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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 16:45
Niger: l'armée déjoue de nouveaux attentats-suicides

 

05 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Niamey - Des kamikazes de Boko Haram sont morts dimanche soir, après s'être faits exploser avec leurs ceintures d'explosifs à Bosso, dans le sud-est du Niger, mais sans faire de victime, a indiqué lundi à l'AFP le maire de cette ville frontalière du Nigeria.

 

Quatre kamikazes de Boko Haram qui portaient des ceintures d'explosifs sont morts après (les) avoir fait exploser dimanche soir vers 21H00 locales (20H00 GMT) mais sans faire de victimes civile ou militaire, a affirmé à l'AFP le maire de Bosso, Bako Mamadou.

 

Les insurgés n'ont heureusement atteint aucun centre névralgique militaire ou civil de la ville, a assuré le maire.

 

Les assaillants, qui sont venus à pied du Nigeria voisin, ont activé leurs charges d'explosifs lorsque que les militaires ont commencé à tirer dans leur direction à trois différents endroits de la ville, a-t-il expliqué. Ce matin, nous avons retrouvé les corps des trois kamikazes déchiquetés.

 

Le quatrième, qui portait encore sa ceinture d'explosifs et dont le corps est presque intact a été abattu par les forces de l'ordre, a souligné M. Mamadou.

 

Les forces de l'ordre ont renforcé la sécurité autour de Bosso et procédaient à des fouilles intenses en ville, a déclaré à l'AFP une source humanitaire.

 

Bosso, située près du lac Tchad, a été désertée par un grand nombre de ses habitants depuis une attaque des islamistes le 6 février, la première sur le sol nigérien.

 

Les éléments de Boko Haram ne sont toujours pas loin: ils sont juste de l'autre côté de la rivière Komadougou Yobé, qui sert de frontière naturelle entre le Niger et le Nigeria, a confié à l'AFP une autre source humanitaire.

 

En mars et avril, les armées du Niger et du Tchad ont chassé les insurgés islamistes de Bosso, faisant de la ville une importante base pour lutter contre le groupe armé nigérian.

 

Mais depuis, les combattants de Boko Haram se sont réinstallés dans leurs anciens bastions, selon la source humanitaire.

 

Les deux armées se sont récemment retirées de ces localités, y compris celle de Malam Fatori (proche de Bosso) au Nigeria, pour des raisons stratégiques a justifié à l'AFP une source sécuritaire.

 

En dépit de l'Etat d'urgence en vigueur, le sud-est du Niger subit depuis deux semaines une recrudescence des raids et des attentats-suicides de Boko Haram.

 

Six personnes, dont un gendarme et cinq civils ont ainsi été tuées dimanche matin dans des attentats-suicides perpétrés par des kamikazes de Boko Haram au coeur de la ville de Diffa, la capitale provinciale de cette région, selon la télévision d'Etat.

 

L'insurrection de Boko Haram et sa répression par l'armée ont fait au moins 17.000 morts au Nigeria depuis 2009, essentiellement dans le nord-est du pays.

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 16:45
EUTM Mali - Le détachement est implanté au Koulikoro Training Center (KTC) - photo MIL.be

EUTM Mali - Le détachement est implanté au Koulikoro Training Center (KTC) - photo MIL.be

 

04.103.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Puisque je parlais de nos voisins et alliés belges un peu plus tôt (voir mon précédent post), je poursuis avec ces infos sur un possible déploiement militaire de l'armée belge au Sahel.

C'est ce qu'a dit le ministre belge de la Défense, il y a quatre jours: "Désormais nous nous penchons sur un certain nombre d'éléments spécifiques sur lesquels nous allons nous concentrer, par exemple le Sahel."

Voici ce qu'en disait La Libre Belgique, le 29 septembre: "Ça grouille entre états-majors belge et français. Des échanges ont lieu pour réfléchir à un déploiement belge au Niger en 2016 dans le cadre de l’opération française Barkhane. L’idée serait qu’une compagnie de combat belge (environ 200 militaires, plus les soutiens logistiques) prenne le relais d’une compagnie française dans ce pays."

 

Pas au Niger ! "Nous allons faire quelque chose l'année prochaine au Sahel", en soutien de la France, ont confirmé des sources militaires belges à l'agence Belga, tout en précisant qu'une participation à l'opération Barkhane au Niger, un moment envisagée, n'était "plus à l'ordre du jour".

On attend donc des précisions de Bruxelles.

Pour patienter, je rappelle que la Belgique est toujours présente dans EUTM Mali. Elle y déploie un contingent de 80 à 90 militaires chargés d’assurer la protection du camp de Koulikoro (photo ci-dessus) et d’escorter des convois. Comme le rappelle La Libre Belgique dans l'article cité précédemment: "Sauf prolongation décidée par le gouvernement Michel, la participation belge à l’EUTM Mali se terminera fin décembre."

Au Tchad, l'armée belge est présente au QG de Barkhane avec deux militaires depuis la mi-mai (jusqu'à mi-novembre) puis ce sera trois militaires durant la deuxième rotation, de mi-novembre 2015 à la mi-mai 2016.

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 16:30
 photo Ko Hon Chiu Vincent (UNESCO)

photo Ko Hon Chiu Vincent (UNESCO)

 

5 octobre 2015 par JDD

 

Visé par des frappes russes depuis jeudi, Daech a détruit en représailles l'Arc de triomphe de Palmyre, cité antique de Syrie. La destruction totale de ce joyau historique est à craindre.

 

En réponse aux frappes russes, l'Etat islamique a réduit en poussière le célèbre Arc de triomphe de Palmyre en Syrie, dernier monument en date à être détruit par les djihadistes dans cette cité classée au patrimoine mondial. "Chaque fois que l'EI est attaqué ou perd du terrain, il agit ainsi. Il ne s'agit pas d'un acte idéologique, mais d'un acte vengeance contre la communauté internationale qui doit réagir", a affirmé à l'AFP le directeur général des Antiquités et des Musées de Syrie, Maamoun Abdelkarim.

Après la destruction des deux temples, dont celui de Baal, des trois plus belles tours funéraires, les djihadistes ont démoli dimanche à l'explosif l'arc de Triomphe, qui date de l'empereur Septime Sevère (193 à 211). Situé à l'entrée de la célèbre rue à colonnades du site historique, il "était une icône de Palmyre", selon M. Abdelkarim. "Le choix est simple : soit Palmyre disparaît définitivement, soit l'armée syrienne avance très vite avec le soutien de la communauté internationale et de l'armée russe pour libérer la ville. L'essentiel, c'est de la sauver, ensuite, on pourra discuter des problèmes politiques", a-t-il ajouté.

 

Suite de l'article

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 17:30
Inherent Resolve – Chammal sit rep 04 Oct.. – CJTF-OIR

 

October 4, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151004-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Oct. 3, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted six strikes using fighter, bomber, ground-attack and remotely piloted aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted ten strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, attack, and fighter-attack aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, three strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed three ISIL structures, two ISIL fighting positions, and an ISIL motorcycle.

• Near Ar Raqqah, one strike struck an ISIL tactical unit.

• Near Mar’a, one strike destroyed an ISIL excavator.

• Near Washiyah, one strike damaged an ISIL excavator.

 

Iraq

• Near Al Baghdadi, one strike struck an ISIL pontoon bridge.

• Near Al Huwayjah, two strikes suppressed ISIL mortar fire and an ISIL mortar position.

• Near Fallujah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL building, an ISIL heavy machine gun, and an ISIL RPG.

• Near Kirkuk, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL heavy machine gun and an ISIL fighting position.

• Near Ramadi, three strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL VBIED, an ISIL tactical vehicle, six ISIL fighting positions, breached two ISIL obstacles, and denied ISIL access to terrain.

• Near Sinjar, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed a heavy machine gun and two ISIL fighting positions.

• Near Sultan Abdallah, one strike struck an ISIL tactical unit and two ISIL fighting positions.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 16:30
photo RT.com (Twitter)

photo RT.com (Twitter)


04.10.2015 par 45eNord.ca (avec AFP)

 

Les forces russes ont mené ces dernières 24 heures de nouvelles frappes sur 10 cibles du groupe État islamique (EI) en Syrie, étendant leur campagne aérienne dans ce pays, a-t-on annoncé de source officielle russe.

 

« Sur les dernières 24 heures, des avions SU-34, SU-24M et SU-25 ont effectué 20 sorties », a annoncé le ministère russe de la Défense. « Dix cibles d’infrastructures des bandits de l’EI ont été frappées », a-t-il ajouté, ajoutant que les forces russes étaient en train d’étendre leur campagne de bombardements. « Dix cibles d’infrastructures des groupes de bandits de l’EI ont été frappées », a-t-il ajouté, ajoutant que les forces russes étaient en train d’étendre leur campagne de bombardements.

Les frappes ont visé selon le ministère des cibles dans la province d’Idleb (nord-ouest) – où selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) l’EI n’est pas présent -, ainsi que dans la province de Raqa (nord-est), fief du groupe jihadiste.

Selon le ministère, les SU-25 ont attaqué un camp d’entraînement dans la province d’Idleb et ont « détruit les repaires des terroristes et un atelier de fabrication d’explosifs, dont des ceintures explosives ».

 

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 11:30
photo Sputnik/ Igor Russak

photo Sputnik/ Igor Russak

 

03.10.2015 sputniknews.com

 

Russian Su-34 fighters drop highly accurate bombs that acquire targets using the GLONASS satellite system, a Russian Air Force representative told RIA Novosti.

 

To combat ISIL terrorists in Syria, the Russian Air Force uses the latest high-precision bombs, guided by the GLONASS satellite system with a hitting accuracy of less than two meters.

 

"The missile acquires its target after separating from a plane using the GLONASS satellite. It [the missile] also receives the coordinates from the plane. Thus, its hitting accuracy is two meters, give or take, regardless of weather conditions and the time of a year," the source told RIA Novosti.

 

This will allow Russian planes to accurately hit ISIL targets, while protecting the civilian population, the Air Force representative said.

 

On Wednesday, Russia started carrying out pinpoint airstrikes on ISIL targets in Syria. The Russian military operation in Syria is being performed at the request of Syrian President Bashar Assad.

 

Syria has been in a state of civil war since 2011. The country's government is fighting a number of opposition forces, as well as radical Islamist militant organizations, including the Nusra Front and the Islamic State.

 

Russia has been engaged in international efforts to find a political solution to the ongoing conflict in Syria, as well as providing humanitarian aid to the people of the conflict-torn country.

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:45
Tunis rejoint la coalition contre l'EI

 

03.10.2015 par BBC Afrique

 

Le Premier ministre tunisien a confirmé la participation de son pays à la coalition internationale contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.

 

Habib Essid a précisé, lors d'une conférence de presse samedi, que la participation de la Tunisie consisterait essentiellement à "un échange d'informations".

 

Le 29 septembre, le président américain Barack Obama, dont le pays dirige la coalition, avait annoncé l'entrée de trois nouveaux pays. En l'occurrence la Tunisie, la Malaisie et le Nigéria.

 

Cette participation permettra à la Tunisie "d'obtenir toutes les informations qui pourraient être efficace dans la guerre contre le terrorisme en Tunisie", s'est défendu M. Essid.

 

Il est, en revanche, resté évasif sur la possibilité d'une participation militaire de la Tunisie contre les djihadistes de l'EI.

 

Le chef du gouvernement tunisien s'est contenté de dire que si une telle demande était faite par la coalition, les autorités appliqueraient l'article 77 de la Constitution.

 

Cet article stipule que le chef de l'Etat peut "envoyer des forces à l'étranger en accord avec le président du Parlement et le gouvernement".

 

Selon les Nations Unies, la Tunisie est l'un des pays où les groupes djihadistes du Moyen Orient recrutent la plupart de leurs nouveaux combattants.

 

Récemment, deux attentats revendiqués par le groupe Etat islamique (EI) ont fait de nombreux morts dont 21 étrangers au musée du Bardo, à Tunis, en mars, et 38 dans un hôtel en bord de mer à Port El Kantaoui, près de Sousse en juin.

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:30
De moins en moins de frappes canadiennes durant la campagne électorale

Un technicien de l’Aviation royale canadienne près d’un CF-188 Hornet lors des contrôles pré-vol au Camp Patrice Vincent, au Koweït lors de l’opération IMPACT le 11 juin 2015 (Op IMPACT/MDN)


02.10.2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca
 

Alors que la Russie est de plus en plus engagée en Syrie en menant ses propres frappes aériennes, le Canada a vu ses avions de chasse CF-18 en mener de moins en moins depuis le début de la campagne électorale.

 

151001-operation-impact-frappesAu cours des mois d’août et de septembre 2015, la force aérienne canadienne Irak a mené respectivement 12 et 10 frappes, soit son plus bas niveau depuis le mois de février (9 frappes) et alors que les peshmergas ont mené plusieurs opérations d’envergure soutenus par la Coalition. Il y a même un hiatus de presque deux semaines en septembre (du 10 au 23).

Plusieurs raisons peuvent expliquer cette chute de ciblages au cours des derniers mois.

Comme 45eNord.ca vous l’avait révélé mi-septembre, le nombre de frappes canadiennes rapporté à celles de toute la Coalition est relativement faible: 2,31%. Ceci s’expliquerait notamment par un budget serré et un nombre d’heures de vols autorisées limité.

De plus, les règles d’engagement canadiennes sont plus strictes que celles d’autres membres de la Coalition, ce qui limite donc le nombre de cibles «légitimes».

À plusieurs reprises lors des séances d’information sur l’Opération IMPACT, les porte-paroles des Forces armées canadiennes avaient mis de l’avant que la météo était un facteur important. Or, il n’y a eu que peu de tempêtes de sable au cours de ces deux derniers mois.

Une autre raison pourrait être le fait du lancement, le 2 août, de la campagne électorale. Plusieurs commentateurs estiment que le gouvernement sortant n’a en effet pas intérêt à ce qu’il y ait de potentiels dommages collatéraux durant la campagne. Cependant, un gouvernement sortant ne peut demander, en pleine campagne, de ralentir les opérations pour son propre bénéfice.

Rappelons que lors de la campagne électorale actuelle, les libéraux ont promis de mettre fin aux frappes, mais de poursuivre et augmenter la formation des troupes kurdes, tandis que les néo-démocrates veulent retirer toutes les troupes. Les Conservateurs n’ont fait aucune annonce supplémentaire.

La mission Opération IMPACT est pour le moment autorisée jusqu’au 31 mars 2016.

En réponse à une question posée par 45eNord.ca, les Forces armées canadiennes nous ont déclaré que: «De nombreux facteurs déterminent la fréquence des frappes aériennes dans le contexte d’une coalition, y compris la disponibilité des cibles. Que ce soit en Irak ou en Syrie, les cibles sont sélectionnées et identifiées en coordination avec les partenaires de la coalition dans le but ultime d’affaiblir les capacités du groupe EIIS.»

Si les Forces armées canadiennes mettent donc en avant le «manque de disponibilité» de cibles. Or, les cibles ne manquent pas, vu que la Coalition continue elle de frapper régulièrement et allègrement des cibles. Au cours du mois de septembre, il y a eu en effet pas moins de 542 frappes en Irak et en Syrie. Le Canada a donc contribuait à hauteur de 1,85%.

 

dossier_op-impact

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:30
Hawaiian F-22 Raptors deploying to UAE to join air war on ISIS


03.10.2015 By David Cenciotti

 

Six Hawaii Air National Guard F-22 Raptors are enroute from Joint Base Pearl Harbor-Hickam, to Al Dhafra, UAE, to join the CENTCOM area of responsibility.

Once there, the aircraft will replace the U.S. Air Force Raptors already there for a 6-month rotational deployment that will see the aircraft take part in Operation Inherent Resolve in the airspaces of Iraq and Syria: although they can attack their own targets using Precision Guided Munitions (two 1,000-lb GBU-32 JDAMs or 8 GBU-39 small diameter bombs) while covering other aircraft in a typical swing role mission, the F-22 have proved to be useful in the air war against ISIS by making other aircraft more survivable, acting as electronic warfare enabled sensor-rich multi-role aircraft that provide “kinetic situational awareness” to other aircraft involved in the air strikes.

 

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:30
A Syrian Army T-72M1 during the battle of quseir, May 2013

A Syrian Army T-72M1 during the battle of quseir, May 2013

 

October 2, 2015: Strategy Page

 

The Lebanese terrorist group Hezbollah has been promised 75 Soviet-era tanks by the Syrian government. The gift consists of T-55 and T-72 tanks and comes as a thank you for Hezbollah not complaining about the presence of Russian forces in Syria. Apparently more such gifts are forthcoming if Hezbollah works with the Russians against Syrian rebels. Russia deployed a mix of Su-24 and Su-25 ground attack planes, plus four Su-30 fighters since early September.

 

 Hezbollah has been a long-running client of Syria and Iran, who use the group as a proxy in Lebanon to battle Christians, Sunni Moslems, and the Israelis. The group fought Israel in the 2006 Lebanon War and came out second-best, losing as many as 800 fighters. Hezbollah has access to a number of heavy weapons, notably Russian-designed ATGMs like the AT-14 (9M133 Kornet), and Chinese C-802 missiles. Hezbollah has not been seen operating these tanks yet and it is unlikely that Israel would allow these vehicles to be moved into Lebanon. Israel and Russia have apparently negotiated an “understanding” to cover situations like this and the Israeli air strikes that would be involved.

 

 The T-72s and T-55s will not be much help in a major battle – Israel’s Merkava tanks clearly outclass them – and their combat record against Western tank designs has been spotty at best. Still, when facing the Islamic State or al-Qaeda, the tanks will be fighting on better terms. It is believed that Hezbollah will be trained to use these tanks in western Syria against Syrian rebels.

 

 The T-55 entered service in the 1950s, and features a 100mm main gun with 45 rounds, along with a 12.7mm machine gun and a 7.62mm machine gun. The T-72 main battle tank entered service in the 1970s, and features a 125mm main gun with 39 rounds, along with a 12.7mm machine gun and a 7.62mm machine gun. – Harold C. Hutchison

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:30
Sukhoi Su-34 in flight

Sukhoi Su-34 in flight

 

03 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Moscou - La Russie a affirmé samedi que ses frappes aériennes en Syrie entamées mercredi avaient semé la panique chez le groupe Etat islamique (EI), en forçant 600 de ses membres à abandonner leurs positions.

 

Nous avons réussi à réduire significativement le potentiel militaire des terroristes (...). La panique et la désertion ont commencé dans leurs rangs, a affirmé un haut responsable de l'état-major russe, le général Andreï Kartapolov.

 

Selon lui, environ 600 militants de l'EI ont abandonné leurs positions et tentent de s'enfuir vers l'Europe.

 

Depuis mercredi, l'aviation russe a effectué plus de 60 frappes en Syrie visant plus de 50 sites d'infrastructure de l'organisation terroriste Etat islamique, parmi lesquels des entrepôts de munitions et d'explosifs et des camps d'entraînement de l'EI, a précisé M. Kartapolov, cité dans un communiqué de l'état-major.

 

Compte tenu des premiers résultats, non seulement nous allons poursuivre les frappes aériennes, mais aussi les intensifier, a souligné le responsable.

 

Il a également répété que les frappes russes ne visaient que les terroristes en Syrie.

 

La Russie a prévenu à l'avance notamment la partie américaine qu'elle allait mener des frappes sur les sites de l'EI, selon M. Kartapolov.

 

Les Américains nous ont informés alors qu'il n'y avait personne d'autre sauf des terroristes dans cette région, a-t-il affirmé.

 

La Russie a commencé mercredi à mener des frappes en Syrie, dans sa première intervention militaire d'envergure hors de l'ex-URSS depuis l'occupation de l'Afghanistan en 1979.

 

L'Occident et les pays arabes ont critiqué la stratégie russe en Syrie, disant soupçonner Moscou de concentrer ses attaques non sur l'EI mais sur les opposants au régime considérés comme des modérés par les Etats-Unis et leurs alliés.

 

Le président américain Barack Obama a estimé vendredi que la stratégie de la Russie en Syrie était une catastrophe assurée.

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 07:30
Russian Su-30SM

Russian Su-30SM

 

03.10.2015 Romandie.com (ats)

 

Les avions de combat russes ont bombardé samedi des cibles du groupe djihadiste Etat islamique (EI) au quatrième jour de leur intervention en Syrie. Washington et Londres ont continué à dénoncer la stratégie de Moscou visant à défendre le régime de Bachar al-Assad.

L'aviation russe a mené plus de 20 sorties en 24 heures en Syrie et neuf raids ont visé des cibles de l'EI, annonce samedi à la mi-journée le ministère russe de la Défense. Il a précisé que ces frappes ont détruit un poste de commandement et un bunker de l'EI près de la ville de Raqa, la "capitale" de l'organisation extrémiste située dans le nord-est du pays en guerre.

Les avions russes ont en outre détruit un entrepôt de munitions et visé un camp d'entraînement du groupe djihadiste dans la province d'Idleb (nord-ouest), selon le ministère.

La Russie a affirmé que ses frappes ont semé la "panique" chez le groupe EI, en forçant 600 de ses membres à abandonner leurs positions. "La panique et la désertion ont commencé dans leurs rangs", a affirmé un haut responsable de l'état-major russe, le général Andreï Kartapolov.

 

Civils et enfants tués

Selon un nouveau bilan de L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les frappes russes ont coûté la vie depuis mercredi à 39 civils dont huit enfants et à 14 djihadistes, 12 de l'EI et deux d'Al-Nosra.

Déclenché en 2011 par une révolte populaire brutalement réprimée, le conflit déjà très complexe, a pris un nouveau tournant avec l'implication des Russes, alliés du régime qui a perdu les deux tiers du territoire dans les combats. Or, Moscou considère le régime d'Assad comme un rempart face à l'EI.

C'est pourquoi la Russie vise l'EI mais aussi le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, et ses alliés rebelles islamistes, selon des sources syriennes et l'OSDH. Elle a également frappé des petits groupes rebelles soutenus par les Etats-Unis.

 

Critiques occidentales

Les Occidentaux ont critiqué la stratégie russe, estimant que les raids devraient épargner les groupes rebelles qu'ils soutiennent. Les Russes "ne font pas la différence" et "de leur point de vue, ce sont tous des terroristes. Et c'est une catastrophe assurée", a dit le président américain Barack Obama vendredi.

Le premier ministre britannique David Cameron a pour sa part affirmé samedi que l'intervention militaire russe ne faisait qu'aider le président Bachar al-Assad. "Il est évident que la Russie ne fait aucune distinction entre le groupe EI et les groupes syriens d'opposition légitimes. En conséquence, il aide le boucher Assad et ne fait qu'aggraver la situation", a souligné M. Cameron.

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 16:40
Su-24M2 Fencer Jet photo Dmitriy Vinogradov - Sputnik.jpg

Su-24M2 Fencer Jet photo Dmitriy Vinogradov - Sputnik.jpg

 

03.10.2015 sputniknews.com

 

The Russian air force’s long-range striking power in the region comes from the twelve Su-24M2 Fencer jets that Russia has sent to its base in Latakia, Syria.

 

The Fencer is a mature design as it was launched in the 1960s. But despite the age, Russia’s remaining fleet of Su-24s has been heavily upgraded with modern systems. The current version of the Fencer is equipped with GLONASS satellite navigation systems, an advanced glass cockpit, a modern head-up display and an upgraded air-to-air self-defense capability with the addition of R-73 high off-boresight missiles, American magazine The National Interest wrote.

The Fencer can transport a maximum of 17,600lbs of ordnance, but usually carries only 6,600lbs in most configurations according to Sukhoi. The aircraft, which was designed to infiltrate enemy airspace at low altitude, can hit targets as far as 400 miles away without aerial refilling while carrying six 1,100lbs FAB-500M-62 bombs.

According to the magazine, the aircrafts are being used not just for strike missions but also for reconnaissance and other support missions.

As the magazine further speculated, considering that Russian air force has twelve Su-24M2 available to them, the Russian air force should have between eight to ten Fencers available to them at any given time. That means that Russian Forces can carry out thirty assaults per day in a best-case scenario.

But it remains unknown as to how many pilots and maintenance crews Russian forces brought with them.

“The Russian air force will eventually replace aircraft with the Su-34, but the Fencer will remain in service for some time to come. It still offers the Russian forces in Syria a decent long-range strike capability against targets that are further away from Latakia,” The National Interest concluded.


 
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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 13:29
photo US Dod - UK MoD - FR MoD

photo US Dod - UK MoD - FR MoD

 

October 3, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151003-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Oct. 2, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted ten strikes using fighter, bomber, ground-attack and remotely piloted aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 17 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, attack, fighter-attack, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, four strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed two ISIL tactical vehicles, an ISIL headquarters building, an ISIL VBIED, an ISIL fighting position, and wounded an ISIL fighter.

• Near Kobani, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL headquarters building and wounded two ISIL fighters.

• Near Abu Kamal, two strikes struck an ISIL crude oil collection point.

• Near Al Hawl, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed two ISIL vehicles and an ISIL bunker complex.

• Near Dayr Az Zawr, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed two ISIL vehicles and two ISIL tactical vehicles.

 

Iraq

• Near Al Baghdadi, one strike struck two ISIL rocket rails.

• Near Al Huwayjah, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL vehicle, an ISIL fighting position, suppressed an ISIL mortar position and wounded three ISIL fighters.

• Near Bayji, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL weapons cache and an ISIL homemade explosive cache.

• Near Kirkuk, one strike struck a large ISIL tactical unit.

• Near Kisik, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Mosul, three strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed three heavy machine guns and four ISIL fighting positions.

• Near Ramadi, six strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed seven ISIL fighting positions, four ISIL buildings, an ISIL tunnel, an ISIL tactical vehicle, an ISIL sniper position, an ISIL bunker, two ISIL mortar systems, an ISIL vehicle, two ISIL obstacles and wounded two ISIL fighters.

• Near Sinjar, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed three heavy machine guns and four ISIL fighting positions.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 18:30
photo Russian Defence Ministry

photo Russian Defence Ministry

 

2 Oct, 2015 RT.com

 

On Thursday, Russian warplanes stationed in Syria attacked a terrorist training camp and a command center, taking it out with a precision strike launched form an altitude of over 5,000 meters, the Russian Defense Ministry reported.

 

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 18:30
Des théories françaises reprises par les stratèges de Daesh

 

29/09/2015 Jean Guisnel – Défense Ouverte / Le Point.fr

 

Du hezbollah libanais à Daesh, les praticiens des guerres "hybrides" ont apparemment retenu les leçons... du stratège français Guy Brossolet ! Interview.

 

Joseph Henrotin revient sur l'apport du penseur militaire français Guy Brossollet aux guerres des armées modernes, parfois mises à mal par des forces bien moins puissantes. Docteur ès sciences politiques, chargé de recherche au CAPRI (Centre d'analyse et de prévention des risques internationaux) et à l'ISC (Institut de stratégie comparée), Joseph Henrotin fut directeur de séminaire à l'École de guerre de Paris et enseigne dans les écoles de guerre de Bruxelles et Yaoundé. Rédacteur en chef de la revue stratégie DSI, il est membre du Réseau multidisciplinaire d'études stratégiques. Il a publié récemment un ouvrage remarqué, Techno-guérilla et guerre hybride : le pire des deux mondes (Nuvis, 2014).

 

Le Point : Pourquoi Guy Brossollet, auteur du livre Essai sur la non-bataille, fut-il un stratège novateur ?

Joseph Henrotin : C'était un officier sinisant, c'est essentiel. Il fut le premier à traduire en français les poèmes de Mao Zedong (L'Herne, 1969). Cela ne veut pas dire qu'il adhérait à sa vision politique, mais qu'il était ouvert à une vision « indirecte » du monde. Son Essai sur la non-bataille, publié en 1975, est le premier ouvrage sur la guerre hybride, partant d'un certain nombre de constats et d'abord du renforcement des forces du pacte de Varsovie. Il s'interroge aussi sur le rôle de l'arme nucléaire tactique française, dont l'emploi paraissait alors inéluctable, tant l'URSS et ses alliés paraissaient dominants en matière conventionnelle. Il fait le postulat que la stratégie française uniquement fondée sur des moyens lourds (chars de combat, hélicoptères antichars, artillerie) est fort coûteuse et pourrait ne pas être efficace.

 

Des observateurs ont discerné des similitudes entre les principes de « non-bataille » de Brossollet et les tactiques du hezbollah libanais. Qu'en pensez-vous ?

On ne peut qu'être frappé par les analogies entre les vues de Brossollet et les actions du Hezbollah libanais en 2006 dans la guerre contre Israël. Du point de vue de la tactique terrestre, on se trouve clairement dans les lignes qu'il avait définies, avec de petites unités autonomes déployées sur le terrain, avec des systèmes complexes de communication hors de la vue des Israéliens. La puissance de feu antichars a eu de réels effets sur l'armée israélienne, qui avait oublié nombre de principes fondamentaux, par exemple en déployant des chars sans infanterie, comme Michel Goya l'a très bien montré. Si on y ajoute la guerre de l'information, les roquettes à longue portée, les missiles antinavires, on voit bien que les technologies nouvelles valident le modèle de Brossollet. Le Hezbollah est d'ailleurs souvent cité mais ce n'est qu'un exemple parmi d'autres : le « système Brossollet », repris, adapté, amélioré, permet de mieux comprendre les modes d'action des Tigres tamouls ou même de Daesh.

 

Guy Brossollet a été accusé d'être opposé à la dissuasion nucléaire. Est-ce exact ?

Joseph Henrotin : Pas du tout, la lecture de son ouvrage est convaincante sur ce point. Il est vrai qu'il met en question l'emploi de l'arme nucléaire tactique sur le champ de bataille, tout en estimant qu'une arme de faible puissance pourrait être affectée au test des intentions de l'adversaire. Il préfigure ainsi la doctrine pré-stratégique en proposant que les Mirage IV soient utilisés à cette fin. Mais le cœur de ses idées est ailleurs, dans l'emploi des forces conventionnelles.

 

Il propose des forces plus légères, plus mobiles ?

Joseph Henrotin : À l'époque, on imaginait des combats d'anéantissement, opposant de grandes unités. Il propose qu'on opte plutôt pour l'attrition des forces adverses suivant un mode alternatif, ce qui est révolutionnaire : personne dans l'Otan ne pense alors de cette façon, ni en France d'ailleurs… Ce qui lui posera de sérieux problèmes, car c'est une rebuffade à la doctrine ! Il imagine d'établir un maillage territorial avec deux fonctions : identifier la progression adverse et lui donner des coups d'épingle, afin de dégrader son potentiel notamment grâce à l'emploi des nouveaux missiles antichars comme le Milan. À ces coups d'épingle, il ajoute bien entendu des coups de poing, infligés par des modules de chars de bataille et d'artillerie et d'autres formés d'hélicoptères. Le nucléaire vient ensuite… Il n'oublie pas les interventions outre-mer et les théâtres africains. À la fin des années 1990, dans le cadre de mes travaux universitaires, j'ai pu tester le modèle de Brossollet appliqué à une attaque biélorusse contre la Pologne. Il s'est avéré d'une efficacité extrême, confirmant des travaux allemands des années 1980.

 

Où peut-on voir aujourd'hui la suite des idées de Guy Brossollet ?

Joseph Henrotin : Combien de centaines de pages me proposez-vous ? Dès le début des années 1980, Essai sur la non-bataille est traduit en allemand, avec une préface du général Emil Spannocchi, chef d'état-major de l'armée autrichienne, qui appliquera d'ailleurs, en partie, ses conceptions. En Allemagne, de nombreux officiers de la Bundeswehr ont travaillé sur ses concepts, en les raffinant – c'est là d'ailleurs qu'est forgé le terme « techno-guérilla ». C'est ce qu'a fait aussi le Suédois W. Agrell dans les années 1980, pour faire évoluer le modèle de conscription et envisager d'armer la population pour bloquer une invasion soviétique.

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 11:30
Russian Airstrikes in Syria: September 30-October 1, 2015

 

Oct 2, 2015 - Genevieve Casagrande - ISW

 

Russia conducted a second round of airstrikes in Syria on October 1, targeting rebel-held positions in the provinces of Homs, Idlib, and Aleppo. The Russian Ministry of Defense (MoD) has repeatedly claimed that the airstrikes are targeting ISIS positions in these rebel-held areas. However, Russian targets included the training camp of an FSA-affiliated, Western-backed TOW anti-tank missile recipient Liwa Suqour al-Jebel near the town of Maaret al-Nouman in Idlib Province, in addition to other rebel-held targets. The Russian MoD also claimed two airstrikes in Raqqah Province, targeting an ISIS-held training camp and “command post”. These airstrikes are the first Russian strikes confirmed by the Russian MoD that have targeted positions in ISIS-held terrain.

The following graphic depicts ISW’s assessment of Russian airstrike locations based on reports from local Syrian activist networks, Syrian state-run media, and statements by Russian and Western officials.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 18:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

01/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Dans la bande sahélo-saharienne, la situation sécuritaire n’a pas connu d’évolution majeure.

 

Avec les forces partenaires, Barkhanepoursuit des opérations ciblées contre les Groupes armés terroristes (GAT). Elles visent en particulier à perturber leurs flux logistiques, afin d’entraver leurs actions et empêcher la création de zones refuge.

 

La force française a conduit l’opération Kounama 6,du 14 au 22 septembre 2015, dans la région de la passe de Salvador au Nord du Niger. Cette mission, réalisée en coordination avec les forces armées nigériennes, a permis de confirmer l’attrition des flux logistiques des GAT dans la région.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 18:30
photo EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

01/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La situation sécuritaire au Levant n’a pas connu d’évolution significative cette semaine. En Irak, la coalition concentre ses efforts sur trois zones, où Daech mène des actions de harcèlement et des attaques ciblées : Baïji, Ramadi et Fallouja.

 

En Syrie, où Daech tente toujours d’obtenir des gains territoriaux, la semaine a été marquée par la réalisation d’une première frappe française au Sud de la ville de Deir Ez Zor. Elle a été réalisée sur la base des éléments recueillis par les missions ISR conduites depuis le 8 septembre 2015.

 

Le 24 septembre 2015, la Frégate anti-aérienne (FAA) Cassard a rejoint le groupe aéronaval américain- Carrier Strike Group 12 (CSG12) – constitué autour du porte-avions USS Theodore Roosevelt. Ce faisant, il rejoint les forces françaises engagées au Levant. Sa mission consiste à prendre le commandement d’une zone de défense aérienne, au profit du Centre de coordination des opérations aériennes (CAOC) d’Al Udeid, situé au Qatar.  En parallèle, il participe en tant qu’escorteur à la protection du porte-avions américain.

 

Cette semaine, 19 missions aériennes ont été effectuées par la force Chammal au-dessus de l’Irak et au-dessus des zones contrôlées par Daech en Syrie, dont 7 missions de renseignement. Sept frappes ont été réalisées, conduisant à la destruction de 24 objectifs dans les régions irakiennes de Mossoul et Ramadi, et à Deir Ez Zor en Syrie.

Crédits EMA

Crédits EMA

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:30
photo UK MoD

photo UK MoD

 

1 October 2015 Ministry of Defence

 

Latest update

A series of air strikes by Royal Air Force aircraft have helped Iraqi troops maintain relentless pressure on the ISIL terrorist network over recent days. RAF Tornado GR4 and Reaper aircraft have flown daily armed reconnaissance missions as part of the coalition air campaign to support the Iraqi units fighting the terrorists in the front line.

On Sunday 27 September, an RAF Reaper on a surveillance mission over northern Iraq observed a number of armed terrorists as they moved between buildings in a pair of compounds and successfully attacked three terrorist positions, using Hellfire missiles.

On Tuesday 29 September, again in northern Iraq, a Reaper tracked a car carrying a number of ISIL extremists to a building, which was destroyed with a Hellfire. The Reaper was also able to support two other coalition air strikes in the immediate area, which destroyed a vehicle and a fighting position.

The following day, Wednesday 30 September, two Tornado GR4s from RAF Akrotiri, supported by a Voyager refuelling tanker, provided close air support to Kurdish peshmerga advancing west of Kirkuk, who had come under fire from two ISIL heavy machine-gun positions. Both positions were successfully hit using Paveway IVs, removing the threat posed to the Kurdish troops.

Previous air strikes

1 September: A Reaper patrolling in western Iraq, where it spotted a vehicle check-point close to the Syrian border being used by the terrorists to prevent the movement of traffic. The Reaper’s crew conducted a successful strike with a Hellfire.

2 September: Another Reaper provided air support to Iraqi army units operating in western Iraq. The aircraft conducted four successful attacks on terrorist targets. With the ISIL in Ramadi increasingly cut-off and isolated by the Iraqi security forces, terrorists were spotted loading hundreds of mortar and rocket rounds onto a boat, which then attempted to smuggle the ammunition down the Euphrates river. A direct hit by one of the Reaper’s Hellfires sank the boat and its cargo.

 

 

The Reaper then destroyed three vehicles – two armoured trucks and a bull-dozer - using a pair of Hellfire missiles and a Paveway guided bomb, with significant secondary explosions confirming large quantities of explosives. Elsewhere in Iraq, a second Reaper successfully attacked a terrorist position with a Hellfire, whilst GR4s located an enemy engineering vehicle near Mosul, constructing a fortified position, and destroyed it with a Paveway.

3 September: A Reaper observed another load of mortar and rocket ammunition being prepared for transport and destroyed it with a Hellfire.

4 September: A Reaper patrol supported two coalition air strikes on terrorist positions, then conducted its own attack on an ISIL team armed with rocket-propelled grenades, after they had fired on Iraqi forces.

6 September: Two Tornado GR4s conducted four Paveway strikes on a series of machine-gun nests near Sinjar, neutralising the threat these presented to the Kurds.

7 September: A Reaper destroyed an ammunition truck, whilst the reconnaissance work of another Reaper discovered a large terrorist network of bunkers and trenches: our aircraft provided targeting support to three successful attacks by coalition fast and conducted five attacks with its own weapons. Near Bayji, a pair of Tornado GR4s flew close air support for Iraqi troops, and used Paveway IVs to destroy three buildings held by terrorist teams.

8 September: A Reaper patrolling over western Iraq discovered several large stockpiles of explosives close to the Euphrates River. It destroyed one of the stockpiles with its own Hellfire missile – a skiff waiting to transport the explosives was sunk in the blast - and helped coalition fast jets target three more. The Reaper’s crew also provided support to successful air strikes on a terrorist-held compound and a fighting position.

9 September: A Reaper used Hellfires to destroy two vehicles being prepared as car-bombs.

10 September: Another Reaper patrol identified a group of heavily armed ISIL fighters gathering in a building. Both the building and a vehicle used by the terrorists were destroyed with Hellfires, and the Reaper also assisted coalition aircraft in 13 successful attacks on further terrorist positions nearby. Elsewhere in the country, a second Reaper conducted two attacks on extremists attempting to attack Iraqi troops, whilst in northern Iraq, a pair of Tornado GR4s used a Paveway IV precision guided bomb to destroy a building from which the terrorists had been firing a heavy weapon at the Kurdish peshmerga.

11 September: A Reaper supported a Kurdish offensive operation to clear an ISIL-held village, in the course of which it engaged a defensive position with a Hellfire.

13 September: Again in northern Iraq, near to Sinjar, a Paveway from a Tornado mission destroyed a terrorist group, armed with rocket-propelled grenades.

14 September: The Tornado GR4s patrolling near Mosul, where they attacked a rocket-firing position, while a Reaper operating over Anbar province, struck a pair of terrorists who had been spotted preparing a booby-trap, then supported two further coalition air strikes in the area.

15 September: A Reaper assisted coalition strikes on ISIL rocket launchers in western Iraq, then used Hellfires to attack an ISIL team as they attempted to arm a “daisy-chain” of linked improvised explosive devices and a GBU-12 guided bomb against a hostile fighting position.

16 September: GR4s bombed two terrorist positions, including a heavy-machine gun, which were firing on Kurdish troops and in western Iraq a Reaper destroyed an engineering vehicle and a large car-bomb which ISIL were positioning to attempt to hold up Iraqi advances.

19 September: Tornado GR4s, supported by a Voyager air-to-air refuelling tanker, provided close air support to Kurdish peshmerga as they conducted offensive operations. Near Sinjar, the peshmerga came under fire from a heavy machine-gun positioned in a building. This was destroyed by our aircraft using a Paveway IV precision guided bomb. The GR4s then flew east to the area around Mosul, where another Kurdish unit was being engaged by a terrorist mortar team; this too was neutralised by a Paveway IV.

20 September: An RAF Reaper remotely piloted aircraft on patrol over western Iraq launched a Hellfire missile which destroyed a stockpile of explosives.

21 September: Another Reaper, operating over north-west Iraq, identified two vehicles carrying ISIL terrorists which were successfully tracked and destroyed with Hellfire missiles.

24 September: Tornado GR4s were again on patrol near Mosul when they were called upon to assist a Kurdish unit under fire from an ISIL mortar; the terrorist position was hit in a Paveway strike.

Details of previous airstrikes can be found here.

For more information see ISIL: UK government response page on GOV.UK

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:30
Sentinel R1 surveillance aircraft - photo UK MoD

Sentinel R1 surveillance aircraft - photo UK MoD

 

29 September, 2015 BY: Beth Stevenson – FG

 

London - the UK Ministry of Defence has confirmed that the Royal Air Force’s Raytheon Sentinel R1 surveillance aircraft will continue to be operated in Iraq and Syria until 2016, despite uncertainty surrounding the fleet's lifespan.

 

Sentinel has been operating in support of Operation Shader – the UK’s contribution to the fight against Islamic State insurgents that began in September 2014 – but rumours had surfaced the type would be withdrawn from operations in the near future. However, Defence Secretary Michael Fallon said on 26 September that Sentinel would remain in its surveillance role in support of the mission until 2016, in turn confirming the UK will continue to operate Operation Shader until at least that date.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:30
Iliouchine IL-20M photo Kirill Naumenko

Iliouchine IL-20M photo Kirill Naumenko

 

 01 October, 2015 BY: Arie Egozi - FG

 

The Russian air force has deployed Ilyushin Il-20M intelligence-gathering aircraft inside Syria to help co-ordinate its attacks on rebel personnel, and to also follow the movements of other militaries operating in the area.

 

Dedicated to electronic intelligence missions, the Il-20M arrived in Syria days after Russia's first Ilyushin Il-76 began to unload military hardware at Latakia air base. The heavily-adapted aircraft's mission equipment includes surveillance radars, an electro-optical/infrared sensor and satellite communications equipment for real-time data sharing.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:30
Su-24 bombers - photo Sputnik

Su-24 bombers - photo Sputnik

 

1 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Moscou - L'armée russe a procédé dans la journée de jeudi à de nouvelles frappes aériennes sur cinq positions du groupe jihadiste Etat islamique en Syrie, a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense cité par les agences russes.

 

Selon le général Igor Konachenkov, les avions russes ont frappé des positions du groupe jihadiste dans la province de Hama (centre) et celle d'Idleb (nord-ouest), au cours de huit missions de vols.

 

C'est en tout la troisième série de frappes aériennes annoncée par le ministère russe de la Défense. La toute première avait été menée mercredi. La seconde durant la nuit de mercredi à jeudi, selon le ministère de la Défense.

 

Selon le porte-parole militaire, les avions russes avaient déjà frappé dans le secteur de Latamna, dans la province de Hama, mais y sont revenus ce jeudi.

 

Nous avons empêché les combattants de l'EI de tenter de rétablir un poste de commandement dans la province de Hama qui avait été détruit lors des frappes aériennes de nos avions le 30 septembre, a déclaré le général Konachenkov, parlant de frappe aérienne supplémentaire.

 

Parallèlement, l'armée russe dit avoir bombardé un camp d'entraînement de l'Etat islamique à Maaret al-Numan, dans la province d'Idleb, ainsi qu'un poste de commandement de l'EI au nord de Jisr al-Shughur, toujours dans la province d'Idleb.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 15:45
[Barkhane] Convoyage des Mirage 2000C à Niamey


30 sept. 2015 par Armée de l'Air

 

Deux Mirage 2000C de la base aérienne 115 d'orange ont été convoyés vers Niamey, au Niger, pour faire évoluer le dispositif de l'armée de l'air mis en place dans le cadre de l'opération Barkhane. Après le départ d'un des trois Mirage 2000D déjà en place, les deux Mirage 2000C évolueront en patrouilles mixtes avec les deux Mirage 2000D.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 15:40
Russian assets and targets in Syria source ISW

Russian assets and targets in Syria source ISW

 

01 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - La Russie a mené jeudi de nouvelles frappes en Syrie en affirmant vouloir combattre non seulement le groupe Etat islamique mais aussi les autres groupes terroristes qui s'opposent au régime de Bachar al-Assad.

Au lendemain des premiers bombardements de l'aviation russe, Américains et Russes vont se réunir d'urgence pour mettre en place un minimum de coordination et de dialogue pour éviter des incidents entre avions de chasse.

L'espace aérien syrien est en effet désormais encombré, entre les missions aériennes des pays de la coalition menée par les États-Unis, les raids de l'armée syrienne et désormais les appareils russes.

Quatre avions russes ont pris jeudi pour cible des bases de Jaich al-Fatah (l'Armée de la conquête), l'un des plus importants groupes rebelles qui regroupe notamment le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, et des groupes islamistes comme Ahrar al-Cham, a indiqué une source de sécurité syrienne. Les frappes ont été menées à Jisr al-Choughour et à Jabal al-Zawiya, dans la province d'Idleb (nord-ouest).

Les avions russes ont également frappé des positions de groupes armés, des bases et des dépôts d'armes à Hawach dans la province de Hama, dans le centre, selon cette source.

L'Armée de la conquête, financée notamment par des pays du Golfe, combat à la fois le régime Assad et l'Etat islamique (EI). Cette coalition de jihadistes et d'islamistes avait infligé au printemps de terribles revers à l'armée syrienne en s'emparant de la province d'Idleb et en menaçant de ce fait le pays alaouite sur le littoral méditerranéen qui, s'il tombait, sonnerait le glas du régime.

L'armée russe a annoncé jeudi avoir effectué de nouvelles frappes nocturnes sur quatre positions de l'EI, qui ont détruit un quartier général des groupes terroristes et un stock de munitions dans la zone d'Idleb, ainsi qu'un atelier de fabrication de voitures piégées au nord de Homs et un camp de combattants de Hama.

Selon des sources américaines, les Russes disposent de 32 avions de combat, dont des bombardiers et des chasseurs Sukhoi, qui sont déployés sur un aéroport transformé en base militaire près de Lattaquié, dans l'ouest.

 

- 'Rumeurs non fondées' -

Après avoir rencontré à l'ONU pour la troisième fois en quelques jours son homologue américain John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a balayé les accusations du Pentagone, de la diplomatie française et du chef de l'opposition syrienne en exil, Khaled Khoja, selon lesquelles les pilotes russes n'avaient pas visé l'EI mercredi.

Les rumeurs indiquant que les objectifs de ces frappes n'étaient pas l'EI ne sont en rien fondées, a-t-il déclaré, ajoutant n'avoir aucune information concernant d'éventuelles victimes civiles et assurant que l'aviation russe s'efforçait de procéder à des frappes précises.

Le ministère russe de la Défense avait annoncé mercredi soir avoir procédé à 20 sorties aériennes pour détruire huit cibles sur les positions de l'EI conformément à la stratégie édictée par Vladimir Poutine: prendre les terroristes de vitesse et détruire leurs positions en Syrie, avant qu'ils ne viennent chez nous.

M. Lavrov a indiqué avoir en toute honnêteté dit à son homologue américain que la Russie intervenait, à la demande de la présidence syrienne, pour combattre exclusivement l'État islamique et les autres groupes terroristes.

 

- Qu'est ce qu'un 'terroriste' ? -

Mais la différence d'appréciation qu'ont les Russes et les Occidentaux des terroristes à abattre était de toute façon inévitable. Les Européens, les Arabes et les Américains font le distinguo entre l'EI, le Front Al-Nosra et les rebelles modérés qu'ils soutiennent. Pour Moscou, tout opposant armé au régime d'Assad est un terroriste.

Le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a jugé que les frappes ne visaient probablement pas les jihadistes de l'EI et a estimé que l'approche russe tournera mal si elle se fixe pour unique objectif de défendre le régime Assad.

Plus conciliant, John Kerry a déclaré devant le Conseil de sécurité que Washington était disposé à bien accueillir le recours à la force aérienne russe, à condition de viser réellement l'EI et Al-Qaïda.

La télévision officielle syrienne a confirmé des bombardements dans les provinces de Hama (nord-ouest) et Homs (centre).

Mais selon le chef de l'opposition syrienne en exil, qui était à New York, les frappes de Homs ont tué 36 civils innocents dans des zones qui ont combattu l'EI.

Le président russe a justifié ses opérations en Syrie, comme étant le seul moyen de lutter efficacement contre le terrorisme international et a appelé son allié, le président syrien au compromis avec l'opposition tolérée par Damas.

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