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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 08:35
photo EMA

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28/12/15 LaCroix.com

 

Recrutés par l’armée française lorsqu’elle intervenait en Afghanistan, des dizaines de traducteurs afghans gagnent désormais l’Hexagone pour échapper aux représailles des talibans

 

Kachef n’oubliera jamais son premier jour en France. Ou plutôt sa première nuit. « J’ai dormi plusieurs heures d’affilée, s’exclame le sexagénaire afghan, œil vif et rides en pagaille, arrivé sur notre sol il y a quelques jours seulement. Dormir ainsi, ça ne m’était plus arrivé depuis des mois… ». Depuis le retrait des forces tricolores des plaines afghanes en 2012, cet ancien traducteur de l’armée française ne fermait plus l’œil que par intermittence, entre deux tours de ronde sur le toit de son immeuble. Aujourd’hui, accueilli par la France, il s’émerveille de tout. De si peu en tout cas. « Marcher dans la rue sans avoir peur, c’est… c’est magique », explique-t-il, en cheminant dans les rues pourtant bien sombres entourant le foyer social qui l’accueille avec ses deux fils à Saint-Denis.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:35
Afghanistan: 6 soldats de l'Otan tués dans un attentat suicide des talibans

 

21 décembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kaboul - Six soldats de la mission de l'Otan en Afghanistan ont été tués lundi dans un attentat suicide commis par des rebelles talibans près de Kaboul, selon un nouveau bilan de cette attaque fourni par le QG de l'Alliance atlantique dans le pays.

 

L'attaque, menée par un kamikaze à moto, visait une patrouille conjointe de l'armée afghane et des forces étrangères. Elle s'est produite près de la base de Bagram au nord de Kaboul et a tué 6 soldats étrangers, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'Otan qui n'a pas précisé leur nationalité.

 

Mohammad Asem, le gouverneur de la province de Parwan, où se trouve Bagram, avait auparavant fait état de trois soldats étrangers tués dans cet attentat survenu en début d'après-midi.

 

Les 13.000 soldats de l'Otan déployés en Afghanistan, qui n'ont plus qu'un rôle de formation et de conseil, sont les cibles de prédilection des talibans depuis la chute de leur régime en 2001 qui a marqué le début de leur insurrection.

 

Les insurgés ont revendiqué l'attaque de lundi et affirmé avoir tué 19 soldats américains. Les talibans ont l'habitude de fortement exagérer les bilans de leurs attaques contre les troupes étrangères et les forces de sécurité afghanes, elles aussi fréquemment visées.

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20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 16:35
Une province afghane sur le point de tomber aux mains des talibans

Administrative map of Afghanistan (courtesty of University of Texas Perry-Casta�eda Library Map Collection)

 

20.12.2015 Romandie.com (ats)

 

La province afghane du Helmand est "sur le point" de tomber aux mains des talibans, a prévenu dimanche son vice-gouverneur dans un appel à l'aide adressé au président Ashraf Ghani sur Facebook. Quelque 90 soldats sont morts dans les combats ces derniers jours.

Le Helmand, fief des rebelles islamistes et haut lieu de la culture du pavot dans le sud du pays, est le théâtre de violents combats entre les insurgés et des forces armées déjà mises à rude épreuve dans l'ensemble de l'Afghanistan, notamment dans le nord, autrefois relativement stable.

Le vice-gouverneur Mohammad Jan Rasoolyar juge même "catastrophique" la situation dans son message à M. Ghani. "Tout le monde essaye de cacher la vérité", écrit-il sur sa page Facebook, mais "le Helmand est sur le point" de tomber aux mains des talibans.

Une sombre perspective, d'après le responsable qui dresse un parallèle avec la débâcle de l'armée dans le nord du pays fin septembre, lorsque les talibans ont envahi puis tenu la ville stratégique de Kunduz pendant trois jours.

 

"Indifférence" dénoncée

Et M. Rasoolyar de fustiger l'"indifférence" face à la mort de "90 soldats morts au combat vendredi et samedi" dans deux districts du Helmand. Cette assertion a été rejetée par le ministère de la Défense, selon lequel la province n'est pas sur le point de tomber.

"Les ravitaillements en vivres et en munitions n'arrivent pas à temps, nous n'évacuons pas nos soldats blessés et tués et les forces étrangères observent la situation depuis leurs bases sans intervenir", s'insurge encore le vice-gouverneur.

 

Pas de trêve hivernale

L'Otan a mis fin à sa mission de combat en Afghanistan il y a tout juste un an. Les quelque 13'000 soldats étrangers déployés dans le pays se limitent à la formation de leurs homologues afghans et n'interviennent plus officiellement sur le terrain à leurs côtés.

Un obstacle auquel s'ajoute l'absence de répit dans les combats. Contrairement aux années ayant suivi la chute de leur régime en 2001, les talibans n'observent cette année aucune trêve hivernale.

Les rebelles, autrefois surtout actifs dans le sud et l'est, ont même intensifié leur insurrection et particulièrement dans le Helmand, ces dernières semaines. Ils se sont brièvement emparés d'un quartier de la capitale provinciale, Lashkar Gah, en octobre.

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 17:35
The US Air Force has maintained one squadron of F-16 Fighting Falcon aircraft at the Bagram Air Base since the 2014 drawdown - photo USAF

The US Air Force has maintained one squadron of F-16 Fighting Falcon aircraft at the Bagram Air Base since the 2014 drawdown - photo USAF

 

November 18, 2015: Strategy Page

 

In early October something rare and strange happened in eastern Afghanistan; an American F-16 came back to base shot up by bullets fired from the ground. That rarely happens. The air force would not say what the circumstances of this incident were, meaning that the F-16 was probably coming in low to strafe targets that were threatening a commando operation. The enemy may have been so close to a small team of SEALs or Special Forces that it was too risky to use a smart bomb. But with current gunsight technology an F-16 pilot can come in low and hit a small target with the 20mm autocannon. In this case there were a lot of bad guys down there with machine-guns because many of them must have been firing on the F-16s. The pilot was forced to jettison two drop tanks, a missile and two bombs before returning to base. Normally F-16s stay high enough to avoid machine-gun fire but train to come low and strafe, just in case.

 

As the air force is planning to retire the A-10C ground attacks aircraft more attention is being paid to preparing some F-16 pilots to replace A-10s for low altitude work. The A-10 was designed for low level strafing, using a 30mm cannon, but F-16s, with a new, and more capable gun sight, have proved to be very effective at strafing. However, F-16s moves faster than the A-10, and it is more difficult to control on the deck. That's a necessary trade-off, because the F-16 is a multi-mission aircraft, while the A-10 just does ground support.

 

There are other dangers for F-16s that come in low. In 2006 an F-16 pilot was killed when, on a low level strafing run in Iraq, when he was momentarily distracted and his aircraft crashed. The U.S. Air Force considers it an acceptable risk to come in that low to use its 20mm cannon on a ground target. Because of safety concerns, pilots are not allowed to perform that kind of maneuver during peacetime training. Since it's now wartime, such training is allowed. That training can be risky in other ways. In 2008 an F-16 was practicing firing at ground targets at night (where much of the action takes place in Iraq), became momentarily distracted, and shot up an SUV on a nearby highway.

 

While F-16 pilots are willing to come in low and use their cannon, the F-16 was not designed for this sort of thing. The aircraft is too fast. An F-16 coming in low to use cannon on ground targets is going at least 400 kilometers an hour. The A-10 can slow down to 250 kilometers an hour. In addition, the A-10 is designed to more easily maneuver down low and slow, and is armored to better survive ground fire. Not so the F-16. But the air force insists the F-16 can do the job, and pilots die as a result.

 

What the F-16 can do is carry a dozen or more smart bombs, and in that role it is very useful to the ground troops. The newly upgraded A-10Cs can also carry smart bombs.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 20:35
Weapons: Snipers Break Another Distance Record

 

November 11, 2015: Strategy Page

 

Note RP Defense: "visiblement" nos amis américains ne lisent pas le français.

 

The distance record for sniper kills has been broken again [in 2012 !!], this time by two Australian snipers in Afghanistan using M82A1 12.7mm (.50 caliber) rifles. In a coordinated shot at a Taliban leader 2,800 meters away the two snipers fired simultaneously and six seconds later the Taliban chieftain fell dead. It will never be known which of the two shots got him. The victim would not have heard the shot, the rifles were so far away and the bullet was travelling faster than the speed of sound. About two seconds later anyone with the dead Taliban man would have heard the two shots, but faintly as the shooters were nearly three kilometers (two miles) away.

 

The previous record shot was made in November 2009 by a British sniper (corporal Craig Harrison) who killed two Taliban in Afghanistan, at a range of 2,620 meters (8,596 feet). He did this with a L115A3 rifle firing the 8.6mm Lapua Magnum round. Before that the record was held by a Canadian soldier, corporal Rob Furlong, who dropped an al Qaeda gunman at 2,573 meters (7,972 feet) in 2002, also in Afghanistan with a 12.7mm rifle. These weapons are good at 2,000 meters or more, but weigh twice as much as the 6.8 kg (15 pound) 8.6mm rifles.

 

In 2007 the British Army began replacing most of its 3,000 7.62mm L96A1 sniper rifles with one modified to use the .338 (8.6mm) Lapua Magnum caliber round. This Accuracy International "Super Magnum" rifle is basically a L96A1 "Arctic Warfare" rifle modified to handle the larger, 8.6mm Lapua Magnum round. The L115A1 weighed 6.8 kg (without a scope), was 1.27 meters (fifty inches) long and had a 686mm (27 inch) barrel and a five round magazine.

 

Snipers in Iraq, and especially Afghanistan, had been calling for a smaller long range round because they found the 12.7mm weapons too heavy. The .338 (8.6mm) Lapua Magnum round has an effective range (about 1,500 meters) about 50 percent greater than the 7.62mm standard NATO round. Like most long range rounds, if the weather (clear) and winds (calm) are right, you can hit targets farther away. Those were the conditions Harrison encountered when he took his three shots (the third one hit the machine-gun the two Taliban were using.)

 

The 8.6mm round entered use in the early 1990s, and became increasingly popular with police and military snipers. Dutch snipers have also used this round in Afghanistan with much success, and have a decade of experience with these larger caliber rifles. Recognizing the popularity of the 8.6mm round, Barrett, the pioneer in 12.7mm sniper rifles, came out with a 7 kg (15.5 pound) version of its rifle, chambered for the 8.6mm.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 13:35
En Afghanistan, affrontements entre factions talibanes rivales

 

09-11-2015 Joël Bronner, correspondant à Kaboul - RFI

 

En Afghanistan, ce week-end, de violents combats ont opposé des milices talibanes rivales dans deux districts reculés du sud-est du pays. Ces affrontements ont semble-t-il fait plusieurs dizaines de morts. Difficile de connaître avec précision le bilan, car le sud-est du pays, la province de Zaboul située au nord de Kandahar, échappe depuis longtemps au contrôle de l'Etat afghan.

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 08:35
Op HERRICK (Afghanistan) Aircraft Statistics

 

Date: by
 

Defence Statistics and the Air Warfare Centre released a statistics bulletin covering Aircraft sorties, hours and weapons released for Operation HERRICK, Afghanistan.

It makes for some fascinating reading but it is worth repeating pointing to Page 16 before starting, the section on making like for like comparisons or drawing conclusions from bare data.

So, click here to read, but skip to Page 16 first.

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 07:35
Afghanistan: The Kunduz Conundrum

Militant Attack and Support Zones in Afghanistan April-October 6, 2015 - credits ISW

 

October 13, 2015: Strategy Page

 

The sudden increase of Taliban activity in northern Afghanistan, especially the temporary seizure of Kunduz (a city of 145,000), is a new aspect of an old problem; Taliban efforts to make the north safer for smuggling heroin out of the country. Charging into Kunduz on September 28 th was unusual, because it was an expensive operation in that it gets a lot of Taliban fighters killed or captured and is soon undone once the security forces send enough reinforcements to the city. And that’s what happened. It got worse when several similar attacks failed to get into the city they were after.  Such spectacular attacks are mainly for terrorizing the local population, especially politicians and business owners, into being more cooperative. The basic problem for the Taliban and the drug gangs they work for is that they don’t want to run the country but do need free access to keep the drug business going. This is especially true of the north, where the locals have always been more anti-drugs and hostile to the Talban.

 

The northerners must be terrorized into subservience. With the foreign troops gone the drug gangs and the Taliban can operate with a lot more freedom (from interference and heavy losses from air strikes). You can see how the drug gangs are controlling all of this because the locations where the Taliban are most active are the ones most crucial to drug gang profits (which the Taliban share). Thus the smuggling routes to Central Asia, Pakistan and Iran are more frequently the scene of Taliban violence. The official Taliban line is that this is all for the purpose of putting the Taliban back in charge of the country. The reality is that most Taliban are content to make a good living off the heroin trade. That this cripples the economy and hurts the majority of Afghans does not bother members of the drug gangs or the Taliban. This is curse of Afghanistan, where the country has long suffered from a lack of cooperation and efforts to curb the ancient chaos. This is particularly the case in the north, where local warlords (often politicians) is strong and while these guys tend to be anti-drug and anti-Taliban they are definitely not anti-making-money. The impact on Afghanistan can be seen by the fact that unemployment has risen (over a third of Afghans are unemployed) and the number fleeing the country is increasing. About 10,000 Afghans a day are applying for passports, the first step is leaving to legally (or illegally) reaching another country and a new home. Iran reports that about 2,000 Afghans a day illegally enter Iran, often on their way to a more distant country (usually in the West). All this is fine with the Taliban and drug gangs because most of the people leaving are very hostile to the Taliban and drug gangs.

 

Normally the Taliban, or local drug gangs only have a lot of control in a few of the 373 districts (each province is composed of districts) in Afghanistan. The Taliban are active in 10-15 percent of districts, mainly in the south (Helmand and Kandahar, where most of the heroin is produced) and the east (where many Pakistan/ISI supported Islamic terrorist groups operate) and increasingly in the north. The north is always a problem because the drug gangs have to deal with the security forces, local warlords and a strong tradition of local defense militias (except in the cities).

 

Eastern Afghanistan is also the main transit route for drug exports and those drugs (heroin, opium and a few others) generates the cash that keeps the Taliban a major problem. There is also significant Taliban activity in the north, where another major drug smuggling route goes through Central Asia. But the main route is in the east, which goes to the Pakistani port of Karachi and thence the world. Populous or heavily trafficked districts usually have enough police, soldiers or pro-government militias nearby to keep the Taliban out of the towns that serve as district capitals. But in remote, thinly populated districts it is different and a Taliban force can sneak in and take over for a while, grabbing some media attention along the way.

 

The Taliban have other problems and have formed special units to search for and destroy ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) groups operating in eastern Afghanistan. Taliban problems with former Taliban (including most of the non-Afghans, mainly from Central Asia and Chechnya) who have left to form local branches of ISIL have gotten worse over the last year. ISIL groups are using tactics aimed at making the Taliban look bad. For example the ISIL men do not terrorize local villagers and pay for any supplies or services they need. The ISIL men point out that the Taliban have become corrupted by working with drug gangs and are no better than bandits. This resonates with the Pushtun tribesmen but there is fear that ISIL will soon turn to enforcing strict lifestyle rules, something the Taliban have backed away from (because of sustained popular resistance). That has not happened yet and currently ISIL concentrates on staying alive in the face of Taliban and government attacks. The Taliban tries to keep this war with ISIL a secret but the news gets out (often via cell phone) and spreads. ISIL has openly declared war on the Taliban and gains some traction with accusations that the Taliban were created and still work for Pakistan. This is largely true, but the Taliban also work for local drug gangs. ISIL is aware of that but knows that the Pakistani connection is more of an issue to most Afghans. Yet the growing presence of ISIL in Afghanistan is also bad news to many Afghans because ISIL is basically Islamic terrorists who have become even more violent and uncompromising.

 

The defections to ISIL began in late 2014 when a few Taliban leaders (especially field commanders who have armed followers and know how to fight) defected to ISIL and were soon at war with a Taliban they saw as sell-outs and reactionary Islamic radical pretenders. Some of these new ISIL groups appear to have modified their stance on the drug trade as even ISIL fanatics have operating expenses and in a few cases ISIL has replaced the Taliban as drug gang hired guns. ISIL leadership in Syria opposes this and has created a cash pipeline to provide money for operating expenses and make it unnecessary to have any friendly dealings with criminal gangs of any sort. The drug gangs aren’t taking sides in the Taliban/ISIL feud because for a drug lord it is all just business. Now ISIL is using more direct attacks on nearby Taliban factions in what appears to be a sustained effort to replace the Taliban. If the local ISIL can maintain other sources of income they could eventually become a threat to the drug gangs. The drug lords don’t believe it will ever come to that because ISIL in Syria is under growing attack and most governments (and many rival Islamic terror groups) are constantly attacking these ISIL cash pipelines and will eventually cut off the money supply. At that point the Afghan ISIL groups will be vulnerable to destruction or corruption.

 

One thing warlords, the Taliban, drug gangs and ISIL can agree on is the need to halt the American UAV operations and air operations in general. Not only do these persistent UAVs and aircraft constantly search for, and often find, people they are looking for but often quickly fire very accurate and effective missiles. This has become a major problem for leaders of all these criminal or Islamic terror groups. Even if you manage to avoid the missiles you do so by severely restricting your movement, communications and other activities. Because the UAV operations are run solely by the Americans bribes don’t work. Worse, Afghan officials who are not on the payroll often provide the Americans with tips about where potential targets are. In response more cash and threats are used against vulnerable officials to obtain some public protests against the UAV operations. This does not impress locals, most of whom back the UAV operations, but the protests connect with some foreign media and politicians.

 

Another problem the drug gangs currently have is a global heroin price war caused by too much heroin coming out of Afghanistan, Burma and other new sources. Heroin is a lucrative business and more people want market share. This means Afghan drug gangs have to produce and move more opium and heroin in return for less money. That is bad for business on many levels, especially on the retail end (where a lot more users overdose and that discourages potential new users). Afghanistan is still the major (over 80 percent of the market) producer but tribal rebels in northern Burma are expanding production and currently account for about ten percent of the global heroin supply. Other significant (and growing) producers are in in Pakistan, Colombia, Guatemala, and Mexico.

 

While a few large gangs and warlords control the heroin business, there are other illegal enterprises available to local hustlers. One of the most popular of these is illegal mining. There are over 2,000 illegal mines operating throughout Afghanistan and these have grown so numerous that legal mining has declined. The major problem legal mining encounters is poor security and infrastructure which is sustained by lots of corruption. Small, private mines increased production, as did illegal mines. Since 2010 there have been efforts to get large-scale legal mining operations going. While there are believed to be over a trillion dollars of minerals underground, you need an honest and efficient government before foreign firms will invest tens of billions to set up the large mines and build roads and railroads to get the goodies out, and equipment in. These mines generate tremendous revenue for the government and lots of good jobs. That won't happen as long as the drug gangs dominate the south. This is actually old news, as there have been several surveys of the country since World War II and the mineral deposits were, at least among geologists, common knowledge. Some have tried to get large scale operations going and all, so far, have failed. But because of American encouragement in 2010 the Afghan government called for foreign firms to make offers. There was some interest but the mining companies soon encountered the same fate of past efforts (corruption and lack of infrastructure). Meanwhile the small scale mines continue with the expensive assistance of the criminal underground.

 

Afghanistan accused Pakistan of helping plan and carry out the recent Taliban raid on Kunduz. The Pakistanis deny any involvement, but they always do and have a long and proven record of interfering in Afghan internal affairs. Afghanistan also believes that a lot of the recent Taliban violence in Afghanistan was made possible by the thousands of non-Pakistani Islamic terrorists fleeing North Waziristan and moving to Afghanistan. There, many of these foreign Islamic terrorists have joined the Afghan Taliban and provided an infusion of very dedicated and dangerous fighters. Afghan intelligence believes that the Afghan Taliban leadership is still operating from a sanctuary in southwest Pakistan, something Pakistan continues to deny despite lots of evidence showing senior Taliban are in the area (Baluchistan). Pakistan says it is trying to get the peace talks with the Afghan Taliban restarted but many Afghans believe it was the Pakistanis who caused the talks to collapse before they could get started. That’s because the main reason for the collapse of the peace talks back in July was the unexpected revelation that Afghan Taliban leader Mullah Omar had died in a Pakistani hospital in 2013. This revelation caused a split, still not healed, within the Afghan Taliban leadership. To most Afghans it is obvious Pakistan was behind all this. Currently the Afghan government is not willing to reconsider peace talks with the Afghan Taliban until Pakistan cuts its support of, and control over, Islamic terror groups (like the Taliban and Haqqani Network) operating in Afghanistan.

 

October 12, 2015: South of Kabul some 2,000 Taliban, coming from several different directions, tried to rush in and seize control of Ghazni city, which is about the same size as Kunduz. This attack failed with none of the Taliban groups getting any closer than five kilometers from the city. Meanwhile troops and police are still fighting Taliban in some Kunduz neighborhoods.

The Taliban went online and declared war on Tolo and 1TV, two of the major TV networks in Afghanistan because the two networks reported incidences of Taliban raping women when they briefly occupied Kunduz.

 

October 11, 2015: In Kabul a Taliban suicide bomber tried to attack a British military convoy but failed. The bomber was killed and three civilians wounded.

 

October 10, 2015: In the south (Kandahar) the security forces detected the Taliban assembling several hundred men in a rural area of Shurabak, near the Pakistan border. Air strikes were called in, followed by a ground operation. The operations found over a hundred Taliban dead and more than fifty wounded by the attack.

 

October 7, 2015: In Kabul police arrested two Haqqani Network suicide bombers and prevented them from detonating the explosives in the car they were driving. Because of the complexity of the bomb it was decided to evacuate nearby buildings and detonated the car bomb where it was stopped.

 

October 6, 2015: The commander of U.S. forces in Afghanistan ordered all troops under his command to be formally reminded of the ROE (Rules of Engagement). This is a reaction to an October 3rd incident in Kunduz where Afghan forces called in American air support against Taliban who were firing on them from a building in a hospital compound. An American AC-130 gunship responded. Despite the precision of the AC-130 fire the Taliban were operating in the midst of civilians (a favorite tactic to prevent air strikes) and 22 civilians died as well. This became a major news story and the result will be more strict application of the ROE and a lot less U.S. air support for Afghan troops and police. This makes the security forces less effective and the Taliban more so. This sort of thing is no accident. The Taliban and drug gangs have invested a lot in the local media, to make each civilian death, at the hands of foreign troops, a major story. The majority of civilian combat deaths are at the hands of the Taliban or drug gangs, and the local media plays those down (or else). It's a sweet deal for the bad guys, and a powerful battlefield tool. The civilians appreciate the attention, but the ROE doesn't reduce overall civilian deaths, because the longer the Taliban have control of civilians in a combat situations, the more they kill. The Taliban regularly use civilians as human shields, and kill those who refuse, or are suspected of disloyalty. In most parts of Afghanistan, civilians are eager to get the Taliban killed or driven away, as quickly as possible and by any means necessary. The number of civilian deaths, at the hands of NATO/Afghan forces, are spectacularly low by historical standards. The U.S. armed forces have reduced civilian casualties during combat by over 90 percent since the 1970s. This is the result of wider use of precision weapons, better communications and new tactics. The troops know this, some of the civilians know this, but the media doesn't care and the Taliban know that dead Afghan soldiers and police are not news but dead civilians are, especially if it is one of rare incidents where the Taliban was not responsible.

In Kabul police arrested a Haqqani Network suicide bomber and disabled the explosives he was carrying. The man was attempting to attack a police station. The man later admitted that he had been trained across the border in Pakistan (Peshawar).

 

October 5, 2015: Some 400 kilometers northwest of Kabul over 500 Taliban attempted to charge into the city of Maimana (the capital of Faryab province and about half the size of Kunduz). The attack was repulsed with at least 20 percent of the attackers killed or wounded.

In the east (Khost) police arrested a Haqqani Network commander they had long been seeking.

 

October 4, 2015: Security forces completed killing or driving out most of the Taliban in Kunduz. Between today and the original attack on September 28th over 300 Taliban were killed.

In Kabul police detected and killed two suicide bombers before they could reach their target.

 

September 30, 2015: Afghan security forces began moving into Kunduz to clear out Taliban raiders.

 

September 28, 2015: Up north hundreds of Taliban gunmen used surprise and the darkness of night to seize control of Kunduz City. Taliban have been trying to do this since late April. Until now the Islamic terrorists had suffered thousands of casualties and were still stuck in the city outskirts. But this time they managed to move in several large groups of gunmen undetected by Afghan intelligence and pull off a surprise attack. This is part of a decade’s long effort to establish base areas outside the south. These efforts have not gone so well but the Taliban keep trying because control of border areas, and routes to them, in the north (to Central Asia) and east (to Pakistan, the port of Karachi and then the world) are essential for the drug gangs. Most drug sales are outside of Afghanistan and these smuggling routes are essential and must be safe enough to get most of the drugs out without being seized and destroyed. Bribes do most of the work with force being applied as needed. This explains the constant battles in northern and eastern Afghanistan. The fighting in the south is easier to understand because that is where the opium and heroin are produces. The problem in the north is that the Pushtun tribes up there are minorities, and are more concerned about angering non-Pushtun neighbors than in cooperating with Pushtun-run drug gangs from the south. As a result in the north more people are providing information on Taliban movements, and more Taliban are getting caught or killed up there. This time the Taliban presence for months had eliminated untrustworthy civilians and make this attack possible. Kunduz Province has always been the key to the northern smuggling route and Kunduz City (the provincial capital) is the key to controlling the province. Trying to seize control of Kunduz City is risky but a bold move nonetheless. Unfortunately the Taliban offensive came at the same time that a newly elected president came to power and proceeded to keep his campaign promises to dismiss corrupt and ineffective officials. That included a lot of senior people in the defense ministry and northerners blame the sloppy army performance in Kunduz on this housecleaning in the senior ranks of the army. Fortunately the non-Pushtun tribes that dominate the north have militias that were willing to defend Kunduz, as they had back in the late 1990s. Unfortunately pro-government militias are easier to bribe.

 

Taking Kunduz is a big deal for the Taliban and a defeat up there hurts Taliban morale and income. This will make some of the true-believer Taliban consider switching to ISIL as it is clear to most Taliban that the Kunduz operation is mostly about the drugs, not establishing a religious dictatorship in Afghanistan.  Hatred of the drug gangs and the Taliban is most intense in the north, where the non-Pushtun tribes (who are 60 percent of the Afghan population) are very hostile to any Pushtun “invasion”. The battle for Kunduz City is a test of whether drug gang money and hired guns (the Taliban) can overwhelm local hostility. Drug gang bribes have already bought temporary loyalty of many northerners, but can guns and money control the entire province? So far it’s a standoff with Taliban gunmen blocking most roads around the city while the government and local tribes send more reinforcements. ISIL is also active in Kunduz Province and apparently employed by at least one drug gang. So far several hundred thousand civilians have fled the area, fearing that the fighting will escalate before it is over. The danger to the civilians has encouraged the local tribal and warlord militias to go after the Taliban, who are seen as foreign invaders and deserving of no mercy.

 

 

September 24, 2015: Pakistan says that Afghan Taliban are leaving Pakistan after receiving a warning. Afghanistan does not believe this.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 11:35
L'armée afghane annonce avoir repris Kunduz, les talibans démentent

 

01/10/2015 Par lefigaro.fr

 

Cette ville stratégique était tombée lundi entre les mains des insurgés, soulevant la question de la capacité des forces afghanes à tenir tête aux talibans après le retrait des forces étrangères.

 

La ville était tombée lundi aux mains des talibans. Au terme de trois jours d'occupation par les insurgés, l'armée afghane a annoncé avoir repris Kunduz. «Après l'arrivée des renforts et le lancement d'une opération d'envergure dans Kunduz, les talibans n'étaient plus en mesure de résister et ils ont fui», résume le gouverneur de la province, Hamdullah Danishi, contacté par Reuters. L'arrivée de nouvelles troupes a longtemps été freinée par les insurgés qui ont miné les accès à la ville et lancé un assaut sur l'aéroport où stationnaient quelque 5000 soldats. Selon les autorités, l'offensive éclair menée par les forces spéciales a commencée mercredi à 23 heures avant de prendre fin le lendemain à 4 heures. Près de 150 talibans auraient été tués et 90 autres blessés.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:35
Afghanistan: l’Otan à la rescousse de l’armée pour reprendre Kunduz aux talibans


30 septembre 2015 45eNord.ca (AFP)
 

L’Otan, dont la mission de combat en Afghanistan s’est achevée il y a neuf mois, a déployé des soldats à Kunduz pour épauler l’armée afghane qui peinait mercredi à reprendre la main dans cette grande ville du nord face aux rebelles talibans.

 

Ces soldats étrangers, des forces spéciales, n’ont pas vocation à se battre, mais à « conseiller et soutenir » leurs homologues afghans, selon le colonel Brian Tribus, porte-parole des forces américaines, qui n’a pas souhaité s’étendre sur la teneur de leur mission à Kunduz.

Cette ville stratégique était tombée lundi aux mains des talibans, une première depuis la chute de leur régime en 2001 et un très grave revers pour le président Ashraf Ghani, et ses alliés occidentaux emmenés par les États-Unis.

Mercredi, Kunduz restait très largement contrôlée par les talibans. Dans la journée, ils ont pris la citadelle de Bala Hissar, au nord du centre-ville, une colline stratégique qui isole encore davantage l’armée afghane, qui ne tient plus que l’aéroport.

D’après une source militaire occidentale qui a requis l’anonymat, les soldats sont notamment américains, allemands et britanniques. Les soldats allemands sont toutefois retournés mardi soir dans leur base de Mazar-i-Sharif, à 150 km à l’ouest de Kunduz, selon un porte-parole de l’armée allemande.

En outre, l’aviation américaine a procédé depuis mardi à trois frappes aériennes autour de Kunduz et de son aéroport, où les combats continuaient de faire rage mercredi, pour tenter de contenir la progression des insurgés.

Selon les services de renseignement afghans, les frappes aériennes ont tué Mawlawi Salam, le responsable des talibans pour la province de Kunduz, son adjoint et quinze autres combattants.

« Si les frappes aériennes s’accentuent, nous pourrions nous retirer de Kunduz, mais nous comptons étendre la guerre vers (la province voisine de) Takhar et Mazar-i-Sharif », a expliqué à l’AFP un haut responsable taliban basé au Pakistan.

 

43 morts et 338 blessés

L’aide venue du ciel est donc cruciale aux troupes afghanes, bien que sa portée soit limitée aux seules zones périphériques. En ville, « le terrain est complexe et habité par des civils », comme l’explique à l’AFP Ben Barry, expert à l’Institut international d’études stratégiques (IISS) à Londres. Pour preuve, un chef tribal a dit avoir envoyé ses enfants à Kaboul, car « les gens ont peur des bombardements ».

L’armée afghane marche sur des oeufs et les renforts supplémentaires promis par le gouvernement sont freinés par les « mines et engins piégés » disposés autour de Kunduz, selon un responsable gouvernemental.

Il était difficile de vérifier les quelques informations qui émergeaient sur le nombre de victimes des combats. Le ministère afghan de la Santé a évoqué 43 morts et 338 blessés.

La prise de Kunduz et l’émergence, pour l’instant limitée, du groupe État islamique en Afghanistan ne manqueront pas d’alimenter le débat sur la date du retrait total des troupes américaines, envisagé à la fin 2016 par Washington. « Nous avons confiance dans la capacité (des forces afghanes) à défaire les talibans à Kunduz », a sobrement déclaré le porte-parole du Pentagone Peter Cook.

 

« Kaboul n’est pas loin »

Sur place, les talibans ont incité les habitants de Kunduz à reprendre une « vie normale ». « Ce matin, les talibans ont utilisé des haut-parleurs pour pousser les gens à rouvrir les magasins. Mais qui oserait faire ça? », se demandait un médecin qui n’a pas souhaité donner son nom.

Et dans une vidéo diffusée sur Facebook, les talibans disent vouloir appliquer leur version rigoriste de la charia – la loi islamique -, signe qu’ils comptent s’installer durablement.

La prise de Kunduz, avec ses 300.000 habitants, a un impact symbolique d’autant plus grand qu’elle est intervenue tout juste un an après l’avènement du gouvernement d’union nationale d’Ashraf Ghani, élu sur la promesse de ramener la paix dans son pays déchiré par plus de 30 ans de conflit.

Elle constitue la première grande victoire du nouveau chef des talibans, le mollah Akhtar Mansour, nommé cet été après l’annonce tardive de la mort (apparemment début 2013) du mollah Omar, et dont l’autorité avait depuis été mise à mal par des divisions internes.

Mais les insurgés semblent galvanisés par cette « grande victoire », comme ils l’ont appelée. Le responsable taliban installé au Pakistan a affirmé qu’ils projetaient d' »étendre la guerre à d’autres régions. Kaboul n’est qu’à 340 km (de Kunduz). Si nous avons réussi à prendre Kunduz, Kaboul ne sera pas plus difficile à prendre ».

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 21:35
Afghanistan : Kunduz, une bataille stratégique

 

30.09.2015 Le Monde.fr avec AFP

 

Les talibans ont pris le contrôle, lundi 28 septembre, de la ville de Kunduz, déclenchant une contre-offensive des forces afghanes, soutenues par les forces américaines. Une « prise » qui constitue une nette victoire pour les insurgés et marque un tournant dans la guerre qu’ils mènent, depuis quatorze ans, contre les forces gouvernementales et étrangères.

 

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29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 15:35
L'armée afghane lance une contre-offensive à Kunduz avec le soutien aérien américaine

 

29 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kaboul - L'armée afghane, épaulée par un soutien aérien américain, a lancé mardi matin une contre-offensive pour reprendre la ville de Kunduz, un verrou stratégique du nord, aux rebelles talibans qui s'en sont emparé la veille.

 

L'opération, menée par des renforts envoyés d'autres provinces, a déjà permis de reprendre le quartier général de la police provinciale et la prison, d'où des centaines de détenus avaient été libérés par les insurgés lundi, a assuré le ministère afghan de la Défense dans un communiqué.

 

La bataille est en cours. Les forces afghanes font face à la résistance des talibans mais réussissent à progresser, a ajouté Sayed Sarwar Hussaini, porte-parole de la police de la province de Kunduz.

 

Lundi, les rebelles talibans n'avaient eu besoin que de quelques heures pour s'emparer de Kunduz, ville stratégique de 300.000 habitants située sur la route qui relie Kaboul au Tadjikistan.

 

L'armée afghane, surmenée sur plusieurs fronts, ne peut plus compter sur le soutien sur le terrain de ses alliés de l'Otan. Les 13.000 soldats restants se consacrent quasi-exclusivement à la formation de leurs homologues.

 

Cependant, l'armée américaine épaule régulièrement Kaboul en procédant à des tirs de drone, notamment dans l'est de l'Afghanistan.

 

Mardi matin, alors que la contre-offensive était lancée, l'armée américaine a procédé pour la première fois à une frappe aérienne à Kunduz, en soutien aux forces afghanes et à celles de l'Otan déployées dans la zone, selon un porte-parole de l'Alliance.

 

Cette frappe, dont l'Otan n'a pas souhaité préciser la nature, était destinée selon l'alliance à éliminer une menace non identifiée.

 

L'armée américaine s'est résolue à mener cette frappe face à la gravité de la situation, alors que les 13.000 soldats occidentaux encore déployés dans le pays sont surtout censés se limiter, depuis le retrait des forces de combats de l'Otan en décembre dernier, à conseiller et former leurs homologues afghans.

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20 septembre 2015 7 20 /09 /septembre /2015 11:35
Militant Attack and Support Zones in Afghanistan: April - September 2015 - ISW

 

Sep 18, 2015 - Institute for the study of war
 

Taliban elements and other militant groups are conducting operations across Afghanistan, including spectacular attacks against major population centers and U.S. bases. The Haqqa­ni Network, a Taliban aligned-group, continues to pressure the ANSF and NATO forces with spectacular attacks in Kabul and Khost. Taliban elements are also conducting numerous ground assaults to seize district centers, especially in northern and southern Afghanistan. These campaigns comprised the 2015 warm weather from April 2015- September 2015. There have been several notable developments following the announcement of the death of Mullah Omar onJuly 29. First, Taliban militants have claimed control of two district cen­ters in Helmand on August II and August 26. Second, ISIS's Wilayat Khorasan have claimed control of seven district centers in Nangarhar over the course of July and September. Third, Taliban infighting has escalated as different factions compete and express varying positions on who should lead the Taliban movement.

 

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 07:35
Afghanistan: les talibans prennent une base militaire dans le nord-est

 

27-07-2015 Joël Bronner correspondant à Kaboul - RFI

 

En Afghanistan, après trois jours de combats, une base militaire du nord-est du pays est tombée en fin de semaine entre les mains des talibans. Une victoire militaire qui profite à l'insurrection alors que les combats se poursuivent à travers le pays. A la suite de cette opération, plus de cent militaires ont été libérés par les talibans.

 

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 09:35
Afghanistan: attentat à Kaboul contre les forces de l'Otan

 

07 juillet 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kaboul - Un attentat à la bombe a visé mardi à Kaboul des troupes étrangères de la mission de l'Otan en Afghanistan, a indiqué à l'AFP une porte-parole de l'Alliance atlantique qui n'a pas précisé si l'attaque avait fait des morts ou des blessés.

 

L'attentat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, mais les troupes étrangères de la mission de l'Otan Soutien résolu font partie des cibles de prédilection des rebelles talibans.

 

Selon une porte-parole de l'Otan qui a requis l'anonymat, l'attentat a visé les forces de la coalition à Kaboul, sans plus de précisions.

 

Najib Danish, porte-parole adjoint du ministère afghan de l'Intérieur, a de son côté indiqué que l'explosion s'était produite dans le sud-est de la capitale, dans le district de Shah Shahid.

 

Un photographe de l'AFP qui s'est rendu sur place a vu un véhicule blindé fortement endommagé par la déflagration.

 

La police a établi un périmètre de sécurité et de nombreuses ambulances se dirigeaient vers le lieu de l'attaque.

 

Depuis la fin de la mission de combat de l'Otan, seules 12.500 troupes étrangères sont aujourd'hui déployées en Afghanistan dans le cadre d'une nouvelle mission baptisée Soutien résolu qui est chargée de former et de conseiller les forces afghanes.

 

Ces dernières ont fort à faire contre des rebelles islamistes, qui ne se cantonnent plus uniquement à leur fief du sud du pays et s'en prennent de plus en plus aux troupes gouvernementales et étrangères à Kaboul et dans le nord du pays.

 

La semaine dernière, un attentat suicide contre un véhicule transportant des soldats américains sur la route de l'aéroport de Kaboul avait tué deux civils. L'attaque avait été revendiquée par les talibans.

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29 juin 2015 1 29 /06 /juin /2015 16:35
photo USAF

photo USAF

 

29-06-2015 Par RFI

 

Les frappes aériennes se poursuivent au mois de juin 2015 dans la région tribale du Waziristan, frontamière avec l'Afghanistan où sont basées des poches de résistance talibanes.

 

Les derniers raids de l’armée pakistanaise menés contre des positions des talibans ont causé la mort de vingt-trois rebelles, dont des étrangers. Depuis le 15 mai, l’armée pakistanaise a lancé une offensive majeure contre les rebelles dans le nord du pays et principalement dans la région du Waziristan. Une région montagneuse généralement interdite aux journalistes et où il est donc compliqué de vérifier les informations et de confirmer les bilans. Un dépôt d’armes a également été visé dans la zone de Khyber.

 

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29 juin 2015 1 29 /06 /juin /2015 16:30
Afghanistan: 11 soldats tués dans une embuscade près de la frontière avec l'Iran

 

29 juin 2015 Romandie.com (AFP)

 

Hérat (Afghanistan) - Onze soldats afghans ont été tués lors d'une embuscade dans l'ouest afghan, près de l'Iran, une région d'ordinaire plutôt stable, signe l'intensité et de l'étendue des combats contre les forces gouvernementales en pleine offensive estivale.

 

Les insurgés islamistes, talibans et autres factions, sont en général plus actifs dans leurs fiefs du sud et des régions limitrophes du Pakistan, le long de la frontière orientale de l'Afghanistan.

 

Mais depuis le début du printemps cette année, ils ont également lancé une série d'attaques destinées à prendre des districts du nord à l'armée et à la police afghanes, qui leur font face seules pour la première fois depuis 2001, après la fin de la mission de combat des troupes de l'Otan en décembre dernier.

 

La nouvelle attaque a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi dans la province d'Hérat, qui borde la frontière iranienne, alors que les soldats roulaient en convoi, a indiqué à l'AFP Ehsanullah Hayat, porte-parole du gouverneur de la province.

 

Onze soldats afghans sont morts dans l'embuscade tendue par les talibans, a-t-il ajouté, un bilan confirmé par Najibullah Najibi, porte-parole de l'armée pour l'Ouest de l'Afghanistan. L'attaque n'a pas été revendiquée par les talibans, généralement prompts à s'attribuer la mort de soldats lors de combats ou d'attentats.

 

L'armée, la police, le gouvernement afghans et les forces étrangères sont les cibles de prédilection des rebelles dans l'insurrection qu'ils mènent depuis la chute de leur régime en 2001.

 

Les rebelles continuent également de mener régulièrement des attaques spectaculaires à Kaboul, pour démontrer qu'ils peuvent frapper jusqu'au coeur du pouvoir afghan.

 

La dernière a eu lieu il y une semaine au parlement, lancée par l'explosion d'une voiture piégée qui a tué deux civils devant le bâtiment. Les forces de sécurité ont ensuite repris le contrôle du complexe deux heures plus tard, sans qu'aucun député ne soit blessé.

 

Cette attaque était d'autant plus symbolique que les députés s'apprêtaient à entendre Mohammed Massoum Stanekzai, le candidat désigné par le président Ashraf Ghani au poste de ministre de la Défense, vacant depuis l'élection présidentielle de 2014.

 

Lors de son élection, M. Ghani s'était engagé auprès de ses concitoyens, premières victimes des violences, à ramener la paix dans le pays.

 

Depuis décembre, l'Otan n'y dispose plus que d'une force résiduelle de quelque 12.500 hommes, en majorité américains. Ils se concentrent sur la formation de l'armée locale, mais leur présence fait toujours débat.

 

Lundi, des dizaines de personnes ont ainsi manifesté à Charikar, capitale de la province de Parwan située à 70 km au nord de Kaboul, pour protester contre un raid des forces américaines mené la nuit précédente.

 

Les soldats y ont fait exploser un dépôt d'armes chez un ancien moudjahidine, résistant à l'invasion soviétique des années 1980.

 

Le stock contenait des munitions qui auraient pu être utilisées contre les forces afghanes et celles de la coalition, a affirmé à l'AFP une porte-parole de la mission de l'Otan, qui a confirmé que le raid a été mené par des soldats américains.

 

Mais Mohammed Zaman Mamouzaï, chef de la police provinciale, s'est plaint que ses forces n'avaient pas été informées de l'opération qui n'a toutefois fait aucun blessé.

 

Face à l'ire populaire à Charikar, le chef de l'exécutif afghan Abdullah Abdullah a convoqué en toute hâte une conférence de presse durant laquelle il a demandé aux habitants de garder leur calme, ajoutant avoir évoqué le sujet avec le général américain John Campbell, patron des forces de l'alliance en Afghanistan.

 

Parwan abrite notamment la base aérienne de Bagram, où sont stationnés une grande partie des soldats de l'Otan.

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 12:35
Murphy's Law: We Are Shocked, Shocked

 

March 18, 2015: Strategy Page

 

 It was recently revealed (during the American trial of an al Qaeda leader) that the CIA provided 20 percent of the $5 million ransom paid for an Afghan diplomat kidnapped by al Qaeda in Pakistan in 2008. This was not intentional. The American money was part of cash provided to the Afghan president each month to keep him in a cooperative mood (in other words, a bribe). The use of bribes in Afghanistan is not news as it was admitted during late 2001 that cash bribes were paid to persuade some tribal leaders to rise up against the Taliban in support of a quick campaign to overthrow the Taliban government by the end of 2001. That use of bribes was not a surprise in 2001 because during the 1980s when the U.S. supported the Afghan tribesmen fighting the Russian troops in Afghanistan it became widely known that cash (for tribal leaders) as well as weapons were required to keep  the anti-Russian resistance going. That was not a surprise in the 1980s because anyone who has even had dealings with the Pushtun tribes (going back to Alexander The Great some 2,500 years ago) reported the same thing. Outsiders consider this rampant use of bribery a major problem but so far no one has come up with a cure.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 12:35
U.S. Army photo by Capt. Jarrod Morris, TAAC-E Public Affairs

U.S. Army photo by Capt. Jarrod Morris, TAAC-E Public Affairs

 

17.03.2015 Romandie.com (ats)

 

Les Etats-Unis vont ralentir leur rythme de retrait d'Afghanistan en 2015, à la demande de leurs chefs militaires sur le terrain, selon des responsables américains. Ils renoncent à réduire leur présence à 5500 hommes à la fin de l'année.

La Maison Blanche doit tenir dans les jours à venir des réunions pour préparer une décision définitive qui devrait être annoncée la semaine prochaine, à l'occasion de la visite à Washington du président afghan Ashraf Ghani, selon ces sources. "Il n'y a pas de décision finale, mais les indications sont que les niveaux de retrait vont être revus", a dit un responsable de la Défense.

Il y a environ 10'000 soldats américains pour l'instant en Afghanistan. Il était prévu jusqu'à maintenant que leur nombre soit réduit à 5500 à la fin de l'année. Le nombre révisé n'a pas été été fixé, mais il pourrait être de l'ordre de 7000 à 8000 hommes à la fin 2015, selon les responsables.

La Maison Blanche ne semble pas en revanche remettre en cause l'objectif d'un retrait total des troupes à la fin 2016, qui est une promesse de Barack Obama, ont-ils ajouté.

 

Nouveau leader

L'évolution de Washington est due en partie à l'élection de Ashraf Ghani, vu par les Américains comme un leader prometteur, plus ouvert a la coopération avec les Etats-Unis que son prédécesseur Hamid Karzaï. "Il y a un désir de l'aider à réussir, ce n'est pas le même type de leader", a indiqué un responsable.

La menace d'une implantation du groupe Etat islamique (EI) en Afghanistan a également pesé dans l'analyse américaine. D'anciens talibans ont prêté récemment allégeance à l'EI.

Sur les 10'000 soldats américains en Afghanistan, environ 2000 sont engagés dans des opérations d'anti-terrorisme contre les talibans et les militants d'Al Qaïda. Les autres entraînent et conseillent les forces de sécurité afghanes.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 18:35
photo EMA

photo EMA

 

6/3/15 LaCroix.com

 

Jeudi 5 mars, une vingtaine d’anciens interprètes de l’armée française ont manifesté à Kaboul pour réclamer d’être accueillis en France.

 

Récemment tous ces interprètes ont vu leur demande de visa rejeté. Contacté par La Croix, l’un d’eux indique que l’ambassade française reste floue pour expliquer ce refus. Paris ne fait pas de commentaires. Vus comme des traîtres en Afghanistan à cause de leur ancienne activité auprès de l’armée française, qui a quitté le pays en décembre 2014, ces interprètes sont menacés de morts par les talibans.

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:35
Resolute Support - photo Nato

Resolute Support - photo Nato

 

12.02.2015 Le Monde.fr

 

La Chine est prête à jouer les intermédiaires entre les talibans et Kaboul, a annoncé jeudi 12 février le ministre des affaires étrangères chinois, Wang Yi. Pékin est un acteur économique majeur en Afghanistan, notamment dans les mines. Il y est cependant resté jusqu'ici politiquement effacé. L'annonce a été faite non à Kaboul, mais au Pakistan, qui abrite les bases arrière et les principaux dirigeants des talibans afghans.

« Nous soutiendrons le gouvernement afghan dans sa recherche de réconciliation avec plusieurs factions politiques, y compris les talibans », a dit M. Wang, qui s'exprimait à Islamabad au côté du conseiller à la sécurité pakistanais Sartaj Aziz. M. Wang a également annoncé que le président chinois, Xi Jinping, effectuerait sa première visite au Pakistan « bientôt cette année ».

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 17:35
Les talibans afghans de plus en plus impliqués dans des trafics

Les talibans d’Afghanistan se comportent «de plus en plus comme des parrains plutôt que comme un futur gouvernement». (Archives/45eNord.ca)

 

10 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les talibans afghans ont resserré leurs liens avec des réseaux criminels actifs dans le trafic de drogue, l’exploitation minière illégale ou les enlèvements crapuleux, indique un rapport d’un comité d’experts de l’Organisation des Nations unies (ONU) publié lundi.

 

«Ils se comportent de plus en plus comme des parrains plutôt que comme un futur gouvernement», souligne le rapport.

 

Il détaille en particulier l’implication des talibans dans les mines de lapis-lazuli de la province du Badakhchan (nord-est) où ils extorquent aux mineurs près de 1 M $US par an en les menaçant.

 

Les talibans gagnent aussi entre 240 000 et 360 000 $US par an en rançonnant les chauffeurs de camions qui transportent les pierres précieuses depuis les mines.

 

Ils empochent également les deux-tiers des revenus des mines de chrome de la province de Paktika (sud-est) et 16 M$ US par an provenant des mines de rubis de Jegdalek, à l’est de Kaboul, indique le rapport.

 

Les enlèvements contre rançon, en hausse depuis 2005, leur rapportent désormais 16 M $US par an, ajoute le document. «L’ampleur de cette coopération est une nouveauté et se fonde sur des décennies d’interaction entre les talibans et d’autres individus impliqués dans des activités criminelles, expliquent les auteurs du rapport.

 

Ils craignent que cette situation ne rende plus difficile la réconciliation en Afghanistan car les talibans ont désormais peu d’avantages économiques à faire la paix.

 

Les experts recommandent que le Conseil de sécurité de l’ONU utilise davantage le régime de sanctions qui visent les talibans pour s’attaquer à leurs liens avec le crime organisé.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 20:35
Fully armed MQ-9 takes off on a mission in Afghanistan. Photo US Air Force

Fully armed MQ-9 takes off on a mission in Afghanistan. Photo US Air Force

 

09 février 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kandahar (Afghanistan) - Un ancien commandant taliban soupçonné de s'être rallié à l'organisation Etat Islamique (EI) a été tué par un tir de drone de l'Otan lundi dans le sud de l'Afghanistan, selon des responsables locaux.

 

Le mollah Abdul Rauf Khadim et quatre autres hommes qui se déplaçaient en voiture dans le district de Kajaki de la province de Helmand a été la cible d'un bombardement, a indiqué à l'AFP Mohammad Jan Rasulyar, vice-gouverneur provincial.

 

La mission de l'Otan en Afghanistan a confirmé ce bombardement qui a, selon elle, provoqué la mort de huit rebelles accusés de menacer ses troupes.

 

D'après les services de renseignement afghans (NDS), Abdul Rauf Khadim, libéré en 2007 de la prison américaine de Guantanamo, avait quitté les rangs des talibans pour devenir l'un des premiers commandants rebelles ralliés à l'EI en Afghanistan.

 

Des sources locales ont confirmé cette défection, ajoutant qu'il faisait dernièrement mouvement dans le Helmand avec 300 hommes arborant des drapeaux noirs de l'EI.

 

Abdul Rauf Khadim avait annoncé son allégeance à l'EI, faisant craindre une montée des ralliements à ce mouvement en Afghanistan. L'Etat islamique n'a toutefois pas confirmé en avoir fait un de ses représentants dans ce pays et dans cette région du Helmand, l'un des bastions historiques des talibans.

 

Une dizaine d'ex-commandants talibans afghans et pakistanais ont annoncé ces derniers mois leur ralliement à l'EI, qui a proclamé un califat sur une partie de la Syrie et de l'Irak, et à son chef Abou Bakr al-Baghdadi.

 

Selon une source rebelle pakistanaise, Abdul Rauf Khadim était le principal organisateur de l'unification des factions dissidentes des talibans ralliées à l'EI en Afghanistan et au Pakistan.

 

Il était notamment proche de Shahidullah Shahid, un ancien porte-parole des talibans pakistanais du TTP, renvoyé de ce mouvement après avoir prêté allégeance à l'Etat islamique.

 

Le phénomène du ralliement de talibans à l'EI est resté jusqu'ici limité au Pakistan et en Afghanistan, où les rebelles islamistes sont historiquement proches d'Al-Qaïda, nébuleuse rivale de l'EI sur le front jihadiste international.

 

Ces derniers mois, plusieurs responsables afghans, pakistanais et occidentaux ont exprimé leur crainte d'une contagion de l'EI dans la région, au moment où s'ouvre une période d'incertitudes avec la fin en décembre dernier de la mission de combat de l'Otan en Afghanistan, pays encore très instable et peu contrôlé par l'Etat hors des grandes villes.

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 12:55
Copie site web Elysée

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08/12/2014 Pierre-Laurent Flamen - .lavoixdunord.fr

 

Hervé Ghesquière, l’ex-otage des talibans, a été condamné ce lundi pour diffamation devant la cour d’appel de Douai. Le journaliste avait usé du terme de « lâche » pour désigner un ancien militaire dans une interview donnée aux Échos du Touquet.

 

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 08:35
Recrudescence des attaques talibanes en Afghanistan

 

29-11-2014 Par RFI

 

L’Afghanistan a été à nouveau frappé par la violence vendredi, avec l’attaque de la base militaire de Shorabak (Sud). Les assauts des talibans se multiplient dans le pays ces derniers jours. Alors que les dernières troupes étrangères doivent quitter le pays avant la fin de l’année, le Parlement a approuvé jeudi l’accord bilatéral de sécurité qui permettra le maintien d’un contingent principalement américain de soutien aux forces de sécurité afghanes. Un accord qui a toujours été dénoncé par les rebelles.

 

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