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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:40
Sukhoi delivers new batch of Su-34 to Russia

 

8 October 2015 airforce-technology.com

 

Sukhoi has delivered a new batch of Su-34 frontline bombers to the Ministry of Defence of the Russian Federation as part of the 2015 state defence order.

 

According to the company, the new aircraft took off from the V.P.Chkalov Novosibirsk Aircraft Plant's airfield.

 

Sukhoi, the subsidiary of United Aircraft Corporation, has secured contracts to deliver Su-34s for Russia up to the year 2020, guaranteeing a stable work load for the company.

 

Powered by a twin Lyulka AL-31FM1 turbofan engine, the Su-34 aircraft has an increased flight range of up to 4,000km, a maximum speed of up to 1,900km/h and an 8 tonne payload.

 

A two-seat derivative of the swing-wing Su-27 fighter, the Su-34 features a new weapon system and an air refuelling system, the company stated.

 

With a range of airborne munitions, including high-precision types, the aircraft is capable of engaging a range of land-based, sea and airborne targets in all weather conditions and any visibility levels.

 

In addition, it features a long-range aiming system, a modern on-board communication, an information exchange system and a complex survival system.

 

It also has an armoured cockpit and an active safety system, in addition to the new computers to manoeuvre and perform accurate bombing when under enemy attack.

 

The transfer of Su-34 aircraft comes after Sukhoi delivered a batch of Su-34 and Su-35S fighters to the Russian Air Force in July.

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 11:45
Alger commande encore russe

 

12 septembre 2015 par Henri Weill Ainsi va le monde !

 

L’armée de l’air algérienne vient d’acquérir 14 Sukhoi 30 (Su30), qui devraient être livrés d’ici 2017. Alger possédait, depuis 2007, 44 chasseurs russes de ce type. Autre chantier pour la défense aérienne : le renouvellement des bombardiers Su 24, le remplacement des Mig 25 et 29 par un appareil plus moderne. Si les négociations, avancées, sont menées avec les habituels fournisseurs russes, l’issue, aujourd’hui, ne semble pas être encore évidente. "Certains courants" seraient favorables à l’achat d’appareils occidentaux. Les précédents lots russes étant équipés de technologies occidentales, en particulier françaises ou suédoises.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:35
L'Indonésie recale le Rafale et choisit le Sukhoi Su-35
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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:40
Su-30MK russe photo Sukhoi

Su-30MK russe photo Sukhoi

 

30 mars 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Sukhoi vient de livrer au Kazakhstan les 4 derniers Su-30SM de la première phase d’une commande, annoncée en février, portant sur la construction et l’exportation d’un nombre total de 36 appareils au Kazakhstan. Ce contrat s’inscrit dans un ambitieux programme de développement d’un avion de chasse datant de l’époque soviétique.

 

Le projet Su-remonte à l’ère soviétique et plus précisément au lancement, en 1988, de la conception d’un avion d’attaque au sol inspiré de l’avion d’entrainement au combat Su-27UB. Quatre ans plus tard, le 14 avril 1992, le premier avion de série décollait avec succès. Apres l’effondrement de l’URSS, toutefois, la production de masse a ralenti avant de cesser complètement et le Su-30 a principalement été utilisé pour des essais et expositions dans des salons aéronautiques internationaux. La production du Su-30 d’origine a fini par s’arrêter alors que les ingénieurs s’employaient à libérer le plein potentiel de l’appareil. La conception du Su-30MK (M pour modernisé et K pour commercial) a débuté en 1992.

 

Suite de l’article

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:40
Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

 

27.03.2015 sputniknews.com

 

Selon un journal US, la Russie modernise avec succès son armée et pourra présenter de nouveaux matériels de guerre lors du défilé de la Victoire du 9 mai prochain.

 

La Russie construit plus de 100 bombardiers de génération 4+ Sukhoi Su-34 dont 16 seront livrés à l'armée dès 2015, rapporte le journal américain Newsweek.

 

Les bombardiers Su-34 remplaceront les Su-24. Leur production en série n'est qu'un élément du programme destiné à moderniser 70% des armements russes d'ici 2020.

 

Le bombardier tactique russe avec des capacités de lutte anti-navire Su-34 (code Otan: Fullback) a un rayon d'action de 4.000 km et sa vitesse maximale est de 1.900 km/h. Il est doté d'un canon de 30 mm et peut emporter une charge de combat de 8.000 kg.

 

Selon le journal, la Russie présentera plusieurs nouveaux matériels de guerre lors du Défilé qui aura lieu sur la place Rouge de Moscou à l'occasion du 70e anniversaire de la Victoire dans la Grande guerre patriotique de 1941-1945.

 

La Russie présentera notamment le blindé Taïfoun-U, le véhicule blindé de combat d'infanterie Kourganets-25 et la plateforme lourde à chenilles Armata, d'après Newsweek.

 

La Marine russe sera elle aussi modernisée. La Russie entend construire ses propres grands navires de débarquement au lieu des porte-hélicoptères Mistral que la France refuse de livrer à Moscou.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 17:40
Sibérie: les pilotes russes s'entraînent à surmonter la DCA adverse

 

16.03.2015  sputniknews.com

 

Plus de 2.000 militaires et une trentaine d'avions et hélicoptères prennent part à des exercices d'envergure lancés en Sibérie.

Des chasseurs et avions d'assaut russes s'entraînent à surmonter la défense antiaérienne dans le cadre d'exercices lancés en Bouriatie (Sibérie), a annoncé le commandement de la région militaire de l'Est.

"Les équipages de chasseurs Sukhoi Su-30SM et d'avions d'assaut Su-25 s'entraîneront à surmonter le système de défense antiaérienne et à détruire les stations radars se trouvant dans différents convois dans le cadre d'exercices aériens tactiques", est-il indiqué dans le communiqué.

Plus de 2.000 militaires et une trentaine d'avions et hélicoptères prennent part aux exercices à tirs réels qui se déroulent non loin du lac Baïkal.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 12:30
Au-dessus de l’Irak, Américains et Iraniens se débrouillent pour ne pas se croiser

 

4 décembre 2014 45eNord.ca

 

Les frappes aériennes menées par l’Iran contre le groupe État islamique (EI) en Irak révèlent comment les États-Unis et l’Iran opèrent dans deux zones séparées dans le pays pour éviter toute confrontation dans le cadre d’une alliance informelle et fragile contre les djihadistes.

 

Les récents raids iraniens en Irak ont en effet visé des djihadistes de l’EI dans une zone de l’Est où les avions américains n’opèrent pas.

 

Ils ont eu lieu «dans la province orientale de Diyala», a précisé un porte-parole du Pentagone, Steven Warren, en soulignant que c’était la première opération de combat des F-4 iraniens contre l’EI, à la connaissance de Washington. «Nous ne sommes pas actifs là-bas».

 

Téhéran de son côté n’a pas confirmé officiellement avoir mené ces missions au-dessus de l’Irak.

 

Un responsable américain a expliqué que Téhéran et Washington souhaitaient éviter toute confrontation ou tout accident qui risquerait de créer une crise internationale ou de nourrir des violences sectaires. Ils font donc en sorte de ne pas gêner les opérations de l’autre pays.

 

La coalition emmenée par les États-Unis est d’ailleurs prête à tolérer la présence de conseillers militaires et d’avions iraniens dans les provinces de l’est et du sud de l’Irak, où vivent majoritairement des chiites.

 

«Il y a un accord tacite selon lequel nous n’allons pas agir dans le même espace. Et ils ne ciblent pas les forces américaines», a expliqué le responsable de la défense à l’AFP, sous couvert d’anonymat. «Nous savons qu’ils ont des intérêts dans ces régions: l’Irak est leur voisin».

 

L’espoir de Washington est aussi que les frappes iraniennes augmentent la pression sur les djihadistes du groupe EI, mais l’arrangement tacite entre Washington et Téhéran pourrait s’effilocher et les États-Unis craignent que le rôle joué par l’Iran chiite ne déclenche des violences sectaires.

 

«C’est un équilibre délicat», a repris le responsable. «Le plus important est que les Iraniens appuient les Irakiens d’une manière qui n’alimente pas le sectarisme».

 

La présence iranienne en Irak n’est pas nouvelle: Téhéran a en effet dépêché des conseillers militaires dans le pays dès l’offensive du groupe EI dans le nord et l’ouest en juin.

 

Des agents des forces d’élite iraniennes ont ainsi été envoyés à Samara, Bagdad ou Karbala pour tenter de préserver les zones chiites et aider à organiser les milices chiites locales, explique l’analyste Farzin Nadimi dans un rapport publié par le Washington Institute for Near East Policy.

 

L’Iran a aussi utilisé des drones de surveillance au-dessus de l’Irak, selon des responsables américains. D’autres observateurs avancent que des pilotes iraniens sont aux commandes des avions russes Soukhoï Su-25 mis à la disposition de Bagdad par Téhéran il y a déjà plusieurs mois.

 

«Ils ont des soldats et des conseillers au sol depuis longtemps, et ils font voler des avions sans pilotes», a encore souligné le responsable du Pentagone.

 

Les récents raids aériens menés illustrent l’implication accrue de Téhéran, et ils sont aussi une démonstration de force et d’influence, a estimé de son côté Ali Reza Nader, analyste du groupe de réflexion RAND Corporation. «L’Iran n’a pas besoin de mener ces raids aériens, mais ses dirigeants veulent montrer que l’Iran est une force avec laquelle il faut compter».

 

L’arrangement tacite entre les deux pays convient en tout cas aux États-Unis. Washington est en effet conscient qu’une coopération militaire ouverte avec Téhéran fâcherait au plus haut point ses alliés comme Israël et d’autres pays arabes.

 

Les responsables américains estiment en outre qu’il y a peu de risques que les deux pays se marchent sur les pieds: «Il y a plein de cibles disponibles pour tout le monde», a ainsi ajouté un deuxième responsable du Pentagone.

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 05:30
Russian experts at Al-Muthanna air base in Iraq assembling the Su-25

Russian experts at Al-Muthanna air base in Iraq assembling the Su-25

 

29 juin 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord

 

L’Irak a reçu de la Russie une première livraison d’avions Sukhoï pour l’aider dans sa contre-offensive face aux insurgés menés par les djihadistes qui se sont emparés de larges pans du territoire dans leur tentative de créer un caliphat islamique à même les territoires de la Syrie et de l’Irak maintenant menacé de dislocation.

 

Tous contre les djihadistes, après les Américains, les Iraniens et, maintenant, les Russes !

L’annonce par Bagdad de cette livraison est survenue alors que les forces gouvernementales ont donné samedi l’assaut pour reprendre la ville de Tikrit, ancien fief de Saddam Hussein situé à 160 km au nord de Bagdad.

Les Su-25, qui viennent d’être livrés par Moscou, devraient être conduits par des pilotes de l’armée de l’air du temps du régime déchu de Saddam Hussein, qui ont eu l’habitude de piloter ces avions d’attaque au sol, a indiqué un responsable irakien.

Après l’invasion de l’Irak, qui s’est traduite par la chute du régime baasiste en 2003, les Etats-Unis avaient dissous l’armée et les services de sécurité, et exclu tous les fonctionnaires du régime de Saddam Hussein.

Jeudi, Maliki avait annoncé que Bagdad allait acheter plus d’une douzaine d’avions à la Russie, un accord estimé à quelque 368 millions d’euros.

La dislocation de l’Irak déstabiliserait l’ensemble du Proche-Orient et les régions limitrophes pour des années, a estimé le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov samedi à la télévision russe.

«Si l’Irak éclate (la Libye s’est presque disloquée, quelqu’un veut disloquer la Syrie), la région explosera, la déstabilisation s’y installera pour de longues années et non seulement au Proche-Orient et en Afrique du Nord, mais aussi dans les régions limitrophes», a déclaré le chef de la diplomatie russe, ajoutant que sa conversation téléphonique de la veille avec le secrétaire d’État américain John Kerry «portait davantage sur l’Irak et l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL), que sur l’Ukraine».

Et ce même jour, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a affirmé que son pays ne resterait pas «les bras croisés» face à l’offensive des djihadistes en Irak. «La situation est très dangereuse (…) et menace les fondements de l’État irakien» a-t-il dit, insistant toutefois comme les Américains sur le fait qu’en Syrie comme en Irak, la solution ne pouvait venir que d’un «véritable dialogue national».

Les appels en Irak et à l’étranger en faveur de la mise en place d’un gouvernement d’union se sont multipliés, une idée à laquelle le Premier ministre chiite irakien Nouri al-Maliki, accusé d’avoir marginalisé les sunnites, a semblé finalement se rallier cette semaine. Le Parlement doit se réunir mardi pour déclencher le processus.

 

L’aide iranienne

En outre, l’Iran chiite sur un pied de guerre a massé des troupes à la frontière

L’Iran déploie elle aussi des drones de surveillance sur l’Irak à partir d’un aérodrome à Bagdad ainsi qu’une unité de renseignement pour intercepter les communications, en plus de secrètement fournir des tonnes de matériel militaire et de masser des troupes à la frontière, révélait mercredi 25 juin le New York Times, s’appuyant sur des sources militaires américaines.

Les programmes secrets iraniens font partie d’un effort plus large par Téhéran pour recueillir des renseignements et aider le gouvernement du Premier ministre Nouri Kamal al-Maliki dans sa lutte contre les militants sunnites et l’État islamique en Irak et la Syrie, affirme le quotidien.

Le Général Qassim Suleimani, le chef des paramilitaires de la Force iranienne Qods, aurait visité l’Irak au moins deux fois pour aider les planificateurs militaires irakiens à établir une stratégie. Et l’Iran aurait aussi déployé une douzaine d’autres officiers de la Force Qods pour conseiller les commandants irakiens, et aider à mobiliser plus de 2.000 miliciens chiites du sud de l’Irak, ont dit les responsables américains selon le Times.

Des avions de transport iraniens ont également fait des deux vols quotidiens de matériel et de fournitures militaires à Bagdad – 70 tonnes par vol – pour les forces de sécurité irakiennes.

 

L’aide américaine

Bagdad bénéficie aussi d’une aide américaine face à l’offensive fulgurante lancée le 9 juin par les insurgés sunnites, qui a fait selon l’ONU plus d’un millier de morts et poussé à la fuite des centaines de milliers d’habitants.

Les États-Unis, qui se sont retirés militairement du pays fin 2011 après huit ans d’occupation, ont déployé des drones et annoncé l’envoi de 300 conseillers militaires.

Le général Qassem Atta, porte-parole du premier ministre Maliki en matière de sécurité, a fait état d’une coordination avec les États-Unis «sur le terrain pour étudier les cibles importantes».

Washington a aussi annoncé un plan de 500 millions de dollars pour armer et entraîner des rebelles modérés en Syrie voisine afin qu’ils participent à la lutte contre l’EIIL, qui ambitionne d’établir un califat islamique à cheval sur les deux pays.

 

Sur le terrain

Sur le terrain, l’armée poursuivait pour la deuxième journée consécutive sa contre-offensive pour reprendre Tikrit, chef-lieu de la province de Salaheddine (nord) tombé le 11 juin aux mains des insurgés.

« Les forces irakiennes avancent de différents endroits » autour de Tikrit, a indiqué à la presse le général Qassem Atta, porte-parole de M. Maliki pour la sécurité. « Des combats sont en cours », a-t-il dit, en précisant que les forces gouvernementales avaient fait exploser des bombes posées le long de routes menant à la ville.

Des milliers de soldats, appuyés par des chars et des équipes de déminage, sont engagés dans les opérations dans le secteur de Tikrit. Jeudi, l’armée avait repris l’université de Tikrit, sur la route menant vers Baïji (au nord).

Plus au nord, des combattants tribaux et locaux soutenus par les forces kurdes avançaient en direction d’un village majoritairement chiite au sud de Kirkouk, dont se sont emparés les insurgés. Au moins un combattant a été tué dans les affrontements.

Russian experts at Al-Muthanna air base in Iraq assembling the Su-25

Russian experts at Al-Muthanna air base in Iraq assembling the Su-25

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 11:30
L'Irak achète plusieurs chasseurs Sukhoï (Maliki)

 

MOSCOU, 26 juin - RIA Novosti

 

Le premier ministre irakien Nouri Al-Maliki a confirmé que son pays avait récemment acheté à la Russie et à la Biélorussie plusieurs chasseurs d'occasion de type Sukhoï, rapporte jeudi la chaîne BBC. 

 

Dans sa première interview depuis le début de la récente crise, M.Maliki a déclaré que les appareils en question pourraient effectuer leurs premières missions "dans les jours à venir", ajoutant que les Etats-Unis retardaient la vente de chasseurs F-16 à Bagdad. 

 

Le président russe Vladimir Poutine a confirmé vendredi dernier lors d'une conversation téléphonique avec M.Maliki le soutien de Moscou aux efforts du gouvernement irakien visant à libérer le territoire de son pays du joug terroriste. 

 

Les autorités de l'Irak et de la Syrie essaient de stopper l'offensive de l'EIIL, déterminé à conquérir un vaste territoire riche en pétrole. Depuis les trois dernières semaines, les commandos de l'EIIL, soutenus par les tribus sunnites et d'anciens militaires irakiens ont envahi plusieurs villes de l'Irak et des territoires situés à la frontière avec la Syrie et la Jordanie.

 

L'armée et la police irakiennes ont tenté de reprendre les territoires occupés par les djihadistes, mais n'ont toujours pas réussi à inverser la situation. Bagdad a sollicité l'aide militaire d'autres pays, notamment des Etats-Unis.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 07:35
A-50EI Mainstay 2009 photo Michael Sender

A-50EI Mainstay 2009 photo Michael Sender

 

April 6, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

In a bid to boost its aerial surveillance, India will buy six aircraft that can be used for supporting its indigenous Airborne Warning and Control System, according to Aviation Week.

 

More from Aviation Week:

 

“A tender has been floated to global vendors for the supply of suitable aircraft with necessary structural modifications, power and endurance adaptations and equipment installation or installation provisions for the Awacs,” says an official at the defense ministry.

 

Though the type of aircraft hasn’t been specified, India is looking at acquiring a platform that can support an Awacs antenna dome, which is about 10 meters in diameter. The aircraft also should have provisions for the installation of all external and internal elements of the mission systems, the official adds.

 

Only original aircraft manufacturers are qualified to submit the bids. Also, “the vendors should be willing to support the product for a period not less than 30 years from the date of acceptance of the aircraft,” he says.

 

According to the defense ministry official, the Defense Research and Development Organization (DRDO), which is developing the radars and sensors, is looking at either the Boeing-767 or Airbus A330 as the new platform. However, vendors such as Ilyushin, Antonov, Sukhoi, Bombardier and Saab could also be in the running.

 

Full story here:

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:50
Sukhoi Su-22M4 photo Chris Lofting

Sukhoi Su-22M4 photo Chris Lofting

 

03.04.2014 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

L’agence de presse Itar-Tass rapporte que le ministère polonais de la Défense a confirmé le 2 avril que 18 Su-22 allaient rester en service jusqu’en 2024. Des opérations de maintenance devront toutefois être effectuées afin de prolonger la durée de vie des bombardiers de Sukhoï. Le plan annoncé concernerait 12 monoplaces Su-22M4 et six biplaces Su-22UM3K.

 

Selon les données Flightglobal, l’armée de l’air polonaise possède actuellement une flotte de 36 Su-22.

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 17:40
La Biélorussie modernise ses chasseurs Su-27

 

MINSK, 31 janvier - RIA Novosti

 

La Biélorussie modernisera ses chasseurs Sukhoi Su-27, a annoncé vendredi à Minsk le président du comité d'Etat biélorusse pour l'industrie de défense Sergueï Gouroulev.

 

"Le ministère de la Défense reconnaît que ces avions peuvent être modernisés. Le Comité d'Etat pour l'industrie de défense est prêt à effectuer une modernisation poussée", a indiqué M.Gouroulev devant les journalistes.

 

Les chasseurs Su-27 seront dotés d'une nouvelle avionique, de nouveaux armements et systèmes de défense, notamment d'armes air-air et air-sol.

L'armée biélorusse compte actuellement plus de 10 Su-27 déployés à la 61e base aérienne de Baranovitchi, non loin de la frontière avec la Pologne et l'Ukraine.

 

Le commandant de l'Armée de l'air et des Troupes de défense antiaérienne de Biélorussie Oleg Dvigalev a annoncé le 14 novembre que les Forces armées biélorusses avaient renoncé aux chasseurs Su-27 dont l'exploitation était jugée trop onéreuse et peu pratique pour la Biélorusse avec son petit territoire. Toutefois, le président biélorusse Alexandre Loukachenko a appelé l'armée de son pays à ne pas renoncer à l'exploitation des chasseurs Sukhoi.

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 08:35
L’Inde doute des capacités opérationnelles du T-50 de Sukhoi

Malgré son allure d’avion furtif, le T-50 FGFA nécessite encore plusieurs années de mise au point, ce qui rend cet ambitieux programme risqué  - photo Sukhoi

 

22 janvier 2014 Aerobuzz.fr

 

Des hauts responsables de l’Indian air force émettent des doutes sur les performances du futur avion de combat de cinquième génération, dérivé du T-50 PAK FA de Sukhoi. Cette prise de position pose d’autant plus un problème que le programme est développé en commun par l’Inde et la Russie.

Le torchon brulerait t il entre New Delhi et Moscou ? Sans en arriver jusqu’à cette conclusion extrême, il apparaît néanmoins que la coopération militaire entre l’Inde et la Russie semble avoir un peu de plomb dans l’aile. C’est en effet la première fois depuis 2008, date de lancement du programme d’avion de combat de russo-indien de cinquième génération FGFA, que des divergences apparaissent ouvertement entre les deux partenaires.

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Le T-50 de Sukhoi a effectué plus de 300 vols d’essais se veut plus furtif que le F-22 Raptor américain - photo Sukhoi

Les mises en doute du chef d’état major adjoint des forces aériennes indiennes, également en charge des acquisitions, portent sur les performances de l’appareil et la volonté réelle de la Russie de transférer tout son savoir-faire en matière d’avion de combat moderne. Au niveau technique, les critiques ne manquent pas, notamment au niveau des moteurs « 117 », également désignés AL-41F1, de Saturn Lyulka de 147 kN de poussée ; cette évolution des AL-31F du Sukhoi 30 ne tiennent pas leurs promesses en termes de fiabilité.

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L’avion de combat russo-indien FGFA sur le salon aéronautique Aero India (Bangalore, février 2013) - photo Sukhoi

La qualité de construction et la furtivité de la cellule ne seraient pas au niveau des attentes des militaires indiens. Le radar à antenne active N036, développé par l’institut russe NIIP Tikhomirov s’avère décevant également. Enfin l’Indian Air force estime que le partage industriel actuel est défavorable à l’Inde en termes de transfert de technologie. En un mot, ce programme ne vaut pas les 6 milliards de dollars réclamés par Moscou pour participer à ce programme risqué.

D’aucuns à New Delhi se demandent si ces critiques acerbes sur un programme prometteur ne sont pas en réalité une tentative de sécuriser un budget de 18 milliards de dollars pour l’achat au plus tôt de 126 Rafale. Un avion moins avancé technologiquement sur le papier mais qui tient déjà toutes ses promesses et dont le transfert de technologie intégral est assuré.

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L’avion de combat de 5ème génération développé par l’Inde et la Russie est dérivé du T-50 PAK FA de Sukhoi. - photo Sukhoi

Moscou de son côté poursuit le développement du T-50. A ce jour les cinq prototypes ont effectué plus de 300 vols. Un sixième prototype est en cours de finition dans les ateliers de Sukhoi à Komsomolsk sur Amour. Et la société russe Rostec, abréviation de « Technologies russes » ne tarit pas d’éloges sur les promesses d’un avion dont la furtivité serait largement supérieure à celle du F-22 Raptor américain.

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Le différend qui oppose russes et indiens porte notamment sur la motorisation du FGFA - photo Sukhoi

Sa signature équivalente radar serait comprise entre de 0,1 et 0,3 M2 contre 0,4 M2 pour le Raptor. Pour faire simple, l’avion de combat russe, dans des conditions optimales, ne serait pas plus visible pour un radar de conduite de tir qu’une balle de tennis !
Par comparaison la signature d’un SU-27 est plus proche de celle d’un autobus.
Des progrès qui s’expliquent par des formes planes soigneusement étudiées, ou les bords d’attaque et les bords de fuite sont alignés.

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L’Inde souhaite se doter de 144 FGFA - photo Sukhoi

La qualité d’assemblage évite au maximum les interstices, entre les différents organes, tandis que les compresseurs des moteurs sont « masqués » par des dispositifs incorporés dans les entrées d’air. Enfin, la cellule qui fait largement appel à des matériaux composites, est dotée de revêtements absorbant les ondes radar. On peut dans le détail voir des surimpressions en forme de zigzag sur des points clés de la structure du T-50. Ces zébrures dissipent l’énergie radar reçue autour de zones clés de l’appareil tels que les bords d’attaque de voilure.

Les protubérances, et autres arrêtes sont évitées au maximum. Ainsi les antennes radio sont intégrées dans la peau de l’avion. C’est le cas des aériens V/UHF et HF placés dans les dérives. Le capteur optronique OSF se rétracte dans le nez de l’avion pour masquer son optique à des senseurs adverses. Les armements sont logés dans une large soute ventrale afin d’éviter les points brillants que sont les points d’emport sous voilure.

Il n’empêche, la Russie reconnaît que, à l’instar du F22 Raptor ou du Rafale, il faudra encore de nombreuses années avant que le T-50 ne soit définitivement au point. L’avion sera produit en deux versions. Une première version avec des moteurs provisoires AL-41F améliorés (117S) et une version de base du système d’arme, dérivée de celle du SU-35 présentée au Bourget, dotée d’un radar à antenne active N036 munie de 1526 modules émetteurs récepteurs et fonctionnant en bande X. Son ensemble d’autoprotection L402, signé KNIRTI utilise entre autres, l’antenne radar principale ainsi que des antennes actives secondaires déployées entre les deux moteurs et sur les côtés de l’avion.

Moscou prévoit de mettre en service 60 T-50 de première génération d’ici à 2016.
Il sera suivi d’une version plus évoluée avec de nouveaux moteurs désignés Izdelye 30 (article 30) plus puissants produisant 177 Kn de poussée en cours d’étude, des tuyères à poussée dirigée améliorées et un radar NO36 complété par des antennes latérales fonctionnant en bande L intégrées dans les bords d’attaque de voilure. Ainsi équipé le T-50 pourra traquer à plusieurs centaines de kilomètres des cibles à 360 degrés autour de lui. C’est précisément cet avion là que souhaitent acquérir l’Inde, à hauteur de 144 unités, et la Russie, dans dix ans au mieux. Un pari qualifié de très ambitieux par de nombreux experts.

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 17:40
Sukhoi Su-27

Sukhoi Su-27

 

MINSK, 10 décembre - RIA Novosti

 

Quatre chasseurs russes Sukhoi Su-27 ont rejoint mardi les chasseurs biélorusses pendant une mission de patrouille en Biélorussie.

 

Les chasseurs russes et leur personnel technique sont arrivés à la 61e base aérienne biélorusse de Baranovitchi, dans la région de Brest, dimanche dernier.

 

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a déclaré, pendant sa visite à Minsk au printemps dernier, que la Russie avait l'intention de déployer un régiment aérien en Biélorussie d'ici 2015. Il a également annoncé qu'une patrouille de chasseurs arriverait en Biélorussie dès 2013.

 

Le commandant en chef de l'Armée de l'air russe Viktor Bondarev a ensuite rapporté que la base aérienne russe serait installée à Lida, dans la région de Grodno, en 2013. Selon lui, la base sera équipée de chasseurs modernisés Su-27SM3.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:35
India Pushes Russia For Greater Inclusion In Fifth Generation Fighter Aircraft Development

 

November 27, 2013 By Ankit Panda - thediplomat.com

 

India wants a greater stake in the development of a Sukhoi T-50-variant Fifth Generation Fighter Aircraft.

 

India and Russia have been long-term collaborators on defense technology. The two countries together produced the supersonic BrahMos cruise missile — the fastest cruise missile in production. The relationship hasn’t always been balanced in India’s favor, however, and this has come to light recently with India’s stake in the development of the Fifth Generation Fighter Aircraft, based on the Russian Sukhoi T-50 (PAK FA).

According to Defense NewsIndia has conveyed its displeasure to Russia over its “low level of participation in the joint development of the Fifth Generation Fighter Aircraft (FGFA), despite being an equal financial partner in the project and placing an order of more than US $30 billion for the new planes.” The joint effort is a major component of India’s continued air force modernization. According to RIA Novosti, India currently bears 50 percent of the costs of development.

In a visit to Moscow earlier this month, Indian Defense Minister A. K. Antony pushed Russia to increase India’s share of the development work to 50 percent, in line with its financial equity in the project. Antony, speaking at the 13th meeting of the India-Russia Inter-Governmental Commission on Military Technical Cooperation, stressed the necessity for the two longterm partners to cooperative equally in “all the phases — design, development and production — in the execution” of the FGFA project.

New Delhi’s push for equitable inclusion in military technical cooperation with Russia is related to its long-unachieved strategic goal of developing self-sufficiency in indigenous military production. India is the world’s largest importer of weapons technology. Indeed, Defense News cited a Russian diplomat in New Delhi as saying that part of the reason that the Russians limited India’s share in the FGFA project is due to “India’s capabilities in military aircraft research and industrial infrastructure.”

The agreement to jointly develop the FGFA was signed between the Indian and Russia Air Forces in 2007, with the final design, research, and joint development contract expected to exceed more than $10 billion. Although that contract is yet to be signed, Defense News reports that “In December 2010, Rosoboronexport, India’s state-owned Hindustan Aeronautics and Russian aircraft-maker Sukhoi signed a preliminary design development contract worth $295 million.”

The Indian Air Force is likely to order around 200 units of the single-seat, twin-engine fighters. The Sukhoi T-50 possesses a supersonic cruising ability which, combined with its ultra-manuverability, makes it a potent addition to the Indian Air Force. The jet is expected to increase the versatility of the Indian Air Force. As part of India’s stake in the development of the aircraft, it is expected to be able to specifically tune the units it purchases to the specific needs of its air force.

Antony’s visit to Moscow came just a couple days after India inducted the INS Vikramaditya — formerly the Russian Admiral Gorshkov. India’s naval modernization, which has reached new heights in recent years, has largely been dependent on its cooperation with Russia as well. In his recent visit, Antony also addressed a prospective nuclear submarine lease from Russia to India.

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 16:45
L’Angola veut de nouveaux avions de combat Sukhoi

 

17 octobre 2013 Par Olivier Fourt - RFI

 

L'Angola vient d'acheter à la Russie des équipements militaires pour un milliard de dollars, notamment des avions de chasse. Le contrat a été signé la semaine dernière lors de la visite à Luanda du vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine. L'Angola retrouve ainsi son rang de principal client africain d'armement russe. En 2012, la Russie a annoncé avoir exporté près de 15 milliards de dollars d’armement dans le monde.

 

Clients africains

 

Après l'Algérie, c'est l'Angola qui achète massivement en Russie. Traditionnellement équipé de matériel soviétique, pendant toute la guerre froide, la dernière commande d'envergure datait de la fin des années 1990, avec l'acquisition d'une escadrille de Sukhoi-27 achetés d'occasion à la Biélorussie. Un chasseur de ce type fut perdu en juillet 2006, et la force aérienne angolaise a connu des difficultés à faire voler ces machines à la maintenance complexe.

 

Remise à niveau de l’armée angolaise

 

Depuis une dizaine d'années, l'armée angolaise a donc mis l'accent sur la formation de ses personnels, avec la mise en place d'une école de l'air moderne et d'un institut militaire technique, mais la situation des militaires du rang reste encore préoccupante notamment dans certaines casernes de l'armée de Terre, dont les équipements sont en partie dépassés, voire insalubres.

 

Le poids de la défense dans le budget

 

Pour 2013, le ministère de la Défense devait bénéficier d'un budget de 5,7 milliards de dollars, soit 8,26 % du budget national. Un effort qui, à en croire le quotidien russe Vedomosti, permet aujourd'hui à Luanda de se payer dix-huit avions de chasse Sukhoi-30 utilisés auparavant par l'armée de l'Air indienne.

 

Des fournisseurs diversifiés

 

L’an dernier, l'Angola avait décidé d'acquérir six avions d'entraînement brésilien Embraer Super Tucano dont le premier a été livré en juillet dernier. La police angolaise utilise, quant à elle, des hélicoptères Ecureuil fabriqués par le Franco-Allemand Eurocopter. Jusqu'alors l'armée de l'Air angolaise a refusé les offres chinoises malgré un fort lobbying pour pénétrer le marché militaire angolais.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 16:40
Sukhoi to deliver additional Su-34 aircraft to Russian Air Force

.A Russian Air Force's Su-34 fighter-bomber from Lipetsk airbase. Photo Vitaly V. Kuzmin.

 

15 October 2013 airforce-technology.com

 

The Russian Air Force (RuAF) will take delivery of 30 new Su-34 Fullback strike aircraft from Sukhoi by the end of 2014, the country's Ministry of Defence (MoD) has revealed.

 

RIA Novosti reported the MoD as saying in a statement that, ''the current [2013] year plan on the delivery of 14 [Su-34] aircraft under the state defense order will be fulfilled, and the plant has promised to deliver another 16 fighter-bombers next year.''

 

Citing a report by the Novosibirsk plant, the ministry also noted that a total of 124 Su-34 fighters are scheduled to be handed over by Sukhoi to the air force under two contracts by 2020.

 

The Russian military has to date taken delivery of 29 series-production Su-34 aircraft, according to official data.

"The ministry also noted that a total of 124 Su-34 fighters are scheduled to be handed over by Sukhoi to the air force under two contracts by 2020."

 

Manufactured by the Novosibirsk aircraft plant, the Su-34 is a 4+ generation aircraft and can engage a range of land-based, sea and airborne targets in all weather conditions and any visibility levels, using a range of airborne munitions, including high-precision types.

 

The aircraft is a two-seat derivative of the swing-wing Su-27 fighter, retaining its basic layout and construction, and also features increased takeoff weight and an advanced multimode-phased array radar with terrain following and terrain avoidance modes.

 

 

Additional features include a long-range aiming system, a modern on-board communication and an information exchange system, a complex survival system, an armoured cockpit and an active safety system, as well as new computers to manoeuvre and perform accurate bombing when under enemy attack.

 

The twin Lyulka AL-31FM1 turbofan engine-powered aircraft is eventually scheduled to replace the Russian Air Force and Navy's ageing Su-24 Fencer strike aircraft fleet.

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 11:40
SU-35 photo RP Defense

SU-35 photo RP Defense

MOSCOU, 23 juillet- RIA Novosti

 

Le groupe Sukhoï arrive en tête de liste des constructeurs russes d'avions de combat et occupe la 43e place pour le volume des ventes dans le classement établi par le magazine américain Defense News.

 

"Le magazine militaire Defense News a publié une étude annuelle du marché mondial des armements pour 2012. La place la plus élevée parmi les constructeurs russes de matériel aéronautique de guerre revient de nouveau au groupe Sukhoï. Le groupe s'est placé à la 43e position du classement établi selon le volume des ventes", lit-on dans un communiqué de Sukhoï.

 

Le top 100 comprend deux autres constructeurs aéronautiques russes: le consortium Irkout (62e place) et le fabriquant de chasseurs MiG (93e place).

 

"Le magazine Defense News constate que dans son ensemble, le volume des  ventes réalisées en 2012 par les 100 plus grands producteurs d'armements ont chuté de 3%. Seule la Russie a enregistré une augmentation substantielle de ses exportations d'armes", souligne le communiqué.

 

Selon le document, "les succès notables des sociétés russes s'explique dans une large mesure par la hausse des exportations qui ont plus que doublé depuis 2005".

 

Le consortium américain Lockheed Martin arrive en  tête du top 100, suivi de Boeing et du groupe britannique BAE Systems.

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 07:40
A Batch of Su-34 Front-Line Bombers Was Transferred to the Russian Air Force

At its Novosibirsk factory on July 9, Sukhoi handed over three additional Su-34 bombers to the Russian Air force; three others were delivered in May under the 2013 delivery contract. (Sukhoi photo)

 

July 9, 2013 Source: Sukhoi Company

 

The ceremony of transfer of the serial Su-34 front-line bombers to the Russian Air Force was held today at the Novosibirsk branch of the Sukhoi Company – V.P. Chkalov Novosibirsk aircraft plant (NAZ).

 

Three aircraft took off and headed to the place of their deployment.

 

The first aircraft of the 2013 State Defense Order was transferred to the military at the beginning of May this year and is already in service.

 

Implementation of the 2013 State Defense Order at the Novosibirsk aircraft plant is in full swing. The company's management noted a high degree of readiness of aircraft, which is the guarantee of a full and timely implementation of the 2013 State Defense Order.

 

The large government contracts signed with the Ministry of Defense of the Russian Federation in 2008 and 2010 for the supply of Su-34 have created the conditions for a stable work load of the plant in the long run, and determined its long-term development prospects.

 

The Su-34 aircraft produced by the NAZ have been successfully operated in the armed forces demonstrating high performance, according to the military.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 15:40

24.06.2013 by Salon du Bourget

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:40
The Russian air force will begin flight-testing the Sukhoi T-50 fighter in 2014, after it completes preliminary flight testing by the end of this year. (UAC photo)

The Russian air force will begin flight-testing the Sukhoi T-50 fighter in 2014, after it completes preliminary flight testing by the end of this year. (UAC photo)

 

April 24, 2013 defense-aerospace.com

(Source: RIA Novosti; published April 23, 2013)

 

MOSCOW --- Russia will start state flight tests of its fifth-generation T-50 fighter jet in 2014, United Aircraft Corporation's President Mikhail Pogosyan told reporters on Tuesday.

 

“In 2013 we are expected to wrap up its preliminary tests and start operational testing. In 2014, we are planning to start official state tests,” Pogosyan said on Tuesday, adding "the first stage of the state trials should be complete by 2015."

 

The test program involves six prototype airframes, including four flying, one static and one systems test airframe. Another flying prototype will join the tests this year, Pogosyan said. "Flight testing this year will go ahead with five aircraft," he said.

 

The T-50, also known as PAK-FA (future tactical fighter aircraft), first flew in January 2010 and was presented to the public at the Moscow Air Show in 2011.

 

The T-50, which will be the core of Russia's future fighter fleet, is a fifth-generation multirole fighter aircraft featuring elements of "stealth" technology," super-maneuverability, super-cruise capability (supersonic flight without use of afterburner), and an advanced avionics suite including an X-band active phased-array radar.

 

India will also buy a fighter aircraft based on the T-50, known as the FGFA (fifth-generation fighter aircraft).

 

United Aircraft Corporation is the state holding company uniting Russia's aircraft building industry including Sukhoi, a military and civil aircraft manufacturer.

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 07:30
Sukhoi fighters to be equipped with BrahMos missiles

June 19, 2012 idrw.org SOURCE: PTI

 

 India is moving towards joining the club of few countries having air-launched cruise missiles with a proposal to equip IAF’s frontline fighter aircraft Su-30 MKI with BrahMos.

 

The Cabinet Committee on Security (CCS) is soon expected to consider the proposal of the Defence Ministry to procure the air-launched version of the 290-km-range BrahMos supersonic cruise missiles for the Indian Air Force, sources said.

 

The proposal involves sanctioning of funds for the integration and testing of the BrahMos missile on the Russian-origin Su-30MKI of the IAF, they said.

 

As per the plans, the first test of the air-launched version of the supersonic cruise missile, developed jointly by India and Russia, is to be conducted by December-end.

 

Sources said two SU-30 MKI of the IAF would be modified indigenously by the Hindustan Aeronautics Limited (HAL) at its Nasik facility where they will also be integrated with the aerial launcher developed by the BrahMos.

 

The BrahMos missiles integrated on the Su-30s will help the IAF in achieving the capability to deliver a deadly-blow to enemy formations from stand-off ranges of around 300 km without getting close to them.

 

The air-launched version, they said, will be lighter and smaller than the land-based version of the missile so that it can be fitted to the aircraft.

 

One of the two speed boosters in the missile has been removed for the air version of the weapon system as after being launched from an aircraft moving at a speed of more than 1.5 mach, the missile will automatically gain its momentum and maintain its speed of 2.8 mach, the sources said.

 

The range and speed of the missile will remain the same as that of its land and ship-launched versions, they said.

 

At present, only a few countries like the US have air-launched cruise missiles.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 12:30
Russia delivers last Su-30s to Uganda

 

Jun. 7, 2012 by Vladimir Karnozov - FG

 

Moscow - Uganda has received its last of six Sukhoi Su-30MK2 two-seat multirole fighters, according to Russian media reports.

 

Russian arms export agency Rosoboronexport signed a preliminary agreement with Uganda in April 2010, but protracted negotiations meant that a deal worth a reported $740 million was only signed in May 2011.

 

A first batch of two Su-30s was delivered last July, with a second pair having followed in October.

 

The Su-30s join Uganda's active fleet of seven Mikoyan MiG-21s, as recorded in Flightglobal's MiliCAS database.

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 17:45
Les mystères du bombardement du camp français de Bouaké en Côte d'Ivoire

 

15.12.2010 par Jean-Philippe Rémy,  Correspondant régional Afrique, Johannesburg - lemonde.fr

 

Le pic de la tension entre la France et la Côte d'Ivoire a sans doute été atteint en novembre 2004. Alors que le pays était scindé entre le Sud, contrôlé par Laurent Gbagbo, et le Nord, aux mains des rebelles des Forces nouvelles, l'opération "Dignité" devait permettre aux troupes loyalistes de reprendre le contrôle de l'ensemble du territoire aux rebelles des Forces nouvelles. L'offensive avait débuté par des attaques de l'aviation ivoirienne contre des villes rebelles grâce à l'acquisition d'hélicoptères de combat et d'avions de chasse achetés par la Côte d'Ivoire malgré un embargo des Nations unies.

L'opération "Dignité" a tourné à la catastrophe, le 6 novembre, lorsque deux de ces Sukhoï, pilotés par des Biélorusses (avec des copilotes ivoiriens) ont attaqué un camp de soldats français (installé au lycée Descartes de Bouaké) de la force Licorne, déployée pour tenir une "zone de confiance" entre le Sud et le Nord.

Neuf soldats français et un civil américain réfugiés dans le camp pour se protéger des attaques aériennes avaient été tués. Des militaires français avaient ensuite détruit l'aviation ivoirienne, déclenchant à Abidjan de gigantesques émeutes antifrançaises, conduisant à plus de 8 000 évacuations. Dans le chaos, l'armée française avait ouvert le feu à plusieurs reprises sur des foules hostiles. Ce dossier demeure un des grands contentieux entre les deux pays.

Or les pilotes des Soukhoï impliqués dans l'attaque du camp français, arrêtés à Abidjan, ont été détenus quatre jours par l'armée française avant d'être autorisés à quitter la Côte d'Ivoire et se rendre au Togo. Là, le gouvernement les a arrêtés avant de proposer aux Français de les interroger.

 

SURPRISE

Un peu plus d'un an plus tard, l'ex-ministre de l'intérieur du Togo, François Boko, est reçu "à sa demande" dans une ambassade américaine pour y raconter le passage des pilotes dans son pays, dossier sur lequel il avait toute autorité à l'époque. Il confirme alors aux diplomates américains que "les six pilotes et les techniciens" impliqués dans le pilotage et la maintenance des Soukhoï ont bien été détenus à Lomé.

Auparavant, les avions de chasse étaient aussi passés par là. C'est par le Togo que la Côte d'Ivoire avait importé ce matériel, en violation de l'embargo de l'ONU : "Les deux Soukhoï 25 utilisés dans le bombardement ont été fournis au GCI [gouvernement de Côte d'Ivoire] par l'ex-gendarme français Robert Montoya. [Il] se les était procurés, ainsi que d'autres avions et d'autres types de matériel, en Biélorussie. Il avait aussi engagé des pilotes et des techniciens biélorusses. Les avions sont arrivés en pièces détachées au Togo, où ils ont été assemblés avant de voler jusqu'à la Côte d'Ivoire."

François Boko insiste : "Les responsables togolais étaient informés de la présence des avions et des pilotes-techniciens au Togo. (…) Les forces françaises aussi devaient être au courant de cette présence puisque les avions biélorusses étaient garés dans la partie de l'aéroport de Lomé utilisée par les Français pour leurs propres missions aériennes de soutien des troupes françaises en Côte d'Ivoire."

Plus étrange est le refus des autorités françaises d'interroger les pilotes, comme François Boko le leur propose après leur avoir "communiqué leur identité et leurs activités via l'ambassade de France à Lomé, mais aussi par l'intermédiaire du général Poncet, qui commandait alors l'opération Licorne en Côte d'Ivoire".

 

LE CAS DE ROBERT MONTOYA ÉVOQUÉ

L'ex-ministre de l'intérieur togolais exprime ensuite sa surprise : "Après avoir gardé les neuf Biélorusses environ deux semaines, Boko se voit demander par les Français (y compris par le général Poncet, qui a communiqué directement avec Boko) de les relâcher. La seule explication qu'on lui ait fourni (à nouveau, en incluant celle du général Poncet), a été que la France 'ne cherchait pas à compliquer ses relations avec la Biélorussie'", conclut l'auteur du télégramme.

François Boko poursuit sur le cas de Robert Montoya, ancien membre de la cellule antiterroriste de l'Elysée compromis dans les années 1980 dans une affaire d'écoutes téléphoniques, et installé entre le Togo et plusieurs autres pays. M. Montoya conseillait alors la présidence ivoirienne.

François Boko ajoute que "depuis que la presse française a commencé à écrire [à son] sujet, sa femme s'est rendue chez un notaire au Togo qui (...) a liquidé toutes [ses] sociétés avant d'en créer de nouvelles, avec des propriétaires différents". Depuis, Robert Montoya a été poursuivi mais l'essentiel des interrogations sur l'épisode franco-ivoirien de novembre 2004 demeurent.

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