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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:20
Entraînement franco-américain à Orange - photo Armée de l'Air

Entraînement franco-américain à Orange - photo Armée de l'Air

 

22/12/2015 Sources : CFA

 

Dans la semaine du 14 au 18 décembre 2015, les équipages de Mirage 2000C de l’escadron de chasse 2/5 «Île de France» se sont entraînés à des missions de Close Air Support (CAS – appui aérien rapproché) avec l’US Marines Corps.

 

Cet entraînement conjoint a également profité aux Mirage 2000D de la 3e escadre de chasse de Nancy et à des contrôleurs aériens avancés du centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA).

 

Les Foward Air Controller (FAC - contrôleurs aériens avancés) américains arment depuis quelques années une force de réaction rapide (U.S. Crisis Response Force) dans le sud de l’Espagne. Désireux d’entretenir leurs compétences et leurs qualifications, ils ont sollicité les chasseurs français basés à Orange pour s’entraîner à des missions air-sol sur le terrain. «C’est une opportunité que nous avons saisie immédiatement, rapporte le commandant G. de l’EC 2/5. Anciens pilotes d’attaque au sol, ils ont une immense expérience dans le domaine, acquise notamment en Afghanistan ou en Irak.»

 

Plusieurs missions de guidages ont eu lieu dans la région d’Orange, de jour comme de nuit pour s’exercer au travail sous jumelles de vision nocturne (JVN). De plus, trois jours étaient consacrés à des missions en patrouilles mixtes (Mixed Fighter Employment) avec les Mirage 2000D de l’escadron 3/3 «Ardennes» de Nancy. Ce format est déjà éprouvé dans l’opération Barkhane depuis juillet 2015, date à laquelle les chasseurs «bleus» ont rejoint les Mirage 2000D au Niger pour assurer des missions air-sol. Enfin, trois commandos spécialisés dans le guidage aérien actuellement en poste au CPOCAA ont également rejoint l’entraînement afin d’entretenir leurs qualifications et de s’aguerrir aux procédures propres à ce domaine de compétence.

 

Cette semaine a constitué un Warm Up de très grande qualité pour les équipages qui seront prochainement déployés en opérations extérieures.

 

Patrouille de Mirage 2000C au décollage - photo Armée de l'Air

Patrouille de Mirage 2000C au décollage - photo Armée de l'Air

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4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 21:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

03/12/2015 armée de Terre

 

Dans le désert du Qaïd, un paysage semi-montagneux, aride, des langues de sable et des températures avoisinant les  40°C.

 

Djibouti représente un contexte très proche des opérations actuelles. C’est là que se déroule l’exercice interallié Ouerka. Si vous souhaitez en savoir plus sur cet exercice, retrouver le TIM 269 en ligne mi-décembre sur Calaméo.

 

Note RP Defense: voir OUERKA 2015  - Marines et 5e RIAOM au contact dans le désert Djiboutien.

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 22:30
USS Kearsarge embarked Marine Corps AV-8B Harrier strikes ISIL


19 nov. 2015 by US Navy

 

ARABIAN GULF (Nov. 19, 2015) An AV-8B Harrier assigned to Marine Medium Tiltrotor Squadron (VMM) 162 (Reinforced), 26th Marine Expeditionary Unit (26th MEU), launches from the amphibious assault ship USS Kearsarge (LHD 3) to conduct their first missions over Iraq in support of Operation Inherent Resolve. Kearsarge is deployed to the U.S. 5th Fleet, supporting Operation Inherent Resolve, the effort to degrade and ultimately destroy ISIL; maritime security operations; and regional theater security cooperation efforts. (U.S. Navy video/Released)

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 20:35
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

12/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 15 octobre au 3 novembre 2015, dans le cadre des activités de coopération militaire bilatérales entre l’US Marines Corps Forces Pacific et les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le Régiment d’infanterie de Marine Pacifique Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC) a accueilli un détachement de Marines à Plum.

 

Americal est l’une des activités du programme de coopération opérationnelle régionale mis en œuvre par les FANC avec leurs partenaires sur le théâtre Pacifique. Son objectif principal est d’entretenir et d’approfondir l’interopérabilité entre les unités françaises et américaines en développant l’échange de savoir-faire tactiques, techniques et la mise en commun des procédures.

 

À cette occasion, un détachement d’une soixantaine de Marines (trois sections d’infanterie et une équipe commandement) appartenant au 1st battalion 2nd Marines basé à Okinawa, a bénéficié des infrastructures et des compétences du RIMaP-NC pour suivre un stage d’infanterie légère. Chacune des quatre semaines du stage était centrée sur un domaine spécifique : savoir-faire de base et préparation physique, combat et aisance aquatique, techniques commando (organisée au centre d’instruction nautique commando), séances de tirs et initiation à la plongée.

 

Une cérémonie au cours de laquelle les Marines ayant réussi les épreuves se sont vu remettre l’insigne commando du centre d’instruction nautique commando, a clôturé Americal.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Les FANC constituent le point d’appui central du théâtre Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un Groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principales missions d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’État.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 08:55
photo USMC

photo USMC

 

10.11.2015 source SHD
 

10 novembre 496 : bataille de Tolbiac (Allemagne actuelle). Le roi Clovis écrase les Alamans près de l'actuelle ville de Cologne après avoir invoqué le Dieu de sa femme Clothilde. En remerciements de cette victoire, il décide de se convertir au christianisme et est baptisé par l'évêque Saint Rémi.

 

10 novembre 1444 : bataille de Varna (Bulgarie). Défaite des croisés (d'Europe centrale) face aux Turcs trois fois plus nombreux, sur les bords de la mer Noire. Le roi de Hongrie Ladislas III meurt dans la bataille. Constantinople sera conquise 9 ans plus tard.

 

10 novembre 1555 : Villegagnon débarque dans la baie de Guanabara (actuel Brésil). L’amiral français tente de créer une colonie avec 600 colons. Les Portugais détruisent ce qui reste de l’implantation française le 20 janvier 1567.

 

10 novembre 1567 : bataille de Saint-Denis. Les protestants commandés par le Prince de Condé et l’amiral de Coligny ont tenté d’enlever Charles IX, le roi de France près de Meaux(28 septembre)  et suite à leur échec assiègent Paris. Le connétable Anne de Montmorency effectue une sortie pour briser le siège et est mortellement blessé d’un coup de feu dans le dos. Sur son lit de mort et en réponse à son confesseur: « Pensez-vous que j’aie vécu près de quatre-vingts ans pour ne pas savoir mourir un quart d’heure ? »

 

10 novembre 1775 : le congrès des Etats-Unis créé les Continental Marines (ancêtre du USMC). Au cours de la guerre d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique, deux bataillons d'infanterie embarquée, sont constitués par le Congrès le 10 novembre 1775 sous le nom de Continental Marines. Ceux-ci sont démobilisés dès 1785 mais la « quasi-guerre » (quasi-war) contre la France amène le Congrès à voter un texte recréant un corps de fusiliers marins le 11 juillet 1798. Ce corps sera alors placé sous l'autorité directe du Secrétaire à la Marine.

 

 

10 novembre 1936 : décès de Louis Gustave Binger (à 80 ans). Capitaine issu du rang et premier gouverneur de la Côte d'Ivoire (1893-1895), il est l'un des plus grands explorateurs français de l'Afrique. Il a notamment sillonné durant 2 ans la boucle du Niger (1887-1889) réalisant une moisson d'observations scientifiques qui lui ont valu l'attention de l'Académie française (pour ses ouvrages) ou encore de Jules Vernes. Il a aussi mené durant 2 ans une mission destinée à établir la frontière entre la Côte d'Ivoire et le futur Ghana (1892-1893). Malade, il rentre en métropole où pendant 10 ans, il est directeur des Affaires d’Afrique au Ministère des Colonies (1897-1907). Une ville de Côte d'Ivoire porte son nom.

 

10 novembre 1940 : entrée des Forces françaises libres dans Libreville (Gabon). Le colonel Leclerc à la tête d’un groupement interarmes organisé autour de la 13ème DBLE entre dans Libreville et bouscule les troupes vichystes.

 

10 novembre 1951 : début de la bataille de Hoa Binh (Guerre d'Indochine). « L’opération Tulipe est la phase préparatoire à l’opération Lotus qui elle est l’opération sur Hoa Binh. L’opération Tulipe vise à l’occupation de la trouée de Cho Ben : c’est une opération de couverture. Tulipe est déclenchée le 10 novembre, l’opération Lotus commence le 13 au soir avec le débouché de la colonne motorisée. Hoa Binh est occupée par les parachutistes (1er, 2e et 7e bataillons de parachutistes coloniaux) le 14 novembre qui sont rejoints dans l’après-midi par les premiers éléments des formations terrestres. Par ailleurs, le pays Muong n’est pas pris en tenaille. Hoa Binh est un abcès de fixation, un centre de résistance dont le but est d’attirer le corps de bataille viêt. Avec des résultats plus ou moins heureux. Les pertes françaises ont été sous-estimées : 436 tués + 458 disparus (dont beaucoup sont morts) et 1 360 blessés. C’est une estimation basse ». CDT Yvan Cadeau (SHD).

 

10 novembre 1977 : Luna 17 alunit. La sonde soviétique dépose en douceur sur la Lune un véhicule automatique équipé d’un réflecteur laser français.

 

10 novembre 1988 : révélations sur le F-117 Stealth. Une série d’accidents du bombardier furtif américain oblige l’US Air Force à révéler l’existence de ce fleuron technologique qui vole de manière opérationnelle depuis 1983. Retiré du service en 2008.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 18:45
Opération Barkhane: First Operational Helicopter Refueling

The French air force has carried out its first operational in-flight refueling of a helicopter when a US Marine Corps KC-130 tanker refueled a French AF Caracal in Africa. France currently lacks suitable tankers of its own. (French AF photo)

 

Nov 8, 2015 defense-aerospace.com

(Source: French air force; issued Nov 6, 2015)

 

In late October, a Caracal helicopter belonging to the 1/67 "Pyrénées" squadron detached to N'Djamena (Chad) was refueled in flight by an American C-130 Hercules.

The vastness of the Sahel desert, and the long distances involved, are a major logistical challenge for the airmobile force that is continuously supporting the troops deployed on combat operations on the ground. In-flight refueling of helicopters overcomes much of this constraint.

Operated to transport supplies and maintenance personnel, Caracal now offers the airmobile component the benefit of a longer operational range. This in-flight refueling by an American C-130 opens up new possibilities in terms of planning and conducting operations.

The airmobile component of the Barkhane Force has 17 helicopters, spread over bases in Gao, N'Djamena and Madama. Over 5,000 flight hours have been logged on missions to support and assist the deployment of combat forces throughout the Sahel-Saharan strip.

photo Armée de f'AIr

photo Armée de f'AIr

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 20:45
photo EMA

photo EMA

 

05/11/2015 Sources : État-major des armées

 

À la fin du mois d’octobre 2015, l’escadron d’hélicoptères 01.067 « Pyrénées » qui arme le détachement de N’Djamena a effectué un ravitaillement en vol d’un Caracal par un C130 Hercules américain. Ce premier ravitaillement en vol réalisé en opération extérieure ouvre ainsi les portes à de nouvelles possibilités en termes de planification et conduite des opérations.

 

En effet, dans l’immensité du désert du Sahel, les élongations constituent un défi majeur logistique pour la force aéromobile qui vient sans discontinuer appuyer les troupes engagées au sol. Le ravitaillement en vol des hélicoptères permet de s’affranchir de cette contrainte.

Le déplacement des hélicoptères et le soutien logistique apporté constituent une manœuvre complexe dans une zone aussi grande à couvrir. Le ravitaillement en vol, conjugué au transport de fret et des mécaniciens, offre désormais à la composante aéromobile une allonge beaucoup plus importante. Le domaine d’intervention des hélicoptères est alors démultiplié et ne rencontre plus d’autres limites que les capacités physiologiques de l’équipage et les contraintes météorologiques.

La composante aéromobile de la force Barkhane dispose de 17 hélicoptères répartis sur les bases de Gao, N’Djaména et Madama. 5 000 heures de vol ont été effectuées permettant d’appuyer et de compléter l’engagement de la force sur l’ensemble de la bande sahélo-saharienne.

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA

photo EMA

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 13:35
FANC : Visite des Marine Corps Forces Pacific à Nouméa

 

21/10/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 8 au 10 octobre 2015, le Lieutenant General John A. TOOLAN Jr., Commander U.S. des Marine Corps Forces, Pacific (MARFORPAC), s’est rendu à Nouméa, accompagné de 5 personnes, dont son conseiller politique, l’officier en charge de l’Océanie au sein d’USMC (US Marine corps) Pacific et du représentant des sous-officiers au sein d’USMC Pacific.

 

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la coopération opérationnelle bilatérale entre la France et les Etats-Unis. Ces dernières années, elle s’est accentuée plus particulièrement dans le Pacifique qui constitue une zone d’intérêt stratégique renforcée pour notre partenaire. Après  une visite officielle en Australie, le déplacement du LTG John Toolan en Nouvelle-Calédonie  visait à renforcer la connaissance mutuelle entre MARFORPAC et les FANC.

 

FANC : Visite des Marine Corps Forces Pacific à NouméaFANC : Visite des Marine Corps Forces Pacific à Nouméa

L’après-midi du 8 octobre a été consacrée à un entretien avec le commandant supérieur, ainsi qu’à une présentation des FANC au sein de l’état-major interarmées à Nouméa. La journée du 9 octobre a été, quant à elle, dédiée aux moyens d’instructions dont dispose le Régiment d’infanterie de marine du Pacifique Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC). Cela a été l’occasion de suivre un parcours de tir section au niveau du complexe de tir du RIMaP-NC à Plum, une présentation du centre d’instruction nautique commando à Nouméa, assortie d’une démonstration d’un groupe sur la piste aquatique. Le Lieutenant General John A. TOOLAN Jr. a quitté la Nouvelle-Calédonie le 10 octobre en début de soirée pour rejoindre Honolulu.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du théâtre Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un Groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principales missions d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’État.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 06:20
NAMMO Receives 1st Delivery Order for SMAW Ammunition Contract

 

Oct 14, 2015 ASDNews Source : Nammo AS

 

The US Army Single Manager for Conventional Ammunition (SMCA) based at Picatinny Arsenal New Jersey, announced the first award on the USMC Shoulder launched Multipurpose Assault Weapon (SMAW) Ammunition Contract worth over MUSD 42.7. Nammo was awarded Delivery Order 1 by the SMCA to provide SMAW Common Practice Rocket (CPR) ammunition to the US Marine Corps.  This is the first delivery order against the 5 year contract which has potential for deliveries of three types of 83mm SMAW Ammunition.

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 16:50
Carrier Strike - Royal Navy


15 oct. 2015 by Royal Navy

 

Rear Admiral Graham Mackay talks about the capability of the new aircraft carriers.

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 18:45
photo FFDj - C. Veron / Armée de Terre

photo FFDj - C. Veron / Armée de Terre

 

14/10/2015 Sources : État-major des armées

 

L’exercice Ouerka 2015, conçu et conduit par le 5e Régiment interarmes d’Outre-mer (5e RIAOM), s’est déroulé du 21 septembre au 7 octobre 2015 à Djibouti et a réuni plus de 300 militaires français du 5e RIAOM et Marines US de la 15th Marine Expeditionary Unit (15th MEU). L’entraînement visait à parfaire la préparation opérationnelle au combat interarmes en zone désertique des unités terrestres déployées à Djibouti. Il participe aussi à la coopération bilatérale avec les forces américaines qui a pour objectif de développer l’interopérabilité des unités.

 

Le 3e escadron du 5e RIAOM et les soldats de la 15th MEU ont armé un sous-groupement tactique interarmes mixte pour conduire une opération offensive de contrôle du massif de Koron-Ouerka. Les troupes au sol ont été appuyées par un sous-groupement aéromobile composé d’hélicoptères français (Puma et Gazelle) et américains (Huey et Cobra).

 

Les unités ont réalisé une phase d’aguerrissement et de combat à pied avant de s’entraîner au tir et à la manœuvre sur les matériels français (AMX10 RCR et mortier de 120 mm) et américains (LAV 25 pour Light Armored Vehicle) armant les unités basées sur la base avancée temporaire désert implantée dans le désert du Qaïd.

 

Un exercice de synthèse auquel ont participé les forces spéciales de Djibouti a constitué l’aboutissement de l’entraînement qui, d’après le lieutenant-colonel (USMC) Greeley de la 15th MEU de « mettre en valeur l’interopérabilité à tous les échelons de commandement et de permettre le partage des bonnes pratiques et le développement de la fraternité d’armes ».

 

L’ensemble des participants s’est ensuite vu décerner le brevet du 124e stage de l’école du désert des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. À ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. De plus, les forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent l’armée Djiboutienne dans ses efforts pour  renforcer ces capacités militaires en général, dont en particulier la capacité à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj contribuent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo FFDj - C. Veron / Armée de Terrephoto FFDj - C. Veron / Armée de Terrephoto FFDj - C. Veron / Armée de Terre
photo FFDj - C. Veron / Armée de Terre

photo FFDj - C. Veron / Armée de Terre

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 07:20
Marines: USMC More Vulnerable To Extinction

Los Angeles, Calif - Marine Raiders with 1st Marine Raider Battalion, U.S. Marine Corps Forces, Special Operations Command, transition out of the water during a simulated underwater assault force night-raid in Los Angeles, California, Sept. 3, 2015. - photo USMC

 

October 13, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Marine Corps is at war with itself over how to handle the future. Many marines have noticed that their traditional (for over a century) role as the overseas emergency force has been quietly taken over since the 1980s by SOCOM (Special Operations Command). It wasn’t until 2005 that the marines officially assigned its 2,600 strong Marine Special Operations Command, to SOCOM. This was in belated recognition that SOCOM, when it was formed in 1986 was indeed the most effective way to manage and use all the special operations units in the American military. Back then there was resistance from all the services, except the army (which had the most special operations troops mainly in its Special Forces.) But the Secretary of Defense overruled the services, and, by 1990, the navy (SEALS) and air force (special aircraft and pararescue troops) had assigned their special operations units to SOCOM control. The marines resisted and got away with it by insisting they didn't have any "special operations" troops or that "all marines are special operations troops," (depending on what day you asked them.)

 

By late 2001, it was obvious even to the marines that SOCOM was where the action was, and the marines wanted in. After four years of haggling and negotiation, the marines were in with a combination of traditional commandoes, long range recon, and "ranger" type forces. There are also support troops (dog handlers, interrogators and interpreters, intelligence analysts, supply and transportation) as well as a training unit (to instruct foreign troops, a job the marines have been helping the army Special Forces with already.) The marines also agreed to provide, as needed, other marine units that are trained to perform jobs SOCOM needs done. The marines have long had their infantry battalions train some of their troops to perform commando type operations (raids, hostage rescue and the like.) This was done so those battalions, when serving on amphibious ships at sea, had some capability to handle a wider range of emergencies (like getting Americans out of some foreign hot spot.)

 

At the time some observers (including a few marines) thought that the marines might contribute more forces to SOCOM in the future, or perhaps the entire Marine Corps would join SOCOM and take it over. That last jest was based in reality as before World War II the Marine Corps was the “special operations” force you called in for emergencies overseas. That changed during World War II but many American marines noted the different path taken by the British Royal Marines after the war. After 2001 many American marines thought it might be a good idea to copy their brethren, the British Royal Marines, and convert themselves to a commando force.

 

During World War II the Royal Marines had turned themselves into the Royal Marine Commandos. After 1945, when Britain disbanded all of its commando units, the Royal Marines retained three of their infantry battalions as Royal Marines Commandos (commando battalions). These three battalions have remained in service to the present, mainly because they always performed as advertised and were always in great demand.

 

The marines did change after World War II but in different ways. They gradually dropped their army-like divisional organization, using their three "division" headquarters as an administrative units for managing the battalion and brigade (2-4 battalions) size task forces for whatever assignments come their way. This worked quite well during the last two decades of the 20th century. After 2001 there was a new proposal to completely do away with the marine division. Note that the first one of these was organized in 1942 and six were active by 1945. The 2002 proposal had most marines trained more for commando operations rather than traditional infantry combat. This was a trend that was already present in marine training, although marines were still considered, first and foremost, elite ground combat troops. At the time there was a lot of resistance from marine veterans groups (over a hundred thousand marine veterans of World War II were still around then and they could be a feisty lot.) But the marines did have a tradition of constantly transforming themselves, something even old marines recognize and respect. Any such transformation had to wait because after 2003 (the Iraq invasion) the marines became a supplementary force for the army in Iraq and Afghanistan. Over the next decade the marines noted that they could not go back to what they were in 2002 because the army had become more like marines (highly trained and effective infantry) and the marines had become more like these new soldiers.

 

Many marines are concerned that more people will notice that SOCOM is now the marines of old and that the marines are not nearly as special and specialized as they used to be. To make matters worse in 2006 the U.S. Navy decided to create a new naval infantry force to do some of the jobs the marines had originally done but were now too busy being soldiers to take care of. By 2008 the navy had built a new ground combat force staffed by 40,000 sailors. This was NECC (Navy Expeditionary Combat Command), which was capable of operating along the coast and up rivers, as well as further inland. NECC units were already in Iraq by then and ready to deploy anywhere else they are needed. The 1,200 sailors in the EOD (Explosive Ordnance Disposal) teams are particularly sought after, because of increased use of roadside bombs and booby traps by the enemy. NECC has also organized three Riverine Squadrons which all served in Iraq. NECC basically consists of most of the combat support units the navy has traditionally put ashore, plus some coastal and river patrol units that have usually only been organized in wartime.

 

In light of all this many marines fear that any new effort by the politicians to eliminate the Marine Corps will succeed. The marines have been avoiding these extinction efforts for over a century mainly because they could demonstrate some unique abilities. Without that advantage the marines are vulnerable.

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 16:20
The U.S. Marines' G/ATOR radar system. Photo Northrop Grumman

The U.S. Marines' G/ATOR radar system. Photo Northrop Grumman

 

BALTIMORE, Oct. 12 By Richard Tomkins   (UPI)

 

A capability to detect and target ground-based weapon threats by the U.S. Marines' G/ATOR radar system is to be developed by Northrop Grumman.

 

The U.S. Marine Corp has tapped Northrop Grumman to develop and test a ground weapon locating capability for its AN/TPS-80 radar system. The AN/TPS-80 Ground/Air Task-Oriented Radar, or G/ATOR, is a ground-based active electronically scanned array radar system from Northrop Grumman with a scalable open system architecture and a compatibility with other U.S. command-and-control systems. Under the software upgrade contract, which is worth more than $58.7 million, Marines operators of the C/ATOR system will have a common hardware solution with the ability to switch between air surveillance, air defense, ground weapon locating, and air traffic.

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 07:20
Marines load ammunition into an Abrams tank. U.S. Marine Corps photo by Cpl. John M. McCall.

Marines load ammunition into an Abrams tank. U.S. Marine Corps photo by Cpl. John M. McCall.

Marines load ammunition into an Abrams tank. U.S. Marine Corps photo by Cpl. John M. McCall.

 

DULLES, Va., Oct. 9 By Richard Tomkins (UPI)

 

Orbital is to develop a new 120mm multi-purpose round for tanks under a first-phase development contract from the U.S. Army.

 

Next-generation, multi-purpose 120 millimeter ammunition is to be developed for U.S. Abrams tanks by Orbital ATK. The U.S. Army contract for first-phase development work is worth $16 million. "Our ammunition innovations like advanced kinetic energy penetrators and airbursting munitions are providing combat overmatch for our warfighters -- which is our company's mission," said Dan Olson, vice president and general manager for Orbital ATK's Armament Systems division, of the Defense Systems Group. "Our ability to innovate comes from a long history of creating new capabilities for existing systems through our expertise in fuzing, warheads and platform integration." Orbital ATK said the 120mm Advanced Multi-Purpose, XM1147 High Explosive Multi-Purpose with Tracer cartridge will replace four existing rounds, including those for defeating armor and breaching reinforced walls.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 16:50
Everything the light touches


22.09.2015  photo by Cpl. Justin T. Updegraff - U.S. Marine Corps

An M1 Abrams main battle tank provides security during the Combined Arms Company field exercise at Novo Selo Training Area, Bulgaria, Sept. 16, 2015. The CAC is a newly formed armor element supporting the Black Sea Rotational Force.

 

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 12:20
MV-22 Osprey at Morón Air Base - photo US DoD

MV-22 Osprey at Morón Air Base - photo US DoD

 

12.10.2015 Par Murielle Delaporte – V.A.

 

High-tech. Mi-avion, mi-hélicoptère, le “convertible” de transport tactique Bell Boeing V-22 a révolutionné les méthodes du combat aéromobile dans les forces américaines. Nous sommes montés à bord de cet aéronef futuriste. Reportage.

 

Aux commandes de son appareil, le colonel Michael Orr, commandant de l’escadron d’essai VMX-22 (Marine Operational Test and Evaluation Squadron 22), s’exerce inlassablement à l’approche tactique d’une zone censée être en territoire hostile : une bonne vingtaine d’atterrissages et de décollages effectués en boucle sur une petite prairie située au milieu des bois, quelque part en Caroline du Nord. Autant d’approches différentes permettant de tromper l’ennemi et d’échapper à une éventuelle menace sol-air — canons, mitrailleuses et autres missiles —, autant d’options rendues possibles par la technologie unique de ce curieux hybride d’hélicoptère et d’avion qu’est le V-22 Osprey… Pour les personnels habitués au Transall, le vieux cheval de bataille du transport tactique français, le seul point commun de la manoeuvre est le degré de nausée que peuvent parfois ressentir les passagers — dont l’auteur de ces lignes, bien que très confortablement assise sur la banquette latérale arrière… L’expérience s’avère vraiment unique lorsque, à pleine puissance, le V-22 s’arrache littéralement du sol, avec vue plongeante par la rampe de soute demeurée béante !

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:45
Djibouti: Marines et chasseurs à l'Ecole du désert

 

08.10.2015 par P. Chapleau - Lignes de Défense

 

L'exercice Ouerka 2015 a pris fin mercredi, au Centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Conçu et conduit par le 5e régiment interarmes d’Outre-mer de Djibouti, il avait débuté le 21 septembre avec la mise en place d'une Base Avancée Temporaire Désert (photo ci-dessus Adj Veron).

Ce type d’exercice, reconduit tous les quatre mois, vise à entrainer les unités au combat interarmes en zone désertique, dans un contexte interarmées et interalliés.

Outre un sous-groupement tactique interarmes français, articulé autour de l’escadron blindé du 4e Régiment de Chasseurs, près de 160 Marines de la 15th Marine Expeditionnary Unit de l'US Marine Corps ont également participé à cet exercice, soit plus de 300 soldats équipés d'AMX10 RCR, de mortiers de 120 mm et de LAV 25.

Petite innovation: l'intégration à l'exercice de l’équivalent d’un SGAM franco-américain (Puma, Gazelle, Huey et Cobra) apportant une capacité aéroterrestre (photo ci-dessous d'un tir de Hot par une Gazelle CC Roux).

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Enfin, l’intégration d’un élément des forces spéciales françaises a permis de travailler la coordination avec les forces conventionnelles.

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 16:35
photo J. Bellenand - Marine Nationale

photo J. Bellenand - Marine Nationale

 

07/10/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 27 septembre 2015, 82 militaires américains du corps des Marines ont débarqué du pétrolier ravitailleur de l’US Navy Lewis and Clark pour participer à l’exercice franco-américain de coopération militaire baptisé Koa Moana. Le détachement américain s’est entraîné durant une semaine au côté de militaires des Forces armées en Polynésie française (FAPF).

 

Cet exercice avait pour but de partager et développer des savoir-faire, des techniques mais également des procédures entre des hommes du Régiment d’infanterie de marine du Pacifique-Polynésie (RIMAP-P) et le corps des Marines sur un terrain d’entraînement en zone tropicale. Plusieurs activités se sont succédé faisant appel à toutes les compétences physiques et professionnelles des militaires : un exercice de  neutralisation, enlèvement, et destruction des explosifs (NEDEX), un entraînement au tir avec échange d’armement entre les Français et les Américains, un exercice d’extraction de blessés, une nuit en bivouac, un raid sportif… La semaine s’est achevée par une cérémonie de clôture le 2 octobre 2015 en présence du contre-amiral Morio de l’Isle, commandant supérieur des FAPF. Le détachement américain a quitté Tahiti le 4 octobre 2015.

 

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photo J. Bellenand - Marine Nationalephoto J. Bellenand - Marine Nationale

photo J. Bellenand - Marine Nationale

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 16:45
U.S., Senegal train on sea-to-land tactics

Compagnie Fusilier de Marin Commandos depart after raiding a simulated enemy position during the final exercise with U.S. service members in Dakar, Senegal, Sept. 17, 2015. The Marines and Coast Guardsmen with Special-Purpose Marine Air-Ground Task Force Crisis Response-Africa spent four weeks training the COFUMACO on basic infantry tactics and small-boat operations as a part of a Maritime Security Force Assistance mission to increase interoperability with Senegal’s and strengthen the bond between the partner nations. (U.S. Marine Corps photo by Cpl. Olivia McDonald/Released)

 

01 October 2015 by Africom - defenceWeb

 

U.S. Marines, Coast Guardsmen and Senegalese Compagnie Fusilier de Marin Commando completed a monthlong security cooperation exercise in Dakar, Sept. 17.

 

U.S. service members with Special Purpose Marine Air Ground Task Force Crisis Response-Africa trained with Senegalese forces focusing on infantry tactics and small boat operations. This is the final “train-the-trainer” iteration of the maritime security force assistance mission in Senegal.

 

The sea-to-land tactics exchanged over the four weeks of training are essential to the Senegalese commandos maintaining stability in the region.

 

“Most of our missions are very much like the training we’ve done," said Senegal 1st Lt. Goumalo Sall, a company commander with the commando unit. “Most of the time they are patrolling in the south Casamance region or throughout the river.”

 

The unit's leaders received training on the Marine Corps planning process to expand upon the French military system for planning that they’re familiar with. Although many of the commandos are experienced, the Marines still brought a lot to the table and helped to refine skills such as field craft and tactical site exploitation on land and formations and communication on small boats.

 

They conducted their final exercise, a beach raid, encompassing all the skills covered over the four weeks the Marines and Coast Guardsmen were in the country. After hitting the beach by boat, the commandos conducted reconnaissance and ambushed an enemy position before extracting via boats in another location.

 

“They were quick, discrete and aggressive,” Sall said. “At the end, they executed their mission just as we expected.”

 

The performance and improvement throughout the training is what makes the partnership with the Marines is so important, added Sall, who has worked with U.S. Marine Corps security cooperation teams since 2012.

 

“The work they did everyday went beyond our expectations,” said Sall. “That’s why we need the training with the Marines.”

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29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 15:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

24/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Pendant 4 jours, du 13 au 16 septembre, 20 parachutistes des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et 12 parachutistes américains du Force Recon Detachment B, appartenant au 15th Marine Expeditionary Unit basé au camp Lemonnier à Djibouti, ont participé à plusieurs séances de saut sur une zone de mise à terre semi-désertique proche de Djibouti-ville.

 

Les 32 parachutistes ont été largués depuis des moyens de transport français et américains selon les accords de coopération signés entre les deux nations : un Transall C160 et un Puma de l’escadron de transport 88, ainsi qu’un hélicoptère UH-1 de la force interarmées américaine dans la Corne de l’Afrique (CJTF-HoA).

 

Le programme prévoyait différents types de sauts: sauts à ouverture automatique, saut à ouverture commandée retardée et sauts en tandem. Ainsi, aux ordres du chef largueur du CJTF-HoA pour les sauts à partir de l’hélicoptère américain, et du chef largeur des FFDj pour les aéronefs français, les parachutistes ont sautés à 3 600 m à tour de rôle selon les procédures de leurs pays respectifs. L’escadron de protection de la Base aérienne 188, qui participait aux sauts, a également apporté son assistance en assurant durant deux jours le marquage de la zone.

 

Le bureau des instructeurs parachutistes des FFDj organise régulièrement des formations aux troupes aéroportées au profit des parachutistes français et alliés. La prochaine session sera consacrée aux élèves de l’Académie Militaire Interarmées de Djibouti.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. À ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. De plus, les forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent l’armée Djiboutienne dans ses efforts pour  renforcer ces capacités militaires en général, dont en particulier la capacité à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj contribuent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 12:20
photo USMC

photo USMC

 

September 14, 2015 by Mandy Smithberger & Dan Grazier - warisboring.com

 

Recent 'operational test' aboard USS 'Wasp' was no such thing

 

The Marine Corps triumphantly declared its variant of the F-35 combat ready in late July. In the public relations build-up, the recent demonstration of its performance on the USS Wasp was heralded as a rebuttal to the program’s critics.

But a complete copy of a recent memo from the Director of Operational Test and Evaluation (DOT&E) — obtained by the Project On Government Oversight through the Freedom of Information Act — reveals that a number of maintenance and reliability problems “are likely to present significant near-term challenges for the Marine Corps.”

The Marine Corps named this demonstration “Operational Test One,” but it turns out it wasn’t actually an operational test, “in either a formal or an informal sense of the term.” To count as an operational test, conditions should closely match realistic combat conditions.

But DOT&E found the demonstration “did not — and could not — demonstrate that Block 2B F-35B is operationally effective or suitable for use in any type of limited combat operation, or that it was ready for real-world operational deployments, given the way the event was structured.”

 

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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 16:20
CH-53K - photo Sikorsky

CH-53K - photo Sikorsky

 

11 September, 2015 BY: James Drew  - FG

 

Washington DC - The US Navy’s acquisition chief expects the Sikorsky CH-53K King Stallion to take its first flight this fall, placing the long-awaited milestone somewhere between now and November.

 

The super-heavy-lift helicopter for the Marine Corps has seen its share of technical troubles and delays, but the navy is still targeting an initial operational capability date of 2019.

The aircraft, which began development in 2006, was meant to be approved for “Milestone C” low-rate initial production and deployment in 2012, but the target was revised to 2016 due to budgeting and development issues with further postponements likely unless the first CH-53K can get off the ground this year.

“Right now we’re looking towards first flight of that aircraft this fall,” Sean Stackley, navy assistant secretary for research, development and acquisition, said at a Navy League forum 9 September.

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:20
L-ATV JLTV – photo Oshkosh Defense

L-ATV JLTV – photo Oshkosh Defense

 

26 août 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Le Pentagone a annoncé mardi avoir choisi le constructeur américain Oshkosh pour fabriquer le futur successeur du célèbre Humvee, le véhicule à tout faire de l’armée américaine, dans le cadre d’un contrat initial de 6,7 milliards de dollars.

 

Le Pentagone a ainsi écarté le géant de l’aéronautique et de l’armement Lockheed Martin et AM General, le fabricant du Humvee.

 

Le processus de sélection du futur « véhicule léger tactique » a été mené par l’armée de terre américaine (US Army), conjointement avec le corps des Marines, selon un communiqué de l’US Army.

 

La production est prévue pour commencer au premier trimestre 2016. L’armée de terre et les Marines doivent acheter 17.000 véhicules dans une première phase du contrat d’un montant de 6,7 milliards de dollars, selon le communiqué.

 

Le Pentagone devra confirmer une nouvelle tranche en 2018.

 

Au total, l’armée de terre prévoit d’acquérir environ 49.099 de ces véhicules jusqu’en 2040 et les Marines 5.500, selon le communiqué.

 

Le montant total du contrat passerait alors à 30 milliards de dollars, selon des estimations du Pentagone publiées par la presse américaine.

 

Le nouveau véhicule doit remplacer à peu près un tiers des Humvee en service dans l’armée de terre.

 

Oshkosh est un constructeur de camions et de matériels spécialisés militaires et civils (engins militaires, camions de pompiers, transport de béton ou de déchets), originaire de Oshkosh dans le Wisconsin (nord).

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 17:20
photo P.Dagois -Marine nationale

photo P.Dagois -Marine nationale

 

09/07/2015 Sources : EMA

 

Dimanche 5 juillet 2015, le centre d’expérimentations pratiques et de réception de l’aéronautique navale (CEPA) a conduit au large de Djibouti une campagne d’homologation de l’aéronef de transport américain Boeing V-22 Osprey  sur le BPC Dixmude.

 

L’objectif recherché au travers de cette homologation est de renforcer l’interopérabilité entre les marines française et américaine. Le BPC Dixmude a pour cela accueilli durant quelques heures un V-22 de l’US Marine Corps du 15ème MEU, provenant de l’USS Essex. Le V-22 est un convertible, c’est-à-dire un croisement entre un avion de transport militaire et un hélicoptère. Sa conception à rotors basculants lui permet de décoller et d’atterrir verticalement. En 2014, pour la première fois, une série d’appontages avait été réalisée sur  les BPC Dixmude puis Mistral. Un spot d’atterrissage spécifique au V-22 avait ainsi été choisi, à proximité du spot hélicoptère n°1, puis expérimenté. A des fins de progressivité, les aéronefs n’avaient alors stationné que quelques minutes sur le pont d’envol. Cette fois, en plus des appontages désormais « classiques » qui ont été réalisés, l’équipe du CEPA a conduit toute une série d’expérimentations afin de démontrer la capacité du BPC à accueillir un V-22 à des fins opérationnelles : embarquer et débarquer du personnel, ravitailler et stationner sur le pont d’envol moteurs coupés.

 

L’enjeu était donc de taille.

 

Les équipes du pont d’envol, de la passerelle et de la sécurité ont été briefés par leurs homologues américains. Lorsque le V-22 s’est approché, les marins ont été impressionnés par l’imposante machine, qui est venue se poser sur l’avant du pont d’envol du BPC Dixmude. C’est un grand pas qui a ainsi été fait, sous le contrôle de l’équipe du CEPA venue de métropole pour l’occasion, et qui a pris place à la fois à bord du BPC et du V-22. Les présentations de l’aéronef se sont succédées,  suivies de mesures de températures sur le pont. Le posé final a été mis à profit pour débarquer du personnel et effectuer un ravitaillement rotors tournants, avant de couper les moteurs – une première sur un BPC français.

 

Cette opération a été un grand succès : toutes les mesures et manœuvres prévues par le CEPA ont pu être réalisées. Les experts pourront se prononcer sur l’homologation et le cadre futur de l’interopérabilité du V-22 sur BPC. Good Job !

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photo P.Dagois & F. de Feydeau -Marine nationale

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 17:20
Les trois versions différentes du F-35 - photo  Lockheed Martin

Les trois versions différentes du F-35 - photo Lockheed Martin

 

17 juillet 2015 –Tristan Geoffroy

 

Le successeur du F-16 Fighting Falcon semble se diriger tout droit vers un mur. Est-il trop tard pour éviter de s’embourber dans ce gouffre financier?

 

Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours affectionné les avions, avec comme rêve secret, de pouvoir un jour les piloter. Aujourd’hui, c’est toujours les yeux pleins d’émerveillement que je regarde les derniers modèles de chasseurs évoluer dans le ciel dans des manœuvres qui étaient jusqu’à présent impossibles à réaliser.

Malheureusement, une ombre gigantesque est en train d’obscurcir ce beau tableau, celui d’un projet gargantuesque qui aura peut-être raison de certaines compagnies américaines, voire même de notre budget, le F-35.

Depuis les premières évolutions aériennes du Lockheed Martin F-35 Lightning II, les problèmes n’ont cessé de s’accumuler à un rythme alarmant. On pourrait comparer l’évolution du programme F-35 à l’œuvre de plusieurs docteurs Frankenstein qui ne se seraient jamais consultés, en travaillant cependant sur le même corps.

 

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