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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 16:30
Syrie: Hollande lâché par l'Europe au G20

05/09/2013 Par Alexandrine Bouilhet envoyée spéciale à Saint-Pétersbourg – LeFigaro.fr

 

À peine arrivé au G20, où il est censé fédérer une coalition favorable à l'intervention en Syrie, François Hollande est lâché par ses plus proches alliés de l'Union européenne.

 

«Il n'y a pas de solution militaire en Syrie», a insisté Herman Van Rompuy, le président de l'Union européenne. «La solution doit être politique», et s'inscrire dans le cadre de l'ONU, a martelé le représentant de l'UE à Saint-Pétersbourg, appuyé par José Manuel Barroso, le président de la Commission.

 

Les dirigeants européens n'ont pas de mots assez durs pour qualifier l'attaque chimique du 21 août en Syrie, un «crime contre l'humanité», selon Herman Van Rompuy, mais ils refusent de donner leur caution à une intervention militaire.

 

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 12:55
Syrie : le ministère français de la Défense passe ses sites Internet en alerte rouge

05.09.2013 Alain Ruello – LesEchos.fr

 

EXCLUSIF - Le niveau de surveillance et les astreintes ont été renforcées au maximum depuis jeudi pour éviter tout piratage des sites communiquant avec l’extérieur.

 

Même si aucune attaque n’a été décelée à ce jour, le ministère de la Défense a passé en alerte rouge jeudi dernier l’ensemble de ses systèmes informatiques connectés à Internet, a-t-on appris de bonne source. Cela concerne plusieurs centaines de sites, certains intimement liés à l’armée, comme celui de la Dicod - la direction de la communication - ou un peu plus distants, comme ceux d’associations ou de mutuelles.

 

Concrètement, les astreintes des équipes spécialisées ont été augmentées, les patch de sécurité logiciels que l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (l’Anssi) diffuse régulièrement sont appliqués sans tarder, et les prestataires sont tous alertés (il s’agit principalement de Prosody). Il s’agit bien sûr d’augmenter la capacité de réaction, au cas où.

 

Armée électronique syrienne

 

A ce stade, rien à signaler. La mise en ligne lundi soir des vidéos des massacres à l’arme chimique sur le site de la Dicod (Délégation à l'information et à la communication de la Défense) a provoqué l’écroulement des serveurs, faisant croire un instant à un acte de piratage. D’autant que la fameuse Armée électronique syrienne a déjà frappé, essentiellement aux Etats-Unis, comme on pu s’en apercevoir les lecteurs du « New York Times ».

 

Tout dernièrement, c’est le site de recrutement du corps des Marines qui a été touché  : ceux qui étaient tentés de s’engager ont eu la surprise de voir apparaître une page appelant les soldats américains à ne pas prendre part aux frappes que pourraient décider le président Obama.

 

D’où la vigilance accrue à Paris. L’opération malienne s’était accompagnées d’attaques, mais d’ampleur très limitée, puisqu’elles avaient principalement concerné le site historique de l’armée. Si les réseaux Internet sont passés en Vigipirate rouge, les autres systèmes d’informations, c’est-à-dire ceux qui servent au fonctionnement du ministère mais qui ne sont pas ouverts sur l’extérieur, sont toujours en jaune.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 12:30
Synthèse nationale de renseignement déclassifié

02.09.2013 gouvernement.fr

Programme chimique syrien - Cas d’emploi passés d’agents chimiques par le régime - Attaque chimique conduite par le régime le 21 août 2013.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie/intervention: Moscou saisira l'AIEA sur les risques nucléaires

MOSCOU, 5 septembre - RIA Novosti

 

La Russie évoquera les risques nucléaires liés à une possible frappe américaine contre la Syrie lors de la prochaine session du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a déclaré jeudi le ministère russe des Affaires étrangères.

"La Russie évoquera ce sujet dans le cadre de la session du Conseil des gouverneurs de l'AIEA qui débutera le 9 septembre prochain", a fait savoir le ministère.

Auparavant, le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch a indiqué qu'une intervention militaire occidentale en Syrie constituait une menace pour la sécurité nucléaire de la région.

Par la suite, Moscou a appelé le secrétariat de l'Agence à présenter une analyse des risques liés aux possibles frappes américaines contre le territoire syrien.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:30
How Russia Defies Syria Sanctions

September 5, 2013: Strategy Page

 

Russia has shipped a billion dollars’ worth of weapons to Syria since the civil war there began in 2011. Russia insists that this is not in violation of arms embargoes against Syria and are simply deliveries of weapons ordered before 2011. In the last year Syria has delivered over $200 million in cash to Russian banks to keep these weapons coming (mainly S-300 anti-aircraft systems and anti-ship missiles) and their warranties operational. These purchases are being paid for by Iran, which flies in the cash to a Syrian financial operation in Moscow. The cash is then delivered to Russian government accounts via a Moscow bank. The Syrian Moscow operation is run by an uncle of Syrian dictator Basher Assad.

 

These Russian shipments are not challenged by the international community because they are, technically, defensive weapons and cannot be used to attack the rebels. Another problem that is less clear is whether the weapons are being sent to Iran. That is illegal but without any clear evidence of such transfers there’s nothing anyone can do. The cash transfers are also illegal, since Iran is banned from the international banking system for anything involving weapons, oil sales and military equipment in general. But no one is going to shut down air traffic between Iran and Russia.

 

Meanwhile, at least 14 Russian cargo ships arrived in Syria since 2011, plus numerous air freight flights. Recently Russia has quietly approved new shipments of small arms, which is forbidden but can be flown in and join similar weapons Syria had before 2011. Russia appears to believe that no one will challenge this either.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie: les pays arabes prêts à financer l'intervention américaine (Kerry)

WASHINGTON, 5 septembre - RIA Novosti

 

Les pays arabes ont proposé de prendre en charge les frais d'une éventuelle intervention américaine en Syrie, a déclaré mercredi à Washington le secrétaire d'Etat US John Kerry.

"Les pays arabes nous ont effectivement proposé de couvrir les frais de l'opération militaire (...). Nous examinons cette proposition", a indiqué le chef de la diplomatie américaine s'exprimant devant le comité des Affaires étrangères de la Chambre des représentants.

La Ligue arabe a exclu la Syrie de ses rangs, tandis que certains pays arabes à majorité sunnite fournissent des armes à l'opposition syrienne combattant les forces fidèles au président Bachar el-Assad. L'Arabie saoudite et le Qatar sont considérés comme les principaux sponsors des anti-Assad.

Washington accuse le régime de Bachar el-Assad d'avoir employé le 21 août dernier des armes chimiques contre l'opposition armée et la population civile dans une banlieue de Damas. Le président américain Barack Obama a pris la décision de lancer une opération militaire contre les autorités syriennes sans mandat du Conseil de sécurité de l'Onu, mais a demandé l'aval du Congrès.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:30
Re-examining Syria from a naval perspective

4 September 2013 naval-technology.com

 

Syria's Navy is the smallest component of the nation's armed forces. While it is relatively neglected, with a budget estimated at only £90m annually, it is still the first line of defence on its Eastern Mediterranean flank and warrants consideration. As the situation in Syria and deliberation on possible intervention in the Mediterranean country escalates, Simon Williams examines the country's naval posture.

 

Maritime situational awareness in Syria

 

Syria's Mediterranean coastline measures 183km along Latakia and Tartus provinces. Although not a party to the United Nations Convention on the Law of the Sea, Syria does indeed abide by the Convention's zonal regulations, claiming a territorial sea of 12 nautical miles, contiguous zone with security jurisdiction of 24 nautical miles (which includes the territorial sea) and a 200 nautical mile Exclusive Economic Zone. The territorial sea has a total area of 3,866 km².

 

According the US Navy Judge Advocate General Corps, Syria still requires that foreign warships and atomic submarines obtain permission from Damascus before entering and transiting its territorial sea. The US, also a non-party to the Law of the Sea Convention, does not recognise the jurisdiction of Syria to this affect and protests these claims through regular operational assertions.

 

Last year, the Syrian Air Defense Force shot down a Turkish RF-4E, which, according to the Syrian military, "penetrated air space over [Syrian] territorial waters."

 

"Last year, the Syrian Air Defense Force shot down a Turkish RF-4E, which, according to the Syrian military, "penetrated air space"."
 

Not only does this incident demonstrate that the country maintains sufficient surface-to-air capabilities to carry out such rapid reaction operations, but also serves as an example that Syria may not be so passive to naval or aviation encroachment on its territorial sea (12 nautical miles). It again elucidates that the nation deviates from international norms of scrambling fighters to intercept airspace probes, and instead skips directly to unleashing the metal.

 

It is important to clarify, however, that this may not be a purely political stance, but a genuinely operational one. President Assad even commented on the situation to Turkish media outlet Cumhuriyet, saying: "In this environment, the coming of a plane like that is perceived as an enemy plane. Those who understand military understand these things. A country anywhere in the world would behave like this. This definitely isn't a political decision."

 

Should this be the case, it illuminates the Syrian military's responsive instinct of engaging with potential enemy targets entering its territorial sea or airspace without warning. Understanding this reaction, perhaps, is of vital magnitude in evaluating the initial response Syria may take to a 'hypothetical' engagement coming from the Mediterranean.

 

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Re-examining Syria from a naval perspective
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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:30
Russian missile boats Ivanovets (954) and R-44 (966).-2005 Karantinnaya-bukhta

Russian missile boats Ivanovets (954) and R-44 (966).-2005 Karantinnaya-bukhta

MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti

 

Deux navires de la flotte russe de la mer Noire - la vedette lance-missiles Ivanovets et le navire lance-missiles Chtil - arriveront au large de la Syrie le 29 septembre, a annoncé mercredi à Moscou un représentant haut placé de l'Etat-major général des Forces armées russes.

 

"Selon le commandement de la Marine et de l'Etat-major général, deux navires lance-missiles - Ivanovets et Chtil - partiront prochainement à destination de la Syrie. Ils arriveront au large de la Syrie le 29 septembre", a indiqué l'interlocuteur de l'agence RIA Novosti.

 

Les deux bâtiments auront pour mission de protéger les grands navires de débarquement qui se trouveront dans la région, selon lui.

 

Les navires Ivanovets et Chtil sont dotés de missiles antinavires Moskit et Malakhit.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:50
Syrie: 7 pays de l'UE favorables à une intervention sans l'aval de l'ONU

BRUXELLES, 4 septembre - RIA Novosti

 

La France et six autres pays membres de l'UE soutiennent l'idée d'effectuer une frappe militaire contre la Syrie sans l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU, a annoncé mercredi à RIA Novosti une source diplomatique européenne à Bruxelles.

Outre la France, "Le Danemark, la Croatie, la Roumanie, la Grèce, la Lettonie et Chypre se prononcent en faveur de l'opération militaire contre la Syrie sans le feu vert de l'ONU", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

Les chefs de la diplomatie des 28 pays de l'UE devront adopter une position commune à cet égard lors d'une rencontre informelle prévue les 6 et 7 septembre à Vilnius.

Le président américain Barack Obama a demandé le 31 août au Congrès de donner son feu vert à une opération militaire contre la Syrie. Washington accuse les autorités syriennes d'avoir utilisé des armes chimiques dans une banlieue de Damas le 21 août dernier lors d'une attaque aurait fait 1.400 morts.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
MQ-1 Predator armed with Hellfire missiles flies over southern Afghanistan. Photo USAF

MQ-1 Predator armed with Hellfire missiles flies over southern Afghanistan. Photo USAF

05/09 LesEchos.fr (Reuters)

 

Les drones, arme de prédilection des Etats-Unis dans leur combat contre al Qaïda, ne devraient pas figurer au premier rang des armes qui seront utilisées en Syrie si Washington devait mettre à exécution son projet de sanctionner Damas pour avoir utilisé des armes chimiques contre son peuple.

 

Les drones, utilisés en frappes ciblées au Pakistan ou au Yémen contre des membres présumés d'Al Qaïda, ne sont pas conçus pour des combats aériens et seraient vulnérables à la défense antiaérienne et aux radars syriens, d'autant plus qu'ils sont beaucoup plus lents que les avions de guerre traditionnels.

 

Les drones sont également utilisés pour protéger les militaires américains en Irak et Afghanistan, c'est-à-dire dans des pays dont l'espace aérien n'est pas protégé.

 

En outre, les missiles Hellfire qui équipent en général ces avions sans pilote, n'ont pas la puissance de feu des missiles de croisière qui seront vraisemblablement utilisés dans le cadre des frappes limitées souhaitées par Barack Obama contre les forces du président syrien Bachar al Assad.

 

Les frappes de drones au Pakistan et au Yémen ont considérablement augmenté sous la présidence de Barack Obama, à tel point que ces engins sans pilote sont devenus une partie clé de la lutte contre al Qaïda. Les Etats-Unis les utilisent aussi en Somalie, en Libye et en Irak et ont été autorisés cette année à en stationner au Niger.

 

Mais la configuration des opérations en Syrie ne se prête pas à l'utilisation de drones, du moins pas dans un premier temps.

 

"Quand on ne contrôle pas l'espace aérien, ils sont lents, bruyants et très faciles à abattre. Ils ne sont vraiment pas si utiles quand il s'agit d'Etats comme la Syrie", commente Audrey Kurth Cronin, professeur à l'Université George Mason.

 

Les missiles de croisière Tomahawk ont des bombes deux fois plus puissantes que celles des missiles Hellfire des drones. En outre, leur vitesse est proche de celle du son, ce qui les rend beaucoup moins vulnérables à la défense antiaérienne.

 

Les Etats-Unis disposent de quatre frégates en Méditerranée orientale qui peuvent être équipées de Tomahawk dont la portée est d'environ 1.610 km.

 

DRONES ESPIONS

 

Dans le cas où la défense aérienne syrienne serait touchée par des frappes américaines, les drones pourraient être utilisés pour des missions de surveillance et éventuellement pour des frappes ciblées.

 

L'avantage des drones est qu'ils peuvent être actionnés à distance et notamment à partir de bases aux Etats-Unis, ce qui limite, voire supprime, le risque pour les personnels qui les guident.

 

Toutefois, les faire entrer en action à un stade ultérieur pourrait être le signal d'un engagement plus long que celui de quelques semaines que Barack Obama vise en Syrie, soulignent les analystes.

 

L'armée de l'air américaine actionne aussi des appareils pilotés à distance à partir de la base aérienne d'Incirlik en Turquie mais les autorités américaines ne se sont pas exprimées sur leur mission.

 

Ils ont été utilisés par le passé pour des missions de surveillance le long de la frontière syro-turque, mais ils ne sont pas forcément utilisés en ce moment en survol de l'espace aérien syrien.

 

Les Etats-Unis ont aussi des drones espions RQ-170 Sentinel, dont la forme leur permet d'éviter les radars, mais leurs défauts sont apparus au grand jour en 2011 quand un de ces appareils s'est écrasé en Iran. Téhéran affirme qu'elle a pris le contrôle de l'avion et qu'elle l'a forcé à s'écraser, ce que les autorités américaines démentent.

 

"Nous pensons aux drones comme substitut de bombardier furtif ou quelque chose de ce genre. Or, ils ne le sont pas du tout", explique Daniel Byman, spécialiste de la sécurité à la Brookings Institution.

 

Toutefois, l'efficacité de la défense antiaérienne syrienne pourrait avoir été exagérée.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: l'obus chimique d'Alep est de fabrication artisanale (experts russes)

MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti

 

L'obus chimique utilisé dans la ville syrienne d'Alep le 19 mars n'est pas une munition régulière de l'armée syrienne, mais un engin de fabrication artisanale, a annoncé mercredi le ministère russe des Affaires étrangères se référant aux experts russes.

"L'obus utilisé à Alep n'est pas une munition régulière de l'armée syrienne, mais un engin de fabrication artisanale dont le type et les paramètres ressemblent à deux des roquettes non guidées fabriquées par la brigade Bashayer Al Nasr dans le nord de la Syrie", a indiqué le ministère.

Début juillet, le représentant permanent de la Russie auprès de l'ONU Vitali Tchourkine a annoncé que l'obus utilisé par les rebelles syriens le 19 mars près d'Alep contenait du gaz sarin. Les résultats d'analyse effectuée par les experts de laboratoires russes certifiés par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) ont été transmis au secrétaire général de l'organisation, Ban Ki-moon.  

Le 26 août dernier, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que l'obus qui a explosé le 21 août dans une banlieue de Damas et renfermant probablement des substances chimiques de combat ressemblait à celui qui avait explosé en mars dernier près d'Alep.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

Sep 4, 2013 ASDNews (AFP)

 

An international coalition for action against Syria is growing, Secretary of State John Kerry told US lawmakers Wednesday, adding Arab nations had even offered to help pay for any strikes.

 

"We are building support with ... other countries, among them the Arab League," Kerry said, as the US administration tries to sell its plan for military action to punish Damascus for its alleged use of chemical weapons.

 

"Specific countries that have talked in terms of acting" were "Saudi Arabia, the Emirates, Qataris, the Turks and the French."

 

The move comes after a suspected chemical weapons attack on a suburb of the Syrian capital last month, which Washington says killed 1,400 people.

 

The United States had reached out to more than 100 countries as it works to shape a coalition in favor of military intervention, the top diplomat told a House of Representatives committee.

 

President Barack Obama has insisted the Syrian regime of his counterpart Bashar al-Assad has crossed a red line against the use of chemical weapons and should be punished with his military capability degraded.

 

"Thirty-one countries or organizations have stated publicly or privately that the Assad regime is responsible for this attack, and that was before our evidence package was put together," Kerry said.

 

"And 34 countries or organizations have indicated that if the allegations prove to be true, they would support some form of action against Syria."

 

He even suggested the United States had too many offers of help as he sought for a second day to persuade US lawmakers to back Obama's plan for limited missile strikes against the Syrian regime.

 

"A number of them have asked to be part of a military operation," he told the four-hour hearing. "The Turks, a NATO country, have condemned (the attack), pinned it on Assad, asked to be part of an operation."

 

"The French have volunteered to be part of an operation. There are others who have volunteered. But frankly ... we got more volunteers that we can use for this kind of an operation," Kerry said.

 

And a number of Arab League countries had offered to help bear the cost, he said, adding the amount on the table was "quite significant."

 

"Some of them have said that if the United States is prepared to go do the whole thing the way we've done it previously in other places, they'll carry that cost. That's how dedicated they are to this."

 

He was appearing before the House Foreign Affairs committee on the second day of the administration's blitz on Capitol Hill to convince lawmakers to approve limited military strikes.

 

In a sign of public opposition to the plan, anti-war demonstrators held up red-stained hands behind Kerry's head in a silent protest as he spoke.

 

But he told the panel Assad now only had "three principle supporters" -- Iran, Hezbollah and Russia -- while "the rest of the world is in horror of what is happening."

 

Defense Secretary Chuck Hagel even alleged that some of Assad's stockpile of chemical weapons had come from Moscow.

 

Asked which countries were handing over such arms, Hagel replied: "Well, the Russians supply them. Others are supplying them with those chemical weapons. They make some themselves."

 

Obama's plan for military strikes passed its first congressional hurdle Wednesday, with a draft resolution authorizing limited military intervention for 90 days passing the Senate Foreign Relations Committee.

 

It will now be debated by the full Senate, with the House due to take up consideration of the proposed measure next week.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: une frappe militaire présente un risque nucléaire (Moscou)

MOSCOU, 3 septembre - RIA Novosti

 

Une intervention militaire occidentale en Syrie constitue une menace pour la sécurité nucléaire de la région, a déclaré mercredi à Moscou le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.

"Une opération militaire contre ce pays peut toucher des sites sensibles du point de vue de la sûreté nucléaire et de la non-prolifération nucléaire", a indiqué M.Loukachevitch.

"Si un engin frappe, exprès ou par hasard, le Réacteur miniature source de neutrons (MNSR) qui se trouve à Damas, cela peut avoir des conséquences catastrophiques, à savoir provoquer une pollution des territoires voisins à l'uranium hautement enrichi et aux produits de fission et rendre impossible le contrôle et la préservation des matières fissiles stockées dans ce site", a conclu le diplomate.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis ne veulent pas répéter les erreurs commises par les services de renseignement américains en Irak, a indiqué mercredi le président Barack Obama lors d'une conférence de presse conjointe avec le premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt.

"Après l'Irak, les gens prennent très au sérieux les accusations concernant les armes de destruction massive et la véracité de telles informations. Je ne veux pas répéter les erreurs commises par nos services de renseignement", a déclaré le dirigeant américain, ajoutant qu'il disposait de preuves convaincantes de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie.

Selon M. Obama, ce fait a été confirmé par les experts de l'ONU. Cependant, on ne sait pas encore laquelle des parties en conflit a lancé l'attaque chimique.

Les Etats-Unis et leurs alliés sont intervenus en Irak en mars 2003 sans l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU. Cette opération a été lancée suite à une fausse information des services de renseignement américains selon laquelle le dirigeant irakien Saddam Hussein possédait des armes de destruction massive. Après l'invasion de l'Irak par une coalition internationale avec à sa tête les Etats-Unis, les militaires américains et britanniques ont entrepris la recherche de ces armes. Or, ces dernières n'ont jamais été retrouvées.

Barack Obama a à plusieurs reprises déclaré qu'il considérait l'emploi d'armes chimiques en Syrie comme une "ligne rouge" dont le franchissement autoriserait une intervention armée.

Lors de la conférence de presse à Stockholm, le président américain a déclaré que la "ligne rouge" n'avait pas été tracée par lui, mais par toute la communauté internationale

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:20
US Senate panel approves use of force against Syria

Sep 4, 2013 ASDNews (AFP)

 

President Barack Obama's plan to conduct military strikes on Syria passed its first congressional hurdle Wednesday, paving the way for a full Senate debate on the use of force.

 

A divided Senate Foreign Relations Committee approved an amended resolution 10-7, that would authorize US military intervention with a 90-day deadline and bars American boots on the ground for combat purposes.

 

The Senate's newest member, Democrat Edward Markey, voted present.

 

Senate leaders have said the full chamber will debate and vote next week on authorization of the use of force in response to Syrian President Bashar al-Assad's apparent use of chemical weapons against his own people.

 

The House of Representatives, where a tougher vote is expected, will begin consideration next week but its leaders have not announced timing of a vote.

 

"What we've done today is a step in the right direction," said Senator Dick Durbin.

 

The chamber's number two Democrat voted against the Iraq war, but he insisted that "this is different."

 

"I really believe there is a moral component here that's critically important," he said, citing how all members of the committee are horrified by the attacks by Assad.

 

Senator Robert Menendez, the committee's chairman, said the resolution marks "a good foundation" for passing the Senate.

 

"This resolution strikes the type of balance that we are hearing from members on both sides of the aisle in both houses as to what their concerns are."

 

The White House commended the panel for "moving swiftly" to approve the measure.

 

"We will continue to work with Congress to build on this bipartisan support for a military response that is narrowly tailored to enforce the prohibition on the use of chemical weapons, and sufficient to protect (US) national security interests," the White House said.

 

Obama's administration had offered a draft text, but the committee's leaders re-worked it to set a time limit of 60 days plus a 30-day extension, and banned the use of any US ground troops in Syria to accomplish the mission.

 

But deep divisions emerged over the scope of the military action, and Republicans and Democrats voted in favor of the measure as well as against it.

 

Earlier in the day the committee held a three-hour classified session, with Secretary of State John Kerry selling the case to members before testifying at a panel of the House of Representatives, where lawmakers and analysts foresee a tough fight over giving Obama authority to strike.

 

"We need to send to Syria -- and to the world, to dictators and terrorists, to allies and civilians alike -- the unmistakable message that when we say 'never again,' we actually don't mean sometimes, we don't mean somewhere, we mean never again," Kerry told the House Foreign Affairs Committee.

 

The Senate text was modified to include language sought by Republican Senator John McCain, who had threatened a no vote unless the measure was toughened up.

 

The committee debated and ultimately approved his amendment, which declared it is "the policy of the United States to change the momentum on the battlefield in Syria," and urges a comprehensive US strategy boost the fighting capabilities of "elements of the Syrian opposition."

 

McCain voted yes but five fellow Republicans, including potential 2016 presidential candidates Rand Paul and Marco Rubio, voted against.

 

Paul, who unsuccessfully sought to limit the power of the president to "unilaterally authorize a military attack" where there is no imminent threat, said he was unconvinced that Obama's plan would achieve its goals.

 

"I frankly think that bombing Syria increases the likelihood of additional gas attacks, may increase attacks on Israel and Turkey, may increase civilian deaths, may increase instability in the Middle East and may draw Russia and Iran further into this civil war," he said.

 

Senate Democrat Tom Udall, an opponent of military intervention, introduced an amendment that would have narrowed Obama's military options as the lawmaker sought to prevent greater US involvement.

 

The Udall amendment, which McCain dismissed as "micromanagement," was defeated.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 17:20
Pourquoi Obama demande-t-il l’aval du Congrès sur la Syrie?

04/09/2013 par Julien Tourreille – 45eNord.ca

 

Samedi 31 août, le président Obama se dit convaincu de la nécessité d’une intervention militaire en réaction à l’emploi d’armes chimiques par le régime de Damas dix jours plus tôt. Il annonça cependant d’un même souffle vouloir obtenir l’accord du Congrès avant de lancer une telle opération.  Or, les représentants américains sont en vacances jusqu’au 9 septembre et le président n’a pas demandé leur rappel en urgence pour tenir une session extraordinaire. Alors que tout laisser à penser que des frappes sur la Syrie étaient imminentes, cette décision a pris par surprise l’ensemble des observateurs (moi le premier) et probablement bien des membres du Congrès. Comment expliquer cet apparent revirement de la part de Barack Obama ? Comment appréhender les prochains jours de discussion et de débat à Washington ?

Un stratagème pour sortir le président d’une situation délicate

Depuis samedi, des conseillers et des partisans du président américain soutiennent que sa volonté d’obtenir l’assentiment du Congrès avant de recourir à la force armée serait conforme aux convictions profondes que le futur hôte de la Maison-Blanche exprimait lors de la campagne présidentielle de 2008. Un tel propos est pour le moins surprenant. En effet, le président des États-Unis n’est constitutionnellement pas tenu de demander l’aval du Congrès pour lancer des opérations militaires. Cette prérogative lui est propre en vertu de son statut de commandant en chef des forces armées. La loi sur les pouvoirs de guerre, adoptée en 1973 en réaction au traumatisme du Vietnam, ne remet pas en cause cette disposition constitutionnelle. Elle stipule simplement que la présidence doit informer le pouvoir législatif de toute opération militaire qu’elle entreprend.  Cette loi prévoit également que le Congrès doivent procéder à un vote sur une telle opération dans un délai maximum de 90 jours. Or, tout laisse à penser que l’opération envisagée en Syrie ne devait durer que quelques jours. De plus, cette volonté subite de consulter le Congrès ne correspond pas à la pratique du président Obama. Pour rappel, il ne procéda pas ainsi lors de l’intervention en Libye en 2011.

La consultation inattendue de la représentation nationale avant d’engager les forces armées démontre au moins que le président tient compte de la préférence pour un tel procédé constante dans l’opinion publique américaine depuis les années 1970. Cette consultation apparaît toutefois comme un stratagème destiné à sortir Barack Obama d’une situation délicate résultant d’une position ambiguë vis-à-vis de la crise qui secoue la Syrie depuis plus de deux ans. Peu après le début de celle-ci, son administration a tout d’abord appelé au départ du président Bachar Al-Assad. Ensuite, en août 2012 et vraisemblablement sans l’accord de ses conseillers, Barack Obama a mentionné que l’usage d’armes chimiques constituait « une ligne rouge » à ne pas franchir. Il n’avait toutefois pas affirmé qu’un tel franchissement entrainerait automatiquement une réponse militaire.

Bachar Al-Assad étant toujours au pouvoir et son régime ayant eu recours à ces armes chimiques, le président Obama se trouve pris au dépourvu. Une raison majeure est qu’il n’a pas, comme la plupart des pays Occidentaux, d’objectif précis, de stratégie claire concernant la Syrie. Une chose est certaine, après avoir désengagé les troupes d’Irak et alors que leur présence en Afghanistan devrait substantiellement diminuer dans les prochains mois, Barack Obama ne veut pas engager les États-Unis dans un conflit complexe, à l’issu incertaine, aux ramifications régionales multiples, et au demeurant d’un intérêt stratégique peu évident pour les États-Unis.

S’en remettre au Congrès, un choix risqué

Le président Obama s’en remettrait-il donc au Congrès pour se sortir de l’ornière dans laquelle son ambivalence par rapport au conflit syrien l’a placé ? Tout à fait vraisemblable, cette stratégie est cependant risquée. Les membres du Congrès apparaissent en effet très divisés sur la marche à suivre vis-à-vis de la Syrie. Ces divisions traversent tant le Sénat que la Chambre des représentant. Surtout, elles transcendent les clivages partisans entre Républicains et Démocrates. Sénateurs et Représentants peuvent être divisés en cinq groupes.

  • Un premier réunit ceux qui apprécient d’être consultés par le président mais qui jugent qu’une action militaire pouvait et aurait même dû être entreprise plus tôt compte tenu de la gravité de la situation en Syrie.
  • Un second groupe rassemble ceux qui saluent également cette consultation et qui estiment que les discussions et les débats leur permettront de prendre une décision plus éclairée. Ce sont en quelques sortes les indécis.
  • Un troisième groupe rassemble les sceptiques vis-à-vis d’une opération militaire dans une région du monde particulièrement instable et où il est difficile d’en évaluer a priori les conséquences.
  • Un quatrième groupe réunit les opposants à toute intervention militaire qui ne servirait pas à défendre les intérêts immédiats et manifestes des États-Unis. Plutôt minoritaires, ces membres du Congrès représentent une tendance isolationniste en politique étrangère.
  • Le cinquième est dernier groupe, dont le chef de file est le sénateur républicain de l’Arizona John McCain, milite pour une opération militaire d’envergure. Depuis le début de la crise syrienne, les représentants que l’on retrouve dans ce groupe appellent à un appui clair des États-Unis aux rebelles syriens dans le but de renverser le régime de Bachar Al-Assad. Ils reprochent notamment aujourd’hui au président Obama de ne pas avoir une stratégie claire et ambitieuse pour la Syrie. La position de ces représentants est toutefois délicate à faire accepter non seulement au président, mais surtout à l’opinion publique américaine. Un changement de régime à Damas qui servirait les intérêts américains impliquerait en effet une implication humaine et financière importante que les Américains ne sont pas prêts à accepter après les aventures peu probantes en Irak et en Afghanistan.

Ces divisions au sein du Congrès rendent donc l’issue d’un vote, qui pourrait avoir lieu d’ici la mi-septembre, pour le moins incertaine. Trois scénarios peuvent être identifiés. Premièrement, le Congrès vote contre toute intervention militaire et le président Obama, à l’image du Premier ministre britannique, prend acte et renonce à toute intervention. Deuxièmement, le Congrès donne son aval et le président peut se prévaloir d’un appui politique suffisant pour lancer une opération. Troisièmement, le Congrès est divisé entre une Chambre des représentants, dominée pour rappel par les Républicains, qui serait par exemple contre, et un Sénat, au sein duquel les Démocrates bénéficient d’une courte majorité, qui serait pour. Ce dernier cas de figure, tout à fait envisageable, ne manquerait pas de donner quelques maux de tête supplémentaires à l’administration Obama et d’alimenter bien des discussions sur les limites du système politique américain et sur le rôle des États-Unis dans le monde.

Convaincre le Congrès, mais à quel prix ?

Si le scénario d’un Congrès divisé est le pire pour le président Obama, il n’est pas certain qu’un vote en faveur du recours à la force soit l’issue qu’il préfère. Considérons un instant que, contrairement à ce qu’il a affirmé samedi dernier, le président Obama ne souhaite pas vraiment intervenir en Syrie. Un refus du Congrès permettrait de justifier une non intervention. Ne faisons cependant pas ici de Barack Obama un être machiavélique et acceptons qu’il veuille militairement « punir » Bachar Al-Assad.

Comment son administration peut-elle convaincre un Congrès indécis ? Trois arguments principaux semblent devoir être employés pour mener une telle campagne de lobbying.

Premièrement, le recours à des armes chimiques est un crime de guerre et un crime contre l’Humanité qui ne doit pas rester impunis. Il en va de la crédibilité de la communauté internationale et des États-Unis en premier lieu. Je vous laisse juges de la pertinence de cet argument.

Deuxièmement, ne pas réagir à un tel acte inciterait les adversaires des États-Unis, dont les membres de « l’Axe du Mal » que sont l’Iran et la Corée du Nord, à poursuivre leurs programmes d’armes nucléaires, et même à les employer. Un tel argument répond à une logique éprouvée d’exagération de la menace. Il n’est pas nécessairement juste ni pertinent, mais il peut voir de l’effet pour convaincre des membres du Congrès.

À ce titre, le troisième et dernier argument, évoqué depuis dimanche 1er septembre, pourrait être d’une redoutable efficacité sur le Capitole. Répliquer militairement à l’emploi d’armes chimiques contre sa propre population par le régime de Damas permettrait d’assurer la sécurité d’Israël. L’État hébreu est le principal allié des États-Unis dans la région et le lobbying pro-israélien est particulièrement efficace auprès des membres du Congrès comme l’ont démontré Stephen Walt et John Mearsheimer. Si cet argument peut convaincre les représentants américains, il n’est pas acquis que ce soit le plus judicieux pour améliorer l’image, la crédibilité, et donc la capacité d’influence des États-Unis au Moyen-Orient.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 16:30
Pentagon Spokesman: Israeli Missile Test Help Was Long Planned

Sep 3, 2013 ASDNews Source : AFPS

 

Technical assistance and support from the Defense Department for an Israeli missile test over the Mediterranean Sea this morning was unrelated to U.S. consideration of military action in Syria, Pentagon Press Secretary George Little said.

 

“Early this morning, the United States Department of Defense provided technical assistance and support to the Israeli Missile Defense Organization flight test of a Sparrow target missile over the Mediterranean Sea,” Little said in a statement. “The test was long planned to help evaluate the Arrow Ballistic Missile Defense system's ability to detect, track, and communicate information about a simulated threat to Israel.”

 

The United States and Israel cooperate on a number of long-term ballistic missile defense development projects to address common challenges in the region, the press secretary said. “This test had nothing to do with United States consideration of military action to respond to Syria's chemical weapons attack,” he added.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 12:30
Russia Does Not Rule Out Backing Military Action in Syria – Putin

MOSCOW, September 4 (RIA Novosti)

 

Russia does not rule out agreeing to a military operation in Syria, provided Damascus' responsibility for using chemical weapons is proven - but only with United Nations approval, President Vladimir Putin said in an interview broadcast Wednesday.

In an interview with the Associated Press and Russia's state TV network Channel 1, the Russian president stressed there is still no “exact information” about what exactly happened in Syria, or even that chemical weapons were used at all.

“It’s still not clear whether chemical weapons or simply some kind of harmful chemical substances were used,” Putin said. He stressed it was necessary to await the conclusions of the UN inspection team that was sent to Syria at the end of last month to investigate the sites of alleged chemical weapons attacks.

The Russian president described video footage of dead children allegedly killed by the chemical attacks as “horrible,” but said the footage did not provide any answers to his questions about who was responsible. He claimed the video could have been produced by militants linked to al-Qaeda, “which has always been noted for its brutality.”

Putin said if the UN analysis revealed “clear proof” that the Syrian government was responsible for a chemical weapon attack, Russia “would be ready to act in the most decisive and serious manner,” but stressed that military action could only be taken against Damascus following a joint decision by the UN Security Council.

“Any other methods to justify use of force against an independent and sovereign state are unacceptable, and can only be qualified as aggression,” he said.

Putin also confirmed that Russia has supplied some components for S-300 air defense missile systems to Syria, but has suspended completion of those deliveries.

 “If we see that they [Syria] are taking some steps related to the violation of existing international standards, then we’ll consider how to act in the future, including supplying sensitive weapons in certain regions of the world,” he told the Associated Press.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 12:30
source-economist-com

source-economist-com

04.09.2013 45eNord.ca (AFP)

 

Les États-Unis ont défendu mardi le projet d’intervention militaire en Syrie au nom des intérêts américains et de la crédibilité des États-Unis face à l’Iran, au moment où le secrétaire général de l’ONU s’inquiétait d’une escalade.

 

Le président américain Barack Obama s’est dit confiant que le Congrès voterait, peut-être dès la semaine prochaine, une résolution l’autorisant à frapper le régime du président syrien Bachar al-Assad, en représailles de l’utilisation d’armes chimiques.

L’issue des votes la semaine prochaine dans les deux chambres du Congrès restait incertaine, mais Barack Obama a engrangé mardi le soutien clé de son principal adversaire politique, le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner.

M. Obama a une nouvelle fois mis l’accent sur le fait que toute intervention en Syrie serait «limitée» et «proportionnelle». «Cela n’implique pas de troupes au sol, ce n’est pas l’Irak, ce n’est pas l’Afghanistan», a-t-il souligné.

«Ce n’est pas le moment d’être isolationniste dans un fauteuil. Ce n’est pas le moment d’être spectateur d’un massacre», a déclaré le chef de la diplomatie John Kerry lors d’une audition très médiatisée au Sénat américain, en avertissant que l’inaction était encore plus risquée qu’une intervention.

«L’Iran espère que vous regardez de l’autre côté», a-t-il prévenu, en évoquant le dossier du nucléaire iranien. «Notre inaction lui donnerait certainement la possibilité au mieux de se tromper sur nos intentions, quand ce ne serait pas de les mettre à l’épreuve», a-t-il ajouté, en citant aussi le Hezbollah et la Corée du Nord.

L’opinion américaine, tout comme les élus, restait encore à convaincre. Selon un sondage ABC News/Washington Post publié mardi, 59% des Américains s’opposent à des frappes par missiles de croisière en Syrie, tandis que 48% se disaient opposés (29% favorables) dans une autre enquête, de l’institut Pew.

Ban Ki-moon a de son côté mis en garde mardi contre les risques d’une «action punitive», mettant en avant l’impact qu’elle pourrait avoir «sur les efforts pour empêcher d’autres effusions de sang et faciliter un règlement politique du conflit».

«Je demande aux membres (du Conseil de sécurité) de s’unir et de définir une réponse appropriée au cas où les accusations (à propos des armes chimiques) se révèleraient vraies», a-t-il déclaré.

Sur le terrain, l’armée syrienne a repris mardi le contrôle de la ville stratégique d’Ariha dans la province d’Idleb (nord-ouest) à l’issue de dix jours de bombardement et de combats, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Depuis Istanbul, la coalition de l’opposition syrienne a dit redouter une nouvelle attaque au gaz toxique des forces fidèles à Damas, faisant état du mouvement de trois convois militaires chargés d’armes chimiques au cours des dernières 48 heures.

Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a estimé mardi que le nombre de réfugiés syriens dépassait désormais les deux millions, soit huit fois plus qu’il y a un an, et que 4,25 millions de Syriens étaient déplacés à l’intérieur des frontières.

Au total, ce sont donc plus de six millions de personnes qui sont déracinées, soit plus du quart des 22 millions d’habitants de la Syrie.

«La grande tragédie de ce siècle»

Localisation et nombre de réfugiés syriens dans les pays voisins selon le HCR des Nations unies (Cartographie: AFP)

Dans ce contexte de tension, le ministère russe de la Défense a annoncé avoir détecté deux tirs de missile balistique mardi matin depuis le centre de la Méditerranée vers la côte est.

Le tir d’un missile a été confirmé par Israël, qui a expliqué qu’il s’agissait d’un exercice militaire israélo-américain –un test planifié «de longue date» et qui »n’a rien à voir» avec une éventuelle action militaire américaine en Syrie, selon le Pentagone.

Indépendamment du débat autour des attaques chimiques présumées, le Haut Commissaire de l’ONU pour les réfugiés Antonio Gutteres a estimé mardi matin que la Syrie était «devenue la grande tragédie de ce siècle, une calamité humanitaire indigne avec des souffrances et des déplacements de population sans équivalent dans l’Histoire récente».

A la fin août, le Liban (716.000 réfugiés syriens) et la Jordanie (515.000 réfugiés) étaient les plus affectés par la crise, selon le HCR.

La Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) a dit craindre également que «la région entière» n’atteigne «bientôt un point de rupture».

A Damas, les déplacés ont remplacé les touristes. Dans des hôtels décrépits du secteur populaire de Marjé à Damas, plusieurs dizaines d’entre eux vivent ainsi, certains depuis plus d’un an, entassés dans des chambres de 15m2 où ils cuisinent dans les salles de bain.

Le président français François Hollande, en quête d’une coalition pour intervenir militairement, a appelé mardi l’Europe à s’unir sur le dossier syrien, se montrant confiant qu’elle «le fera», lors d’une conférence de presse avec le chef d’État allemand Joachim Gauck.

Mais sur le plan intérieur, il a déclaré qu’il n’envisageait «pas encore» de vote au Parlement, qui doit débattre de la Syrie mercredi lors d’une session extraordinaire sans vote.

Lundi, le gouvernement français a diffusé une note de synthèse de ses services de renseignement analysant 49 vidéos tournées après l’attaque du 21 août en concluant à la responsabilité du régime dans la mort d’au moins 281 personnes par gaz toxiques. Les Etats-Unis ont parlé de plus de 400 enfants et plus de 1.400 adultes tués.

«Le peuple français n’est pas notre ennemi, mais [...] dans la mesure où la politique de l’État français est hostile au peuple syrien, cet État sera son ennemi», a répliqué M. Assad dans une interview au journal français Le Figaro, en annonçant « des répercussions, négatives bien entendu, sur les intérêts de la France ».

À trois jours d’un sommet du G20 jeudi à Saint-Pétersbourg – durant lequel aucun tête-à-tête n’est prévu entre Vladimir Poutine et Barack Obama – la Russie a réitéré son opposition à une frappe contre son allié syrien.

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a assuré lundi qu’une intervention contre Damas pourrait «reporter pour longtemps, voire à jamais, les perspectives» d’une conférence de paix en vue d’un règlement du conflit, qui a déjà fait selon l’OSDH plus de 110.000 morts.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 12:30
The RIM-7P Sea Sparrow missile is launched from American aircraft carrier USS Abraham Lincoln in 2007.

The RIM-7P Sea Sparrow missile is launched from American aircraft carrier USS Abraham Lincoln in 2007.

WASHINGTON, September 3 (RIA Novosti)

 

A joint US-Israeli missile test over the Mediterranean Sea was “long planned” and had “nothing to do” with a possible US military response to the chemical weapons attack on a Damascus suburb that Washington has blamed on the regime of Syrian President Bashar Assad, the Pentagon said Tuesday.

“Early this morning, the United States Department of Defense provided technical assistance and support to the Israeli Missile Defense Organization flight test of a Sparrow target missile over the Mediterranean Sea,” Pentagon spokesman George Little said in a statement.

“The test was long planned to help evaluate the Arrow Ballistic Missile Defense system's ability to detect, track, and communicate information about a simulated threat to Israel. This test had nothing to do with United States consideration of military action to respond to Syria's chemical weapons attack,” the statement added.

US President Barack Obama last week called for a “tailored” and limited US response to the apparent chemical weapons attack on a Damascus suburb on Aug. 21, which Washington says killed at least 1,429 Syrians, including 426 children.

He later said he would take the question of a US military response to Congress and allow lawmakers to decide if the United States should take military action against Syria.

Russia, which is vehemently against US intervention in the Syrian civil war, has argued that the Obama administration does not have sufficient proof that the Assad regime was behind the chemical weapons attack.

Russian President Vladimir Putin said Saturday that allegations that the Syrian government was behind the chemical weapons attack were a “provocation” to drag other countries into the conflict. Assad has himself denied using chemical weapons against civilians.

Amid the sky-high tensions over Syria, the Russian Defense Ministry said earlier Tuesday that its ballistic missile early warning system had detected the launch of two "ballistic targets,” traveling eastward from the central Mediterranean region.

A diplomatic source in the Syrian capital, Damascus, told RIA Novosti that the targets fell into the sea.

The Jerusalem Post reported that Israel confirmed conducting a successful missile test with the US military “shortly after Russia said it detected missile launches at sea.”

An Israeli Defense Ministry representative told RIA Novosti that the two targets detected by the Russian military were part of “a test of the… target missile that is used for testing our missile defense system.”

The tests were conducted jointly with the United States and were successfully tracked by radars in Israel, the official said.

The Arrow weapon system was developed by US aerospace giant Boeing and Israel Aerospace Industries (IAI) for the Israel Ministry of Defense. The Sparrow is a target missile that simulates the trajectories of long-range ballistic missiles.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie: tests de missiles en Méditerranée, Bachar Al-Assad met en garde

3 septembre 2013 RTBF.be

 

Malgré l'attente, il semble bien que la tension autour du conflit soit montée d'un cran. Une alerte d'une source militaro-gouvernementale russe faisait état de tirs de missiles en Mer Méditerranée, ce mardi. La présidence française espère convaincre en divulguant des "preuves" de l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien; qui nie, et met en garde contre une déstabilisation régionale.

 

    Israël annonce avoir mené mardi, conjointement avec les Etats-Unis, un test de missile en Méditerranée, détecté par la Russie. L'alerte a été donnée par des sources russes. Les deux missiles dont le lancement a été détecté sont tombés dans la mer, précisaient les informations russes.

 

    "Les missiles (...) auraient pu avoir été tirés d'un bateau américain dans la Méditerranée", avait indiqué une source militaro-diplomatique russe à l'agence Interfax, ajoutant qu'il s'agissait probablement de tirs visant à "affiner les relevés météorologiques".

 

    Après avoir nié une quelconque participation à un tir, ce mardi, le ministère israélien de la Défense déclarait avoir mené "avec succès" dans la matinée un tir de missile dans le cadre d'un exercice militaire israélo-américain. "Le ministère de la Défense et l'agence la MDA (Missile Defence Agency) américaine ont lancé mardi matin à 9h15 un missile radar de type Ankor", a déclaré le ministère dans un communiqué.

 

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 07:00
Syrie: Moscou pourrait renforcer ses livraisons d'armes (Pentagone)

WASHINGTON, 4 septembre - RIA Novosti

 

La Russie pourrait renforcer ses livraisons d'armes à la Syrie en cas d'opération militaire américaine contre le régime de Bachar el-Assad, estime le chef d'état-major des armées des Etats-Unis, Martin Dempsey.

"Une telle possibilité existe bel et bien. Il y a des témoignages selon lesquels ils (la Russie, ndlr) ont promis de restaurer ce que nous pourrons détruire", a indiqué M.Dempsey lors d'une audition devant le Comité des affaires étrangères du Sénat US.

La situation en Syrie s'est aggravée suite à une annonce, faite le 21 août par certains médias, de l'emploi d'armes chimiques par les troupes gouvernementales syriennes près de Damas.

Samedi 31 août, le président américain Barack Obama a demandé au Congrès de donner le feu vert à une opération militaire contre le régime de Bachar el-Assad en réponse à l'attaque chimique du 21 août. D'après un rapport du renseignement US, l'attaque a fait au moins 1.429 morts, dont 426 enfants. Les autorités syriennes affirment pour leur part n'avoir jamais utilisé de gaz de combat contre les civils.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 06:30
Russian aircraft carrier Kuznetsov photo US DoD

Russian aircraft carrier Kuznetsov photo US DoD

September 4, 2013 By  Zachary Keck - http://thediplomat.com

 

Russia’s only aircraft carrier will visit Tartus’s small naval base in Syria later this year, BBC Monitoring reported citing a newspaper published by the Russian government.

 

“At the end of the year, most likely in early December, the Project 11435 heavy aircraft-carrying cruiser the Admiral Kuznetsov will set off on a long-distance sea voyage during which it will call at the Russian Federation Navy's logistical support centre located in the Syrian city of Tartus,” Russia’s Defense Ministry said in a statement, BBC Monitoring reported on Saturday, citing a Russian-language report in Rossiyskaya Gazeta, a newspaper run by the Russian government.

 

The article goes on to quote a Defense Ministry staffer as saying that the route of the vessel’s “long-distance sea voyage” was already set and it was therefore unlikely to be affected by the civil war in Syria. The Admiral Kuznetsov’s stopover in Tartus is “in no way connected” to the Syrian civil war Rossiyskaya Gazeta paraphrased the staffer as saying, according to BBC Monitoring.

 

The Admiral Kuznetsov is Russia’s only operational aircraft carrier. The article clarifies that Russia refers to the ship as an aircraft-carrying cruiser because “under international treaties aircraft carriers are banned from passing through the Bosporus and Dardanelles…. But this ban does not extend to aircraft-carrying cruisers.”

 

According to the article, the carrier can hold 50 airplanes and helicopters and comes equipped with “Granit antiship missiles, Kortik and Klinok surface-to-air missiles, and Udav antisubmarine warfare systems.” The article also reports that the Admiral Kuznetsov is 14,000 square meters and carries a crew of nearly 2,200 people including flight and technical personnel.

 

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Russia’s Aircraft Carrier to Visit Syrian Naval Base
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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 05:20
Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

04.09.2013 Le Monde.fr (AFP)

 

Près d'une semaine avant la rentrée du Sénat, la commission des affaires étrangères du Sénat américain est parvenue, mardi 3 septembre, à un accord sur un projet d'autorisation de l'usage de la force armée en Syrie.

Le projet fixe une limite de 60 jours à une éventuelle intervention militaire en Syrie, avec la possibilité d'une prolongation unique et sous conditions de 30 jours. Il interdit également l'envoi de troupes au sol.

Cette version du texte remplacerait celle envoyée au Congrès par la Maison Blanche samedi, et qui était considérée comme donnant trop de latitude au président.

 

UNE INTERVENTION "LIMITÉE"

 

"La commission des affaires étrangères du Sénat a élaboré une autorisation du recours à la force militaire qui reflète la volonté et les inquiétudes des démocrates et des républicains", a annoncé le président de la commission, le démocrate Robert Menendez, dans un communiqué.

La résolution "n'autorise pas l'utilisation des forces armées américaines sur le sol en Syrie dans le but d'opérations de combat", précise le document. L'intervention devrait, en outre, être "limitée", selon le texte de compromis.

Le texte sera soumis mercredi au vote des membres de la commission sénatiorale. S'il est adopté, il sera alors transmis en séance plénière au Sénat, qui reprend ses activités lundi prochain.

 

Lire notre décryptage sur les scénarios possibles qui se présentent à Obama avec le vote du Congrès

 

President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

President Obama meets in the Situation Room with his national security advisors to discuss strategy in Syria on Aug. 31. (photo Pete Souza White House)

Rencontre bilatérale Obama-Hollande

 

Barack Obama aura des entretiens bilatéraux avec ses homologues français François Hollande et chinois Xi Jinping cette semaine en marge du sommet du G20 à Saint-Pétersbourg, en Russie, a annoncé mardi un responsable de la Maison blanche.

Aucune rencontre formelle n'a en revanche été prévue avec Vladimir Poutine, a ajouté ce responsable, mais les deux présidents pourraient se parler "en marge" des réunions programmées jeudi et vendredi à Saint-Pétersbourg.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 20:03
La fessée ne suffit pas (Danjean)

sept 3, 2013 by Thomas Le Bihan (BRUXELLES2)

 

Arnaud Danjean – qui préside la commission « Sécurité et Défense » au Parlement européen – est sceptique. Une intervention limitée ne servirait pas à grand chose. « Sans dire que je le soutiendrais, il serait plus cohérent, en cas de frappes, de frapper réellement et d’atteindre les forces syriennes ». « S’il s’agit juste de donner la fessée à Bachar… »

 

Des précédents inutiles

 

Pour justifier sa position, il reprend les exemples « des frappes début 1995 en Bosnie, de l’Irak qui a continué à pourrir jusqu’en 2003 » où l’intervention réduite des occidentaux, n’avait pas réglé les problèmes, ni changé la donne. « Quand nous avons frappé les camps d’entrainement d’Al Qaida en Afghanistan, cela ne les a pas empêché de planifier dans ces mêmes camps les attaques du 11 septembre. » Il met aussi le doigt là où ça fait mal en posant la question de l’après-frappes. « Si le lendemain des frappes, Bachar commet un massacre mais à l’arme conventionnelle, qu’est ce que nous faisons? ».

 

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