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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 19:45
Serval : point de situation du jeudi 26 septembre 2013

26/09/2013 19:39 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 19 septembre 18h00 jusqu’au jeudi 26 septembre, 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec près de 80 sorties, dont 40 effectuées par les avions de chasse. Une vingtaine de sorties ont été dédiées aux missions de transport, une vingtaine aux missions de ravitaillement et de renseignement.

 

Au sol, la force Serval poursuit les opérations autour de la boucle du Niger, et dans le Nord du pays, en coordination avec les unités de la MINUSMA et des forces de sécurité maliennes. Parallèlement, le mouvement de relèves des unités, engagées depuis environ 4 mois sur le théâtre se poursuivent. Ils devraient s’étaler jusqu’à mi-octobre. Environ 700 militaires ont déjà rejoint le Mali.

 

Depuis le 17 septembre, les militaires de la force Serval sont engagés dans l’opération « Constrictor » au Nord de Gao. Leur objectif, au travers du contrôle de l'axe reliant les villes de Gao et de Bourem est de poursuivre l’affaiblissement du potentiel logistique des groupes terroristes. Deux SGTIA, composé d’une centaine de militaires chacun, se sont relayés au cours de l’opération. Un SGTIA sur VBCI a été engagés dans un premier temps, suivi par un SGTIA sur VAB. Ce dernier poursuit actuellement l’opération. Ils ont bénéficié chacun d’un appui génie et renseignement et ont été accompagnés par des gendarmes maliens.

 

Au cours de l’opération, le SGTIA VBCI, appuyé par une section du détachement génie d’aide au déploiement (DGAD), a effectué la reconnaissance du massif d’In El Farat. Ils y ont découvert une dizaine d’obus de 37mm,  de mortier de 82/60mm ou encore de 102mm. Ces munitions ont été détruites sur place. Le SGTIA a poursuivi ses recherches dans la région d'Ag Oua et a ratissé les massifs d'Ene Dokiri et de la région d’In Arafoudene. Des missions de reconnaissances ont ensuite été menées dans les villages entre Bourem et Gao. Le SGTIA VAB, engagé depuis le 23 septembre, se déploie sur la même zone.

 

Le 20 septembre 2013, le chef du Groupe Médico-Chirurgical (GMC) de Gao, a inauguré au nom de la force Serval trois salles de la maternité du « Centre de Santé de Référence » de la ville. La réhabilitation de ces locaux a été financée par la force Serval, à la demande des autorités locales et en liaison avec les acteurs humanitaires présents à Gao. A cette occasion, la force a procédé à une remise de don de médicaments fournis par l’association Tulipe. Cette cérémonie, appuyée par le détachement des actions sur les perceptions et l’environnement opérationnel (APEO) de la brigade Serval, s’est déroulée en présence du préfet, d’une conseillère municipale chargée des affaires humanitaires de la ville, ainsi que du directeur régional de la santé et d’un représentant de la MINUSMA.

 

Le 21 septembre 2013, s’est déroulé une cérémonie d’inauguration d’un poste de sécurité à proximité immédiate du marché « lieutenant Boiteux ». Le colonel adjoint de la force Serval était entouré du représentant du gouverneur, du maire, du préfet, d’élus, de chefs de quartier et d’une foule nombreuse. La création de ce poste de sécurité a pour objectif de renforcer la sécurité du marché de Gao, afin de préserver l’activité commerciale. La brigade Serval en a financé la construction et la communauté internationale a fourni le mobilier. Pour les autorités maliennes, ce poste permettra de rassurer la population et d’entretenir un rapport de proximité avec elle. Il permettra aux forces de sécurités maliennes d’intervenir plus rapidement en cas d’incident.

 

Au cours de ces cérémonies, les autorités locales ont de nouveau salué la force Serval, dont l’action vise à contribuer à la sécurité du pays, et qui se montre également soucieuse de l’amélioration progressive des conditions de vie de la population de Gao.

 

Les 22 et 23 septembre 2013, le ministre de la Défense, monsieur Jean-Yves Le Drian s’est rendu au Mali, afin de rencontrer les militaires de la brigade Serval basés à Gao, puis le détachement de la mission européenne de formation de l’armée malienne, EUTM Mali, basé à Koulikoro. Répondant à une invitation des autorités maliennes lancée à l’occasion de la fête nationale du Mali, le ministre de la défense a profité de sa présence dans le pays pour aller plus longuement à la rencontre des autorités des forces armées maliennes et de la MINUSMA.

 

Devant les militaires français, ainsi que les autorités maliennes et africaines, le ministre a rappelé que la mission des troupes françaises au Mali était de participer à la sécurisation du pays dans la durée, en soutenant la montée en puissance de la MINUSMA et la reconstruction de l'armée malienne. Il a également rappelé qu’un contingent d’un millier de soldats français resterait au Mali pour accompagner la reconstruction de ce pays. Sur le camp de Koulikoro, M. Jean Yves Le Drian a rencontré les instructeurs français et européens de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali). Dans un discours qu’il a prononcé en présence de tous les instructeurs européens, le ministre a souligné le succès européen de cette mission au service de la paix, rappelant qu' « il ne pouvait y avoir de rétablissement de l’intégrité territoriale du Mali sans le rétablissement de sa capacité militaire ».

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

 

Serval : point de situation du jeudi 26 septembre 2013Serval : point de situation du jeudi 26 septembre 2013
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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 19:45
FFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOM

26/09/2013 Sources : EMA

 

Du 27 août au 19 septembre 2013, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont encadré un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) d’un bataillon de l’armée djiboutienne prochainement engagé au sein de la Mission de l’Union Africaine en Somalie (AMISOM).

 

80 militaires français appartenant au 5e Régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM) ont accompagné pendant une vingtaine de jours, la mise en condition opérationnelle d’un bataillon des forces armées djiboutiennes (FAD) composé de trois compagnies d’infanterie et d’une compagnie d’appui et de soutien en vue de leur mission prochaine en Somalie. Le bataillon Hill 2 est composé de 330 militaires djiboutiens répartis en 11 sections.

 

L’instruction s’est déroulée en deux parties sur le camp de Marya. Les deux premières semaines ont été consacrées à la formation tactique des cadres, à la formation des spécialistes dans les domaines du tir, du secourisme et des techniques de combat au corps à corps.  Tous les soldats ont été sensibilisés au danger que représentent les engins explosifs improvisés. Le DIO a ainsi permis aux soldats djiboutiens de réviser les fondamentaux de l’infanterie, tant au niveau individuel, qu’à celui du groupe puis de la section. Ils ont revu les actes réflexes et élémentaires du combattant : se déplacer, se poster, utiliser les armes ou encore s’orienter, apprécier une distance, rendre compte, etc.

 

Pendant la troisième et dernière semaine de stage, chaque section a quotidiennement été confrontée, à des situations tactiques différentes qui nécessitaient de restituer l’apprentissage des semaines passées ou les instructions du jour. Un exercice de synthèse du niveau de la compagnie est venu clore cette semaine d’évaluation.

 

Cette formation opérationnelle a été effectuée à la demande des autorités djiboutiennes, conformément aux accords de défense signés en 1977 entre la France et la république de Djibouti. Les FFDj participent régulièrement à la formation des contingents burundais et ougandais de l’Union Africaine (UA), déployés en Somalie dans le cadre de l’AMISOM.

FFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOMFFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOM
FFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOMFFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOMFFDj : formation du bataillon Hill 2 pour l’AMISOM
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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 19:45
Tchad : campagne de tir interarmées à Tchigchika

26/09/2013 Sources : EMA

 

Le 16 septembre 2013, les militaires de la Force Epervier ont conduit une campagne de tir interarmées à Tchigchika, sur un champ de tir situé à plus de 900 kilomètres à l’est de N’Djamena.

 

La force Epervier conduit régulièrement des exercices pour garantir le maintien de la condition opérationnelle de ses détachements. Le 16 septembre, au cours d’un exercice scénarisé, un groupement d’infanterie au contact de l’ennemi a demandé, en plus de ses moyens propres, l’appui de moyens aériens pour détruire une poche de résistance tenue par des adversaires retranchés dans un campement.

 

Un avion Rafale, en posture d’alerte en vol ou « on station », a d’abord été guidé jusqu’à la zone de l’accrochage par les Tactical air control party (TACP) du groupement d’infanterie. La présence et l’identification positive de la menace conjuguée à la détermination de l’ennemi a imposé au pilote de réaliser deux passes à 9000 pieds d’altitude (soit 3000m), avant le largage de deux bombes de type LGTR sur l’objectif. Lors de son survol d’évaluation, le pilote a par ailleurs ouvert le feu au canon de 30mm.

 

Confronté à une nouvelle offensive de l’ennemi, le détachement a du faire appel à son équipe de tireurs d’élite, armée par les fantassins du 1er régiment de tirailleurs (1er RTir) et du CPA20 (TACP – Tactical air control party). Simultanément, une section d’infanterie avec des mortiers de 81 mm, et une batterie Proterre, du 1er régiment d’artillerie de Marine (1er RAMa) équipée de mortiers de 120mm, ont effectué des tirs en profondeur pour détruire les éléments en cours de décrochage.

 

A l’issu des tirs de mortiers, un hélicoptère Puma pirate, avec un canon de 20mm en sabord, a effectué un survol basse altitude de la zone de contact en délivrant les derniers feux.

 

Les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et sont en mesure de garantir la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

Tchad : campagne de tir interarmées à Tchigchika
Tchad : campagne de tir interarmées à Tchigchika
Tchad : campagne de tir interarmées à Tchigchika
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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 12:45
Le Burundi, menacé par les shebabs somaliens, renforce sa sécurité

26 septembre 2013 à 06:56 Par RFI

 

Les miliciens shebabs, qui ont mené l’attaque du Westgate Mall à Nairobi, menacent tous les pays qui ont envoyé ou soutenu les soldats de l’Amisom, la force africaine en Somalie. C'est le cas du Burundi qui a en effet déployé un important contingent, aux côtés de l’Ouganda pour lutter contre les shebabs. Jusqu'à présent, le Burundi, qui a été épargné par les attentats et les attaques terroristes, a mis en place des mesures de sécurités supplémentaires.

 

 

Les autorités burundaises avaient déjà déployé plus de policiers dans les rues, histoire de rassurer les Burundais. Hier, on a franchi une autre étape. Les habitants des quartiers à majorité musulmane, des quartiers dits swahili, se sont réveillés à l’aube, ceinturés par des milliers de policiers qui ont ensuite fouillé maison par maison, à la recherche de suspects éventuels ou d’objets prohibés.

 

Le porte-parole adjoint de la police, Pierre Nkurikiye a déclaré : « La police nationale a pris toute une série de mesures préventives et la tâche d’aujourd’hui fait partie de ces mesures qu’on ne peut pas décrire ici, pour des raisons de sécurité ».

 

Des centaines de sans-papiers ont été arrêtés et même si la police burundaise proteste de sa bonne foi, certains dans ces quartiers, ne décolèrent pas :

 

« Ils ont ciblé uniquement les quartiers musulmans, et cela nous fait peur car nous sommes avant tout des Burundais, et être musulman ne signifie pas qu’on est des shebabs. Pas du tout ! ».

 

Malgré les propos qui se veulent rassurants de la police du Burundi, dans les rues de Bujumbura, la capitale, on ne cache plus son inquiétude :

 

« Avant l’attaque au Kenya, il y a eu les attentats de Kampala. Les shebabs avaient dit qu’ils vont s’en prendre à tous les pays qui sont allés les combattre en Somalie, il ne reste donc que le Burundi. Même au Kenya il y a eu les attaques malgré la présence de policiers, et même ici ces attaques peuvent avoir lieu malgré la présence de tous ces policiers ». « On est très inquiets parce qu'après Nairobi, c’est Bujumbura, c’est sûr. Justement à cause de nos forces qui sont en train de les combattre à Mogadiscio ».

 

Ces voix réclament donc le retour de quelque 5.600 soldats burundais déployés en Somalie.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 12:45
ONU: Idriss Déby plaide pour une représentation de l'Afrique au Conseil de sécurité

26 septembre 2013 à 08:34 Par RFI

 

Dans le cadre de la 68e Assemblée générale de l'ONU à New York, Idriss Déby était à la tribune mercredi 25 septembre. Le président tchadien a appelé à une réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, comme l'avait fait la veille le président sud-africain, Jacob Zuma.

Idriss Déby (00:42)

Président tchadien

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 11:45
Les drones US de Djibouti délocalisés à Chabelley Airfield?

26.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

Le Washington Post la semaine dernière puis le site OpenSource IMINT mardi ont publié des articles sur la supension des vols de drones à partir de Djibouti (le Washington Post parle de 16 mouvements de drones quotidiens sur l'aéroport de Djibouti). Une suspension pour cause de crashes et d'accidents qui ont mis en péril la vie des populations civiles.

 

OpenSource précise que les/des drones opéreraient désormais à partir de l'aérodrome de Chabelley (flèche verte sur la photo ci-dessous) à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de l'aéroport principal (flèche noire) où sont basées les forces US:

PrtScr capture.jpg

 

Un porte-parole américain a reconnu que des drones étaient désormais basés à Chabelley, aérodrome qui est déjà utilisé par les Américains et les Français comme piste de dégagement. A noter cet avis de juillet dernier: "CHABELLEY AIRFIELD (HDCH) IS FULLY OPERATIONAL AT THIS TIME. ALL US AIRCRAFT MUST REQUEST A SLOT TIME FOR ARRIVALS INTO AND DEPARTURES OUT OF CHABELLEY THROUGH THE HOAAC SCHEDULING OFFICE DSN: 311-824-5615. CHABELLEY TOWER IS ALSO OPERATIONAL AT THIS TIME. CONTACT "CHABELLEY TOWER" ON VHF 126.8. CONTACT "CHABELLEY GROUND" ON VHF 120.425. SFC - FL020, 30 JUL 11:00 2013 UNTIL 28 OCT 11:00 2013. CREATED: 30 JUL 08:01 2013".

 

On lira en cliquant ici un article sur les travaux réalisés par les marines à Chabelley Airfield en 2011.

 

111027-a-uf490-085th.jpg

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:45
Camp Lemonnier, Djibouti - source washingtonpost

Camp Lemonnier, Djibouti - source washingtonpost

25.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense


L'armée américaine a annoncé, mardi soir, l'attribution de trois contrats de construction sur le camp Lemonnier, à Djibouti.

 

Montant total: 202 millions de dollars dont 150 pour B.L. Harbert (lire l'avis n°1 ci-dessous) qui va se charger de la construction de hangars, soutes à munitions, centres opérationnels, parking etc. Caddell Construction se chargera de la construction d'un PC (36 millions) et ITSI Gilbane des approvisionnements en énergie électrique (8 nouveaux modules qui s'ajoutent aux 4 existants).

B.L. Harbert International LLC, Birmingham, Ala., is being awarded a $150,703,040 firm-fixed-price contract for construction of a forward operating site at Camp Lemonnier, Djibouti. The site will be comprised of 11 buildings, site work and supporting facilities required to support current and emerging operational missions. The following buildings will be constructed on a site that is approximately 20 acres in size: aircraft hangar, air operations center, armory, joint operations center/tactical operation center/communication center, berthing/fitness/morale, welfare and recreation facility, logistics warehouse, maritime/riggers facility, training facility, engineering facility, vehicle maintenance shop, tactical support facility, and an aircraft parking apron. The contract also contains three unexercised options, which if exercised would increase cumulative contract value to $156,809,541. Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by August 2016. Fiscal 2011 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Army contract funds in the amount of $150,703,040 are obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website with 10 proposals received. The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3001).

Caddell Construction Co., Inc., Montgomery, Ala., is being awarded a $36,169,500 firm-fixed-price contract for the design and construction of a combined headquarters building and joint operations center facility at Camp Lemonnier, Djibouti. The work to be performed provides for the design and construction of a multi-story building consisting of administrative space, open and private offices, and multi-purpose conference rooms. There will be open storage secure areas with compartmented areas within. The contract also contains two unexercised options, which if exercised would increase cumulative contract value to $39,484,500. Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by December 2015. Fiscal 2013 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Navy contract funds in the amount of $36,169,500 are obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website, with 13 proposals received. The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3000).

ITSI Gilbane Co., Walnut Creek, Calif., is being awarded a $16,635,737 firm-fixed-price contract for power plant upgrades at Camp Lemonnier, Djibouti. The work to be performed provides for electrical and mechanical renovations to Power Plant 2, Power Plant 3, and a modular building, Power Plant 2A. The contractor will provide and install eight new power modules to supplement the four existing power modules, as well as an overflow fuel tank and a fuel line connecting Power Plant 2 and Power Plant 3. Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by October 2014. Fiscal 2012 research development test and evaluation, Navy; fiscal 2012 operations and maintenance, Navy; and fiscal 2011 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Army contract funds in the amount of $16,635,737 are being obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website, with 10 proposals received. The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3006).

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:45
US Relocates Drones Airfield After Djibouti Crashes

Sep. 25, 2013 – Defense News (AFP)

 

WASHINGTON — The Pentagon is shifting its drone operations from a US base in Djibouti to a more remote airfield after local officials voiced concern about possible collisions with commercial aircraft, officials said Wednesday.

 

“There was a concern over what would happen if a MQ-1 (Predator drone) obstructed a runway, and that it would have a significant impact on commercial air operations,” said the official, who spoke on condition of anonymity.

 

After the attacks of Sept. 11, 2001, Camp Lemonnier — located next to the Djibouti international airport — took on crucial strategic importance for Washington as a site for stationing special operations forces and drones for assaults on al-Qaida militants in Yemen and Islamist Shabab forces in Somalia.

 

But after five accidents involving MQ-1 Predators since January 2011, the government of Djibouti demanded the Americans halt the drone flights out of Camp Lemonnier, where about 3,000 US troops are deployed, said the defense official, confirming a report in the Washington Post.

 

Under an agreement with Djibouti, the US military will move its drone fleet from Camp Lemonnier to Chabelley Airfield, about 10 kilometers southwest of the capital, according to a document from Congress authorizing defense spending for 2014.

 

Lawmakers are “aware that the government of Djibouti mandated that operations of remotely piloted aircraft (RPA) cease from Camp Lemonnier, while allowing such operations to relocate to Chabelley Airfield, Djibouti,” it said.

 

The decision to shift flights to Chabelley raised questions about Pentagon plans to spend $880 million to improve the infrastructure at Camp Lemonnier.

 

The US government plans to invest $13 million for infrastructure at Chabelley airfield to support the drone flights, according to the document. But lawmakers wrote that they remained concerned about how operations at the new location would be sustained over the long-term and at what cost.

 

The move from Camp Lemonnier to Chabelley has been under discussion for more than six months, the defense official said.

 

“We have a really strong relationship with Djibouti ... and this was a way to accommodate Djibouti in a mutually beneficial way,” the official said.

 

The official said the move might have some temporary, minor effect on current military operations in the region, but there would “no significant operational impact.”

 

Other US military aircraft, including cargo planes and fighter jets, would continue to fly out of Lemonnier, he said.

 

The French military also uses the airfield at Lemonnier for about a dozen aircraft based there.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:30
OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom

25/09/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 20 septembre 2013, la frégate type La Fayette (FLF) Aconit est engagée au sein de la Task Force 150 (TF150), la force navale de l’opération de contre-terrorisme Enduring freedom.

 

Avant de franchir le canal de Suez, la frégate Aconit a mené des entraînements avec des bâtiments de l’US Navy.

 

Le 19 septembre 2013, les hélicoptères embarqués français et américain ont effectué des exercices d’appontage. L’hélicoptère Panther du détachement 36F de l’Aconit s’est posé sur la frégate américaine USS Gravely qui a elle-même envoyé son hélicoptère Sea Hawk sur la frégate française. Ce type d’exercice permet de renforcer l’interopérabilité entre les deux marines et d’entraîner les pilotes à apponter en toute circonstance sur un bâtiment allié. En fin de matinée, les commandants en second de l’USS Stout et de l’USS Gravely se sont rendus sur l’Aconit où ils ont été reçus par son commandant. Au cours de la journée, deux officiers supérieurs américains ont embarqué à bord de l’Aconit, afin de découvrir la frégate et partager leurs savoir-faire.

 

L’USS Gravely et la frégate Aconit ont également mené plusieurs exercices ainsi qu’un ravitaillement à la mer auprès du pétrolier-ravitailleur USNS Leroy Gruman.

 

Dorénavant, la frégate Aconit et son équipage participe au volet maritime d’Enduring Freedom dans l’océan Indien. Depuis 2001, la France est engagée dans cette opération qui vise à suivre les mouvements maritimes dans une zone allant de la corne d’Afrique au golfe arabo-persique pour lutter contre le terrorisme et ses réseaux de soutien.

 

Les bâtiments français engagés dans cette opération conduisent également des entraînements et des manœuvres avec nos partenaires et alliés présents dans la zone pour renforcer l’interopérabilité de nos forces.

OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
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OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
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OEF : la FLF Aconit rejoint l’opération Enduring Freedom
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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 22:45
Camp Lemonnier, Djibouti - source washingtonpost

Camp Lemonnier, Djibouti - source washingtonpost

Sept. 25, 2013 defense-aerospace.com

(Source: US Department of Defense; issued Sept. 24, 2013)

 

Pentagon Contract Announcement

 

B.L. Harbert International LLC, Birmingham, Ala., is being awarded a $150,703,040 firm-fixed-price contract for construction of a forward operating site at Camp Lemonnier, Djibouti.

The site will be comprised of 11 buildings, site work and supporting facilities required to support current and emerging operational missions.

The following buildings will be constructed on a site that is approximately 20 acres in size: aircraft hangar, air operations center, armory, joint operations center/tactical operation center/communication center, berthing/fitness/morale, welfare and recreation facility, logistics warehouse, maritime/riggers facility, training facility, engineering facility, vehicle maintenance shop, tactical support facility, and an aircraft parking apron.

The contract also contains three unexercised options, which if exercised would increase cumulative contract value to $156,809,541.

Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by August 2016.

Fiscal 2011 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Army contract funds in the amount of $150,703,040 are obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website with 10 proposals received.

The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3001).

 

 

-- Caddell Construction Co., Inc., Montgomery, Ala., is being awarded a $36,169,500 firm-fixed-price contract for the design and construction of a combined headquarters building and joint operations center facility at Camp Lemonnier, Djibouti.

The work to be performed provides for the design and construction of a multi-story building consisting of administrative space, open and private offices, and multi-purpose conference rooms.

There will be open storage secure areas with compartmented areas within.

The contract also contains two unexercised options, which if exercised would increase cumulative contract value to $39,484,500.

Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by December 2015. Fiscal 2013 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Navy contract funds in the amount of $36,169,500 are obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website, with 13 proposals received.

The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3000).

 

 

-- ITSI Gilbane Co., Walnut Creek, Calif., is being awarded a $16,635,737 firm-fixed-price contract for power plant upgrades at Camp Lemonnier, Djibouti.

The work to be performed provides for electrical and mechanical renovations to Power Plant 2, Power Plant 3, and a modular building, Power Plant 2A.

The contractor will provide and install eight new power modules to supplement the four existing power modules, as well as an overflow fuel tank and a fuel line connecting Power Plant 2 and Power Plant 3.

Work will be performed in Djibouti, Africa, and is expected to be completed by October 2014.

Fiscal 2012 research development test and evaluation, Navy; fiscal 2012 operations and maintenance, Navy; and fiscal 2011 military construction overseas contingency operations supplemental appropriations, Army contract funds in the amount of $16,635,737 are being obligated on this award and will expire at the end of the current fiscal year. This contract was competitively procured via the Navy Electronic Commerce Online website, with 10 proposals received.

The Naval Facilities Engineering Command, Atlantic, Norfolk, Va., is the contracting activity (N62470-13-C-3006).

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 21:45
Situation en Centrafrique: Moscou tire la sonnette d'alarme

MOSCOU, 25 septembre - RIA Novosti

 

La Russie est préoccupée par la situation en République centrafricaine (RCA), a indiqué à RIA Novosti Mikhaïl Marguelov, représentant spécial du président russe pour l'Afrique et chef de la Commission des Affaires internationales du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement).

 

"C'est un Etat en décomposition dirigé par les chefs de guerre de la coalition amorphe Séléka. On est en présence d'une militarisation vertigineuse et d'une +somalisation+ du pays", a déclaré le sénateur russe.

 

Et d'ajouter que les violences se multipliaient et revêtaient un caractère interconfessionnel, risquant de déborder les frontières de la RCA.

 

M.Marguelov a participé mercredi à New York à une réunion de haut niveau consacrée à la catastrophe humanitaire en Centrafrique, déclarant que Moscou partageait les évaluations alarmantes de la situation politique, militaire et humanitaire dans ce pays africain.

 

Livrée à des bandes armées qui terrorisent la population, la Centrafrique s'enfonce dans une spirale sans fin de violences sous les yeux d'un pouvoir impuissant qui place désormais ses espoirs dans l'Onu. 1,6 million de Centrafricains, soit un tiers de la population, a besoin d'une aide humanitaire d'urgence, selon les Nations unies. Plus de 270.000 personnes ont été déplacées ou se sont réfugiées dans les pays voisins. La situation dans le pays risque d'échapper à tout contrôle.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:45
Gabon President urges international support for Africa’s fight against terrorism

25 September 2013 by Staff Writer/UN - defenceWeb

 

Citing the deadly terrorist attack at a mall in Nairobi, Kenya, President Ali Bongo of Gabon used the podium of the UN General Assembly to appeal for full global support for Africa in the battle against terrorism.

 

“Africa, which is becoming a target for terrorism, must benefit from the full support and solidarity of the international community in its effort to combat this threat,” he told the Assembly on the first day of its General Debate, noting that poverty nurtures extremism around the world and the battle against poverty must therefore remain at the centre of national policies.

 

Turning to the post-2015 development agenda, the theme of the 68th General Assembly, Bongo said attention must be paid to Africa’s priorities, such as energy, access to potable water and sustainable agriculture, as well as the realisation of those Millennium Development Goals (MDGs) not met by the target date of 2015.

 

The MDGs seek to slash extreme hunger and poverty, boost access to health care and education, achieve gender equality and environmental stability and reduce maternal and child mortality and the incidence of HIV/AIDS, all by the end of 2015, while Assembly President John Ashe says he hopes the focus on the post-2015 agenda will set the stage for sustainable development in the decades ahead.

 

Bongo underscored the need for predictable funding for development from public and private sources, the importance of combating climate change and the threat to wildlife and biodiversity and voiced his concern over conflicts in the DRC and the Central African Republic (CAR), praising the efforts of the UN peacekeeping mission in the former country.

 

He repeatedly appealed for international support. “Africa cannot face all these challenges to peace and security alone. Its efforts must receive greater support, because the destabilisation of Africa will have implications for other regions.”

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:45
Serval : un bilan chiffré

25.09.2013 Par  Frédéric Lert (FOB)

 

A l’occasion du déplacement de Jean-Yves Le Drian au Mali en début de semaine, le ministère de la Défense a publié un rapport de synthèse sur l’opération Serval et son prolongement européen avec la mission européenne de formation à l’armée malienne.

 

Voici quelques chiffres tirés du bilan de l’opération Serval (au 1er août 2013) :

 

220 tonnes de munitions saisies, dont 30 reversées aux forces maliennes. Armement capturé : 100 fusils, 150 mitrailleuses, 30 roquettes, 20 mortiers, 20 canons et 3 missiles anti aériens SA7. Le rapport cite également 200 « moyens de télécommunication » sans les détailler, 9000 litres de carburant et 12 tonnes de nitrate d’ammonium pouvant servir à la confection de mines. Les chiffres sur l’effort logistique français sont également instructifs, avec 9170 tonnes transportées par voie maritime et deux fois plus (18500) par voie aérienne, en 480 rotations explique le rapport. Soit une moyenne d’environ 40 tonnes par rotation, ce qui souligne le caractère indispensable des avions gros porteurs pour ce genre d’opération.

 

Le rapport peut être téléchargé dans son intégralité ici.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:45
EU supports Kenya in facing terrorism and its consequences

25/9/2013 EU source: European Union Ref: EU13-443EN

 

Summary: 25 September 2013, Brussels - Since the beginning of the hostage taking in the Westgate Shopping Mall in Nairobi on Saturday 21 September, the EU has been engaged to provide every possible support to the people of Kenya.

 

On Monday 23 September, Nick Westcott, Managing Director for Africa at the European External Action Service, left Brussels for Nairobi to link up with the Government, offer the EU's solidarity and support, and discuss follow-up action to combat radicalisation and financing of terrorism, both in Kenya and in the region. The EEAS and the Commission are also liaising with international partners and organisations, including Interpol, on the possible support the EU could bring.

 

Terrorism is as a global threat and as such requires a comprehensive and coordinated response. The EU is a longstanding partner of the Horn of Africa in facing terrorism and remains committed to cooperating with all countries to free the region from the scourge of Al-Shabab:

  • The Brussels conference co-organised by the EU and the Somali government on 16 September allowed to raise the international support for the government to implement its priorities, including combatting terrorism, as seen both from the New Deal Compact endorsed at the meeting and the financial support pledged (€1.8 billion overall).
  • The EU is the first donor to AMISOM, the African Union peacekeeping mission in Somalia. On 9 September, the EU announced a new funding of €124 million which will cover the period of 1 June to 31 December 2013 and bring the overall EU contribution to AMISOM to almost €600 million. The EU also calls on other donors to contribute to funding for AMISOM.
  • The EU's military training mission (EUTM Somalia) has trained in Uganda more than 3,000 Somali soldiers who have played an important role, alongside AMISOM, in recovering large areas of Somalia from Al Shabab control. In June 2013, the EUTM began activities, including mentoring and advising, in Mogadishu. The EUTM will contribute to the implementation of the Compact security objective to build the Somali National Army (SNA). 

 

EU Development cooperation with Kenya

The overall EU development cooperation with Kenya for the period 2008-2013 amounts to €391 million. Development support on the country focuses on rural development and road infrastructure but also covers macro-economic support, Trade & Private Sector Development and Good governance & Non-State Actor support.

Since peace and security are essential for the development and prosperity of any countries, other initiatives linked to security have been launched in the region, of which the Kenya and its population are direct beneficiaries. One of them is a regional project on anti-money laundering and countering financial terrorism, which will strengthen the capacities of financial intelligence units and other law enforcement bodies, as well as establish closer links between relevant authorities across the region.

The EU will organise a regional seminar on countering violent extremism in Nairobi early December, which will bring together EU and national governments from the region to identify specific interventions tailored to each partner country.

 

Humanitarian aid

The European Commission has made on 25 September 2013 an additional €25,000 of aid available to the Kenyan Red Cross Society (KRSC), its longstanding partner. This new assistance will help replenish of the Disaster Relief Emergency Fund of the International Federation of Red Cross and Red Crescent Societies (IFRC) that will support the Kenyan Red Cross society in its current efforts to give referral and blood donation services, provide community-based health care and boost the psycho-social care for the people affected by the Nairobi incident. The Commission has already contributed in recent months to strengthening the response capacity of the KRCS through capacity-building, first aid training of local volunteers, stockpiling of basic items and coordination with stakeholders. This support, for an amount of €800,000, goes on.

 

Background

High Representative / Vice-President Catherine Ashton issued a statement on Sunday 22 September, condemning the attack and pledging the EU's full support to the Kenyan authorities in handling the crisis and responding to the threat. President of the Commission Jose Manuel Barroso and President of the European Council Herman van Rompuy sent a letter to Kenyan President Uhuru Kenyatta on Monday 23 September, expressing the EU's solidary and continued commitment.

On Monday 16 September, the EU co-organised an international conference in Brussels on 'A new deal for Somalia' to support the re-establishment of a stable government, proper security and the rule of law in the country. €1.8 billion were pledged, including an additional €650 million from the European Commission.

 

For more information

EU Relations with Kenya

Humanitarian aid Kenya

EUROPEAID Kenya

Support to African Union Mission in Somalia (AMISOM)

EUTM Somalia

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 12:45
Le Kenya, base avancée d'Israël contre al-Qaida

23/09/2013 Par Marc Henry – LeFigaro.fr

 

L'État hébreu et le Kenya ont noué une véritable alliance sur le front militaire et des renseignements.

 

«Dans la lutte contre le terrorisme, Israël et le Kenya agissent main dans la main»: ces mots de condoléances du président israélien, Shimon Pérès, ne sont pas seulement des propos de circonstances. Malgré les milliers de kilomètres qui les séparent, les deux pays ont noué une véritable alliance sur le front militaire et des renseignements. Selon des médias, des «conseillers» israéliens, spécialisés dans la gestion des prises d'otages, auraient été dépêchés d'urgence à Nairobi pour aider les forces locales à neutraliser le commando islamiste qui a pris d'assaut le centre commercial Westgate de Nairobi. Ces informations n'ont pas été confirmées.

 

Une telle assistance n'aurait toutefois rien d'étonnant. Depuis des années, l'État hébreu utilise le Kenya comme base de surveillance des groupes islamistes de la mouvance d'al-Qaida qui prolifèrent en Afrique. Un «front» devenu de plus en plus «chaud», notamment depuis l'attaque suicide d'al-Qaida contre l'ambassade des États-Unis, qui avait fait plus de 200 morts en août 1998.

 

En 2002, al-Qaida a perpétré un attentat au Kenya contre un hôtel appartenant à un groupe israélien. Des kamikazes ont fait exploser un véhicule tout-terrain dans l'établissement à Monbasa tuant 13 personnes dont trois Israéliens et dix Kényans. Au même moment, une seconde catastrophe a été évitée de justesse lorsque les forces de sécurité kényanes ont trouvé deux lance-roquettes prêts à l'emploi qui devaient faire exploser au décollage un avion charter de la compagnie israélienne El Al transportant plus de 260 passagers.

 

Gardiens de la révolution

 

Plus récemment encore, en juin de l'an dernier, deux membres des gardiens de la révolution iranienne ont été arrêtés au Kenya en possession d'explosifs. Condamnés à perpétuité, ils planifiaient un attentat anti-israélien pour venger une série d'assassinats de savants atomistes iraniens que Téhéran a attribués au Mossad. L'un des accusés a affirmé devant la cour avoir été interrogé en prison par des Israéliens. Cette «intimité» est telle que selon le quotidien Haaretz, des experts israéliens dans la lutte antiterroriste ont formé des centaines de militaires et de policiers kényans aussi bien dans leur pays que lors de stages intensifs en Israël.

 

Auparavant, cette collaboration s'était déjà traduite de façon spectaculaire en 1976 lorsqu'un commando d'élite israélien avait libéré les passagers d'un avion d'Air France pris en otages par des terroristes palestiniens et allemands et détourné vers Entebbé en Ouganda. À cette occasion, le Kenya avait autorisé l'avion transportant les militaires israéliens à se ravitailler en carburant dans le plus grand secret. Une aide que les Israéliens n'ont jamais oubliée.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 11:30
Israël-Kenya, un ennemi commun : les djihadistes

24/09/2013 Par Mireille Duteil Le Point.fr

 

L'État hébreu n'a cessé de resserrer ses liens avec les pays à composante chrétienne de l'Afrique. Une alliance essentielle à sa sécurité.

 

Que cherchent donc les Israéliens au Kenya ? Pourquoi sont-ils intervenus pour secourir les otages du centre commercial Westgate de Nairobi ? Certes, cet ensemble de magasins de la capitale kényane est la propriété, en partie, de capitaux israéliens. Mais là n'est pas l'important.

 

Entre Israël et le Kenya, c'est une vieille histoire. En 1976 déjà, le commando israélien qui était intervenu à Entebbe, en Ouganda, pour libérer les passagers d'un vol Air France détourné au départ de Tel-Aviv, s'était posé auparavant à Nairobi pour se ravitailler en carburant. À l'époque, le Kenya avait été violemment critiqué par les pays arabes pour avoir aidé l'État hébreu.

 

Israël considère que la rive sud de la mer Rouge est essentielle pour sa sécurité. La montée du fondamentalisme depuis une douzaine d'années, l'arrivée d'al-Qaida, la volonté d'ouvrir des marchés sur le continent noir, autant de raisons qui ont incité les Israéliens à développer des relations avec les pays non arabes de l'Afrique de l'Est, en particulier l'Éthiopie et le Kenya. Ils ne sont pas les seuls, l'Érythrée (au moins les premières années de son indépendance), l'Ouganda, le Soudan du Sud, le Rwanda, la Tanzanie, toute cette vaste région pro-occidentale et partiellement chrétienne entretient des relations avec l'État hébreu.

 

Suite de l’article

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 07:45
Qui sont les shebab somaliens?

24.09.2013 BBC Afrique
 

Le groupe militant islamiste somalien shebab a revendiqué l’attaque du centre commercial Westgate à Nairobi au Kenya.

 

Qui sont les shebab somaliens?

Al-Shabaab signifie “la jeunesse” en arabe.

Le groupe a émergé commet aile militaire radicale de l'Union des tribunaux islamiques en Somalie, et s’est fait connaître en 2006 en combattant les forces éthiopiennes venues soutenir le gouvernement somalien de transition.

Le groupe jihadiste a occupé Mogadiscio avant que les forces de l’Union Africaine ne le chasse de la capitale, mais il contrôle toujours les campagnes du sud et mène régulièrement des attaques dans la capitale.

Les shebab adhèrent à la vision salafiste de l’Islam, inspirée de l’Arabie saoudite, qui inclut la lapidation à mort des femmes accusées d’adultère et l’amputation des mains des personnes accusées de vols.

La plupart des Somaliens sont sunnites.

Les shebab ont formé une alliance avec al-Qaida, et selon de plusieurs sources, de nombreux jijadistes étrangers sont allé en Somalie pour prêter main forte aux shebab.

Leur nombre est estimé à entre 5.000 et 9.000.

 

Qui est leur leader?

La direction du groupe a fait l’objet de violentes rivalités ces derniers mois, car le groupe est confronté à des pertes de territoires, une baisse de ses sources de financement et une scission idéologique qui oppose ceux visent des priorités domestiques et ceux qui souhaitent mener un jihad international.

Ahmed Abdi Godane, dit Mokthar Abu Zoubayr, a pris l'ascendant sur les shebab.

Rarement aperçu en public, il est originaire du Somaliland, région du nord de la Somalie qui a déclaré son indépendance.

Son prédécesseur Moalim Aden Hashi Ayro a été tué en 2008 dans un raid aérien américain.

Ahmed Abdi Godane est l’instigateur de l’alliance du groupe avec Al-Qaida, et est partisan d’une ligne dure et du jihad international.

Sa tête est mise à prix par les Américains pour 7 millions de dollars.

Son rival Sheik Hassan Dahir Aweys était partisan d’une lutte axée sur la Somalie.

Plusieurs de ses alliés et été tués, et il s’est rendu au gouvernement.

 

Quelle zone de Somalie les shebabs contrôlent-ils?

Les shebab avaient pris le contrôle de quasiment l’ensemble de la capitale Mogadiscio en 2006, et de large portions du centre et du sud de la Somalie jusqu’à l’intervention des forces de l’Union Africaine en 2011.

Le groupe a été chassé de Mogadiscio en 2011, et de la ville portuaire de Kismayo en septembre 2012, qui constituait un bastion clé du groupe.

Il contrôle toujours de larges zones rurales, notamment dans le sud, où il a imposé la charia.

Les shebab mènent toujours de nombreux attentats suicides à Mogadiscio et ailleurs.

Les analystes estiment que le groupe se concentre de plus en plus sur des techniques de guerilla pour contrer la puissance de feu des forces de l’UA.

Le groupe est pressurisé sur plusieurs fronts depuis l’incursion des forces kényanes en Somalie en 2011, désormais sous la bannière de l’UA.

 

De quels soutiens étrangers les shebab disposent-ils?

Les shebab ont annoncé leur alliance avec al-Qaida en février 2012.

Dans une vidéo commune, le leader des shebab Ahmed Abdi Godane a prêté son allégeance au chef d’Al-Qaida Ayman al-Zawahiri.

Les deux groupes travaillent ensemble, et des combattants étrangers combattent aux coté des Somaliens, venus notamment du Kenya, d’Ouganda, de Tanzanie ou de l’Occident.

Les responsables américains pensent qu’étant donné le repli d’Al-Qaida en Afghanistan et au Pakistan depuis la mort d’Osama Ben Laden, ses combattants se réfugient de plus en plus en Somalie.

Hostiles à toute intervention occidentale, les shebab ont interdit toute aide alimentaire en 2011 des zones qu’ils contrôlent, et chassé les ONG.

L’Erythrée est le seul allié régional des shebab, pour contrer l’influence de son ennemi juré l’Ethiopie, qui avait envoyé ses soldats en Somalie entre 2006 et 2009.

L’Erythrée dément fournir des armes aux shebab.

 

Comment sont financé les shebab?

Dans un rapport publié par l’ONU, les revenus du groupe étaient estimés à entre 70 et 100 millions de dollars US en 2011, essentiellement des taxes portuaires.

Ces revenus ont disparus depuis la perte de Mogadiscio et Kismayo.

L’ONU a demandé aux pays du Moyen Orient de mettre fin à un trafic illégal de charbon de bois qui contribue au financement des shebab, en violation des sanctions internationales.

 

Pourquoi viser le Kenya?

Les shebab ont pris pour cible le Kenya depuis l’envoi de soldats kényans dans le sud de la Somalie en octobre 2011.

Ces soldats ont ensuite été intégrés dans la force de l’Union africaine.

 

Quelles attaques les sheb ont-ils mené hors de Somalie?

Les shebabs ont revendiqué l’attaque meurtrière du centre commercial Westland à Nairobi le 21 sepetembre 2013.

Ils sont responsables d’un double attentat suicide dans la capitale ougandaise Kamapala, qui avait fait 76 morts en 2010 parmi des spectateurs qui regardaient la Coupe du Monde de football.

L’Ouganda avait été visé car il fournit en troupes la force de l’UA en Somalie, de meme que le Burundi.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 07:45
Somalie: renforcer le contingent de l'UA après l'attentat au Kenya (Onu)

MOSCOU, 24 septembre - RIA Novosti

 

Le représentant spécial de l'Onu pour la Somalie Nicolas Kay a appelé mardi à augmenter les effectifs du contingent de l'Union africaine (UA) dans le pays afin d'intensifier la lutte contre le mouvement terroriste al-Chabaab, auteur de l'attentat perpétré dans la capitale kényane Nairobi.

 

"La sécurité reste le problème essentiel de la région, et la victoire sur al-Chabaab est la clé de sa résolution", a déclaré M.Kay, cité par les médias internationaux.

 

Et d'ajouter que ce mouvement islamiste regroupant près de 5.000 combattants représentait une sérieuse menace sur le plan international.

 

La Somalie est déchirée par des combats entre factions depuis 1991 et confrontée à de graves problèmes, dont le terrorisme, la piraterie et une situation sécuritaire précaire, surtout dans le sud du pays.

 

Sur décision du Conseil de sécurité des Nations unies, environ 18.000 soldats et policiers sont actuellement déployés en Somalie dans le cadre de la Mission de l'UA (AMISOM). Cette mission a pour tâche de diminuer la menace constituée par al-Chabaab et d'autres groupes d'insurgés islamistes, de protéger le gouvernement somalien et tous les participants au processus de dialogue et de réconciliation en Somalie, de réunir les conditions nécessaires à l'octroi d'aides humanitaires aux personnes en détresse.

 

Un commando islamiste a attaqué samedi 21 septembre le centre commercial huppé Westgate, dans le centre de Nairobi, prenant en otages tous ses visiteurs. L'attaque a été revendiquée par le mouvement radical al-Chabaab, proche de la nébuleuse terroriste Al-Qaïda. Selon le dernier bilan, l'attaque a fait 62 morts, dont des Français, des Canadiens, des Britanniques, des Sud-Coréens et des membres de la famille du président kényan, ainsi qu'environ 200 blessés. Lundi, l'armée kenyane a libéré près de 200 otages retenus par les assaillants.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 06:45
Africa’s Coming Drone Wars

September 24, 2013 @PeterDoerrie - war-is-boring

 

Drones are useless against advanced enemies, so “pivot to Asia” actually means “drones to Africa”

 

Not too long ago, Mohamed Bazoum, the foreign minister of the western African nation of Niger gave a provocative endorsement to unrestricted drone warfare. The target: drug dealers moving their wares through the country — along with everyone else who makes money from the narcotics trade.

“I would really welcome armed drones to shoot down drug traffickers,” Bazoum said. “And all those who live from activities linked to drug trafficking. I don’t see why that shouldn’t be possible.”

It’s not, yet. But Niger’s government has gotten a taste of the capabilities of U.S. drones with the deployment of two MQ-9 Reapers (the successor of the pop-culture famous Predator drone) to a base near Niamey, Niger’s capital, in February. The unmanned planes are armed with only cameras and sensors — not bombs — but Niger’s government isn’t the only African nation that’s acquired a taste for more.

Many African states sport huge territories, of which large swathes of land are only sparsely inhabited. This is exploited by armed rebel groups all over the continent, who use the remote areas to prepare for attacks.

Some of these groups, like Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) or Al Shabaab in Somalia have made international headlines in recent years, ousting the government from large parts of the national territory in Mali and Somalia, respectively. Al Shabaab is believed to be responsible for carrying out the worst terrorist attack in Kenya since the 1998 embassy bombings.

The U.S. government probably wouldn’t have cared very much, but both AQIM and Al Shabaab are Islamist groups with strong links with Al Qaeda in Pakistan and Yemen, and members of the African affiliates have been involved with organizing and staging terrorist attacks abroad.

Other armed groups — both Islamist and others — kindle the interest of U.S. militaries and policy makers as well. Boko Haram is another Al Qaeda affiliated group that’s in open warfare with the Nigerian government. The defeat of Uganda’s Lord’s Resistance Army (though now active in the Democratic Republic of the Congo and Central African Republic) has been made a cause célèbre by American advocacy groups. Various rebel groups in eastern Congo have made it on the government’s radar as well.

Last but not least, there are a range of other armed groups with little impact on U.S. interests directly, but which are a huge thorn in the sides of important U.S. allies — the Oromo Liberation Front in Ethiopia is a case in point.

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 21:45
Mali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationales

24/09/2013 Sources : EMA

 

Les 22 et 23 septembre 2013, monsieur Jean-Yves Le Drian s’est rendu au Mali, afin de rencontrer les militaires de la brigade Serval basés à Gao, puis le détachement de la mission européenne de formation de l’armée malienne, EUTM Mali, basé à Koulikoro.

 

Répondant à une invitation des autorités maliennes lancée à l’occasion de la fête nationale du Mali, le ministre de la défense a profité de sa présence dans le pays pour aller plus longuement à la rencontre des autorités des forces armées maliennes et de la MINUSMA.

 

Le ministre, accompagné du général de division Foucaud, commandant l’opération Serval, a reçu un point de situation sur les opérations en cours ainsi que sur la situation sécuritaire dans la zone d’opération de la brigade Serval. Il s’est ensuite entretenu avec les autorités militaires de l’armée malienne, d’une part et avec celles de la MINUSMA, d’autre part. Dans son discours de fin de visite, le ministre s’est adressé aux militaires français, ainsi qu’aux autorités maliennes et africaines pour rappeler que la mission des troupes françaises au Mali était de participer à la sécurisation du pays dans la durée, en soutenant la montée en puissance de la MINUSMA et la reconstruction de l'armée malienne. En conclusion, il a annoncé qu’un contingent d’un millier de soldats français resterait au Mali pour accompagner la reconstruction de ce pays.

 

Sur le camp de Koulikoro, deuxième étape de la visite du ministre, M. Jean Yves Le Drian a rencontré les instructeurs français et européens de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali). Après avoir achevé la formation du bataillon Elou, ces derniers sont dès à présent engagés dans un nouveau cycle d’instruction. Avec les officiers qui en formeront l’ossature, ils préparent la formation du 3e bataillon qui débutera à la fin du mois. Dans un discours qu’il a prononcé en présence de tous les instructeurs européens, le ministre a souligné le succès européen de cette mission au service de la paix, rappelant qu' « il ne pouvait y avoir de rétablissement de l’intégrité territoriale du Mali sans le rétablissement de sa capacité militaire ».

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien au titre de Serval et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA. Enfin, près de 110 militaires français participent à la mission européenne de formation de l’armée malienne, EUTM Mali.

Mali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationalesMali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationales
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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 18:09
Nairobi : fin du siège du Westgate

24/09/2013 à 19:00 Par Le Figaro.fr (AFP)

 

Le président kényan Uhuru Kenyatta a annoncé ce soir que le siège du centre commercial Westgate de Nairobi, occupé depuis samedi par un commando islamiste armé, était terminé.

 

«Nous avons humilié et vaincu nos assaillants», a déclaré le président, précisant que «cinq terroristes ont été tués par balles, et onze suspects sont en détention».

 

L'attaque du centre commercial a fait 67 morts, dont 61 civils et six membres des forces de l'ordre.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 16:45
22-23 septembre 2013 - Jean-Yves Le Drian en visite au Mali

24/09/2013 Ministère de la Défense

 

Trois jours après l’investiture d’Ibrahim Boubacar Keïta, nouveau président de la République du Mali à laquelle François Hollande a participé, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Mali pour représenter la France à l’occasion de la Fête nationale malienne et des 53 ans de la création de l’Etat.

 

C’est la cinquième fois que le ministre de la Défense se rend au Mali depuis le début de l’opération Serval, le 11 janvier dernier. Cette visite qui succède à l’élection du président malien symbolise la réussite de l’intervention française au Mali.

 

Après avoir assisté dimanche dernier à la cérémonie militaire organisée au Camp du génie, à Bamako, le ministre s’est exprimé devant les forces françaises de l’opération Serval à Gao. A l’occasion du début de la session de formation du troisième bataillon malien, lundi 23 septembre, le ministre s’est rendu sur le camp de Koulikoro, au nord de Bamako, pour y rencontrer les éléments de la Mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM). En fin de journée, le ministre a rencontré les nouvelles autorités politiques maliennes, et notamment son homologue Soumeylou Boubèye Maïga, ministre malien de la Défense et des anciens combattants.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 15:55
Serval, quand l’armée filme la guerre - Jeudi 17 octobre à 20h45

24.09.2013 France 2 - Envoyé Spécial

 

Document écrit  par Jean-Christophe Notin et Martin Blanchard

Réalisé par Martin Blanchard, produit par  Kuiv – Michel Rotman

 

Un document exclusif.

 

L’opération Serval au Mali est une guerre sans images pour la presse. Pourtant, dès le premier jour de l’intervention, le 11 janvier 2013, l’armée française a tout filmé ou presque. Ces images jusqu’à présent inédites ont été tournées par des cameramen militaires. Une guerre à huit clos, menée d’abord par l’aviation et les très discrètes Forces Spéciales.

 

Pour la première fois, des journalistes ont pu avoir accès à ces images tournées par l’armée dès le début  du conflit. Des images qui permettent de comprendre quel est l’ennemi que l’armée a combattu et affronte encore au Mali. Avec ce document, on découvre également comment et avec quels moyens se battent les djihadistes.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:45
Bientôt un accord de Défense et de coopération militaire entre le Mali et la France

2013-09-24 xinhua

 

Le ministre malien de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga a annoncé lundi la signature d'un accord de défense et coopération militaire entre son pays et la France, à l'issue d'un entretien avec son homologue français Jean-Yves Le Drian en visite au Mali.

 

Cet accord vise à renforcer davantage sur la coopération entre les deux pays, a précisé le ministre malien de la Défense sur les antennes de la télévision nationale ORTM.

 

Le ministre Maïga a exprimé un besoin, celui d'une formation plus spécialisée des militaires maliens, en plus de celle dispensée par l'EUTM (Mission de formation des militaires maliens par l'Union européenne).

 

L'entretien entre le ministre de la Défense et son hôte ont porté sur le suivi de l'opération Serval, l'appui de l'EUTM ( Mission de formation des militaires maliens par l'Union européenne) , qui entamera très prochainement la formation du 3è bataillon après "Waraba" et "Elou".

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:45
Don't confuse piracy off the West African coast with Somali piracy in the East

09/23/2013 Andrew Elwell - DefenceIQ

 

Somali piracy in the Gulf of Aden was a $150 million business in 2011, the result of tens of thousands of hijackings. A report by the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC) states that in 2013, this has fallen to zero. Nothing. Not one successful hijacking for ransom.

 

That’s an astonishing turnaround. The report, Transnational Organized Crime in Eastern Africa: A Threat Assessment, asserts that international cooperation has been pivotal to eradicating the issue of East African piracy.

But what about piracy off the West coast of Africa?

While piracy in the Gulf of Aden has been contained, the Gulf of Guinea off the Nigerian coast now offers a new challenge for African security forces.

“The Gulf of Guinea has become one of the most dangerous maritime areas in the world and piracy and sea robbery have become one of the most potent threats,” said Ghana’s Chief of Naval Staff, Rear Admiral Geofrey Biekro, at a recent conference on maritime security in Africa. “Therefore, criminal gangs are taking advantage of our failure to collaborate at the operational and tactical levels. They commit offence in territorial waters of one country and then move to another country for protection.”

While the piracy problem has migrated west, it appears the solution remains the same: international and regional cooperation.

However, there are two vital points that must be considered before governments and organisations in the region can even think about tackling the piracy issue on the west coast, according to a Defence IQ source who wished to remain anonymous with knowledge of the matter.

“From what I read about the initiatives taken in the Gulf of Guinea they are about to reproduce what has been done in Somalia, without [first] taking into account that it is a completely different issue since the networks are linked to oil smuggling, not piracy for ransom. And [second], building on the following lesson learnt: going after the guys at sea without going after the kingpins misses the point.”

If private security companies take a hold in the Gulf of Guinea they will be able to stamp out the pirates by systematically targeting and apprehending them. However, by the time this happens the organisations propping up the pirates will have accumulated so much money they will pose an even bigger threat on land.

“The criminal groups will need to find a new purpose for their newly acquired capabilities [such as weapons, trucks, soldiers, front companies, bribed officials] that they accumulated on land when everyone was busy sending navies and putting young boys in prisons,” our source said.

If piracy off the Nigerian coast is not to hasten the expansion of well connected, armed, motivated and radical criminal groups in Africa the problem must be addressed at the root and not with the pirates at sea. The only way this can come about is if international governments and organisations commit to information sharing within a framework of greater regional cooperation to identify and weed out the “kingpins” behind the piracy problem.

AFSEC 14 – the West African Coastal Surveillance and Maritime Security Summit – will allow key stakeholders to share best practice and push for greater regional integration and cooperation in the area of African maritime security and law-enforcement. To find out more please visit the website www.afsecevent.com.

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