est sorti du chantier de Lanester, la semaine dernière. Il sera dévolu à des missions de surveillance des pêches, de lutte contre les trafics, les actes de pirateries tant dans les eaux territoriales sénégalaises que celles des pays limitrophes avec qui des conventions ont été passées.

 

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
photo EFS

photo EFS

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 10 au 24 janvier 2015 le détachement d’assistance opérationnelle « commando » de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) a conduit une instruction de combat en zone urbaine au profit des soldats togolais, au centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix de Lomé, en République du Togo.

 

L’objectif de ce détachement d’instruction opérationnelle était de permettre aux cadres togolais de dispenser, dès leur retour en unité, une instruction au combat en localité de qualité. Un effort particulier a été porté sur les stagiaires devant être projetés prochainement en République de Côte d’Ivoire, au Mali ou au Darfour.

 

Les neufs instructeurs des EFS ont mené, pendant deux semaines, une action de formation de combat en zone urbaine. Les 55 stagiaires togolais du 1erbataillon d’intervention rapide ont reçu en première semaine une revue des savoir-faire individuels de base et des déplacements en groupe. Durant la deuxième semaine, un exercice de « restitution/synthèse » a permis aux chefs de section de s’exercer en situation de commandement lors de manœuvres offensives et défensives.

 

Au terme de cette expérience enrichissante pour l’armée togolaise, la formation s’est clôturée par la traditionnelle remise d’attestation de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

photos EFSphotos EFSphotos EFS
photos EFS

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:45
photo EMA

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25/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 11 au 24 janvier 2015, dans le cadre de la mission « European Union Training Mission » (EUTM), un détachement de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) composé de dix formateurs, s’est rendu à Koulikoro à proximité de Bamako au Mali, pour mener une action de formation à la conduite tactique au profit des forces armées maliennes.

 

Au sein de la mission EUTM, composée de 21 nations européennes et visant à soutenir la formation des forces maliennes, le détachement des EFS a participé à la montée en puissance du sixième groupe tactique interarmes (GTIA) malien en vue de sa projection dans le Nord du pays.

 

Le personnel des EFS a ainsi instruit 34 soldats maliens à la conduite tactique. Les conducteurs ont suivi des instructions de base sur l’entretien de 1eréchelon, le guidage, la réaction lors de crevaisons et sur l’école de rame. Ils ont également participé à des séances de conduite renforcée en tout chemin, tout terrain et plus particulièrement sur sable le long du fleuve Niger, pour s’exercer au désensablement de véhicules en milieu hostile.

 

Les échanges entre militaires français et maliens ont été très enrichissants, et la formation s’est achevée par la traditionnelle remise d’attestation de stage. Le détachement a aussi été félicité par le colonel Rivière, commandant la training task force de Koulikoro.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les État africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

EFS : Formation à la conduite tactique du GTIA 6 malien à l’EUTM de Koulikouro
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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:45
Chief of Staff of the Senegalese Army Brigadier General Cheikh Gueye

Chief of Staff of the Senegalese Army Brigadier General Cheikh Gueye

 

20 February 2015 by Africom - defenceWeb

 

It was about advancing friendship, partnership and building trust. That is according to Maj. Gen. Darryl A. Williams, commander, U.S. Army Africa upon the close of the African Land Forces Summit, or ALFS, in Dakar, Senegal.

 

The summit, held from Feb. 9-12, brought together land force commanders from 36 African nations. The summit was co-hosted by U.S. Army Africa and the Senegalese Armed Forces on behalf of Gen. Raymond T. Odierno, U.S. Army Chief of Staff. The last ALFS took place three years prior, in Kampala, Uganda.

 

“This is a beginning. This is a conversation and this narrative is just beginning,” said Williams.

 

Part of that conversation was generated in closed-door meetings between commanders. Speakers from the U.S. and African partner militaries addressed topics such as African security challenges, peace support operations and institutional adaptation during plenary sessions with all the commanders. Commanders then split into three smaller groups, behind closed doors, to discuss the subject at hand.

 

The closed door approach helped leaders to speak freely during the sessions.

 

“ALFS is a good opportunity for USARAF and the African partners to discuss, to exchange, about security and about how to train our units,” said Brig. Gen. Cheikh Gueye, chief of Senegal Army Staff. “It is a good opportunity also to build trust,” he said. “Without trust you can’t achieve anything.”

 

For some of the land force commanders ALFS was an opportunity expand their reach and build relationships beyond what they normally would.

 

“I was already in contact with those from my region, from [Southern African Development Community] region, but today I have met others from other regions,” said Maj. Gen. Gotsileene Morake, chief of land forces Botswana. “From West Africa, from the Horn of Africa and from North Africa, we have been able to share experiences across a broad range of issues, African issues, which are actually very topical today.”

 

African land force commanders also visited a training center near Thies, Senegal. There they observed a live fire range with ground troops assaulting a position, and an armored vehicle range where Senegalese Armed Forces soldiers fired 90 millimeter guns from reconnaissance vehicles. Officers also visited École Nationale Des Officiers d'Active, an officer training school in Thies.

 

During a press conference at the end of the event Williams talked of the importance of ALFS and how that range played into future opportunities. Williams said he will look at taking the best from the U.S. Army training centers, the best from the Senegalese training center and combine them to work together. He said that was a short term benefit to having ALFS.

 

“The real benefits of this conference will be realized over time, again and again,” Williams added.

 

Geuye agreed with that assessment.

 

“Military interoperability is essential in conducting military operations or military missions,” Geuye said. “But if you have most African armies together you cannot develop, but initiate the first step toward interoperability.”

 

While the conference covered training, building institutions and live fire ranges, the real benefit, according to Maj. Gen. Ignacio Maulana, Malawi ground force commander, was working with his fellow commanders.

 

“The most important of all is that understanding, that, I think, we are all looking for peace,” Maulana said. “And, I think, all the ideas we have been able to share as a people responsible for security in our various nations should be able to assist.”

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 13:45
Corymbe : Le TCD Siroco en exercice avec la marine sénégalaise

 

23/02/2015 Sources : EMA

 

Le 16 février 2015, au large de Dakar, le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco, actuellement déployé dans le cadre de la mission Corymbe, a participé à un exercice SAR (search and rescue) avec la marine sénégalaise pour entrainer l’équipage du patrouilleur RPB 33 Ferlo.

 

A 13h20, le Siroco a contacté le CCO (Centre de Coordination des Opérations) de Dakar pour signaler un homme à la mer. Le CCO a immédiatement ordonné l’intervention des éléments français au Sénégal pour un déploiement rapide des moyens nécessaires à la recherche et au sauvetage du naufragé. L’avion de surveillance Falcon 50M, qui arme actuellement le dispositif des éléments français au Sénégal (EFS), et son équipage ont alors décollé depuis Dakar pour effectuer une recherche en mer puis guider le patrouilleur Ferlo. L’équipe médicale du Siroco avait été préalablement déposée à bord du Ferlo par treuillage par l’hélicoptère Alouette III de l’escadrille 22S, embarqué sur le Siroco.. Cette équipe médicale était présente sur le patrouilleur acquis en 2013, dans le cadre d’une instruction effectuée au profit des marins sénégalais.

 

Depuis 1996, les forces françaises prépositionnées aux Sénégal fournissent un appui régional dans le domaine SAR (SEARCH and RESCUE) à notre partenaire sénégalais et à ceux des pays voisins. Dans le cadre des accords de partenariat de défense qui le lient nos deux pays, les EFS participent à la surveillance des pêches dans la zone économique exclusive du Sénégal.

La mission Corymbe, assurée depuis 1990, est l'une des missions des forces armées françaises dans le golfe de Guinée ; elle y assure la présence permanente d’au moins un bâtiment de la Marine nationale. Outre leur mission de présence dans une zone où les intérêts français sont nombreux, les navires déployés en Corymbe effectuent des actions de coopération bilatérale avec les pays côtiers. Ils sont en mesure d’apporter un soutien rapide en cas de besoin, au même titre que les forces prépositionnées dans la région.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 07:45
photos EFS

photos EFS

 

17/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 1 au 12 décembre, puis du 12 au 23 janvier 2015,  dans le cadre de l’engagement des nations de la communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest au sein de l’ONUCI et de la MINUSMA, le détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Air » des éléments français aux Sénégal (EFS), s’est rendu au Burkina-Faso et au Sénégal, pour conduire deux formations au profit de 51 stagiaires, dont 35 burkinabé et 16 sénégalais.

 

Ces deux formations avaient pour objectifs, d’une part la formation à la fonction d’orienteur marqueur baliseur (OMB) du bataillon burkinabé projeté en République du Mali sous commandement MINUSMA, et de l’autre, la formation de guidage aérien tactique GATA du bataillon sénégalais projeté en République de Côte d’Ivoire sous commandement ONUCI.

 

La première semaine était consacrée à l’apprentissage théorique, et la seconde à la mise en pratique des savoirs acquis. Pour les deux stages, un hélicoptère MI 17, venant des camps de Ouagadougou et Thiès, a permis de qualifier des chefs d’équipes GATA, OMB et leurs équipiers.

 

 L’excellente coopération des hautes autorités militaires des deux pays, des chefs de corps des bataillons projetés, et l’engagement des unités navigantes ont concouru pleinement à la réussite de ces formations. Les cérémonies de fin de stage, se sont conclues par la traditionnelle cérémonie de remise de diplôme, illustrant ainsi les liens d’amitié entre les forces armées de ces deux pays et les EFS

 

.Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle  opérationnel  de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

Formations au Burkina-Faso et au SénégalFormations au Burkina-Faso et au Sénégal
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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 07:45
DIO artillerie du SENBAT15 ONUCI

 

17/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, le détachement d’assistance opérationnelle « feu dans la profondeur » de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès au Sénégal afin de mener quinze jours de formation « artillerie » au profit de la section de mortiers lourds (SML) du bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Cette instruction avait pour objectif la remise à niveau du personnel de la SML du bataillon SENBAT15 ONUCI, ainsi que la formation des chefs de section des trois compagnies d’infanterie, de ce bataillon, aux techniques d’observation de tirs indirects.

 

La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique sur le service de la pièce et le calcul des éléments de tir. La seconde semaine a quant à elle été réservée à la répétition d’exercices (« Drill »), afin de permettre au personnel de s’entraîner à la manœuvre et d’établir des procédures de travail communes.

 

Forts de cette expérience enrichissante et partagée, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé en fin de formation à la traditionnelle cérémonie de remise d’attestation de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de ‘l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

DIO artillerie du SENBAT15 ONUCI
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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 18:45
US studying special operations airlift needs in Africa

 

12 February 2015 by Oscar Nkala/defenceWeb

 

The United States military is seeking to identify companies able to provide fixed wing air transport services on behalf of US Army Special Operations Command (SOCOM) in countries in Africa.

 

On February 4 the Federal Business Opportunities (FBO) register issued a notice saying Special Operations Command Africa was “conducting market research to identify parties having an interest in, and the resources to support, an emerging requirement for mobile fixed wing air transport services to move personnel and cargo within the northern regions of Africa and surrounding countries”.

 

SOCOM said the airlift services will cover the African nations of Libya, Algeria, Morocco, Tunisia and Senegal. Jordan, which is likely to the base for the Africa operations, is the only Middle Eastern country covered by the airlift requirement.

 

The fixed wing aircraft involved must be capable of transporting a minimum of 1 000 pounds and maximum of 4 500 pounds to include a mix of a maximum of 12 passengers and/or cargo. It must also be capable of taking off/landing on improved and unimproved dirt airfields of a minimum of 1 800 feet in length to support supply and personnel transportation requirements.

 

"The primary operation area where the air transportation support could be provided include, but are not be limited to, Libya, Jordan, Tunisia, Algeria, Senegal, and Morocco. Other locations within northern Africa may be dictated by operational requirements and timely coordination will ensure contractor support," the notice stated.

 

Responses are called for by February 23.

 

The notice comes amid calls for the Pentagon to prepare for a large-scale counter-insurgency campaign to destroy West African-based terrorist groups like Boko Haram and several other Islamist militant groups operating in Mali, Niger, Algeria, Mauritania and other 'safe havens' in the Sahel and Lake Chad sub-regions.

 

In remarks made during an address at the Centre for Strategic and International Studies in Washington, DC, last week, Africa Command (Africom) head General David Rodriguez said a US-led counter-insurgency campaign was necessary to eliminate the threat posed by new terrorist groups based in West Africa.

 

He said Africom is already preparing a response which will include operations that will target 'forces affiliated to Boko Haram' in four West African countries neighbouring Nigeria.

 

Presenting a lecture to students at the US Army's West Point academy early this month, Special Operations Command (SOCOM) commander General Joseph Votel said US Army commando teams must start preparing now for new deployments against Boko Haram and the Islamic State in north and west Africa.

 

“Boko Haram is creating fertile ground for (terrorist) expansion into other areas. While it is not yet a direct threat to the (US) homeland, it is impacting indirectly our interests in this particular area (West Africa) and creating another area of instability,” General Votel said.

 

So far, US special operations forces operating in the Africa and Middle Eastern regions have conducted a number of raids against al Shabaab in Somalia, Islamist militants in Libya and Al Qaeda in the Arabian Peninsula in Yemen.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 17:45
US Army Africa continental engagements for 2015 underway

 

11 February 2015 by defenceWeb

 

US Army Africa is currently hosting an African Land Forces Summit in Senegal - the second engagement of the year with African militaries.

 

The first was the medical readiness training exercise (Medrete 15-1) in partnership with the Burundian National Defence Force from January 19 to 30.

 

Last year’s Medrete exercise was held in Lesotho at the Makoanyane Hospital in Maseru in early February.

 

Medical military personnel from Burundi and the United States took part in the exercise in Bujumbura. The exercise gave US forces the opportunity of training in an “alternatively resources environment, share medical procedures and enhance Burundi’s military healthcare system to deliver effective general surgery and trauma response in support of regional, UN and AU missions” a statement said.

 

The African Land Forces Summit ended tomorrow and the three day event in Dakar provided a forum for senior land forces leaders from Africa and the US to “solidify relationships, exchange information on topics of mutual interest and encourage co-operation in addressing challenges”.

 

Major General Darryl A Williams, US Army Africa commanding general, co-hosted the summit on behalf of General Raymond T Odierno, US Army Chief of Staff.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
Atterrissage réussi pour Cats à l’aéroport de Brie-Champniers

Le patron de Cats, Laurent Blattner, a reçu le chef d’état-major de l’armée de l’air sénégalaise pour qui l’entreprise refait à neuf quatre avions-écoles. Photo Phil Messelet - charentelibre.fr

 

06 février par François GOUBAULT - charentelibre.fr

 

La filiale d’Airbus, présente à la BA 709 de Cognac, vient de s’installer à Brie-Champniers. Elle y remet en état des avions, dont quatre Epsilon pour l’armée du Sénégal.

 

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 20:45
OPV 190 MKII

OPV 190 MKII

 

9 février 2015 par ActuNautique.com

 

Le chantier sablais Océa vient de signer la vente d'un patrouilleur de 60m de long, qui lui ouvre la porte d'un nouveau marché, celui des patrouilleurs hauturiers.

 

C'est une belle commande que vient d'engranger le chantier naval Ocea, avec la vente d'un patrouilleur hauturier de 60m de long au Sénégal, qui lui ouvre de facto un nouveau segment de marché, à savoir celui des grosses unités militaires.

 

Ocea était en effet jusqu'à présent plutôt spécialisés sur les patrouilleurs de 20 à 30m de long. Cette commande vient donc élargir son positionnement sur un terrain occupé par Kership (DCNS et Piriou) et les CMN notamment.

 

Elle concrétise la stratégie du groupe vendéen de développer son offre sur des unités de 40 à 60 m, stratégie couronnée de succès avec la vente de 3 navires océanographiques, deux OPV 190 de 60m pour l'Indonésie et un OPV 130 de 40m pour le Koweit.

 

Le patrouilleur commandé par le Sénégal consiste dans un OPV 190 MKII. Il mesure 58m de long pour 9,40m de large. Sa livraison est prévue pour l'automne 2016.

 

Construit en aluminium, cet OPV offre une vitesse maximale de 24 noeuds pour une autonomie de 5500 milles à 12 noeuds, sa vitesse de croisère. Il dispose d'ailerons stabilisateurs, associés à une carène conçue pour des conditions de navigation difficiles, avec un tirant d'eau réduit de 2.30m.

 

Armé par un équipage de 24 marins, et OPV, qui peut accueillir 32 personnes supplémentaires, est destiné à la surveillance et la protection des eaux territoriales et de la  ZEE du pays.

 

En particulier la police des pêches, mais aussi la lutte contre les différents traffics et la piraterie.

 

Il est également conçu pour participer à des opérations de sauvetage - il dispose pour cela de canonos à eau contre les incendies - et de lutte contre la pollution.

 

Côté armement, ce patrouilleur hauturier disposera d'un canon télé-opéré, situé sur l'avant, et de deux mitrailleuses situées sur chaque bord. Il mettra en oeuvre deux semi-rigides de 7,50m de long, stockés sur son arrière, destinés aux équipes de visite ou à des commandos.

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6 février 2015 5 06 /02 /février /2015 08:45
Corymbe : Entraînement franco-sénégalais au large de Dakar

 

05/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 2 février 2015, au large de Dakar, l’aviso Lieutenant de vaisseau Lavallée a effectué un exercice avec le patrouilleur sénégalais Ferlo.

 

Le patrouilleur Ferlo participe à l’assurance de la souveraineté du Sénégal dans ses zones maritimes. Pour cette mission il peut être amené à effectuer des visites de navires suspects afin d’en contrôler la cargaison et les documents administratifs.

 

C’est pour s’entraîner à ce type d’action que le Ferlo et le LV Lavallée ont effectué un exercice commun.

 

Après des rappels sur le rôle et l’attitude des équipes de visite, les deux équipages se sont retrouvés en mer pour effectuer un entraînement appelé VISITEX. Ainsi, après avoir arraisonné le LV Lavallée, jouant le rôle du navire suspect, l’équipe de visite du Ferlo a embarqué et conduit des investigations sous l’œil attentif des marins français.

 

Cet entraînement commun a permis, en plus de renforcer les savoir-faire de l’armée sénégalaise, de consolider le lien unissant la France et son allié sénégalais.

 

Après cet exercice, les deux bâtiments ont chacun repris leur patrouille.

 

Depuis décembre 2014 le LV Lavallée est déployé au large des côtes ouest africaines, avec le BPC Tonnerre dans le cadre de la mission Corymbe.

 

En place depuis 1990 la mission Corymbe est un déploiement naval quasi-permanent, en mesure de soutenir les forces armées françaises dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opérations dans la région. Cette présence permet de coopérer avec les marines régionales amies, et ainsi de participer à leur montée en puissance et au développement de capacités africaines autonomes.

Corymbe : Entraînement franco-sénégalais au large de Dakar
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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 18:45
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI

 

05/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un instructeur mortier de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès situé à l’Ouest du Sénégal, pour assurer une formation au profit de militaires sénégalais. Ces derniers ont été désignés pour armer le bataillon sénégalais (BATSEN) engagé dans le cadre de l’ONUCI en République de Côte d’Ivoire.

 

Ce stage participe à la mise en condition opérationnelle (MCO) avant engagement, et avait pour objectif la formation d’une section mortiers de 81 mm.

 

Pendant deux semaines, les stagiaires ont alterné remise à niveau théorique et pratique dans les domaines de l’emploi de l’armement et de la sécurité des tirs. Les cadres ont reçu un complément d’instruction sur les calculs d’éléments de tir et sur le réglage des « tubes » de mortier. Lors de mises en situations tactiques, le futur BATSEN ONUCI a pu travailler en unité constituée afin d’accommoder l’ensemble des militaires aux différents postes de la pièce mortier.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
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