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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 18:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

05 February 2015 by defenceWeb

 

It has emerged that Senegal is operating Israeli Ram Mk 3 high mobility light armoured vehicles and will use them on behalf of the United Nations Operation in Cote d’Ivoire (UNOC).

 

The French military spent over a week last month training two Senegalese motorised infantry companies ahead of their one year deployment with UNOCI. The training was carried out at Senegal’s request and, according to the French Ministry of Defence, gives the two companies the skills and expertise to be part of the UNOCI rapid reaction force in Ivory Coast’s political capital of Yamoussoukro. Some of the training carried out with French forces included using the vehicles to support troops, providing convoy escort, transiting urban areas, overcoming obstacles, establishing checkpoints and evacuating wounded. All these activities were carried out in accordance with UN rules of engagement. Since 2011 the French detachment in Senegal has assisted militaries in West Africa, especially with regard to peacekeeping and the launch of Operational Serval in January 2013.

 

 

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 17:45
Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI

 

03/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un détachement de sept instructeurs de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès. Cette formation de niveau état-major était réalisée au profit du poste de commandement d’un bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un détachement de sept instructeurs de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès. Cette formation de niveau état-major était réalisée au profit du poste de commandement d’un bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Cette formation avait pour objectif de préparer l’état-major aux techniques de planifications et de conduite des opérations, centrée sur le domaine du commandement tactique des opérations au sein d’un bataillon de maintien de la paix engagé sous mandat de l’ONU en République de Côte d’Ivoire.

 

Après une remise à niveau théorique sur les procédures et les techniques de travail d’un centre opérations, les stagiaires présents ont élaboré un concept d’opération à partir d’un thème tactique basé sur les situations réelles de leur future zone d’intervention. Celui-ci a été ensuite appliqué lors d’un exercice de restitution de synthèse de quatre jours.

 

Forts de cette expérience enrichissante et partagée, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé en fin de formation à la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI
Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI
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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 17:45
Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé

 

02/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 15 janvier 2015, un détachement de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au centre d’entraînement tactique n° 7 de Thiès pour mener quinze jours de formation au profit des forces sénégalaises. Cette instruction tactique visait à préparer deux compagnies sénégalaises d’infanterie motorisée dans le cadre de leur préparation avant projection. Elles constitueront en effet pour un an la force de réaction rapide de l’ONUCI.

 

L’instruction délivrée par le détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Infanterie » des EFS a été réalisé à la demande des forces sénégalaises, afin de perfectionner deux compagnies au combat motorisé en vue de leur déploiement au sein de l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Equipées de véhicules RAM MK3, offrant une réelle plus-value en termes de mobilité et de blindage, les deux compagnies disposeront ainsi de toutes les capacités et savoir-faire requis pour armer, durant un an, la force de réaction rapide de l’ONUCI basée à Yamoussoukro, en République de Côte d’Ivoire.

 

Après la révision des fondamentaux du combat motorisé, les instructeurs se sont concentrés sur l’entraînement tactique sur le terrain, où les stagiaires ont été mis en situation avec le renfort d’une troupe de manœuvre et de plastrons. Lors de cette phase dynamique et riche en enseignements, les stagiaires se sont entraînés à divers scenarios : la reconnaissance d’un axe et de points particuliers, l’escorte de convoi, l’approche d’une zone urbaine, la conduite à tenir face à un obstacle sur la piste, l’évacuation des blessés, la mise en place d’un check point de fortune.

 

Toutes ces actions de formation ont été réalisées en suivant à la lettre les règles d’engagement de l’ONU, ce qui impliquait des consignes spécifiques en termes d’ouverture du feu, de conduite à tenir face à la population ou encore d’identification des combattants.

 

Les stagiaires se sont montrés particulièrement intéressés par la formation dispensée par le DIO. Leur sérieux et leur discipline ont permis d’avancer rapidement et efficacement dans l’instruction.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motoriséSénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motoriséSénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé
Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:45
Senegal orders offshore patrol vessel

 

21 January 2015 by defenceWeb

 

Senegal has ordered a 58 metre offshore patrol vessel from France’s OCEA, as it prepares to take delivery of a 45 metre vessel from STX.

 

The OPV 190 Mk II vessel will be delivered to Senegal’s navy in late 2016, according to Mer et Marine. Rumours of a possible acquisition surfaced in mid-2014.

 

Senegal’s vessel will be made in three segments at the Ocea site in Fontenay-le-Comte and transferred to Les Sables d’Olonne for final assembly.

 

The OPV 190 is a 58 m (190 foot) long, 9.4 metre wide vessel made from aluminium for less corrosion and lighter weight. Its shallow draft (2.3 metres) allows operation close to the shore. It has a crew of 30 but can take 24 passengers on board. Range is between 4 and 5 000 km at 12 knots, while maximum speed is 30 knots. Endurance is three weeks.

 

OCEA says the vessel can be used for missions such as law enforcement, exclusive economic zone (EEZ) surveillance, immigration control, search and rescue, anti-smuggling, disaster relief, fisheries patrol, anti-piracy etc.

 

For the offshore patrol vessel (OPV) role the ship can be equipped with sensors and weapons such as machineguns and cannons as well as two 7.5 metre speedboats, lowered into the water via davits. Various options are available for different missions, such as a holding cell, water cannons etc.

 

The acquisition of the OCEA OPV comes as Senegal’s new 45 metre vessel Kedougou undergoes sea trials ahead of delivery. The vessel was launched by French shipyard STX Lorient in October last year and was seen undergoing sea trials in December. Senegal ordered the OPV from Raidco Marine, which subcontracted construction to the STX Lorient shipyard.

 

The Kedougou is 45.6 metres long, 8.4 metres wide and crewed by 17, with the option of accommodating four to eight passengers such as special forces personnel. The vessel has a steel hull and aluminium superstructure. It is powered by two Cummins engines developing 1 940 kW. Endurance is ten days with a range of 2 000 nautical miles. It is able to launch two small boats.

 

Senegalese Navy Commander Serigne Fallou Diouf at the launch said the new vessel was part of the country’s plan to renew its naval fleet and allow the maritime arm of service to carry out missions such as fisheries inspection, fighting drug trafficking and piracy.

 

As part of its expansion process, Senegal’s Navy in the third quarter of 2013 took delivery of the Ferlo, a Raidco RPB 33 offshore patrol vessel. The 33 metre long vessel can accommodate a crew of 17 and travel 1 500 miles at 15 knots for an endurance of one week at sea, although top speed is over 40 knots. Armament includes a 20 mm cannon and two 12.7 mm machineguns and a boat can be launched from its stern.

 

Senegal has ordered vessels from OCEA in the past, placing an order for four FPB 98 Mk I patrol boats in October 2012.

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12 janvier 2015 1 12 /01 /janvier /2015 12:45
Sénégal : DIO au Burkina Faso

 

09/01/2015 Sources EMA

 

Du 1er au 13 décembre 2014, deux détachements des éléments français au Sénégal (EFS) composés de cadres de l’unité de coopération régionale, se sont rendus au groupement d’instruction des forces armées burkinabé (GIFA) à Bobo Dioulasso.

 

Ces actions de formation consistaient à la préparation d’une partie de l’encadrement du GIFA à la pédagogie militaire et à la pratique du sport en vue de l’incorporation, au cours du mois de janvier 2015, de plus de mille nouvelles recrues.

 

Le premier détachement d’instruction opérationnelle (DIO) a permis de former vingt-cinq stagiaires à la pédagogie militaire et à l’exercice de l’autorité. Les stagiaires ont été réceptifs à l’instruction qui leur a été dispensée malgré les moyens pédagogiques très limités dont dispose le GIFA. Durant la deuxième semaine de stage, les stagiaires ont pu mettre en pratique leurs connaissances nouvellement acquises en préparant  un cours théorique ou pratique. Ces restitutions notées, ont été l’occasion de constater les progrès effectués au cours de ces deux semaines de stage.

 

Le deuxième DIO, centré sur la pratique de l’éducation physique militaire et sportive (EPMS), a permis de former vingt-trois stagiaires. Les sous-officiers formés sont maintenant capables de prendre en main et d’animer une séance d’EPMS en s’appuyant sur des militaires du rang en aides-moniteurs. Les formateurs se sont attachés à expliquer comment mener des séances de sport collectif, d’aguerrissement ou de course à pied.

 

Quarante-huit stagiaires ont bénéficié de la formation. Ces deux semaines ont été conclues par la traditionnelle remise d’attestations, présidée par le chef de corps du GIFA et le chef de détachement des EFS.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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12 janvier 2015 1 12 /01 /janvier /2015 08:45
Sénégal : DIO artillerie au Togo

 

09/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 17 novembre au 06 décembre 2014, un détachement des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au Togo pour conduire 3 semaines de remise à niveau au profit de sous-lieutenants, chefs de section issus de diverses unités d’infanterie des forces armées togolaises (FAT) et de la batterie de canon de 105mm HM2 du régiment de soutien et d’appui de Lomé.

 

Les deux premières semaines du stage à Lomé ont été consacrées à la révision des bases et à des exercices de drill, dans les domaines de la préparation du tir, de la reconnaissance topographique, de l’observation et du réglage des tirs et du service de la pièce.

 

Cette période a été l’occasion pour les instructeurs et leurs stagiaires togolais de redécouvrir un matériel légendaire pour tous les artilleurs : le canon 105 HM2. En effet, ce canon rustique et « increvable » a été de tous les combats, des batailles de la Seconde Guerre mondiale, en passant par l’Indochine ou l’Algérie.

 

La dernière semaine du DIO s’est déroulée en brousse, dans la région d’Akaba. La batterie a pu se déployer sur le terrain et effectuer deux tirs parfaitement en place sous les yeux du chef d’état-major général des forces armées togolaises et du chef d’état-major de l’armée de terre togolais.

 

A l’heure du GPS et de la numérisation quasi-totale de la chaine feux, les DIO en Afrique sont une occasion unique pour les artilleurs de pratiquer les fondamentaux de l’artillerie que sont :

- la préparation calculée des tirs ;

- les procédés topographiques ;

- les tirs avec pour seuls outils, la boussole, la carte et le sens du terrain.

 

Ce stage a été une parfaite réussite, tant sur le plan technique artillerie, que dans le domaine du rayonnement de la France dans le pays hôte. Les relations de fraternité d’arme entre artilleurs togolais et instructeurs français tout au long du stage, ainsi que le repas de la Sainte Barbe (fête des artilleurs), offert en fin de stage par le général Kadang au détachement, sont autant de témoignages du succès de cette mission.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Sénégal : DIO artillerie au TogoSénégal : DIO artillerie au Togo
Sénégal : DIO artillerie au Togo
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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:45
EFS : DIO aguerrissement à Toubacouta

 

27/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Du 4 au 13 novembre 2014, le détachement d’assistance opérationnelle commando de l’unité de coopération régionale (UCR) des éléments français au Sénégal (EFS) a mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit des forces armées sénégalaises à Toubacouta.

 

La première semaine était dédiée à une action de formation au profit des forces armées sénégalaises. Le centre d’entraînement tactique n° 3 a sollicité l’aide des EFS pour le stage commando de deux compagnies devant être projetées en République de Côte d’Ivoire dans le cadre de l’ONUCI en février 2015. Le détachement commando a plus particulièrement pris en charge la compagnie du 5ème bataillon d’infanterie en délivrant à une centaine de militaires des instructions en TIOR (technique d’intervention opérationnelle rapprochée), en ISTC (instruction sur le tir de combat), en secourisme de combat, en techniques de survie et en combat en localité.

 

La deuxième semaine, le détachement s’est consacré à des activités dans le cadre de l’unité de coopération régionale au profit d’un groupe de la section PROTERRE. Au cours de cette instruction, les militaires des EFS ont organisé des séances de tir pirogue et de tir layon. Le détachement des EFS a également entretenu ses savoir-faire propres en effectuant un déroulé sur la piste mangrove et une sortie en kayak.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 07:45
EFS : formation logistique au Niger

 

30/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 18 au 27 novembre 2014, un instructeur des Eléments français au Sénégal (EFS) a mené pour la première fois à Niamey, au Niger, un stage conjoint aux forces armées et de sécurité nigériennes centrée sur les besoins logistiques d’un déploiement de niveau bataillon.

 

Cette session a regroupé des officiers des forces armées et des officiers des forces de sécurité nigériennes (police, gendarmerie et garde nationale) pouvant être engagés soit dans le cadre d’opération de maintien de la paix, comme la MINUSMA, soit dans celui de missions civiles, comme EUCAP SAHEL. La formation commune de ces unités a été initiée par la mission de coopération militaire de Niamey et la mission politique de sécurité et de défense européenne EUCAP SAHEL. Elle entend répondre à un besoin commun aux interventions réalisées conjointement ou en étroite coordination par les forces armées et les forces de sécurité déployées sous mandat de l’ONU en région sahélo-saharienne.

 

Au total, 22 officiers ont suivi les cours dispensés par l’instructeur logistique des EFS. Les stagiaires sont venus des quatre coins du Niger, certains allant jusqu’à faire 1 500 km pour y participer. L’objectif de cette formation était d’enseigner aux stagiaires les fondamentaux pour occuper les fonctions de chef de cellule logistique au sein du poste de commandement (PC) d’un groupe tactique interarmes (GTIA).

 

La qualité des stagiaires, tous affectés dans des postes traitant de la logistique dans des domaines très différents, a permis d’aborder la dimension globale de la logistique opérationnelle moderne.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 08:45
L'Afrique autour de Le Drian

 

16.12.2014 par Frédéric Pons - Valeurs Actuelles
 

Forum. Jean Yves Le Drian a réussi son pari de tenir un premier Forum international sur la paix et la sécurité à Dakar, ces 15 et 16 décembre, un an tout juste après l'annonce de ce projet faite à l'Elysée.

Autour de lui, avec le soutien logistique du Sénégal et de la CEIS (Compagnie européenne d'intelligence stratégique) présidée par l'ancien député UDF Olivier Darrason, 38 pays représentés, une vingtaine de parlementaires (députés et sénateurs), trois anciens ministres (Gérard Longuet, Elisabeth Guigou, Michel Roussin), la fine fleur de la réflexion stratégique française (Fondation pour la recherche stratégique, Secrétariat général de la Défense nationale, Délégation des Affaires stratégiques du ministère de la Défense, le Centre d'analyse du Quai d'Orsay), ainsi que quelques figures de proue du renseignement militaire français : les généraux Christophe Gomart (Direction du renseignement militaire) et Grégoire de Saint Quentin (Commandant des opérations spéciales) ou l'amiral Marin Gillier (patron de la Coopération de sécurité et de défense aux Affaires étrangères).

Malgré la pression des Américains déjà présents en force dans l'ouest du continent, notamment pour venir traiter le problème Ebola, Le Drian a confirmé la place centrale de la France au cœur du dispositif de sécurité en Afrique, zone où l'ONU entretient neuf de ses seize opérations de maintien de la paix, avec 110 000 casques bleus sur un total de 125 000.

Les militaires français ont confirmé le renforcement des capacités de leurs adversaires djihadistes, que certains définissent comme une "quatrième génération" de terroristes. Leur force est d'associer aujourd'hui une idéologie conquérante et des capacités militaires réelles pour se tailler des territoires.

L'ancien président du Nigéria Olusegun Obasanjo a jeté un froid dans l'assistance majoritairement africaine avec sa franchise : " Tous les conflits sont le produit de la mauvaise gouvernance, il est temps que l'Afrique prenne des initiatives". Les participants au Forum ont baptisé Jean-Yves Le Drian "Le Drian l'Africain",  compliment auquel il est sensible, et qui ne fait que confirmer sa prééminence sur Fabius sur le dossier Afrique.

Paris conforte le Sénégal, l'un de ses plus vieil ami et allié africain au premier rang des rares pôles de sécurité en Afrique.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 11:45
Le président tchadien appelle l’OTAN à intervenir à nouveau en Libye

 

17.12.2014 Par Nathalie Guibert (envoyée spéciale à Dakar, Sénégal) - Le Monde.fr

 

Pour le président du Tchad Idriss Déby Itno, « toutes les difficultés » sécuritaires de la région saharo-sahélienne, victime du djihadisme et des mouvements criminels, « sont nées en 2011 » de l’intervention militaire occidentale, et il faut désormais intervenir en Libye.

 

« Nos amis européens et occidentaux ne nous ont pas demandé quand ils ont attaqué la Libye. Non plus quand ils ont divisé le Soudan en deux », a lancé le chef de l’Etat tchadien à Dakar, mardi 16 décembre, en clôture du premier Forum international pour la paix et la sécurité en Afrique. Cette rencontre, lancée à l’initiative de la France et du Sénégal, a réuni experts, militaires, diplomates et chefs d’Etat pendant deux jours.

 

Répondant au président sénégalais Macky Sall, qui avait jugé quelques minutes plus tôt qu’en Libye « le travail [était] inachevé », M. Déby a rétorqué : « Le travail a été achevé ! La destruction de la Libye ! L’assassinat de Kadhafi. Ce qui n’a pas eu lieu, c’est le service après-vente. »

 

« La solution est entre les mains de l’OTAN »

 

Dans la grande salle de l’hôtel King Fahd de Dakar, bondée, le discours est allé droit aux oreilles d’un homme assis au premier rang : Gérard Longuet, ancien ministre de la défense français, qui a exécuté la décision du président Nicolas Sarkozy en lançant les Rafale contre les rebelles en Libye en 2011.

 

Mais le président tchadien, précieux allié de la France dans ses opérations militaires antiterroristes au Mali depuis deux ans, s’est gardé de charger directement Paris. Il en appelle à l’OTAN : « La solution est entre les mains de l’OTAN, qui a créé le désordre. Les Nations unies, qui ont donné le quitus, sont responsables aussi », a-t-il ajouté. M. Déby a exclu tout dialogue avec des « intégristes » – les groupes armés islamistes libyens –, et répété : « Il n’y a que l’OTAN qui ait les moyens nécessaires. Si on veut résoudre les problèmes du Sahara, il faut intervenir en Libye. »

 

La France a été plus directement critiquée par son homologue, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz. Lui a condamné le versement de rançons dans les affaires d’otages : « Il faut éviter le laxisme envers les preneurs d’otages. Il faut éviter de payer des rançons qui leur donnent encore plus de moyens d’exister. C’est encourager le terrorisme », a-t-il déclaré.

 

Les participants au Forum de Dakar ont déclaré à l’issue de deux jours d’échange vouloir unir leurs moyens pour attaquer le problème du terrorisme en Afrique.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 20:45
Le Drian à Dakar : l'Afrique doit «s'approprier sa sécurité»

 

16.12.2014 Thomas HOFNUNG envoyé spécial à Dakar (Sénégal) - Liberation.fr
 

Terrorisme dans le Sahel, Libye, Boko Haram, Ebola... Les sujets ne manquaient pas au forum international sur la paix et la sécurité.

 

Au rayon des vœux pieux dans les relations internationales, il y a l’Europe de la Défense (qui reste dans les limbes depuis toujours), et il y a la sécurité en Afrique. Depuis des années, qui formeront bientôt des décennies, Paris en parle, Paris se mobilise, Paris met des moyens à disposition de ses partenaires sur le continent. Avec des résultats mitigés comme le prouvent ses interventions directes au Mali et en Centrafrique au cours des derniers mois. Alors le gouvernement français a décidé de remettre l’ouvrage sur le métier en commençant par le commencement : il veut désormais promouvoir une «culture de la sécurité» sur le continent, dit le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Autrement dit : que les Africains se parlent et agissent.

Organisé les 15 et 16 décembre à Dakar, au Sénégal, un Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique se donnait pour ambition de réunir ceux qu’on appelle un peu pompeusement les «acteurs de la sécurité»: militaires, politiques, experts. Tout ce petit monde a participé, dans l’hôtel cinq étoiles King Fahd, à des conférences et des ateliers (en format plus réduit) sur une ribambelle de problématiques. Avec la menace terroriste persistante dans le Sahel, la descente aux enfers de la Libye, la montée en puissance de Boko Haram au Nigeria ou la gestion problématique de l’épidémie Ebola en Afrique de l’Ouest, il est vrai que les sujets ne manquent pas. En coulisse, des rencontres bilatérales ont également été discrètement organisées entre des gens qui ne se parlent pas toujours aisément. Beaucoup de francophones, quelques Anglophones et des absents de marque, comme les Algériens ou les Nigériens.

 
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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 13:45
Dakar au cœur de la sécurité en Afrique

15 décembre 2014 BBC Afrique

Plus de 300 personnes ont participé lundi au Forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique.

Des chefs d'Etat, des ministres de la défense et des affaires étrangères ainsi que des experts sont présents.

Les problèmes tels que la sécurisation des frontières et le djihadisme ont été abordés durant cette conférence qui s’achève mardi.

Le but de cette rencontre est de créer une culture de la sécurité sur le continent.

Pour Cheikh Tidiane Gadio, ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, « il est temps que les africains prennent eux-mêmes en charge leurs problèmes de sécurité ».

Les principales crises qui traversent l'Afrique sont au menu des discussions notamment la menace du groupe islamiste Boko Haram.

Rien qu'au mois de Novembre, les attaques du groupe ont fait 786 morts d'après une enquête de la BBC.

Le Nigeria, le Niger, le Cameroun et le Tchad se sont engagés à déployer une force militaire commune de 2800 hommes à leurs frontières.

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 08:45
EFS : formation tactique au Togo

 

11/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 10 au 28 octobre 2014, un détachement de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au Togo pour réaliser quinze jours de formation tactique au profit des cadres des sections d’infanterie du régiment parachutiste commando (RPC).

 

Après avoir été accueillis par les autorités du régiment, les stagiaires ont débuté leur ’instruction avec les fondamentaux techniques que sont le TIOR (technique d’intervention opérationnelle rapprochée), et le secourisme au combat. Une fois ces fondamentaux acquis, l’instruction s’est portée sur l’entraînement tactique sur le terrain, où les stagiaires ont été mis en situation avec le renfort d’une troupe de manœuvre et de plastrons. Lors de cette phase dynamique, riche en enseignements, les cadres du RPC se sont entraînés à la mettre en œuvre un check point, préparer et conduire une patrouille, réagir face à une embuscade ou un engin explosif improvisé (IED - improvised explosive device), et, enfin, à gérer et évacuer un blessé ou encore escorter un convoi.

 

Toutes ces missions ont été réalisées dans le cadre du combat de contre insurrection et de contrôle de zone, principale mission de ce régiment, avec des procédures spécifiques à respecter concernant l’ouverture du feu, la gestion de foule et la conduite à tenir face à la population ou encore l’identification des combattants.

 

Les stagiaires togolais ont témoigné un réel intérêt pour cette instruction, conscient de bénéficier d’une expertise unique détenue par le RCP. Cette formation contribue, par ailleurs, à la préparation opérationnelle des contingents pouvant être projeté dans des opérations de maintien de la paix. Actuellement, le Togo arme un bataillon d’infanterie et une unité de force de police (Force police unit – FPU) de la MINUSMA, en partie formés par les EFS. Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

EFS : formation tactique au Togo
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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 08:45
EFS : formation au guidage aérien tactique avancé (GATA) au Sénégal

 

10/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 7 au 24 octobre 2014, un détachement d’assistance opérationnelle (DAO) des éléments français au Sénégal (EFS), aux ordres de l’adjudant-chef Gallo, s’est rendu au bataillon parachutiste de Thiaroye pour mener la première action de formation relative au guidage d’hélicoptères de combat.

 

Après le premier stage GATA en République de Mauritanie au mois de septembre 2014,les forces armées sénégalaises (FAS) ont pu bénéficier de l’expertise des EFS dans des manœuvres de type CCA (close combat attack - appui-feux rapproché).

 

Le but était de former et de préparer aux missions d’appui aérien quatre équipes GATA des FAS en prévision de leur futur engagement opérationnel dans le cadre de la MINUSMA et de l’ONUCI, mais aussi d’établir une procédure commune entre les troupes au sol et les escadrons d’hélicoptères sénégalais.

 

Seize stagiaires parachutistes, répartis en quatre équipes, ont ainsi pu suivre l’instruction théorique organisée la première semaine à Thiaroye. La deuxième semaine a été consacrée à la connaissance et la mise en œuvre des procédures GATA, sur un des plus beaux sites panoramiques de Dakar, « le Phare des Mamelles ». La dernière semaine a été consacrée à la phase pratique de guidage, au centre d’entrainement national du Mont-Roland dans la région de Thiès.

 

Le 24 octobre 2014, sous la surveillance de leur chef, le lieutenant-colonel Kandé, les quatre équipes ont su mettre en pratique les savoir-faire enseignés, et ainsi valider leur formation en guidant avec succès un hélicoptère MI-17. L’excellente coopération des autorités militaires sénégalaises et l’engagement de l’escadron d’hélicoptère de la base aérienne de Thiès ont concouru pleinement à la réussite de cette formation.

 

La cérémonie de fin de stage, présidée par l’adjoint du chef d’état-major de l’armée de Terre sénégalaise et en présence de son conseiller Air, s’est conclue par une remise d’attestations de stage, concrétisant la coopération opérationnelle réalisée par les FAS et les EFS dans le domaine de la formation.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

EFS : formation au guidage aérien tactique avancé (GATA) au Sénégal
EFS : formation au guidage aérien tactique avancé (GATA) au Sénégal
EFS : formation au guidage aérien tactique avancé (GATA) au Sénégal
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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 06:45
A Dakar, hommage aux soldats de la Grande Guerre

 

18 novembre 2014 BBC Afrique

 

Le Sénégal a rendu mardi un hommage à ses soldats tombés au front lors de la Première Guerre Mondiale.

 

De nombreux soldats des colonies françaises et anglaises d'Afrique, connus sous le nom générique de tirailleurs sénégalais, ont pris part à cette guerre de 1914 à 1918.

 

Lors d'une cérémonie en présence d'officiels sénégalais, Ngor Sarr, directeur de l'Office des anciens combattants du Sénégal a salué la mémoire de ceux qu'il a appelés les « dignes fils du pays ».

 

"Leur sacrifice n'a pas été vain. Ils ne tomberont jamais dans l'oubli", a déclaré Ngor Sarr, qui a souligné que les tirailleurs ont défendu les idéaux de paix et de justice.

 

L'un des imminents historiens du Sénégal, Iba Der Thiam, prenant la parole à la cérémonie a déclaré que ces soldats sénégalais "étaient partis (combattre) pour la dignité, la liberté et la démocratie de la France. Ils ont permis l'avènement du monde libre".

 

La cérémonie d'hommage fait partie d'un ensemble d'activités prévues cette semaine à Dakar, dont un colloque mercredi et jeudi, pour célébrer le centenaire de la Première Guerre mondiale.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:45
EFS : détachement d’instruction opérationnelle au profit des forces armées togolaises

 

13/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 13 au 17 octobre 2014, une formation au profit des forces armées togolaises (FAT) a été menée par le chef de bataillon Valentin, officier logistique de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), au sein du régiment blindé de reconnaissance et d’appui de Lomé. Visant à former des officiers à la gestion et à l’entretien des matériels au sein du corps de troupe, cette formation a concerné treize officiers provenant de diverses unités du pays.

 

S’appuyant sur les procédures éprouvées de l’armée française, le contenu de l’instruction était axé sur la nécessité de mettre en place des outils simples et efficaces de comptabilité, de contrôle et de suivi des matériels automobiles et multi techniques. Parmi les sujets abordés, ceux de la sécurité et de l’instruction technique ont particulièrement été développés. Ainsi, au moyen d’exercices pratiques et aisés à appliquer au sein des régiments, les stagiaires ont pu prendre conscience du rôle capital de l’officier chargé des matériels dans la réussite de la mission du chef militaire.

 

Tout au long de ce détachement d’instruction opérationnelle (DIO), les officiers stagiaires ont montré leur grand intérêt pour ces savoir-faire et ont semblé bien décidés à faire progresser leurs unités afin de disposer de matériel toujours plus apte à mener des missions opérationnelles.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:45
EFS : détachement d’instruction opérationnelle au profit de militaires ivoiriens

 

13/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 27 septembre au 11 octobre 2014, un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « marine passerelle », constitué par des personnels de la station navale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu en République de Côte d’Ivoire (RCI).

 

Cette action de formation avait pour objectif de créer les instructions permanentes du commandant pour la mer (IP Mer), ainsi que des planchettes passerelle au profit du nouveau patrouilleur de la marine ivoirienne L’Emergence.

 

Les instructions théoriques et pratiques ont concerné l’équipage du bateau mais aussi les marins des deux autres sisterships de L’Emergence, actuellement en construction à Lorient, et qui rejoindront bientôt la RCI.

 

Des sorties à la mer ont permis de mettre en application les documents qui ont été créés dans le cadre de ce DIO. Grâce au dynamisme et à la motivation des marins ivoiriens, un programme d’activités ambitieux a pu être mis en place : navigations en eaux resserrées, mouillages, exercices d’homme à la mer, avarie de barre et autres exercices  incendie ont rythmé les journées sur le plan d’eau. Un exercice de mise en place de l’équipe de visite sur le thème du NARCOPS, avec le concours des fusiliers marins commandos, a constitué le point d’orgue de ce DIO.

 

Les quatre instructeurs du détachement ont ainsi pu constater combien le patrouilleur L’Emergence porte bien son nom : son équipage porte haut  les valeurs d’une marine qui sort de plusieurs années de crise mais dont l’envie d’apprendre et de progresser fait plaisir à voir.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 08:45
Sénégal : Les ministres de la Défense français et espagnol en visite aux EFS



27/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 23 au 24 octobre 2014, le ministre de la Défense, monsieur Jean-Yves Le Drian, a fait escale à Dakar avant de se rendre au Mali.

 

Arrivé le 23 octobre dans la soirée, accompagné de l’ambassadeur de France au Sénégal et du général de brigade Louis Duhau, commandant les éléments français au Sénégal (EFS), le ministre a accueilli, le 24 octobre en début de matinée, son homologue, monsieur Pedro Morenes-Eulate à l’escale aérienne des EFS sur l’aéroport Léopold Sédar Senghor.

Après un bref entretien, en vue de préparer leurs rendez-vous communs chez le ministre de la Défense sénégalais, monsieur Augustin Tine et chez le président de la République du Sénégal, monsieur Macky Sall, les deux ministres ont entamé leur visite sur l’escale aéronautique, visite qui comprenait notamment des présentations du détachement Falcon 50 de la marine nationale et du détachement aérien espagnol MARFIL (mission espagnole de soutien à Barkhane).

La visite s’est achevée par une adresse des deux ministres aux personnels des EFS et aux personnels de la mission MARFIL. Monsieur Jean-Yves Le Drian a souligné la qualité du partenariat entre la France et l’Espagne, notamment dans le cadre de l’opération Serval. Monsieur Pedro Morenes-Eulate a quant à lui souligné l’excellent soutien fourni quotidiennement par les EFS à la mission MARFIL.

Après leurs entretiens avec les autorités sénégalaises, les deux ministres ont rejoint Bamako où ils ont présidé la cérémonie de passation de commandement de la mission européenne d’entraînement au Mali (EUTM) entre un général français et un général espagnol.

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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Sénégal : Les ministres de la Défense français et espagnol en visite aux EFS
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26 octobre 2014 7 26 /10 /octobre /2014 09:45
EFS : première formation au guidage aérien en Mauritanie

 

24/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 1erau 14 septembre 2014, un détachement d’assistance opérationnelle (DAO) des éléments français au Sénégal (EFS) placé sous les ordres de l’adjudant-chef Gallo, s’est rendu au détachement d’assistance militaire opérationnelle d’Atar pour effectuer auprès des militaires mauritaniens la première action de formation relative au guidage aérien tactique avancé (GATA).

 

Les forces armées de la République Islamique de Mauritanie (FARIM) ont sollicité les EFS pour effectuer une mission d’assistance militaire opérationnelle dans le domaine de la 3èmedimension (3D) type CAS (Close Air Support- appui aérien rapproché).

 

Le but était de former et de préparer aux missions d’appui aérien, des équipes GATA susceptibles d’agir en autonome, dans un contexte opérationnel, et au profit des troupes au sol. En tout, 15 stagiaires (cinq officiers et dix sous-officiers) ont suivi l’instruction tactique et technique sur le camp du 1er bataillon commando parachutiste de la base aérienne d’Atar.

 

Après une semaine intensive de cours théoriques et de tests variés, les stagiaires ont pu mettre en application, lors de différents exercices pratiques sur les hauteurs de la vallée d’Azougui, les savoir-faire acquis. Tout d’abord, ils ont guidé des aéronefs lents de type : « ULM TETRAS » ; ils ont ensuite pu mettre en application les missions CAS enseignées avec les équipages des avions Embraer EMB 314 - Super Tucano.

 

Le 11 septembre 2014, la formation a été certifiée par une campagne de tir Air / Sol à proximité de l’aéroport international d’Atar. Cet exercice de synthèse, avec guidages et passes de tir canon des Super Tucano, a permis de valider, sous le contrôle de leur chef d’équipe, deux équipes GATA.

 

L’excellente coopération avec les autorités mauritaniennes, particulièrement les autorités de l’armée de l’Air, a contribué à la pleine réussite de cette action de formation.

 

Lors de la traditionnelle cérémonie de remise des attestations, les autorités militaires ont remercié les instructeurs pour l’efficience de leur enseignement, et exprimé la volonté des FARIM de pérenniser les échanges de coopération opérationnelle avec les EFS dans le domaine de la 3èmedimension.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

EFS : première formation au guidage aérien en Mauritanie
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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 04:45
Mali: l'ONU condamne l'attaque contre la Minusma à Kidal

 

08 octobre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné mardi soir l'attaque contre la mission de l'ONU au Mali (Minusma) qui a tué un Casque bleu sénégalais à Kidal (nord), rappelant que de telles attaques peuvent constituer des crimes de guerre.

 

Dans une déclaration unanime, les 15 pays membres réitèrent leur plein soutien à la Minusma et aux forces françaises qui l'appuient.

 

Ils demandent au gouvernement malien de mener rapidement une enquête sur cette attaque et de poursuivre ses auteurs en justice.

 

Ils rappellent aux groupes armés qui opèrent dans le nord du Mali leur engagement de coopérer avec les Nations unies pour éviter des attaques contre les Casques bleus, conformément à la déclaration qu'ils ont signée le 16 septembre 2014 à Alger.

 

Un Casque bleu sénégalais été tué mardi soir par des tirs de roquette contre le camp de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma) à Kidal, dans le nord-est de ce pays.

 

Le chef des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous, a annoncé mardi que les Casques bleus au Mali allaient durcir leur dispositif, après une série d'attaques.

 

M. Ladsous avait assisté mardi matin à Bamako à un hommage à neuf membres du contingent nigérien de la Minusma tués le 3 octobre dans la région de Gao (nord-est du pays).

 

Dans un communiqué publié mardi soir, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon se déclare outré par l'attaque de Kidal, précisant que des agresseurs non-identifiés ont lancé environ six explosifs vers le camp de la mission.

 

Il s'agit, souligne l'ONU, de la deuxième attaque en cinq jours contre la Minusma et elle porte à 31 Casques bleus tués et 91 blessés le bilan des victimes d'actes hostiles depuis le 1er juillet 2013.

 

M. Ban rappelle à toutes les parties leur responsabilité de prévenir les attaques contre les Casques bleus. Il souligne qu'une solution politique est la seule voie vers une paix et une stabilité durables au Mali.

 

Le Conseil de sécurité doit examiner mercredi la situation au Mali, au cours d'une séance qui était prévue de longue date et où M. Ladsous doit s'adresser au Conseil depuis Bamako par vidéo-conférence.

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 07:45
photo EMA

photo EMA

17.09.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense Globale

 

L'opération Sangaris en Centrafrique confronte les soldats français à des situations de stress importantes, des exactions et des scènes humaines voire humanitaires parfois difficiles à supporter. Finalement plus qu'au Mali, même s'il faut se garder des comparaisons.

En tout cas, les forces terrestres, désormais commandées par le général Sainte-Claire Deville ont repris le principe du sas de fin de mission pour décompresser avant de reprendre " une vie plus normale ".

Après Paphos à Chypre pour les retours d'Afghanistan, les relevés de Centrafrique passent désormais trois jours à Dakar...

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:45
Les EFS mènent trois DIO simultanés au Niger

 

18/07/2014 Sources : EMA

 

Du 18 au 26 juin 2014, trois détachements d’instruction opérationnelle (DIO) des éléments français au Sénégal (EFS) se sont rendus au camp de Ouallam, situé au Niger, à 100 kilomètres au nord de Niamey et à 80 kilomètres de la frontière malienne pour effectuer des actions de formation au profit du bataillon nigérien, avant son engagement au sein de la MINUSMA.

 

Durant cette semaine de stage, une quarantaine d’artilleurs nigériens ont reçu une instruction en topographie, sur les munitions, le pointage, l’instruction au tir et l’entretien des matériels.

 

Près de 80 spécialistes de la lutte contre les IED (Engins explosifs improvisés) ont été sensibilisés et formés à l’identification, aux techniques de balisage, de marquage et à l’ouverture d’itinéraire.

 

Enfin, une dizaine d’OMB (Orienteur - Marqueur – Baliseur) ont acquis les savoir-faire nécessaires au guidage et poser d’hélicoptère en terrain sommaire.

 

Ainsi, environ 130 militaires nigériens ont pu, grâce aux soldats français, améliorer leurs savoir-faire et leur préparation opérationnelle avant d’être intégrés à la MINUSMA.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:45
Sénégal : La Côte d’Ivoire met à l’honneur des militaires des EFS

 

30/07/2014 Sources : EMA

 

Le 18 juillet 2014, cinq militaires des éléments français au Sénégal (EFS) ont été décorés par l’ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire (RCI) au Sénégal, monsieur le général Edouard Kassaraté, pour leur action dans le cadre de la coopération bilatérale franco-ivoirienne.

 

L’ambassadeur s’est rendu au quartier « colonel Frédéric Geille » de Ouakam, dans l’Ouest de la capitale, où il a été accueilli par le général de brigade Louis Duhau, commandant les éléments français au Sénégal (COMELEF).

 

Lors de cette cérémonie, cinq officiers et sous-officiers ont été décorés pour leur engagement dans la formation des soldats ivoiriens. Le lieutenant-colonel Philippe Sauvin a été nommé au grade de chevalier de l’Ordre National ivoirien ; le capitaine Luc Quennehen, l’adjudant-chef David Miclo, le maître principal Claude Félix et le maître Yann Grare ont quant à eux été nommés chevalier de l’Ordre National du Mérite Ivoirien. Ensemble ils totalisent plus de 270 jours de détachement d’instruction opérationnelle (DIO) en RCI et ont formé plusieurs centaines de militaires ivoiriens aux techniques d’état-major, à la protection-défense (PRODEF), ou encore à la visite de bâtiments (VISITEX).

 

Ces actions illustrent le haut niveau de la coopération franco-ivoirienne, institutionnalisée par un accord de partenariat de défense signé le 26 janvier 2012 et ratifié le 4 juillet dernier par le Parlement ivoirien. Il s’agit plus particulièrement d’accompagner la réforme de l’armée ivoirienne, en insistant sur la formation, l’équipement des forces et le soutien technique.  Par ailleurs, cette démarche s’inscrit dans le cadre plus global de la coopération française en Afrique, visant à appuyer la formation opérationnelle des soldats africains pouvant être engagés dans des opérations de maintien de la paix. A ce titre, les EFS et la force Licorne ont participé à la formation des contingents ivoiriens déployés au Mali dans le cadre de la MINUSMA.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 07:45
Sénégal : Les EFS au cœur de l’exercice Western Accord 2014

 

15/07/2014 Sources : EMA

 

Du 16 au 27 juin 2014 un détachement des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu à Thiès, à environ 50 km de Dakar, pour participer à l’exercice Western Accord 2014.

 

Cet exercice international, orchestré par le commandement américain pour l’Afrique (AFRICOM), a rassemblé des membres des forces armées de toute la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

 

Sous les ordres du général (US) Kenneth H. Moore, l’exercice avait pour objectif de faire travailler ensemble des cadres de la CEDEAO dans un poste de commandement commun sur un scénario d’opération de maintien de la paix en territoire ouest-africain.

 

Commandé par le colonel Patrik Steiger, chef du groupement de coopération opérationnelle (GCO), le détachement des EFS était composé d’officiers supérieurs, de cadres officiers et sous-officiers du GCO et de l’unité de coopération régionale (UCR). Il s’est impliqué dans la direction de l’exercice comme dans sa conduite.

 

Ambitieux et formateur, l’exercice a fédéré l’ensemble de ses participants et illustré le défi que représente la conduite d’une action conjointe dans un environnement international.

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Sénégal : Les EFS au cœur de l’exercice Western Accord 2014
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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 16:45
COMSUP / COMFOR : cérémonies du 14 juillet

 

15/07/2014 Sources : EMA

 

Le 14 juillet 2014, les unités françaises prépositionnées outre-mer et à l’étranger ont célébré la fête nationale

 

En Guyane, les forces armées en Guyane (FAG) ont célébré la fête nationale à Cayenne autour de la place des Palmistes en présence de monsieur Spitz préfet de la région Guyane et de madame Phinéra-Horth, maire de Cayenne. Réunissant toutes les unités des FAG (9e RIMa, 3e REI, RSMAG, Base Navale de Dégrad des Cannes, Base Aérienne 367 « François Massé », GSBdD, DIRISI), mais aussi la gendarmerie nationale, la police nationale, la police aux frontières, les sapeurs-pompiers et jeunes sapeurs-pompiers, la prise d’armes, présidée par le général Philippe Adam, commandant supérieur des forces armées en Guyane, a été suivie par un défilé des troupes à pieds rythmé par la musique de l’armée du Suriname, puis d’un défilé motorisé rue de Lallouette. La cérémonie a été marquée par la présence d’autorités militaires du Brésil et du Suriname, soulignant l’importance de la coopération régionale, notamment dans les secteurs de la lutte contre l’orpaillage illégal et la pêche illégale.

 

Aux Antilles, le contre-amiral Georges Bosselut, commandant supérieur des forces armées aux Antilles (FAA), a présidé une cérémonie militaire à Basse-Terre en Guadeloupe, en présence de madame Marcelle Pierrot, préfète de la région Guadeloupe et du colonel Thibault Dubern, chef de corps du RSMA-G. La présence des FAA sur le théâtre Guadeloupéen a été soulignée par l’escale de la frégate de surveillance « Germinal » à Basse-Terre. Ce navire de la marine nationale qui participe notament à la lutte contre le narcotrafic a ouvert ses portes au public durant tout le week-end. En Martinique, une cérémonie s’est déroulée sur le front de mer de Fort-de-France présidée par Laurent Prévost, préfet de la Martinique. Le commandant supérieur des FAA était représenté par le colonel Philippe Robin, son adjoint interarmées. La cérémonie s’est achevée par un défilé de troupes à pied et de troupes motorisées et pour la première fois, d’un défilé aérien. Celui-ci était composé de trois hélicoptères de l’Etat (gendarmerie, douanes et sécurité civile) représentant symboliquement les trois couleurs nationales dans le ciel martiniquais.

 

Au Sénégal, la cérémonie militaire a eu lieu dans l’enceinte du quartier « colonel Geille » de Ouakam. Elle était présidée par le général de brigade Louis Duhau, commandant les éléments français au Sénégal (EFS), en présence de son excellence Jean Félix-Paganon, ambassadeur de France au Sénégal. Cette cérémonie a donné lieu à une remise de décorations.

 

A Djibouti, la cérémonie a eu lieu au coucher du soleil sur la base aérienne 188 « Massart ». Le colonel Nicolas Jovanovic, commandant les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) par interim, a présidé la cérémonie en présence de son excellence monsieur Serge Mucetti, ambassadeur de France à Djibouti, de son excellence monsieur Abdoulkader Kamil Mohamed, premier ministre de Djibouti, de son excellence monsieur Hassan Darar Houffaneh, ministre de la défense djiboutienne, du général de division Zakaria Chaick Ibrahim, chef d’Etat-Major général des armées (CEMA) djiboutien, ainsi que de plusieurs ambassadeurs étrangers.

 

Au Gabon, les forces françaises au Gabon (FFG) se sont réunies sur le camp « De Gaulle » à Libreville afin de célébrer la fête nationale. Cette cérémonie s’est déroulée en présence des plus hautes autorités diplomatiques, consulaires et militaires françaises et gabonaises de Libreville.

 

Sur l’île de la Réunion, les forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont participé à la cérémonie qui s’est déroulée à Saint-Denis, en présence du préfet et sous l’autorité militaire du commandant supérieur des FAZSOI, le général de division Jean-François Hogard.

 

En Nouvelle-Calédonie, les forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC) ont célébré le 14 juillet à Nouméa. La cérémonie a été présidée par le haut-commissaire de la République, en présence du commandant supérieur des FANC, le général Luc de Revel. Des autorités civiles et militaires étaient également présentes.

 

En Polynésie française, les militaires des Forces armées de Polynésie Française (FAPF) ont participé à la cérémonie et au défilé du 14 juillet. Cette cérémonie était présidée par le haut-commissaire de la République, monsieur Lionel Beffre en présence des hautes autorités de l’état et de la Polynésie française. Le défilé à pieds et motorisé s’est déroulé aux ordres du Contre-amiral Anne Cullerre, commandant supérieur des forces armées en Polynésie française.

COMSUP / COMFOR : cérémonies du 14 juillet
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