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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:45
Rheinmetall Wins Order for Mortar Ammo

September 5, 2013 defense-aerospace.com    

(Source: Rheinmetall AG; issued Sept. 4, 2013)

 

Rheinmetall Wins Multi-Million Euro Contract for Mortar Ammunition

 

Rheinmetall AG of Düsseldorf has booked a major order for mortar ammunition. A customer in the Middle East/ North Africa (MENA) region has contracted with Rheinmetall Denel Munition of South Africa to supply ammunition for a mobile 120mm mortar system. The contract, which runs for several years and will be completed in partnership with a local company in the customer land, is worth around €50 million.

 

Delivery of the ammunition starts in September 2014. The order encompasses tens of thousands of service, illumination and smoke/obscurant rounds. They are developed for a modern 120mm mobile mortar system, with ballistic characteristics specifically adapted to its advanced fire control unit. The ammunition’s range of over 8,000 metres and proven performance in battle underpin its leading role in the market and with it, Rheinmetall’s technological leadership.

 

Just awarded, the contract issued by the MENA-customer is the culmination of cooperation between the project participants from the world of vehicles, weapons and ammunition, and fire control technology. Moreover, the order is an important endorsement for the use of Rheinmetall ammunition in the mobile 120mm mortar system, and a significant sign of possible orders to come from other customers in the MENA region.

 

Rheinmetall also sees the order as a validation of its strategy of internationalization. A presence in the MENA region and entering into strategic partnerships could assist the Düsseldorf-based Group to further strengthen its reputation as a reliable partner of the military as well as local industry.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 06:30
McAfee implante à Dubaï son premier centre dédié à la cyber-défense

03.09.2013 par Marc Jacob - globalsecuritymag.fr

 

McAfee annonce l’ouverture de son premier centre de cyber-défense à Dubaï. Ce centre a pour objectif d’évaluer le risque des menaces, d’éduquer les clients et d’apporter des réponses rapides aux éventuels incidents qui se produisent dans les organisations de la région (Europe, Moyen-Orient et Afrique).

 

Ce nouveau centre arrive à point nommé pour les entreprises de la zone EMEA qui ont été les témoins de nombreuses attaques cette année. Il sera également un outil supplémentaire pour aider les économies émergentes à se protéger des menaces aussitôt qu’elles seront détectées. Les différents gouvernements de la région ont investi massivement dans de nouvelles solutions pour prévenir et minimiser l’impact des cyberattaques. Ces derniers travailleront en étroite collaboration avec le centre de cyber-défense de McAfee afin d’améliorer la protection.

 

Le paysage des menaces, en constante évolution, a stimulé l’émergence de services de sécurité sophistiqués alliant de solides compétences à une expérience reconnue sur le marché EMEA. Le centre fournira non seulement des services de réponses urgentes aux incidents détectés, des services de recherche et d’expertise (avec le soutien du nouveau laboratoire de recherche de McAfee récemment implanté à Dubaï), mais également des services stratégiques uniques : « Contextual Threat Intelligence », « Open Source Intelligence » enquête, évaluation des défenses contre les dénis de service distribués, recherche scientifique et analyse de la dangerosité des malware ciblés.

 

L’équipe du centre de cyber-défense est composé de consultants experts, cumulant plus de 70 ans d’expérience dans le traitement de réponses aux cyberattaques dans les secteurs public et privé.

 

L’ouverture de ce centre permet désormais à McAfee de disposer d’une présence importante dans la région EMEA, lui permettant ainsi de conseiller les entreprises sur les meilleures façons de protéger leurs actifs et de maximiser leurs objectifs d’affaires grâce à des mesures de sécurité renforcées.

 

En 2013, une augmentation considérable du nombre de logiciels malveillants et d’attaques ciblées contre les organisations présentes dans la zone EMEA a été constatée. À titre d’exemple, l’Ukraine et la Biélorussie ont toutes deux enregistré une augmentation du spam de plus de 200 % au 2ème trimestre 2013. Au Moyen-Orient, le centre de cyber-défense suit de près une famille de programmes malveillants visant à voler des données financières, type de programme très actif dans des pays comme l’Arabie saoudite, les Emirats Arabes Unis ou encore le Qatar.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 05:45
Deux MQ-9 Reaper français opérationnels au Sahel d’ici fin 2013

03.09.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian l’a affirmé haut et fort cet après-midi à la fin de son audition par la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées : Il y aura bien deux MQ-9 Reaper présents dans la région du Sahel fin 2013. « Les deux Reaper commandés seront opérationnels à la fin de cette année » a déclaré Jean-Yves Le Drian, confirmant ainsi que la France allait bien réceptionner deux drones MALE MQ-9 fabriqués par General Atomics.

 

La notification d’achat avait été transmise au Congrès américain le 27 juin dernier et concernait 16 drones ainsi que le matériel associé. Début juin, le ministre avait confirmé l’achat de douze Reaper, ajoutant que les deux premiers devraient rapidement être déployés dans la région du Sahel pour pallier au manque de moyens de surveillance et de renseignement.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 11:45
Russie-Afrique du Sud: vers une coproduction d'hélicoptères (Lavrov)

MOSCOU, 2 septembre - RIA Novosti

 

La Russie et l'Afrique du Sud envisagent de lancer une production conjointe d'hélicoptères, a annoncé lundi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov à l'issue de négociations avec son homologue sud-africaine Maite Nkoana-Mashabane.

 

Les deux pays ont conçu "des projets intéressants en matière de construction aéronautique", a indiqué M. Lavrov.

 

"Nous envisageons de produire un hélicoptère polyvalent léger conjointement avec nos amis sud-africains", a précisé le ministre.

 

Il a également fait savoir qu'en mars dernier, la Russie avait ouvert à Johannesburg un "centre d'entretien d'hélicoptères de fabrication russe". Selon M. Lavrov, ce centre "suscite déjà l'intérêt d'autres pays de la région".

 

Le chef de la diplomatie russe a en outre annoncé que Moscou et Pretoria avaient défini les conditions d'ouverture d'une représentation commerciale russe en République sud-africaine.

 

Mme Nkoana-Mashabane a pour sa part souligné que l'ouverture de cette représentation contribuerait à resserrer les liens économiques entre la Russie et l'Afrique du Sud. D'après la ministre des Relations internationales, il s'agit d'un nouveau témoignage du potentiel important qui caractérise la coopération entre les deux pays.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 11:45
Le navire amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca.

Le navire amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca.

 

 

2 Septembre 2013 - Abdelhakim Hamdane, LE MATIN

 

Les faits : La visite du navire s’inscrit dans le cadre des relations bilatérales entre les Pays-Bas et le Maroc. Au programme, des manœuvres exceptionnelles et des exercices conjoints entre les Marines des deux bords.

 

«HNLMS Rotterdam», un nom qui semble directement sorti d’un centre de recherche scientifique. Ce n’est ni plus ni moins que le nom d’un navire de guerre appartenant à la Marine royale néerlandaise. Entré en service en 1998, ce navire de transport amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca. Plusieurs activités sont programmées durant la visite de ce monstre des mers. Les relations bilatérales entre le Maroc et les Pays-Bas seront également à l’ordre du jour à travers des conférences et des rencontres prévues en marge de cette visite.

«Les objectifs de la visite du HNLMS Rotterdam s’inscrivent dans le cadre des excellentes relations entre les Pays-Bas et le Maroc.

 

Celles-ci seront également à l’ordre du jour, tout comme les opportunités de développement futures au niveau des relations économiques entre les deux pays», indique un communiqué de l’ambassade du Royaume des Pays-Bas.

À cet effet, une conférence était programmée hier, lundi, à bord du HNLMS Rotterdam. Conférence qui devait traiter de l’objet de la visite du navire en question, mais aussi des différents aspects de la coopération économique maroco-néerlandaise. Les organisateurs ont également concocté un «Special Hollande 2013» pour l’occasion. «La Division économique de l’ambassade présentera à cette occasion ses activités et ses missions réalisées à ce jour, ainsi que les opportunités de développement futures au niveau des relations économiques avec le Maroc», souligne la même source.

 

Parallèlement, en marge de cette visite, des exercices conjoints de la Marine marocaine et de son homologue néerlandaise sont au menu, et ce, le 5 septembre prochain. On annonce que des manœuvres exceptionnelles se dérouleront ce jour-là, et auxquelles se livreront les Marines des deux bords.

«Toutes les unités participant à ce déploiement vont s’entraîner et s’exercer dans l’environnement porteur de défis du littoral de l’Afrique de l’Ouest. Elles vont aussi agir en support de l'African Partnership Station qui est un programme initié par les USA. La Marine néerlandaise est un partenaire attitré de ce programme et nous attendons avec impatience de continuer notre contribution à l’APS», indique-t-on.

 

À ce titre, il est à rappeler que les Pays-Bas sont partisans des engagements préventifs en vertu des lois et règlements internationaux, et grâce aux organisations régionales pour la sécurité et la sûreté et pour la promotion d’une plus grande stabilité au moyen d’une approche compréhensive pour la paix, la sécurité et le développement économique. «De par la loi, les forces armées néerlandaises, et donc aussi la Marine, sont un instrument pour supporter cette politique. Le HNLMS Rotterdam et les unités embarquées ont toutes les capacités nécessaires pour supporter l’APS et assister pour la construction d’une capacité maritime régionale en Afrique de l’Ouest pour arriver à une sécurité maritime réelle et veiller à un environnement maritime sûr», souligne la même source.

 

La sécurité en haute mer

 

«Les Pays-Bas collaborent avec les partenaires internationaux aussi bien militaires que civils. La Marine royale est rodée à ce genre de collaborations avec différents départements, agences et ONG, comme le NABC (Netherlands African Business Council), ce qui contribue à atteindre un bon résultat dans des programmes d’assistance comme l’APS (African Partnership Station), ainsi qu’à la réalisation des objectifs de African Winds 2013. Le HNLMS Rotterdam ne va pas seulement entraîner les partenaires africains, mais va aussi servir de plateforme pour des événements commerciaux de haut niveau dans les principaux ports de l’Afrique de l’Ouest, afin d’améliorer les opportunités entre commerciaux africains et néerlandais et ainsi accroître la prospérité régionale. À travers le déploiement de l’African Winds, la Marine néerlandaise et ses partenaires internationaux participent à la sécurité mondiale sur mer et depuis la mer. C’est pourquoi la mission du déploiement African Winds 2013 est définie comme “3D” (défense, développent et diplomatie) depuis la mer».

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 20:45
Serval : contrôle de zone dans la région de Gao

02/09/2013 Sources : EMA

 

Du 13 au 25 août 2013, la brigade Serval a conduit une opération de contrôle de zone au nord-est de Gao, principalement entre les villes de Djebok et Almoustarat.

 

La force Serval poursuit ses opérations de sécurisation et de fouille dans le Nord du Mali. Dans ce cadre, près de 200 militaires dont des gendarmes maliens, et une trentaine de véhicules ont été engagés dans l’opération baptisée « Anaconda 2 ». Cette opération avait pour objectif de contrôler une zone comprise entre les villes de Djebok et Almoustarat, au nord est de Gao, de reconnaître les différents axes de communication et de fouiller des objectifs réputés ou susceptibles d’abriter des caches d’armes.

 

Dans un premier temps, le sous-groupement a reconnu les dunes de Tadjibart et Tchidia non loin de la ville de Djebok. Lors des fouilles réalisées par les sapeurs du détachement du génie d’aide au déploiement (DGAD), plusieurs armes automatiques de type Kalachnikov, un pistolet, des munitions et des grenades à main ont été décelés et confisqués.

 

Confronté à de fortes précipitations, la colonne a fait mouvement vers le Nord pour la seconde phase de l’opération. En rejoignant le village de Almoustarat le 18 août en début d’après-midi, la force Serval a marqué sa présence en reconnaissant un grand nombre d’axes pouvant être utilisé pour assurer le transport d’armes ou de munitions. Une fois encore grâce aux renseignements obtenus au contact de la population et au gré de fouilles ciblées ou d’opportunité, plusieurs centaines de munitions de petit calibre ainsi que des explosifs et leurs détonateurs ont été saisis. En s’appuyant sur des informations glanées auprès des populations, le sous-groupement a mis à jour les vestiges de positions de défense qui devaient permettre aux terroristes d'assurer le contrôle de l'axe Gao/Kidal entre Almoustarat l’ouest et Anoumallene à l’est.

 

Le sous-groupement a été désengagé le 25 août. Cette opération n’a pas donné lieu à des accrochages avec les groupes terroristes, ces derniers ayant quitté la zone ou évité tout contact.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : contrôle de zone dans la région de GaoServal : contrôle de zone dans la région de Gao
Serval : contrôle de zone dans la région de Gao
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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 19:34
Mali : 2000 heures de vol pour le détachement Harfang

02/09/2013 Sources : EMA

 

Dans la nuit du 15 au 16 août 2013,  le détachement Harfang a passé  la barre symbolique des 2000 heures de vol en soutien de l’opération Serval.

 

Engagé depuis le 17 janvier en soutien des opérations françaises au Mali, le détachement  Harfang de l’escadron de drones 1/33 Belfort a effectué en sept mois deux mille heures de vol.

 

Le détachement Harfang a été de tous les combats depuis le déclenchement de l’opération Serval. Apportant une contribution conséquente au recueil de renseignement sur le théâtre grâce à ses capteurs et à sa capacité à durer sur zone, le Harfang a également mis à profit ses capacités de détection pour  aider les aéronefs de l’armée de l’Air et de la Marine nationale à acquérir et engager des cibles ennemies. Grâce à l’illuminateur laser embarqué sur le drone, les équipages ont ainsi guidé sur leur objectif des bombes de précision tirées par d’autres aéronefs.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, ainsi qu’à appuyer le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 11:55
Vive le désarmement….. ! (SDBR)

by Alain Establier Security Defense Business Review • 03 Septembre 2013 • N° 89

 

En ce jour de rentrée, quel est l’état de la Menace* dans le monde?

 

Le continent africain est toujours le continent de l’insécurité et de l’apparition brutale de foyers de tensions interethniques et de rivalités de voisinage, agrémentés d’exactions liées au djihadisme islamique, à la délinquance brutale (rapts, piraterie maritime) et au contrôle de zones de trafics illicites en tous genres. Il y a peu de pays dont on peut dire qu’ils sont aujourd’hui des zones de tranquillité absolue et qu’ils le resteront dans les 15 ans qui viennent, délai nécessaire pour envisager des programmes d’investissement économiques conséquents. Les seuls endroits de relative tranquillité sont ceux qui bénéficient d’un pouvoir militaire fort ou de bases de soutien d’une force étrangère, celui de la France en particulier.

 

Le Moyen-Orient (Egypte, péninsule arabique, Israël, Liban, Turquie, Syrie, Irak et Iran), reste un foyer de haute tension et peut entrainer une conflagration généralisée entre sunnites et chiites (sur le modèle de la guerre Iran-Irak de 1980 à 1988, par exemple). Mais, pour peu que les occidentaux s’abstiennent pour une fois de jouer les pyromanes, ce vaste territoire peut aussi s’apaiser si la Turquie redevient un état laïc (ce qu’elle n’est plus), que l’Iran est respecté en tant que grand pays et que la péninsule arabique est mise au pas pour cesser d’alimenter des foyers d’agitation islamique un peu partout. Contrairement aux apparences, il semble que les américains aient enfin compris cela et la France non.

 

Une menace multipolaire

 

En Asie, les raisons qui ont commandé l’intervention française en Afghanistan il y a 12 ans demeurent : menaces de l’islam obscurantiste, culture industrielle du pavot, exportation du haschich et de l’opium, menaces sur le voisin indien, risques de réinstallation de centres d’entrainements de djihadistes, etc. Au Pakistan, puissance nucléaire, la situation politique est fragile, les assassinats politiques ou religieux sont fréquents et les talibans contrôlent de nombreuses zones dans le nord du pays. Les tensions avec l’Inde sont permanentes dans la région du Cachemire et il ne faudrait pas grand-chose pour déclencher un conflit entre ces 2 pays. Dans ce cas, les accords de coopération de défense passés entre la France et l’Inde pourraient-il s’étendre à des accords purs de défense de notre partenaire ? La question est posée, car ses conséquences pourraient amener la France à revenir armée dans la région. L’histoire n’est-elle pas un éternel recommencement ? Pas seulement anecdotique est le conflit de frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, autour du temple de Preah Vihear, plaidé en ce moment devant le tribunal international de La Haye et dont la réponse est attendue à l’automne. Le verdict ne va-t-il pas entrainer un coup de force du perdant ? Rappelons que la France est liée historiquement au Cambodge, même si c’est une dictature communiste déguisée. Enfin, on ne peut minimiser ce qui se passe en Mer du Japon où un dictateur fou joue avec le feu en Corée du nord, face à la Corée du sud et au Japon, pendant que la Chine flatte son nationalisme en revendiquant quelques ilots japonais au sous-sol riche en matières premières. Les États-Unis sont en première ligne mais, au même titre qu’en Afghanistan, la France pourrait se trouver un jour astreinte à la solidarité avec l’OTAN !

 

Enfin, l’Europe n’est pas forcément ce continent tranquille qu’on nous décrit car son flan sud-est (Kosovo, Macédoine, Grèce, Roumanie, Ukraine) peut très bien se retrouver un jour embrasé par des problèmes avec des populations islamiques soutenues par la Turquie et des pays du Golfe. L’islam représente 90% de la population du Kosovo, 70% de l’Albanie, près de 50% de la Bosnie-Herzégovine et plus d’un tiers de la Macédoine. Il ne faut pas être voyant pour deviner que les Balkans resteront une poudrière.

 

Un désarmement coupable !

 

Et pendant ce temps-là, les budgets de défense des pays européens continuent de décroitre (tombant en dessous de 1,50% des PIB des Etats, encore moins pour la France sur la nouvelle LPM), les troupes combattantes diminuent en nombre et les investissements en matières de recherche et développement stagnent ou décroissent selon les pays, le tout commandé par des arbitrages dans les postes budgétaires, un certain goût pour la neutralité (tant que c’est loin, cela ne nous concerne pas) et le confort trompeur du parapluie américain qui a besoin de débouchés commerciaux. En France, on continue de désosser gentiment des régiments et de désertifier des villes moyennes, ce qui a un double impact civil et militaire (c’est l’effet dual au sens pervers du terme) ! On y ajoute l’achat de chaînes complètes de renseignement (drones) hors Europe sans que les syndicats soi-disant attachés aux emplois français ne s’en émeuvent, ce qui démontre leur inutilité.

 

Au final le réveil sera sans doute pénible, car un jour ou l’autre il faudra réarmer ou bien se contenter d’être spectateurs de notre propre Histoire…  

 

 

*sous réserve de faits qui se seraient produits pendant les quelques jours de vacances que nous nous sommes accordés…

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 11:45
Prolifération d'armes libyennes: 12 pays affectés (Lavrov)

MOSCOU, 2 septembre - RIA Novosti

 

Des livraisons illégales d'armes en provenance de Libye ont été constatées dans 12 pays du Proche-Orient, a déclaré lundi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans une intervention devant les professeurs et les étudiants de l'Institut des relations internationales de Moscou.

 

"Selon l'ONU, des livraisons illégales, des transferts clandestins d'armes à feu en provenance de Libye et ont été enregistrés dans 12 pays du monde", a indiqué le ministre, précisant que ces armes étaient utilisées "principalement par des participants aux troubles" au Proche-Orient.

 

Selon lui, "des armes provenant de Libye ont commencé à proliférer de manière illégale", provoquant la diffusion de "terroristes qui ont besoin d'une nouvelle guerre pour renverser tel ou tel régime".

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 11:45
La délégation de la République du Congo visite le COFGC

La délégation de la République du Congo visite le COFGC

30/08/2013 Marine nationale

 

Le 27 août 2013, le ministre délégué à la marine marchande de la République du Congo, M. Coussoud Mavougoud, accompagné du chef d'état-major de la marine, l'amiral Bouagnabea Moudanza, a visité le centre opérationnel de la fonction garde-côtes (CoFGC) situé au sein de l'état-major de la Marine à Paris.

 

En effet, le Congo qui est en train de développer ses moyens maritimes (patrouilleurs, radars de surveillance terre/mer) n’est pas encore doté d’une organisation de l'Action de l'État en Mer et souhaite s’inspirer du modèle français. Suite au sommet de Yaoundé des 24 et 25 juin derniers, le président congolais, M. Sassou Nguesso a demandé à son ministre de la défense et à son ministre délégué à la marine marchande de relancer les travaux sur la mise en place de l'organisation de l'AEM au Congo.

 

Cette visite a permis de mettre en lumière l'originalité de l'organisation française et notamment la diversité des acteurs et leurs rôles respectifs.

 

Le Centre opérationnel de la fonction garde-côtes (CoFGC)  assure la synthèse des informations recueillies par les systèmes de surveillance maritime existants (SPATIONAV, LRIT) ou en cours de développement (EUROSUR, MARSUR, Blue Mass Med, projet Baltic…) ou par les bases de renseignement (TETRIS). Il fédère l’information maritime, en provenance des agences européennes ou des autres centres gardes côtes nationaux.

 

Ce centre de situation maritime n’est pas un centre opérationnel. Les centres opérationnels sont régionaux (zone maritime) et placés auprès des autorités maritimes (préfets maritimes, DDG pour l’AEM outre-mer). En revanche, le CoFGC est en mesure de tenirune situation maritime optimisée de façon permanente au profit des administrations intervenant en mer et des autorités de l’État.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:45
Gambia receives boats donated from Taiwan

28 August 2013 by defenceWeb

 

The Gambian Navy on Friday took delivery of three boats donated by the Taiwanese government, providing a major boost to the country’s small navy. Taiwan donated another four patrol boats in 2009.

 

Vice President Isatou Njie Saidy received the boats at the Gambia Ports Authority wharf in Banjul, on behalf of President Yahya Jammeh. After Taiwanese ambassador Samuel Chen handed over the vessels, he said the delivery was “fitting and timely for obvious reasons”.

 

“As a country, we will continue to ensure that our territorial waters are well-protected, together with our marine resources, and address banditry at sea as well as deter or punish the criminals,” she is quoted by local publication The Point as saying.

 

Taiwan’s President Ma Ying-jeou agreed on the donation during a visit to the Gambia in April last year, to replace the four 50 ton Dvora class (called Hai Ou – Seagull – in Taiwan) fast patrol boats Taiwan donated to the country in 2009. One was seriously damaged, precipitating the donation of the new vessels. The Dvora class patrol boats will now be used for training, according to Hsu Mien-sheng, Director-General of Taiwan’s Ministry of Foreign Affairs’ Department of African Affairs.

 

The eight ton vessels are 10 metres long, armed with a 12.7 mm machinegun and are powered by twin 115 horsepower outboard engines giving a top speed of 80 km/h and an endurance of two hours at full throttle. They were refurbished prior to delivery to Africa and christened GN Berre Kuntu, GN Kenyeh Kenyeh Jamango and GN Sanimentereng.

 

Taiwan sent a team of four instructors to train Navy personnel prior to delivery.

 

They are a major boost to The Gambia’s small navy, which comprises of a couple of ex-Spanish fast patrol boats and a single Peterson-type patrol boat.

 

The three vessels are expected to help The Gambia combat drug trafficking, smuggling, piracy, illegal fishing and other maritime threats. "We hope this will promote safety, security and freedom of the sea," ambassador Chen said. “Defending the territorial integrity of The Gambia and creating a stable and viable economic environment promotes national development and economic growth.”

 

“These threats such as piracy, narcotic drugs trafficking, illegal fishing, human trafficking and smuggling of goods in the maritime environment continues to affect the security and stability of the sub-region,” said Comodore Madani Senghore, Commander of The Gambia Navy. “The nature and design of the boats would also enable us to conduct search and rescue operations in narrow channels and shallow waters,” he added.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:45
New MINURSO force commander

28 August 2013by defenceWeb/UN

 

Indonesian career soldier Major General Imam Edy Mulyono has been named as new force commander of the UN Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO).

 

He takes over from Major General Abdul Hafiz of Bangladesh who has been force commander since July 2011.

 

Mulyono is currently special assistant to the Indonesian Army Chief of Staff in charge of peacekeeping operations and previously served as senior staff officer for training and exercises. He also commanded the Indonesian Defence Force’s peacekeeping centre.

 

He joined the Indonesian army in 1984, commanding an infantry company and battalion before becoming an associate professor at the Army Command General and Staff College.

 

A statement from secretary-general Ban Ki-Moon’s office said the Indonesian will bring “vast national and international military experience, including command and staff” to the position in Western Sahara.

 

Established in 1991, MINURSO is tasked with monitoring the ceasefire in Western Sahara and organising a referendum on self-determination for the people of the territory.

 

The UN has been involved in settlement efforts in Western Sahara since 1976 when fighting broke out between Morocco and the Frente Polisario after Spanish colonial administration of the territory came to an end.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:45
Multi-national Exercise Oxide aims to combat piracy through collaboration

28 August 2013 by Kim Helfrich – defenceWeb

 

The three combat arms of the SA National Defence Force (SANDF) will all, to a greater or lesser extent, be part of an intensive five day multi-national exercise concentrating on counter-piracy operations starting on Monday.

 

The basic premise of Exercise Oxide is the promotion of co-operation and improved inter-operability between the French, Mozambican and South African navies with the emphasis on keeping pirates away from the Indian Ocean seaboard off East Africa.

 

The sea off the Mozambican capital of Maputo is the designated exercise area.

 

The SA Navy (SAN) is the lead nation in the exercise and will deploy a Valour Class frigate (SAS Islandwana), a Type 209 submarine (SAS Queen Modjadji), the offshore patrol vessel SAS Isaac Dyoba, and a platoon from its Maritime Reaction Squadron (MRS).

 

Last weekend Islandwana underwent final work-up in False Bay in preparation for the exercise, after which she will take up station in the Mozambique Channel replacing the OPV SAS Galeshewe on the Operation Copper counter-piracy tasking.

 

FS Nivose photo Marine Nationale

FS Nivose photo Marine Nationale

French forces taking part include the FS Nivose, a light surveillance frigate, and French commando boarding teams.

 

The airborne component for Exercise Oxide will be in the form of a C-130 Hercules from 28 Squadron and a 35 Squadron C-47TP, also used regularly in Operation Copper as a maritime patrol asset.

 

During the exercise, search and rescue, basic and advanced interdiction and boarding operations, vertical replenishment as well as tactical exercises and gunnery practice disciplines will all be undertaken.

 

The search and rescue component will use a submarine in distress as its central point with ships from both participating navies conducting a co-ordinated search for the underwater craft. Once the submarine’s location has been established a Special Forces parachute action group will use the C-130 as an airborne platform to speedily access it.

 

All vessels deployed for Exercise Oxide will take an active part in the interdiction and boarding operations phase. This will include location of “contacts of interest” (ships and vessels suspected of piracy and/or smuggling) and challenging them. Both French commandos and SAN MRS will exercise procedures for boarding, interrogation and search of suspicious vessels.

 

Helicopters from French and South African vessels will launch to airlift and drop crew.

 

The exercise will also see conventional naval procedures such as gunnery, multi-ship manoeuvring at sea and various communication methods practised.

 

The SAN will host nine “sea riders”, officers from the Mozambican and Tanzanian navies, aboard participating vessels to facilitate training and exposure among Southern African Development Community (SADC) maritime forces.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:45
Sudan operating Su-24s

Image credit: Akram Kharief

 

28 August 2013 by defenceWeb

 

Satellite imagery and photographic evidence has confirmed that Sudan has received at least three Sukhoi Su-24 strike aircraft over the last few months.

 

According to the Satellite Sentinel Project (SSP), DigitalGlobal satellite imagery has confirmed the presence of at least three Su-24s at the Sudanese Wadi Seidna airbase, which were acquired in recent months. The SSP says technical checks and pilot proficiency are probably underway at the air base.

 

“As early as March 2013, one Su-24 bomber was parked in the engine testing apron in the operational area of Wadi Seidna, located 25 km northwest of Khartoum,” the SSP said. “To date, three Su-24 aircraft have been observed at Wadi Seidna, most recently on August 24, 2013”.

 

Meanwhile, photos have emerged of Su-24s in Sudanese Air Force markings. They were provided by the Secret Difa 3 blog, which claims that Sudan has received 12 Su-24s from Belarus that were supposedly intended to go to Yemen.

 

In the past Sudan has used An-24/26 transport aircraft as crude, inaccurate bombers. The arrival of the Su-24s gives the Air Force the ability to conduct precision strikes over long ranges.

 

Satellite Sentinel Project and Enough Project Co-Founder John Prendergast stated that, “The capabilities of this particular type of bomber in the hands of the Sudanese government is troubling. Khartoum has an extensive track record of targeting civilian areas with aerial bombing, and these new planes will allow future damage to be even deadlier. The Sudan government has flouted past UN restrictions on offensive aerial operations in Darfur, and undertaken sustained bombing campaigns in South Kordofan and Blue Nile states, where there are no UN restrictions. With the deployment of these attack planes, life just got much more dangerous for civilians living in Sudan’s war zones.”

 

“The Satellite Sentinel Project will keep tracking these aircraft to ensure that they are not used in Darfur, in contravention of the UN Security Council’s directive,” said Enough Project Sudan and South Sudan Policy Analyst Akshaya Kumar.

 

Sudan’s Air Force has of late received a number of new aircraft from Russia and Belarus. According to the United Nations it received 15 Sukhoi Su-25 ground attack jets from Belarus in 2008 and 2009. Together with Mi-24s, these have been used in operations against suspected rebel positions in South Kordofan and Darfour.

 

Sudan has taken delivery of a number of Mi-24s, with 36 delivered by Russia between 2007 and 2009, according to Amnesty International. In 2011 Rosoboronexport signed a contract for the supply of 12 former Russian Air Force Mi-24s and 6 Mi-8s to Sudan. This year Sudan apparently concluded a contract for the delivery of another 12 Mi-24s and 8 or 12 Mi-8s with an option to supply six more of each, according to Russian daily Vedomosti.

 

Russia told the UN Register of Conventional Arms that it transferred only four attack helicopters to Sudan in 2012.

 

Sudan is allegedly negotiating for the supply of 18 Sukhoi Su-30K fighters stored in Belarus.

Image credit: Akram Kharief

Image credit: Akram Kharief

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:45
La Tunisie crée des «zones tampons» militaires à ses frontières

29/08/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Des zones militaires tampons dans le sud de la Tunisie. Voilà ce qu’a ordonné de créer la présidence tunisienne ce jeudi 29, pour lutter notamment contre le terrorisme.

 

Dans un communiqué publié sur le site de la présidence tunisienne, le ministre de la Défense nationale Rachid Sabbagh annonce que «la nécessité de la création de ces zones a été dictée par la situation actuelle afin de combattre toutes les menaces pesant sur la Tunisie», citant notamment «le trafic d’armes» et le «terrorisme».

 

Il ne précise cependant pas où exactement dans «le sud de la Tunisie», si ce n’est que ce sera aux frontières avec l’Algérie et la Libye.

 

Le communiqué précise que cette mesure est prévu pour durer une année et que toute personne souhaitant se rendre dans l’une de ces futures zones devra obtenir des autorisations spéciales.

 

Depuis plusieurs mois, les autorités tunisiennes pourchassent un groupe armé lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) à la frontière algérienne. Une quinzaine de militaires tunisiens ont été tués au cours de la traque, dont huit ont été égorgés et mutilés le 29 juillet dernier, près du Mont Chaambi, à la frontière algérienne.

 

De plus, le sud désertique du pays est devenu, de l’aveu même des autorités, une zone privilégiée pour les trafiquants d’armes venant de Libye.

 

La Libye, qui peine à mettre en place une armée et une police depuis la chute en 2011 de Mouammar Kadhafi, a proposé jeudi à la Tunisie de déterminer une «stratégie de sécurité commune destinée à sécuriser» les frontières.

 

Le ministre libyen des Affaires étrangères Mohamed Abdelaziz a dit ainsi vouloir «mettre fin au trafic des produits subventionnés, des armes et à la fuite de terroristes à partir de la Libye vers la Tunisie ou le contraire».

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 20:45
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013

29/08/2013 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 22 août 18h00 jusqu’au jeudi 29 août, 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec près de 80 sorties, dont la moitié consacrées aux opérations de reconnaissance ou d’appui au sol.  Une dizaine de sorties ont été dédiées aux missions de ravitaillement, une trentaine d’autres consacrées à des missions de transport et quelques missions de renseignement.

 

Au sol, la force Serval poursuit les opérations autour de la boucle du Niger, et dans le Nord du pays.

 

Du 13 au 25 août 2013, le groupement tactique interarmes Désert de la brigade Serval a mené l’opération Anaconda, entre les villes de Djebok et d’Almoustarat. Un sous-groupement a opéré un contrôle de l’ensemble de la zone afin d’empêcher la ré-implantation de mouvements terroristes. Plusieurs armes automatiques de type Kalachnikov, un pistolet, des munitions, des grenades à main, ainsi que des explosifs et leurs détonateurs ont été récupérés par les sapeurs du détachement du génie d’aide au déploiement (DGAD) lors des fouilles effectuées dans ces zones.

 

Le 27 août 2013 à Gao, des éléments du génie de la force Serval ont participé à la réhabilitation d’un ancien centre du ministère de l’agriculture malien. Ce détachement, composé de 5 sapeurs du DGAD, est intervenu à l’aide d’engins spécialisés : 2 camions bennes, un tractopelle et du matériel de débroussaillage. Sa mission consistait a effectuer des travaux d’aménagement dans le cadre du déploiement de la MINUSMA.

 

Enfin, lors d'une cérémonie le 29 août, la "Commission dialogue et réconciliation" a souhaité témoigner de sa reconnaissance à la force Serval pour sa contribution au retour de la paix au Mali. A cette occasion et en présence du général Kolodziej, commandant la brigade Serval, le général Dembelé, chef d’état-major général des armées maliennes, a souligné une fois de plus l’importance de l’aide apportée par la France et le Tchad à son pays. Il a souhaité partager cet hommage avec les pays de la CDEAO contributeurs de la MINUSMA.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes ainsi qu’à appuyer le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
Serval : point de situation du jeudi 29 août 2013
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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 11:45
MAKS 2013 : Le Cameroun commande des hélicoptères Mi-17

29.08.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Lors du salon aéronautique MAKS, Rosoboronexport, l’agence d’exportation d’armement russe, a conclu un contrat avec le Cameroun pour la fabrication et la livraison d’hélicoptères Mi-17. Le nombre exact d’appareils n’a pas été dévoilé, ni le montant total de l’accord.

 

L’armée de l’air possède actuellement quatre Bell 206 et un Bell 412, trois Mi-24, un SA319, deux SA330 et trois SA342 (données Flightglobal).

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 07:45
L’Algeria International Air Show reporté à 2014

27.08.2013 Sarah El Caïdi - journal-aviation.com

 

Alors que le premier salon de l’aéronautique et de l’espace en Algérie, baptisé Algeria International Air Show (ALIAS), devait se tenir à l’aéroport d’Oran du 8 au 10 octobre 2013, l’événement est reporté à une date ultérieure en 2014.

 

La date précise de la manifestation devrait être annoncée au cours du dernier trimestre 2013, a indiqué l'organisateur dans un communiqué publié le mois dernier.

 

Selon ALIAS, la tenue du salon est « soumise à un contexte qui ne permet pas aux organisateurs, dans les conditions actuelles, de maintenir cette date sans courir le risque de ne pas atteindre les objectifs souhaités, ce qui serait préjudiciable à tous ».

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 20:18
L'Europe veut lutter plus efficacement contre la piraterie en Afrique de l'Ouest

LAGOS, 28 août 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

L'Union Européenne (UE) a déclaré mercredi son intention de déployer plus d'efforts pour lutter contre la piraterie dans le Golfe de Guinée, une des zones maritimes du monde où les attaques sont les plus fréquentes.

 

"L'UE développe une stratégie dans le Golfe de Guinée", a déclaré mercredi le vice-amiral Jurgen Ehle, à la tête d'une mission militaire européenne en Afrique de l'Ouest, ajoutant que les dirigeants aimeraient finaliser leur plan "d'ici fin octobre".

 

L'envoi de navires de guerre, une des mesures qui avait permis de faire baisser le nombre des attaques au large de l'Afrique de l'Est, ne fait cependant pas partie du plan pour l'Afrique de l'Ouest, a précisé M. Ehle, qui s'est exprimé lors d'une conférence sur la sécurité maritime.

 

La mission de l'UE se focalisera sur la coordination des armées de la région et sur la formation, a-t-il indiqué.

 

"Le point central de cette stratégie (...) est moins d'envoyer des navires", a déclaré l'officier allemand, que de donner "des conseils militaires" et de mettre en place des programmes civils de lutte contre la pauvreté, notamment, pour mettre fin à la violence dans cette région.

 

Le nombre d'attaques dans le Golfe de Guinée, qui baigne le Nigeria, le Bénin et le Togo, est passé de 39 en 2010 à 62 en 2012, selon le décompte du centre de réflexion britannique Chatham House.

 

Et selon un récent rapport du Bureau maritime international (BMI), il y a eu plus d'attaques de navires dans le Golfe de Guinée en 2012 qu'au large des côtes somaliennes.

 

La plupart des actes de piraterie y visent les pétroliers et leur précieuse marchandise, revendue au marché noir.

 

Premier producteur de pétrole d'Afrique, avec environ deux millions de barils par jour, le Nigeria a été le premier pays de la zone à subir de nombreuses attaques de pirates au large de ses côtes.

 

Plusieurs des plus grosses compagnies pétrolières, telles que l'anglo-néerlandais Shell et l'américain ExxonMobil, sont présentes dans la région.

 

"Il serait stupide de ne pas admettre que la protection des ressources énergétiques repésente un intérêt pour nous", a reconnu M. Ehle.

 

L'UE cherche aussi à combattre le trafic de drogue dans les ports ouest-africains et la pêche illégale, a-t-il ajouté.

 

M. Ehle a mentionné le succès des patrouilles internationales dans le Golfe d'Aden, dans lesquelles l'UE est engagée auprès de l'OTAN et la Chine. Les pirates, somaliens pour la plupart, perturbent les échanges maritimes dans cette région et notamment le transport de pétrole du Moyen-Orient.

 

La situation en Somalie est cependant "totalement différente" a souligné M. Ehle, pour justifier l'envoi de navires de l'UE dans le Golfe d'Aden et non dans le Golfe de Guinée.

 

La Somalie est instable depuis deux décennies alors que les armées ouest-africaines sont considérées comme capables de lutter elles-mêmes contre la piraterie.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 18:13

28 août 2013 Crédit : EMA / armée de Terre
 

Le 21 août, la force Serval a achevé l'opération Centaure, débutée le 21 juillet. Conduite avec près de 800 militaires français, une centaine de véhicules, les hélicoptères du GAM et l'appui des Rafale en provenance du Tchad, Centaure avait pour but de dissuader toute tentative de déstabilisation du processus électoral dans le Nord du Pays entre Kidal, Tessalit et Aghuelok. Placée en soutien de la Mission des Nations Unies au Mali (MINUSMA), elle-même en appui des forces armées maliennes, la force Serval a effectué des patrouilles dans les villes, fouillé des habitations, des camps et des grottes réputées ou susceptibles d'être ou d'abriter des caches d'armes. Près de 4 000 cartouches de tous calibres, des obus de mortiers, des roquettes, de l'explosif et du matériel de guerre ont ainsi pu être saisies. Parallèlement, la force Serval a participé à l'organisation logistique des deux tours de scrutins en soutenant l'installation des bureaux de vote (appui au transport du matériel électoral) et en assurant la sécurisation des bureaux de vote (vérification de non-pollution par moyen cynotechnique). Les élections se sont déroulées sans entrave.

 

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 16:45
Ukraine-UN-helicopter

Ukraine-UN-helicopter

August 28, 2013. David Pugliese - Defence Watch (AP)

 

KINSHASA, Congo – United Nations helicopters fired on rebels fighting Congolese troops just outside a city of nearly 1 million people in eastern Congo on Wednesday, a military spokesman for the U.N. mission said.

 

The fighting began just before 8 a.m. Wednesday in the hills of the Kibati area, about 9 miles (15 kilometres) north of the provincial capital of Goma.

 

The M23 rebels briefly seized the city late last year and then retreated to the north. The new upsurge in fighting has prompted fears the rebels could again assault the city.

 

Lt. Col. Felix Basse, the military spokesman for the U.N. peacekeeping mission, known as MONUSCO, said that U.N. forces were taking part in the fighting alongside the Congolese army Wednesday.

 

“MONUSCO has enlisted all of its attack helicopters and its artillery … to push back the M23 offensive that is under way right now on the hills of Kibati,” he told journalists in the capital of Kinshasa.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 16:45
Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération

28/08/2013 Sources : EMA

 

Entre le 20 et le 23 août, le général de division Marc Foucaud, COMANFOR Serval, s’est rendu auprès de toutes les unités et détachements de la force Serval stationnés au Mali. Ces déplacements ont aussi été l’occasion de rencontrer un certain nombre d’autorités locales.

 

Pour ouvrir cette revue du théâtre, le général de division Foucaud s’est tout d’abord rendu à Tombouctou où stationnent un détachement de liaison et d’appui (DLA) français auprès du bataillon burkinabé de la Mission des Nations Unies au Mali (MINUSMA) et un bataillon malien. Accompagné du général Jean-Bosco Kazura, « Force Commander » de la MINUSMA, il a pu rencontrer les deux principaux chefs militaires de la zone, responsables de la situation sécuritaire dans la 5e zone de défense malienne.

 

A l’issue d’un point sur la situation, les deux commandeurs sont allés rendre visite au gouverneur de la ville qui les a invités à visiter la Grande Mosquée et l’Institut Ahmed Baba. Cet institut s’est lancé dans la collecte et la numérisation du plus grand nombre possible de manuscrits de la ville afin de conserver les restes d’un patrimoine déjà bien abimé par les terroristes.

 

L’étape dans la « ville aux 333 saints » s’est achevée sur le bivouac du détachement de liaison et d’appui (DLA), armé par le 8e RPIMa, détaché auprès du bataillon burkinabé. Il a ainsi pu découvrir la réalité du quotidien de ces modules qui, au niveau tactique, sont la clé de la bonne coopération entre Serval et la MINUSMA. S’exprimant face au DLA sur l’évolution de la situation au Mali, il a rappelé que « Serval » est devenue une force concourante, qui continue à appuyer les contingents de la MINUSMA et des FAMA, notamment à travers les détachements de liaison dont il a salué la mission essentielle.

 

Le 21 août, le COMANFOR s’est déplacé à Gao où il a été reçu par le  général Kolodziej, commandant la brigade Serval. Après une présentation des opérations en cours dans la zone de responsabilité de la brigade, le COMANFOR, en compagnie du ComBrig, s’est rendu auprès des différentes composantes de la plateforme opérationnelle Désert (PfOD). A cette occasion, il a exprimé devant la troupe sa fierté d’être à sa tête, elle qui depuis plusieurs mois déjà construit une campagne exemplaire en tout point, dans des conditions extrêmes, avec une efficacité qui fait la fierté des armées françaises. »

 

Enfin, le 23 août, le général Foucaud s’est rendu successivement à Tessalit et Kidal accompagné du général Dembelé, le chef d’état-major général de l’armée malienne. A Tessalit, ils sont d’abord allés à la rencontre du détachement français, avant d’aller rendre visite au bataillon tchadien commandé par le général Moussa. Le général Foucaud souhaitait lui rendre hommage, car il s’agit du bataillon tchadien qui a payé le prix le plus lourd dans les combats de libération du Nord Mali. A Kidal enfin, il a principalement rencontré les autorités civiles dont l’ « amenokal », l’autorité morale et traditionnelle chez les touaregs. Les deux officiers généraux ont enfin achevé cette journée an allant à la rencontre du bataillon sénégalais de la MINUSMA et des militaires français du DLA.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes ainsi qu’à appuyer le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération
Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération
Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération
Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération
Serval : Le COMANFOR en visite sur le théâtre d’opération
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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 11:45
Senegal seeking more CN235s

27 August 2013 by defenceWeb

 

Senegal plans to buy two CN235 transport aircraft from Indonesian manufacturer PTDI and use them for VIP and cargo duties. They would join its two CN235s already in service.

 

General Ousmane Kane, Senegal’s Air Force Chief of Staff, revealed the Air Force’s interest in the CN235 during a meeting with Indonesia’s Deputy Minister of Defence Sjafrie Sjamsoeddin in Dakar on July 5. He was accompanied by Director General of Defence Strategy Major General Sonny Prasetyo and Marketing Director of PT Dirgantara Indonesian (PTDI) Budiman Saleh.

 

Senegal’s intention to buy more CN235s emerged in late May this year when Senegalese Armed Forces Minister Augustine Tine expressed interest in two CN235-220 aircraft.

 

Senegal has also shown interest in the maritime patrol version of the aircraft, Air International reports. (The Air Force flies a smaller C212 in the maritime patrol role.) If a firm order is placed, the aircraft would be delivered in one to three years’ time, depending on the contract. Indonesia may extend credit to Senegal to assist in the purchase of the aircraft.

 

Senegal already operates two second-hand Indonesian-built CN235-220s acquired in November 2010 and August 2012, according to Air International. They were bought under a $13 million contract.

 

“We use the aircraft for various purposes and I am satisfied with their ability,” Tine is quoted as saying. He said his main concern with buying more was obtaining financing. Indonesia is also offering the West African country small arms, ammunition and other equipment.

 

Senegal’s small air force has only a few combat aircraft (MI-35 helicopters) – its other aircraft include a single CASA C212, several Fokker F27s, a single Boeing 727, a single Embraer EMB-111 and a handful of Rallye, Piper and Socata Epsilon light aircraft. Around five utility helicopters (Gazelle, Puma, Fennec, Mi-171) are in service as well.

 

However, Senegal has been expanding its military of late and ordered a single AgustaWestland AW139 helicopter and three Embraer A-29 Super Tucano light attack and training aircraft this year.

 

Meanwhile, PTDI is offering its NC212 and CN235 to African countries like Uganda, as well as existing operators Senegal and Burkina Faso. PTDI has previously sold aircraft in Africa through a third party based in Belgium but may sell directly to Senegal.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 11:45
Libyan Army deploys special anti-terror force to secure Tripoli

26 August 2013 by Oscar Nkala– defenceWeb

 

The Libyan Army has deployed a new anti-terror unit made up of 2 000 special forces soldiers across the capital Tripoli to improve security in the city.

 

According to the Libyan Herald, the Joint Force (JF) is made up of fighters drawn from the ministries of defence and interior and is equipped with 300 armed 'technical' fighting vehicles and 21 armoured personnel carriers.

 

It is charged with conducting regular patrols to counter potential security threats after a spate of bomb attacks and shootings targeting embassies and diplomatic staff in the past two years.

 

JF public relations officer Esam Naas said the force, which is commanded by Colonel Fitouri Ghuraebi, will patrol the streets of Tripoli around the clock and has already completed deployments to some sections of the capital.

 

"We wasted no time in the preparations to go out and secure the city. This (operation) will be done in full coordination with the Police Directorate in Tripoli and other security forces arms. Our 2 000 men will be mainly guarding the entry and exit points of Greater Tripoli," Naas said.

 

Set up March this year, the JF is made up of selected officers and former militias who have received specialised counter-terror training through military assistances programmes run by the Italian, Turkish, United States and French governments. The force failed to start work early in the year as it lacked military equipment and operated without funding.

 

As a result, the force limited its operations to manpower training and low-level security sweeps such as clearing illegal occupants from government buildings within the city centre. Prompted by rising insecurity following a spate of shootings and car bomb attacks on embassies and on the streets of Tripoli, the Libyan government has been forced to release funds to finance the JF operations.

 

Libya has been beset by insecurity due to infighting among fractious militia alliances which were formed to fight strongman Muammar Gaddafi during the 2011 revolution.

 

Since then, suspected trans-national terror outfits have established operations inside the country and are believed to be responsible for a spate of car bombs, embassy attacks, attacks on diplomatic staff and of late, jailbreaks in which hundreds of hard-core Al Qaeda militants escaped.

 

Fighting has also broken out regularly between the new national army and the militias. To compound an already dire security situation, fighting has also broken out regularly between rival militias which still control many parts of the capital Tripoli, Benghazi, Misurata, Sabha and other former hotbeds of the 2011 revolution.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 11:45
African military profile: Mozambique

23 August 2013 by Guy Martin – defenceWeb

 

Since the end of Mozambique’s civil war in 1992, the Armed Forces for the Defence of Mozambique (FADM) have struggled to become a coordinated, cohesive and well-equipped force. Click here to find out more about the FADM.

A limited defence budget has resulted in the majority of the military’s equipment being unserviceable. Such challenges come at a time when Renamo militia are causing instability inside the country.

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