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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 17:45
Mort du pilote français Xavier Cateni à Tripoli

 

1er février 2015 Bruno Jolivel – Aerobuzz.fr

 

Le 27 janvier dernier, des terroristes ont pris d’assaut l’hôtel Corinthia dans le centre de la capitale libyenne Tripoli et tué plusieurs personnes. Parmi les victimes, un pilote de ligne de nationalité française d’une compagnie aérienne géorgienne travaillant pour une entreprise libyenne. Il s’agit de Xavier Cateni « Cat’s », pilote de chasse notamment sur Mirage F1, Lt-colonel, jusqu’à l’an dernier à la BA-106 de Bordeaux Mérignac.

 

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 07:45
Libye : appel à l'intervention étrangère

 

13 août, 2014 – BBC Afrique

 

Le parlement de la Libye a voté en faveur d'une intervention étrangère pour protéger les civils pris au piège dans les combats meurtriers entre milices rivales.

Les députés se sont réunis à Tobrouk dans l'est du pays à cause de la violence à Tripoli et à Benghazi, et 111 députés sur 124 ont voté pour l'appel.

Ni l'ONU, ni aucune autre puissance étrangère n'a pour le moment de plans d'intervention

 

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 07:45
Final Inspections

 

8/12/2014 Strategy Page

 

Crew members conduct final inspections on a U.S. Marine Corps MV-22B Osprey tiltrotor aircraft assigned to Special Purpose Marine Air-Ground Task Force Crisis Response July 26, 2014, before it takes off from Naval Air Station Sigonella, Italy, to provide support to a military-assisted departure from the U.S. Embassy in Tripoli, Libya. The U.S. Department of Defense, at the request of the U.S. Department of State, authorized U.S. Service members to support in the evacuation of U.S. Embassy personnel from Libya. (DoD photo by 1st Lt. Maida Kalic, U.S. Marine Corps)

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 20:30
Au Liban, de nouveaux combats ont éclaté à Tripoli

 

01 décembre 2013 Paul Khalifeh à Beyrouth, RFI

 

Des morts liés au conflit syrien, il y en a aussi de l'autre côté de la frontière. Au Liban, plusieurs civils ont ainsi encore été tués à Tripoli, dont un adolescent abattu dans son école. La communauté alaouite libanaise est la première cible de ces violences.

 

Les combats qui ont éclaté le samedi 30 novembre à Tripoli au Liban ont été précédés par une série d’incidents qui ont fini par mettre le feu aux poudres. Des inconnus armés ont harcelé systématiquement des travailleurs alaouites arrêtés au hasard dans les rues. Après les avoir insultés et battus, ils leur ont tiré des balles dans les pieds.

 

On compte une dizaine de blessés en moins d’une semaine. Les agresseurs se présentent comme des groupes qui veulent venger les victimes du double attentat contre deux mosquées sunnites qui a fait une quarantaine de morts le 23 août dernier.

 

Déploiement massif de l’armée

 

Ces agresseurs reprochent à l’Etat son impuissance à arrêter les auteurs des explosions contre les mosquées, suspectés d’être des partisans du régime syrien. Les alaouites, eux, se plaignent de l’incapacité de l’Etat à les protéger contre la vindicte de leurs adversaires.

 

L’armée libanaise est déployée en force à Tripoli pour s’interposer entre les belligérants, mais elle se retrouve souvent prise entre deux feux et les soldats sont les premiers à tomber sous les balles des snipers.

 

Pris en otage entre les miliciens sunnites et alaouites, les habitants de Tripoli savent que leur ville ne retrouvera la paix que lorsque la Syrie sera apaisée. Et ce n’est pas demain que cela risque de se produire.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:45
Abou Anas Al-Libi, membre présumé d’Al-Qaïda, transféré à New York

 

15/10/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Une semaine après sa capture controversée à Tripoli, le Libyen Abou Anas al-Libi, responsable présumé d’Al-Qaïda, a été transféré à New York où il devrait comparaître dès mardi.

 

Il a été «transféré ce week-end [...] directement à New York où il est inculpé depuis plus de dix ans. Le gouvernement pense qu’il sera présenté à un officier de justice demain», a annoncé lundi le procureur de Manhattan Preet Bharara dans un bref communiqué.

 

Libi, 49 ans, avait été inculpé à New York en 2000 en lien avec des attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, et le FBI offrait jusqu’à 5 millions de dollars pour sa capture.

 

L’attentat de Nairobi avait tué 213 personnes, dont 12 Américains, et fait plus de 5.000 blessés le 7 août 1998. L’attentat de Dar es Salaam, simultané, avait fait 11 morts et 85 blessés.

 

Libi a été capturé le 5 octobre devant chez lui à Tripoli par les forces spéciales américaines, et d’abord transféré à bord d’un navire de l’US Navy en Méditerranée, le USS San Antonio, pour y être interrogé, hors la présence de tout avocat.

 

Tripoli a réclamé sa remise, en vain

 

Les Américains l’accusent d’avoir notamment mené, dès 1993, des opérations de surveillance «visuelle et photographique» de l’ambassade américaine à Nairobi.

 

L’année suivante, selon l’acte de mise en accusation, Libi, considéré comme un expert en informatique, avait étudié avec d’autres membres d’Al-Qaïda plusieurs cibles possibles d’attentat, dont l’ambassade américaine à Nairobi, l’agence américaine pour le développement international dans la même ville, et des «cibles britannique, française et israélienne à Nairobi».

 

Son groupe était allé ensuite rapporter ses informations à Oussama Ben Laden au Soudan.

 

Libi avait été inculpé à New York en 2000 avec 20 autres membres présumés d’Al-Qaïda, notamment de complot visant à tuer des citoyens américains et complot visant à détruire des bâtiments et propriétés des Etats-Unis, en lien avec les attentats en Afrique.

 

Plusieurs de ces inculpés, dont Oussama Ben Laden, sont morts depuis.

 

De son vrai nom Nazih Abdul Hamed al-Raghie, Libi avait été membre du Groupe islamique de combat libyen (Gicl) avant de rejoindre Al-Qaïda à ses débuts. Les Américains espèrent qu’ils pourront en obtenir de précieuses informations sur les premières années du groupe.

 

Dans les années 90, il avait vécu au Royaume-Uni, où il avait obtenu l’asile politique, selon le FBI.

 

La Libye, très embarrassée par sa capture qui a provoqué la colère de groupes d’ex-rebelles et de partis politiques, a dénoncé un «enlèvement», affirmant qu’elle n’en avait pas été prévenue.

 

Tripoli a convoqué après la capture l’ambassadrice des États-Unis, et le Congrès général national libyen (CGN), la plus haute autorité politique de Libye, a demandé, en vain, «la remise immédiate du citoyen libyen», qualifiant le raid américain de «violation flagrante de la souveraineté nationale».

 

Mais le président des États-Unis Barack Obama a affirmé qu’il serait jugé par la justice américaine.

 

«Nous savons que Libi a aidé à planifier et à mettre en oeuvre des complots qui ont abouti à la mort de centaines de personnes, dont de nombreux Américains. Nous en avons des preuves solides. Et il sera traduit en justice», a-t-il assuré.

 

Les États-Unis ont agi conformément aux «lois internationales sur la guerre, au fait que nous sommes habilités, d’après la loi internationale, à nous défendre», a également affirmé la semaine dernière la porte-parole du département d’Etat, Marie Harf.

 

Les États-Unis ont refusé de dire s’ils avaient demandé la permission d’intervenir au gouvernement libyen.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 11:45
Libyan Army deploys special anti-terror force to secure Tripoli

26 August 2013 by Oscar Nkala– defenceWeb

 

The Libyan Army has deployed a new anti-terror unit made up of 2 000 special forces soldiers across the capital Tripoli to improve security in the city.

 

According to the Libyan Herald, the Joint Force (JF) is made up of fighters drawn from the ministries of defence and interior and is equipped with 300 armed 'technical' fighting vehicles and 21 armoured personnel carriers.

 

It is charged with conducting regular patrols to counter potential security threats after a spate of bomb attacks and shootings targeting embassies and diplomatic staff in the past two years.

 

JF public relations officer Esam Naas said the force, which is commanded by Colonel Fitouri Ghuraebi, will patrol the streets of Tripoli around the clock and has already completed deployments to some sections of the capital.

 

"We wasted no time in the preparations to go out and secure the city. This (operation) will be done in full coordination with the Police Directorate in Tripoli and other security forces arms. Our 2 000 men will be mainly guarding the entry and exit points of Greater Tripoli," Naas said.

 

Set up March this year, the JF is made up of selected officers and former militias who have received specialised counter-terror training through military assistances programmes run by the Italian, Turkish, United States and French governments. The force failed to start work early in the year as it lacked military equipment and operated without funding.

 

As a result, the force limited its operations to manpower training and low-level security sweeps such as clearing illegal occupants from government buildings within the city centre. Prompted by rising insecurity following a spate of shootings and car bomb attacks on embassies and on the streets of Tripoli, the Libyan government has been forced to release funds to finance the JF operations.

 

Libya has been beset by insecurity due to infighting among fractious militia alliances which were formed to fight strongman Muammar Gaddafi during the 2011 revolution.

 

Since then, suspected trans-national terror outfits have established operations inside the country and are believed to be responsible for a spate of car bombs, embassy attacks, attacks on diplomatic staff and of late, jailbreaks in which hundreds of hard-core Al Qaeda militants escaped.

 

Fighting has also broken out regularly between the new national army and the militias. To compound an already dire security situation, fighting has also broken out regularly between rival militias which still control many parts of the capital Tripoli, Benghazi, Misurata, Sabha and other former hotbeds of the 2011 revolution.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:45
Attentat à Tripoli: l'enquête se poursuit, la thèse jihadiste prise au sérieux

 

25 avril 2013 Par RFI

 

L'attentat qui a visé l'ambassade de France à Tripoli mardi matin, 23 avril, n'a toujours pas été revendiqué. Les deux gendarmes blessés ont été rapatriés, la jeune Libyenne a été transférée pour être soignée en Tunisie. Une enquête a été ouverte et si, pour l'heure, la police ne dispose d'aucun élément tangible sur les auteurs de l'attentat, la thèse de combattants d'Aqmi n'est pas exclue.

 

Des enquêteurs se sont rendus mercredi matin sur les lieux de l’attentat. La rue de l’ambassade a été fermée temporairement pour leur permettre de procéder à des relevés et de numériser les lieux.

 

Comme l’avait annoncé le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius mardi, une magistrate de la section antiterroriste du parquet de Paris a été dépêchée à Tripoli. Elle s’est également rendue, tôt, mercredi matin, à l'ambassade.

 

Selon un porte-parole du quai d’Orsay, il n’y a pour le moment aucun élément tangible. L’enquête a été ouverte simultanément en France et en Libye.

 

Vidéos de surveillance

 

Selon un diplomate, les auteurs de l’attentat « savaient parfaitement ce qu’ils faisaient ». La police libyenne n’arrive habituellement qu’aux alentours de 8 heures et les rues sont généralement vides à ce moment de la journée. Selon des membres de l’ambassade et certains voisins, on verrait, sur des vidéos de surveillance, un homme garer une voiture devant l’ambassade puis en sortir précipitamment avant, semble-t-il, de faire détoner l’engin.

 

Le personnel de l’ambassade devra trouver de nouveaux locaux, le bâtiment étant absolument inutilisable. Une dizaine de membres du GIGN sont également arrivés dans la nuit de mardi à mercredi, notamment pour sécuriser l’ambassade et la résidence de France. L’école et l’institut culturel français sont fermés pour le moment.

Crédits BBC Africa

Crédits BBC Africa

La piste jihadiste

 

48 heures après, l'attaque n'a donc toujours pas été revendiquée. Jihadistes locaux ou bien, venus du Mali... Difficile de dire qui est à l'origine de cette opération. Mais si l'offensive française au Mali a fortement affaibli les groupes jihadistes, notamment en détruisant le sanctuaire d'Aqmi, cette avancée rapide a également dispersé les combattants dans toute la région et notamment dans le sud de la Libye.

 

Dans le nord du Mali, les militaires français ont fait parler les GPS des 4X4 abandonnés par les jihadistes. Des véhicules souvent puissants qui ont multiplié les allers-retours entre l'Adrar et le sud libyen. « C'est une véritable autoroute, explique un haut gradé français. Depuis des mois, les flux sont très importants. Pour fuir le Mali, les jihadistes empruntent la passe de Salvador, carrefour entre le Niger, l'Algérie et la Libye ».

 

Les combattants passent donc par l'axe déjà utilisé à l'été 2011 dans le sens inverse par les touaregs qui appartenaient à la légion de Kadhafi et rentraient au pays. L'armée française confirme également que des jihadistes blessés au combat sont venus en Libye se faire soigner.

 

« Qui peut faire la différence entre un révolutionnaire et un jihadiste ? »

 

« De fin janvier au mois de mars, on a vu des pick-up arriver du Mali », raconte un touareg de Sebha, la grande ville du sud libyen. Il ajoute : « Les combattants racontaient s'être battus contre la France et qu'ils rentraient chez eux à Benghazi et Derna, deux fiefs jihadistes sur la côte méditerranéenne ». Un commerçant de la ville ajoute : « Personne ne contrôle rien ici. C'est facile de se déplacer, de passer à l'étranger ou de remonter vers Tripoli. Qui peut faire la différence entre un révolutionnaire et un jihadiste ? »

 

Dans des documents récupérés au nord du Mali, l'armée française a également confirmé les liens étroits entre Aqmi et les shebbabs somaliens ainsi qu'entre Aqmi et les combattants nigérians de Boko Haram. Le sud libyen se trouve donc aujourd'hui au coeur des groupes jihadistes de la région.

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