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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Tchad : opération Guelta dans le Tibesti

11/08/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 18 juillet 2013, un détachement du groupement terre de la force Épervier composé de près de 150 militaires, conduit une opération de reconnaissance dans les massifs désertiques de la région du Tibesti, au Nord du Tchad, à plus de 1200 kilomètres de la base Kosseï de N’Djamena.

 

Cette opération, baptisée Guelta, a pour objectif de maintenir la capacité de la force à déployer, en complète autonomie, d’importants moyens matériels et humains dans un environnement difficile, sur plusieurs semaines, à plus d’un millier de kilomètres de sa base principale.

 

Le détachement composé de militaires du 1er Régiment de Tirailleurs (1erRTIR) d’Epinal et du 1er Régiment de Spahis (1er RS) de Valence a déjà parcouru près de 2 500 km de routes et de pistes entre Faya, Zouar, Wour et Bardaï. Le détachement est constitué de deux sections de combat d’infanterie et d’un peloton de reconnaissance de l’escadron blindé, équipés de véhicule léger de reconnaissance et d’appui (VLRA) et de véhicules tactiques GBC180.

 

Afin de soutenir le détachement du groupement terre, différentes unités et personnels ont également été déployés : un détachement de l’aviation légère de l’armée de terre (DETALAT), un détachement du service des essences des armées (SEA), une équipe de mécaniciens du sous groupement de maintenance adaptée au théâtre (SGMAT) et une équipe médicale.

 

Du 5 au 6 août 2013, le colonel Paul Peugnet, commandant la force Epervier s’est rendu dans le Tibesti. Accompagné par le colonel du Gardin, chef du groupement terre et chef de corps du 1er RTIR, il s’est rendu auprès des éléments engagés dans l’opération Guelta implantés à Zouar. Ils se sont ensuite rendus à Faya-Largeau et Abéché pour une visite aux autorités civiles et militaires locales.

 

Conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes et garantissent la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

Tchad : opération Guelta dans le Tibesti
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
CGS Barracuda - source defimedia.info

CGS Barracuda - source defimedia.info

19 August 2013 defenceWeb

 

The island nation of Mauritius will take delivery of a new offshore patrol vessel next year, and use it for fighting piracy, illegal fishing and drug trafficking. It was launched at an Indian shipyard earlier this month.

 

The vessel, named CGS Barracuda, was launched in Kolkata, India, on August 2 by Garden Reach Shipbuilders and Engineers (GRSE). Dignitaries present included K O Fong Weng-Pooran, senior chief executive in the Mauritian prime minister’s office and Mauritian High Commissioner Arye Kumar Juggessar.

 

Barracuda was ordered on March 4, 2011, at a cost of some $60 million and had its keel laid on April 23, 2013. Jane’s Defence Weekly reports GRSE Managing Director Rear Admiral (retd) A K Verma as saying that the shipyard is expected to delivery the OPV to Mauritius in September next year.

 

Barracuda displaces 1 300 tonnes and has a length of 74.1 metres and a draft of 3.5 metres. Range is approximately 5 000 nautical miles at her maximum speed of 20 knots. She is powered by two MTU 16V 4000 M53 diesel engines rated at 1 840 kW, each driving two controllable pitch propellers through ZF Marine gearboxes.

 

Barracuda will patrol Mauritius’s vast exclusive economic zone (EEZ), which covers 1.9 million square kilometres. Its main tasks will be combating piracy, smuggling, illegal fishing and drug trafficking but the vessel will also participate in search and rescue exercises, control pollution and transport cargo.

 

India and Mauritius have enjoyed good political, economic and military relations. Indian navy vessels often patrol Mauritian waters and India has provided military hardware to the country, such as an HAL Dhruv light utility helicopter in 2009 and a coastal surveillance radar system. Installation of this radar network will start next month. Last year, India donated two Do 228 maritime surveillance aircraft to Mauritius.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)

09/08/2013 Source EMA

 

Du 30 juillet au 6 août, la force Serval a mené une opération de sécurisation à 60 km à l’Est de Gao.

 

Cette opération avait pour objectif de continuer à marquer la présence de la force dans la zone et de poursuivre la sécurisation de la région de Gao à l’approche du deuxième tour des élections présidentielles.

 

Près de 170 militaires et une quarantaine de véhicules ont été déployés pendant huit jours, accompagnés d’un guide des Forces Armées Maliennes et deux gendarmes maliens. Grâce au renseignement recueilli auprès de la population, ils ont fouillé des oueds, des puits et des caches. La section génie a fouillé quelques grottes et cavités de la falaise de Tin Tadarast. Les militaires de la force Serval ont reconnu la zone d’Imenas, d’In Medran, et de Tam Koutat sans déceler d’indices de présence de groupes terroristes.

 

Au bilan, la force continue de mener des opérations dans la durée, malgré des conditions météorologiques très dures. Cette opération n’a pas donné lieu à des accrochages avec les groupes terroristes, ces derniers ayant quitté la zone ou évitant tout contact.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation ainsi que le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA.

Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)
Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)
Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)Mali : opération de sécurisation dans la région de Gao (09/08/2013)
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Affiche de l'exposition "Regards croisés sur le Mali" - Crédits  cmpaix

Affiche de l'exposition "Regards croisés sur le Mali" - Crédits cmpaix

 

09/08/2013 Armée de Terre

 

A partir du 13 août et jusqu’en décembre 2013, le Centre mondial de la Paix, des Libertés et des Droits de l’Homme met à l’honneur les militaires engagés au Mali, moins d’un mois après leur descente des Champs-Elysées devant plus de 9 millions de spectateurs et téléspectateurs.

 

Des liesses de joies des Maliens à l’arrivée des troupes françaises et africaines aux combats dans l’Adrar des Ifoghas, un massif montagneux du nord-est du Mali, les 80 photos exposées permettent de se plonger dans une opération caractérisée par le mouvement, la surprise et la vitesse mais aussi par une coopération étroite entre forces françaises et africaines unies dans les combats, tout en préservant la population civile.

 

Rythmée par le rappel des contextes politiques et militaires, cette exposition nous présente les différentes phases de l’intervention au Mali dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA) qui vise à permettre aux autorités maliennes de reprendre le contrôle des zones nord du territoire.

 

Face à ces 80 clichés, 35 portraits de Maliens pris avant l’intervention au Mali, témoignent de l’immense espoir placé dans la MISMA pour l’avenir de ce pays.

 

Informations : ICI

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Le général a reçu en cadeau une plaque en marbre

Le général a reçu en cadeau une plaque en marbre

14/08/2013 Actus Air

 

Le 8 août 2013, la composante «air» de l’opération Serval a rendu hommage au départ du commandant de la force (Comanfor), le général Grégoire de Saint Quentin.

 

À cette occasion, le détachement «air» de Bamako a organisé une cérémonie sur le tarmac de l’aéroport. Devant une délégation représentant tous les éléments de cette composante, le colonel Louis Péna a remis au général de Saint Quentin une plaque de marbre gravée par les soins des mécaniciens du détachement, représentant l’insigne Serval. Le Comanfor s’est ensuite adressé aux aviateurs, rappelant toute l’importance de la contribution de la composante «air» dans l’opération Serval, sur un théâtre où les combats ont été âpres et les élongations extrêmes.

 

Ensuite, et à l’heure précise, une patrouille de deux Mirage 2000D de retour de mission a ponctué cet hommage par un passage au dessus de l’aéroport, l’un des deux avions cabrant, symbolisant ainsi le départ du grand soldat et l’au-revoir d’une partie de ses troupes.

 

Le général de Saint Quentin a commandé l’opération Serval du 11 janvier au 11 aout 2013. Il va désormais assumer le commandement des opérations spéciales (COS).

 

Plus d’informations sur le site des opérations

Le général de Saint-Quentin en compagnie du colonel Pena

Le général de Saint-Quentin en compagnie du colonel Pena

Le général a commandé la Force Serval de janvier à août

Le général a commandé la Force Serval de janvier à août

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Tchad : transfert d’autorité de la force Épervier

06.08.2013 Sources : EMA
 

Le 1er août 2013, le colonel Paul Peugnet a pris le commandement de la force Epervier au Tchad lors d’une cérémonie officielle qui s’est déroulée sur la base aérienne de Kosseï à N’Djamena. Il succède au colonel Laurent Rataud.

 

La cérémonie de prise de commandement a été présidée par l’ambassadeur de France au Tchad, en présence de plusieurs ambassadeurs et diplomates étrangers ainsi que de hautes autorités civiles et militaires tchadiennes.
En termes d’opérations, sous le commandement du colonel Rataud, la force Epervier a participé dès ses premières heures à l’opération Serval. Les éléments du groupement Terre sont entrés en premier sur le théâtre malien et le détachement chasse a réalisé les premières frappes aériennes sur les groupes terroristes en direction de Bamako.

Depuis, la force continue à être étroitement associée aux manœuvres aériennes aux moyens  des Rafale et avions de transport et d’assaut (ATA) stationnés à N’Djamena. La Force Epervier a également apporté, à plusieurs reprises, un soutien à l’opération Boali en République centrafricaine.

Depuis le 31 juillet 2012, les militaires de la force Epervier ont poursuivi leur mission de coopération technique et logistique avec les forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes et de protection des ressortissants français :
-    une trentaine de détachements d’instruction opérationnelle (DIO) au profit de près de 600 stagiaires tchadiens ont été menés. Les instructeurs ont formé des spécialistes dans de nombreux domaines : topographie, parachutisme, techniques d’autodéfense, secourisme, conduite de véhicules incendie.
-    Les militaires français ont également réalisé des actions civilo-militaires (ACM) : la construction d’une école à Oudouhou au profit d’une trentaine d’élèves de la région, et dispensé une aide médicale gratuite dans les emprises de N’Djamena, Abéché et Faya.
-    La force Epervier a conduit des exercices interarmées afin de maintenir la capacité opérationnelle des militaires engagés dans la force, notamment grâce à une campagne  de tir et deux exercices Djanad d’évacuation de ressortissants

Les militaires français de la Force Epervier assurent deux missions permanentes : conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, ils apportent un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes. Ils garantissent également la protection des intérêts français et, tout particulièrement, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad. Parallèlement à ses missions permanentes, Epervier participe également directement à l’opération Serval, avec en particulier l’emploi de ses moyens aériens.

 

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Opération Serval : point de situation du 8 août 2013

12/08/2013 Sources : EMA

 

Point de situation sur les opérations de la force Serval au Mali depuis le 1eraoût 18h00 jusqu’au 8 août 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec une soixantaine de sorties. Une quinzaine a été consacrée aux opérations de transport et autant aux opérations de ravitaillement. Moins d’une dizaine de sorties a été consacrée aux missions ISR, et plus d’une vingtaine  à l’appui feu des opérations terrestres.

 

Au sol, la force Serval poursuit les opérations autour de la boucle du Niger et dans le Nord du pays, tout en assurant le soutien aux forces de sécurité maliennes et à la MINUSMA dans le cadre de la sécurisation du processus électoral.

 

Après le premier tour des élections, la force Serval a poursuivi ses missions de contrôle de zone dans les Adrars comme dans la région de Gao.

 

Dans le Nord, les militaires de la force Serval déployés à Kidal poursuivent la sécurisation de la zone avant le deuxième tour des élections présidentielles. Des opérations de fouille sont menées dans l’Adrar des Ifoghas par les hommes de la brigade Serval, appuyés par un sous-groupement de l’ALAT et des patrouilles de chasseurs.

 

Du 30 juillet au 6 août, la brigade a également conduit une opération de sécurisation à 60 km à l’Est de Gao. Cette opération n’a donné lieu à aucun accrochage, les groupes armés terroristes évitant tout combat avec la force. Par leurs actions répétées, les soldats français contribuent à la sécurisation du grand Gao pendant l’entre deux tours.

 

Le 1er août 2013, une quinzaine de légionnaires sapeurs du Détachement du Génie d’Aide au Déploiement (DGAD) a détruit des munitions sur la plateforme opérationnelle Désert de Gao et notamment une charge artisanale avec environ 10 kg d’explosif. Cet engin explosif improvisé (EEI) avait été retrouvé durant une opération de renseignement menée fin juillet dans le secteur d’Imenas au Nord Est de Gao. Neutralisé dans un premier temps par l’équipe de démineurs (EOD - Explosive Ordnance Disposal), il s’agissait ici de détruire l’EEI en vue d’évaluer les capacités et les effets du dispositif.

 

Le 3 août, une cérémonie d’inauguration du deuxième puit rénové par la brigade Serval s’est tenue dans le Sud de Gao. Le général Laurent Kolodziej, commandant la brigade Serval, les autorités locales et de la MINUSMA, et les représentants de la société civile étaient présents. Cinq autres puits devraient être rénovés par la brigade avant la fin du mois d’août. Cette démarche permet à la population des quartiers les plus défavorisés de la ville de Gao d’accéder à de l’eau potable.

 

Enfin, le 8 août, la force Serval a accueilli le futur commandant de l’opération, le général de division Foucaud, qui va dans les prochains jours échanger ses consignes avec le général de Saint-Quentin.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation ainsi que le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA

Opération Serval : point de situation du 8 août 2013Opération Serval : point de situation du 8 août 2013
Opération Serval : point de situation du 8 août 2013
Opération Serval : point de situation du 8 août 2013Opération Serval : point de situation du 8 août 2013
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
EUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaine

10/08/2013 Sources : EMA

 

Le7 août 2013, les instructeurs français de la Mission Européenne d’Entraînementau Mali (EUTM Mali) ont délivré une séance d’instruction au combat en zone urbaine au profit de la  la 1re compagnie d’infanterie du groupementtactique interarmes (GTIA) malien « Helou » (« leséléphants » en langue tamashek).

 

Cette séquence de niveau groupe, effectuée dans le village de combat du camp d’entraînement de Koulikoro, marquait le début de la formation au combat en zone urbaine de ce bataillon, qui se poursuivra dans les semaines à venir au niveau section  puis au niveau compagnie.

 

Cette première séance avait pour objectif d’instruire les soldats maliens sur les techniques d’approche et d’investissement d’un bâtiment, ainsi que de couverture et d’appui mutuel en trinôme. Outre les savoir-faire techniques et tactiques inhérents au combat en zone urbaine, cette séquence avait également pour but de sensibiliser les soldats maliens aux problématiques spécifiques à ce milieu, notamment caractérisées par une forte imbrication de l’ennemi avec la population civile.

 

Le bataillon « Helou » est le deuxième bataillon malien formé par les instructeurs d’EUTM Mali. Le premier bataillon, baptisé « Waraba », est actuellement déployé au Nord du pays et participe à la sécurisation de la zone, appuyé par les militaires de la force Serval et de la MINUSMA.

 

Le contingent français d’EUTM Mali compte, entre autres, 50 instructeurs issus du 1er régiment d’infanterie (1er RI) de Sarrebourg et du 1errégiment de tirailleurs d’Epinal (1er RT). Ces instructeurs arment deux des quatre équipes d’instruction infanterie de la mission.   Ils sont engagés depuis le 8 juillet dans la formation du GTIA « Helou » pour une durée de dix semaines.

 

Commandée par le général français Bruno Guibert, la Mission Européenne d’Entraînement au Mali (EUTM Mali) compte 110 militaires français, sur un total de 550 militaires européens de 23 nationalités différentes. Elle repose sur deux piliers : une action de formation au profit de quatre groupements tactiques interarmes maliens successifs et une mission d’expertise et de conseil destinée à appuyer la refondation de l’armée malienne.

EUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaineEUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaine
EUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaineEUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaine
EUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaineEUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaine
EUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaineEUTM Mali : formation du GTIA malien au combat en zone urbaine
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Le GAAO en mission sur la plateforme opérationnelle désert

07/08/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 27 juillet 2013, une dizaine de militaires du Groupement Aérien d’Appui des Opérations (GAAO) sont arrivés sur la plateforme opérationnelle désert de Gao pour une durée de trois semaines.

 

La mission du GAAO est de monter la cinquantaine de bungalows qui servira à améliorer les conditions de travail des militaires déployés sur Gao.

 

Une partie du détachement est arrivée par avion de transport de troupes, l’autre est arrivée par la route, au sein d’un convoi acheminant les outils indispensables à la mission : la grue de levage de 25 tonnes pour mettre en place les bungalows et le tracteur « manitou ».

 

Avant leur arrivée, il a fallu déterminer et sécuriser les trajets pour faciliter la circulation de la grue sur le site de Gao et construire des longrines, les petits murets en béton capables de supporter les bungalows qui sont arrivés le 15 juillet. Ils sont partis de la base aérienne de Mérignac pour rejoindre Dakar par voie maritime puis ont été transportés en train jusqu’à Bamako et en convoi logistique jusqu’à Gao, au sein du « convoi des 100 ».

 

Le 29 juillet, le montage des bungalows a débuté. Il faut en moyenne trois heures aux techniciens de l’armée de l’air pour monter chaque boîte. Chacune d’elle pèse 2, 2 tonnes, pour une surface de 15 m², avec fenêtres, portes, éclairage, raccordements électriques et téléphonique et la climatisation. Il est possible de jumeler plusieurs boites entre elles en fonction des besoins.

 

Le GAAO est implanté sur la base aérienne 106 de Bordeaux et les militaires qui le composent sont des spécialistes du bâtiment et de l’infrastructure opérationnelle. La mission principale du GAAO est de réaliser les infrastructures opérationnelles initiales nécessaires au déploiement d’un dispositif aérien sur un théâtre d’opération extérieur. Il est capable d’agir en toute autonomie, dans des délais courts et sous faible préavis, et avec une véritable capacité d’autoprotection. Si l’opération est amenée à durer, il peut aussi participer au soutien au stationnement de la force aérienne projetée, en consolidant les infrastructures de déploiement et de stationnement.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation ainsi que le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:45
Clashes between Nigerian army and Boko Haram kill 18

19 August 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Clashes between soldiers and members of Islamist sect Boko Haram have killed 18 people in northeast Nigeria, a military source and officials said.

 

Boko Haram, which wants to impose Islamic law in Nigeria's north, and other spin-off Islamist groups have become the biggest threat to stability in Africa's top oil exporter.

 

Suspected members of Boko Haram killed 11 people in an attack on Damboa town in Borno state on Thursday, shooting at soldiers, burning shops and killing civilians, a military source said, asking not to be named because he was not authorized to give official statements, Reuters reports.

 

"More troops have been dispatched to the area to confront the insurgents. They sneaked away towards the bush leading to parts of Yobe and Gombe States," the source said.

 

Around 50 gunmen in cars and motorbikes stormed the rural town, forcing hundreds of residents to flee to hide in nearby farms, locals said.

 

In neighboring Gombe state, police officers killed seven members of Boko Haram in a two-hour gun fight in the early hours of Friday, Gombe Police Spokesman Fwaje Atajiri told reporters.

 

President Goodluck Jonathan declared a state of emergency in mid-May and launched an offensive against the group in its stronghold in Borno, Yobe and Adamawa states in the northeast.

 

The insurgency was initially weakened but remains active and there has been an uptick in violence in the past month.

 

Boko Haram's main targets are security forces or government officials. It has also carried out several attacks on Christian and Muslim worshippers, as well as schools and markets.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 14:45
Opération Serval : Le général de Saint-Quentin quitte le commandement de la force

13/08/2013 Sources : EMA

 

Le 11 août 2013, le général Grégoire de Saint Quentin a quitté le commandement de la force Serval au Mali. C’est le général de division Marc Foucaud, commandant l’état-major de force numéro 1 de Besançon, qui lui succède.

 

Le général de Saint Quentin a quitté le théâtre malien le 11 août 2013 après 7 mois passés à la tête de la force Serval constituée de 4500 militaires au plus fort de l’intervention française. Le 11 janvier 2013, la France s’engageait rapidement et brutalement à la demande du Président malien pour stopper la progression d’islamistes armés en direction de Bamako et soutenir les troupes maliennes. Au déclenchement de l’opération, le général de Saint Quentin commandait les éléments français au Sénégal (EFS) à Dakar. C’est le général de division Marc Foucaud, commandant l’état-major de force numéro 1 de Besançon, qui lui succède.

 

Opération Serval : Le général de Saint-Quentin quitte le commandement de la force

Malgré la difficulté du terrain et  l’étendue du pays, les nombreuses opérations armées menées conjointement par les militaires français, l’ armée malienne et les armées africaines de la MISMA, puis de la MINUSMA ont permis de neutraliser plusieurs centaines de terroristes et d’affaiblir leur capacité d’action. Le rétablissement de la sécurité dans l’ensemble du pays a permis l’organisation d’élections nationales.

 

Avant de quitter le sol malien, le général de Saint Quentin s’est adressé en ces termes à l’état-major de la force Serval : « C’est un beau jour pour partir surtout quand on sait que le Mali aura bientôt son président. L’opération aura montré à tous que l’armée française sait faire la guerre, mais aussi la paix. Cette réussite se traduit par la remontée, dans le Nord du Mali, de l’armée malienne qui est de nouveau souveraine sur son territoire. Pour rendre cela possible, nos unités ont combattu avec beaucoup de détermination. Nous pouvons en être fiers.  »

Opération Serval : Le général de Saint-Quentin quitte le commandement de la force

Le général de division Foucaud est arrivé à Bamako le 8 août. Il a profité de l’expertise du général de Saint Quentin pour s’imprégner du contexte et de la situation malienne. Pendant trois jours, il a rencontré toutes les composantes de la force ce qui lui a permis d’avoir une vision complète de la situation actuelle au Mali.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation ainsi que le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
Bâtiments togolais à Douentza et son DLA français

Bâtiments togolais à Douentza et son DLA français

02/08/2013 DPSD

 

Au cours du mois de juin, le détachement de contre-ingérence déployé au Mali a conduit plusieurs audits de sécurité au profit des forces…

 

Compte-tenu du niveau élevé de la menace au Mali, et plus particulièrement dans le Nord du pays, le général commandant l’opération Serval (COMANFOR) a proposé aux unités africaines déployées une aide en matière de protection des installations(1) et du personnel. Dans ce cadre, il a fait appel à l’expertise de la DPSD et plusieurs sites (2) ont été évalués au cours du mois de juin.

 

De Douentza à Tombouctou et Gao, des orientations et des conseils en matière de protection physique ou de contrôle du personnel ont été prodigués aux détachements togolais, burkinabés, nigériens, sénégalais et guinéens.

Bâtiments burkinabés à Tombouctou – fossé anti pick-up autour de l’aéroport

Bâtiments burkinabés à Tombouctou – fossé anti pick-up autour de l’aéroport

Le rapport remis au COMANFOR a eu pour effet d’apporter, par l’intermédiaire des DLA (3) français, des conseils aux responsables de site, quelle que soit leur nationalité, qui ont permis de prendre en compte les problématiques liées à la protection physique

Poste de garde principal des bâtiments togolais à Douentza

Poste de garde principal des bâtiments togolais à Douentza

Ces conseils pratiques ont été largement appréciés par les interlocuteurs rencontrés et le travail effectué a parfaitement répondu à l’attente du commandement. D’autre part, l’analyse de la menace suivie de façon hebdomadaire par les personnels de la DPSD vient conforter les mesures prises par le commandement.

 

__________________________________________________________________________

 

1 Protection physique et contrôle des accès

 

2 La plupart abrite des détachements de liaison et d’appui (DLA) français.

 

3 Détachements de liaison et d’appui

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
Corymbe : coopération avec les garde-côtes cap-verdiens

16.08.2013 Sources : EMA

 

Le 9 août 2013, en escale à Praia au cap vert, la frégate de surveillance (FS)  Germinal  a participé à une opération de recherche en mer en soutien aux garde-côtes capverdiens.

 

Dans la soirée du 8 août, les autorités capverdiennes ont appris la disparition d’un jeune homme tombé de son bateau de pêche près de la côte, à Praia. En coordination avec l’ambassade de France et le chef d’état-major des forces armées capverdiennes, le Germinal a proposé la mise à disposition de ses moyens nautiques et aéronautiques afin de soutenir les opérations de recherche en cours. Le lendemain au petit matin, l’hélicoptère Alouette 3 embarqué à bord de la frégate a décollé pour survoler et investiguer la zone de recherche. Une embarcation du  Germinal, avec à son bord un médecin et une équipe de plongeurs, s’est également rendue sur la zone de recherche afin de  renforcer le dispositif des garde-côtes capverdiens. Après de nombreuses recherches, le corps du jeune homme a finalement été retrouvé sur la plage en début d’après midi.

 

En dépit de l’issue fatale pour la victime, cette opération de recherche en mer a permis d’illustrer l’une des missions prioritaires des bâtiments déployés en mission  Corymbe qui consiste à mettre en œuvre la coopération bilatérale entre la Marine française et les pays du golfe de Guinée. Dans le cadre de la coopération bilatérale entre la France et le Cap-Vert, les escales de bâtiments français sont l’occasion d’interactions régulière entre leurs deux marines, ce qui facilite la participation conjointe à des opérations notamment pour le secours d’urgence ou l’aide à la population.

 

Le 13 août, à l’appareillage, la FS Germinal  a accueilli à son bord l’ambassadeur de France au Cap-Vert et le chef d’état-major des forces armées capverdiennes. A la sortie des approches de Praia, ils ont été redéposés à terre par l’hélicoptère du bord qui effectuait une navigation d’entraînement.  Le bâtiment a ensuite repris sa patrouille en mission Corymbe.

 

Corymbe est une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale qui peut être ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués.

Corymbe : coopération avec les garde-côtes cap-verdiensCorymbe : coopération avec les garde-côtes cap-verdiensCorymbe : coopération avec les garde-côtes cap-verdiens
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
EUTM Mali : formation des pilotes VLRA du bataillon « HELOU »

17/08/2013 Sources : EMA

 

Du 12 au 14 août 2013, 9 militaires du bataillon malien « Hélou » ont suivi une instruction à la conduite et à l’entretien de 1er échelon de véhicules tactiques par les militaires français de la Mission Européenne d’Entraînement au Mali (EUTM Mali).

 

Pendant 3 jours, cinq militaires de l’unité de coopération régionale (UCR) des éléments français au Sénégal (EFS) ont assuré la formation de 9 pilotes VLRA (véhicule léger de reconnaissance et d’appui) du bataillon malien « Hélou » (les éléphants en langue tamashek), actuellement formé sur le camp de Koulikoro par la Mission Européenne d’Entraînement au Mali (EUTM Mali).

Après une première journée consacrée à la présentation des caractéristiques techniques du véhicule et à la formation à l’entretien de 1er échelon, les deux journées suivantes ont été dédiées à la formation à la conduite des pilotes maliens. Ces séquences de roulage ont été effectuées sur route, en tout-terrain mais également en conduite tactique de nuit. Le bilan s’est avéré très satisfaisant à l’issue de ces trois journées, les pilotes maliens ayant réalisé une progression spectaculaire compte-tenu du fait qu’il s’agissait de leur première séquence de conduite de cet engin.

 

Le bataillon « Hélou » est le second bataillon malien formé par la Mission Européenne d’Entraînement au Mali sur le camp de Koulikoro. Cette formation, d’une durée de 10 semaines, a débuté le 8 juillet 2013 et doit s’achever le 13 septembre prochain. Ce bataillon sera partiellement équipé de VLRA pour remplir ses missions.

 

Commandée par le général français Bruno Guibert, la Mission Européenne d’Entraînement au Mali compte 110 militaires français, sur un total de 550 militaires européens de 23 nationalités différentes. Elle repose sur deux piliers : une action de formation au profit de quatre groupements tactiques interarmes maliens successifs et une mission d’expertise et de conseil destinée à appuyer la refondation de l’armée malienne.

EUTM Mali : formation des pilotes VLRA du bataillon « HELOU »
EUTM Mali : formation des pilotes VLRA du bataillon « HELOU »EUTM Mali : formation des pilotes VLRA du bataillon « HELOU »
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
Opération Serval : point de situation du jeudi 15 août 2013

15.08.20132 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 8 août 18h00 jusqu’à ce jour, 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec une quarantaine de sorties : une dizaine dédiées aux misions de ravitaillement, une dizaine de missions de transport et une vingtaine à des missions de renseignement ou d’appui de type CAS. Au sol, la force Serval a poursuivi les opérations autour de la boucle du Niger et dans le Nord du pays, tout en assurant le soutien aux autorités maliennes et à la MINUSMA dans le cadre de la sécurisation du second tour de l’élection présidentielle.

 

Ainsi, le 8 août, sur indications de la population locale, les équipes génie ont pu neutraliser plusieurs IED dans les régions d’Almoustarat et d’Aguelokh tandis que le SGTIA blindé de tessalit mettait à jopur plusieurs caches, au Sud du massif des Ifoghas, et contenant environ 2 tonnes d’engrais permettant la fabrication d’explosif.

 

Le 11 août a eu lieu le transfert d’autorité entre le général Grégoire de Saint Quentin et le général de division Marc Foucaud. Après 7 mois jour pour jour passés à la tête de la Force Serval constituée au plus fort du mandat de 4500 hommes, le général de Saint Quentin a quitté le Mali avec la fierté du devoir accompli : « c’est un beau jour pour partir surtout quand on sait que le Mali aura bientôt son président ».

 

Le même jour, les Maliens étaient appelés à choisir entre les deux candidats à la présidentielle vainqueurs du premier tour organisé deux semaines plus tôt. Pour sécuriser ce vote, les troupes avaient été précédemment déployées sur toute la zone de responsabilité de la brigade Serval, y compris dans les villes de Kidal et de Gao, en appui des forces armées maliennes et de la MINUSMA.  Elles ont essentiellement effectué des patrouilles en ville à la rencontre de la population et procédé à des vérifications de non-pollution des bureaux de vote.

 

A Kidal, un sous groupement tactique interarmes (SGTIA) de la force Serval a participé en amont à la sécurisation de la ville. Une section du génie  a renforcé les postes de filtrage tenus par la MINUSMA en y disposant des bastion wall et des barbelés. Une équipe drone de reconnaissance au contact (DRAC) a également été déployée pour conduire des missions de reconnaissance autour des bureaux de vote et observer les mouvements de la population. Enfin, deux équipes cynophiles ont effectué des fouilles aux abords des bureaux de vote de la ville.

 

A Gao et ses alentours, la force Serval a effectué des patrouilles de surveillance  appuyées par une équipe DRAC chargée de conduire des reconnaissances au-dessus de la ville et par les hélicoptères Gazelle du groupement aéromobile (GAM). Dans la ville, les FAMA avaient déployé tout un dispositif de check points tandis que les militaires de la MINUSMA conduisaient eux aussi des patrouilles de surveillance.

 

Le 12 août à Gao, en présence de monsieur Osler, chef local du volet civil de la MINUSMA, la brigade Serval a inauguré un puits dans un des quartiers les plus pauvres de la ville. Il a été  réalisé par les entrepreneurs locaux grâce à la contribution de la force française. Le dispositif de sécurisation de la zone était armé conjointement par des forces de sécurité maliennes et des soldats de la force Serval.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes ainsi qu’à poursuivre le transfert progressif de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Opération Serval : point de situation du jeudi 15 août 2013
Opération Serval : point de situation du jeudi 15 août 2013
Opération Serval : point de situation du jeudi 15 août 2013
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
Le PPSD au Gabon au service des FFG

29/07/2013 DPSD

 

Le poste PSD au Gabon travaille au profit des forces françaises stationnées sur place…

 

Créé le 1erjuin 1991, le PPSD de Libreville est placé pour emploi auprès du commandant des Forces Françaises au Gabon (FFG) dont il est le conseiller. A ce titre, le chef de poste est reçu par le COMFOR FG1 en tant que de besoin et les inspecteurs entretiennent des échanges avec les officiers de sécurité. Le poste a une compétence interarmées sur les FFG.

 

L’essentiel du recueil du renseignement de contre-ingérence est réalisé grâce à des contacts locaux, aux expatriés et aux services gabonais.

 

Suite à l’engagement militaire des Français au Mali, au déploiement français en RCA2 et compte-tenu de la situation tendue dans le nord du Nigeria, le poste de Libreville a renforcé son action au profit des FFG.

 

________________________________________________________________________

 

1 Officier général dont la zone de responsabilité englobe les 10 pays de la communauté économique de l’Afrique centrale (CEEAC), dont le Gabon et la RCA notamment…

 

2 République centrafricaine

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
FIDES sera une occasion pour la diffusion des services et des solutions technologiques

17/08/13 portalangop.co.ao

 

Luanda - Le ministre de la Défense Nationale, Cândido Pereira Van-Dunem, a affirmé vendredi, à Luanda, que la réalisation de la Foire Internationale de l'Industrie de la Défense et Sécurité (FIDES) dans le pays serait une opportunité pour la diffusion de nouveaux produits, services et des solutions technologiques dans le vaste univers de ces technologies.

 

Le ministre a fait cette référence lorsqu'il intervenait à l'acte de lancement formel de la première édition de la Foire Internationale de l'Industrie de Défense et Sécurité qui se tiendra dans la capitale du 10 au 13 novembre de cette année.

 

Selon le gouvernant, l'occasion sera également une excellente plate-forme pour la création et l'affermissement des liens commerciaux et économiques avec d'autres pays qui participent à l'événement.

 

"C'est notre souhait que la création de l'industrie de défense et sécurité appropriée déclenche des actions conduisant à la création et au développement d'une base technologique, indispensable à des niveaux élevés de production et de qualité des biens et services qui pourraient contribuer à répondre aux besoins des Forces Armées Angolaises (FAA), ainsi qu'à élever la qualité de vie de notre population et d'autres avantages inhérents.

 

Cândido Pereira Van-Dunem a fait remarquer qu'avec de tels événements, "il s'ouvre des grandes possibilités pour le peuple angolais, la classe intellectuelle, académique et les entreprises nationale à participer à l'effort national de construction solide des FAA, les actualisant et de les configurant dans les modèles les plus scientifiques et technologiques l'heure actuelle.

 

Ainsi, a-t-il ajouté: "si les efforts de la société civile jusqu'ici a été de nature fondamentalement humaine, nous voulons avec ces initiatives, lancer notre défi, permettant que les Angolais contribuent à l'effort de création scientifique, technologique et de revenu économique et financier dans le secteur de la défense nationale".

 

"Nous voulons créer une nouvelle conscience dans le domaine de la défense et sécurité, une nouvelle conscience entrepreneuriale dans le même secteur, considérée comme essentielle à la souveraineté de notre liberté et intégrité territoriale", a conclu Cândido Van-Dunem.

 

L'événement qui est organisé par le ministère de la Défense Nationale et les Forces Armées Angolaises(FAA), compte sur le partenariat de la Foire Internationale de Luanda (FIL) et d'autres partenaires sociaux.

 

Lors de la foire qui se réalisera dans les inslattations de la FIL, à Luanda, sous le thème "Paix, sécurité et développement", connaîtra la participation de 27 pays, avec 100 exposants sur une surface de 9.000 mètres carrés.

 

Ont témoigné l'acte le président du conseil d'administration de la Foire Internationale de Luanda, José Matos Cardoso, les membres du corps diplomatique accrédités dans les pays, des généraux et officiers supérieurs du ministère de la Défense nationale et des FAA.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
Le PPSD de Dakar : au carrefour de l’Afrique de l’Ouest

29/07/2013 DPSD

 

L’activité est intense pour le PPSD de Dakar, situé à la croisée des chemins en Afrique de l’Ouest…

 

Créé en 1961, le PPSD de Dakar a compétence sur l’ensemble des ressortissants travaillant au profit du ministère de la défense français au Sénégal ainsi que sur toutes les entités et le personnel permanent ou de passage des EFS1 Ces derniers sont un point d’appui important et sont capables d’intervenir partout où cela est nécessaire, du fait de leur implantation. Le poste a pour mission de conseiller le COMELEF2 et les différents échelons de commandement dans l’exercice de leurs responsabilités en matière de sécurité du personnel, des informations, du matériel et des installations sensibles.

 

Essentiellement préventives, les actions du poste regroupent le recueil du renseignement de contre-ingérence3 ; la recherche de faits de sécurité au sein des EFS et parmi les personnels en escale ; l’analyse de l’état d’esprit du personnel ; la mise en œuvre des procédures d’habilitations ; le conseil au commandement pour l’élaboration des mesures de protection et de sécurité et la mise en œuvre du contrôle ; l’évaluation du climat sécuritaire dans la sous-région relevant de la compétence du COMELEF ; la sensibilisation de tous les personnels des EFS (militaires, civils et familles), des ressortissants de la défense et de ceux qui en expriment le besoin.

 

Du fait du déclenchement de l’opération Serval au Mali, la protection du personnel et des installations est une des priorités du PPSD de Dakar. Enfin, le poste est régulièrement consulté par les principales entreprises nationales, ou privées, mais aussi étrangères au sein desquelles travaillent des expatriés, pour des sensibilisations sur la situation sécuritaire locale et sous-régionale.

 

Dans le cadre de ses missions, le PPSD de Dakar entretient des échanges avec les services sénégalais.

 

Pour ce faire, il organise des rencontres régulières avec le bureau de documentation de la gendarmerie sénégalaise, le département de la sécurité extérieure et la direction de la prévention et de la sécurité des armées (DPSA). Les liens avec cette dernière sont tels que, pour la formation de leurs inspecteurs, le Service met à leur disposition, un cycle sur deux, un instructeur durant un mois. De la même manière, chaque année, certains officiers et sous-officiers de la DPSA sont admis en stage en métropole pour parfaire leurs connaissances.

 

_____________________________________________

 

1 Eléments Français du Sénégal

 

2 Commandement des EFS

 

3 Recherche des menaces TESSCo (terrorisme, espionnage, sabotage, subversion, crime organisé) susceptibles de porter atteinte à la capacité opérationnelle des forces.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:45
photos ADJ CBS - CECAD

photos ADJ CBS - CECAD

15/08/2013 Sources : EMA

 

Du 31 juillet au 7 août 2013, les militaires du 5e Régiment InterArmes d'Outre-Mer (RIAOM) des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont organisé et encadré un stage d’initiation au Centre d’Entraînement au Combat et d’Aguerrissement de Djibouti (CECAD) au profit des éléments américains du 26eMarine Expeditionary Unit (MEU) stationnés sur le camp de Lemonnier de Djibouti.

 

Ce stage avait pour objectif l’aguerrissement, le travail du leadership et le renforcement de la cohésion. Durant une semaine, les 6 instructeurs du 5e RIAOM ont encadré près de 400 stagiaires américains, au rythme de deux sections différentes par jour.

 

Les stagiaires ont effectué chaque matin un parcours nautique et chaque après-midi une piste d’audace. Chacun de ces parcours comprenait une dizaine d’obstacles. Le parcours nautique a été effectué en méthode découverte, autrement dit sans reconnaissance préalable. Ce parcours avait pour objectif de mettre les stagiaires en situation difficile afin qu’ils fournissent un effort collectif. En effet, certains obstacles de ce parcours ne sont franchissables qu’en groupe tels que : la planche irlandaise, la planche d’équilibre ou encore le chapeau chinois. La piste d’audace s’effectue également en méthode découverte et  comporte également certains obstacles nécessitant d’être franchis en groupe. Le premier d’entre eux étant un mur de 4.60 mètres de hauteur. Le groupe s’unit pour hisser un premier stagiaire, qui une fois en haut de l’obstacle, fait descendre la corde facilitant le franchissement du groupe. Le piste d’audace est également constituée de  cages, de buses, de poutres mobiles ou encore de rampés sous barbelés.

 

Les FFDj mènent régulièrement des actions avec les militaires américains présents à Djibouti. A la fin du mois de mai dernier, les FFDj et la 26e MEU avaient effectué un  exercice de largage de parachutistes sur le site du Qaîd, à 85 kilomètres à l’Ouest de Djibouti. Au-delà des collaborations avec la MEU, la coopération franco-américaine est constante dans la région. Les états-majors des FFDj et le commandement américain du groupe de forces armées et interalliées pour la Corne de l’Afrique (Combined Joint Task Force – Horn of  Africa CJTF-HOA) se réunissent ainsi régulièrement afin de coordonner l’ensemble de leurs activités à Djibouti. Depuis le 12 avril 2012, cette coopération a été renforcée par la signature d’un accord entre les FFDj et le CJTF-HOA permettant l’échange de prestations et de services logistiques dans le domaine du transport aérien de fret et de personnel.

 

Les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer de réservoirs de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient également d’une capacité d’entrainement permanente avec le centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)
FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)
FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)
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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 07:35
Alindien : passation de commandement

07/08/2013 Sources : EMA

 

Le 1er  août 2013, le contre-amiral Antoine Beaussant a succédé au vice-amiral Marin Gillier dans la fonction de commandant de la zone maritime de l’océan Indien (ALINDIEN).

 

Le contre-amiral Beaussant, auparavant directeur du service de soutien de la flotte à Toulon, devient ainsi le 29ème ALINDIEN. Il est le second à exercer son commandement depuis la terre avec son état-major. Composé d’une cinquantaine de militaires, officiers et sous-officiers des trois armées, l’EMIA ALINDIEN exerce habituellement son contrôle opérationnel depuis la terre. Il doit toutefois conserver son aptitude à embarquer à tout moment, en fonction des opérations à commander. Pour conserver cette capacité, l’EMIA ALINDIEN est régulièrement projeté à bord de bâtiments français.

 

En tant que ALINDIEN, il exerce son autorité sur une zone maritime s’étendant du Sud du canal de Suez à l’Ouest, et à l’Est jusqu’aux limites Ouest des eaux du Mianmar, de l’Indonésie et de l’Australie. Ses missions revêtent plusieurs aspects : contribuer à la stabilisation et au maintien de la paix dans la zone ; contribuer à la sécurité des espaces maritimes ; conduire des opérations militaires à dominante maritime ; participer à la protection des ressortissants français  et promouvoir la politique de défense de la France et animer les relations militaires bilatérales avec les différents pays de la zone.

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 12:45
FAZSOI : DIO TAP au profit des forces de police mauriciennes

26/07/2013 Sources : EMA

 

Du 1er au 12 juillet 2013, les Forces Armées dans la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI) ont mené à La Réunion un détachement d’instruction opérationnel (DIO) TAP (troupes aéroportées) au profit de stagiaires mauriciens.

 

Dans le cadre de la coopération entre les FAZSOI et les forces de police mauriciennes, les 8 instructeurs du 2e RPIMa et de l’Ecole des Troupes aéroportées (TAP) ont accueilli une quarantaine de stagiaires appartenant au Special Support Unit (SSU - unité de maintien de l’ordre mauricienne), aux National Coast Guard et au Groupe d’Intervention de la Police Mauricienne.

FAZSOI : DIO TAP au profit des forces de police mauriciennes

Après une semaine de formation théorique, les stagiaires ont pu effectuer six sauts sur la zone de saut de Samwest à l’Etang Salé. Une cérémonie de remise de brevet, en présence des chefs du SSU et des Coast Guard venus spécialement de Maurice, a clôturé ces deux semaines intenses. Les autorités présentes ont exprimé leur désir de voir aboutir l’homologation prochaine d’une zone de saut à Maurice afin de favoriser les futurs entraînements conjoints.

FAZSOI : DIO TAP au profit des forces de police mauriciennes

Les Forces Armées en Zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du Théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité (en particulier les îles Eparses et terres australes et antarctiques françaises (TAAF)) et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 11:45
Algerian training ship La Soummam (937)

Algerian training ship La Soummam (937)

26 juillet 2013,Portail des Sous-Marins

 

La campagne d’instruction a vu la participation de 89 élèves officiers, dont 29 femmes, en 2e année à l’Ecole supérieure navale de Tamentfoust (est d’Alger).

 

Référence : Algérie Soir

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 07:45
US Army and SANDF personnel discuss plans for Shared Accord 13 at a reconnaissance site near Bhisho in South Africa. Photo US Army.

US Army and SANDF personnel discuss plans for Shared Accord 13 at a reconnaissance site near Bhisho in South Africa. Photo US Army.

 

 

25 July 2013 army-technology.com

 

The US military is conducting a joint military training exercise, code-named Shared Accord 13 (SA 13), with the South African National Defence Forces (SANDF) near Port Elizabeth in South Africa.

 

Scheduled to be carried out in the eastern cape cities of Port Elizabeth, Grahamstown and East London, the annual training exercise involves participation from around 700 US personnel from the army, marines, navy and air force, alongside more than 3,000 SANDF members.

 

The joint peace-keeping and humanitarian exercise will feature a broad spectrum of training missions to validate the operational capabilities of both militaries.

 

Specific scenarios will include an amphibious assault, combined live-fire exercise, situational training exercises, as well as tactical airborne assault missions.

 

The second armored brigade combat team, first infantry division executive officer major Chuck Slagle said the exercise is designed to enhance interoperability and forge friendships between the US the South African Defence Force.

"We're improving each other through this exercise."

 

"The South Africans have a lot of experience and really we're just sharing. We're not training them on anything. We're improving each other through this exercise," Slagle said.

 

SA 13 watch officer sergeant major Andrew Stanley said: "It shows the military capabilities and also the cooperation between the different forces."

 

Besides tactical training, the exercise will also include a Humanitarian Civic Action (HCA) event, during which the US and South African military medics will provide health services, including dental, HIV screening and ophthalmology services to civilians.

 

 

The US military is deploying its light medium tactical vehicle (LMTV), high mobility multipurpose wheeled vehicle (HMMWV), and a deployable headquarters for the exercise, which is scheduled to conclude on 7 August.

 

Exercise Shared Accord aims to increase the ability of both US and South African forces to respond to humanitarian disasters and peace keeping operations worldwide.

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 07:45
photo Bundeswehr

photo Bundeswehr

24/07/2013 Marine nationale

 

La frégate allemande Augsburg, engagée dans la mission européenne de lutte contre la piraterie Atalante, est entrée dans les eaux mahoraises le 17 juillet 2013 pour une visite de courtoisie. L’équipage allemand a ainsi découvert Mayotte.

 

Une première dans l’histoire de l’île, puisqu’aucun navire étranger n’avait fait escale dans ses eaux. Cette première laisse entrevoir la possibilité pour Mayotte de devenir une zone de relâche privilégiée pour les bâtiments militaires opérant dans la zone, notamment dans le cadre de la mission Atalante.

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 20:45
Les hélicoptères belges d'EUTM de retour en Europe

24.07.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

Les deux hélicoptères Agusta engagés fin janvier dans les opérations militaires au Mali sont rentrés le 9 juillet en Belgique à bord d'un avion-cargo de type Iliouchine Il-76. Selon le chef des opérations de l'armée belge, le lieutenant-général Marc Compernol, ces deux appareils ont effectué 53 heures de vol et réalisé six interventions "Medevac" (évacuation médicale) durant l'opération Serval, puis 170 heures et trois transports de patients pour le compte de l'EUTM.

 

Les Agusta avaient initialement été déployés au Mali fin janvier - à Sevaré d'abord, puis à Gao, respectivement à 600 et 1 200 km au nord-est de Bamako - pour appuyer l'opération Serval. Ils étaient ensuite passés, le 22 mars, avec la même tâche, sous le commandement de l'EUTM, déménageant par la même occasion vers Bamako.

 

Les hélicoptères ont cédé le relais à un Puma et un Bell (en attendant deux BK117) de la société Starlite, une entreprise sud-africaine enregistrée en Irlande - une première dans les opérations militaires de l'Union européenne, qui n'a jamais fait appel à des appareils civils pour assurer des missions d'évacuation médicale. Les 35 personnes qui étaient chargées de leur mise en oeuvre sont rentrées jeudi dernier en Belgique, à bord du vol retour de l'Airbus A330 de la Défense qui avait acheminé les soldats belges chargés de la protection du site de formation de Koulikoro.

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