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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 16:45
Patrouille de contrôle de zone dans le 6e arrondissement de Bangui

 

6 septembre 2014 Crédits : EMA / Armée de terre

 

Le caporal Mathieu, occupe le poste de pilotage d'un véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) appartenant au groupement tactique interarmes (GTIA) Acier engagé au sein de la force Sangaris, à l'occasion d'une patrouille de contrôle de zone dans le 6e arrondissement de Bangui.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la mise en place de la MINUSCA.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 19:55
La DGA qualifie la version 32 tonnes du VBCI

 

02/10/2014 DGA Actualité

 

La direction générale de l’armement (DGA) a prononcé la qualification de la nouvelle version du VBCI le 24 septembre 2014. Cette nouvelle version affiche un poids total autorisé en charge (PTAC) de 32 tonnes, contre 29 tonnes pour la version initiale.

 

L’augmentation du PTAC permet de répondre aux menaces les plus dures des théâtres d’opération de l’armée de terre avec l’amélioration de la protection du véhicule (augmentation de la protection contre les mines, les IEDs, les roquettes, etc.), mais aussi de préserver l’évolutivité du véhicule et de permettre son adaptation aux besoins futurs.

 

La DGA qualifie la version 32 tonnes du VBCI

 

La qualification est le résultat d’essais indispensables pour garantir la sécurité et les performances du véhicule. Ainsi, pendant 18 mois, les  prototypes 32 tonnes ont franchi de nombreux obstacles et parcouru les pistes spéciales de la DGA, sablonneuses de Biscarosse, boueuses de Coëtquidan et Fontevraud, rocailleuses de Canjuers, enneigées de Valloire.

 

Le VBCI a été projeté en Afghanistan et au Liban en 2010, au Mali en début d’année 2013 et en République centrafricaine en 2014 où il a à chaque fois parfaitement rempli les missions qui lui étaient assignées à la grande satisfaction des troupes engagées.

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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 11:30
Liban : séquence d’entrainement pour les unités de Daman XXII

 

26/09/2014 Sources : Etat-major des Armées

 

Le 20 septembre 2014, au lendemain de l’ouverture du mandat XXII de l’opération Daman, les pelotons et les sections de la Force Commander Reserve (FCR) ont participé à une séquence d’entraînement.

 

Appelée « warm-up », cette séquence visait à consolider la capacité des patrouilles à conduire leur mission en sûreté dans l’ensemble des zones d’action : briefing patrouille, application des stirs(réactions standardisées à des incidents tactiques), réaction face à une attaque d’engins explosifs improvisés (IED, improvised explosive device) et mise en œuvre des transmissions.

 

Au sein de chaque atelier de la cellule instruction de la FCR, les casques bleus français ont mis en œuvre leur savoir-faire opérationnel, renforcé lors de leur mise en condition avant projection.

 

Les unités de la FCR ont également commencé à patrouiller dans le Sud-Liban afin de s’approprier l’ensemble de la zone de responsabilité de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL). Equipés de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) et de véhicules blindés légers (VBL), les militaires de la FCR effectuent quotidiennement des missions de reconnaissance, le plus souvent conjointement avec les forces armées libanaises (FAL). Le contingent français entretient ainsi une coopération étroite avec les FAL, coopération qui sera prochainement développée par un entrainement mutuel de niveau chef de patrouille.

 

Forte de près de 900 hommes et femmes, la FCR est directement placée sous les ordres du général Luciano Portolano commandant la FINUL. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la force. Stationnée à Dayr Kifa, à 43 kilomètres au nord-est de Naqoura, elle est en mesure d’intervenir sur court préavis dans toute la zone d’opération de la FINUL pour faire appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Réserve d’intervention opérationnelle, elle travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises.

Liban : séquence d’entrainement pour les unités de Daman XXII
Liban : séquence d’entrainement pour les unités de Daman XXII
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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 16:50
le FRES SV (crédits General Dynamics)

le FRES SV (crédits General Dynamics)

 

4 septembre, 2014 Guillaume Belan

 

A la veille du sommet de l’OTAN qui va se dérouler à Newport, près de Cardiff, le Ministère britannique de la Défense vient de passer commande auprès de General Dynamics pour 589 véhicules blindés Scout SV (Specialist Vehicle), un énorme contrat d’un montant de 4,4 milliards d’euros. Les livraisons à la British Army doivent intervenir entre 2017 et 2024. Cette commande est la concrétisation et marque le lancement de la production du futur blindé britannique chenillé. Il fait suite à la sélection en 2010 de GD qui s’est vu accorder le contrat de développement pour ce nouveau véhicule dans le cadre du programme de modernisation de l’armée terre britannique FRES (Future Rapid Effect System). Le Scout SV est le futur char médian de la cavalerie britannique. Il s’agit d’une plateforme blindée qui sera dérivée en plusieurs configurations: poste de commandement, reconnaissance, ambulance, dépanneur, véhicule du génie… Il s’agit en quelques sorte de l’EBRC britannique. 245 de ces véhicules Scout SV seront armés de la tourelle de 40 mm CTAI (JV entre BAe et Nexter). Ce contrat marque donc le lancement de la production du nouveau calibre téléscopé franco-britannique, qui armera également l’EBRC (Engin Blindé de Reconnaissance au Combat) français, successeur des chars ERC90 Sagaie et AMX10RC, qui doit être lancé bientôt. Les munitions seront réalisées par BAe pour le Scout et Nexter pour l’EBRC.

 

Le futur blindé de combat britannique enfin lancé


Pour mémoire le programme FRES est l’équivalent britannique du programme français Scorpion et concerne près de 4000 véhicules de différents types. Le MoD souhaite également un véhicule blindé de combat d’infanterie (FRES UV), pour lequel, le VBCI français est en lice..

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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 16:45
Sangaris : Arrivée des premiers VBCI en RCA (6 Aout)

 

18/08/2014 Sources : EMA

 

Le 6 août 2014, 2 véhicules blindés du combat d’infanterie (VBCI) sont arrivés, par avion Antonov, sur l’aéroport de M’Poko à Bangui. Déployés dans le cadre du renouvellement du parc de véhicules blindés de la force Sangaris, ils sont affectés au groupement tactique interarmes (GTIA) Acier.

 

La force Sangaris renouvelle progressivement son parc de véhicules blindés. Les véhicules de l’avant blindés (VAB)  initialement projetés avaient été déployés afin de répondre au besoin d’une intervention rapide dans un contexte humanitaire difficile. Ils seront rapatriés en France pour y suivre des opérations de maintenance. Dans le cadre de cette relève, 16 VBCI au total seront progressivement acheminés en Centrafrique d’ici début octobre, permettant d’armer une compagnie motorisée au complet.

 

Aujourd’hui déployé en République Centrafricaine, où la topographie et les conditions météo rendent tout déplacement en véhicule difficile, la grande mobilité et les capacités de franchissement du VBCI permettront à la force Sangaris de disposer de véhicules blindés aux capacités cohérentes avec sa mission.

 

Mobilité, rapidité, protection, observation et appui feu sont les caractéristiques principales de ce véhicule.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : Arrivée des premiers VBCI en RCA (6 Aout)Sangaris : Arrivée des premiers VBCI en RCA (6 Aout)
Sangaris : Arrivée des premiers VBCI en RCA (6 Aout)
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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 16:30
Liban : les militaires de la FCR et des FAL participent à l’exercice de tir conjoint Steel Storm

 

04/09/2014 Sources : EMA

 

Du 26 au 30 août 2014, à Naqoura, au sud du Litani, la Force Commander Reserve (FCR) a planifié et conduit l’exercice Steel Storm, un exercice biannuel de tir conjoint avec les Forces Armées Libanaises (FAL) et les contingents de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL). Cet exercice a permis de parfaire l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR, tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.

 

Durant quatre jours, les blindés français (Véhicule blindé léger (VBL), Véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI), véhicule de l’avant blindé (VAB)) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuses de calibres 7.62, 12.7 et 14.5 mm, canons de calibres 20, 23 et 25 mm et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir de Naqoura.

 

200 militaires des contingents espagnol, italien, serbe, irlandais et finlandais de la FINUL, ont également participé à cet exercice.

 

Le samedi, en présence des hautes autorités militaires libanaises du secteur Sud-Litani et de la FINUL, une démonstration dynamique axée sur l’emploi des réserves est venue clôturer l’entrainement. Ce scénario mettait en scène 250 militaires et plus d’une vingtaine de véhicules.

 

Tout au long de la semaine, la marine libanaise a, quant à elle, prit en compte la sécurisation de la zone maritime en y interdisant l’accès, pendant que la Maritime Task Force (MTF) de la FINUL assurait la surveillance des zones aérienne et maritime.

 

Au total, plus de 700 militaires et une centaine de véhicules ont participé à cet exercice au cours duquel 60 000 cartouches de tous calibres ont été tirées sur des cibles flottantes disposées en mer.

 

Forte de près de 900 militaires, la FCR est stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis, sur ordre direct du Force  Commander. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération de la FINUL, au profit des bataillons de casques bleus de 36 nationalités différentes, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Liban : les militaires de la FCR et des FAL participent à l’exercice de tir conjoint Steel Storm
Liban : les militaires de la FCR et des FAL participent à l’exercice de tir conjoint Steel Storm
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 12:45
Sangaris : première patrouille du VBCI dans Bangui

 

20/08/2014 Sources : EMA

 

Le 14 août 2014, deux sections du groupement tactique interarmes (GTIA) Acier ont effectué leur première patrouille en véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI) dans Bangui. Arrivés en République Centrafricaine depuis le 6 août, les VBCI ont très rapidement été opérationnels.

 

L'objectif principal de cette première patrouille était de vérifier la praticabilité des nombreux axes empruntés par la force Sangarisau cours de ses missions quotidiennes dans la capitale centrafricaine et ses alentours.

 

Malgré une topographie et des conditions météorologiques qui rendent tout déplacement en véhicule difficile, la grande mobilité et les capacités de franchissement du VBCI ont permis à ce véhicule de l’armée de Terre de sillonner la capitale sans encombre.

 

Le même jour, la patrouille a été appelée en renfort dans un quartier nord de Bangui, à PK12, où des affrontements entre groupes armés ont éclaté. La mobilité du VBCI a permis à la section d’arriver rapidement sur les lieux pour se positionner en posture dissuasive face aux groupes armés. Les capacités techniques du VBCI ont facilité l’opération en offrant au GTIA Acier une vision immédiate et complète du terrain d’engagement. Tous ces avantages que procure le VBCI, permettent à la force de pouvoir agir en appui de la MISCA, et très prochainement en appui de la MINUSCA, partout sur le territoire centrafricain où elle sera déployée.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : première patrouille du VBCI dans Bangui
Sangaris : première patrouille du VBCI dans Bangui
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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 11:54
Un chantier de Titan pour Le 19e RG

la section du lieutenant Mignot poursuit le dessouchage et la mise hors d’eau du tracé.

 

08/08/2014 A. Herlin - Economie et technologie

 

Depuis le 2 juin 2014, la 2e section de la 51e compagnie d’aide au déploiement lourd (51e CADL) du 19e régiment du génie (19e RG) effectue un chantier au profit du 1er régiment de tirailleurs (1er RTIR), à Epinal dans les Vosges.

 

Ce chantier doit aboutir à la création et à l'amélioration de plus de 800 mètres de piste en pleine forêt, pour permettre aux véhicules blindés de combat d’infanterie du 1er RTIR d’accéder à leur terrain de manœuvre sans emprunter la route civile. Après le déboisage effectué par l’office national des forêts (ONF), la section du lieutenant Mignot poursuit le dégagement du tracé. Une opération délicate compte tenu de la météo pluvieuse et de la nature du terrain. Prochaine étape, la pose des 4 000 tonnes de matériaux nécessaires à cet imposant chantier qui ne prendra fin qu’en 2015.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:45
Sangaris : acheminement de VBCI en République Centrafricaine

 

01/08/2014 Sources : EMA

 

Le 1er août 2014, dans le cadre du renouvellement du parc de véhicules blindés de la force Sangaris, 2 VBCI ont été acheminé depuis le régiment de tirailleurs d’Epinal vers la base aérienne 125 (BA 125) d’Istres. Dans les jours à venir, avec 6 autres VBCI, ils seront acheminés par avion Antonov 124 vers Bangui.

 

La force Sangaris doit procéder à un renouvellement de son parc de véhicules blindés. Certains VAB seront en effet rapatriés en France pour bénéficier d’une remise à niveau (retrofit).

 

Le parc blindé de transport tactique sera peu à peu recomplété par la mise en place de 16 VBCI. Cette opération est destinée à déployer un parc homogène et de dernière génération. Un  premier acheminement sera effectué du 5 au 11 août 2014. Un deuxième est prévu fin septembre, début octobre.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5 800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : acheminement de VBCI en République Centrafricaine
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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 12:45
VBCI du 1er RTir

VBCI du 1er RTir

 

01.08.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Selon l'EMA, "le 1er août 2014, dans le cadre du renouvellement du parc de véhicules blindés de la force Sangaris, 2 VBCI ont été acheminé depuis le régiment de tirailleurs d’Epinal vers la base aérienne 125 (BA 125) d’Istres. Dans les jours à venir, avec 6 autres VBCI, ils seront acheminés par avion Antonov 124 vers Bangui".

 

Et l'EMA de préciser: "Le parc blindé de transport tactique sera peu à peu recomplété par la mise en place de 16 VBCI. Cette opération est destinée à déployer un parc homogène et de dernière génération. Un premier acheminement sera effectué du 5 au 11 août 2014. Un deuxième est prévu fin septembre, début octobre."

 

Bonne nouvelle, diront certains, puisque les VAB poussifs stockés en Afrique et déployés depuis décembre vont être remplacés par des blindés climatisés. D'autres s'interrogeront sur le déploiement de tels véhicules qui contredit les annonces d'amélioration de la situation locale. Au moins 22 personnes ont été tuées en Centrafrique lors de violents affrontements mercredi et jeudi entre miliciens anti-balaka et ex-rebelles Séléka à Batangafo (300 km au nord de Bangui).

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 10:50
19 VBCI et 2 CAESAR mis à disposition de la British Army, sur le sol français, pour six mois

 

04.07.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Lors du point presse de jeudi matin au Mindef, il a été annoncé que dans le cadre du volet "équipement" des accords franco-britanniques de Lancaster House signés en 2010, l’armée de terre va mettre à disposition de l’armée de terre britannique 19 VBCI et 2 CAESAR pour une période de 6 mois. Ce projet baptisé "Brittany" démarrera à l'automne après la signature des aménagements techniques.

 

En janvier dernier sur le théâtre malien, le chef d’état-major de l’armée de terre britannique avait pu apprécier les capacités opérationnelles du VBCI. L’armée de terre britannique avait alors formulé une demande formelle de mise à disposition de matériel qui se concrétise.

 

La letter of interest, encadrant ce prêt, a été signée le 1er juillet à Londres par les deux CEMAT. Selon la Dicod, "l’opération aura un coût très limité pour la France", les Britanniques prenant en charge les coûts de fonctionnement et de formation.

 

Cette formation sera assurée par le 1er régiment de chasseurs d’Afrique (Canjuers). Un autre régiment français sera impliqué dans la formation qui aura aussi lieu à Mourmelon. Les équipements seront pris sur le parc de gestion (PEGP) et non pas dans le parc des régiments.

 

Une première phase consistera en la formation des pilotes britanniques. La seconde phase, dite de "mentoring", verra l'étude de l'adaptation de la doctrine britannique en fonction du VBCI et de ses capacités.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 07:56
photo lemainelibre.fr

photo lemainelibre.fr

 

24.06.2014 lemainelibre.fr

 

Le 2e RIMa a reçu 16 véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) le 6 juin et 16 autres arrivent ce vendredi.

Les marsouins ont commencé leur formation pour maîtriser ces engins qui remplacent les véhicules de l’avant blindé. Le régiment s’est notamment doté de quatre simulateurs comprenant plus de 200 programmes d’entraînement.

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 17:50
Titus - photo Nexter Systems

Titus - photo Nexter Systems

 

20 juin 2014 Par Hassan Meddah – Usine Nouvelle



En marge du salon Eurosatory, le directeur général délégué de Nexter Systems, prône une stratégie de rapprochement à l’échelle européenne pour son groupe. Il y a des synergies possibles avec les allemands RheinMetall et Krauss-Maffei ou encore l'italien Oto Melara.

 

L'Usine Nouvelle - De quel plan de charge disposent vos usines de Roanne et de Bourges?

 

Jean-Patrick Baillet - Nous ne sommes ni à crouler sous la charge, ni à bâtir des plans sociaux ou des plans de sauvegarde de l’emploi. La charge industrielle de Roanne et de Bourges est assurée pour 2014 avec la livraisons des derniers VBCI (véhicules blindés de combat d'infanterie, ndlr) à l'armée française. Elle sera vraisemblablement plus hypothétique en 2015.

Il nous faudra compter sur d'autres contrats exports - nous sommes par exemple short-listés au Danemark - pour compléter 2016 et 2017. L'export a représenté l'an dernier 30% de nos prises de commandes, et ce sera de l'ordre de 50% cette année. C’est une situation satisfaisante dans l’industrie en France en 2014. L'ère des arsenaux où l'on avait une vision à cinq ans et plus est révolue. 

 

Au niveau mondial, comment évolue le marché du véhicule blindé ?

Le besoin des armées évolue parce que les conflits modernes évoluent. Le scénario historique c’était le déboulé de chars russes dans les plaines de Champagne, auxquels il fallait faire un contrefeu. Aujourd’hui, c’est plutôt de rentrer dans des villes et d’éviter le tir du snipper caché au quatrième étage. Dans le premier cas, vous avez besoin d’une puissance de feu à l’horizontale qui perce du blindage de 30 cm d’épaisseur. Dans le second, vous avez besoin d’un véhicule capable de franchir des barricades improvisées, de tirer à 60° vers les étages, et de résister à l’agression d’IED (engins explosifs improvisés, ndlr).

D'où des véhicules plus légers, modulaires, plus mobiles, intégrant beaucoup plus de capteurs pour prévenir des agressions ennemies. Quand il n'y a qu'une poignée de fabricants dans le domaine des chars blindés, il y a environ une cinquantaine d'acteurs dans les blindés légers. Chacun se positionne sur des niches pour se différencier. Dans ce segment, nous avons par exemple conçu il y a cinq ans le 4x4 de type Aravis sur le segment du véhicule ultra-protégé. Nous positionnons aujourd’hui le Titus sur le créneau de véhicules très manœuvrant, à fort emport

 

N'y a t-il pas un risque que le marché des blindés devienne un marché de commodité ?

Il ne faut pas réduire le blindé à son habitacle renforcé, ce n’est que la partie visible de l’iceberg. La puissance de calcul et de traitement d’informations que vous trouvez dans ce type de véhicule est à peu près équivalente à celle d’un hélicoptère moderne ou d'un avion. Les systèmes de tracking des cibles en milieu terrestre sont plus sophistiqués car les cibles peuvent s’arrêter et faire demi-tour instantanément. Par ailleurs, la sollicitation en termes de vibrations et de contraintes thermiques de l’électronique dans un véhicule terrestre est bien supérieure à celle que subit un aéronef. 

 

Votre filiale Munitions vient de se renforcer avec les acquisitions des sociétés Mecar et Simmel du groupe Chemring. Pour quelles raisons ?

Il faut environ quinze ans pour développer un nouveau système d’armes, et Nexter consacre déjà près de 20% de son chiffre d'affaires à la R&D pour maintenir au meilleur niveau toutes les technologies intégrées dans un tel système. Aujourd’hui, l'échelle d’activités du groupe est un facteur de pérennité. Notre activité "munitions", soit jusqu’à présent 150 millions d’euros de chiffre d’affaires, était vouée à un repli progressif sur des niches car nous n’aurions pas été capables, vu notre taille et le cash flow dégagé, de maintenir nos efforts dans tous les domaines technologiques munitionnaires, notamment la précision, l’insensibilité et la propreté des munitions. Avec ces acquisitions, le pôle Munitions affiche un chiffre d'affaires d'environ 350 millions d'euros et rejoint le groupe des trois grands munitionnaires européens : BAE, Namo et Rheinmetall. 

 

Etes-vous favorable à une consolidation dans le domaine des blindés?

Aujourd’hui, deux grands groupes internationaux General Dynamics et BAE/United Defense dominent le marché de l’armement terrestre avec un chiffre d'affaires supérieur à 3 milliards d’euros. Avec des ventes trois fois inférieures, Nexter ne pourra pas indéfiniment suivre. Soit nous décidons de nous replier et de devenir le champion de telle ou telle niche, soit nous voulons rester un acteur global et alors l’effet de taille est incontournable. C’est l’objet de notre cible stratégique de recherche de partenariats. 

 

Quels seraient les avantages d'un rapprochement?

Il y a clairement des synergies potentielles avec les industriels qui ont des positionnements analogues aux nôtres, par exemple les allemands RheinMetall et Krauss-Maffei ou encore l'italien Oto Melara. Ils ont le même métier que nous. Les économies d’échelle seraient évidentes, nous mutualiserions les investissements et nous consoliderions les empreintes commerciales.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:55
photo EMA

photo EMA


18.06.2014 par Alain Ruello - LesEchos.fr
 

Beyrouth a retiré le VBCI de Nexter du mega-contrat d’armement en cours de négociation avec Paris.

 

Mauvaise passe pour Nexter : Beyrouth a retiré le modèle VBCI du mega-contrat d’achat d’armement en cours de négociation avec la France, a-t-on appris de sources concordantes. Six mois après avoir dû battre en retraite au Canada , le fer de lance des blindés d’infanterie de l’armée française attend encore son premier débouché à l’export. « C’est embêtant car cela aurait pu assurer une année de production », indique-t-on de source proche du groupe d’armement terrestre.

En visite en Arabie Saoudite fin décembre, François Hollande avait annoncé un accord par lequel Riad s’engageait à financer à hauteur de 3 milliards d’euros la modernisation de l’armée libanaise. Paris et Beyrouth ont depuis arrêté la liste des matériels , laquelle comportait le VBCI de Nexter, jusqu’à ce qu’il soit finalement retiré récemment. « Le véhicule serait trop lourd », avance-t-on de source proche des discussions.

Interrogé, Nexter n’a pas souhaité commenter. Pour le groupe d’armement terrestre, ce n’est pas une bonne nouvelle.Les 68 VBCI initialement envisagés pour le Liban auraient constitué un apport non négligeable pour son plan de charge, à l’approche de la fin de la production pour l’armée française. Le Canada ayant finalement annulé son appel d’offres, les équipes export misent sur les appels d’offres au Danemark, aux Emirats Arabes Unis ou encore en Australie, pour placer le VBCI.

En attendant, Nexter met le paquet sur son Titus, un blindé de transport de troupes plus léger, financé sur fonds propres et présenté comme une solution « économique, et non pas low cost » , par son PDG, Philippe Burtin. Prix d’entrée : 700.000 euros. «  Nous sommes une société européenne, avec une structure de coûts européenne. Nous sommes comparés aux Turcs ou aux Sud-coréens, mais nous ne pouvons pas jouer dans la cour du low cost  », a-t-il rappelé récemment.

Présenté pour la première fois au salon Eurosatory, le Titus se place entre le VBCI et l’Aravis, pouvant transporter jusqu’à 14 hommes pour différentes missions. Livrable à partir de 2016, il pourrait prendre le relais du VBCI si ce dernier n’accroche pas de contrat export. L’Arabie Saoudite, qui a déjà acheté l’Aravis, serait assez intéressée.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:56
Le VBCI équipé de la tourelle Oto Melara avec canon de 30mm. Photo Frédéric Lert.

Le VBCI équipé de la tourelle Oto Melara avec canon de 30mm. Photo Frédéric Lert.

 

17 juin, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Pour répondre aux clients potentiels export, Nexter présente deux nouveaux véhicules sur son stand. Le premier est une évolution de son VBCI équipé de la tourelle téléopérée Oto Melara accueillant le canon Mk44 d’ATK en 30mm et une mitrailleuse coaxiale de 7,62mm. Le canon ATK est équipé d’une double alimentation permettant de choisir entre deux types de munitions. Le deuxième VBCI exposé rassemble différentes évolutions issues des dernières compétitions internationales et opex. Les unes comme les autres apportant leur lot de remarques, suggestions et parfois critiques… On retiendra par exemple sur ce VBCI que le dernier essieu est directionnel pour réduire le rayon de braquage.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 10:51
Perception du VBCI au 2e RIMa

 

 

17.06.2014 Armée de Terre

 

Le 6 juin 2014, 13 véhicule blindé de combat de l'infanterie (VBCI) sont arrivés au 2e régiment d'infanterie de marine d'Auvours prés du Mans. Mais, dés le mois d'avril, des personnels de la 1re compagnie ont effectué un stage de trois semaines au 1er régiment de chasseurs d'Afrique à Canjuers. Tous les personnels du régiment devraient avoir fait leur stage avant la fin de l'année.

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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 16:55
Interview: Nexter Chairman and CEO Philippe Burtin

 

Jun. 14, 2014 - By PIERRE TRAN  - Defense News

 

Philippe Burtin, chairman and CEO of French company Nexter, recently received some good news: Defense Minister Jean-Yves Le Drian said the French Army’s long-awaited Scorpion modernization program will finally be launched this year.

 

The Scorpion project brings in much-needed development work on two key vehicles — the engin blindé de reconnaissance et de combat (EBRC), a fighting vehicle to replace the AMX 10RC and ERC 90; and the véhicule blindé multirole (VBMR), a troop carrier taking over for the aging véhicule avant blindé (VAB). A little-expected boon will be parallel studies for a planned modernization of the Leclerc tank, which neatly ties the engineer’s work on the turrets of the light and heavy combat vehicles.

 

The last of the 630 vehicles for the French véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) program will roll off the line in 2015, keeping pressure on Nexter to win export contracts for the infantry fighting vehicle which has seen action in Afghanistan and Mali.

 

Meanwhile, Burtin gives a hint of the need to address the European legal framework, seen as vital to allow a possible cross-border deal with partners that is considered vital for the future.

 

Q. President François Hollande has assured the French defense budget is safe from cuts and will follow the multiyear budget law. Do you feel reassured?

 

A. The prime minister, president and defense minister confirmed the outlook for the multiyear budget law. The minister then confirmed orders for the [Multi-Role Tanker Transport] and Scorpion. There was also a call for the ministry to improve program management. We are satisfied.

 

The defense industry has shown solidarity and we remain vigilant. What’s at stake is the ability to maintain the armed forces’ capability to remain operational and meet the operations contract. What’s at stake is control on the ground, to be in the first wave.

 

And there is defense of jobs. Last year there was realization of the 165,000 defense industry jobs and the impact on the ground. So the Scorpion program is effectively confirmed for 2014. We have a stake in the game.

 

Q. How do you see the global market?

 

A. We are very concerned about the international side. When I meet the authorities, parliamentarians and media, I talk about how defense companies must immediately press ahead on the international front. I know there is worry about the French forces and their equipment, but I stress that defense industry is looking at the international market. There’s an active market. There’s still a slow bureaucratic process but one which remains active. In Europe, even if we say there is a slowdown, there are significant opportunities such as Denmark, which is looking to order artillery and armored vehicles, and Poland, which offers significant opportunities.

 

Q. What is the outlook for the new troop carrier?

 

A. In the Scorpion project, there are digital communications following last year’s contract for the software defined radio, a significant system. That’s what we’ll put on board our vehicles to make a digitized battlefield. For us, there is [the véhicule blindé multirole (VBMR), engin blindé de reconnaissance et de combat (EBRC)] and the upgrade of the Leclerc.

 

Interview: Nexter Chairman and CEO Philippe Burtin

 

Don’t forget the Leclerc. It’s a very important program. During the budgetary talks last year, I pointed out the Leclerc remains a power weapon. The president’s decision confirmed the Leclerc is part of defense and deterrence. We have submitted our offer for version 2, to modernize 201 Leclerc tanks. We expect a launch decision this year; I can’t comment on the contract value. We will install the Scorpion digital information systems, upgrade survivability and the attack system with a remotely operated turret, and program munitions and other new ammunition.

 

Q. What’s the timing of the troop carrier and fighting vehicle?

 

A. We will begin with [VBMR] development and then manufacture in the next budget law. That is part of the synchronization of Scorpion. We will work on the VBMR and EBRC together under the same constraints. We will have slightly longer development for EBRC as we have a more complex tank than the VBMR utility vehicle.

 

There is also the funding schedule. We hope to start delivery of 92 VBMRs in 2018, and start in 2020 for EBRC. That will reflect the time needed for development and also the delay in funding. For us, this is the industrial base for the next 10 years. That’s what’s at stake for Nexter, and for [Renault Trucks Defense] too, though I think they’ll explain that themselves.

 

Q. What’s your 10-year business model? What about merging with Renault Trucks Defense?

 

A. We set out our business model for five years. One builds a business model from the market. We are, and will remain, a specialist in land systems; it’s the core business. From that, our leading business model is to deliver high-performance systems, try to broaden the range and to make it competitive.

 

Interview: Nexter Chairman and CEO Philippe Burtin

 

Our model, before talking about partnership and mergers, is internal growth. To prepare for the future, 18 percent of annual sales is invested in innovation, half of which is from company funds. There is development of the company’s potential and products. We presented a new product, Titus, at [Defense and Security Exhibition International] and eight months later, we have already delivered a demonstration abroad and are preparing for two more. We have requests. What clients say is, “it’s great.” It’s a concept we’ve developed, a six-wheeled vehicle with high mobility.

 

Q. What are the foreign prospects in view of Canada’s rejection of Nexter for its close combat vehicle?

 

A. Canada was five years’ work for nothing.

 

The markets are very active. There are four important targets for us — Denmark, Qatar, a [Middle East country that Nexter has agreed not to identify publicly] and India. We are very active on these markets, whether it be vehicles, artillery or maintenance. Last year we created Nexter Systems India, and continue to develop our partnerships. We formed partnerships with Raytheon, Bombardier and Prevost in Canada. We’re pursuing the same approach with Danish and Polish companies. We’ll probably sign at Eurosatory a partnership for the mounted gun system artillery for India and confirm a tripartite partnership.

 

Caesar châssis Ashok Leyland (crédits Nexter)

Caesar châssis Ashok Leyland (crédits Nexter)

 

Q. Nexter sales fell in 2013 and 2012. What are the growth prospects?

 

A. We are a company on “project contracts,” we are not on steady volume like the car industry. We are like others in the defense industry, apart from the manufacturers of essential equipment. As you win contracts, or fewer contracts, so your sales will fluctuate. We are above €900 million. With the new group structure, we will be at €1.3 billion. That will be a figure including Eurenco, Macer and Simmel. The deals are done.

 

We are continuing to work on other projects. We’re in talks to buy Paul Boyé [a supplier of service uniforms and nuclear, bacteriological, radiation and chemical protection gear]. The company works closely with Sagem on the Felin combat gear. The deal should close in 2014. We’re an active group and growing, with the 2014 sales target of €1.3 billion and 2,400 staff.

 

Q. Why the acquisitions in the munitions sector?

 

A. We are the fourth European player in munitions, with annual sales of €400 million, 1,000 staff, and three firms outside Nexter Munitions which keep their own brands, product range and are coordinated to develop synergies. There is enthusiasm to compete with BAE Systems, Nammo and Rheinmetall. We seek savings in research and development, common purchase of supplies, and strengthened competitiveness through mutual benefits. Munitions contribute some 31 percent of group sales and we now supply land, air and naval munitions. The acquisition delivers a full product range and has world presence. The companies are in good health. Chemring sold to repay its debt and focus on core business. The companies have prospects and positive results. Nexter’s policy is to post 10 percent annual operating profit right from the start. Nexter won the competition to buy Chemring’s two subsidiaries; we bid the right price.

 

Q. What about consolidation in the European defense industry?

 

A. Everyone talks to everyone else. The game goes on, with the shareholders’ constant support to develop discussions in Europe, to create a European leader under European shareholder control, which maintains and strengthens our autonomy of equipment. That is the objective. It’s not for tomorrow. The Europeans are working on it, not just the French.

 

Q. What about a partnership with the Germans, Rheinmetall and Krauss-Maffei Wegmann?

 

A. The discussions continue with the Europeans. The construction of Europe takes time. But it’s a passionate subject. When one is building a European defense it is an entirety about the company, market and regulation of the company. The company has to find its business interest. The market has to open. There are the two [European armaments] directives. For European defense to advance, there has to be progress in Europe for the companies, markets and law. Scorpion was a France special. Time has been given to build the company, market and laws which apply. Of the two [European] directives, one refers to cross-border transfer of technology. So the defense company must be a European company and know under which body of law [it] works: How will it transfer the products and components? The Europeans are working on it; it’s reassuring. We, the Europeans, are working on the future of European defense

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 13:55
Eurosatory 2014 - Véhicule blindé de combat d'infanterie

 

13.06.2014 ministeredeladefense

 

Puissance de feu, moyen d'observation et haute mobilité pour emporter la décision

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 12:56
Eurosatory 2014 ouvre ses portes (article)



13/06/2014 Ministère de la Défense

 

Eurosatory, le plus grand salon International de Défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres, se tiendra au Parc des Expositions de Villepinte, du 16 au 20 juin 2014.  Cette plateforme d’échanges internationale dédiée à tous les experts accueillera plus de 1 500 exposants dont le ministère de la Défense.

 

Eurosatory 2014, vivez le salon comme si vouz y étiez ! retrouvez  sur le site un dossier spécial « Salon Eurosatory 2014 » et découvrez le VBCI, le CAESAR, le TIGRE, le SAMP/T, le NH 90 Caïman TTH, FELIN et d’autres matériels opérationnels ou innovations au profit des forces.

Également en exclusivité, visitez le au travers d’une visite virtuelle (disponible dès lundi 16 juin).

Enfin, suivez l'actualité quotidienne et les temps forts du salon grâce au journal télévisé - en direct à 14h ou en replay - sur le site, ainsi que sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter (#eurosatory).

 

Le stand Défense est constitué de 3 pôles :

  • Le stand principal – Hall 5a – stand F147
  • Le stand simulation de défense (SIMDEF) – Hall 5a – Stand K884, LK882, LK 830
  • Le stand du Service des essences des armées (SEA) à l’extérieur stand A390
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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:30
Liban : Visite du général Polli, commandant le secteur Ouest de la FINUL

 

12/06/2014 Sources : EMA

 

Le 4 juin 2014, le général italien Fabio Polli, commandant le secteur Ouest de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL), s’est rendu à Dayr Kifa auprès de la Force Commander Reserve (FCR).

 

Le général Polli a rencontré les éléments français du mandat XXI, déployés depuis mars à Dayr Kifa, dans le cadre de l’opération Daman.

 

A cette occasion, les militaires du contingent français lui ont présenté les capacités de la force (VBCI, VBL, systèmes de protection des emprises) et les moyens uniques dont dispose la FCR au sein de la FINUL.

 

Cette visite a permis de renforcer la connaissance mutuelle de la FCR et du secteur Ouest (Missions, capacités…) mais également d’anticiper sur la coordination des actions dans le cas où la FCR, élément d’intervention sous les ordres directs du Force Commander, devait intervenir au profit des bataillons du secteur.

 

Forte de près de 900 militaires, la FCR est stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis, sur ordre direct du Force Commander. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération de la FINUL,  au profit des bataillons de casques bleus de 36 nationalités différentes du secteur Ouest et Est, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.

 

Réserve d’intervention opérationnelle, la FCR travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL), tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints, et conduit également de nombreuses actions auprès de la population au sud du Liban.

 

La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Cette contribution de la France à cette mission de l’ONU prend le nom d’opération DAMAN. La FCR confère au Force Commander des capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban.

Liban : Visite du général Polli, commandant le secteur Ouest de la FINULLiban : Visite du général Polli, commandant le secteur Ouest de la FINUL
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19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 16:50
Une compagnie britannique testera 20 VBCI en 2015

 

19 mai, 2014 Guillaume Belan

 

C’est le lieutenant-colonel Martin David, officier de liaison britannique à l’EMAT qui le précisait la semaine dernière à quelques journalistes français de l’AJD (Association des journalistes de la Défense) dont FOB faisait partie, en visite aux forces armées britanniques : dans le cadre de leur « medium weight capability », une compagnie d’infanterie mécanisée, à savoir le 4 Rifles viendra en France pendant plus de 6 mois tester le VBCI français.

 

Première remarque: il s’agit d’une formule inédite et particulièrement poussée à la fois pour les Britanniques et les Français, rendue possible par les accords de Lancaster House et la coopération bilatérale réaffirmée entre les deux pays. De septembre 2014 à Mars 2015, soit pendant 7 mois, une compagnie britannique entière, soit environ 130 soldats, viendra se former à l’utilisation du VBCI (Véhicule blindé de combat d’infanterie de Nexter et RTD).

 

Au menu: ils suivront, tout comme les soldats français exactement la même formation (ou « transformation », relire l’article de FOB ici), à la prise en main du véhicule français de combat d’infanterie à Canjuers. La formation se déroulera en deux temps: à Canjuers pour la formation des équipages puis à Mourmelon pour un entraînement collectif  au combat embarqué/débarqué avec le 1er Régiment de Tirailleur, utilisant les centres de formations de l’armée française (Centac, Cenzub…).

 

Pourquoi une campagne de test aussi poussée ? En fait, le VBCI vient véritablement bousculer les habitudes britanniques. Car la Royal Army ne dispose pas dans ses concepts d’emploi de capacité de combat embarqué. Il s’agit donc pour eux d’une véritable petite révolution. Il faut donc le temps que les équipages prennent en main le véhicule mais également que les Français leur apprennent l’intérêt du combat embarqué, d’où l’entraînement collectif avec le 1er Tirailleur. À l’issue de ces 7 mois de formation, le 4 Rifles testera pendant 2 à 3 semaines, entre avril et mai 2015, les véhicules français sur une vingtaine de blindés VBCI mis à disposition par l’armée de terre. Outre le fait que les Britanniques ne soient pas habitués aux véhicules blindés à roues (le VBCI pourrait remplacer le chenillé Warrior), c’est donc surtout une nouvelle forme de combat que la Royal Army souhaite découvrir. Car très impressionnée par le déploiement du VBCI au Mali, notamment en terme de mobilité, l’Army est très intéressée par ces nouvelles capacités. Cette formation renforce également la Common Joint Expeditionnary Force (CJEF), force binationale franco-britannique qui sera opérationnelle dès 2016. Reste qu’au Royaume Uni, aucun besoin n’est encore formellement exprimé. Cette découverte pendant près de 8 mois, en France, du véhicule et de son utilisation doit venir aider l’armée Anglaise à définir son besoin. Puis s’en suivra un appel d’offres. On est donc encore loin d’une acquisition formelle du VBCI par l’armée de sa Majestée, mais une étape importante se précise.

 

En plein processus de transformation, l’armée de terre anglaise se montre réellement intéressée par cette capacité de projection stratégique que rend possible le VBCI. Tant qu’au système d’arme, ils vont regarder de près le 25 mm mais pourraient se tourner vers une tourelle CTAI 40 mm. A priori, rien d’impossible, même plus encombrante, l’industriel Nexter a déjà mené des études d’intégration de tourelle plus importante sur son véhicule blindé.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 16:30
Exercice 13e Demi Brigade de Légion étrangère

 

22.04.2014 par Légion étrangère

 

Composante terrestre des Forces françaises aux Émirats Arabes Unis (FFEAU), la 13e Demi-Brigade de Légion étrangère est maintenant bien implantée dans le Golfe arabo-persique. Elle a organisé une démonstration de ses capacités opérationnelles au profit des autorités militaires émiriennes et françaises.

 

Des démonstrations convaincantes

Le 10 mars sous les yeux curieux et étonnés d'une trentaine d'officiers d'état-major, d'unités et de l'EMIA FFEAU, la Phalange magnifique a prouvé qu'elle était une unité parfaitement opérationnelle dans un environnement entièrement nouveau et une zone régionale sensible.

Équipés des matériels les plus modernes (VBCI, VAB ULTIMA, CAESAR, FELIN), les légionnaires et les personnels tournants ont réalisé plusieurs démonstrations dynamiques, qui ont mis en valeur leur connaissance de ces matériels mais aussi leurs savoir-faire tactiques et techniques en combat en ZURB ou en milieu désertique. L'utilisation des moyens 3D (AH-64 APACHE et RAFALE) a également permis de démontrer que la 13 est également capable de travailler dans un environnement interarmes et interallié.

 

L'importance de l'instruction

Les visiteurs ont enfin découvert que cette maîtrise des savoirfaire opérationnels s'appuie sur des moyens d'instructions performants regroupés au sein du CECAM. Disposant d'infrastructures variées pour le combat ZURB et d'un terrain de manoeuvre désertique immédiatement accessible, les instructeurs du centre sont en mesure de dispenser un large panel de cours, y compris dans le domaine de la lutte contre EEI, du TIOR/C4 ou de pistes d'aguerrissement.

 

Numérisation de l'espace de bataille

Enfin, les autorités émiriennes ont vu que la 13e DBLE possède des moyen de commandement modernes, et que son CO entièrement numérisé lui permet d'intervenir dans toute la région en pouvant intégrer d'éventuels renforts de la métropole. C'est donc convaincues de posséder un allié solide que les autorités ont quitté le quartier de la 13e DBLE.

 

Lexique :
EMIA : État major interarmes.
VBCI : Véhicule blindé du combat de l'infanterie.
CAESAR : Canon autoporté équipé d'un système d'artillerie.
FELIN : Fantassin équipé de liaison intégré.
ZURB : Zone urbaine.
3D : 3e dimension.
CECAM : Centre d'entraînement au combat et d'aguerrissement du Moyen-Orient.
EEI : Engin explosif improvisé.
TIOR/C4 : Techniques d'intervention opérationnelles rapprochées.
CO : Centre opérationnel.

 

Source : Képi Blanc magazine

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 17:55
Chargement d’un VBCI dans la soute de l’A400M

 

28/04/2014 Armée de l'air

 

Mercredi 23 avril 2014, l’atelier industriel aéronautique (AIA) de Clermont-Ferrand a accueilli deux mastodontes de technologie, l’un de l’armée de l’air et l’autre de l’armée de terre. Une rencontre inédite s’est en effet déroulée sur le tarmac clermontois, entre l’A400M Atlas et un véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI).

 

Le processus d’expérimentation de l’Atlas, mené par le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) et la Multinational Entry into Service Team (MEST) se poursuit. En effet, l’objectif de cette journée était de valider l’embarquement d’un VBCI du 92ème régiment d’infanterie dans la soute du MSN 7, baptisé « Ville d’Orléans ».

 

C’est chose faite pour les équipages qui ont pu charger le blindé de 29 tonnes et de 7,80 mètres de long dans la soute pouvant accueillir un volume de 340 m3. Une étape importante avant la mise en service opérationnel du premier escadron Atlas de l’armée de l’air.

Chargement d’un VBCI dans la soute de l’A400M
Chargement d’un VBCI dans la soute de l’A400M
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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:55
Exercice Marne - photo 1 RTir

Exercice Marne - photo 1 RTir

 

27 avril 2014 transvosges

 

Sur le site militaire de la caserne Varaigne à la Vierge vient d’être lancer des gros travaux de terrassements et de V.R.D. L’objectif ? La construction d’infrastructure d’accueil pour les VBCI.

 

Le Véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) est un véhicule blindé de combat français tout-terrain à huit roues, conçu et fabriqué en France par Nexter Systems et par Renault Trucks Défense, qui est responsable de toute la partie mobilité de l’engin.

 

Depuis 2011, le 1er régiment de tirailleurs d’Épinal en reçoit et il était donc primordial d’aménager une partie de la caserne militaire pour construire des bâtiments techniques et de maintenance pour ces véhicules dont le coût unitaire est de plus de 4 millions d’euros tout de même.

 

De même, des bassins d’orages vont voir le jour le long de la route d’Archettes RD 42. Tous ces travaux de terrassement sont réaliser par l’entreprise Eiffage Lorraine.

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 06:55

by beed.tv

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