25 juin 2013 Source: lavenir
18 800 tonnes de munitions sont non-opérationnelles : 15 300 tonnes doivent être détruites. Les munitions non-opérationnelles de la Défense représentent 70 % du stock des munitions réglementaires.
On estime qu’elles ne seront plus que de 40 % en 2014 et de 14 % en 2017.
3,6 KT seront détruites par la Défense, via l’INES (installation pour la neutralisation d’explosifs), et 11,7 KT par la support agency de l’OTAN. Le coût de la démilitarisation des munitions est de 1 euro par kg.
On détermine que les munitions sont opérationnelles par des tests de stabilité de la poudre, des tests de fonctionnement et des tests prédictifs. Le standard minimal est «safe to handle», quand la munition est stable et permet manipulation et transport. Mais, pour être apte au service, elle doit être «safe and suitable for service».