1 septembre 2014
1
01
/09
/septembre
/2014
11:55
22/08/2014 A. Herlin - Armée de Terre
Le 5 août l’association l’As de Carreau (dont le nom fait référence au sac à dos commun à tous les soldats français de 14-18) et le Quartier Général du Corps de Réaction rapide – France ont organisé une reconstitution historique originale.
Pour célébrer le centenaire de 1914, Soldats et équipements de la première Guerre Mondiale ont été accueillis au cœur de la Reine des Citadelles. Dotés des effets règlementaires de l’époque dont le fameux fusil Lebel, les soldats de l’association ont choisi de représenter le 43e Régiment d’infanterie de Lille. Ses membres, originaires du Nord de la France, ont tous de près ou de loin une histoire familiale avec ce régiment d’élite qui avait déjà un passé prestigieux en 1914. Les militaires du QG CRR-Fr ont ainsi eu l’opportunité de voir de près les équipements de leurs aïeux et de tester le paquetage de l’époque. Une rencontre insolite entre le présent et le passé dans un lieu chargé d’histoire : C’est d’ici que sont partis pour le front trois bataillons du 43e RI.
2 avril 2014
3
02
/04
/avril
/2014
16:55
Ordre de mobilisation générale - Crédits : Armée de Terre
01/04/2014 J. SEVERIN Actu Terre
Du 25 mars au 3 août 2014, se tient l’exposition « Été 14, Les derniers jours de l’ancien monde » à la Bibliothèque François-Mitterrand.
Le ministère de la Défense et la Bibliothèque nationale de France ont regroupé leurs collections pour cette exposition, sur un thème jusque-là inédit : les origines de la guerre.
Le parcours s’organise autour des événements allant du 23 juillet, avec l’ultimatum de l’Autriche-Hongrie à la Serbie suite à l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône de l’empire austro-hongrois, au 4 août 1914 lorsque la Grande-Bretagne déclare la guerre à l’Allemagne et que Raymond Poincaré proclame à l’Assemblée nationale son discours sur « l’Union Sacrée ».
Sept séquences thématiques approfondissent la chronologie, permettant ainsi au public de mieux comprendre les mentalités et les fonctionnements étatiques de l’époque. On y trouve un récapitulatif des conflits balkaniques, des livres scolaires montrant l’importance de l’armée, avec des discours forts (« il n’y a rien de plus beau que de mourir pour sa patrie »), ou encore de nombreuses notes sur les stratégies de guerre. La fin de l’exposition aborde les sentiments et le choc des populations, civiles et militaires, face à la violence de cette guerre qui ne devait pas durer plus de quelques mois.