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2 novembre 2015 1 02 /11 /novembre /2015 08:55
Colloque annuel du CDSE 2015 - SECURITE 2020 : NOUVELLES MENACES, NOUVELLES REPONSES - 10 déc. 2015

 

source CDSE

 

Ouverture des inscriptions : Septembre 2015

Animation de la journée : Laurance NKAOUA (Les Echos)

 

9H00 OUVERTURE DES TRAVAUX
Patrice CAINE (Président Directeur Général de THALES), Alain JUILLET (Président du CDSE)

 

9h30 Conférence
Comment les entreprises peuvent-elle se préparer à la guerre de demain ?

 

10H00 / Menaces d’aujourd’hui et de demain. Comment les entreprises peuvent-elles s’y préparer ?
Cyber menaces, déstabilisation, virtualisation des fraudes, trafics illicites transnationaux, kidnapping, radicalisme… L’éventail des menaces visant les entreprises est vaste. Est-il possible de définir une cartographie des principales menaces visant les entreprises ? Est-il possible d’avoir une meilleure détection précoce ? A quoi les entreprises doivent-elles se préparer ? Existent-ils des menaces émergentes qui risquent à terme de devenir des menaces majeures pour les entreprises ? Quels sont les partenariats publics / privés qu’il convient d’engager pour y faire face ?

 

11h15/ Pause

 

11H45/ Nouveaux regards sur les métiers de la sécurité
Dans un monde globalisé où les menaces sont de plus en plus polymorphes, quel est et quel devra être le profil des praticiens de la sécurité en 2020 (consultant, analyste, responsable sécurité, etc.) ? Quel profil recruter en 2015 pour avoir un bon directeur sécurité en 2020 ? Va-t-on avoir une recomposition des métiers de la sécurité ? Le métier de détective privé par exemple va-t-il être supplanté par celui de consultants ou d’analyste en cyber sécurité ? Face à la multiplication des crises médiatiques, faudra-t-il également revoir le profil des experts de la gestion de crise ? Face à l’évolution technologique, faudra-t-il de nouvelles expertises ? Quelles seront les formations nécessaires ?

 

13H00 : Déjeuner

 

14h30/ Témoignage  : Denis FAVIER (Directeur général de la gendarmerie nationale) : nouvelles formes de crise gérées par les forces de l’ordre (prise d’otage multiples, black bloc, nouvelles violences).

 

15h30/ La sécurité en 2020  : comment conjuguer nouvelles technologies et sécurité (drones, imprimantes 3D…)
De nouvelles technologies de sécurité (drones, robots, imprimantes 3D, etc.) connaissent un essor important. Quelles vont être leur place dans les années à venir ? A-t-on une idée des besoins des entreprises en la matière ? Sait-on déjà ce qui pourra être efficace ou au contraire déficient ? Quelle en sera l’acceptation sociale ? Quel en sera l’impact sur l’emploi (Plusieurs startups de la Silicon Valley commencent à développer et à commercialiser des robots de gardiennage à un prix compétitif) et les compétences des personnels de sécurité ? Quels risques représentent-elles ? Par exemple si un robot de surveillance se fait hacker par un compétiteur, quid de la responsabilité en cas d’accident impliquant une atteinte à l’intégrité physique d’un humain ? Voici quelques questions à laquelle cette table ronde devra répondre.

 

16H30 / CLOTURE

 

Lieu : OCDE, 2 rue André Pascal – 75016 Paris.

Pour plus d’information : julien.marcel@cdse.fr

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 11:55
[web série] Furtivité: les avions de chasse

 

18/09/2015 LV Sandra Lewinski / DICOD  - Economie et technologie

 

Pour mener à bien leurs missions, les avions de combat doivent être discrets. Du Rafale au nEuron, les progrès technologiques ont contribué à une nouvelle génération d’avions de combat encore plus furtifs. L’art de la dissimulation dans les airs consiste à échapper à la détection des radars et des capteurs infra-rouge ou thermiques qui déterminent la position et la forme des aéronefs. Découvrez comment la radiodétection a changé la physionomie des combats tout en modifiant la forme du fuselage des avions.

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9 juin 2015 2 09 /06 /juin /2015 12:55
[Intégrale] Furtivité, le camouflage haute technologie (JDef)


9 juin 2015 par Journal de la Défense (#JDef)

 

Systèmes de vision nocturne, par infrarouge ou de détection radar… la haute technologie est au cœur des opérations militaires modernes. Qu’elles opèrent au sol, sur l’eau ou en l’air, nos armées utilisent tous les jours ces moyens pour détecter et tromper l’adversaire. C’est ce camouflage moderne que l’on appelle la furtivité.

Ce mois-ci, le Journal de la Défense (#JDef) vous emmène au cœur de ces systèmes innovants, à la rencontre de ces spécialistes de la dissimulation.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 16:55
 Jean-Yves Le Gall, Président du CNES et Bruno Sainjon, Président–directeur général de l’ONERA

Jean-Yves Le Gall, Président du CNES et Bruno Sainjon, Président–directeur général de l’ONERA

 

Paris, le 31 mars 2015 – CP 049-2015

 

Jean-Yves Le Gall, Président du CNES et Bruno Sainjon, Président–directeur général de l’ONERA (centre français de recherche aérospatiale), ont signé lundi 30 mars, au siège de l’ONERA (Palaiseau–Essonne) un nouvel accord cadre visant à renforcer leur coopération scientifique et technologique.

 

Comme envisagé lors de la bilatérale d’octobre 2014, ce nouvel accord régit pour une période de cinq ans les activités de coopération entre le CNES et l’ONERA dans les domaines des lanceurs et des systèmes orbitaux.

Dans le domaine des lanceurs, les deux établissements mèneront ensemble des études prospectives systèmes et de R&T pour les lanceurs futurs, avec comme première perspective les lanceurs partiellement réutilisables.

Dans le domaine des systèmes orbitaux, le CNES et l’ONERA exploreront différents axes de coopération tels que l’aérothermodynamique (rentrée de débris orbitaux), les commandes de vol ou la propagation électromagnétique.

Après le lancement de 6 Programmes d’Intérêt Commun (PIC) lanceurs en 2014, la signature de cet accord est une nouvelle étape dans la volonté de renforcement de la coopération entre le CNES et l’ONERA.

 

À cette occasion, Jean-Yves Le Gall, Président du CNES, a déclaré : « Je suis particulièrement satisfait de cette signature qui permet de faire entrer dans une nouvelle dynamique la coopération entre le CNES et l’ONERA. Nous sommes désormais pleinement en mesure de mettre en cohérence nos actions de recherche amont pour que la France et l’Europe demeurent des acteurs majeurs du spatial». De son côté, Bruno Sainjon, Président-directeur général de l’ONERA a souligné : « Cet accord cadre renforce notre action commune dans les trois domaines fondamentaux des lanceurs, des systèmes orbitaux et des missions scientifiques »

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4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 21:55
Drones malveillants : de nouvelles parades expérimentées par l'État d'ici à fin mars

 

04/03/2015 Par Christophe Cornevin – LeFigaro.fr

 

Outre l'installation de moyens radars passifs ou actifs, les experts du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) vont faire tester des techniques de brouillage, de leurrage GPS ou encore des «jets de matière», via notamment des canons à eau.

 

Alors que plusieurs vols suspects de drones ont été aperçus dans la nuit de mardi à mercredi dans le ciel parisien, portant à soixante le nombre de survols interdits observés depuis octobre dernier, les experts du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) explorent toutes les parades pour lutter contre ce phénomène.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 08:55
La SNCF et l’Onera s’unissent pour développer des drones de surveillance des 30 000 kilomètres de voies

 

25 février 2015 Par Olivier James - Usinenouvelle.com


Pour surveiller ses 30 000 kilomètres de lignes ferroviaires à l’aide de drones, SNCF Réseau a fait appel à l’Onera. Ce partenariat de 4 millions d’euros vise in fine à automatiser le système actuel.

 

La surveillance des infrastructures de la SNCF via les drones s’apprête à changer d’échelle. On savait le donneur d’ordre parmi les entreprises les plus actives en matière d’utilisation de drones : le rapprochement avec l’Onera marque une nouvelle étape. Réseau SNCF (qui réunit SNCF Infra, DCF et RFF) vient de nouer un partenariat sur 5 ans avec le centre de recherches et technologies aéronautique et spatial, dont le montant s’élève à 4 millions d’euros.

"L’objectif est de passer des expérimentations locales avec des drones au développement et à la définition d’un futur système plus automatisé, résume Florent Muller, expert système et surveillance à l’Onera et chef de ce nouveau partenariat. En un mot, il s’agit de mettre en place un système qui soit chaque jour exploitable et opérationnel". Avec pour spécificités l’étendue géographique des infrastructures (30 000 kilomètres de voies ferrées) et leur diversité (gares, technicentres ferroviaires, ouvrages d’art, trains...).

 

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 12:50
Altran acquiert le néerlandais Nspyre

Nspyre est une entreprise de conseil en hautes technologies avec des spécialisations en développement logiciel et en ingénierie mécanique. Nspyre s’appuie sur 680 personnes.

 

17 février 2015 par  Didier Girault - electroniques.biz

 

Altran, entreprise de conseil en hautes technologies, vient d’acquérir Nspyre, un homologue néerlandais spécialisé en développement logiciel et en ingénierie mécanique, pour un montant non dévoilé.

 

Nspyre s’appuie sur 680 personnes disséminées dans onze centres. Il a réalisé, en 2014, un chiffre d’affaires de 64 millions d’euros.

 

Altran indique que cette opération renforce sa position dans ses activités Intelligent Systems (systèmes embarqués et systèmes temps réel) et LifeCycle Experience (méthodes applicables en R&D, fabrication, approvisionnements en matières et services, ainsi que maintenance, pour les matériels à commercialiser).

 

« Cette acquisition est la parfaite illustration des cibles que recherche Altran puisqu’elle répond aux trois critères : acquisition de savoir-faire technologiques clés transversaux à tous les business ainsi que d’une activité à forte marge, et renforcement du leadership géographique », annonce Philippe Salle, président directeur général d’Altran.

 

Altran dispose désormais de 1800 personnes au Benelux (1000 aux Pays-Bas) et y devient numéro 1 du conseil en innovation et en hautes technologies.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:20
La Darpa veut mettre des satellites en orbite avec des avions de chasse

 

09 février 2015 Par Julien Bergounhoux - Usinenouvelle.com

 

La Darpa, l'agence américaine de R&D dédiée à la défense, a dévoilé une vidéo du programme Alasa, qui vise à mettre en orbite de petits satellites grâce à des lancements effectués depuis des avions de chasse.

 

L'un des grands défis de l'industrie spatiale est la réduction des coûts de lancement dans l'espace. A l'heure actuelle, même les lancements les moins chers, comme ceux de SpaceX, atteignent des sommes de 55 millions de dollars (48 millions d'euros). Et chaque lancement doit être prévu des mois à l'avance, et partir de centres spécifiques. Dans ce contexte, il n'existe aucun accès rapide et à faible coût pour mettre une petite charge en orbite terrestre basse. Ces satellites doivent attendre de pouvoir passer comme charge secondaire sur de plus gros lancements.

Le programme Alasa (Airborne Launch Assist Space Access), ou "accès à l'espace assisté par lancement aérien"), est conçu par la Darpa pour répondre à ces besoins. Son approche innovante se base sur l'utilisation d'un avion de chasse pour emmener un petit lanceur à une haute altitude (supérieure à 15 000 m), qui lui-même emporterait ensuite un microsatellite de 45 kg en orbite terrestre basse.

 

Vidéo illustrant le déroulement d'un lancement Alasa

 

L'agence travaille sur ce projet depuis 2011. Ce type de lancement, similaire à la technologie que poursuit Virgin Galactic ou aux missiles anti-satellites développés par les Etats-Unis pendant la guerre froide, a plusieurs avantages. D'abord un coût réduit, de moins d'un million de dollars, car l'avion de chasse fait office de premier étage réutilisable. Ensuite un délai de lancement très court, de seulement 24 heures au maximum, car l'avion ne nécessiterait pas de modifications particulières pour emporter sa charge. Enfin, la capacité à effectuer ce type de lancement depuis quasiment n'importe quelle base aérienne, partout dans le monde. La Darpa est pour le moment dans "une phase rigoureuse de tests de nouvelles technologies" pour faire de ce programme une réalité.

En parallèle, la Darpa étudie la mise en place de lancements de satellites (d'un poids allant jusqu'à 2 300 kg) à moins de 5 millions de dollars au travers du programme d'avion spatial hypersonique XS-1. L'US Air Force effectue elle aussi des essais depuis plusieurs années sur un véhicule spatial sans pilote, le X37-B. Quant à l'Europe, elle s'apprête à tester le 11 février un prototype de véhicule spatial capable de retourner sur Terre : le IXV (Intermediate eXperimental Vehicle).

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 21:55
Ouverture internationale des universités : Polytechnique se hisse à la cinquième place

 

27.01.2015 Le Monde.fr

 

Les universités françaises et européennes ont rarement les faveurs des palmarès internationaux, dont la méthodologie est souvent jugée favorable aux établissements anglo-saxons. Une critique entendue par le Times Higher Education, à l'origine d'un des classements les plus influents : pour la deuxième année consécutive, cet organisme publie un palmarès axé sur l'ouverture des établissements à l'international, qui redistribue les cartes. Une célèbre institution française, Polytechnique, s'y distingue par une 5e place, faisant un bon de 18 places par rapport à 2014.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:55
photo Thierry Mamberti - Safran

photo Thierry Mamberti - Safran

 

Paris, le 27 janvier 2015 Safran

 

 

Geneviève Fioraso, Secrétaire d’Etat chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Jean-Paul Herteman, Président-directeur général de Safran ont inauguré ce jour Safran Tech, le centre de Recherche et Technologie du Groupe. Au sein du premier pôle scientifique et technologique de France, sur le plateau de Saclay. Safran Tech accueillera 300 chercheurs et ingénieurs dédiés à la recherche technologique dans les disciplines clés pour l’ensemble des métiers du Groupe.

Avec Safran Tech, le Groupe fait aujourd’hui le choix d’intensifier et mutualiser ses efforts de Recherche et Technologie sur les grandes ruptures technologiques que sont notamment l’électrification de l’avion, la recherche de nouvelles architectures de propulsion et le développement des technologies de l’information et des communications. L’investissement global représente d’ores et déjà près de 60 millions d’euros, et s’élèvera à plus de 80 millions à horizon 2018.

Safran Tech apportera une nouvelle dimension à la R&T du Groupe en favorisant l’innovation ouverte. Universités, organismes publics mais aussi partenaires industriels et start-up innovantes travailleront en collaboration avec les équipes du Centre dans des laboratoires communs ou sur des plateformes partagées, constituant ainsi un ensemble scientifique de premier plan, créatif, connecté et ouvert sur le monde extérieur. Le Centre qui travaille déjà avec l’Université d’Orsay, Centrale, Sup’elec Sup’Optique, l’ONERA, accueillera le laboratoire Safran/CEA* dédié à l’étude des capteurs et à leurs applications. Un laboratoire de robotique des véhicules regroupant PSA, Valeo, l’École des mines de Paris et Safran devrait voir le jour prochainement. Il est également prévu qu’à terme deux centres de recherche de l’école des MINES ParisTech (Ecole des mines de Paris) s’installent sur le site.

« Safran Tech, c’est l’investissement de Safran pour l’avenir de nos métiers, de notre industrie, de l’Europe de la connaissance, de l’innovation et de la croissance, » a déclaré Jean-Paul Herteman. « Grâce au génie et à la pertinence des choix d’investissement de nos prédécesseurs, l’aéronautique européenne en général et Safran en particulier mettent en service une nouvelle génération de produits, aux performances inégalées. Les carnets de commandes sans précédent laissent augurer jusqu’à 7 années d’activité, un niveau encore jamais atteint. Mais rien n’est jamais acquis et cet héritage nous engage. Il nous oblige à créer un futur à la hauteur de ce que nous ont légué les pionniers de l’aéronautique, de la défense et de la sécurité. »

En 2013, Safran a consacré 12 % de son chiffre d’affaires à la R&D (1,8 Md€) dont le tiers pour la R&T. Classé 2ème déposant de brevets en France (645 brevets), le Groupe figure dans le Top 100 des Global Innovators de Thomson-Reuters.

* Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives.

- See more at: http://www.safran-group.com/fr/media/20150127_safran-inaugure-safran-tech-fer-de-lance-de-sa-rt#sthash.97brpQjQ.dpuf
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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 13:55
Drones, la révolution en marche (Jdef)

 

14/01/2015 Economie et technologie

 

Pour ce numéro spécial « Drones, la révolution en marche », le Journal de la Défense (#Jdef) vous éclaire sur les drones qui sont devenus, en 10 ans, un incontournable des interventions militaires. C’est un instrument aujourd’hui privilégié pour la reconnaissance et l’observation.

 

A l’heure où la France et l’Angleterre s’apprêtent à développer ensemble le drone du futur capable de frapper l’adversaire, le drone intrigue et passionne.

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 08:55
 [Teaser] Drones, la révolution en marche (#Jdef)


30/12/2014 Asp Camille Martin  - DICOD

 

Pour ce numéro spécial «Drones, la révolution en marche», le Journal de la Défense (#Jdef) vous éclaire sur les drones qui sont devenus, en 10 ans, un incontournable des interventions militaires. C’est un instrument aujourd’hui privilégié pour la reconnaissance et l’observation.

 

A l’heure où la France et l’Angleterre s’apprêtent à développer ensemble le drone du futur capable de frapper l’adversaire, le drone intrigue et passionne.

 

Grille de diffusions :

sur la chaîne LCP-An :

  • Le 6 janv à 21h45 ;
  •  le 7 janv à 16h20 ;
  •  le 8 janv à 01h05 et à 10h15 ;
  • le 16 janv à 00h15 ; le 19 janv à 16h20
  • le 25 janv à 23h30.

 -sur LCP 24/24 et web :

  • Le 6 janv à 21h45 ;
  • le 7 janv à 16h20 ;
  • le 8 janv à 01h05 et 10h15
  • le 16 janv à 00h15.
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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 12:55
Exposition "Mesures et démesures. Les très grandes souffleries aéronautiques de l'ONERA" au Musée des arts et métiers

 

30.09.2014 ONERA

 

Le Musée des arts et métiers accueille du 30 septembre 2014 au 4 janvier 2015, l'exposition de photographies "Mesures et démesures. Les très grandes souffleries aéronautiques de l'ONERA".

 

À Modane-Avrieux en Savoie, où sont implantées les très grandes souffleries de l'ONERA, centre français de la recherche et technologie pour l’aéronautique et le spatial, les avionneurs du monde entier viennent tester les performances aérodynamiques de leurs futurs engins. Les tests qui y sont réalisés permettent de réduire les incertitudes avant le premier vol et de minimiser ainsi les risques techniques et industriels ; un aspect fondamental pour les constructeurs dans un contexte de plus en plus concurrentiel.

L'exposition s’adresse aux publics passionnés d’aéronautique et de technologie, de photographie, d’architecture et patrimoine industriels. Elle invite les visiteurs à découvrir à travers des photographies grand format en noir et blanc ce site exceptionnel tant par son envergure et son histoire que par les essais et recherches qui y sont menés. Antoine Gonin, photographe, passionné de grandes infrastructures industrielles, a réussi à capturer le gigantisme de ces souffleries uniques au monde, situées dans la vallée de la Maurienne.

 

Informations pratiques

  • Venir au musée
    Métro : Arts-et-Métiers (lignes 3 et 11)
    ou Réaumur-Sébastopol (ligne 4)
    Bus : 20, 38, 39, 47
    Station Vélib’ : 55 rue de Turbigo
     
  • Heures d’ouverture
    Le musée est ouvert du mardi au dimanche inclus, de 10h à 18h.
    Nocturne le jeudi jusqu’à 21h30.
    Fermé les lundis, le 1er mai et le 25 décembre.
     
  • Tarif
    Plein tarif : 6,50€ (tarif d'accès à l'exposition permanente)
    Tarif réduit : 3,50€
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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 11:55
MIP - Bâche anti-radar et module adapté de recharge solaire innovants

 

26/05/2014  C. Bobbera - Economie et technologie

 

Depuis 1988, la Mission Innovation participative apporte son soutien matériel, financier, administratif, technologique, moral et juridique aux innovateurs des trois armées, de la gendarmerie nationale, du service de santé des armées, de la direction générale de l'armement et de tout autre organisme dépendant du ministère de la Défense. A l’occasion de ses 25 ans, découvrons des projets innovants proposés, réalisés et validés par des personnels civils ou militaires de la Défense.

 

Pour les 25 ans de la Mission Innovation participative (MIP), découvrons deux projets innovants qui ont trouvé leur place au sein des forces armées : la bâche anti-radar et le module adapté de recharge solaire.

 

La bâche anti-radar pour embarcations légères type ETRACO
MIP - Bâche anti-radar et module adapté de recharge solaire innovants

 

Être le plus furtif possible, réduire la signature radar du matériel pour favoriser les opérations d’infiltrations…

Le Groupe d’étude et de recherche appliquée à la comptabilité électromagnétique (GERAC), une filiale de Thales, a créé une bâche réduisant considérablement la signature radar d’un matériel au point de ne plus en permettre l’identification. Cette bâche baptisée BZ 200 est facilement transportable, hermétique, résistante aux déchirures et aux produits corrosifs. Elle est utilisable à des températures extrêmes allant de -40° à 70°. Le commando Hubert s’est montré très vite intéressé par ce produit novateur. Ensemble, le GERAC et les hommes du commando Hubert ont cherché à adapter cette bâche anti-radar pour leurs embarcations légères de type ETRACO. Le commando utilise l’ETRACO dans le cadre de ses missions d’approche des bâtiments de surface. Malgré leur petite taille, les embarcations sont détectables à de longues distances par des navires dotés de puissants radars. Cela peut corrompre la mission. Cette bâche anti-radar permet ainsi d'augmenter la sécurité et les chances de réussite de la mission.

La bâche est déjà en possession du commando Hubert qui a demandé une nouvelle innovation au GERAC : améliorer la bâche afin qu’elle atténue l’impact des balles tout en conservant ses qualité de furtivité.

 

Le module adapté de recharge solaire (MARS)
 
MIP - Bâche anti-radar et module adapté de recharge solaire innovants

 

Rendre les forces déployées en opération extérieure plus autonome énergétiquement. Tel est le défi qu’a relevé l’adjudant-chef Nocodie de la 27° brigade d’Infanterie de Montagne en développant son projet innovant nommé "Module adapté de recharge solaire" (M.A.R.S).

L’usage de piles pour les forces terrestres déployées en zone montagneuse ou désertique, pose des problèmes d’autonomie, de poids et de respect de l’environnement. L’adjudant-chef Nocodie a ainsi eu l’idée de remplacer les piles par des accus rechargeables à l’aide de panneaux solaires, souples, incassables, pliables et légers. Cette innovation permet d’avoir une autonomie en énergie électrique presque illimitée pour tous les matériels. Cette solution simple et pratique permet une autonomie quasi-totale en terme de tension d’alimentation pour tous les types d’équipements radio avec leurs périphériques associés pour un coût, un poids et un encombrement réduits (1m² pour 1,9 kilo).

Ce projet innovant permet un gain de poids et de volume conséquent dans le sac de combat. Les économies, financières, réalisées sont extrêmement importantes compte tenu du prix unitaire de chaque type de pile et son usage unique. Une soixantaine de modules sont en cours de déploiement au sein des forces terrestres. Les forces spéciales se sont montrées très intéressées pour acquérir ces de panneaux solaires.

L’innovation de l’adjudant-chef Nocodie lui a permit d’être lauréat du prix de l’Audace 2008.

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 11:55
gilet de combat pare-balles - photo Sirpa Terre

gilet de combat pare-balles - photo Sirpa Terre

 

 

23/05/2014 Economie et technologie

 

Cette année, la Mission innovation participative (MIP) fête ses 25 ans. A cette occasion, et alors que seront récompensés le 28 mai à l’École militaire sept innovateurs du ministère de la Défense soutenus par la MIP, la rédaction vous propose de découvrir la mission de celle-ci et de revenir sur les innovations les plus marquantes dont elle a favorisé la création. Aujourd’hui : le gilet pare-balles.

 

Depuis 1988, la MIP apporte son soutien aux innovateurs des trois armées, de la gendarmerie nationale, du service de santé des armées, de la direction générale de l'armement et de tout autre organisme dépendant du ministère de la Défense. Son soutien est à la fois matériel et financier (de quelques milliers d’euros à 90 K€), administratif, technologique (conseils, contacts, coopération avec extérieur), moral et juridique (conseil sur la propriété intellectuelle).

 

Pour être soutenu, un projet doit contribuer à l’amélioration des équipements opérationnels, logistiques, ou d’instruction existants ; à la conception de nouveaux matériels adaptés à l’évolution des besoins ; à l’accroissement de l’efficacité de matériels existant ; à l’amélioration des méthodes de fonctionnement y compris administratives ; à l'amélioration de la prise en compte de grands enjeux tels que le développement durable, la sécurité, les conditions de travail…

 

Depuis sa création, la mission a reçu plus de 1 400 projets proposés par près de 1 500 innovateurs et en a soutenu financièrement 1 340. Parmi eux, le gilet de combat pare-balles. Jusqu’au conflit en ex-Yougoslavie, il n’existait que le gilet pare-éclats, qui ne protégeait pas contre les tirs de snipers. En 1991, la MIP alloue plus de 45 000 euros au projet d’un colonel et d’un adjudant de l’armée de Terre qui imaginent un vêtement de combat assurant la protection du buste du fantassin, du cou au bas-ventre, tout en lui permettant une activité normale, grâce à un matériau de protection de nouvelle génération et un dispositif de fixation rapide et sûr.

 

Immédiatement, ce gilet pare-balles remporte un franc succès : produit et diffusé en plusieurs milliers d’unités, il contribue à assurer la sécurité des forces engagées en Bosnie. Un succès qui ne se dément pas puisqu’il est encore aujourd’hui utilisé.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:55
Le pansement bio inspiré qui guide les cellules régénératrices

 

30/04/20 Economie et technologie

 

Un pansement qui répare ! Oui c’est désormais possible. En s’inspirant du principe de la coagulation humaine, et en rendant le matériau de son pansement «transportable», le laboratoire ERRMECe de l’université de Cergy Pontoise va révolutionner la prise en charge de patients tels que les grands brûlés sur les théâtres d’opérations, mais également en milieu hospitalier. Son innovation est en fait une "véritable autoroute" qui attire et guide les cellules régénératrices vers la plaie à réparer. Ces « pansements bio inspirés », réalisés dans le cadre d’une thèse financée par la DGA, pourraient être prochainement commercialisés après les nécessaires essais cliniques. Reportage.

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 12:55
Innovation, recherche et technologie

22/11/2013 Ministère de la Défense

 

Le 21 novembre 2013, la Direction générale de l’armement (DGA) a organisé le deuxième forum innovation sur le campus de l’École polytechnique à Palaiseau. Cette manifestation constitue un lieu privilégié d'échanges et de rencontres entre les acteurs clés en matière de recherche et technologie. Présent, Jean-Yves Le Drian a fait un bilan sur le pacte Défense-PME.

 

L’École polytechnique à Palaiseau, lieu d’excellence scientifique, a accueilli le 21 novembre le deuxième forum innovation organisé par la Direction générale de l'armement (DGA). Autour de cette dernière, petites et moyennes entreprises (PME), entreprises de taille intermédiaire (ETI), laboratoires de recherche, universités, maîtres d'œuvre industriels et partenaires institutionnels de la Défense étaient réunis. 700 acteurs français du secteur recherche et technologie étaient ainsi présents.

 

Un village exposition, construit autour de neuf thèmes scientifiques et technologiques à caractère dual (civil et militaire) sur lesquels la DGA investit, a permis d'exposer une centaine de projets de recherche fondamentale. De nombreuses innovations inédites ont ainsi été présentées, comme le micro-drone qui roule et grimpe aux murs, le buggy volant (voir ci-dessous), la caméra qui voit en couleur aussi bien le jour que la nuit, ou encore le pansement bio-inspiré permettant de réparer les tissus. « Il faut constamment innover pour garder une longueur d’avance sur les théâtres d’opération et sur la scène internationale », explique Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement. « Le ministère de la Défense est pleinement investi dans cette mission. Cette année, 270 projets nouveaux et 142 nouvelles thèses académiques ont été soutenus par la DGA et ses partenaires de la recherche. » 

 

 

Innovation, recherche et technologie

Après avoir visité les différents stands d'expositions et rencontré les entrepreneurs présents, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a dressé le premier bilan du pacte Défense-PME, lancé un an auparavant. Cette initiative a introduit 40 mesures concrètes et immédiates pour favoriser le développement des 30 000  PME et ETI avec lesquelles le ministère de la Défense travaille. « Nous sommes déterminés à poursuivre les efforts que nous avons engagés, je crois que nous pouvons déjà nous féliciter des retombées très concrètes du Pacte Défense PME », a déclaré Jean-Yves Le Drian. Le projet de loi de programmation militaire 2014-2019, examiné à l’Assemblée nationale à partir du 26 novembre, prévoit ainsi 4,4 Mds€ courants pour des travaux de recherche technologique et d’innovation confiés aux laboratoires et à l’industrie. « C’est une priorité que j’ai fixée, a ajouté le ministre, ces sommes bénéficieront dans les prochaines années à la préparation du renouvellement des deux composantes de la dissuasion, à la préparation du système de combat aérien futur et des prochaines générations de missiles, ainsi qu'à la montée en puissance des travaux sur la cyberdéfense. »

 

Le buggy volant - Pégase

La star de ce forum a été sans conteste ce buggy volant - Pégase. Ce véhicule biplace tout terrain a été conçu pour rouler sur la voie publique et voler dans la catégorie ULM suivant les homologations européennes. Il est capable se déplacer rapidement sur terre ou dans les airs, de manière autonome et en toutes circonstances (franchissement de coupures sèches ou humides, manque d’infrastructures routières, séisme, catastrophe naturelle). Pouvant décoller très rapidement, il peut rouler à plus de 100 km/h sur route et voler à 80 km/h dans les airs. Soutenu et financé par la DGA, ce véhicule développé par la société Vaylon, a été conçu avec au concours des forces spéciales. Il leur permettra de réaliser des missions d’infiltration, de sauvetage ou encore de renseignement.Les premiers essais en vol auront lieu début 2014.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 17:55
Prix de thèse DGA 2013 : 3 chercheurs récompensés

 

21/11/2013 DGA DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ARMEMENT

 

Le21 novembre 2013, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et Laurent Collet-Billon, Délégué général pour l’armement, ont décerné le « prix de thèse DGA» à trois doctorants ayant soutenu leur thèse au cours de l’année 2011:

 

Mickaël Bouvet, pour ses travaux sur« l’étude d’enzymes de modification d’ARN impliquées dans la réplication des flavivirus et des coronavirus ». Les flavivirus sont responsables de maladies telles que la dengue ou la fièvre jaune ; les coronavirus sont par exemple impliqués dans le SRAS. Ces maladies représentent un danger pour les forces armées françaises en opérations extérieures. La thèse a permis de mieux comprendre le mécanisme de multiplication des coronavirus. Chez les flavivirus, elle a identifié une molécule inhibant l’activité du virus.

 

Camille Couprie, pour ses travaux concernant« l’optimisation variationnelle discrète et applications en vision par ordinateur ». Cette thèse a développé des méthodes d’analyse améliorant la performance de l’extraction d’éléments d’intérêt (objet, visage…) dans des images. Les applications potentielles sont nombreuses : biométrie, imagerie médicale ou satellitaire, cartographie 2D ou 3D, robotique, vidéosurveillance, identification de cibles...

 

Delphine Dumas, pour ses travaux sur « les rétines courbes : une approche bio-inspirée de simplification et miniaturisation des systèmes infrarouge ». Cette thèse a permis de réaliser une première mondiale : des capteurs courbés, à l’image de la rétine de nos yeux. Cette courbure réduit nettement les défauts d’images provoqués par les objectifs des systèmes optiques actuels, qui utilisent des capteurs plans.

 

L’un des objectifs du « prix de thèse DGA » est de rapprocher la recherche civile de la recherche de défense. Créé en 2002, ce prix récompense tous les ans un ou plusieurs jeunes docteurs ayant bénéficié d’une allocation de thèse financée par le ministère de la défense et s’étant distingués par la qualité de leurs travaux de thèse. La sélection s’effectue en fonction de l’intérêt des recherches réalisées, de leur degré d’innovation, de la qualité des résultats obtenus et de l’impact que ces travaux ont eu sur l’insertion professionnelle du docteur. Le montant du prix s’élève à 5000 €pour chaque lauréat.

 

Chaque année, la DGA consacre 13M€ au financement d’allocations de thèses, de stages post-doctoraux ou de recherche à l’étranger. Près de 450 thèses, majoritairement dédiées aux sciences de la matière et du vivant (informatique, optique, télécommunications, composants, matériaux, biologie...) mais aussi aux sciences humaines et sociales (économie, sociologie, sciences politiques…), sont à ce jour financées ou cofinancées par la DGA, dans le but de soutenir la recherche et l’innovation.

 

Acteur majeur de la recherche de défense, le ministère de la Défense aura investi en2013, 730 millions d’euros pour la recherche et technologie.

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 17:35

iranarsenal 280909 source khaleejtimes.com

 

21.11.2012 Romandie.com

 

TEHERAN (Sipa-AP) -- L'Iran a fourni aux combattants du Hamas à Gaza la technologie nécessaire à la production propre de missiles à longue portée, sans livraisons directes, a déclaré le général Mohammad Ali Jafari, à la tête des Gardiens de la révolution.

 

D'après ses propos rapportés mercredi par l'agence de presse semi-officielle ISNA, l'Iran a offert ces capacités à Gaza pour que les missiles soient produits "rapidement".

 

Jusqu'à présent, l'Iran niait avoir livré directement des missiles Fajr-5 au Hamas. Ce sont ces missiles qui ont été envoyés près de Tel Aviv et de Jérusalem.

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