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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 08:50
photo Base aérienne 123 Orléans-Bricy - Armée de l'Air

photo Base aérienne 123 Orléans-Bricy - Armée de l'Air

 

Amsterdam, 7 February 2018 –  Airbus

 

Airbus SE has signed a Declaration of Intent (DoI) with the A400M Launch Customer Nations (Germany, France, United Kingdom, Spain, Turkey, Belgium, Luxemburg) defining the framework for achieving a mutually binding contract amendment later in the year.

 

Airbus, European defence agency OCCAR and the Customer Nations have agreed to work on a number of contractual elements including a revamped delivery plan as well as a roadmap for the development and completion of military capabilities for the A400M.

 

The DoI, finalised today, represents an important step towards reaching a contractually binding agreement with OCCAR and the Launch Customer Nations in 2018 to mitigate risks and to ensure the future of the programme. OCCAR is managing the A400M programme on behalf of the seven Launch Customer Nations.

 

This Declaration of Intent provides a new baseline on which to evaluate the A400M contract. An increase to the Loss Making Contract provision on the programme, which may be material, is under assessment for the Full Year 2017 results which will be disclosed on 15 February 2018. With a clear roadmap in place, the remaining exposure going forward would be more limited.

 

“This agreement with our customers is an important step to further mitigate risks remaining on the A400M programme. I thank the nations for their support in this complex effort and hope for their continued engagement until we sign a mutually beneficial contract amendment,” said Tom Enders, Chief Executive Officer of Airbus. “On this basis, Airbus remains committed to the A400M and to providing our customers’ air forces with the bestever military transport aircraft. However, since its inception in 2003, this programme has suffered not only from a number of operational issues but, more importantly, under a flawed contractual set-up and insufficient budget which resulted in significant losses for Airbus as prime contractor. We have a good chance to stop or at least reduce the bleeding now and deliver the capabilities our customers need.”

 

In February 2017, Airbus called upon the Launch Customer Nations to engage in discussions with respect to readjusting the contractual set-up of the A400M, one of Europe’s most important and largest joint defence collaboration programmes ever.

 

During a Ministerial conference on 30 March 2017 in Madrid, the Launch Customer Nations expressed their willingness to support such a dialogue and to enter into contract adjustment discussions with Airbus.

 

Since then, Airbus and OCCAR have set up a number of working groups assessing areas requiring adjustments such as delivery planning as well as the military capabilities development roadmap, the results of which have led to today’s DoI.

 

In view of the ongoing confidential discussions required to reach binding terms, both parties

have agreed to refrain from further comment.

 

About Airbus

Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2016 it generated revenues of €67 billion and employed a workforce of around 134,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners from 100 to more than 600 seats and business aviation products. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 12:20
photo Airbus Group

photo Airbus Group

 

15 Sept. 2015 LeParisienf.fr

 

L'avionneur européen Airbus espère s'appuyer sur son implantation aux Etats-Unis pour gagner de futurs contrats militaires dans le pays mais il lui faudra s'armer de patience pour arriver à ses fins, estiment des experts. Le groupe semble avoir tiré les leçons de son échec essuyé en 2011 face à Boeing sur une commande colossale de 35 milliards de dollars portant sur des avions ravitailleurs pour l'armée américaine.

 

"L'une des difficultés que nous avons rencontrées lors de la bataille des ravitailleurs était que nous disions +Oui nous allons produire aux Etats-Unis. Oui, nous allons assembler des avions aux Etats-Unis+. Comment pouvait-on nous croire alors que nous n'avions jamais produit sur le territoire américain. Nous étions peu crédibles comparé à des entreprises qui étaient installées sur le sol américain depuis des dizaines d'années", explique à l'AFP Tom Enders, le patron d'Airbus Group. L'inauguration lundi de la première unité d'assemblage du groupe aux Etats-Unis, à Mobile (Alabama, sud), ne fait donc "pas de mal", ajoute le dirigeant même si celle-ci est dédiée pour l'instant uniquement aux avions civils. Pour Hans Weber, qui a conseillé EADS, l'ancêtre d'Airbus Group, "il y a eu des appels d'offres auxquels le groupe n'avait même pas pris part après s'être rendu compte qu'il n'avait pas assez de soutien politique" local. Si le constructeur européen a réussi à combler une partie de son retard face à Boeing dans le civil - 60% de parts de marché contre 40%, selon ses chiffres -, il est encore à la traîne sur le plan militaire. Or les Etats-Unis représentent plus de 35% des dépenses militaires dans le monde, selon Hal Chrisman, expert au cabinet ICF International.

 

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 12:50
photo Airbus Military

photo Airbus Military

 

27 Feb 2015 By: Dan Thisdell - FG

 

Airbus is heralding mixed fortunes for its troubled A400M military transport programme, with expected deliveries in 2015 of 16 units – double 2014’s total – coming on the back of a €551 million ($620 million) fourth-quarter charge for delays and action needed­ to ramp-up production. Highlights of the 2015 delivery campaign should include five aircraft for the UK Royal Air Force, which currently has two – including one delivered in 2014. But original expectations for the total transfer of more than 20 units are clearly out of reach.

 

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 13:51
photo RP Defense

photo RP Defense

 

27/02/2015 Michel Cabirol, à Munich – LaTribune.fr

 

Le président exécutif d'Airbus Group Tom Enders estime que le groupe pourrait livrer 16 A400M en 2015. En revanche, il n'a pas été en mesure de dévoiler un nouveau calendrier de livraisons.

 

Mais que fait Airbus Group avec l'A400M? Lors de la présentation des résultats du groupe aéronautique et de défense, le président exécutif d'Airbus Group Tom Enders n'a pas été en mesure de dévoiler le nouveau calendrier de livraisons de l'avion de transport de troupes européen A400M. Pourtant, certains dirigeants de la division d'Airbus Defence and Space estimaient en janvier que Tom Enders pourrait dévoiler le nouveau calendrier de livraisons fin février lors de la présentation des résultats du groupe de 2014.

 

Mais Tom Enders a simplement précisé que le groupe avait livré huit appareils en 2014 et il "pense" que Airbus Defence and Space "pourrait doubler les livraisons en 2015". Il a souligné que son groupe restait mobilisé "pour faire face aux différents défis opérationnels, notamment la montée en cadence et les coûts de l'A350 et de l'A400M". "Le planning des améliorations militaires progressives et des livraisons associées est actuellement en cours de négociation avec les clients, pour refléter la situation du programme et le calendrier des livraisons révisés", a seulement indiqué le groupe.

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 13:50
Airbus reprend en main l’A400M

 

30 janvier 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Tom Enders, PDG d’Airbus Group, ne supporte plus les promesses non tenues du programme A400M. Il nomme Fernando Alonso à la tête de Military Aircraft (Airbus Defence and Space), avec pour mission d’accélérer l’intégration des capacités militaires et d’augmenter les cadences de production.

 

Airbus vient de siffler la fin de la récréation pour Military Aircraft. Tom Enders, le PDG d’Airbus Group a reconnu cette semaine que les retards s’accumulaient dans le programme A400M et que le constructeur n’était pas en mesure de tenir les engagements pris vis-à-vis des clients, il y a de nombreuses années maintenant. Bernhard Gerwert, le président exécutif d’Airbus Defense and Space (ADS) ne dit pas autre chose : « nous n’avons pas été à la hauteur des attentes en ce qui concerne l’intégration des capacités 
militaires et la montée en cadence industrielle. Ceci n’est pas acceptable et nous allons résoudre ce problème. Nous sommes parfaitement conscients que les nations clientes ont besoin de ce nouvel aéronef et nous prenons donc leurs craintes très au sérieux.  ».

 

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 11:50
Le patron d'Airbus Defence and Space débarqué suite aux retards de l'A400M

 

29-01-2015 Par Challenges.fr

 

Les retards de livraisons de l'avion A400M auront coûté sa place à Domingo Ureña-Raso, le directeur de la branche militaire d'Airbus Defence and Space.

 

Airbus Defence and Space, filiale du groupe aéronautique européen Airbus, a annoncé jeudi 29 janvier le départ du directeur de sa branche militaire, Domingo Ureña-Raso, suite à la démission de ce dernier. Il sera remplacé par Fernando Alonso, lui aussi espagnol, qui dirigeait jusqu'à présent les essais en vol des avions militaires d'Airbus.

Le patron d'Airbus Group, Tom Enders, avait présenté des excuses mercredi 28 janvier pour les retards de livraisons de l'avion de transport militaire A400M, promettant d'en tirer les conséquences.

"J'espère que la nouvelle équipe répondra rapidement aux manquements actuels de la manière la plus efficace", a déclaré Bernhard Gerwert, directeur général d'Airbus DS, dans un communiqué.

 

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 17:50
Airbus chief Enders promises action on A400M

 

28 January 2015 By Craig Hoyle - FG

 

Airbus chief executive Tom Enders has promised “management and organisational consequences” as a result of the production and delivery problems that are affecting the company’s A400M tactical transport programme.

“We have problems – I admit that,” Enders said while addressing an Airbus Group reception in London on 27 January. “We have additional delays and I very much regret that we are unable to meet the commitments made to our customers several years ago.

“We are taking corrective action as fast as we can,” he says, adding that the issue will have “management and organisational consequences”.

 

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 21:50
Défense : le patron d’Airbus fusille la politique de Berlin

Pour le patron d’Airbus Group, l’Allemagne va s’isoler encore plus en maintenant sa politique restrictive en matière d’exportation d’armements.

 

14/10 Alain Ruello / Chef de service adjoint – LesEchos.fr

 

Nul part en Europe, il n’existe un antagonisme aussi grand entre industrie de défense et politiciens qu’en Allemagne, a déclaré Tom Enders, le patron d’Airbus Group, lors d’une conférence sur la sécurité organisée par le Handelsblatt ce mardi.

 

Fidèle à son habitude, Tom Enders n’y va pas par quatre chemin pour dire ce qu’il pense. Ainsi sur la politique de l’Allemagne - son pays - en matière de défense. « Dans aucun autre grand pays européen que l’Allemagne il n’existeun tel antagonisme entre les industriels de défense et les politiciens », a déclaré le président exécutif d’Airbus Group lors d’une conférence sur la sécurité organisée par le quotidien allemand Handelsblatt ce mardi.

 

Au delà des seuls aspects industriels, c’est l’attitude globale de Berlin que Tom Enders critique sans prendre de gants, n’en déplaise aux élus de la CDU, de la CSU et du SPD. « La demande politique pour plus de coopération en Europe en matière de défense suit une approche très centrée sur l’Allemagne », a-t-il ajouté, prenant le soin de préciser, pour ceux qui n'auraient pas saisi : « En maintes occasions il a été suggéré que les façons de voir allemandes pourraient et devraient simplement s’appliquer au reste de l’Europe. »

 

Ce n’est pas la première fois que Tom Enders s’en prend à la politique du gouvernement d’Angela Merkel. Cette déclaration intervient dans un contexte de tension grandissante entre les industriels allemands et Sigmar Gabriel, le vice-chancelier et ministre de l’économie. « La politique allemande en matière d'exportation, telle qu’elle est menée actuellement, limite très sérieusement les options militaire, industrielle et politique de l’Allemagne en regard de toute coopération européenne future », a-t-il estimé.

 

La France en subit déjà les conséquences car cette politique ébranle les fondements même de la coopération franco-allemande, matérialisée par les accord dit « Debré-Schmidt » des années 70. Après MBDA dont le contrat de vente de missile terrestre Milan au Qatar est bloqué , et Renault Trucks pour des véhicules blindés destinés au même pays, c’est la vente de 14 hélicoptères par Airbus Helicopters à l’Ouzbékistan qui est touchée. Comme pour les missiles de MBDA, ces hélicoptères contiennent des pièces fabriquées en Allemagne, Berlin peut donc interdire leur sortie du territoire.

 

« A la fin, l’Allemagne va s’isoler un peu plus », a déploré Tom Enders. Bluff ou non, le patron de l’ex-EADS a laissé entendre à Reuters qu’il envisageait sérieusement d’implanter ses nouveaux programmes de construction d’hélicoptères en France plutôt qu’en Allemagne. « Nous y réfléchissons, a-t-il dit en marge de la conférence. Avec ces incertitudes sur la politique d’exportation, nous n’avons plus vraiment le choix. »

 

Ariane 6 : fin du psychodrame entre Airbus, Safran et l’Etat

 

Fin de la grève. Airbus et Safran ont ordonné à leurs troupes en charge du projet de création de leur co-entreprise de lanceurs spatiaux de reprendre le travail. Cinq jour après leur avoir enjoint de remiser les souris et d’éteindre les écrans, les deux industriels ont visiblement trouvé un accord avec l’Etat français. Les termes de l’accord, qui porte sur le contrôle des intérêts stratégique de la République (en clair, la dissuasion ), ne sont pas connus.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 22:19
EADS : Tom Enders confiant dans les perspectives de l’« aéronautique transatlantique »

26.09.2013 Romain Guillot journal-aviation.com

 

Tom Enders, président exécutif d'EADS, a profité d’une conférence organisée par l'European American Press Club à Paris le 26 septembre pour exposer sa vision sur l’avenir des relations transatlantiques dans le secteur aéronautique et spatial.

 

Dans le secteur de l’aéronautique civil tout d’abord, Tom Enders a voulu rappeler que 40% de la valeur d’un Airbus provenait de fournisseurs américains, exactement la même part que pour un Dreamliner de son concurrent historique Boeing, pointant du doigt les titres de presse qui résument souvent le secteur à une simple bataille « Airbus vs Boeing ». Le secteur civil représente 80% du chiffre d'affaires d'EADS aujourd’hui.

 

Le backlog d'Airbus est par ailleurs constitué à 27% par des commandes émanant des États-Unis et le pays continuera à être le principal acteur du secteur dans les vingt prochaines années, avant d’être rattrapé par l’Empire du Milieu. Tom Enders a également souligné que la future ligne d’assemblage final d’A320 de Mobile (Alabama), dont le chantier a commencé en août dernier, est un bon exemple de coopération transatlantique dans l’industrie aéronautique.

 

Cette FAL, la seconde implantée hors d’Europe après celle de Tianjin, « sera plus compétitive » que celles présentes à Toulouse et à Hambourg, même si Tom Enders n’a pas voulu avancer de chiffre. « Une ligne d’assemblage n’est pas qu’une question de coût de main-d’œuvre et le tissu de fournisseurs qui se développera progressivement autour améliorera encore sa rentabilité avec le temps » a-t-il souligné, ajoutant que « l’aéronautique n’était pas une industrie low-cost ».

 

Le président exécutif d'EADS s’est également montré relativement optimiste sur le projet d'accord de libre-échange entre l'Europe et les États-Unis, qui devraient d’abord bénéficier aux clients finaux (opérateurs), mais qui pourrait aussi être la source de consolidations du secteur au niveau transatlantique dans l’hypothèse ou les règles d’investissements dans les entreprises américaines seraient amener à évoluer pour être moins restrictives.

 

Tom Enders s’est cependant montré beaucoup plus sceptique dans le secteur de la défense, les USA et l’Europe ne partageant pas les mêmes intérêts géostratégiques. Par ailleurs, l’existence d’une diplomatie, voire d’une politique de défense européenne, ne lui a jamais semblé « aussi lointaine depuis 20 ans », une vision illustrée par les conflits en Libye, au Mali ou par la crise syrienne.

 

Une autre problématique qui concerne l’Europe est le manque de concertation et de discernement en termes de recherche, « les projets se chevauchant souvent ». Selon lui, l’Europe, et la France en particulier, sont encore des marchés trop fragmentés et des consolidations sont inévitables.

 

Concernant spécifiquement la participation d’EADS dans Dassault Aviation (46%), Tom Enders a jugé qu’il s’agissait d’un bon investissement, mais qu’il n’était pas stratégique, se gardant d’annoncer une quelconque intention de désengagement dans le futur. « Nous nous occuperons de cette question quand le moment sera venu, mais il n'y a aucune urgence pour l’instant ».

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