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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 16:40
Moscou autorise l'Ukraine à effectuer un vol d'inspection

 

MOSCOU, 17 mars - RIA Novosti

 

La Russie a autorisé les inspecteurs ukrainiens à survoler son territoire en application du Document de Vienne sur les mesures de confiance et de sécurité conclu en 2011, a annoncé lundi aux journalistes le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov.

 

"Compte tenu de notre attachement à nos engagements internationaux pris dans le cadre du Document de Vienne, nous avons accepté  d'accueillir sur notre territoire le groupe d'inspecteurs ukrainiens", a indiqué le responsable.

 

Lors du vol en question, les Ukrainiens pourront inspecter les régions de Koursk et de Belgorod, frontalières avec leur pays, pour s'assurer que la Russie ne mène dans les zones indiqués d'activité militaire susceptible de représenter une menace pour la sécurité de leur pays.

 

L'Ukraine a transmis par le biais de l'OSCE une requête visant à survoler les régions en question entre le 15 et le 18 mars.

 

Au cours de cette semaine, le territoire russe sera en outre inspecté par des inspecteurs allemands et américains en application du Traité international Ciel ouvert.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 13:50
Russia, the Ukraine crisis and the future of European security

 

12th March 2014  – by Stephen Blank - europeangeostrategy.org



A week into Russia’s invasion of Ukraine, the time has come to consider some of its core lessons for the future of the transatlantic relationship and European security.

First and most importantly, the Ukraine crisis has buried the post-Cold War assumption that war in Europe is inconceivable. Accordingly, the (Western) belief that the world has left Realpolitik has proven both fallacious and dangerous. In fact, the West’s passivity and utter incomprehension of Putin and Russia reveals a discomforting fact: Europeans and Americans are cognitively unprepared to effectively defend the post-Cold War settlement.

The second lesson revealed by the Ukraine crisis is that European security may well be divisible and that Western Europeans and Americans – as has too often been the case – may not be ready to fight for their Eastern European allies. As long as these conditions are operative, Russia will continue to expand its self-proclaimed sphere of influence.

Thirdly, the previous generation’s belief that Russia could be integrated into Europe has imploded. Russia wants a free hand, empire, and great power status. It equates liberal democracy and integration within the West with subordination and thus resists them. Russian power cannot be integrated into a European normative and political order. Instead, Moscow sees the corruption, subversion, and undermining of that order as a key condition for its own survival. This insight leads to the next lesson.

Fourth, Russia’s imperial land and power grabs in Georgia and now in Ukraine; its efforts to undermine security in Moldova and the Caucasus; and its permanent sabre rattling in the Baltics show not only that Russia remains unreconciled to the 1991 loss of empire but something much deeper: Putin and his ‘boyars’ firmly believe that Russia cannot be governed except as an Empire. For the Kremlin, Empire represents the necessary condition of survival against the threat of Westernisation.

Fifth, and critically, Russia considers that the use of force is the only viable way to advance its Empire. As the crises in Ukraine and Georgia show, Russia cannot accept the genuine sovereignty or territorial integrity of any of its neighbours, including Eastern Europe. Thus all of its agreements with them are ultimately merely ‘scraps of paper’. The Kremlin believes it must subvert, corrupt, undermine, or even try to conquer their territories to preserve this ruling elite in power and consolidate domestic support around Great Russian state nationalism. Moreover, the fact that the countries and peoples that stand on Russia’s path are likely to show resistance and that the Russian state cannot cope economically with the burdens of empire reinforces the point that Russia’s imperial drive is interwoven with war.

Only if the transatlantic alliance understands and assimilates these lessons can it successfully roll back the current challenge to European security and restore the basis for a genuinely free and unified Europe. This means the military revitalisation of NATO and its full willingness to uphold its agreements to support Ukraine’s security and integrity, as stated in the 1997 NATO-Ukraine treaty. This does not mean war but a combination of resolute military support for Ukraine, tough economic sanctions against Russia’s government, banking system, and ruble, and the decisive reorganisation of European energy policy. It also means exposing Russia’s undeclared ‘asymmetric’ war on Europe and efforts to corrupt its political figures and institutions. For the EU it means not only devising a package to restore Ukraine to economic health but also practical assistance and a genuine promise of membership on condition that Kyiv carry out the arduous but necessary long-term reforms.

The present crisis has exposed Western reluctance to act on Ukraine’s behalf.  This appeasement is wholly misplaced and dangerous. Crimea is only the beginning. Unless the West works vigorously to restore Ukraine’s territorial integrity it will face ever-mounting challenges – and not just from Russia. A choice for passivity and appeasement may well relive Churchill’s post-Munich admonition: ‘England had a choice between dishonour and war. She chose dishonour. She will have war’.


 

Dr. Stephen Blank is a Senior Fellow for Russia at the American Foreign Policy Council. Prior to this he was a Professor at the United States Army War College. He writes here in a personal capacity only.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 13:40
Crimée: les frontières sous contrôle des autorités

 

SIMFEROPOL, 17 mars - RIA Novosti

 

Les autorités de Crimée, qui ont adopté lundi une déclaration d'indépendance vis-à-vis de Kiev suite au référendum sur le statut de cette république autonome, assurent la protection de la frontière, a déclaré le président du Conseil suprême (parlement) Vladimir Konstantinov.

"La protection de la frontière est complètement à notre charge, et nous règlerons tous les problèmes en la matière par voie de négociations avec Kiev. Quoi qu'il en soit, les autorités de Kiev doivent d'abord se légitimer", a indiqué M.Konstantinov.

Et d'ajouter que désormais, les passeports seraient tamponnés "République de Crimée" aux points de passage de la frontière de la république de Crimée.

Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février à Kiev. La Rada suprême (parlement ukrainien) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions et réformé la Constitution. Se proclamant toujours président légitime, M.Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou a aussi mis en doute la légitimité des récentes décisions de la Rada suprême ukrainienne.

Plusieurs régions de l'Est et du Sud de l'Ukraine et la république autonome ukrainienne de Crimée ne reconnaissent pas les nouvelles autorités de Kiev. La Crimée a décidé de tenir un référendum sur son statut politique.

Le référendum en question, dont l'Occident conteste la légitimité, s'est déroulé dimanche 16 mars. Selon le bilan définitif, 96,77% des personnes ayant pris part au vote se sont prononcées en faveur du rattachement de la région à la Russie en tant que sujet fédéral.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 12:40
Le Parlement ukrainien approuve une mobilisation partielle

 

 

17 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

KIEV - Le Parlement ukrainien a approuvé lundi une mobilisation partielle de ses forces armées pour faire face à l'ingérence de la Russie dans les affaires intérieures de l'Ukraine.

 

275 députés ont approuvé cette mobilisation demandée par le président par intérim Olexandre Tourtchinov compte tenu de l'aggravation de la situation politique dans le pays (...) et de l'ingérence de la Russie dans les affaires intérieures de l'Ukraine. 33 députés n'ont pas pris part au vote, aucun n'a voté contre.

 

Les députés ont également approuvé l'octroi de près de 6,9 milliards de hryvnias supplémentaires (530 millions d'euros) pour assurer l'aptitude au combat des forces armées.

 

Ces votes sont intervenus au lendemain du référendum de la péninsule séparatiste de la Crimée occupée depuis fin février par les troupes russes qui a voté à 96,77% son rattachement à la Russie.

 

M. Tourtchinov a qualifié lundi ce référendum de grande farce. La Russie cherche à couvrir son agression en Crimée par une grande farce nommée référendum qui ne sera jamais reconnu ni par l'Ukraine, ni par le monde civilisé, a déclaré M. Tourtchinov devant les députés.

 

Un député du parti Batkivchtchina de l'ex-Premier ministre Ioulia Timochenko a pour sa part ironisé lundi sur les résultats sensationnels en Crimée. Nous nous attendions à 101% vu la manière dont le référendum a été organisé, a déclaré Mykola Tomenko pendant la séance parlementaire.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 11:40
Ukraine: répercussions sur le secteur aéronautique russe (Iliouchine)

 

 

MOSCOU, 17 mars - RIA Novosti

 

Suite aux événements en Ukraine, le constructeur d'avions russe Iliouchine sera obligé de rechercher des alternatives pour obtenir une partie des équipements destinés à l'avion-cargo militaire Il-476, a annoncé lundi le directeur-général du groupe Iliouchine, Viktor Livanov.

 

"J'attire votre attention sur les risques: 35 équipements préfabriqués nous sont livrés par l'Ukraine. Si la situation ne change pas dans ce pays, nous serons obligés de rechercher des alternatives pour ces équipements", a indiqué le responsable lors d'un entretien avec le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine.

 

Le Il-476 (appellation officielle Il-76MD-90A) créé sur la base de l'avion IL-76MD est destiné à transporter des soldats, des véhicules militaires, des cargaisons, du combustible et des containers.

 

Le cargo a volé pour la première fois en septembre 2012.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 07:55
BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

BPC Vladivostok photo T. Bregaris Ouest-France

 

16.03.2014 journal-aviation.com (Reuters)

 

Des sanctions sur des accords militaires pourraient être décidées par Paris dans le cadre d'un troisième niveau de sanctions contre la Russie s'il n'y a pas de désescalade en Crimée, a déclaré samedi François Hollande.

 

L'Union européenne et les Etats-Unis prévoient d'annoncer lundi, au lendemain du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie, une série de sanctions, dont des gels d'avoirs financiers et des interdictions de déplacement.

 

Interrogé sur une éventuelle suspension d'un contrat d'environ 1,2 milliard d'euros signé avec la Russie pour deux porte-hélicoptères de type Mistral, François Hollande a déclaré : "Quant aux sanctions autres, notamment liées à la coopération militaire, c'est le troisième niveau de la sanction, nous en sommes au premier."

 

Avant cette déclaration du président français, le ministre russe de l'Economie avait estimé que les sanctions prévues par les pays occidentaux auraient un impact économique limité.

 

Jusque-là, les autorités françaises avaient dit ne pas envisager de suspendre leurs contrats militaires avec la Russie. Vendredi, un diplomate français assurait à Reuters que cette question n'était pas à l'ordre du jour.

 

La France et la Russie sont parvenues en mai 2011, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, à un accord sur la fourniture à la marine russe de quatre porte-hélicoptères de type Mistral, ou BPC (bâtiment de projection et de commandement). L'option pour deux d'entre eux n'a pas été levée à ce jour par Moscou.

 

"PSEUDO-CONSULTATION"

 

Le Vladivostok - construit pour moitié à Saint-Nazaire et à Saint-Pétersbourg et dont les essais en mer devaient se terminer la semaine dernière - doit être livré à la marine russe fin 2014.

 

Un deuxième BPC baptisé Sébastopol, du nom de la ville de Crimée où la marine russe stationne sa flotte depuis l'indépendance de l'Ukraine, doit être livré en 2016.

 

Dénonçant le référendum de dimanche en Crimée comme une "pseudo-consultation" sans légalité internationale, François Hollande a répété samedi que "la France comme l'Union Européenne ne reconnaî(traient) pas (sa) validité."

 

Les ministres français de la Défense et des Affaires étrangères doivent se rendre mardi à Moscou pour y rencontrer leurs homologues russes, un déplacement prévu de longue date et qui intervient dans le cadre des relations bilatérales entre les deux pays.

 

"Pour décider de ce déplacement, j'attendrai lundi", au lendemain de la consultation en Crimée, a dit samedi le président français.

 

(Elizabeth Pineau, Chine Labbé et John Irish, édité par Tangi Salaün)

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 07:50
As Ukraine Crisis Unfolds, DoD's Options Are Limited

 

 

Mar. 16, 2014 By AARON MEHTA – Defense News

 

WASHINGTON — As the situation in Ukraine continues to worsen, the US and its allies in Europe find themselves with a limited set of options at the same time the Pentagon is trying to plan for potential fallout.

The most likely path seems to be economic sanctions of some kind, hand in hand with moves to isolate Russia internationally. But even without direct conflict, experts warn Russia’s reaction could lead to fallout with the world’s militaries.

Economic sanctions are “the most viable national security tool we’ve got,” said David Asher, adjunct senior fellow at the Center for a New American Security.

“There is no doubt for me we have tremendous coercive leverage against Putin and his cronies’ finances by going after Russia’s ability to do banking relations in the United States,” Asher said, referring to Russian President Vladimir Putin. “That would be a huge wakeup call for them.”

Asher, a former State Department official, helped organize the use of the Patriot Act to target the Macao-based Banco Delta Asia over its ties to North Korea in 2005. He believes similar regulations could be effective against Russia. Such a move would require proof of illegal activity, but given the notorious nature of Russian money laundering, Asher is confident the US would have a wealth of evidence at its disposal.

“There would have to be an investigation by the Department of Treasury, but I don’t think it would be hard to find a smoking gun when it appears the room is on fire with illicit financing from Russia,” Asher said.

It’s not just Russian-based banks that could be targeted. An analyst who follows corruption in Europe identified Austria and Latvia as home to banks that frequently launder Russian funds.

“What we are looking at is a number of economic measures,” said Julianne Smith, senior vice president of Beacon Strategies. That starts with targeted sanctions but could grow to include visa restrictions and asset freezes for rich oligarchs, in the hope they will provide pressure on Putin.

Smith, who served as principal director for European and NATO policy at the Office of the Secretary of Defense before joining Vice President Joe Biden’s staff as deputy national security adviser, said the US may try to isolate Russia.

Smith expects to see pressure on France not to deliver two Mistral helicopter carriers purchased by Russia.

But bilateral relations between Paris and Washington seem to be close. When US Secretary of State John Kerry met Russian Foreign Minister Sergei Lavrov in Paris on March 5, Kerry paid tribute to France’s work in international crises, not just the Ukraine.

“We especially thank our friends here in France for their partnership as we work to address these challenges and many others,” Kerry told journalists after meeting Lavrov, French Foreign Minister Laurent Fabius and other foreign ministers.

“For instance, Iran’s nuclear program, violence in the Central African Republic — we’re working together — [and] pursuit of reconciliation in Mali.”

Asked about the Mistral issue, Marie Harf, State Department spokeswoman, said “We would hope that any country would exercise judgment and restraint when it comes to transferring military equipment that could exacerbate tensions in any conflict region.”

Harf deferred comment on whether the US is pressuring France on the issue, but as of now, a French diplomat said there has not been pressure on Paris. “There is dialogue, friendship and confidence,” the diplomat said. “The ministers [Laurent Fabius and John Kerry] are in constant contact.”

Another part of that isolation strategy involves severing of military-to-military relationships, and Russia has already been disinvited to military training exercises hosted by the US. But cutting military relationships could backfire, Smith said.

“In the medium and long term, when you turn the lights out on mil-to-mil relationships, you suffer, because, down the road, you hit a crisis, and people don’t know whom to call. They don’t know who is in charge,” Smith warned. “We will turn the lights out in an effort to penalize Russia, but there could be some costs to the US as well, because we won’t have that longstanding connective tissue.

“In Pakistan, we did the same thing and found that it ends up hurting both of us,” she said. “Sometimes the military channel is the only one that is functioning and working because people aware of the risks of ratcheting things up can talk to each other and say, ‘Let’s try to sort this out.’ ”

Russian Reaction

The question facing US and European officials is how Putin will react to global pressure. Does he give in to economic pressure or stand his ground and force the issue — potentially setting up further conflicts between Russia and the West?

“President Obama and Secretary Kerry are very aware of the enormous risks of having the ‘have to have’ bilateral relationship with Russia become frayed or, at worst, snap, with the imposing of sanctions,” one former State Department official said. “But Putin must take responsibility for his grab of the Crimea and must be made to understand the consequences.

“The US and Russia are fundamental to the international communities’ ability to work the diplomatic levers of many of the world’s day-to-day flare-ups, and it would be very dangerous for this relationship to become undependable or ‘out of service,’ ” added the former official.

Responses from Russia could take varied forms, including severing ties with US industry in the region. From a defense perspective, there are two simple ways for Russia to directly impact current Pentagon operations.

The first is to cut off supplies of the RD-180 engine, used by the United Launch Alliance (ULA) joint venture of Boeing and Lockheed Martin in its Atlas V rocket for both commercial and military satellite launch. Eric Fanning, Air Force undersecretary, raised that concern last week.

“The partnership we’ve had with Russia on that engine has been very important, I think to both of us,” Fanning said. “But there are a number of concerns the Air Force has and others have anytime we’re relying on such an important piece of equipment from vendors outside the United States.”

While noting that there have been no signals from Russia that the RD-180 supply could be endangered, Fanning said the service is “monitoring very closely the current bilateral situation to make sure we can protect that supply.”

If Russia did cut off supplies of the RD-180, it might be more symbolic than actually painful for the US, according to Marco Caceres, director of space studies with the Teal Group

“The Atlas V isn’t launching that much, so short-term impact would be minimal,” Caceres said. “The long-term impact would be that Atlas V would have to find another engine and that wouldn’t be easy.”

The biggest impact might come not to US military launch, but to the corporate firms that provide it. Right now, military launch is provided either by ULA’s Atlas V or Delta IV. For years, the US has wanted to maintain two families of launch vehicles in case one failed. However, SpaceX looks poised for certification this year. The combination of having a third launch option, along with the lack of RD-180 parts, might lead to the end of the Atlas V.

That may be all hypothetical, however, as Caceres doubts Russia would block sales of RD-180s, primarily because of the financial impact.

“It’s not to the benefit of the Russians to do this. These are engines that bring in hard currency to Russia, the same way Russian oil and gas does,” he said. “Russia doesn’t really export much else of any consequence. ”

Russia also could cut off access for US materiel traveling through its territory as the US exits Afghanistan, but that may provide more of a hiccup than a roadblock. Both Marine Gen. Joseph Dunford, the head of NATO forces in Afghanistan, and Air Force Gen. Paul Selva, the nominee to head US Transportation Command, expressed confidence last week that other options are available.

“If the Russians were to take action to constrain our access to the Russian segments of the Northern Distribution Network, we have other options to move that cargo in and out of Afghanistan,” Selva told senators at his nomination hearing.

A less direct avenue would be for Putin to expand military sales to countries such as Syria, which has already received significant military support from Russian industry. If Putin feels the pinch fiscally, he could open further sales to Syria or other nations.

Pierre Tran in Paris and Zachary Fryer-Biggs in Washington contributed to this report.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 07:35
Image Credit Aleksey Toritsyn

Image Credit Aleksey Toritsyn

 

March 14, 2014 By Andrew Gawthorpe - thediplomat.com

 

Could China’s East Asian neighbors be tempted to seek nuclear weapons? That would be a mistake.

 

Recent events in Eastern Europe raise the issue not only of Russia’s future actions but also the lessons that will be drawn regarding other revisionist states. In East Asia, a China that is nurturing territorial ambitions of its own and has recently become less shy about asserting them will watch to see how the West reacts to Vladimir Putin’s expansionism. So will China’s East Asian neighbors, who fear they may become the next Ukraine.

One of the most potentially disturbing effects of the situation in Ukraine is the possibility it may drive nuclear proliferation. The present crisis in that country could well have been a nuclear nightmare. When the USSR was unraveling in the early 1990s, a sizeable portion of its strategic forces, along with tactical nuclear weapons, were deployed in Ukraine. Had the new Ukrainian government in Kiev taken control of these weapons upon becoming independent, it would have been the third-largest nuclear power in the world. behind only the U.S. and the Russia.

Concerned about nuclear proliferation throughout Europe if new nuclear powers were created by the Soviet Union’s demise, the U.S. pressured Ukraine to denuclearize and to return its nuclear forces to Russia. Basking in a post-independence glow and seeking U.S. support on other issues, Kiev went along. This was the origin of the so-called Budapest Memorandum of 1994, in which Ukraine promised to give up its nuclear weapons in return for Russia, Britain and the U.S. guaranteeing its sovereignty and territorial integrity. With the wholesale invasion of Crimea by Russian forces in recent days, Kiev can be forgiven for asking if the agreement is any longer worth the paper it’s written on.

Since Russia’s occupation of Crimea, a former Ukrainian foreign minister has called for his country to restock its nuclear arsenal and some Western analysts have questioned whether Putin would have acted so boldly if Ukraine still had its nuclear deterrent. The question can be expected to occur to leaders of other countries who are concerned about the territorial ambitions of their neighbors or the sincerity of Western security assurances.

The issue is of particular salience in East Asia, where China has recently been flexing its muscles in a range of territorial disputes. Regional powers such as Japan and Taiwan must be watching America’s unwillingness to forcefully confront a nuclear-armed Russia and wondering how much backbone the exhausted and drained superpower would have if China made similar moves. This is especially the case since the Obama administration’s so-called “pivot” to the Asia-Pacific seems to be much more an excuse for disengaging from the Middle East than it is a real exercise in strengthening the American alliance system in the Asia-Pacific.

Any such moves towards proliferation would be unwise. Acquiring nuclear weapons may appear to provide an effective way for countries worried about their neighbors’ territorial ambitions to deter them, but the truth is not so simple. While nuclear weapons provide an effective deterrent against an all-out attack, they are not necessarily effective in deterring lower-level conflict. Just as it is implausible to imagine that Ukraine would have responded to the appearance of balaclaved soldiers in Crimea with a first strike, so it is equally implausible to imagine any country responding to the Chinese declaration of an Air Defense Identification Zone in the same manner.

Revisionist powers are adept at nibbling away at international norms and agreements slowly and avoiding big, sweeping gestures. Countries responding to such a nibble with nuclear brinksmanship risk making their adversaries look reasonable by comparison, giving nuclear weapons questionable utility in territorial disputes. And if their use is indeed threatened and taken seriously, the result can be a dangerous cycle of escalation.

U.S. security guarantees are also much more credible and likely to be honored in the event of a conventional war than if there is a risk of the conflict going nuclear. Defending an ally who might unilaterally take the war nuclear and hence make the U.S. homeland a target for retaliatory strikes from Beijing would be risky for a U.S. president indeed. Countries in the Asia-Pacific worried about their U.S. security guarantees ought to be giving Washington more reasons to trust them and stick by them, not fewer.

A more sensible course, for both Ukraine and countries worried about China, would be to bolster their conventional military capabilities. Russia and China may be large countries, but their militaries have not been seriously tested for a long time. The prospect of a grueling, expensive and unpopular war would serve to deter both Moscow and Beijing more than the unlikely chance of a nuclear exchange. U.S. guarantees to its allies also remain more credible in such scenarios. And although events in Ukraine may have shown it is a dangerous world even for those with such assurances, further nuclear proliferation would only increase the danger further.

Andrew Gawthorpe is a teaching fellow at the Defence Academy of the United Kingdom. The views in this article are his own.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 22:50
Poutine à Obama : le référendum en Crimée pleinement conforme au droit international

 

16 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

MOSCOU - Le président russe, Vladimir Poutine, a maintenu dimanche, appelé par son homologue américain Barack Obama, que le référendum en Crimée était pleinement conforme au droit international, a indiqué le Kremlin.

 

Le référendum a été pleinement conforme aux principes du droit international et à la Charte de l'ONU, et a pris en compte notamment le précédent du Kosovo, la province serbe à majorité albanaise devenue indépendante avec le soutien des Occidentaux, a déclaré M. Poutine, selon le Kremlin.

 

Les habitants de la péninsule (de Crimée) ont eu la garantie de pouvoir exprimer librement leur volonté, a ajouté M. Poutine à propos du référendum dénoncé par les Occidentaux, par lequel 95% des habitants de cette région russophone d'Ukraine se sont prononcés pour le rattachement à la Russie, selon des résultats préliminaires.

 

Vladimir Poutine a mis l'accent sur l'incapacité et l'absence de volonté des pouvoirs actuels à Kiev de juguler les groupuscules ultranationalistes et radicaux qui déstabilisent la situation et terrorisent la population, y compris la population russophone, a encore indiqué le Kremlin.

 

A propos de la possibilité, évoquée par les Occidentaux, d'envoyer en Ukraine davantage d'observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), M. Poutine a souligné que de son point de vue l'activité d'une telle mission devait s'étendre à toutes les régions ukrainiennes.

 

MM. Poutine et Obama ont convenu que malgré les différences d'appréciation, il était nécessaire de chercher ensemble des moyens de stabiliser la situation en Ukraine, a également indiqué le Kremlin, soulignant que l'entretien téléphonique avait eu lieu à l'initiative du président américain.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 21:40
Les Russes promettent de ne plus bloquer les bases ukrainiennes en Crimée jusqu'à vendredi

 

16 mars 2014 Romandie.com ( AFP)

 

KIEV - Les commandants des forces russes et ceux des forces ukrainiennes dans la péninsule de Crimée se sont mis d'accord pour que les bases ukrainiennes ne soient plus bloquées jusqu'au vendredi 21 mars, a annoncé dimanche le ministre ukrainien de la Défense par intérim, Igor Tenioukh.

 

Ces bases ont jusqu'à présent été bloquées par des forces russes ou pro-russes, et leur approvisionnement était devenu difficile.

 

Des accords ont été conclus entre commandants (...) selon lesquels jusqu'au 21 mars aucune mesure ne sera prise pour bloquer nos unités, a dit M. Tenioukh aux journalistes avant le début du conseil des ministres, indiquant avoir parlé avec un vice-ministre russe de la Défense et avec le commandant adjoint de la flotte russe.

 

La situation de nos unités en ce qui concerne leur blocage est devenue normale. Je pense que cette trêve se prolongera jusqu'au 21, a-t-il ajouté.

 

Cependant, deux reporters de l'AFP en Crimée ont constaté dimanche après-midi que la base de l'armée ukrainienne à Perevalne, dans le sud de la péninsule, était toujours encerclée par des hommes armés en treillis qui ne portent pas d'insignes permettant de les identifier.

 

C'est le 21 mars que la Douma, la chambre basse du parlement russe, doit voter un projet de loi portant sur le rattachement de la Crimée à la Russie, objet du référendum dimanche dans la péninsule ukrainienne.

 

Le même jour l'Ukraine espère signer avec l'Union européenne le volet politique de leur accord d'association.

 

Les soldats, aviateurs et marins resteront en Crimée sur le terrain de leurs bases, a encore dit le ministre ukrainien.

 

Les décisions sur la suite des événements seront prises par la direction politique du pays et le ministère de la Défense en fonction de l'évolution de la situation, mais personne ne quittera la Crimée, a-t-il assuré.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 20:50
Joint statement on Crimea by President of the European Council Herman Van Rompuy and President of the European Commission José Manuel Barroso

 

 

Brussels, 16 March 2014 EUCO 58/14 PRESSE 140 PR PCE 53

 

As stated by all 28 EU Heads of State or Government on 6 March 2014, the European Union considers the holding of the referendum on the future status of the territory of Ukraine as contrary to the Ukrainian Constitution and international law. The referendum is illegal and illegitimate and its outcome will not be recognised.

 

The solution to the crisis in Ukraine must be based on the territorial integrity, sovereignty and independence of Ukraine, in the framework of the Ukrainian Constitution as well as the strict adherence to international standards. Only working together through diplomatic processes, including direct discussions between the Governments of Ukraine and Russia, can we find a solution to the crisis. The European Union has a special responsibility for peace, stability and prosperity on the European continent and will continue pursuing these objectives using all available channels.

 

We reiterate the strong condemnation of the unprovoked violation of Ukraine's sovereignty and territorial integrity and call on Russia to withdraw its armed forces to their pre-crisis numbers and the areas of their permanent stationing, in accordance with relevant agreements.

 

In advancing these goals, the Ministers of Foreign Affairs will evaluate the situation tomorrow in Brussels and decide on additional measures in line with the declaration of the Heads of State and Government of the EU of 6 March.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 19:40
Crimée: Moscou et Kiev acceptent une trêve jusqu’au 21 mars

 

16 mars 2014 par Nicolas Laffont - 45eNord

 

Les ministres russe et ukrainien de la Défense se sont mis d’accord pour observer une trêve en Crimée jusqu’au 21 mars, a annoncé le ministre ukrainien intérimaire de la Défense, dimanche.

 

«Un accord a été conclu avec la flotte (russe) de la mer Noire et avec le ministère russe de la Défense en vue d’une trêve en Crimée jusqu’au 21 mars», a dit Ihor Tenioukh en marge d’une réunion du gouvernement

 

Les forces russes ne prendront aucune initiative contre les installations militaires ukrainiennes dans la péninsule au cours de cette période, a ajouté le ministre devant la presse, précisant du coup que les sites militaires procèdent à un réapprovisionnement de leurs réserves.

 

Cette annonce intervient alors que les habitants de la Crimée votent, dimanche 16 mars, pour décider de leur rattachement à la Fédération de Russie. Ce référendum se déroule en présence de troupes russes qui contrôlent depuis deux semaines la région aux côtés de milices séparatistes.

 

De plus, l’annonce de cette trêve n’a pas empêché le nouveau premier ministre ukrainien de promettre que tous les meneurs séparatistes en Crimée seront pourchassés et traduits en justice.

 

«L’État ukrainien trouvera les meneurs du séparatisme et de la division qui, aujourd’hui sous la protection des troupes russes, essaient de détruire l’indépendance ukrainienne», a déclaré Arseni Iatseniouk lors d’une réunion du gouvernement intérimaire, selon une dépêche de l’agence Reuters.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 14:51
L'Otan cible d'une attaque informatique revendiquée en Ukraine

 

 

16 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

BRUXELLES - L'Otan a indiqué dimanche être la cible d'une importante attaque informatique, revendiquée par des pirates ukrainiens, qui se poursuivait dans la matinée même si le fonctionnement de certains sites avait été rétabli.

 

L'attaque par déni de service (DDoS) se poursuit mais la plupart des services ont été rétablis, a indiqué le porte-parole de l'Alliance atlantique, Oana Lungescu, sur son compte Twitter. L'intégrité des systèmes de l'Otan n'a pas été affectée et nous continuons à travailler pour rendre opérationnels la totalité des sites, a-t-elle précisé.

 

Le principal site d'information de l'Otan, www.otan.int, restait inaccessible vers 09H45 (08H45 GMT).

 

Une attaque DDoS consiste à multiplier les demandes sur un site pour le saturer.

 

Un groupe se faisant appeler CyberBerkout a revendiqué dans la nuit de samedi à dimanche cette attaque dans un communiqué sur son site internet. Nous déclarons qu'aujourd'hui à 18H00 nous avons lancé une attaque contre l'Otan (...) Nous n'admettrons pas sur le territoire de notre patrie la présence de l'Otan, a-t-il déclaré.

 

Le nom des CyberBerkout fait référence à l'ancienne police anti-émeute ukrainienne, récemment dissoute. Elle a été accusée d'avoir tiré sur les manifestants rassemblés à Kiev avant la destitution du président Viktor Ianoukovitch le 22 février.

 

Cette cyberattaque contre l'Otan dans un contexte de forte tension autour de l'Ukraine, le jour du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie, un scrutin jugé illégal par les Occidentaux.

 

Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, avait déclaré vendredi que ce référendum était une violation directe de la Constitution ukrainienne et de la loi internationale et qu'il n'avait ni fondement légal, ni légitimité politique.

 

L'Otan a fait de la lutte contre les cyberattaques l'une de ses priorités stratégiques. Elle a implanté un centre spécialisé en Estonie, un pays qui avait subi en 2007 une attaque massive contre les sites de ses administrations et des banques. Mise en cause, la Russie avait démenti toute implication dans ces attaques.

 

En Ukraine, 22 cas d'attaques ont été enregistrés depuis 2013, année du début de la crise politique dans ce pays, selon un rapport du groupe britannique de défense BAE Systems, publié le 8 mars.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 14:40
Les chefs de la défense des Etats-Unis et de la France discutent de l'Ukraine avant le référendum en Crimée

 

 

2014-03-16 xinhua

 

Le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel et le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian ont discuté samedi par téléphone de la situation en Ukraine, avant le référendum prévu dimanche en Crimée.

 

MM. Hagel et Le Drian "ont affirmé la solidarité de l'alliance de l'OTAN" et l'importance du travail étroit et conjoint des Etats-Unis et de la France pour soutenir les alliés d'Europe centrale et de l'Est, a déclaré dans un communiqué le porte-parole du Pentagone, l'amiral John Kirby.

 

Ils ont discuté de leur "examen (respectif) de la coopération militaire bilatérale avec la Russie", et promis que les officiels de haut rang des deux pays resteraient en contact étroit sur cette affaire lors des prochains jours, a expliqué M. Kirby.

 

MM. Hagel et Le Drian se sont également entretenus sur l'assistance américaine actuelle aux opérations françaises en Afrique, a-t-il indiqué.

 

A l'approche du référendum en Crimée qui déterminera si la Crimée doit se séparer de l'Ukraine pour se joindre à la Russie, Washington a augmenté la pression sur Moscou. Plus tôt cette semaine, la Maison Blanche avait indiqué que Moscou serait peut-être exclue du G8.

 

Les Etats-Unis ont critiqué le déploiement des forces armées russes en Crimée ces dernières semaines, malgré la déclaration du président russe, Vladimir Poutine, indiquant que son objectif était simplement de protéger la population russophone dans la région.

 

La Crimée, qui abrite la Flotte russe de la mer Noire, est au centre de la crise ukraine actuelle depuis la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch le 22 février par le Parlement.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 12:50
EU Foreign Affairs Council: Background on Ukraine, Syria, and EU-Africa Summit

14/3/2014 EU source: Council Ref: CL14-041EN

 

Summary: 14 March 2014, Brussels - Background on the European Union Foreign Affairs Council on Monday, 17 March 2014 in Brussels.
 

The Council, starting at 9.30, will be chaired by Catherine Ashton, EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy.

The Council will kick-off with a debate on the situation in Ukraine and the EU's Eastern Partnership more generally. An exchange of views on Bosnia and Herzegovina will follow.

Ministers will then discuss how best to support on-going efforts in the Middle East peace process. The Council will then address developments related to the crisis in Syria and its regional context. After that, it will turn to the EU-Africa summit, to be held on 2/3 April in Brussels.

Over lunch, ministers will hold a discussion on energy diplomacy, in the presence of Energy Commissioner Günther Oettinger.

The High Representative is also expected to shortly de-brief ministers on her recent visit to Iran, at the start of the meeting.

The EU-Uzbekistan Co-operation Council will start at 16.30, chaired by the Greek Deputy Prime Minister and Minister for Foreign Affairs, Evangelos Venizelos (TV/photo opportunity at 17.30).

Press conferences:

• after the Foreign Affairs Council (+/- 15.00)

• following the EU-Uzbekistan Co-operation Council (+/- 18.55)

* * *

Press conferences and public events by video streaming: http://video.consilium.europa.eu/

Video coverage in broadcast quality (MPEG4): http://tvnewsroom.consilium.europa.eu

Photographic library on www.consilium.europa.eu/photo for photos in high resolution.

* * *

Ukraine and Eastern Partnership

The Council will take stock of developments in the Ukraine and follow-up on the extraordinary meeting of EU Heads of State and Government on 6 March and on the extraordinary FAC of 3 March. Ministers will discuss an EU response to the developments, ahead of a meeting of the European Council on 20/21 March. Wider issues related to the EU's Eastern Partnership may also be raised during the debate.

At their extraordinary meeting on 6 March, EU Heads of State or Government strongly condemned the violation of Ukrainian sovereignty and territorial integrity by the Russian Federation and called for an immediate withdrawal of armed forces to their areas of permanent stationing. They also considered the decision to hold a referendum on the future status of the Crimea contrary to the Ukrainian constitution and therefore illegal.

For the EU, the solution to the crisis in Ukraine must be based on the territorial integrity, sovereignty and independence of Ukraine. Such a solution should be found through negotiations between Ukraine and the Russia federation, for instance through a so-called "contact group".

At the same time, leaders decided to take action. They suspended bilateral talks with the Russian Federation on visa matters as well as talks on a new EU-Russia agreement. European G8 members and the EU have also suspended their participation in the preparations for the G8 summit in June in Sotchi.

Moreover, in the absence of talks between the governments of Ukraine and Russia and if they do not produce results in a limited timeframe, the EU will decide on additional measures, leaders stated. Preparatory work on such measures has been on-going.

Leaders also agreed that further steps by Russia to destabilise the situation in Ukraine would lead to additional and far reaching consequences for relations between the EU (and its member states) and the Russian Federation in a broad range of economic areas.

Heads of State and Government welcomed a package of support measures presented by the Commission last week, including overall support of at least € 11 billion over the coming years from the EU budget and EU-based international financial institutions. It also comprises the granting of autonomous trade preferences to Ukraine so as to advance the application of certain provisions of the Association Agreement on a deep and comprehensive free trade area.

Leaders in addition decided to sign very shortly the political chapters of the EU-Ukraine Association Agreement while reiterating their commitment to sign the full agreement including the deep and comprehensive free trade area. See statement by the Heads of State or Government and factsheet on EU-Ukraine relations.

The Association Agreements with Moldova and Georgia were initialled at the Vilnius Eastern Partnership summit in November 2013. Their signature is to take place as soon as possible and before the end of August 2014. See European Council conclusions of December 2013 (para 47).

The EU's Eastern Partnership was launched at the Prague summit in May 2009. It concerns six Eastern partner countries: Armenia, Azerbaijan, Belarus, Georgia, the Republic of Moldova and Ukraine. Its objectives include accelerating political association and deepening economic integration with the Eastern European partner countries. The EU supports reforms in the partner countries aimed at consolidating democracy, the rule of law, respect for human rights and an open market economy. At the same time, it offers gradual integration into the European economy, greater mobility for citizens and closer political ties. Between 2010 and 2013, EUR 1.9 billion were allocated to support its implementation.

Bosnia and Herzegovina

The Council will discuss the situation in Bosnia and Herzegovina. The High Representative will brief ministers about her recent trip to Sarajevo where she discussed the situation with politicians and members of civil society. See her statement at the conclusion of the trip.

In October 2013, the Council expressed its serious concern at the on-going failure of the Bosnia and Herzegovina political leaders to implement the ruling of the European Court of Human Rights in the Sejdić/Finci case and stressed that the current lack of a solution is preventing Bosnia and Herzegovina from further progress towards the EU. It also reiterated its unequivocal support for Bosnia and Herzegovina's EU perspective as a sovereign and united country  enjoying full territorial integrity. See Council conclusions.

Middle East peace process

The Council will discuss the Middle East peace process. The High Representative will brief ministers on what the EU can do to support the talks.

The EU fully supports the on-going efforts of the parties and of the US. In December 2013, the Council reiterated the EU's readiness to contribute substantially to post-conflict arrangements for ensuring the sustainability of a peace agreement. "The EU will provide an unprecedented package of European political, economic and security support to both parties in the context of a final status agreement," the Council said in conclusions. The on-going work to define the  details of the EU's offer will be the subject of the debate by ministers. See Council conclusions of 16 December 2013.

Syrian conflict and regional context

The Council will consider the latest developments in the Syrian conflict, in particular the humanitarian situation following the adoption of a UN Security Council resolution on the humanitarian situation on 22 February, the growing terrorist threat and the state of play in diplomatic efforts to bring an end to the crisis.

For the EU, the only solution to the conflict is a genuine political transition, based on the full implementation of the Geneva Communiqué of 30 June 2012, and preserving the sovereignty, independence, unity and territorial integrity of Syria.

The EU and its member states have been quick to support the destruction of Syria's chemical weapons. The EU is the largest financial contributor to the Organisation for the Prohibition of Chemical Weapons (OPCW) and supports its work towards the destruction of Syria's chemical weapons stockpile, including through the provision of armoured vehicles and satellite imagery.

Individual member states have also provided resources to assist the destruction programme. The EU and its member states are the largest humanitarian donor for the Syrian crisis. The total response from EU and member states to the crisis stands now at € 2.6 billion.

For more details on EU positions and restrictive measures, see factsheet European Union and Syria.

EU-Africa summit

The Council will be briefed about preparations for the 4th EU-Africa summit, which is to take place in Brussels on the 2-3 April under the theme "Investing in people, prosperity and peace". The European Council of 20/21 March will also discuss the summit preparations.

The EU-Africa summit will bring together the Heads of State and Government of the European Union and the African continent, together with the EU and African Union institutions. It will illustrate how EU-Africa relations have evolved over the past years, based on the Joint Africa-EU Strategy of 2007, which established a partnership of equals going beyond development to tackle challenges of common interest, including political, economic, investment and trade issues.

Leaders will discuss ways to deepen co-operation under the three areas identified in the summit theme, i.e. people, prosperity and peace. They will also address investment, climate change, prosperity, and ways for stimulating growth and create jobs, and will take stock of ongoing and future cooperation in the various fields covered by the Joint Africa-EU Strategy. The issue of migration as well as peace and security cooperation will also be on the agenda.

For more information, see the website of the EU-Africa summit.

Energy diplomacy

Over lunch, ministers will exchange views on EU energy diplomacy, in the presence of Energy Commissioner Günther Oettinger. Ministers are set to discuss the foreign policy implications of strategic choices made in the field of energy by relevant partners.

The shift in the global energy landscape creates new challenges and opportunities for EU foreign and security policy. The shale gas revolution in the US, the growing demand for energy in India due to its increasing population and the rise of gas as a source in China might have far-reaching political and economic consequences.

The debate follows previous exchanges among EU leaders and ministers about the external dimension of EU energy policy. The European Council of February 2011 asked the High Representative to take full account of the energy security dimension in her work and to reflect energy security in the EU's neighbourhood policy.

Other items

The Council is set to adopt several other items without discussion, including:

- European aid volunteers initiative

The Council is set to establish a European voluntary humanitarian aid corps which sets out a framework for joint contributions from European volunteers to support and complement humanitarian aid operations worldwide, as provided for in the Lisbon Treaty. See also legal text.

- Gulf of Guinea

The Council is due to adopt an EU strategy on the Gulf of Guinea, to support the efforts of the region and its coastal states to address the many challenges of maritime insecurity and organised crime. EU action will focus on four objectives: building a common understanding of the scale of the threat in the Gulf of Guinea and the need to address it; helping regional governments put in place institutions and capabilities to ensure security and the rule of law; supporting the development of prosperous economies in the coastal countries; strengthening cooperation structures between the countries of the region to ensure effective action across borders at sea and on land. The Council is to invite the EEAS and the Commission to put forward the actions necessary to deliver the strategy and report back annually on progress made.

- EU strategy for security and development in the Sahel

The Council is to adopt conclusions on the implementation of the EU strategy for security and development in the Sahel. The Council is set to welcome the progress made in implementing the strategy that it adopted in March 2011 and reaffirm the EU's objectives in the fields of security, development, peace-building, conflict prevention and countering violent extremism. It will invite the Commission and the EEAS to extend the implementation of the strategy to Burkina Faso and Chad while intensifying activities in Mali, Mauretania and Niger.

- EUCAP Mali

The Council is likely to adopt a crisis management concept for a civilian mission under the Common Security and Defence Policy to assist the internal security forces in Mali (EUCAP Mali) so as to enable the Malian state to ensure law and order as well as fight against terrorists, organised crime and cross-border trafficking. Once established, EUCAP Mali would deliver strategic advice and training for managers of the three internal security forces in Mali, i.e. the police, Gendarmerie and Garde nationale. A separate legal act - currently under preparation - is required for the mission to be formally set up.

- West Africa EPA development programme

The Council is set to adopt conclusions on West Africa's Economic Partnership Agreement development programme (PAPED). In the period from 2015 to 2020, the EU is committed to provide at least € 6.5 billion for activities linked to the PAPED. This is to be delivered through the European Development Fund, relevant instruments of the EU budget, contributions from member states and the European Investment Bank. See draft Council conclusions.

- South Sudan

The Council is to adopt conclusions on South Sudan, expressing its deep concern about the ongoing crisis in South Sudan, the grave human suffering it causes and its regional implications. It will call on all parties to immediately stop the violence and honour the Cessation of Hostilities agreement signed on 23 January. The EU firmly supports the mediation led by the Inter- Governmental Authority for Development.

- Central African Republic

The Council is due to adopt conclusions on the Central African Republic, encouraging the current authorities to continue the political transition. The EU is the main humanitarian and development partner of the Central African Republic. For more information, see fact sheet.

______________________

* This note has been drawn up under the responsibility of the press office

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 22:40
Dossier Mer Noire : Introduction

14 mars 2014 by · http://alliancegeostrategique.org

 

La mer Noire est une annexe de la Méditerranée, et plus précisément, du bassin oriental de cette dernière. Relativement isolée par son éloignement au Nord et par les détroits du Bosphore (de la mer Noire à la mer de Marmara) et des Dardanelles (de la mer de Marmara à la Mer Egée), elle a besoin d’être connectée au reste du système maritime « mondial » (selon comment s’entend la notion de « monde », les empires se concevaient « monde ») pour prospérer.

 

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 09:50
Un conflit militaire n’est plus impensable en Europe déclare la Pologne

En 2013, le Canada avait participé pour une première fois à un exercice de la série BAGRAM, en Pologne, qui réunit quelque 550 participants de trois pays, la Pologne, les États-Unis et le Canada (Armée polonaise)

 

15 mars 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

« La situation actuelle en Europe illustre qu’un conflit militaire, impensable il y a peu, pourrait avoir lieu », a déclaré le ministre de la Défense polonais Tomasz Siemoniak, alors que la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie ont signé un pacte militaire commun.

 

Et, alors que l’impensable, hélas, est devenu pensable, les quatre pays d’Europe centrale ont signé vendredi 14 mars un pacte visant à coordonner leur stratégie de défense et créer une unité de combat commune au sein de l’OTAN et de l’Union européenne.

 

La crise en Ukraine a démontré l’importance « d’une coopération plus dynamique » entre les quatre pays de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie, ou V4) au sein de l’OTAN et de l’Union européenne, a ajouté le ministre polonais..

 

L’unité de combat « V4-UE », d’un effectif total de 3000 hommes, sera opérationnelle à partir de 2016. « Elle devrait fonctionner comme une unité régionale au sein des opérations de l’UE ou de l’OTAN », a précisé pour sa part le ministre hongrois de la Défense Csaba Hende.

 

Par cet accord, les quatre pays s’engagent aussi à se joindre à des exercices militaires communs et à coordonner leur budget défense.

 

Le V4 avait été créé en 1991 dans la ville hongroise de Visegrad afin d’assurer une coopération institutionnelle de ces pays dans leur procédure d’adhésion à l’Union européenne (UE), effective depuis 2004.

 

La Pologne, la Slovaquie et la Hongrie possèdent des frontières avec l’Ukraine, où habitent des minorités ethniques de ces pays, essentiellement dans la partie occidentale.

 

En outre, jeudi, le chef de la diplomatie hongroise Janos Martonyi avait déclaré que les pays de Visegrad étaient particulièrement vulnérables face à la situation ukrainienne et attendaient de l’UE une « solidarité » s’ils étaient affectés par de possibles sanctions économiques contre la Russie en raison de la crise en Crimée.

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 08:40
Le président ukrainien montre les crocs en tenue militaire


14.03.2014 JDD
 

L'INFO. Il a voulu marquer le coup. Le président ukrainien par intérim, Oleksander Tourtchinov, s'est rendu vendredi, en tenue de combat, sur un camp de manœuvres militaires. Il a affirmé que les nouvelles autorités de Kiev prenaient toutes les mesures possibles pour renforcer l'armée.

Ce week-end, la région de la Crimée doit voter pour décider de son rattachement ou non à la Russie. La tenue du scrutin est contestée par le pouvoir central.

 

"Des exercices réels". Élu par les députés de la Rada, le Parlement ukrainien, Oleksander Tourtchinov a rendu hommage aux soldats participant à des exercices au nord de Kiev qu'il est venu superviser, déclarant qu'ils "accomplissaient leurs tâches avec honneur".

"Aujourd'hui, sur ce camp d'entraînement, nous n'avons pas vu une sorte de spectacle, mais des exercices réels avec des unités de blindés et des unités aériennes mobiles œuvrant en tandem", a-t-il dit.

 

Revue de troupes. "C'est la principale conclusion que nous pouvons tirer aujourd'hui. Nous travaillons simultanément à renforcer nos forces armées et à renforcer notre Garde nationale nouvellement créée. Et je sais que tous les Ukrainiens nous aideront dans cet effort", a-t-il poursuivi devant les médias.

Des blindés, des hélicoptères d'attaque, des batteries de missiles sol-air et des munitions antichar ont servi lors de ces manœuvres, à deux jours du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie.De retour à Kiev, Tourtchinov a accusé Moscou de vouloir restaurer par la force l'ancienne Union soviétique. "Le conflit, a-t-il dit, est passé à un niveau supérieur: soit notre nouvelle et jeune démocratie triomphera, soit un rideau totalitaire tombera sur l'Ukraine."

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 00:11
Rostec official denial

 

14.03.2014 Rostec

 

Rostec does not confirm the information about the facts of use of the "Autobase" technical utility on the Crimea Peninsula

 

Rostec State Corporation  does not confirm the information concerning the facts of use of the "Autobase" technical utility on the Crimea Peninsula, which was published in a number of mass media. 

The State Corporation bears responsibility for the quality of its products but is by no means responsible for the relocation and the results of the use of the equipment supplied by the Corporation's organizations within the framework of contractors' orders. 

The abovementioned piece of information was originally published on the "Military Observer" Internet portal.

Thereby the complete responsibility for the correctness, authenticity and reliability of the published information lies upon the editors of the "Military Observer".

Rostec official denial
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 21:40
photo Northrop Grumman

photo Northrop Grumman

 

14 mars 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

 

Un drone militaire américain a été intercepté à haute altitude au-dessus de la Crimée et électroniquement abattu, a affirmé vendredi le groupe public russe d’armements Rostekhnologuiï (Rostec), rapporte l’AFP.

 

Le drone volait à environ 4.000 mètres d’altitude et était pratiquement invisible du sol. Il a été possible de rompre la liaison avec ses opérateurs américains grâce à un système radio-électronique, dit Rostec dans un communiqué qu’a pu consulter l’agence française.

Le communiqué, que l’Agence de presse a pu consulter avant qu’il ne soit retiré du site de Rostec, présentait l’appareil selon l’agence comme un drone de reconnaissance et de frappe.

L’appareil a effectué une descente et est tombé pratiquement intact entre les mains des forces d’autodéfense de Crimée, disait Rostec, qui précisait être le constructeur du système de lutte électronique utilisé, mais sans révéler pas qui l’avait utilisé dans cette affaire.

« Le drone MQ-5B faisait partie, à en juger par son numéro d’identification, de la 66e brigade américaine de reconnaissance militaire, basée en Bavière », indiquait encore Rostec.

La photographie sur le site de Rostec montrait, toujours selon l’agence, un drone en vol en gros plan, armé de deux petits missiles, et non les débris de l’appareil au sol après son interception présumée.

La flotte russe de la mer Noire à Sébastopol, en Crimée, est susceptible d’être équipée d’équipements de détection ou d’interception.

Des milliers d’hommes en armes, présumément des militaires russes, sont actuellement déployés en Crimée où Moscou soutient la tenue d’un référendum dimanche sur le rattachement à la Russie, après l’arrivée au pouvoir à Kiev d’une coalition pro-occidentale.

photo Northrop Grumman

photo Northrop Grumman

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:35
Ukraine: the view from China

 

Alerts - No17 - 14 March 2014 Camille Brugier, Nicu Popescu

With every new major international crisis, it does not take long for diplomats and observers to start wondering ‘what does China think?’. This is also true for the Crimean crisis. A few days into the crisis, the Russian foreign ministry announced that the Chinese and Russians shared ‘broadly coinciding points of view’ on the situation.

Looking to China for reassurance is driven by many factors. The rise of China as a global power is just one. China is often seen as a sort of ‘swing’ power, capable of tipping the political balance between entrenched political warriors whose preferences are already well known. In this sense, China’s reaction is not always predictable. After the 2008 Russia-Georgian war the Chinese maintained a stance of public politeness towards Russia but, in private, were clearly against the recognition of South Ossetia and Abkhazia – thereby helping Central Asian countries resist alleged Russian pressures to recognise the independence of those entities.

Hence the rush by Russia to claim Chinese support for its actions in Ukraine – in a bid to claim greater legitimacy for its military invasion of a post-Soviet state. However, the claim that China is on Russia’s side is spurious.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 06:35
"Spetztehnoexport" Signed Contract for the Supply 5 BTR-4 + 50 Options for More for Indonesian Marines Corps

BTR-4 (photo : Ukroboronprom)

 

14.03.2014 Defense Studies

DHZP "Spetztehnoexport" Signed Contract for the Supply of BTR-4 for Indonesian Navy

In late February 2014 in Jakarta, negotiations took place between the leaders of DHZP "Spetstehnoeksport" and the Ministry of Defense and the Navy Marine Corps Indonesia. During the meeting discussed the essential terms of the contract for the supply of 5 units BTR-4. Recall "Spetstehnoeksport" won the tender for the purchase of armored vehicles for the Navy of Indonesia's proposal BTR-4 of SE 'KMDB' them AA "Morozov"

The project contract was initialed by both parties. Currently, the process of harmonization of its national structures of the Ministry of Defence of Indonesia. It is expected that this contract will be transferred to the Ukrainian side.

It should be noted that this contract is the first step in the program purchase armored vehicles Indonesian Navy. If its successful implementation of an agreement for the supply of 50 such machines.

It is also worth noting that a victory in this project was obtained in hard competition with Russian special exporters.

(Ukroboronprom)

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 22:40
Des experts des attaques informatiques de l'OTAN présents en Ukraine (OTSC)

 

MOSCOU, 13 mars - RIA Novosti

 

L'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) a enregistré la présence d'experts des attaques informatiques de l'OTAN en Ukraine, a annoncé jeudi à Moscou le secrétaire général de l'OTSC Nikolaï Bordiouja.

"Nous voyons la présence d'experts de la lutte informatique de l'Alliance sur le territoire ukrainien (…). L'Ukraine sert de base pour organiser des attaques informatiques contre certains pays membres de l'OTSC", a indiqué M.Bordiouja.

Jeudi, le site internet de la Première chaîne de télévision russe a été la cible de deux attaques par déni de service dont au moins une était lancée depuis Kiev.

Ces derniers jours, les sites internet d'autres médias russes - la chaîne RT, l'édition d'actualités en ligne LifeNews, le quotidien Rossiïskaïa Gazeta et le holding médiatique VGTRK - ont aussi été victimes d'attaques informatiques de type DDos. Les médias concernés expliquent les attaques par leur politique éditoriale concernant les événements en Ukraine.

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, parfois qualifiée d'"OTAN russe", est une organisation politico-militaire qui regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 21:40
Ukraine: possible envoi de troupes dans l'est et le sud (officiel)

 

KIEV, 13 mars - RIA Novosti

 

La Garde nationale ukrainienne, formée jeudi sur la base des troupes de l'Intérieur et de militants du Maïdan, pourrait être prochainement envoyée dans le sud et l'est de l'Ukraine, régions refusant de reconnaître le pouvoir de Kiev, a annoncé le premier vice-premier ministre du pays Vitaly Iarema.

"L'envoi de militaires faisant partie de la Garde nationale dans le sud et l'est du pays est possible", a-t-il indiqué dans une interview de RIA Novosti, avant d'ajouter que ces troupes seraient engagées à la frontière russo-ukrainienne. 

"Dès que les rangs des militaires seront complétés et formés, nous les enverrons dans les régions du pays les plus criminogènes", a poursuivi M.Iarema. 

Le secrétaire du Conseil de sécurité et de défense nationale, Andreï Paroubiy, avait antérieurement annoncé qu'à ce jour la Garde nationale ukrainienne comptait déjà 32.000 hommes et que 20.000 soldats supplémentaires seraient engagés au cours des deux semaines à venir. 

Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février à Kiev. La Rada suprême (parlement ukrainien) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions et réformé la Constitution. Se proclamant toujours président légitime, M.Ianoukovitch, qui a trouvé refuge en Russie, a qualifié ces événements de "coup d'Etat".  

La république autonome de Crimée a refusé de reconnaitre le nouveau pouvoir à Kiev et a décidé de tenir le 16 mars un référendum sur son futur statut politique. Le parlement de la république autonome s'est prononcé pour le rattachement à la Russie

Cette décision, ainsi que le feu vert donné par le Conseil de la fédération (Sénat russe) en vue d'un éventuel recours à la force en Ukraine, ont provoqué une vive réaction de l'Occident. Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a prévenu la semaine dernière à l'issue d'un sommet extraordinaire de l'UE que Bruxelles pourrait introduire contre la Russie des sanctions de visas et des gels d'actifs si un dialogue entre Moscou et Kiev ne démarrait pas sous peu.   

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:50
source johnbrownnotesandessays

source johnbrownnotesandessays

 

 

BERLIN, 13 mars - RIA Novosti

 

La chancelière allemande Angela Merkel estime que la crise en Ukraine et le problème de la Crimée ne peuvent être réglés par voie militaire.

"Dans cette situation dangereuse et tendue, il faut chercher une issue à la crise. Ce conflit ne peut pas être réglé par la voie des armes. Le mode d'action militaire n'est pas une solution pour nous", a déclaré Mme Merkel.

Selon elle, le gouvernement allemand travaille intensément avec les autres pays de l'UE et les Etats-Unis pour mettre en place une mission d'observation internationale et un groupe de contact chargés d'apporter une solution politique et diplomatique au problème.

La chancelière a également rejeté tout parallèle entre la reconnaissance du Kosovo et la situation concernant la Crimée.

"On peut dire avec certitude que la situation d'alors [au Kosovo] n'a rien à voir avec ce qui se passe aujourd'hui en Ukraine", a conclu Mme Merkel.

Le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a indiqué mardi dernier que l'Union européenne pourrait examiner le 17 mars un nouveau train de sanctions contre la Russie si Moscou ne modifiait pas sa position sur la situation en Ukraine.

Moscou affirme pour sa part que dans le monde actuel où tous les pays sont interconnectés, le préjudice que ces sanctions pourraient occasionner serait réciproque. Le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch a déclaré à cette occasion que Moscou serait obligé de réagir aux sanctions occidentales et que sa réponse ne serait pas nécessairement symétrique.

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