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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 17:50
Defence Secretary welcomes deeper security relationship with Germany

 

25 January 2016 Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

Defence Secretary Michael Fallon discussed the strengthening of Britain’s security ties with Germany when he met counterpart Ursula Von der Leyen in Berlin today, where the Ministers confirmed their shared vision for a closer and stronger partnership.

 

Germany is a key ally for the UK – a fact that was formally recognised in November’s Strategic Defence and Security Review when Germany was elevated to a ‘tier one’ defence relationship, alongside the US and France.

Mr Fallon and Dr Von der Leyen discussed how the countries’ Armed Forces can develop their collaboration on operations, missions and training. This will be in evidence as Britain becomes a lead nation for the Transatlantic Capability Enhancement and Training (TACET) initiative, working alongside Germany and the US to deliver a robust military presence in Eastern Europe. Both countries will also work together to ensure NATO remains strong and united; tackle terrorist threats; build capacity outside of Europe; and enhance the interoperability between their Armed Forces.

The Ministers also announced a new UK-Germany ‘Ministerial Dialogue on Equipment and Capability Cooperation’. At the first meeting, in March, Ministers will discuss reducing support costs on common aircraft, notably A400M and Typhoon, and exploring future innovation.

The Defence Secretary also took the opportunity to welcome Germany’s expanded role in the counter-Daesh coalition, following last week’s meeting in Paris where it was agreed to intensify strikes against the militants’ infrastructure in Iraq and Syria.

Defence Secretary Michael Fallon said:

Our defence review elevated Germany to a top tier ally, alongside France and the United States. We are already working closely together within NATO and in the fight against Daesh. Now I want to see more collaboration on operations, missions and training and deeper industrial cooperation.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 13:50
photo MSC

photo MSC

 

25.01.2016

 

Manuel Valls est partout. Après avoir volé la vedette à Emmanuel Macron au Forum de Davos, il se rendre à la Conférence annuelle sur la sécurité de Munich, rendez-vous habituellement réservé au ministre de la Défense.

 

Preuve supplémentaire de sa volonté de maintenir une posture sécuritaire tout en cherchant davantage de visibilité internationale, Manuel Valls se rendra, selon nos informations, pour la première fois, le 13 février à la Conférence sur la sécurité de Munich, la rencontre annuelle majeure du gotha de la Défense en Europe. Le Premier ministre y évoquera la lutte contre le djihadisme international. Ce forum est ouvert à tous les dirigeants européens et étrangers qui s'investissent sur les questions de défense et de stratégie. Il doit accueillir par exemple cette année les présidents polonais et ukrainien, le roi de Jordanie ou les patrons des diplomaties américaine et russe, John Kerry et Serguei Lavrov. Il permet aussi des réunions bilatérales entre ministres de la Défense et professionnels de l'industrie de défense.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 10:50
Crédits Armée de l'Air

Crédits Armée de l'Air

 

13.05.2015 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Lundi prochain, Jean-Yves Le Drian retrouvera à Bruxelles deux de ses homologues: l'Italienne Roberta Pinotti et l'Allemande Ursula von der Leyen.

 

A la clé, la signature d'un MOU (memorandum of understanding, un mémorandum d'entente) sur le développement d'un futur drone Male (Moyenne Altitude Longue Endurance), une plate-forme armable. Les Européens (enfin, le trio signataire) auraient donc réussi à faire converger leurs exigences techniques et à s'entendre sur des spécifications communes.

 

Cette signature n'aura donc pas lieu au Bourget comme on s'y attendait. En effet, en mars, le ministre français avait déclaré vouloir signer, lors du salon, "un accord de principe sur le lancement des études" relatives au futur drone européen.

 

La ministre allemande a en effet demandé que le MOU soit signé au plus vite, pour pouvoir présenter le projet devant son Parlement.

 

Ces études initiales coûteront une soixantaine de millions d'euros, chacun des trois pays mettant 20 millions d'euros.

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 17:50
Ursula von der Leyen photo  Sebastian Wilke - Bundeswehr

Ursula von der Leyen photo Sebastian Wilke - Bundeswehr

 

18/03/2015 Par Nicolas Barotte – LeFigaro.fr

 

Les dépenses de l'État fédéral devraient passer de 302,6 milliards d'euros en 2014 à 332 milliards d'euros en 2019, selon les prévisions présentées mercredi par les ministres des Finances Wolfgang Schäuble et de l'Economie Sigmar Gabriel, qui ont promis en revanche de ne créer «aucune nouvelle dette».

 

Les finances allemandes se portent bien. Le gouvernement a présenté mercredi le projet de budget pour 2016 et les perspectives financières jusque 2019. L'Allemagne compte réussir à augmenter ses dépenses tout en maintenant l'équilibre de ses comptes. Les dépenses de l'Etat fédéral devraient passer de 302,6 milliards d'euros en 2014 à 332 milliards d'euros en 2019, selon les prévisions présentées mercredi par le ministre des Finances Wolfgang Schäuble et le ministre de l'Economie Sigmar Gabriel. Mais jusqu'en 2019, Berlin promet de ne créer «aucune nouvelle dette». Le gouvernement se fonde sur des hypothèses de croissance qu'il veut raisonnables: 1,5% cette année, 1,6% en 2016 et 1,3% les années suivantes.

Le ministère de la Défense est l'un des grands gagnants des arbitrages de dernière minute. Alors que Wolfgang Schaüble expliquait que l'augmentation de son budget n'aurait pas lieu avant 2017, la ministre Ursula von der Leyen a obtenu un effort supplémentaire dès 2016 de plus d'un milliard d'euros. En tout, ce sont 8 milliards d'euros supplémentaires qui seront accordés au budget de la Défense. Le monde est devenu «moins sûr», avait convenu Wolfgang Schäuble. La Bundeswehr a besoin de moyens pour remplir ses missions.

 

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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 10:50
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

21/10 Thibaut Madelin / Correspondant à Berlin – LesEchos.fr

 

Le projet bute sur la question des technologies clefs que l’Allemagne veut maîtriser.

 

Le projet Kant de fusion de Nexter avec son concurrent allemand Krauss-Maffei Wegmann (KMW) menace d’être pollué par des discussions politiques outre-Rhin. L’enjeu tourne autour de cette nouvelle question : quels équipements militaires sont stratégiques et doivent donc être produits par l’industrie allemande sur le territoire national ? Avec, en toile de fond, des rivalités entre ministres concernés.

 

La réflexion sur les technologies clefs fait suite aux positions du ministre de l’Economie, Sigmar Gabriel, favorable à une politique plus restrictive en matière d’exportation d’armements. Ne serait-ce qu’en termes de calendrier, le processus peut court-circuiter le projet Kant, qui doit être validé par Berlin. « Nous n’avons pas encore de recommandation, car nous sommes au cœur d’un processus pour décider quelles technologies sont stratégiques pour nous, déclare aux “ Echos ”, Henning Otte, député et président du groupe de travail Défense de la fraction parlementaire chrétienne-démocrate (CDU-CSU). La discussion durera aussi longtemps qu’il faudra. » Au bas mot, plusieurs mois…

 

Sur le papier, pourtant, les premières prises de position de la ministre de la Défense semblent favorables au projet. A la surprise de ses troupes, Ursula von der Leyen a en effet exclu de la liste de technologies stratégiques les sous-marins et les blindés, justement fabriqués par KMW. Cette position personnelle doit cependant être complétée par celle d’autres ministères, dont l’Economie, qui n’a pas intérêt à exclure telle ou telle technologie, ne serait-ce que pour des raisons économiques et d’emplois.

 

D’autre part, il est possible que la discussion se transforme en combat larvé entre Sigmar Gabriel, président du Parti social-démocrate (SPD) et candidat naturel à la chancellerie en 2017, et Ursula von der Leyen, qui pourrait prendre la place d’Angela Merkel et concourir pour la CDU…

 

Politique d’exportation allemande restrictive

 

Cette guerre de positions n’arrangera pas les affaires de Nexter, dont le projet de rapprochement avec KMW suscite un accueil circonspect depuis le début à Berlin. Le ministère de l’Economie a fait savoir à Paris que l’opération, si elle aboutit, ne changera rien à sa politique restrictive. Pour preuve, le blocage de plusieurs contrats d’hélicoptères ou de missiles, alors que la réussite de Kant est liée à la liberté des deux groupes à exporter !

 

Pour établir une concurrence loyale entre européens, Sigmar Gabriel espère convaincre ses partenaires d’adopter les standards allemands d’exportations, censés être particulièrement restrictifs . « Il n’est pas possible que la France attire peu à peu toutes nos entreprises, car il est plus facile d’exporter en France », prévient Henning Otte.

 

Ce dernier craint par ailleurs que KMW, société familiale privée, ne se retrouve dominée par Nexter, contrôlé par l’Etat français. Il en veut pour preuve Airbus. « Nous constatons que le siège social est à Toulouse, avance Henning Otte. Il faut parler avec la France d’un partage des compétences équilibré. La coopération doit être bénéfique aux deux parties et ne pas signifier qu’il y a une concurrence entre les partenaires. »

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 12:50
ILÜ 2014 - Befreiung von Heidedorf


15 oct. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 10/2014 14E27902

 

In diesem fiktiven Szenario befindet sich die UN-Schutztruppe OFOR mit zwei Divisionen im Krisengebiet Obsidia. Der kleine Ort Heidedorf wird freigekämpft und die Situation wieder unter Kontrolle gebracht.

 

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 14:50
Armement : 140 problèmes et risques sur 9 programmes majeurs allemands

Défense Le rapport de KPMG épingle l'avion de combat Eurofighter Typhoon de BAE Systems, Airbus Group et Finmeccanica - photo Luftwaffe

 

07/10/2014 latribune.fr

 

Un rapport de KPMG identifie 140 problèmes et risques concernant neuf programmes majeurs allemands, d'un montant total de 57 milliards d'euros. Sont épinglés notamment l'avion de transport A400M (Airbus Group) et l'avion de combat Eurofighter Typhoon (BAE Systems, Airbus Group et Finmeccanica).

 

L'Allemagne doit revoir d'urgence sa politique d'armement pour faire face à la fois à l'inflation des coûts et à la dégradation de ses équipements, conclut un rapport publié lundi. Le rapport, commandé par la direction de l'armement au cabinet de consultants KPMG, survient en plein débat sur la vétusté des matériels de l'armée allemande. La ministre de la Défense, Ursula von der Leyen, a reconnu l'ampleur du problème et le fait qu'il empêchait l'Allemagne d'honorer convenablement ses engagements au sein de l'Otan.

Le délabrement de certains équipements a été illustré récemment quand deux avions militaires, transportant l'un des armes et des équipements pour les Kurdes irakiens et l'autre de l'aide humanitaire à des pays africains touchés par Ebola, sont tombés en panne. L'armée reconnaît qu'une large palette de matériels, des hélicoptères aux avions de combat, ne sont plus en état, ce qui fait peser un doute sur les capacités de l'Allemagne à fournir une défense aérienne à ses alliés de l'Otan dans les Etats baltes en cas d'escalade du conflit ukrainien.

 

140 problèmes et risques

Le rapport identifie 140 problèmes et risques concernant neuf programmes majeurs, d'un montant total de 57 milliards d'euros. Sont épinglés notamment l'avion de transport A400M d'Airbus, l'avion de combat Eurofighter Typhoon de BAE Systems, Airbus et Alenia Aermacchi ainsi que le char Puma fabriqué par Rheinmetall et Krauss-Maffei Wegmann. "L'analyse d'une sélection de projets et de programmes d'armement montre qu'il est urgent d'améliorer la gestion des projets nationaux et internationaux", conclut le rapport qui énonce 180 recommandations pour contrôler les coûts et modifier certains paramètres.

La ministre de la Défense a promis d'en tenir compte et a attribué l'état préoccupant des matériels de l'armée à des retards de livraison de pièces détachées ainsi qu'à des défaillances dans les domaines de l'inspection et de la maintenance.

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 16:50
 photo Bundeswehr Sebastian Wilke

photo Bundeswehr Sebastian Wilke

 

Oct 4th 2014 economist.com

 

Is Germany able to give its allies more military help?

 

URSULA VON DER LEYEN, Germany’s first female defence minister and a possible successor to Angela Merkel as chancellor, likes a good photo opportunity. One that backfired recently had her standing under a dramatic sky with an army transport aircraft in the background, gazing into the distance as though on the look out for geopolitical derring-do. The derision was instantaneous. The image matched both her ambition and the vision she outlined in January of Germany’s armed forces playing a bigger role in international crises. Given post-war Germany’s radical pacifism, that was controversial.

 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 10:50
Germany's Disarmed Forces: Ramshackle Military at Odds with Global Aspirations

 

September 30, 2014 By SPIEGEL Staff

 

Germany wants to strengthen its role in international affairs. But recent reports suggest the country's weapons systems are in such disrepair that Berlin actually has very little to offer its partners.

 

Last week, a single person pushed Germany's air force to the very limits of its capacities: Ursula von der Leyen, the country's defense minister. Von der Leyen requested that two Transall military transport aircraft with missile defense systems be transferred to Amman, the Jordanian capital. The defense minister and a pool of reporters then flew for eight hours on Thursday morning in one of the aircraft to Erbil in Iraq's Kurdish region. Back in Germany, the military had but a single additional Transall at its disposal.

After her arrival in Erbil, von der Leyen proceeded to the palace of the Kurdish regional government's president. Her visit was to be concurrent with the delivery of German weapons, intended to aid the Kurds in their fight against Islamic State jihadists. Unfortunately, the machine guns and bazookas got stuck in Germany and the trainers in Bulgaria because of a dearth of available aircraft. One had been grounded because of a massive fuel leak. What could have been a shining moment for the minister instead turned into an embarrassing failure underscoring the miserable state of many of the Bundeswehr's most important weapons systems.

 

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Germany's Disarmed Forces: Ramshackle Military at Odds with Global Aspirations
Bundeswehr - Operational Capability of Select Weapons Systems
Weapons System Total Number Available Deployable
Tiger helicopter 31* 10 10
NH90 helicopter 33* 8 8
Sea King helicopter 21 15 3
Sea Lynx helicopter 22 18 4
CH53 helicopter 83 43 16
Eurofighter fighter jet 109 74 42
Tornado fighter jet 89 66 38
K130 corvette 5 2 2
U212 submarine 4 1 1
Frigates 11 8 7
Marder tank 406 280 280
Boxer tank 180 70 70
Total stock = all procured units
Available = in operation, including systems currently out of service because of maintenance or repair
Deployable = can be used immediately for missions, exercises or training

*includes pre-production models
Source: Bundeswehr German Armed Forces
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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 11:30
L'engagement allemand auprès des Kurdes vire au fiasco

 

25/09/2014 Par David Philippot – LeFigaro.fr

 

La visite jeudi de la ministre allemande de la Défense, Ursula Von der Leyen, à Erbil, a accompagné la première livraison d'armes aux combattants kurdes. Une opération qui a connu plusieurs retards et ratés.

 

Pas moins de 25 jours après la décision du gouvernement allemand d'envoyer de l'armement léger aux forces kurdes s'est posé au Kurdistan irakien le premier Mc Donnell KC-130 chargé de 50 bazookas avec munitions, 520 fusils d'assaut G3 et 20 mitrailleuses. Un premier décollage a retardement puisque l'avion, 40 ans d'âge, a dû attendre une pièce de rechange avant de pouvoir s'envoler de Leipzig.

Il n'était surtout pas planifié que les armes arrivent au Kurdistan, avant les formateurs à leur maniement. Cela fait maintenant une semaine que six parachutistes ont quitté la base de l'OTAN de Hohn dans le Nord de l'Allemagne. Leur trajet s'est arrêté à mi-parcours à Burgas (Bulgarie), sur les bords de la Mer Noire, où ils rongent leur frein. Leur avion de transport Transall est tombé en panne, tout comme l'avion de secours venu à la rescousse.

 

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 11:50
Sommerreise 2014 -Besuch der Panzerbrigade in Augustdorf

 

18.07.2014 by Bundeswehr

 

Auf ihrer nächsten Station der Sommerreise besuchte Verteidigungsministe­rin Ursula von der Leyen das Panzerbataillon 203 der Panzerbrigade „Lipperland" in Augustdorf.

Im Gespräch mit Rekruten ließ sie sich vom Alltag in der Allgemeinen Grundausbildung berichten.

Im Anschluss traf sie Soldaten die ihr ausführlich über den Auslandseinsatz berichteten. Die Brigade stellt derzeit etwa 450 Soldatinnen und Soldaten für den Einsatz in Afghanistan. Dementsprechend lag der Schwerpunkt des Austausches bei der Familienbetreuung und Fürsorge während und nach dem Einsatz.

 

Quelle: Redaktion der Bundeswehr 07/14 14E22105

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 11:50
Fortsetzung der Sommereise 2014 - Besuch des KSK und Hubschraubergeschwaders 64

 

15.07.2014 Bundeswehr

 

Die besonderen Fähigkeiten des Kommandos Spezialkräfte (KSK) und des Hubschraubergeschwad­ers 64 stehen im Mittelpunkt des Besuchs der Bundesverteidigungsm­inisterin in Calw und Laupheim.

"Einsatzbereit, Jederzeit, Weltweit" unter diesem Motto der Division Schnelle Kräfte zeigten die Soldaten der KSK Übungsszenarien wie das Eindringen in ein Gebäude oder das Retten von Überlebenden einer Crash-Landung.

Von der Leyen besucht im Rahmen ihrer Sommerreise zahlreiche Standorte der Bundeswehr in Deutschland.

 

Quelle: Redaktion der Bundeswehr 07/14 14E22102

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 07:50
Une consultante McK secretaire d'état à la défense en Allemagne


26.05.2014 consultor.fr

 

 

Selon la presse allemande, Ursula von der Leyen, Ministre de la Défense va nommer Katrin Suder, 42 ans, responsable du bureau de Berlin de McKinsey et responsable en Allemagne de la practice secteur public, au poste de Secrétaire d'Etat à la Défense.

Il s'agit d'un choix fort de la Ministre, elle mise sur ses compétences en gestion de projet pour réorganiser et moderniser un ministère marqué par le scandale des drones inutilisables.

 

 

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Une consultante McK secretaire d'état à la défense en Allemagne

source mckinsey.com

 

Katrin leads [McKinsey] Public Sector Practice in Germany. An expert in strategy, business technology, and operations, she works extensively with public-sector institutions, software and IT services providers, and telecommunications companies. She directs the McKinsey Center for Government’s work on employment and labor markets and is a member of the leadership team of the European Telecommunications Practice.

Among recent examples of her work, Katrin provided extensive support on strategy, operational performance, and IT strategy for a major public-sector agency in Germany. She worked with the client to identify trends affecting the employment landscape and potential strategic reactions to these trends. She also helped the client define its target IT architecture, improve operations using lean techniques, establish risk-management and support structures (including governance, budgeting, and HR processes) for a series of large projects, and develop and implement a strategy to quantify and respond to the effects of the economic crisis.

Katrin also supports performance-improvement and transformation programs across industries. She recently helped an IT and telecom service provider redefine its corporate and business unit strategies, refocus its solution portfolio and go-to-market approach, set up and launch a cost-reduction program, and develop an internationalization strategy. For an international mobile operator, she helped translate strategic objectives into budget and technology objectives, build a decision-rights model, and implement a brand-led growth transformation program that focused on customer satisfaction, retention, channels, and pricing.

Katrin has a PhD in physics and a bachelor’s degree in German literature and theater studies from the University of Bochum in Germany, as well as a master’s degree in physics from RWTH Aachen University. In her spare time, she acts and directs as part of a small theater group.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

 

30/04/2014 Sources EMA

 

Le 23 avril 2014, le général de brigade Joël Rode, commandant les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), a rencontré Madame Ursula von der Leyen, ministre de la Défense en Allemagne.

 

Lors de cette rencontre sous le hangar allemand de la base aérienne des FFDj, le COMFOR, accompagné du commandant de la BA 188, le colonel Sabéné et du chef de l’état-major des FFDj, le colonel Jovanovic, s’est entretenu avec la ministre allemande. Le général lui a rapidement présenté l’organisation et les missions des FFDj, les nombreux domaines de coopération franco-allemande à Djibouti et souligné les possibilités de renforcer encore la relation bilatérale. Le soutien logistique et opérationnel apporté par les FFDj aux moyens allemands engagés dans l’opération Atalante a été largement souligné par Madame von der Leyen.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 11:45
Coopération franco-germanique sur la politique de sécurité en Afrique

 

11/04/2014 Kassandra Chérubin -  International

 

A l’occasion du sommet Union européenne - Afrique à Bruxelles, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et son homologue allemand, Ursula von der Leyen, se sont exprimés le mardi 2 avril sur la convergence de la politique de sécurité des deux nations en Afrique.

 

Face à la grande fragilité de certains Etats africains et aux nombreuses crises qui ont éclaté ces deux dernières années au Mali et en République Centrafricaine (RCA), les ministres français et allemand de la Défense, Jean-Yves Le Drian et Ursula von der Leyen, ont partagé leur souhait commun de placer la sécurité au cœur des discussions et décisions du sommet Union européenne – Afrique du 2 avril.

 

Les deux ministres ont mis en lumière l’importance d’une approche globale encadrée par des solutions politiques alliant sécurité et développement « permettant d’agir sur l’ensemble du spectre, en amont des crises ». « L’Union européenne (UE) doit aujourd’hui proposer des mesures durables et pertinentes pour accompagner les Africains dans le renforcement de leurs capacités propres de prévention et de réponse aux crises. »

 

Jean-Yves Le Drian et Ursula von der Leyen ont notamment proposé de mettre en place un transfert de compétences des membres de l’UE aux Etats africaines pour amener les pays en difficulté à pouvoir regagner et exercer leur souveraineté. C’est dans cet esprit là que la mission militaire de formation européenne (EUTM) a été lancée au Mali en 2013. La Brigade franco-allemande (BFA) y sera d’ailleurs projetée à compter du mois d’avril, resserrant ainsi la coopération de la France et de l’Allemagne sur la politique de sécurité en Afrique.

 

« Nous pensons que le modèle de mission type EUTM, qui combine effort de formation militaire mais aussi apprentissage des principes de l’Etat de droit, doit être étendu à d’autres théâtres et enrichi en le complétant d’un volet équipement quand cela est nécessaire, » ont expliqué Jean-Yves Le Drian et Ursula von der Leyen.

 

Le ministre et son homologue ont conclu leur tribune en rappelant la vision collaborative franco-germanique sur les rapports coresponsables que doivent entretenir les voisins européens et africains dans le domaine de la sécurité et du développement.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 07:50
photo Bundeswehr / Sebastian Wilke

photo Bundeswehr / Sebastian Wilke

German Defense Minister Ursula von der Leyen would have more authority to take action against a hijacked place in German airspace under new legislation being debated.

 

Apr. 8, 2014 - By ALBRECHT MÜLLER – Defense News

 

BONN — German agencies are reviewing a proposal to give the defense minister authority to take military action against an airplane captured by terrorists in German air space.

 

The Federal Ministry of the Interior confirmed on Tuesday that draft legislation to change a section of the Grundgesetz, the country’s basic law, is being reviewed by different departments. It is intended to close a defense gap created by decisions of the German federal constitutional court in 2006, 2012 and 2013.

 

The judges had ruled that use of the German military at home, even in cases of catastrophic events like terrorist attacks, had to be decided by the government as a group. To give the defense minister equal competences would not conform to the Grundgesetz.

 

A Cabinet decision on the use of the military in such circumstances could not always be guaranteed in a timely fashion, said a spokeswoman of the Federal Ministry of the Interior.

 

“This applies especially in so-called renegade situations, [when there is] suspicion that a civil aircraft is supposed to be used as a weapon and crashed out of terrorist or other motives. It is therefore necessary to include a ministerial express decision competence in the Grundgesetz for supraregional catastrophe states of emergency in favor of the Defence Federal Ministry.”

 

The trigger for the court decisions had been the country’s air security law, which was passed in 2005, primarily to prevent terrorist attacks like 9/11 in the US.

 

In their rulings, the judges first said the constitution would prohibit the use of the military in the interior and therefore the shooting down of a plane. This decision was later revised. However, the judges then decided that a plane with uninvolved passengers could not be shot down, and that under current constitutional law the government as a whole would have to decide on the use of the military within the country, even in emergency situations.

 

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 11:40
Ukraine: pas d'adhésion à l'Otan pour le moment (Berlin)

 

 

MOSCOU, 7 avril - RIA Novosti

 

L'adhésion de l'Ukraine à l'Otan n'est pas envisageable à l'heure actuelle, ce pays n'étant pas conforme aux exigences nécessaires pour se joindre à l'Alliance, estime la ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen citée par le journal Bild.

 

"Cette question n'est pas à l'ordre du jour à l'heure actuelle. Le pays ne correspond pas aux exigences fondamentales pour adhérer à l'Otan", a indiqué Mme Leyen dans une interview accordée au quotidien.

 

Elle a rappelé que l'Ukraine connaissait ces derniers mois de graves difficultés économiques.

 

"Le pays est en train de combattre la corruption, et il faut encore construire un Etat démocratique", a déclaré la ministre tout en ajoutant que l'Allemagne était disposée à apporter son assistance à l'Ukraine dans ce domaine.

 

Toujours d'après Mme Leyen, les relations entre Berlin et Moscou ont récemment connu une dégradation en raison de la situation autour de l'Ukraine, et le rétablissement de la confiance mutuelle nécessitera "un certain temps". Dans ce contexte, la Russie doit entreprendre des mesures en vue de désamorcer la crise, a estimé la ministre allemande.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 13:45
  Ursula von der Leyen, Jean-Yves Le Drian (19.02.14) Photo : Cyril Bailleul / MAE

Ursula von der Leyen, Jean-Yves Le Drian (19.02.14) Photo : Cyril Bailleul / MAE

 

 

02.04.2014 Le Monde.fr

 

Dans une tribune commune publiée dans Le Monde et la Frankfurter Allgemeine Zeitung à l'occasion du sommet Europe-Afrique mercredi 2 avril, les ministres de la défense français, Jean-Yves Le Drian, et allemande, Ursula von der Leyen, expriment leur convergence de vue sur les questions de sécurité.

 

Lire aussi (Abonnés) : L'Allemagne prête à s'engager plus nettement en Afrique

 

« Pour nous, Européens, l'Afrique, avec ses 54 pays, est notre grand voisin du Sud avec qui nous partageons un avenir commun. C'est une terre d'opportunités, mais c'est aussi un théâtre de crises. La grande fragilité de certains Etats africains, la porosité des frontières, la persistance du terrorisme dans la bande sahélienne constituent des grands défis pour la sécurité de l'Afrique et de l'Europe.

 

Nos approvisionnements stratégiques, nos intérêts commerciaux, et la sécurité des ressortissants en dépendent. C'est pourquoi la France et l'Allemagne sont convaincues que la sécurité doit être au coeur du sommet UE-Afrique qui se tiendra à Bruxelles les 2 et 3 avril prochains. Face à l'ampleur des défis, c'est une approche globale qui doit être déployée, permettant d'agir sur l'ensemble du spectre, d'abord en amont des crises. La stabilisation du continent africain sera facilitée par l'identification de signes avant-coureurs des crises. En situation de crise, l'engagement de moyens militaires ne remplace certainement pas les solutions politiques, mais il contribue à stabiliser des Etats fragiles, à protéger les populations, et, au final, à créer ainsi les conditions essentielles pour reconstruire et démocratiser un pays.

 

C'est pourquoi l'Union européenne s'est dotée d'une approche globale alliant sécurité et développement lui permettant d'intervenir face aux crises et d'agir pour les prévenir, mais aussi de consolider la sortie de crise et de stabiliser. Elle doit aujourd'hui proposer des mesures durables et pertinentes pour accompagner les Africains dans le renforcement de leurs capacités propres de prévention et de réponse aux crises.

 

L'EXEMPLE DE LA CRISE MALIENNE

 

La crise malienne est un bon exemple. C'est en effet la réaction rapide et résolue de la France qui a permis de stopper la violence au moment où l'existence même du Mali était en jeu. L'opération française a permis l'émergence d'une large alliance : des Etats d'Afrique, d'Europe, voire du monde entier se sont portés volontaires pour aider le Mali à se reconstruire. Mais, ni les nations africaines ni les pays de l'UE n'ont vocation à s'engager de manière permanente au Mali.

 

Le premier de nos objectifs est de rendre l'Etat malien apte à exercer sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire. La mission militaire de formation européenne EUTM Mali est l'instrument approprié pour atteindre cet objectif. La France et l'Allemagne y resserrent leur coopération : des militaires de la Brigade franco-allemande (BFA) seront déployés à compter du mois d'avril dans le cadre de cette mission.

 

L'enjeu du sommet UE-Afrique est de bâtir sur cette approche et de renforcer notre soutien aux pays africains. Comment nos politiques de défense et de sécurité peuvent-elles y contribuer ? Nous pensons que le modèle de mission de type EUTM, qui combine un effort de formation militaire, mais aussi un apprentissage des principes de l'Etat de droit, doit être étendu à d'autres théâtres et enrichi en le complétant d'un volet équipement quand cela est nécessaire.

 

MIEUX COORDONNER LES INSTRUMENTS EUROPÉENS

 

Il nous faut également encourager les dynamiques de coopération régionales, au niveau continental et sous-régional. Les conditions pour y parvenir sont réunies : l'Afrique dispose de structures permettant de construire une architecture de sécurité de plus en plus solide et de progresser vers un outil militaire africain de réaction rapide aux crises. Des conseillers militaires européens pourraient jouer un rôle plus important pour accompagner cette évolution. Enfin, nous souhaitons saisir l'occasion du sommet UE-Afrique pour mieux coordonner les instruments européens qui permettent de former et d'équiper nos partenaires africains.

 

La Facilité de paix pour l'Afrique et l'initiative Enable et Enhance, soutenue par nos deux pays, doivent se rejoindre sur l'objectif du renforcement de nos partenaires africains et de leur capacité à prendre en mains leur propre sécurité.

 

La France et l'Allemagne partagent la même vision du partenariat entre l'Europe et l'Afrique : il n'est pas de développement sans un minimum de sécurité. C'est pour cela que la France et l'Allemagne plaident ensemble pour une action cohérente et intégrée de l'Union européenne dans le domaine de la sécurité et du développement. Les voisins que sont l'Afrique et l'Europe veulent et doivent assumer plus de responsabilités l'un envers l'autre. »

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 07:45
photo EMA

photo EMA

 

28.03.2014 Le Monde.fr (AFP)

 

Le chef d'Etat français, François Hollande, doit coprésider mercredi 2 avril un « mini-sommet » sur la République centrafricaine (RCA), au premier jour du 4e sommet Union européenne-Afrique qui se tiendra à Bruxelles mercredi et jeudi, ont indiqué des sources européennes.

Le rendez-vous, coorganisé par l'Union africaine et l'Union européenne, doit réunir une quinzaine de dirigeants européens « les plus impliqués » dans la gestion de la crise centrafricaine, et autant de dirigeants africains des pays voisins.

Ils tenteront « de voir comment restaurer la sécurité et stopper les tueries », alors que la situation en Centrafrique est jugée « désastreuse » par l'Union européenne. « Un premier pas crucial à franchir est de restaurer un embryon d'Etat », ont souligné les même sources.

 

Lire : L'ONU alerte sur la « détérioration grave » de la situation en Centrafrique

 

UNE MISSION MILITAIRE EUROPÉENNE EN AVRIL

A la demande de la France, l'Union européenne est convenue de mettre sur pied une mission militaire Eufor-RCA pour venir en appui aux forces africaines et françaises déjà déployées sur le terrain. Mais les pays européens rechignent depuis des semaines à mobiliser les effectifs et les moyens nécessaires, et le déploiement, prévu au départ en mars, n'est désormais pas prévu avant courant avril.

Lors du sommet européen des 21 et 22 mars, M. Hollande avait appelé ses homologues à « faire un effort » pour mobiliser les quelque 500 militaires nécessaires au début du déploiement. Une réunion au niveau des responsables de la sécurité des 28 Etats membres de l'Union européenne devait faire le point vendredi 28 mars sur les nouvelles contributions offertes.

 

Lire : Centrafrique : la mission d'appui Eufor menacée faute de moyens

 

L'ALLEMAGNE PRÊTE À RENFORCER SA PRÉSENCE MILITAIRE

Alors que les forces françaises sont à la lutte avec les groupes armés qui tentent de s'opposer à elles à Bangui et dans l'est du pays, Berlin a ainsi proposé de renforcer son soutien militaire. L'Allemagne est prête à mettre à disposition deux avions de transport de type Antonov, mais exclut d'engager des soldats allemands sur place.

« La situation humanitaire en Centrafrique est alarmante », a déploré la ministre de la défense allemande, Ursula von der Leyen, soulignant qu'il est « d'autant plus important que la mission de l'UE renforce la stabilité et la sécurité, avant que les violents combats dans le pays se renforcent et s'étendent ». De source française, on s'inquiétait que l'Allemagne tarde à concrétiser le soutien qu'elle avait promis. Mais on saluait l'annonce de vendredi en espérant qu'elle incite d'autres pays européens à s'engager dans l'opération.

La chef de la diplomatie de l'Union, Catherine Ashton, s'était alarmée jeudi de « l'escalade de la violence » en Centrafrique, appelant la communauté internationale à « agir rapidement ». Elle s'était affirmée particulièrement préoccupée par « la vulnérabilité des minorités qui sont victimes d'actes de représailles », alors que Bangui a connu ces derniers jours une flambée de violences qui a fait une vingtaine de morts.

 

Lire (édition abonnés) : Les ONG inquiètes de l'avenir politique de la Centrafrique

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 11:50
Berlin remet à plat ses grands programmes d'armement

 

25/02 Thibaut Madelin, Correspondant à Berlin

 

La nouvelle ministre entend réexaminer les grands projets d'armement, après d'importantes dérives de coûts.

 

Elle a commencé son mandat en promettant des places de crèche pour les enfants des soldats, puis en ouvrant un débat sur la responsabilité de l'Allemagne à l'étranger, notamment en Afrique. La nouvelle ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen s'attaque maintenant à un chantier au moins aussi sensible : les programmes d'armement, dont la facture menace de déraper sérieusement et qui ont en partie sapé la carrière de son prédécesseur, Thomas de Maizières.

 

Signe de sa volonté de ne pas devenir la prochaine victime politique, elle a adopté la méthode dure. Mercredi soir dernier, tout juste de retour du Conseil des ministres franco-allemand à Paris, la ministre a ni plus ni moins refusé les rapports que venaient de lui faire les responsables de son ministère sur 15 projets d'armement stratégiques. Le lendemain, elle se séparait de son secrétaire d'Etat en charge de l'Armement, le Franco-Allemand Stéphane Beemelmans. «  Après les expériences amères qu'il a vécues l'année dernière, mon prédécesseur a mis sur les rails un dispositif de transparence et de clarté, a expliqué Ursula von der Leyen. Il est très bien et juste, et je peux bâtir dessus. Mais je constate que ce dispositif n'est pas encore appliqué et, pour cette raison, je dois mettre en place des changements structurels et personnels. »

 

Dans une lettre adressée au personnel du ministère, elle soulève le contraste entre le potentiel des programmes d'armement, mis en avant par les équipes, et les risques, présentés de façon moins consistante. Avec un budget annuel d'armement de 7 milliards d'euros et 1.200 programmes, dont une centaine de plus de 25 millions, la ministre porte une responsabilité immense. Quand un projet dérape, les sommes sont vite importantes. Dernier exemple : l'Eurofighter. Face à la dérive des coûts, Berlin a réduit sa commande de 37 avions de combat fabriqués par Airbus Defence sur 180 appareils. Berlin doit payer une compensation de 55 millions au fabricant de turbines MTU et Airbus réclame 900 millions d'euros d'indemnités, selon le magazine allemand « Handelsblatt  ».

 

Audit externe

 

Dans le cadre de son grand ménage, Ursula von der Leyen veut mandater un cabinet de conseil afin de faire le point sur les différents programmes. Une façon d'apporter un regard extérieur et objectif sur leur avancée. Mais aussi un risque, estime Christian Mölling, expert à l'Institut allemand d'affaires internationales et de sécurité (SWP). «  Il faut s'attendre à une grosse résistance au sein du ministère, dans l'industrie et de la part des partenaires internationaux », dit-il.

 

Le ministère de la Défense est en effet considéré comme une boîte noire. Plusieurs ministres ont eu du mal à le contrôler. Thomas de Maizières en a fait les frais avec le drone Eurohawk, dont il a appris les dérives de budget tardivement. Les enjeux internationaux ne sont pas non plus négligeables. Toute modification de commande à l'issue de l'audit serait susceptible d'avoir un impact sur celles des partenaires de l'Allemagne, dont la France fait partie.

 

Les chiffres clefs

7 milliards d'euros

C'est le budget annuel du ministère allemand de la Défense.

1.200 programmes d'armement

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 12:50
The Franco-German defence partnership: slowly does it?

 

13th February 2014  – by Vivien Pertusot* - europeangeostrategy.org

 

France, Germany, European Union, flagsHearing German leaders speak about foreign and security policy is music to the ears of the French. They have so often lectured their neighbours for evading the topic that former Defence Minister Thomas de Maizière vented his frustration a few days after becoming Interior Minister: Germany has no lesson to receive from anyone, not even France or the United Kingdom (UK). As true as that may be, there however seems to be a shift in official discourses about the role of foreign and security policy in German politics. The temptation to embrace those first blips on the radar screen is quite acute in France, but caution must prevail. Despite a few successes, cooperation in security and defence is probably the weakest link in the Franco-German couple. As Claudia Major rightly put it, there has been too much pathos and not enough pragmatism. Should there be the possibility to reignite a dormant cooperation, the French government should take German recent declarations and commitments for what they represent: the beginning of a process.

 

Failed hopes

 

For the past few years, the Franco-German relationship has been struggling. The growing disparity in power perception and economic outlooks between the two countries has strained the quality and the depth of the partnership. The width of the bilateral cooperation is impressive, but there should be no mistake; the relevance of the Franco-German relationship for both countries is defined by their partnership on the European Union (EU).

 

Security and defence is often the first domain to feel the blowback, because it has always been the toughest sector to get off the ground. France and Germany have achieved some successes: the creation of EADS – now rebranded Airbus Group – the Eurocopter Tiger, etc. Yet, even those successes have experienced the affects of the Franco-German couple and have only come to fruition thanks to the profound commitment to the partnership ingrained in the two countries’ leadership.

 

It has become cliché to say that the French still view the world as a place where the military instrument is a tool of foreign policy, whereas the Germans wish it away. It has not refrained French administrations to present the partnership as the backbone of L’Europe de la défense. This presidency is no different. Just a few weeks after François Hollande took office, the two armaments directorates were signing a letter of intent to relaunch bilateral military cooperation. Most of the themes discussed have stalled since. Foreign and security cooperation was included in the declaration of the 50th anniversary of the Elysée treaty last year, but the language was conspicuously vague and deferential.

 

The early enthusiasm faded away, yet the French government has not given up on its commitment. In his first press conference of 2014, François Hollande laid out a three-point plan to boost the Franco-German couple on the eve of the Franco-German Council of Ministers on 19 February. The French President argued in favour of more cooperation with Germany on security and defence ‘to act in favour of L’Europe de la défense’, because ‘we must do more than a brigade’; referring here to the Franco-German brigade.

 

Caution is optimism

 

This persistent commitment is welcome, but it is essential not to have blinders on. Recent speeches by German Defence Minister Ursula von der Leyen have rekindled hopes that Germany is changing its tune on foreign and security policy. That she recognises the need for Germany to show that it is a reliable partner to France in African operations undoubtedly warmed French hearts. The possible deployment of the Franco-German brigade to EU Training Mission (EUTM) Mali is another sign of the potential new way forward.

 

However, let us not get carried away. The tone has changed, but Germany still has some way to go for it to show that this is not a one-hit wonder. The Franco-German partnership on security and defence is fraught with difficulties and ideology. It has always been too ambitious for what both countries were ready to commit to. At this stage, it seems that the bilateral cooperation can be revived through military operations. Then, keep the ambitions modest and accept this as the starting point of a new process. The more politics gets in the way with high hopes and flagship projects, the more a healthy relationship based on confidence-building measures will be difficult to achieve.

 

Moreover, France should not put all its eggs in the same basket. The partnership with Germany at a bilateral level as well as a means to revive l’Europe de la défense shall not monopolise the precious little political capital the government is devoting to defence cooperation. Despite the common interests underpinning the Franco-British cooperation, it has been ailing because of a lack of political support; some other partners in the Scandinavian and Baltic countries have shown interest to cooperate with France. All of them may not be natural partners, but they can be willing and they can be able.

 

* Mr. Vivien Pertusot is an Associate Editor of European Geostrategy. He is also the Director of the French Institute for International Relations’ office in Brussels. He writes here in a personal capacity.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 12:45
photo Bundeswehr

photo Bundeswehr

 

4 fév 2014 maliactu.net

 

Le gouvernement allemand doit décider mercredi d’augmenter son contingent au Mali de 180 à 250 militaires, a annoncé mardi la ministre de la Défense Ursula von der Leyen.

 

Le Conseil des ministres doit adopter un texte en ce sens lors de sa réunion hebdomadaire, a-t-elle ajouté lors d’une visite au commandement de l’opération à Schwielowsee, non loin de Berlin.

 

Les détails du déploiement de ces forces supplémentaires dans un pays toujours confronté à l’insécurité un an après le début d’une intervention internationale contre les islamistes armés, seront connus d’ici « deux à trois semaines », a expliqué la ministre.

 

Environ cent soldats allemands sont actuellement déployés sur place, où ils assurent la formation de l’armée malienne dans le cadre d’une mission de l’Union européenne.

 

Mme von der Leyen avait fait savoir fin janvier que l’Allemagne allait accroître son action militaire en Afrique, en particulier en envoyant des instructeurs supplémentaires au Mali et en fournissant un Airbus médicalisé en Centrafrique en soutien à la mission militaire française Sangaris.

 

Alors que les crises se multiplient en Afrique, l’Allemagne « ne peut pas détourner les yeux quand meurtres et viols sont quotidiens, ne serait-ce que pour des raisons humanitaires », avait argumenté la ministre.

 

Le président de la république Joachim Gauck a fait récemment des déclarations allant dans le même sens, mais sur le fond rien n’a changé: la Bundeswehr est une armée sous contrôle parlementaire, et les députés ont des comptes à rendre à une population majoritairement opposée aux interventions militaires dans les zones de conflit.

 

L’Allemagne, souvent critiquée pour sa réticence, après la Seconde Guerre mondiale, à envoyer des troupes à l’étranger, s’était isolée sur la scène internationale en 2011 en refusant d’intervenir en Libye aux côtés notamment de la France.

 

Actuellement, quelque 5.000 soldats allemands sont déployés à l’étranger, pour la plupart en Afghanistan et au Kosovo.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 12:45
La ministre allemande de la défense attendue mercredi à Dakar

 

 

5 Février 2014 atlasinfo.fr

 

La ministre allemande de la défense, Mme von Der Leyen, est attendue mercredi à Dakar dans le cadre de ses déplacements d'inspection des troupes militaires allemandes déployées au Mali, indique la direction de l'information et des relations publiques des armées (DIRPA).

 

Accompagnée d'une importante délégation composée de 6 membres du parlement allemand, des membres de son cabinet ainsi que de journalistes, la ministre allemande sera accueillie par le ministre sénégalais des Forces armées, Augustin Tine, en compagnie de l'ambassadeur allemand au Sénégal, précise-t-on de même source.

 

Au programme de la visite de Mme Von Der Leyen, figurent des entretiens avec son homologue sénégalais, un point de presse, outre une rencontre avec les coopérants allemands opérant à la Direction du matériel des armées au camp Lemonier.

 

Au terme de sa visite à Dakar, Mme Von Der Leyen devra se rendre jeudi au Mali, indique-t-on de même source.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:50
March to The Top: Risky Opportunity for New Defense Minister

Visiting the troops in Afghanistan last week -- Germany's first female defense minister, Ursula von der Leyen.

 

December 30, 2013 Spiegel.de

 

Ursula von der Leyen has clinched the defense ministry and positioned herself as potential heir to Chancellor Angela Merkel. She's the star of the new cabinet, but she also has formidable rival in Thomas de Maizière, whom she ousted to get her new job.

 

Ursula von der Leyen smiles the smile of someone who made it. Relaxed, almost nonchalant, she approaches German President Joachim Gauck, who has in his hand the document officially naming her Germany's first female defense minister. Gauck gives von der Leyen a firm handshake. Von der Leyen smiles. Both turn to face the photographers.

 

The cameras click for four seconds, she holds the pose longer than any of the other ministers. Von der Leyen thanks Gauck. Next, she turns to Angela Merkel who says, "I look forward to working with you." Soon after, she's standing in front of Thomas de Maizière, her predecessor as defense minister.

 

De Maizière wants to simply extend his hand and offer brief congratulations -- for him, that would be enough. But von der Leyen is faster: She takes him by surprise, opening her arms and enveloping her colleague in a hug. De Maizière is startled, but then plays along, valiantly smiling as the cameras click away. A kiss on each cheek, then von der Leyen moves on.

 

It takes quite an amount of chutzpah to hug a man after you've just taken away his beloved job. But von der Leyen is capable of doing whatever it takes to get a good photo op, and did so at the Bellevue presidential palace, in Berlin on December 17, when she was officially appointed to her new post. Von der Leyen has always had a talent for easing the bitter taste of her ambition with a sweet coating of harmony. It's a method that has brought her far.

 

Germany now has a new government -- it has a few surprises in store, and one of them has been Ursula von der Leyen. Not only has she battled her way up to become the first female defense minister in German history, she has also managed along the way to reorganize the hierarchy of her party, the Christian Democratic Union (CDU).

 

Within the CDU, two women are in charge now. Merkel at the top, and von der Leyen as her second in command. Then there's a considerable gap between them and the next in line. De Maizière, who had been all set to slip into the role of crown prince, was forced to make way so that von der Leyen could receive a ministerial post. That step fits in with her ambition and her desire to invent a new story for herself.

 

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:50
photo Laurence Chaperon

photo Laurence Chaperon

 

BERLIN, 16 décembre - RIA Novosti

 

Ursula von der Leyen est devenue la première femme ministre de la Défense en Allemagne dans le troisième gouvernement d'Angela Merkel, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti à Berlin.

 

Médecin de formation, Mme Leyen, 55 ans, avait occupé le poste de ministre de l'Emploi dans le gouvernement sortant.

 

Au cours d'un référendum interne tenu près de trois mois après les élections du 22 septembre, 76 % des adhérents du Parti social-démocrate (SPD) ont finalement donné leur feu vert samedi à la coalition avec l'Union chrétienne-démocrate (CDU) d'Angela Merkel et son aile bavaroise, la CSU. Mardi, la chancelière sera formellement réélue par le Bundestag pour un troisième mandat de quatre ans.

 

Dimanche, les partis ont dévoilé le gouvernement. La chancelière Merkel a alors conservé son ministre des Finances Wolfgang Schäuble, dont le nom est associé selon elle "à la stabilité de l'euro et à tout ce qui est important en Europe". Frank Walter Steinmeier (SPD) a occupé le poste de ministre des Affaires étrangères, tandis que Sigmar Gabriel, président du SPD, a pris le ministère de l'Economie.

 

Parmi les autres portefeuilles attribués dimanche soir, l'ancien ministre de la Défense, Thomas de Maizière, passe à l'Intérieur, un poste qu'il a déjà occupé par le passé. L'ancien secrétaire général de la CDU Hermann Gröhe prend en charge le ministère de la Santé, alors que Joanna Wanka reste ministre de l'Education.

 

Peter Altmaier, remplacé par une sociale-démocrate à l'Environnement, devient ministre en charge de la Chancellerie.

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