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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:35
La Chine entraîne des casques bleus étrangers

 

 

2014-06-16 xinhua

 

Le ministère chinois de la Défense nationale et le Département des opérations de maintien de la paix de l'ONU ont commencé lundi une session d'entraînement de 12 jours pour des casques bleus venus de 18 pays.

 

Les 33 personnes prenant part à cet entraînement comprennent dix Chinois et des officiers venus d'Inde, du Pakistan, de Malaisie, de République de Corée et d'autres pays d'Asie.

 

L'un des sept formateurs est un expert médical de l'Armée populaire de libération (APL, armée chinoise). La session d'entraînement se tient une ou deux fois par an dans d'importantes installations de maintien de la paix à travers le monde et utilisent les critères et modules les plus récents.

 

La Chine a organisé trois sessions avec l'ONU au cours des quatre dernières années.

 

Un responsable du bureau de maintien de la paix du ministère chinois de la Défense nationale a indiqué que la Chine avait établi un système d'entraînement relativement complet pour les casques bleus.

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:35
Un satellite espion pour mieux observer la Corée du Nord

 

SEOUL, 11 juin (Yonhap)

 

La Corée du Sud va construire un satellite espion utilisant des technologies développées localement pour mieux pouvoir observer la Corée du Nord, a indiqué ce mercredi l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA).

 

Le développement du satellite, qui sera capable de récolter des renseignements par imagerie sur la péninsule coréenne et dans la région, débutera l’année prochaine.

 

Cinq satellites seront déployés d’ici 2022, selon la DAPA, pour un budget d’environ 1.000 milliards de wons (983 millions de dollars). Ce projet s’inscrit dans le plan de réforme de la défense 2014-2030, selon lequel le pays doit se doter de cinq satellites d’ici 2022 pour surveiller la Corée du Nord.

 

«En plus de son rôle militaire, le nouveau satellite devrait aider à prédire et à mieux gérer les désastres naturels», a déclaré à des journalistes le porte-parole de la DAPA Baek Yoon-hyung.

 

Le gouvernement a également approuvé aujourd’hui le développement de missiles sol-air de longue portée (L-SAM), utilisant des technologies locales. Le système L-SAM, capable d’intercepter des missiles volant à 40km d’altitude ou plus, protégera le pays des missiles balistiques nord-coréens en phase terminale.

 

Le développement du système devrait s’achever vers 2018 et devrait entrer en production en 2023, selon la DAPA. Le budget alloué à ce projet est de 1.000 milliards de wons.

 

«Le L-SAM devrait grandement accroître la capacité de la Défense balistique et aérienne coréenne (KAMD) en nous donnant un système à plusieurs niveaux», a déclaré Baek.

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 07:35
La frégate de surveillance Prairial à l’heure coréenne

 

 

04/06/2014 Marine nationale

 

Le 28 mai dernier, la Frégate de surveillance (FS) Prairial a fait escale à Busan, deuxième agglomération de Corée du Sud. Malgré un contexte tendu suite au récent naufrage du paquebot Sewol [1], cette escale a permis aux deux marines de multiplier les échanges et les coopérations.

 

Les entraînements avec la Marine sud-coréenne, à quai comme en mer, ont été nombreux. Pourtant, les sud-coréens comptaient un nombre limité de bâtiments sur place, la plupart étant en patrouille à proximité de la North Limit Line, zone de démarcation maritime où les deux Corées s’observent de près à l’Ouest.

 

Quant au commandant du Prairial, il s’est entretenu avec le vice-admiral Jung Ho-Sub, commandant de la Flotte de République de Corée (Rokfleet), puis avec son adjoint le rear-admiral Youn Jeong-Sang.

 

Une délégation de marins coréens est également venue à bord afin d'améliorer leur connaissance en sécurité/sauvetage suite au naufrage du Sewol. Cette délégation a été particulièrement attentive aux moyens employés par la Marine, notamment dans la démagnétisation, les gilets de sauvetage, les radeaux, l’éclairage de secours, les moyens d'épontillage hydraulique ou les plans d'attaque.

 

La frégate Busan, bâtiment hôte et le Prairial ont réalisé un exercice le jour du départ, qui a notamment permis des visites croisés. Les équipes de visite française et coréenne ont échangé sur leurs procédures respectives de lutte contre le narcotrafic en mer.

 

Une délégation de marins français s’est également rendue sur la zone démilitarisée à la frontière nord-coréenne (DMZ). Après avoir pénétré dans la Joint Security Area(JSA), sous contrôle de l’United Nations Command (UNC), ils ont pu se rendre près de la ligne de passage de la frontière entre les deux  Corées où se situent les bâtiments de négociations de l’UNC. La délégation de marins français n’a en revanche pas pu pénétrer dans le bâtiment de la Military Armistice Commission (MAC), où a été signé l’armistice il y a 61 ans, situé à cheval sur la frontière.

 

Autre temps fort de cette escale en Corée du Sud, la cérémonie de commémoration survenue le 28 mai au cimetière de l’ONU de Busan. Une cérémonie militaire durant laquelle la délégation du Prairial est venue rendre hommage aux 44 soldats français tombés pendant la guerre de Corée.

 

Rappelons également que la France a été l’une des 16 nations engagées aux côtés des troupes combattantes pendant la guerre de Corée, et que notre pays continue de soutenir l’UNC, notamment à travers des exercices annuels d’état-major auxquels participent d’ailleurs des officiers des Forces Armées en Polynésie Française (FAPF), ou lors de passages annuels de bâtiments français en Corée et au Japon.

 

[1] : Ferry sud-coréen de la Cheonghaejin Marine Company, le Sewol a fait naufrage le 16 avril 2014 au large de l'île de Jindo, provoquant la mort de plus de 300 personnes sur les 476 passagers.

La frégate de surveillance Prairial à l’heure coréenne
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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 07:35
Park nomme le ministre de la Défense Kim Kwan-jin au poste de conseiller à la sécurité

Han Min-koo (à gauche) et Kim Kwan-jin en 2011 (Photo d`archives Yonhap)

 

SEOUL, 01 juin (Yonhap)

 

La présidente Park Geun-hye a nommé ce dimanche le ministre de la Défense Kim Kwan-jin au poste de conseiller à la sécurité nationale, a annoncé le porte-parole de la présidence Min Kyung-wook.

 

Park a également nommé Han Min-koo, l’ancien chef du Comité des chefs d’état-major interarmées (JCS), au poste de ministre de la Défense. Kim remplira les deux fonctions jusqu’à ce que la nomination d’Han soit approuvée par le Parlement.

 

Kim Jang-soo, l’ancien conseiller à la sécurité nationale, avait été forcé de démissionner il y a dix jours pour ses remarques sur le naufrage du Sewol. Il avait notamment dit que son bureau n’était pas la «tour de contrôle» des désastres et avait rejeté toute responsabilité dans la gestion de la tragédie.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 16:35
Une réunion des ministres de la Défense sud-coréen, américain et japonais devrait se tenir ce mois-ci

Réunion trilatérale entre les ministres de la Défense de la Corée du Sud, des Etats-Unis et du Japon en 2013

 

SEOUL, 11 mai (Yonhap)

 

Les ministres de la Défense de la Corée du Sud, des Etats-Unis et du Japon devraient organiser une réunion à la fin de ce mois-ci pour discuter de la coopération face à l'éventuel quatrième essai nucléaire nord-coréen, a déclaré ce dimanche un officiel du ministère de la Défense.

 

«Habituellement, la réunion trilatérale entre les ministres de la Défense de la Corée du Sud, des Etats-Unis et du Japon se déroule annuellement en marge du sommet sur la sécurité en Asie et, compte tenu de la possibilité d'un quatrième essai nucléaire de la Corée du Nord, la réunion tripartite devrait se dérouler également cette année», a déclaré l'officiel en ajoutant que les principaux sujets qui seront abordés lors de la réunion n'ont pas encore fait l'objet de discussions.

 

Bien que les sujets n'aient pas encore été décidés, les officiels ont déclaré que la coopération concernant les problèmes nucléaires nord-coréens sera le principal sujet de la réunion tripartite. Sur la possibilité d'une discussion sur la conclusion d'un protocole d'entente sur le partage d'informations militaires entre les trois nations, l'officiel du ministère de la Défense a dit que cela n'était pas encore clair.

 

Le ministre de la Défense Kim Kwan-jin participera au 13e sommet sur la sécurité en Asie, le Dialogue Shangri-La, qui se déroulera à Singapour du 30 mai au 1er juin. Le gouvernement essaye également d'organiser des rencontres en tête-à-tête avec le secrétaire à la Défense américain Chuck Hagel et le ministre de la Défense chinois Chang Wanquan durant le sommet.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 16:35
Drones nord-coréens : Pyongyang nie à nouveau tout en bloc

 

SEOUL, 11 mai (Yonhap)

 

Le gouvernement nord-coréen a une nouvelle fois nié complètement ce dimanche son implication dans le déploiement de trois petits drones qui ont été retrouvés écrasés près de la frontière intercoréenne et a demandé également, encore une fois, l’ouverture d’une enquête conjointe.

 

En se basant sur une analyse de données GPS, le ministère de la Défense de Séoul avait récemment conclu que les drones ont été envoyés de la Corée du Nord. Une équipe d’experts sud-coréens et américains ont déterminé que les points de départ et d’arrivée de ces drones se trouvaient au nord de la frontière, avait dit l’armée du Sud.

 

Un drone a été ramassé à Paju, au nord de Séoul, le 24 mars et un autre sur une île en mer Jaune une semaine plus tard. Le troisième a été trouvé dans une montagne de la côte est le 6 avril. Le régime communiste a toujours nié catégoriquement toute implication dans ces incursions et ce depuis les premiers pas de l’enquête du Sud.

 

«Ils veulent nous forcer à croire aux faux drones», a dit un porte-parole non identifié du groupe d’inspection de la puissante Commission de défense nationale du Nord dans un communiqué de presse relayé par l’Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA). «C’est mieux de croire aux fantômes invisibles», a ajouté le communiqué rédigé en anglais.

 

Pyongyang est allé jusqu’à accuser l’administration Park Geun-hye d’avoir monté de toute pièce cette «affaire de drones» pour tenter de se sortir de la crise causée par le naufrage du Sewol du 16 avril dernier. Séoul cherche aussi à «faire plaisir à son maître américain en créant une confrontation» avec Pyongyang, a poursuivi le papier.

 

«Les autorités sud-coréennes doivent accepter sans aucune plainte la proposition faite par la RPDC (République populaire démocratique de Corée) de mener une enquête conjointe sur l’affaire des drones» avant de répandre de fausses rumeurs sur le Nord, a souligné le communiqué.

 

Le lancement d’une enquête conjointe avait déjà été demandé par Pyongyang, le 14 avril, proposition que le gouvernement sud-coréen continue de rejeter.

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6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 11:35
Obama en Asie - Pivot, retrait ou absence de stratégie? TRIBUNE de Dominique Moïsi - Ifri

 

02 mai 2014 Tout un monde

 

3695015936_2.jpgQuatre pays : le Japon, la Corée du Sud, la Malaisie, les Philippines. Deux thématiques : le commerce et la sécurité. Trois objectifs : intégrer davantage l’Asie dans l’économie mondiale, réaffirmer la présence américaine et donc rassurer les pays visités face aux ambitions grandissantes de la Chine, et faire tout cela en maintenant un dialogue privilégié avec Pékin, même si le président américain n’a pas eu d’étape chinoise dans son voyage. Il y avait enfin un objectif non déclaré, mais néanmoins important : parfaire l’isolement international de Moscou.

 

*Dominique Moïsi est conseiller spécial à l'IFRI

 

   Le voyage de Barack Obama en Asie – qui n’a pas eu toute la couverture médiatique qu’il méritait, pris entre la crise Ukrainienne et la double béatification de Jean XXIII et Jean Paul II – s’est achevé lundi avec un bilan en demi-teinte. Le président américain a, certes, décliné les objectifs de sa  «grande stratégie » en Asie, continent qu’il a désigné comme le « pivot » de son action extérieure. Mais a-t-il les moyens humains et politiques de ses ambitions ?

 

   Il n’y a pas autour de lui de grands spécialistes de l’Asie. Un stratège à la Kissinger fait défaut, les experts sont ternes. Sur le plan politique, Démocrates comme Républicains ne partagent pas  l’enthousiasme libre-échangiste de l’exécutif. De même, ils ne souhaitent pas augmenter leur aide militaire au continent asiatique.

 

   Ainsi, les dirigeants asiatiques – à l’exception des Chinois qui les voudraient moins présents– soupçonnent-ils l’Amérique d’être dans une posture de retrait et non d’engagement. « Pourquoi ferions-nous des concessions en matière de commerce si vous n’allez pas nous soutenir de manière plus sérieuse en terme de sécurité ? » Certes, Washington a pris, de manière très nuancée, une position plus favorable à Tokyo qu’à Pékin sur la question des îles contestées par les deux pays. Mais cela suffira-t-il à rassurer les Japonais ?

 

Suite de la tribune

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 11:35
Défense : mise à jour du système anti-aérien sud-coréen d’ici 2020

 

SEOUL, 28 avr. (Yonhap)

 

L’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA) a approuvé ce lundi la mise à niveau du système anti-aérien PAC-2 et l’acquisition de missiles PAC-3 d’ici 2020 pour mieux pouvoir répondre à la menace nord-coréenne.

 

La Corée du Sud possède actuellement 48 missiles PAC-2 importés d’Allemagne. Le système de commande de tir PAC-2 sera mis à jour entre 2014 et 2020 pour qu’il puisse tirer des missiles PAC-2 et PAC-3. L’entreprise américaine du domaine de la défense Raytheon devrait être chargée de la tâche.

 

La DAPA acquerra également des missiles PAC-3 fabriqués par Lockheed Martin entre 2016 et 2020. «Le système patriot est l’arme principale du KAMD (le système de défense anti-aérien et antibalistique sud-coréen) pour contrer les missiles balistiques de la Corée du Nord. Une fois la mise à jour effectuée, nous devrions pouvoir minimiser les dégâts causés par les missiles au sol», a déclaré le porte-parole de la DAPA Baek Young-hyeong lors d’un point de presse.

 

La DAPA lancera un appel d’offres pour la mise à jour de son système patriot en juin et compte signer un accord en novembre. Elle espère signer un accord pour l’achat des missiles PAC-3 dans l’année. La DAPA dispose d’un budget de 1,3 milliard de dollars pour ce projet.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:35
Ueli Maurer justifie la formation d'officiers nord-coréens à Genève

 

25.04.2014 24heures.ch (ats/Newsnet)

 

Le ministre de la Défense Ueli Maurer a justifié vendredi soir la formation militaire d'officiers nord-coréens à Genève. Cela leur permet de rencontrer des Sud-Coréens, a-t-il dit dans l'émission «10vor10».

 

La Suisse est un pays neutre, idéal pour accueillir de tels cours, a ajouté le conseiller fédéral. «Je trouve que c'est une des meilleures mesures que nous prenons. C'est précisément quand on a des doutes sur la Corée du Nord qu'il faut l'intégrer et non l'exclure», a-t-il déclaré dans l'émission «10vor10» de la télévision alémanique SRF et sur le site Internet de cette dernière.

 

Ces rencontres permettent aux intéressés d'élargir leur horizon et améliorent la compréhension dans cette région, a encore estimé M. Maurer. Jeudi, la RTS avait révélé que huit officiers du régime communiste nord-coréen ont reçu une aide fédérale pour suivre des cours en Suisse. Plus de 150'000 francs ont été débloqués à cet effet depuis 2011.

 

Les officiers ont assisté au cours sur la sécurité internationale du Centre de politique de sécurité de Genève. Deux d'entre eux étudient actuellement dans ce centre.

 

Les participants analysent les enjeux contemporains de la sécurité dans le monde, comme les armes de destruction massive, le terrorisme ou les violations des droits humains. La crise ukrainienne et les révolutions arabes sont aussi étudiées, notamment sous l' "angle du rôle des forces armées ou des perspectives de démocratisation".

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35
L`avion d`entraînements supersonique T-50 (Photo KAI)

L`avion d`entraînements supersonique T-50 (Photo KAI)

 

SEOUL, 14 avr. (Yonhap)

 

Le Service des douanes coréennes (KCS) a imposé 10,5 milliards de wons (10,1 millions de dollars) de droits de douane punitives à Korea Aerospace Industries (KAI) pour avoir violé les règles sur le pays d'origine pour des composants importés des Etats-Unis pour l'avion d'entraînements supersonique T-50, ont déclaré ce lundi des sources industrielles.

 

Les sources ont fait savoir que le logiciel avionique et l'équipement de test au sol achetés par KAI à Lockheed Martin n'ont pas satisfaits les directives d'exonération de frais de douane exposées dans l'accord de libre-échange Corée du Sud-Etats-Unis, entré en vigueur en mars 2012.

 

KAI a importé pour plus de 100 millions de wons de pièces détachées de son partenaire américain en juillet 2012. Le KCS a dit avoir vérifié les pièces et matériaux composant l’équipement et découvert qu’ils ne répondent pas aux exigences. KAI a dit avoir déjà payé les droits demandés en raison d’un manque de temps pour expliquer la situation aux autorités.

 

«Le KCS nous a donné un mois, mais cela n'est pas suffisant pour obtenir des données afin de prouver que les pièces utilisées dans l'équipement ont été conformes aux règles du pays d'origine de l'ALE Corée du Sud-Etats-Unis», a dit une source de KAI. Une fois les données collectées, ils les soumettront aux autorités pour que la société puisse obtenir un remboursement. KAI a déclaré que les pièces citées ne peuvent que provenir des Etats-Unis.

 

La société aérospatiale a développé le T-50 en coopération avec Lockheed Martin, qui a investi 13% du projet de 2.000 milliards de wons. Le gouvernement sud-coréen a investi 70% et 17% ont été injectés par KAI dans le projet entre 1997 et 2006.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 11:35
L’USFK dévoile comment seront employées les contributions de Séoul au fonds de défense

 

 

SEOUL, 10 avr. (Yonhap)

 

Le commandement des Forces américaines en Corée du Sud (USFK) a dévoilé en mars comment seront employées les contributions inutilisées de Séoul au fonds de défense, a-t-on appris ce mardi dans un rapport du ministère de la Défense.

 

Ces contributions inutilisées s’élèvent à 621 milliards de wons (598,7 millions de dollars). L’opposition refuse pour cette raison de ratifier l’Accord des mesures spéciales (SMA) qui traite du maintien des 28.500 soldats américains présents dans le pays et notamment du partage de la charge financière que cela représente.

 

Selon la feuille de route soumise par l’USFK, ces fonds seront utilisés pour financer le déménagement des troupes américaines du district Yongsan, au centre de Séoul, à la ville de Pyeongtaek, située à environ 70km au sud de Séoul. Plus précisément, la majorité de cet argent servira à financer l’installation de systèmes d’approvisionnement en eau et de drainage et servira également à construire la nouvelle base militaire.

 

Il s’agit de la première fois que l’USFK dévoile son plan de dépenses depuis la signature du SMA en 1991.

 

Le nouvel SMA est bloqué à l’Assemblée nationale depuis février à cause de l’opposition des députés libéraux. Séoul et Washington ont signé ce nouvel accord en janvier, dans le cadre duquel la Corée du Sud devra payer près de 1.000 milliards de wons par an pendant cinq ans, à compter de 2014, pour le maintien des troupes américaines sur son territoire.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 16:35
South Korea, US To Hold Largest-Ever Joint Air Drill

An F-16 Fighting Falcon takes off for a Max Thunder sortie Nov. 5 at Kunsan Air Base, South Korea. (US Air Force)

 

Apr. 10, 2014 – Defense news (AFP)

 

SEOUL — South Korea’s military said Thursday it would hold its largest-ever joint air drill with the United States as tensions mount over a series of threats from North Korea.

 

The twice-yearly Max Thunder exercise — to be held from Friday to April 25 — will be the largest-ever involving 103 aircraft and 1,400 troops, the air force said.

 

Seoul’s F-15K jet fighters will take part along with US Air Force F-15 and F-16s and US Marines’ FA-18 and EA-18 aircraft, it said in a statement.

 

“The combined air forces will strengthen their battle readiness under the current situation when tension rises over the Korean peninsula,” it said.

 

The exercise will focus on “practical scenarios” involving precision attacks on enemies or supply drop missions for troops infiltrating enemy territory, it said.

 

Separately, the allies are also holding annual Key Resolve and Foal Eagle exercises which last from late February to April 18.

 

North Korea has slammed the drills as a rehearsal for invasion. In a pointed protest, Pyongyang has launched a series of rockets and missiles in recent weeks, capped by its first mid-range missile test since 2009 on March 26.

 

The two Koreas also traded fire across the tense Yellow Sea border on March 31, after the North dropped some 100 shells across the border during a live-fire drill, prompting the South to fire back.

 

The rare exchange of fire came a day after the North warned that it might carry out a “new” form of nuclear test — a possible reference to a uranium-based device or a miniaturized warhead small enough to fit on a ballistic missile.

 

South Korean President Park Geun-Hye this week called for tighter vigilance against the North, days after its leader Kim Jong-Un warned of a “very grave situation” on the peninsula.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 11:35
Début vendredi d'un exercice de défense aérienne de grande envergure avec les Etats-Unis

 

SEOUL, 10 avr. (Yonhap)

 

La Corée du Sud et les Etats-Unis lanceront cette semaine un exercice de défense aérienne, le plus important jamais entrepris, pour renforcer leurs capacités à travailler ensemble dans des situations de guerre, a annoncé ce jeudi l’armée de l’air sud-coréenne dans un communiqué.

 

L’exercice annuel Max Thunder se déroulera durant deux semaines, du 11 au 25 avril. Il impliquera une centaine d’avions de guerre dont une flotte d’avions de chasse F-15K et KF-16 ainsi que des avions de surveillance américains AWACS. Environ 1.400 pilotes des deux pays seront mobilisés sur l’ensemble de l’espace aérien de la Corée du Sud pour cet exercice.

 

«Les forces aériennes des alliés vont renforcer leurs préparations conjointes au combat à travers un entraînement réaliste, à l’heure où les tensions sur la péninsule coréenne sont fortes», a déclaré un responsable de l’armée de l’air.

 

Les missions d’entraînement comprendront des simulations de combats aériens avec quatre à huit avions de chasse et de neutralisation du système de défense aérienne de l’ennemi en cas de guerre totale.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 11:35
Séoul : la Corée du Nord a envoyé les drones pour espionner

L`Agence pour le développement de la défense (ADD) dévoile aux médias les drones nord-coréens qui ont été récemment retrouvés sur le territoire sud-coréen.

 

SEOUL/DAEJEON, 11 avr. (Yonhap)

 

La Corée du Sud a déclaré ce vendredi que les trois drones découverts près de la frontière intercoréenne ont été fabriqués et envoyés par la Corée du Nord pour espionner.

 

L'armée a ramassé les trois drones dans différentes zones près de la frontière intercoréenne depuis fin mars, suscitant de fortes inquiétudes sur les failles de la défense aérienne de la Corée du Sud alors qu'un d'entre eux a pris des photos du palais présidentiel et d’installations militaires importantes du pays.

 

Le ministère de la Défense a annoncé officiellement le résultat préliminaire de l'enquête, 18 jours après la découverte du premier drone, en indiquant que Pyongyang est à l’origine de l’infiltration de ces drones en Corée du Sud,

 

Le premier drone a été retrouvé à Paju le 24 mars, juste au sud de la zone démilitarisée séparant les deux Corées, et une autre a été ramassé sur l'île de Baengnyeong durant les exercices de tirs du Nord près de la frontière en mer Jaune le 31 mars. Le 6 avril, l'armée a révélé le troisième drone, similaire aux deux autres drones, qu’une personne a retrouvé dans une montagne à Samcheok, sur la côte est, en octobre 2013.

 

Bien que les trois drones aient été découverts dans des régions différentes, tous sont de couleur bleu ciel, qui rappelle des produits volants dévoilés durant les parades militaires du Nord l'année dernière. Les pièces de ces appareils ont été fabriquées par plusieurs pays, dont la Corée du Sud, les Etats-Unis, le Japon, la Chine et la République Tchèque, tandis que les logos des entreprises et numéros de série ont été effacés, a dit le ministère.

 

Les appareils se sont déplacés selon les coordonnés GPS. Les enquêteurs n'ont pas encore fini de décoder les signaux qui pourraient confirmer le fait que le Nord est derrière ces incursions de drones. Pour les analyses supplémentaires, des experts civils d’autres nations se joindront à l'enquête pour examiner les données GPS et moteurs pour obtenir plus de détails sur les technologies de ces drones nord-coréens, a dit le ministère.

 

Ce matin, l'Agence pour le développement de la défense (ADD), située à Daejeon, à environ 160 kilomètres au sud de Séoul, a dévoilé aux médias les drones faisant l’objet d’une enquête. Les drones ont tous été découverts par des résidents locaux en moins d'un mois, soulevant des inquiétudes sur la sécurité alors qu'ils ont volé au-dessus de Séoul et d’installations militaires. Cependant, les officiels et experts militaires disent que ces appareils ne représentent pas une vraie menace pour la sécurité comparativement aux armes conventionnels du Nord, tels que les missiles et artilleries.

 

Si l'implication du Nord est confirmée, le gouvernement sud-coréen déposera une plainte à travers la Commission de l'armistice militaire du Commandement des Nations unies (UNCMAC) qui supervise l'accord d'armistice de la guerre de Corée de 1950-1953, ont fait savoir les officiels de la défense et des affaires étrangères.

 

«Nous pourrions prendre des mesures à travers le Conseil de sécurité des Nations unies ou le Comité paritaire de discipline, mais le résultat de l'enquête doit sortir d'abord», a déclaré le premier vice-ministre des Affaires étrangères Cho Tae-yong. Le ministre de la Défense Kim Kwan-jin a également indiqué que les drones sont considérés comme une «infiltration» et le gouvernement sud-coréen prendra les mesures nécessaires après que l'enquête en cours aura confirmé leur origine nord-coréenne.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 07:35
S. Korea, US to hold largest-ever joint air drill

 

 

April 10, 2014 Spacewar.com (AFP)

 

Seoul - South Korea's military said Thursday it would hold its largest-ever joint air drill with the United States as tensions mount over a series of threats from North Korea.

 

The twice-yearly Max Thunder exercise -- to be held from Friday to April 25 -- will be the largest-ever involving 103 aircraft and 1,400 troops, the air force said.

 

Seoul's F-15K jet fighters will take part along with US Air Force F-15 and F-16s and US Marines' FA-18 and EA-18 aircraft, it said in a statement.

 

"The combined air forces will strengthen their battle readiness under the current situation when tension rises over the Korean peninsula," it said.

 

The exercise will focus on "practical scenarios" involving precision attacks on enemies or supply drop missions for troops infiltrating enemy territory, it said.

 

Separately, the allies are also holding annual Key Resolve and Foal Eagle exercises which last from late February to April 18.

 

North Korea has slammed the drills as a rehearsal for invasion. In a pointed protest, Pyongyang has launched a series of rockets and missiles in recent weeks, capped by its first mid-range missile test since 2009 on March 26.

 

The two Koreas also traded fire across the tense Yellow Sea border on March 31, after the North dropped some 100 shells across the border during a live-fire drill, prompting the South to fire back.

 

The rare exchange of fire came a day after the North warned that it might carry out a "new" form of nuclear test -- a possible reference to a uranium-based device or a miniaturised warhead small enough to fit on a ballistic missile.

 

South Korean President Park Geun-Hye this week called for tighter vigilance against the North, days after its leader Kim Jong-Un warned of a "very grave situation" on the peninsula.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 07:35
Des radars israéliens pour surveiller les méchants petits drones nord-coréens

Pour surveiller les drones nord-coréens: le système israélien de radar tactique et de surveillance RPS-42 (Rada Electronic Industries)

 

9 avril 2014 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca
 

L’armée sud-coréenne va acheter 10 radars de «surveillance aérienne tactique» de la société israélienne Rada Electronic Industries pour pouvoir enfin surveiller et détecter efficacement des appareils volant à faible altitude et de petits les drones comme que lui ont envoyé les Nord-Coréens, rapporte l’agence sud-coréenne Yonhap.

 

Tout récemment, la Corée du Sud a récupéré deux drones qu’elle croit d’origine nord-coréenne sur son territoire. Les petits drones bleus aux sombres desseins, bien que plutôt rudimentaires, inquiètent tout de même les responsables sud-coréens, tant civils que militaires, et le ministre de la Défense Kim Kwan-jin sud-coréen a déclaré que des mesures seront prises pour renforcer la capacité de défense aérienne du pays

«L’armée sud-coréenne a décidé d’affecter 20 milliards de wons (19 millions $) du budget d’urgence pour acheter 10 radars israéliens RPS-42 pour la surveillance des appareils volant à faible altitude afin de lutter contre les drones nord-coréens et d’autres équipements de surveillance», a déclaré ce mercredi la source.

Un drone nord-coréen muni d’une caméra récupéré à Paju, au sud de la Zone démilitarisée le 24 mars (Stars and Stripes)

Il faut un appareil ayant une capacité d’au moins 10 kilomètres pour pouvoir détecter les drones nord-coréens. Les radars de surveillance utilisés par l’armée à l’heure actuelle, TPS-830K, n’étant pas suffisants pour détecter ou surveiller les petits drones nord-coréens, l’armée du Sud projette maintenant d’acheter des radars à Israël pour les déployer dans les principales installations du pays, dont le bureau présidentiel, rapporte l’agence sud-coréenne.

«Le système de radar tactique de surveillance aérienne RPS-42 est optimisé pour détecter, classifier et suivre tous les types d’objets aériens à une altitude de 30 pieds à 30.000 pieds (de 9 à 9.000 mètres) dans un rayon allant jusqu’à 30 km.», dit Rada Electronic Industries, la société israélienne qui fabrique ce système. Parmi les objets que peut détecter le système de radar figurent des combattants, des hélicoptères, des avions et…des drones.

«Nous avons décidé d’acheter ces radars en consacrant un autre budget pour ce plan d’achat», a fait savoir un responsable du ministère de la Défense, déclarant «Nous projetons de signer un contrat d’achat de radars israéliens après un test de qualité et un examen des autres capacités avant la fin de cette année pour les déployer l’année prochaine».

Une commande importante pour la société de Netanya qui a reçu, en 2013 des nouvelles commandes pour une valeurs de 26 millions $. Merci qui! Merci Kim!, pourrait-on ajouter.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 11:35
US outlines possible $98 million South Korean Sidewinder deal

 

 

Apr 08, 2014 by Greg Waldron – FG

 

Singapore - The US State Department has notified congress of a possible sale of 76 Raytheon AIM-9X-2 Sidewinder Block II infrared (IR) homing missiles.

 

The proposed $98 million Foreign Military Sales deal also includes captive air training missiles, other equipment, and training associated with the weapons, said the US Defense Security Agency in a statement.

 

“The ROK intends to use these AIM-9X missiles to supplement its existing missile capability and current weapon inventory,” says the DSCA.

 

“This sale will contribute to the Republic of Korea’s force modernization goals and enhance interoperability with U.S. forces. The ROK will use this enhanced capability to strengthen its homeland defense and deter regional threats.”

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 06:35
South Korea tests missile bringing entire North in range

 

April 8th, 2014 defencetalk.com (AFP)

 

South Korea said Friday it had successfully test-fired a new ballistic missile capable of carrying a one-tonne payload to any part of North Korea.

 

The launch was carried out March 23, just two days before North Korea test fired two medium-range ballistic missiles capable of striking Japan.

 

The announcement of the test is likely to fuel the current tensions on the Korean peninsula which saw the two rivals fire hundreds of live shells into each other’s territorial waters earlier this week.

 

The new South Korean missile, capable of carrying a one-tonne payload up to 500 kilometers (310 miles), was developed under an agreement reached in 2012 with the United States to almost triple the range of the South’s ballistic missile systems.

 

The United States stations 28,500 troops in South Korea and guarantees a nuclear “umbrella” in case of any atomic attack.

 

In return, Seoul accepts limits on its missile capabilities and had previously operated under a range and payload ceiling of 300 kilometers and 500 kilograms (1,100 pounds).

 

Given the ambitions of nuclear-armed North Korea’s own missile program, the South had long argued for the limits to be extended.

 

The 2012 agreement, which was denounced as a provocation by Pyongyang, allows the South to deploy missiles with a maximum range of 800 kilometers.

 

While the maximum payload for that range remains 500 kilograms, the two parameters are inversely linked, so that for shorter ranges corresponding payload increases are allowed.

 

Just one month ago, inter-Korean relations appeared to be enjoying something of a thaw.

 

In February the two rivals had rare, high-level talks, after which they held the first reunion in more than three years for families divided by the 1950-53 Korean War.

 

Even when annual South Korean-US military exercises began at the end of February, the protests from Pyongyang were relatively muted, and there was talk of further high-level meetings and greater cooperation.

 

But the mood soon soured, and recent weeks have seen North Korea conduct a series of rocket and missile tests, culminating last month in the test-firing of the two medium-range ballistic missiles.

 

On Monday, North Korea conducted a live-fire drill along the disputed maritime border. After some shells crossed the boundary, South Korea responded and the two sides fired hundreds of artillery rounds into each other’s waters.

 

North Korean leader Kim Jong-Un warned this week that the situation on the peninsula was “very grave” and vowed to “thoroughly crush” what he called a US-engineered policy of hostility.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 16:35
 US, ROK Forces Wrap Up Exercise Ssang Yong 2014

 

Apr.7, 2014 By Mass Communication Specialist 1st Class Carla Burdt, Amphibious Squadron 11 Public Affairs - Pacific Sentine

 
USS BONHOMME RICHARD - At Sea (NNS) -- Sailors and Marines from Expeditionary Strike Group Seven (ESG 7) and the 3rd Marine Expeditionary Brigade (3d MEB), along with their counterparts from the Republic of Korea (ROK), wrapped up exercise Ssang Yong 2014, April 5. 
 
Ssang Yong, Korean for "twin dragons," is an annual, bilateral amphibious assault exercise conducted in the U.S. 7th Fleet area of operation by Navy and Marine forces with the ROK in to strengthen interoperability and working relationships across the range of military operations from disaster relief to complex, expeditionary operations. 
 
"What Ssang Yong 2014 is all about is demonstrating the capabilities of the Navy and Marine Corps amphibious team," said Rear Adm. Hugh Wetherald, Commander ESG 7. "There is more than just amphibious warfare, and that is working with our partners, working with our allies. This is one of those unique opportunities that we have to really integrate ourselves and work as an equal team as we project power."
 

 

The exercise was the first to include a joint, combined command and control headquarters which was led by Wetherald; ROK Rear Adm. Chun Jung-soo, commander, Flotilla Five; Brig. Gen. Paul Kennedy, commanding general, 3d MEB; and ROK Brig. Gen. Cho Kang-jae, deputy commander Landing Force.
 
More than 20 ships and 14,000 Sailors and Marines participated in the exercise. 
 
"I've always said that our navies, any of our partners' navies, are stronger when we work together than when we work apart," said Wetherald. "As we brought the two flagships together, 500 yards apart from each other, that was really emblematic of the capability we have out here and how strong we are when we work together."
 
During Ssang Yong 2014, 13 landing craft, including Landing Craft Air Cushion and Landing Craft Utility transported 263 pieces of equipment weighing a total of 3,328,494 pounds. The equipment transported included, six M1A1 tanks; High Mobility Multipurpose Wheeled Vehicles; Medium Tactical Vehicle Replacements; Internally Transportable Vehicles; and, other equipment between Marine Prepositioning Forces (MPF) and Navy assets.
 
"We moved more than three million pounds of equipment over five days via landing craft," said Capt. Michael Allen, Commander Amphibious Squadron 11 (PHIBRON 11) combat cargo officer. "During the rehearsal and 'D-Day,' the dynamic schedule came together and we executed perfectly. For two nations to come together and achieve what we did was phenomenal. We learned how to best communicate in order to identify priorities and get people and equipment to the beach." 
 
ESG 7 and 3d MEB also flew more than 800 aerial missions in support of the exercise and 74 U.S. and Korean amphibious assault vehicles were used during the amphibious landing. For Ssang Yong 2014, ESG 7 included the Bonhomme Richard Amphibious Ready Group (ARG) and Boxer ARG and 3d MEB included the 31st Marine Expeditionary Unit (MEU) and the 13th MEU.
 
"This was a tremendously complex exercise with thousands of Marines and thousands of Navy Sailors, over 20 ships coming together and, then, immediately executing," said Wetherald. "It was a true and tried example of a mature relationship."
 
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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 11:35
Philippines DND will be Acquiring a Multi-Role Fighter by 2018

After F/A-50 contract has signed, DND announced that it will be acquiring a multi-role fighter by 2018.

 

07 April 2014 Defense Studies



PHL to get MRF by 2018

MANILA, (PNA) — With the country now on its way to acquire its first-ever supersonic jet aircraft in 34 years, the Department of National Defense (DND) announced that it will be acquiring a "multi-role fighter" (MRF) by 2018.

This was revealed by DND undersecretary for finance, modernization, installations, and munitions Fernando Manalo

2018 is the second phase of the Armed Forces of the Philippines Modernization Program.

During this period, the defense and military establishment will determine whether to acquire additional units of the South Korean F/A-50 "Fighting Eagle" or go full stream with the acquisition of the MRFs to enhance the country's external defense capabilities.

Studies are now underway to determine the best MRF designs for the Philippines.

The Philippines and Korea Aerospace Industries, Ltd (KAI) signed the P18.9 billion deal for 12 units of the F/A-50 last Friday. Manalo said that the first two F/A-50 jet aircraft will be delivered 18 months after the opening of the letter of credit, the next two will be delivered 12 months later and the remaining eight jet planes to be delivered in staggered basis within eight months.

(Batita)

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 16:35
Corée du Nord: petits drones, grandes inquiétudes!

 

le 6 avril 2014 par Jacques N. Godbout  45eNord.ca

 

Le ministre de la Défense Kim Kwan-jin sud-coréen a déclaré cette semaine que des mesures seront prises pour renforcer la capacité de défense aérienne du pays suite à l’intrusion sur le territoire de drones nord-coréens rudimentaires, certes, mais qui n’augurent rien de bon pour l’avenir.

 

Tout récemment, la Corée du Sud a récupéré deux drones qu’elle croit d’origine nord-coréenne sur son territoire. Les petits drones bleus aux sombres desseins, bien que plutôt rudimentaires, inquiètent tout de même  les responsables sud-coréens, tant civils que militaires.

Un premier avion-robot récupéré à Paju au sud de la Zone démilitarisée le 24 mars et muni d’une caméra aurait survolé et pris de photos de la Maison Bleue, le siège de la présidence sud-coréenne.

Puis, après que les deux Corées se soient tirés dessus en mer Jaune le 31 mars, les Sud-Coréens ont retrouvé un autre drone non identifié, mais fort probablement d’origine nord-coréenne, sur l’île de Baengnyoeng, dont les habitants avaient dû gagner les abris au plus fort des échanges de tirs.

Le drone récupéré  à Paju pesait 15 kilos et était de seulement 2 mètres de long alors que celui de l’île de Baengnyeong était d’un peu moins de 2 mètres de long et pesait 12 kilos, mais le ministre sud-coréen de la Défense a affirmé cette semaine que Pyongyang pourrait à l’avenir développer des drones plus avancés dans le but de mener des attaques.

«Nous sommes en train de prendre des mesures urgentes, vu que les drones soupçonnés de provenir de Corée du Nord pourraient à terme être équipés de bombes», a dit Kim Kwan-jin. «Nous mettrons en place des mesures rapidement, bien que les drones ne posent pas de risque de sécurité sérieux puisqu’ils ne peuvent que prendre des photos, comme celles du service d’images satellite de Google»

Mais les politiques sud-coréens sont encore plus inquiets et outrés que les militaires et ont exhorté l’armée à mettre en place des mesures contre les drones de surveillance et les drones d’attaque. Un député sud-coréen a également demandé au ministre comment des drones «pauvrement conçus et démodés» ont pu franchir la frontière sans être détectés par l’armée.

L’armée envisage donc maintenant d’acquérir des radars de surveillance à basse altitude et des canons antiaériens avancés pour mieux pouvoir détecter les petits aéronefs et les abattre.

«Les radars actuels de l’armée ont des capacités limitées en ce qui concerne la détection de petits aéronefs», a déclaré à ce propos un porte-parole du ministère de la Défense Kim Min-seok, ajoutant «Les experts ont en vue quelques radars fabriqués par des pays développés, nous sommes actuellement en train de négocier leur acquisition.»

Le gouvernement veut également remettre à l’honneur un projet de dirigeable qui avait été abandonné pour raisons techniques et qui avait pour but de surveiller l’armée nord-coréenne près de la frontière maritime occidentale.

Drones, dirigeables, radars, méfiance et provocations semblent devoir faire partie du paysage des deux Corées pour encore bien des années.

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 07:35
Hyeonmu missiles - source patriotdaily-com

Hyeonmu missiles - source patriotdaily-com

 

4 April 2014 army-technology.com

 

The South Korean Defence Ministry has developed a new long-range ballistic missile to boost its defences against North Korean missile threats, an unnamed South Korea military official has revealed.

 

The missile, with a range of 500km and a 1t payload, was successfully test-fired by the state-funded Agency for Defense Development (ADD), at a testing range in Taean, South Chungcheong Province late last month, Yonhap News Agency reports.

 

An official said: "The missiles accurately hit the intended target."

"We are now developing 500km ballistic missiles and plan to make 800km missiles."

 

The test launch of the missile, which is scheduled to be deployed in 2015, follows the firing of a series of short-range rockets and mid-range missiles by Pyongyang in the last few weeks, which was in response to the ongoing annual joint-military drills between South Korea and the US.

 

South Korean Defence Ministry spokesman Kim Min-seok was quoted by the news agency as saying that the missile development forms part of follow-up measures after the revision of missile guidelines by South Korea and the US.

 

"We are now developing 500km ballistic missiles and plan to make 800km missiles in the future," Min-seok said.

 

Signed in 1979, the bilateral missile pact saw the US assist in missile technology development, but limited the South Korean ballistic missile range to 180km. However, this was revised in October 2012 to extend the range from the existing 300km to 800km, with a maximum payload of 500kg.

 

This also enabled Seoul, which currently operates Hyunmoo ballistic missiles with a range of 300km, to develop heavier payloads for short-range missiles.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 22:35
Hyunmoo 2 and Hyunmoo 3 missiles

Hyunmoo 2 and Hyunmoo 3 missiles

 

MOSCOU, 4 avril - RIA Novosti

 

La Corée du sud a effectué en mars un test réussi de son premier missile balistique capable d'atteindre n'importe quelle région de la Corée du Nord, a annoncé vendredi l'agence Yonhap, citant une source au ministère sud-coréen de la Défense.

 

"Le missile a frappé la cible avec une grande précision", a indiqué l'agence.

 

Ce test, qui a réuni des militaires haut placés, dont le ministre de la Défense Kim Kwan-jin, s'est déroulé le 23 mars dans le nord-est du pays, à 100 km de Séoul. Il s'agissait d'un missile ayant une portée de 500 km et une charge d'une tonne. Cette puissance suffirait à détruire toutes les cibles stratégiques en Corée du Nord, y compris les abris souterrains et les silos de missiles.

 

La production en série de cette arme débutera l'année prochaine.

 

A l'heure actuelle, la Corée du sud produit des missiles d'une portée de 180 km (Hyunmu-1) et de 300 km (Hyunmu-2), ces portées étant définies dans un accord signé avec les Etats-Unis. Cependant, selon le quotidien sud-coréen The Chosun Ilbo, une directive adoptée en octobre 2012 autorise Séoul à construire des missiles ayant une portée maximale de 800 km.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 11:35
L’intrusion des drones pousse Séoul à renforcer sa défense aérienne

 

SEOUL, 04 avr. (Yonhap)

 

Le ministre de la Défense Kim Kwan-jin a déclaré ce vendredi que des mesures seront prises pour renforcer la capacité de défense aérienne du pays suite à l’intrusion des drones nord-coréens sur le territoire national.

 

Le ministre a affirmé que Pyongyang pourrait à l’avenir développer des drones plus avancés dans le but de mener des attaques, bien que les deux drones équipés d’appareils photos récemment trouvés soient rudimentaires.

 

«Nous sommes en train de prendre des mesures urgentes, vu que les drones soupçonnés de provenir de Corée du Nord pourraient à terme être équipés de bombes», a dit Kim. «Nous mettrons en place des mesures rapidement, bien que les drones ne posent pas de risque de sécurité sérieux puisqu’ils ne peuvent que prendre des photos, comme celles du service d’images satellite de Google.»

 

Le député Shon In-choon du parti Saenuri a exhorté l’armée à mettre en place des mesures non seulement contre les drones de surveillance mais aussi contre les drones d’attaque. Le député de l’Alliance de la nouvelle politique pour la démocratie (ANPD) Park Joo-sun a demandé à Kim comment des drones «pauvrement conçus et démodés» ont pu franchir la frontière sans être détectés par l’armée.

 

L’armée envisage d’acquérir des radars de surveillance à basse altitude et des canons antiaériens avancés pour mieux pouvoir détecter les petits aéronefs et les abattre.

 

«Les radars actuels de l’armée ont des capacités limitées en ce qui concerne la détection de petits aéronefs», a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense Kim Min-seok lors d’un point de presse. «Les experts ont en vue quelques radars fabriqués par des pays développés, nous sommes actuellement en train de négocier leur acquisition.»

 

Le gouvernement veut également rouvrir un projet de dirigeable qui avait été abandonné pour raisons techniques, dans le but de surveiller l’armée nord-coréenne près de la frontière maritime occidentale.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:35
source Army Recognition

source Army Recognition

 

04 April 2014 Pacific Sentinel


 

South Korea was reportedly considering purchasing advanced surveillance radar to spot small- sized, low-flying unmanned aerial vehicle (UAV) dispatched from the Democratic People's Republic of Korea (DPRK). The South Korean news agency Yonhap, citing a military official, reported that the military was mulling acquiring the low-altitude surveillance radar from overseas as it failed to detect several unmanned aircrafts deployed by the DPRK recently.

 

The DPRK has flew several pilotless airplanes for the reconnaissance purpose to South Korea, which were spotted by the naked eye in frontline areas, but were depicted as birds on the radar screen due to their small size.

 

The South Korean Army was operating the low-altitude surveillance radars called TPS-830K, but it rarely detected the small, unmanned aircrafts believed to be flown by the DPRK.

 

An official at the Defense Acquisition Program Administration, the country's arms procurement agency, said over phone that he hasn't heard of whether the Joint Chiefs of Staff (JCS) has decided to buy it, noting that the JCS should make a decision to purchase any military devices.

 

The South Korean military came to a tentative conclusion that two drones, discovered in inter-Korean border areas recently, came from the DPRK, according to government sources cited by Yonhap.

 

Read the full story at Army Recognition

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