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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 07:50
Experts meet on materials modelling and simulation

 

Brussels - 11 March, 2015 European Defence Agency

 

Materials modelling and simulation are cross-cutting technologies with potential benefits for defence capabilities. 35 experts from national ministries, European institutions, industry and academia participated in an EDA workshop to discuss current and future areas of application in defence on 27 January 2015.

 

Materials modelling is becoming well-established in the civil and military domains. As conducting experiments is costly and often difficult owing to environmental constraints (high strain rate, high temperature, hazardous environments), integrating materials modelling with experimental programmes yields benefits. 

The main objective of the workshop on Materials & Structures Modelling & Simulation (M&S2)  was to identify the potential impact of these technologies on defence. The workshop concentrated on discussing active and future directions on materials modelling around four key topics: new materials, new structures, new processes and defence specific phenomena.

Generally speaking, two main topics related to polymer composites and ceramic materials came out of the discussions: 

  1. There is a need to provide diagnostic and prognostic methods for structures and also relevant characterisation of defence and dual-use specific phenomena, such as ageing, fatigue stress, impact damage, etc.; and 
  2. In order to improve the materials performance under extreme conditions, a better understanding of their behaviour at atomic and molecular level is needed. Therefore, there is a need to further develop modelling at nanoscale level which could be integrated in mesoscale models, described in the microscale until reaching current macroscale.

These ideas will be used by the EDA Materials & Structures expert groups in order to provide inputs for different initiatives, and also for building a roadmap for the achievement of the identified research & technology goals, and future update of the Strategic Research Agenda on materials & structures.

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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 08:55
Les moniteurs-simulateurs ont désormais leur insigne

 

13/03/2015 Armée de l’Air

 

C’est une nouveauté : les moniteurs-simulateurs ont dorénavant leur insigne de brevet de spécialité ! Mercredi 11 mars 2015, l’ensemble des chefs de services « simulateurs » ont été conviés à une cérémonie de remise d’insigne sur la base aérienne 705 de Tours.

 

Lors de son allocution, le général Alain Rouceau, sous-directeur « emploi formation » de la direction des ressources humaines de l’armée de l’air, a rappelé le caractère symbolique de cette cérémonie et l’importance accordée à ce nouvel insigne. En effet, ce dernier permet la reconnaissance des instructeurs au sein de la communauté des aviateurs.

 

Forte de 127 sous-officiers, cette spécialité se singularise par son domaine d’emploi. Elle couvre la formation et les activités du personnel navigant, en qualité d’instructeur appartenant au personnel non navigant. Cette spécialité nécessite une formation longue et exigeante. Avec l’arrivée de nouveaux simulateurs Rafale et A400M, elle est en forte évolution.

 

Zoom sur l’insigne des moniteurs-simulateurs

 

Homologué le 1e rnovembre 2014, l’insigne des moniteurs-simulateurs a la définition héraldique suivante :

 

 

Les moniteurs-simulateurs ont désormais leur insigne

« Horizon artificiel d’argent et de sable à six repères posé en barre, chargé en pointe de la capitale S et en chef d’un vecteur d’or, à la bordure du même chargée des capitales N au chef, W à dextre et E à senestre, deux foudres en sautoir formant la bordure en pointe, un vol du métal brochant au cœur »

 

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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 16:55
Expérimentation du programme SCORPION

 

12/03/2015 Armée de Terre  - Economie et technologie

 

Le centre de simulation JANUS, des écoles militaires de Saumur (Maine-et-Loire) sert de base à l’expérimentation de la doctrine du programme SCORPION, évolution majeure de l’armée de Terre.

 

Le SICS (système d’information de combat scorpion) est un nouvel outil de commandement destiné à donner un avantage décisif à tous les combattants. Le principe est notamment d’améliorer la vitesse de la circulation de l’information et sa pertinence. Ce programme a aussi pour ambition de moderniser les principaux équipements des unités terrestres en les adaptant aux nouveaux concepts tactiques.

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 08:55
Journées de la simulation à Angers

 

05/01/2015 Armée de Terre

 

Les journées EIC NEB SIMU se sont déroulées les 17 et 18 décembre à l’École du génie d’Angers. Elles ont pour but de conduire une préparation à l’engagement interarmes à partir des garnisons.

 

Piloté par l’état-major de l’armée de Terre et mené par la sous-direction de la formation de la direction des ressources humaines de l’armée de Terre, le projet "Espace d'instruction collective à la numérisation de l'espace de bataille assisté par la simulation" est un des socles sur lesquels l'armée de Terre construit sa capacité d'entraînement décentralisé. Les EIC NEB SIMU sont donc appelés à jouer un rôle prépondérant dans le cadre de la préparation opérationnelle décentralisée (POD).

 

Cette année, ces journées ont été l’occasion de rassembler la communauté professionnelle des EIC NEB SIMU, de présenter les avancées du projet en matière d’équipements et solutions logicielles telles que SPARTACUS et de favoriser les échanges de savoir-faire.

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 17:55
DCNS teste de nouveaux outils de lutte anti-terroriste et anti-piraterie

 

12.12.2014 DCNS

 

DCNS vient de tester avec succès, en rade de Toulon, un démonstrateur en temps réel de lutte asymétrique contre les attaques terroristes et de piraterie. Fruit de plusieurs années de recherche et de développement, ce système de DCNS intègre des technologies de pointe : vidéo ultra-haute définition et haute sensibilité, réalité augmentée, algorithmes puissants de détection de comportements menaçants… L’objectif est d’accélérer la prise de décision et d’empêcher les dommages collatéraux en situation de défense rapprochée.

 

Les équipes de DCNS ont expérimenté, le 10 décembre 2014, le démonstrateur d’un nouveau système de lutte contre la piraterie et le terrorisme en mer. La Marine nationale a apporté son soutien tant technique qu’opérationnel à ce test grandeur nature durant lequel des attaques maritimes terroristes ou de pirates ont été simulées. Le système de lutte de DCNS a permis de mettre en œuvre rapidement une défense efficace en zone littorale, là où se déroulent essentiellement les missions de lutte anti-piraterie.

 

Constitué d’un réseau de caméras ultra-haute définition à 360 degrés, l’outil développé par DCNS assure une veille sur plusieurs kilomètres autour du navire. Des informations captées par les caméras se superposent aux images de la réalité augmentée afin de faciliter l’analyse des différents objets mobiles à proximité (navires de plaisance, pêcheurs… ou pirates). En cas de mouvements suspects, un opérateur peut utiliser un zoom très puissant, pour confirmer ou non la menace. Une riposte peut alors être mise en œuvre, du simple avertissement sonore ou lumineux, jusqu’au tir de sommation ou d’arrêt. Grâce à une caméra fixée sur l’arme, le Commandant du navire vérifiant au préalable, dans ce cas, qu’il n’y a pas de risques de dommages collatéraux.

 

La situation à 360 degrés est affichée en permanence, en temps réel, sur un écran dans la passerelle du navire, visible par le Commandant du navire et par tous les opérateurs de défense rapprochée. Chacun partage ainsi les mêmes informations au même moment, dans une approche collaborative, que l’on retrouve dans le concept de passerelle de navire de combat du futur de DCNS, présenté par le Groupe au salon Euronaval 2014. Compatible avec un grand nombre de navires, ce système peut fonctionner seul ou être intégré à un système de management de combat (CMS) pour bénéficier des informations fournies par les autres capteurs du navire notamment ceux embarqués sur des drones aéronautiques.

 

Le développement de ce démonstrateur est l’aboutissement de plusieurs années de recherche de DCNS. Pour le réaliser, DCNS s’est associé à des PME innovantes aux expertises complémentaires. Avec cette capacité supplémentaire, DCNS apporte aux Marines une réponse concrète face aux risques croissants d’attaques terroristes (embarcation-suicide, embuscade…) ou d’actes de piraterie.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 16:50
HMS Kent simulation exercise known as Thursday War

 

8 oct. 2014 Royal Navy

 

This is an Interview with AB Allan during the simulation exercise known as "Thursday War" on board HMS Kent

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 16:35
photo Zen Technologies

photo Zen Technologies

 

Oct 7, 2014 ASDNews Source : Rockwell Collins

 

NEW DELHI, India (Oct. 7, 2014) - Rockwell Collins and Zen Technologies announced today that the two companies have signed a memorandum of understanding to combine their strengths in simulation and training to offer industry-leading, high fidelity solutions to Indian military customers.

 

Rockwell Collins, based in Cedar Rapids, Iowa, with facilities in Hyderabad and near New Delhi, provides world-class aviation simulation and training products, systems and integration solutions. Zen Technologies, based in Hyderabad, India, specializes in supplying industry-leading ground military simulation and training solutions.

 

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 11:50
Training facility - Military Operations Urban Terrain


19 sept. 2014  Saab AB

 

This is a video produced by Saab and the Swedish Army from the Swedish Land Warfare Centre. The video describes a new Combat Training Center from Saab.

STA MOUT (Training facility - Military Operations Urban Terrain) is a purpose built urban operations training area that contains a generic mix of building types and access roads/paths. Here training troops can train and experience the full spectrum of urban operations from peace keeping to all-out war with the support of personnel from the Land Warfare Centre. The area is made up of 42 buildings containing a total of 958 rooms. The whole complex is instrumented so the movement of troops and their status, together with the simulated effect of direct and indirect fires, can be monitored and recorded to facilitate post exercise After Action Reviews. STA MOUT is the largest of its kind in Sweden and can support up to company level collective training exercises. Instrumented training exercises are also supported by Saab Training & Simulation.

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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 16:55
Préparer l’avenir - Scorpion

 

26 sept. 2014 Armée de Terre

 

L’armée de terre prépare l’avenir, le programme de modernisation des équipements Scorpion se dote d’un système de simulation en zone ouverte. Lors d’une étude tactico-opérationnelle, le 23 septembre, des outils de simulation à réalité augmentée ont permis de présenter les procédés de combats de demain.

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 07:20
Cubic Wins $200M US Army Training Contract

 

August 08, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Cubic Corp.; issued August 06, 2014)

 

Cubic Awarded Major New Contract to Supply Army Mobile Instrumented Training System

           

SAN DIEGO, Calif. –-– Cubic Corporation announced today that it was competitively selected to supply the Army Mobile Instrumented Training System (AMITS) for the U.S. Army Program Executive Office for Simulation, Training and Instrumentation (PEO STRI).

 

The initial award is valued at $12.5 million, and the contract, if fully funded, has a potential value in excess of $200 million. The five-year contract covers a base year and four option years.

 

“Cubic is proud to provide AMITS training equipment to the U.S. Army. This next-generation Homestation Instrumentation Training System (HITS) capability provides the Army with usability enhancements that increase the effectiveness of Homestation Training,” said Dave Schmitz, president of Cubic Defense Systems. “AMITS incorporates automation and ease-of-use features such as intuitive applications and game-based virtual instruction that stimulate user engagement, remove complexity, reduce setup time, and minimize operational and sustainment costs, which translate into increased time available for tactical training.”

 

Under the new contract, Cubic will provide a mobile Training Command Center (TCC) and Mobile Network Nodes (MNNs) as well as instrumentation radios for soldiers and vehicles. AMITS provides a Force-on-Force (FOF) training experience where data is collected, recorded, and used to observe unit performance, monitor safety, teach doctrine, and provide feedback to units through formal After Action Reviews (AARs). The communications architecture supports greater speed, scalability, and improved reliability and coverage for tracking live players.

 

Cubic’s solution draws from its extensive experience integrating and fielding instrumented live combat training systems worldwide. The system is a powerful enabler for the commanders at all levels, battalion and below, to train soldiers. AMITS supports the soldiers’ ability to train, contributes to their units’ readiness, and ultimately their combat effectiveness.

 

 

Cubic Corporation is the parent company of three major business segments. Cubic Defense Systems is a leading provider of realistic combat training systems and secure communications. Mission Support Services is a leading provider of training, operations, maintenance, technical and other support services for the U.S. and allied nations.

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 16:50
QinetiQ wins £33m military simulation contract

 

10 Aug 2014 By Alan Tovey - telegraph.co.uk

 

Defence technology group QinetiQ agrees five-year deal to train soliders and pilots in virtual world

 

Defence and technology company QinetiQ is enabling air force pilots and army commanders to train together in a virtual battlefield – even though they might be thousands of miles apart in real life.

The company has agreed a five-year, £33m deal that will allow airmen and soldiers to practise working together in simulators before being deployed abroad.

The system – at the Air Battlespace Training Centre at RAF Waddington in Lincoln – links together aircraft simulators, ground forces’ control tents and even individual troops so they can train on working in combined operations.

The virtual set-up allows commanders in the simulated headquarters to co-ordinate airstrikes in real-time with troops on the virtual battlefield calling in the jets, which are being flown by pilots in simulators. This means they can learn how to carry out complex procedures and potentially dangerous operations without the risk of harm if they make an error.

 

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 10:23
Eurosatory 2014 - Simulateur Virtual Battle Space 2

 

 

17.06.2014 ministère de la défense

 

A la découverte du Simulateur Virtual Battle Space 2

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 10:22
Eurosatory 2014 -  Système de simulation

 

 

17.06.2014 ministère de la défense

 

Un système de simulation en appui de l'engagement terrestre

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 20:55
Serious game, le sauvetage au combat

 

 

12/06/2014 BCISSA  /  DCSSA - Service de santé des armées

 

Pour assurer la survie du blessé au combat, tout se joue dans les premières minutes. Certains blessés graves peuvent survivre si leurs camarades de combat tout d'abord, puis les auxiliaires sanitaires, les infirmiers et les médecins, appliquent tour à tour des gestes simples de sauvetage au combat, à réaliser parfois sous le feu ennemi.

 

Grâce aux environnements virtuels 3D temps réel, apprendre en pratiquant est devenu simple et permet de mieux retenir les gestes de survie à pratiquer.

 

3D-SC1, serious game, conçu avec l’appui de la Mission innovation participative de la Direction générale de l’armement (DGA), a été créé et supervisé par des réanimateurs de l’hôpital d’instruction des armées Bégin. Fruit de la collaboration entre le SSA et Medusims, une start up leader dans le domaine de la production de serious game médicaux, 3D-SC1 propose de vivre une expérience unique, d’apprendre et de s’entraîner aux gestes qui sauvent au combat.

 

La prochaine diffusion de 3D-SC1 à toutes les unités opérationnelles, complétée dans les prochains mois par la déclinaison de ce serious game pour le SC2 et le SC3,  constituera à terme une base moderne et efficace de l’entrainement par simulation au sauvetage au combat.

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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 07:55
Concours Innovation Simdef 2014


26/04/2014 - SIMDEF


Le SIMDEF 2014 organise son concours annuel portant sur l'innovation. Il s'agira de la deuxième édition de ce concours.

Les candidats nominés présenteront leur projet à l'aide d'un film de 2 minutes lors de la session inaugurale du SimDef 2014 à Eurosatory le mardi 17 juin 2014 à 10h00.

Le lauréat se verra remettre son trophée le jeudi 19 juin à 16h00 sur le village simulation d'Eurostary, lors de la clôture du SimDef 2014.
Le lauréat du concours 2014 sera récompensé par :
Présentation du lauréat et de son projet sur le site du groupe ADIS
Publicité auprès des instances de communication de la DGA et des Armées
Présentation d’une publication au Salon IITSEC2015, avec le soutien du groupe ADIS

Le concours est ouvert à tout organisme (ou individu) ayant développé une application ou un concept innovant dans le monde de ou applicable à la simulation de défense
Industriels, PMEs, Start-Ups
Laboratoires (étatiques ou industriels), centres de recherche, zone R&I de la DGA
Ecoles ou même projets individuels (thèse, mémoire de master...)

Le concours est réservé aux participants Français. Le vote sera ouvert à tous les inscrits au salon EUROSATORY et se fera en utilisant le site internet du SimDef simdef-adis.fr.

Les modalités sont dans l'appel à candidature : Appel à candidatures

 

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 16:55
6e BLB : s’entraîner en économisant

 

 

24/04/2014 Armée de Terre

 

3e édition de l’exercice multi-sites. La 6e brigade légère blindée a fait jouer un exercice grandeur nature sans déployer de troupes sur le terrain. Comment ? En utilisant le système ROMULUS capable de simuler toutes les scènes de combat et de déplacement.

 

Chaque PC régimentaire ainsi que les PC de brigade ont pu s’exercer depuis leur quartier respectifs notamment grâce aux connections de la direction interarmée des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’informations (DIRISI).

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 06:20
L’ARC: après les simulateurs de vol, des simulateurs de tir «Made in Montreal»

L’ARC est en train d’adopter une formule mixte pour l’entraînement annuel au tir à l’arme légère qui combine une familiarisation en ligne et l’entraînement au moyen d’un simulateur de tir à l’arme légère, comme celui-ci. Les personnes qui devront être déployées au cours de l’année s’entraîneront au tir à balles réelles sur un champ de tir avant leur déploiement (Meggitt)

 

10 avril 2014 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

 

Après les simulateurs de vol, les simulateurs de tirs: l’Aviation royale canadienne (ARC) va adopter un nouvel entraînement au tir à l’arme légère grâce à des simulateurs d’entraînement au tir à l’arme légère fabriqués par la division montréalaise de Meggitt Training Systems Canada.

 

L’ARC a acheté des simulateurs d’entraînement au tir à l’arme légère fabriqués par Meggitt Training Systems Canada, entreprise située à Montréal, qui est une entité commerciale de Meggitt PLC, société multinationale spécialisée dans l’aérospatiale et la défense.

Megitt dit être la seule entreprise de systèmes de formation dans le domaine qui fournit des simulateurs pour armes légères.

L’entreprise développe, fabrique, installe et maintient les systèmes de simulation interarmes et aux armes légères ainsi que les simulateurs d’armement correspondants pour des militaires, paramilitaires et organismes de sécurité du monde entier et se spécialise dans l’intégration de produits logiciels et matériels disponibles sur le marché dans des systèmes de formation pratique.

C’est donc Megitt qui installera les simulateurs de l’ARC et se chargera des services de soutien et de la formation des personnes qui feront fonctionner l’équipement.

Grâce à ce projet, les membres de l’ARC auront bientôt l’occasion de s’entraîner au tir à l’arme légère sur des consoles de «jeu» ultramodernes dans toutes les escadres de l’ARC au Canada.

«L’ARC va adopter une formule mixte pour l’entraînement annuel au tir à l’arme légère. Chaque année, nos aviateurs et aviatrices effectueront une séance de familiarisation aux armes en ligne et ils obtiendront ensuite leur qualification annuelle sur un simulateur de tir à l’arme légère. Cependant, les personnes qui devront être déployées pendant l’année feront du tir à balles réelles dans un champ de tir avant leur déploiement», a expliqué dans un article paru sur le site de l’ARC le colonel Colin Keiver, directeur de la simulation et de l’instruction (Air) au quartier général de l’Aviation royale canadienne.

«Ainsi, nous augmenterons le nombre de personnes qui sont entraînées chaque année, nous réduirons les incidences sur l’environnement, et nous diminuerons les coûts globaux sans compromettre la norme de cette instruction essentielle [...] Pour l’ARC, c’est une situation avantageuse à tous points de vue». ajoute le colonel.

Combiner des moyens électroniques, un simulateur et un entraînement à balles réelles pourrait en outre permettre de réaliser de grosses économies.

Une étude de Recherche et Développement pour la Défense Canada (RDDC), qui a examiné plus en détails les éléments de coûts, comme le nombre de personnes suivant l’entraînement, l’alimentation, les munitions et les besoins en transport, a déterminé que, tout en augmentant le nombre de personnes qualifiées, l’ARC pourrait et économiser plus de 1,3 million de dollars par an.

L’amélioration de l’entraînement au tir à l’arme légère a alors débuté avec la création de modèles de simulation pour l’apprentissage virtuel électronique du maniement du fusil C7A2 et du pistolet Browning de 9 mm par NGRAIN, une entreprise de Vancouver.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 07:55
Immersion totale dans cette salle de réalité virtuelle où sont traqués les bugs de conception des navires armés.

Immersion totale dans cette salle de réalité virtuelle où sont traqués les bugs de conception des navires armés.

 

10 avril 2014 Par Patrick Déniel - Usine Digitale

 

 

Adepte de la réalité virtuelle, DCNS pousse le concept dans son programme des frégates FREMM et teste la réalité augmentée en production.

 

Sur l’écran courbe de la salle de réalité virtuelle, le visiteur – chaussé de lunettes 3D – plonge au cœur de la frégate Fremm Aquitaine, premier exemplaire livré par DCNS à la Marine nationale fin 2012. Plage arrière, poste central d’opérations, passerelle de commandement… "Tous les espaces sont passés au crible avec le client, jusqu’à l’emplacement des prises électriques", explique Yann Bouju, le responsable à Lorient des activités de réalité virtuelle et augmentée. Un département qui compte une dizaine de salariés pour l’ensemble du groupe.

 

"Depuis 1997, DCNS conçoit et fabrique ses navires avec des maquettes numériques et de la visualisation 3D. Les tests ont commencé avec le porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle, précise Yann Bouju. Les Fremm et les Barracuda sont les programmes où nous avons poussé la logique le plus avant." Les maquettes numériques sont directement intégrées à Etrave, un système PLM (pour "product life management") mis au point en interne pour les besoins spécifiques de l’entreprise : un navire de guerre ou un sous-marin sont complexes à fabriquer avec un nombre de composants qui dépasse le million. En amont de la construction, la maquette numérique permet de vérifier la faisabilité et sert aux études préliminaires avec le client. "Nous travaillons en amont sur la définition et l’ergonomie des postes de travail, précise Yann Bouju. La morphologie d’un marin malaisien n’a rien à voir avec celle d’un marin français. Nous devons adapter les postes." Lors des études détaillées, la réalité virtuelle permet de "dérisquer" bien des bugs. Par exemple, impossible sur la frégate Aquitaine de vérifier de visu, depuis la passerelle de commande, le flanc arrière du navire où ont lieu des opérations importantes comme la mise à l’eau de Zodiac pour intervention. "Nous avons alors ajouté un aileron sur le côté de la passerelle", explique Yann Bouju.

 

Une excellente rentabilité

 

À côté de la première salle de réalité virtuelle, une seconde salle, dite de "tracking", est dédiée à des réunions de travail plus appliqué : une fois équipé de lunettes surmontées de drôles de petites antennes et armé d’une sorte de joystick, on peut manipuler la maquette numérique dans tous les sens. Cherbourg et Toulon sont équipés de salles identiques. "Nous avons aussi un 'cave' depuis un an et demi à Cherbourg, avec trois écrans permettant une plus grande immersion", explique Yann Bouju. Cette salle est à proximité du montage des sous-marins nucléaires Barracuda. "Les équipes de montage vont y vérifier le matin la faisabilité des opérations de la journée", poursuit-il. L’investissement est important, mais DCNS ne communique aucun chiffre. Tout juste saura-t-on que sa rentabilité est excellente, notamment grâce aux économies sur les reprises en chantier.

 

DCNS teste également des dispositifs de réalité augmentée sur la sixième Fremm en construction. Sur un quai, un tronçon de navire. Dans la future buanderie, Brendan Le Gallo, analyste métiers, transporte une valise baptisée Rapace. À l’intérieur, un rétroprojecteur couplé à une caméra, tous deux reliés à un ordinateur portable. Celui-ci charge la maquette numérique et projette dans la pièce le plan de la buanderie afin de regarder si les pièces soudées sur les cloisons sont au bon endroit. La plupart le sont. L’une d’entre elles est décalée de quelques centimètres. "Lors de l’inspection du chantier, le responsable de la production décidera s’il faut la déplacer ou si on peut la laisser en l’état. Si c’est le cas, l’idéal serait de pouvoir modifier ensuite la maquette virtuelle", explique l’analyste métiers. Ce sera peut-être l’une des prochaines étapes. Après celle de convaincre les chefs d’équipe que l’outil fait gagner du temps. "C’est le même mouvement que nous avons opéré quand nous sommes passés de la table à dessin à la CAO", se souvient Yann Bouju. Une petite révolution.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 07:55
Préparation opérationnelle- EIC NEB SIMU

 

 

10/04/2014 CNE A. Philibert - Armée de Terre

 

Déployés progressivement depuis 2011, les espaces d’instruction collective à la numérisation de l’espace de bataille assistés par la simulation (EIC NEB SIMU) doivent équiper tous les régiments de l’armée de Terre d’ici la fin de l’année 2016. Les chefs de section et les chefs de groupe en constituent le cœur de cible.

 

La fréquence des projections alliée à une disponibilité limitée des parcs et aux contraintes de disponibilité des espaces d’entraînement, a conduit l’armée de Terre à adapter ses méthodes de PO. Si la simulation ne remplace jamais l’entraînement réel, elle concourt de manière cruciale au maintien du niveau opérationnel. « Le régiment en fait un usage régulier. Ce type d’outil est incontournable aujourd’hui. Il nous permet, entre autres, de perfectionner l’acquisition des procédures radio, indispensables dans la cavalerie. N’ayant qu’un seul réseau, tout doit être clair, précis et fluide », explique le capitaine Rousseaux, officier adjoint  au 2e escadron du 12e régiment de cuirassiers (12e RC). Les EIC NEB SIMU visent à appuyer l’entraînement, y compris interarmes, au sein même des garnisons. Ils s’articulent aujourd’hui autour de plusieurs logiciels de simulation comme Romulus, qui peut être connecté à la NEB. Instinct et Operation french point1, pour l’entraînement du niveau du combattant à celui de chef de groupe, sont tous deux issus de l’univers des jeux vidéo. La mise en réseau permettra progressivement, de relier les autres outils disponibles dans les corps, aux EIC : cabines dédiées, simulateurs de tir, etc.

 

Les maîtres de simulation et de NEB sont capables de créer un exercice de formation sur mesure, en deux jours seulement, adapté aux objectifs à atteindre, quel que soit l’effectif disponible. La simulation s’inscrit ainsi dans le parcours de PO, comme pour le 2e escadron du 12e RC qui, dans le cadre de la prise d’alerte Guépard, doit effectuer une rotation au CENTAC en septembre prochain. À l’horizon 2018, avec l’arrivée du programme Scorpion, chaque engin deviendra une plateforme de simulation virtuelle connectée au réseau, facilitant davantage l’entraînement des forces au sein même des garnisons.

 

Spartacus

 

Livré dans l’année 2014, Spartacus est un entraîneur tactique, permettant aux chefs de section, chefs de groupe et combattants de répéter leurs procédures opérationnelles. Dérivé d’un jeu vidéo, il a été spécialement adapté pour une utilisation militaire. Les effets des différents systèmes d’armes et les comportements des acteurs y sont restitués de façon réaliste pour mieux atteindre les objectifs pédagogiques adaptés à chaque unité. À terme, la mise en réseau de plusieurs sites rendra possible un entraînement interarmes.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 15:55
Préparation opérationnelle-Les évolutions - Crédits : ADC Drahi

Préparation opérationnelle-Les évolutions - Crédits : ADC Drahi

 

08/04/2014 CNE A. Philibert - Armée de Terre

 

Si l’acquisition des savoir-faire fondamentaux demeure le socle commun à toutes les unités, la diversité et la complexité des projections conduisent à une évolution de la préparation opérationnelle. Les régiments pourront accroître l’efficacité de leur entraînement avec la création de nouveaux espaces et l’arrivée de nouveaux moyens. Le schéma est spécifique en fonction de la mission et intègre l’emploi de la simulation.

 

Le déclenchement de l’opération SERVAL au Mali et de l’opération SANGARIS en RCA a confirmé la nécessité de maintenir un haut niveau de préparation opérationnelle (PO), pour garantir la capacité de l’armée de Terre à répondre au contrat opérationnel fixé par l’état-major des armées. Ce contrat découlant du Livre blanc ne remet pas en cause la politique générale de PO existante. Mais l’environnement reste soumis à des contraintes financières et matérielles fortes. Les modalités de mise en œuvre de la PO doivent être adaptées à ce contexte. Le principe de différenciation est confirmé, afin de former le personnel au juste niveau exigé par la mission qui lui est confiée et à temps avant sa projection. La loi de programmation militaire 2014-2019 implique de faire au mieux avec davantage les moyens dédiés à la PO (espaces d’entraînement, simulation, parcs d’équipements, etc.). Le maintien de l’équilibre général de la PO impose de consolider les outils existants.

 

La préparation opérationnelle décentralisée1 (POD) et la mise en condition avant projection (MCP) demeureront l’effort de l’armée de Terre, en vue de répondre au triple besoin qui ressort des opérations récentes :

    le haut niveau d’aguerrissement et de maîtrise des savoir-faire fondamentaux individuels et collectifs ;

    la forte cohésion des chaînes de commandement et la capacité à agréger des unités de circonstances, répondant à la variété des engagements ;

    une capacité élevée d’intégration interarmes, voire interarmées, à tous les niveaux.

 

Les forces terrestres de demain

    66 000 hommes projetables environ ;

    7 brigades interarmes ;

    200 chars lourds et 250 chars médians ;

    2 700 véhicules blindés multirôles et de combat ;

    140 hélicoptères de reconnaissance et d’attaque ;

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 07:50
DFWES - photo  Richard Taylor

DFWES - photo Richard Taylor

 

March 31 By Richard Tomkins (UPI)

 

A direct fire weapons effect simulator used by British forces is to continue to receive support from Saab under a $33.8 million contract.

 

Swedish defense company Saab says it has received a new contract to continue support and service of a simulator system used by the British Army.

 

The simulator is the Direct Fire Weapon Effects Simulator System.

 

The DFWES is a laser-based tactical engagement system for vehicles and anti-tank weapons to simulate the effect of weapon engagements that enables realistic and challenging training. It is used in force-on-force exercises in Britain and Canada, as well as in Germany.

 

Saab has supplied and operationally supported the system since 1994, the company said.

 

“This new contract, extending the use of the capability, is proof of the strong relationship between Saab and the British Army, and a renewal of our commitment as a highly trusted overall training provider to a leading military customer,” said Henrik Hojer, vice president and managing director of Saab’s training and simulation business.

 

The contract from Britain’s Ministry of Defense is worth about $33.8 million. The performance period of the contract was not disclosed.

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 16:55
Crédits Armée de Terre

Crédits Armée de Terre

 

26/03/2014 J. SEVERIN - Armée de Terre

 

L’École militaire de Saumur a organisé en son sein le forum SIMOPS consacré aux outils de simulation opérationnelle.

 

Simulation aux tirs, à l’aviation… de nombreux outils étaient présentés lors de ce forum. Pourquoi ? Parce que la simulation est une étape cruciale dans l’entraînement des militaires, notamment lors de leurs préparations pour les opérations sur les théâtres extérieurs. Il s’agit du premier pas du soldat vers le terrain, il est donc indispensable de rendre ces outils les plus réalistes possible. Le forum a également permis aux concepteurs et aux utilisateurs d’échanger sur les futures améliorations qui seront apportées aux machines.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 18:50
Kongsberg Has Signed A Contract for Upgrade of the Royal Norwegian Navy’s (RNoN) Proteus Simulator Infrastructure

 

 

March 12, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Kongsberg; issued March 12, 2014)

 

The contract scope includes infrastructure upgrades and migration to a common PROTEUS simulation core for all the RNoN’s Kongsberg delivered simulators, new visual image generation, a generic HLA Evolved interface enabling further simulator participation in joint collaborative exercises and a new PROTEUS map centric instructor station.

 

The contract has a value of 49 MNOK and will be delivered to the RNoN training establishment KNM Tordenskjold at Haakonsvern naval base in 2016.

 

"This contract is the result of Kongsberg’s long and proven relationship with RNoN. RNoN’s decision to further upgrade and improve its PROTEUS based simulator infrastructure strengthens our position as supplier of simulator systems, and in this context this is a very important reference contract for Kongsberg", says Executive Vice President Leiv Inge Steig in Kongsberg Defence Systems.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:55
ECA annonce la vente de simulateurs terrestres de défense à l’international

 

Toulon, le 16 janvier 2014 ECA

 

ECA annonce la vente à l’export, au travers de sa filiale ECA FAROS, de simulateurs d’entraînement pour véhicules terrestres de défense. Cette commande d’un montant significatif pour le groupe sera comptabilisée sur plusieurs exercices. Ajoutée aux autres commandes du mois, elle permet à ECA d’afficher sa meilleure prise de commande historique mensuelle en simulation.

 

Ces simulateurs 6 axes haut de gamme sont mis en réseau et permettent d’entraîner les personnels pour des missions collaboratives sur un théâtre d’opération, une supervision permettant de vérifier le bon déroulement de la mission simulée.

 

ECA était déjà présent dans la simulation de défense pour le domaine naval. Une commande de plusieurs millions d’euros a d’ailleurs déjà été enregistrée en Asie dans ce secteur mi-2013.

 

Cette nouvelle commande de simulateurs pour la défense terrestre a été obtenue en combinant les compétences en simulation de conduite de véhicules d’ECA FAROS et les compétences Défense du groupe.

 

Le marché annuel mondial pour des simulateurs terrestres de défense comparables est supérieur à 50 millions d’euros. ECA vise à devenir un acteur majeur de ce marché.

 

A propos d’ECA

Leader dans la protection des vies humaines par la robotique, la simulation et les systèmes de contrôle et de sécurité, le Groupe ECA a acquis des positions de leader dans des applications dédiées aux «milieux hostiles et contraints », des marchés de niche à fort contenu technologique et aux cycles complémentaires tels que la défense, la Sécurité Intérieure, le Nucléaire, l’Offshore ou l’Aéronautique. A la pointe de l’innovation, ECA est le N°1 mondial dans la robotique de déminage sous -marin avec 70% du parc installé et le N°1 français pour la robotique terrestre et les systèmes d’assemblage (aéronautique).

En 2012, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 98,8 M€ qui se répartit ainsi :

Défense/Robotique (50,3%): robots d’identification et de destruction de mines, robots autonomes de détection/cartographie, drones de surface, simulateurs navals, robots terrestres, systèmes de contrôle pour les navires, etc. ;

Civil/Aéronautique (49,7%): Systèmes de contrôle/sécurité et simulateurs d’entraînement pour l’Aéronautique, simulateurs terrestres, etc.

Retrouvez l’ensemble de notre communication financière sur www.ecagroup.com

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 12:20
Cubic Wins Contract with the USMC for New Weapons Simulation Capabilities

 

Oct 31, 2013 ASDNews Source : Cubic Corporation

 

Cubic Corporation’s (NYSE: CUB), San Diego-based Cubic Defense Systems announced today it was awarded a contract in excess of $10 million from the U.S. Marine Corps to supply weapon instrumentation that will integrate into the Instrumented-Tactical Engagement Simulation System (I-TESS II). 

 

Cubic will support the design, development, integration, ruggedized prototype, testing and effectiveness evaluation of enhancements to the squad immersive training environment (SITE) and the integration with I-TESS II.

 

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