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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 12:45

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09-04-2013 AFET Relations extérieures (REF. : 20130408IPR07103)

 

Tenir des élections au Mali en juillet "sera difficile", compte tenu du nombre important de personnes déplacées et des conditions climatiques défavorables mais "nous devons organiser ce qui est devenu une société fragmentée", a déclaré Romano Prodi, envoyé spécial des Nations-Unies pour le Sahel, aux députés de la commission des affaires étrangères ce lundi. Il a souligné que l'intervention française était "inévitable" mais n'avait pas résolu les autres défis "non-militaires" futurs.

 

Pour Mr Prodi, l'UE ne devrait pas seulement fournir des fonds suffisants pour le développement du Mali et de ses pays voisins mais également "prendre des engagements politiques forts". "L'objectif de la communauté internationale n'est pas de réaliser l'impossible mais de permettre une situation dans laquelle les pays du Sahel peuvent travailler ensemble", en commençant par le développement économique, a-t-il affirmé.

 

Lors du débat, les députés ont souligné la nécessité de coordonner, de manière plus efficace, les efforts de la communauté internationale, soulignant le nombre important d'envoyés spéciaux au Sahel. Le retrait des forces militaires françaises doit correspondre au processus politique et institutionnel au Mali, ont-ils ajouté, appelant à une meilleure coopération avec les pays voisins, ainsi qu'à davantage d'implication des différents groupes ethniques et tribus de la diaspora malienne.

 

Les présidents de commissions des affaires étrangères des parlements algériens, marocains et tunisiens, respectivement Belabbas Belkacem, Ali Kebiri et Souad Abderrahim, qui ont également pris part au débat, ont informé les députés sur la sécurité dans la région. Le trafic d'être humain, d'armes et de drogue représentent les principales sources de financement du terrorisme au Sahel et il doit être mis fin à cette situation, ont-ils insisté, ajoutant qu'une initiative de paix permettant un développement économique stable constituait le pré-requis nécessaire.

 

La sous-commission des droits de l'homme du Parlement européen débattra des droits de l'homme dans la région du Sahel dans une résolution rédigée par Charles Tannock (ECR, UK). Le premier échange de vue sur ce texte est prévu en juin.

 

Sous la présidence: Elmar Brok (PPE, DE)

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 12:45

Somalia Kenya map source bbcimg.co.uk

 

9 April 2013 BBC Africa

 

President Barack Obama has cleared the way for the US to provide military assistance to Somalia as it rebuilds itself following years of conflict.

 

Mr Obama issued a memo to Secretary of State John Kerry saying it would "strengthen the security of the United States and promote world peace".

 

The move now gives Mr Kerry the option to provide defence aid to Somalia.

 

Last month, the UN Security Council agreed to partially lift its ban on selling arms to Somalia for a year.

 

The decision allows Somalia's new government to buy light arms to help it in its fight against the al-Qaeda-aligned al-Shabab Islamist militant group.

 

Some countries had been reluctant to ease the ban for fear of fuelling insecurity in Somalia.

 

But a lifting of the embargo - the world's oldest, having been imposed in 1992 - had been pushed for by the new government of President Hassan Sheikh Mohamud.

 

Black Hawk Down

 

Caitlin Hayden, a spokeswoman for the White House's National Security Council, said that Mr Obama's decision was "not based on any particular new threat assessment or any specific plans to undertake action".

 

"It does not constitute a decision to provide particular assistance or to change the nature of our assistance for Somalia's security sector," she added.

 

The US officially recognised Somalia in January, acknowledging the new government's progress towards political stability and attempts to end the al-Shabab insurgency.

 

Washington never formally cut diplomatic ties with Somalia, but the 1993 Black Hawk Down incident, when 18 American servicemen were killed after militia fighters shot two US military helicopters out of the sky, marked the country's descent into anarchy.

 

President Mohamud took office in 2012 after the first election of its kind since the fall of President Mohamed Siad Barre in 1991.

 

A relative newcomer to politics with no association to the violence and corruption of the past, he has won the backing of the West as he attempts to reunite a country torn apart by two decades of civil conflict.

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 12:45

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8 avril 2013, les premiers soldats de l’opération Serval sont arrivés au sas de décompression

OPEX situé à Chypre. - Crédit : EMA / armée de Terre

 

9 avril, 2013 BBC Afrique

 

La France a effectué un premier retrait symboliques de ses troupes du Mali.

 

L'état-major des Armées a annoncé à Paris le retrait d'une centaine d'hommes sur les 4.000 déployés au Mali.

 

Ils sont arrivés lundi à Chypre, pour trois jours d'hôtel, avant de regagner la France.

 

Ce premier retrait intervient trois mois après le début de la guerre au Mali, le 11 janvier.

 

Le début de retrait militaire engagé par la France est surtout politique pour montrer que la France entend passer au plus vite le relais aux forces africaines pour assurer la sécurité du Mali.

 

Selon le président François Hollande, il ne devrait plus rester en juillet qu'environ 2.000 militaires français dans le pays, contre 4.000 actuellement.

 

La France demande aux autorités maliennes d’organiser des élections d’ici au 31 juillet.

 

Paris a proposé à l'ONU et à Bamako de maintenir une force permanente d'un millier d'hommes dans le pays.

 

Cette force serait parallèle à celle de quelque 11.000 hommes que les Nations unies projettent de déployer à l'été.

 

Pertes islamistes

 

En trois mois d'intervention, les Français ont infligé de lourdes pertes aux groupes islamistes et démantelé leurs réseaux dans le nord.

 

Premier visé, AQMI, Al-Qaïda au Maghreb islamique, considéré comme la principale menace pour la France et l'Europe, a été défait dans son sanctuaire du nord-est.

 

"Plus de 600 terroristes, sur les 1.500 à 2.000 combattants radicaux identifiés, ont probablement été éliminés, des stocks d'armes, de munitions et d'essence ont été détruits en grand nombre. Des chefs, comme Abou Zeid, ont été éliminés", a déclaré à l’AFP Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement.

 

En substance, souligne-il, "on a renvoyé les terroristes cinq ou dix ans en arrière. Ça ne veut pas dire que la menace a totalement disparu, mais on l'a fait reculer de manière significative".

 

Si les opérations de ratissage se poursuivent dans le massif des Ifoghas et le long de la frontière algérienne, l'armée française a commencé à alléger son dispositif.

 

Elle concentre désormais ses efforts autour de Tombouctou et Gao, où elle traque les combattants du Mujao, désormais le plus actif sur le terrain.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 21:39

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08.04.2013 maliactu.net

 

Les responsables maliens sont « tétanisés » par la perspective du retrait des forces françaises, qui devrait débuter fin avril, a déclaré lundi Arnaud Danjean, le président français de la sous-commission Défense du Parlement Européen, au retour d’une mission à Bamako.

 

« L’annonce du retrait français est vécue très difficilement au Mali. Elle provoque beaucoup de craintes chez les partenaires africains et chez les Maliens, qui semblent tétanisés par cette perspective », a souligné M. Danjean devant la presse à Bruxelles.

 

L’eurodéputé UMP a indiqué comprendre « le message sur le retrait » du président François Hollande, qui a annoncé que les opérations de rapatriement des 4.000 soldats débuteraient fin avril. Mais, a-t-il ajouté, « l’articulation entre les calendriers militaire et politique va être problématique », car « il y a de sérieux doutes sur la faisabilité » d’organiser les élections en juillet, comme s’y sont engagés les autorités maliennes.

 

A l’issue d’une mission d’une semaine, M. Danjean s’est déclaré « très frappé par l’état de déliquescence de l’Etat malien », dont les responsables « ne semblent pas prendre la mesure de leur tache ».

 

De plus, ces élites restent « tétanisées » face au capitaine Amadou Haya Sanogo, qui avait renversé en mars 2012 le président Amadou Toumani Touré. « Son degré de nuisance reste considérable » malgré la volonté de tous de « le marginaliser », souligne l’eurodéputé, en prévenant que Sanogo pourrait « être tenté de capitaliser sur le retrait français ».

 

M. Danjean a par ailleurs été impressionné par « le travail absolument remarquable des forces françaises » engagées au Mali, qui ont réussi à « casser la colonne vertébrale d’Aqmi », l’un des mouvements jihadistes actifs dans le nord Mali. « La menace n’est cependant pas éteinte », selon lui.

 

Il a également estimé que la mission de formation l’armée malienne lancée début avril par l’Union européenne « a rapidement trouvé ses marques » mais qu’elle devra probablement être prolongée au delà de son mandat initial, fixé à la mi-2014.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 20:00

badge-eutm-mali a la une

 

08.04.2013 A. DIARRA - maliactu.net

 

L’Union européenne vient de faire un pas de plus dans son implication pour le retour de la sécurité et pour la défense de la démocratie et de la paix dans notre pays. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Tieman Hubert Coulibaly, et Richard Zink, le chef de la Délégation de l’Union européenne au Mali ont co-signé jeudi l’accord d’établissement de la Mission de formation militaire de l’Union européenne au Mali (EUTM-Mali, « European union training mission » en anglais). La cérémonie s’est déroulée en présence du ministre de la Défense et des Anciens Combattants, le général Yamoussa Camara et de son homologue de la Sécurité intérieure et de la Protection civile, le général Tiéfing Konaté, ainsi que du patron de l’EUTM, le général Lecointre.

 

Cette signature intervient 24 heures après le démarrage de la formation à Koulikoro. On compte 550 instructeurs européens issus de 22 des 27 membres de l’Union européenne. Une première au Mali et même au sein de l’Union européenne, a noté Richard Zink « C’est la première fois qu’on signe un accord militaire. Ça montre l’évolution de l’UE. Ça montre également que l’Europe est au Mali pour défendre la démocratie, la liberté… C’est aussi la première fois que des militaires britanniques et irlandais se retrouvent sur le même terrain, après des années de guerre ».  La durée initiale de la formation est de quinze mois, a-t-il précisé.

 

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Tieman Hubert Coulibaly, a relevé « le rôle majeur que s’est assignée l’UE dans la résolution de la crise dans notre pays par une assistance multiforme et déterminante. Assurément cette signature vise à renforcer les capacités de recouvrement et de défense de l’intégrité du territoire ». Le ministre Coulibaly a rappelé que les « 550 instructeurs formeront 4 bataillons de 700 hommes chacun et aura pour tâche de fournir conseil et assistance au ministère de la Défense et des Anciens Combattants, ainsi qu’à la structure de commandement. Elle opérera en étroite coordination avec la MISMA, mais ne participera pas aux combats. Il s’agit d’une mission composée de 550 militaires européens, qui s’étalera sur 15 mois, avec un budget total de 12,3 millions d’euros soit 8 068 271 100 Fcfa».

 

Au cours de leur formation, les soldats subiront un entraînement intensif au maniement des armes ou au respect des ordres. Ils bénéficieront aussi de cours du droit humanitaire international et sur la protection des civils. Il s’agira à terme de faire de l’Armée du Mali, une véritable armée républicaine au service du pouvoir politique et civil.

 

Enfin, le patron de la diplomatie malienne s’est félicité de constater que cette intervention, fruit de concertation et d’efforts mutuels, cadre parfaitement avec nos objectifs de promotion d’une culture de paix et de quiétude.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 19:45

MISMA

 

2013-04-08 xinhua

 

Les soldats ivoiriens devant se rendre au front malien dans le cadre de l'appui à la Mission de soutien au Mali (MISMA) sont "prêts" et "opérationnels", a appris Xinhua auprès des autorités militaires.

 

Selon le chef d'état-major général des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) le général Soumaïla Bakayoko, les soldats qui composent le bataillon logistique sont aptes, et se sont familiarisés à la situation qui les attend en terre malienne.

 

"A travers les manoeuvres militaires réalisées avec l'armée française, nos hommes ont fait des exercices mettant en scène des attaques et des embuscades. Ils se sont aussi habitués aux tirs de canon qui leur seront servis dans le nord du Mali", a expliqué le général Bakayoko.

 

Le ministre ivoirien de la Défense Paul Koffi Koffi a également déclaré que les militaires ivoiriens sont "prêts pour le service" au Mali.

 

"Les dispositions sont prises pour que le bataillon logistique ivoirien soit mis en route très rapidement", a assuré M. Koffi Koffi.

 

Quelque 235 soldats ivoiriens devront être déployés fin avril au Mali pour apporter un appui aux troupes engagées sur le front.

 

Le bataillon logistique ivoirien devra se charger notamment du ravitaillement des troupes et de l'assistance médicale.

 

Plus de 6 000 soldats des forces ouest africaines et du Tchad se trouvent en territoire malien pour appuyer les forces malienne et française qui mènent depuis plusieurs mois des combats contre les Jihadistes au nord du pays.

 

D'autres pays se sont dit disposés à prêter main forte à ce "pays frère" dans la perspective de restaurer son intégrité territoriale et de lutter contre le terrorisme.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 16:45
pla-navy

April 8, 2013: Strategy Page

 

China is investing $10 billion to build a new port at Bagamoyo (northwest of Dar es Salaam) and improve infrastructure related to the port improvement. This will make it possible to greatly increase trade. This mainly consists of shipping raw materials to China and bringing Chinese manufactured goods in. Among the imports will be most of the components for the ports and Chinese mines and other infrastructure projects in the region. The new port will be able to handle 20 million cargo containers a year. The current port facilities at Dar es Salaam can only handle 800,000 containers a year. New roads and railroads will connect to existing road and railroad networks and these will also undergo upgrades. This will make Tanzania the main port for raw materials coming out of, and goods going into of Malawi, Zambia, Congo, Burundi, Rwanda and Uganda. This makes Tanzania a major East African shipping destination because Bagamoyo will become the largest port in Africa and one of the biggest in the region (which includes the Persian Gulf.)

 

Although China made it clear that these facilities will not be used by the Chinese Navy, Chinese firms will run (as well as build) the facilities and getting an agreement from Tanzania to allow Chinese warships to come by for supplies and shore leave should not be a problem.

 

The Chinese government has refused several navy requests for overseas bases, but as more Chinese warships operate in the Indian Ocean, and off East Africa, there will be a need for ports where these can reliable obtain fuel, supplies and some repairs. What better port than one run by a Chinese company. China has a similar deal with Pakistan, where the port of Gwadar (located near the Iranian border) is being upgraded by China. The Chinese plan to also build a naval base that would be used by Pakistani and Chinese warships and aircraft. This would be a Pakistani naval base, which the Chinese Navy having access.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 16:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/tchad-exercice-de-sauvetage-d-un-pilote-ejecte/exercice-sater-1/2259710-1-fre-FR/exercice-sater-1.jpg

 

08/04/2013 Sources : EMA - Opérations

 

Le 30 mars 2013, la force Épervier a mené un exercice de sauvetage terrestre (SATER). Cet exercice annuel de  récupération d’un pilote éjecté (fictif) s’est déroulé au nord de N’Djamena, il permet l’entrainement des moyens aériens et terrestres de la force Épervier.

 

L’exercice a simulé l’éjection d’un pilote de Rafale, appelé Survivor, suite à un problème survenu lors d’une mission avec un deuxième chasseur. L’autre équipage Rafale, appelé l’On Scene Commander, a immédiatement protégé la zone, pris contact avec le pilote éjecté et déclenché l’alerte.

 

Une fois l’alerte transmise avec les coordonnées de la zone d’éjection, un poste de commandement Search and Rescue a été armé. Il a rapidement fixé les conditions d’intervention et les moyens à mettre en œuvre pour la recherche et le sauvetage du pilote éjecté. Un  hélicoptère Puma a été immédiatement déployé sur zone pour déposer du personnel du détachement de protection afin de mettre le Survivor en sécurité.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/tchad-exercice-de-sauvetage-d-un-pilote-ejecte/exercice-sater-2/2259705-1-fre-FR/exercice-sater-2.jpg

 

Très rapidement, un deuxième hélicoptère Puma, configuré en version de récupération sanitaire, a transporté sur les lieux une équipe médicale en charge de prodiguer les premiers soins à terre et dans l’hélicoptère.

 

Il n’aura fallu que quelques minutes pour conditionner le blessé dans l’hélicoptère et  redécoller. L’exercice s’est terminé une fois l’extraction accomplie et le Survivor ramené en toute sécurité sur la base aérienne de N’Djamena. 

 

Ce type d’entrainement est primordial pour la force Epervier puisqu’elle assure également en permanence la mission de SATER au profit des aéronefs participant à l’opération Serval.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/tchad-exercice-de-sauvetage-d-un-pilote-ejecte/exercice-sater-3/2259700-1-fre-FR/exercice-sater-3.jpg

 

Les éléments français au Tchad (EFT) de la force Épervier (950 hommes) assurent deux missions permanentes : ils garantissent la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et apportent un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 16:45

logo Operation Serval

 

8 April 2013 at 13:39 GMT BBC Africa

 

 

French forces have launched one their biggest offensives against militants in northern Mali, officials have said.

About 1,000 troops are sweeping through a river valley believed to be a logistics base for the armed Islamists near Gao, AFP news agency reports.

 

This is said to be the last major French-led operation before France starts reducing its military presence.

 

The militants have been driven out of northern cities and towns since France intervened militarily in January.

 

However, the Islamists have carried out several suicide attacks in Gao, about 1,200 kilometres (750 miles) north of the capital Bamako, and the ancient city of Timbuktu.

 

Nomad camps


The BBC's West Africa correspondent Thomas Fessy says the French offensive, called "Operation Gustav", is intended to clear the Gao region of any militants still hiding there and to prevent further attacks on the city.

 

France wants to search as much of the remote region as it can for militant hideouts before it starts scaling down its troops from the end of this month as this the kind of operation that African forces may not be able to carry out once they take over, he says.

 

No Islamist fighters were encountered on the first day of the operation, launched at dawn on Sunday, AFP quotes a journalist travelling with the troops as reporting.

 

The French forces neutralised around 340 artillery shells and high-calibre rockets found stashed under acacia trees in ravines, it reports.

 

French soldiers will spend the coming days combing the 20km valley with the help of Malian soldiers and police officers who will first go into the nomad camps and mud houses which line the dry river basin.

 

"We surrounded the valley north of Gao, which we believe serves as a logistics base for jihadist groups, and we began to search methodically," AFP quotes French land forces commander General Bernard Barrera as saying.

 

"This is the fourth wadi [valley] we have gone into in the Gao region. There will no doubt be other such operations but perhaps not to the same extent."

 

France plans to start withdrawing the first of its 4,000 troops later this month, and hopes to have only 1,000 soldiers in Mali by the end of the year.

 

The regional African force in Mali currently numbers about 6,300 soldiers.

 

UN chief Ban Ki-moon has suggested that a 11,000-strong UN peace force, made up of African troops, be deployed in Mali, once France reduces its presence.

 

Mr Ban also called for the creation of a second force to fight militants.

 

Remaining French troops could be part of this force, correspondents say.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 12:59
Mali: vaste opération militaire française pour traquer les islamistes au nord de Gao

08 avril 2013 13h20 Romandie.com (AFP)

 

GAO (Mali) - Une vaste opération de l'armée française pour traquer les islamistes, entamée à l'aube dimanche au Mali, était en cours lundi et devrait se poursuivre plusieurs jours dans une vallée au nord de la ville de Gao, selon un journaliste de l'AFP qui l'accompagne.

 

Cette opération baptisée Gustav, l'une des plus importantes en termes d'effectifs engagés depuis le début du conflit au Mali en janvier, mobilise un millier d'hommes, plusieurs dizaines de blindés, des hélicoptères, de l'artillerie, des drones et de l'aviation, a précisé à la presse le général Bernard Barrera, commandant de la composante terrestre de la force Serval.

 

Gao, plus grande ville du nord du Mali, située à 1.200 kilomètres de Bamako, était un fief du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), l'un des groupes islamistes armés qui ont occupé le nord du pays l'an dernier avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), jusqu'à ce que l'opération militaire franco-africaine lancée le 11 janvier les en déloge en grande partie.

 

La ville a cependant subi en février des attentats-suicides - les premiers de l'histoire du Mali - et a été le théâtre de violents accrochages entre les forces franco-maliennes et les jihadistes, dont le dernier en date il y a deux semaines a fait sept morts.

 

Lors de la première journée de l'opération Gustav le long d'un oued (rivière) asséché, aucun combattant jihadiste n'a été découvert et aucun coup de feu tiré, mais les hommes du Génie ont trouvé et neutralisé environ 340 obus et roquettes de gros calibre, sommairement cachés sous des acacias, dans des ravins creusés par l'érosion.

 

Nous avons encerclé cette vallée au nord de Gao, dont nous pensons qu'elle sert de base logistique aux groupes jihadistes, et nous avons commencé à la fouiller méthodiquement, a précisé le général, basé à Gao mais qui est venu auprès de ses troupes en hélicoptère dimanche en fin d'après-midi.

 

Tous les accès à la vallée ont été bouclés et ses crêtes contrôlées à 06H00 (locales et GMT) dimanche. A 08H00 les hommes de la 3e brigade mécanisée, commandés sur le terrain par le colonel Bruno Bert, ont entrepris la fouille d'un bois touffu, où les renseignements militaires estimaient que pouvait être cachée une base jihadiste.

 

L'opération, dans cette vallée de vingt kilomètres de long sur deux de large, va se poursuivre au cours des prochains jours. Elle va être passée au peigne fin, en collaboration avec des soldats et des gendarmes maliens qui vont pénétrer en premier dans les campements de nomades ou des maisons de terre des habitants.

 

C'est le quatrième oued que nous fouillons dans la région de Gao, il y aura sans doute d'autres opérations de ce genre, mais peut-être pas de la même ampleur, a précisé le général Barrera.

 

Quelque 4.000 soldats français sont actuellement engagés au Mali pour lutter contre les groupes islamistes armés. Mais à compter de fin avril, ils vont entamer leur retrait jusqu'à la fin de l'année. Il n'y en aura alors plus qu'un millier, selon Paris.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 12:55
Mali: large opération française pour traquer les islamistes

08/04/2013 Par LEXPRESS.fr (AFP)

 

L'opération, baptisée Gustav, a été entamée dimanche à l'aube et se poursuit ce lundi au nord de la ville de Gao.

 

La traque se poursuit, et les troupes françaises ne relâchent pas leur effort. Une vaste opération de l'armée française pour dénicher les islamistes, entamée dimanche à l'aube au Mali, est en cours ce lundi. Elle devrait se poursuivre plusieurs jours dans un oued asséché au nord de la ville de Gao, selon un journaliste de l'AFP qui l'accompagne. 

 

Cette opération baptisée "Gustav", l'une des plus importantes en termes d'effectifs engagés depuis le début du conflit au Mali en janvier, mobilise un millier d'hommes, plusieurs dizaines de blindés, des hélicoptères, de l'artillerie, des drones et de l'aviation, a précisé à la presse le général Bernard Barrera, commandant de la composante terrestre de la force Serval. 

Gao, théâtre de violents affrontements

Gao, plus grande ville du nord du Mali, située à 1 200 kilomètres de Bamako, était un fief du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), l'un des groupes islamistes armés qui ont occupé le nord du pays l'an dernier avec Al-Qaïda au Maghreb islamique jusqu'à ce que l'opération militaire franco-africaine les en déloge en grande partie. La ville a cependant subi en février des attentats-suicides - les premiers de l'histoire du Mali - et a été le théâtre de violents accrochages entre les forces franco-maliennes et les jihadistes, dont le dernier en date il y a deux semaines a fait sept morts. 

 

Quelque 4 000 soldats français sont actuellement engagés au Mali pour lutter contre les groupes islamistes armés. Mais à compter de fin avril, ils vont entamer leur retrait jusqu'à la fin de l'année. Il n'y en aura alors plus qu'un millier, selon Paris. 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 12:45
Sénégal : Les Eléments Français au Sénégal (EFS) en soutien de l’opération Serval

 

08/04/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 11 janvier 2013 et le déclenchement de l’opération Serval au Mali, les éléments français au Sénégal, pôle opérationnel de coopération à vocation régionale, jouent un rôle déterminant dans les opérations.

 

Après une évaluation des capacités de transmissions, d’hébergement et de travail disponibles aux EFS, un PC interarmées de théâtre a été mis en place à Dakar. Dans le même temps, des contacts ont été établis avec Bamako, qui constitue la plateforme de transit de l’ensemble des moyens logistique projetés sur le sol malien.

 

Le dispositif de soutien mis en œuvre depuis Dakar est articulé autour des façades aériennes et maritimes. Sur la zone militaire réservée de l’aéroport international Léopold Sédar Senghor, des ATL 2 de l’aéronavale, des AWACS, des ravitailleurs et des transporteurs de l’armée de l’air et des pays alliés contributeurs se succèdent quotidiennement. Progressivement, le volume et la diversité des moyens aériens déployés ainsi que le rythme soutenu des rotations ont transformé cette zone en véritable base aérienne multinationale. Depuis le début des opérations, plus de 1000 mouvements d’aéronefs – français, mais aussi anglais, espagnols, danois, allemands, hollandais et américains – ont permis de transporter plus de 4000 passagers et plus de 1000 tonnes de fret au Mali.

 

Le port de Dakar, point d’encrage de l’acheminement stratégique par voie maritime, constitue la seconde plateforme du soutien logistique avec le déploiement d’un Sea port of debarkation (SPOD), placé sous le commandement opératif de théâtre. Depuis le 28 janvier, le BPC Dixmudeet trois affrétés y ont débarqué près de 8000 tonnes de fret et près de 500 personnels en quatre rotations.

 

Par ailleurs, d’importants moyens de soutien ont été déployés sur les différentes implantations des EFS pour, équiper, soigner, véhiculer, informer, armer, ravitailler (en essence, en munitions, en pièces de rechange), nourrir, héberger, plus d’un millier de militaires en transit. Des camps de toile avec cafétéria et infirmerie attenantes ont également été mis en place.

 

Dans le même temps, les EFS soutiennent le déploiement de la MISMA grâce à des actions de formation ciblées, délivrées au profit des forces africaines avant qu’elles intègrent la mission internationale de soutien au Mali. Après avoir contribué à l’évaluation des contingents de la MISMA et établi un bilan initial de leurs besoins, les EFS ont ainsi mis en œuvre des formations tactiques et logistiques au profit des forces nigériennes et sénégalaises.

 

Par ailleurs, au titre de la coopération opérationnelle, 10 militaires des EFS sont déployés au Mali, auprès du PCIAT ou des états-majors des différents

Sénégal : Les Eléments Français au Sénégal (EFS) en soutien de l’opération Serval
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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 11:45

MISMA

 

le 08/04/2013 Par Pierre Rousselin – LeFigaro.fr

 

 

INTERVIEW - Le président du Niger se dit prêt à envoyer plus de soldats dans le cadre de l'opération de l'ONU qui se déploiera en juillet prochain.

Premier chef d'État africain à s'être rendu à Gao, samedi, Mahamadou Issoufou se félicite des résultats de l'intervention militaire française au Mali, qu'il a soutenue avec un contingent d'environ 680 soldats déployés au sein de la force africaine, la Misma.

 

LE FIGARO. - Vous avez été le premier dirigeant africain à tirer la sonnette d'alarme sur la situation au Mali. Êtes-vous satisfait de la tournure des événements?


MAHAMADOU ISSOUFOU. - Je ne regrette qu'une chose: que l'intervention n'ait pas eu lieu plus tôt. On a donné le temps aux forces terroristes de se renforcer. Heureusement, il y a eu l'opération «Serval». Sans cela, les forces africaines auraient eu beaucoup de mal à chasser les djihadistes. Tout cela est une conséquence de la Libye, où l'on a su mener la guerre mais où l'on n'a pas gagné la paix.

 

Les djihadistes continuent à harceler les troupes françaises et à organiser des attentats. On a parfois l'impression que les difficultés ne font que commencer. Qu'en pensez-vous?


Je ne dirais pas cela. Beaucoup de résultats ont été obtenus. Il était prévisible que les djihadistes continueraient à mener des actions résiduelles. Mais on finira par les éliminer.

 

Redoutez-vous le moment où les troupes françaises vont commencer à se retirer?


La France ne va pas rester éternellement au Mali. Mais on est encore loin d'avoir rétabli la sécurité dans l'ensemble du pays. Dans un premier temps, il y aura un allégement du contingent français. Mais les soldats français devront pouvoir rester encore longtemps parce que la force des Nations unies qui prendra le relais de la Misma (la force africaine) ne suffira pas. Il faudra qu'une «force parallèle» suffisamment puissante soit constituée pour combattre les terroristes. Et pour cela, les troupes françaises seront nécessaires.

 

Comment se présente la force de l'ONU?


Les contingents existants seront transférés à l'ONU et auront davantage de ressources. Mais les forces de l'ONU ont un inconvénient: elles ont un problème stratégique de commandement. Ce sont traditionnellement des forces défensives. Il faudra que la Minusma ait un mandat offensif sous chapitre VII, comme c'est d'ailleurs le cas en République démocratique du Congo, depuis que l'on a renforcé le mandat des forces de l'ONU pour qu'elles puissent combattre les rebelles. J'ai bon espoir que l'on ira dans cette direction parce que c'est la seule manière d'assurer la sécurité au Mali.

 

Le Niger est-il prêt à renforcer son contingent?


Nous avons 671 hommes qui participent à la Misma et qui sont prêts à poursuivre leur mission dans le cadre de l'ONU. Le Niger peut toujours augmenter sa contribution si on le lui demande, sachant que nous avons 5000 hommes qui sont déployés pour renforcer la défense de notre territoire.

Pensez-vous que des élections pourront avoir lieu au Mali selon le calendrier prévu, c'est-à-dire d'ici à juillet prochain?


Le Mali doit aller à des élections le plus rapidement possible pour qu'un pouvoir légitime soit constitué. Cela exige une réconciliation entre tous les Maliens. Cette réconciliation doit se faire entre tous les groupes qui acceptent l'unité du pays, ainsi que son caractère démocratique et laïc. Les groupes qui ont pris les armes doivent être désarmés et doivent négocier. Cela dit, il ne faut pas se laisser imposer un fatalisme des dates. J'ignore le niveau de préparation mais il faut organiser un scrutin libre et transparent et donc prendre suffisamment de temps pour que les élections soient légitimes.

 

Vous venez de fêter le deuxième anniversaire de votre arrivée au pouvoir. Quel est votre bilan?


Je suis globalement satisfait. Le programme adopté par les électeurs il y a deux ans est en cours d'exécution. Des progrès importants ont été faits en matière de sécurité et de développement des institutions démocratiques. Le taux de croissance moyen a été de 6,4 % par an. Nous sommes en train de gagner notre pari des «trois N»: «Les Nigériens nourrissent les Nigériens.» Au Niger, la sécheresse n'est plus synonyme de famine.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 11:45

http://www.sofrep.com/wp-content/uploads/2013/04/ecdis-sofrep-opt-660x500.jpg

 

April 8, 2013 by Jack Murphy - sofrep.com

 

Back to the nuts and bolts of how piracy and counter-piracy works…

 

While underway, pirates are known to begin probing commercial ships as they pass around the Horn of Africa. The vast majority of probes and attacks are at night, although pirates are also known to hide in the fog during they day. The maritime security contractor on shift at night monitors the Automatic Identification System, or AIS, radar on the ship, and when he gets a blip on the screen he begins looking for pirates, usually in stolen fishing vessels, with his binoculars. In high winds, the older AIS systems will get feedback as they may read whitecaps out in the ocean, giving off false signatures and making it difficult for contractors to discern real threats.

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 11:45

http://eunavfor.eu/wp-content/uploads/2013/04/ALVC_Sailing-623x393.jpg

 

April 8, 2013 - EUNAVFOR

 

The Portuguese Frigate NRP Álvares Cabral joined the EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia – Operation Atalanta on 6 April 2013, in Djibouti.

 

During her participation in Operation Atalanta, for the next 4 months, Álvares Cabral will be the EU Naval Force flagship, hosting the Force Commander and his multinational staff on board.

 

NRP Álvares Cabral is a multipurpose MEKO class frigate, 116 meters in length and 3400 tonnes displacement. Among other missions, she had in the past 2 deployments in the Standing NATO Maritime Group 1 (SNMG1), 5 in the Standing Naval Force North Atlantic (STANAVFORLANT) and 2 in the European Maritime Force (EUROMARFOR).

 

Speaking about the preparations for joining the Operation, the Commanding Officer, Captain Nuno Sobral Domingues, said: “After a long and demanding period of training and certification, we´re ready to conduct a wide spectrum of naval operations as a national contribution for the stability and security off the coast of Somalia. The crew is well prepared and all the systems are fully operational and ready to deployment”.

 

Before joining the EU Naval Force, NRP Álvares Cabral went through an intense training program, including the Portuguese Navy Basic Training, the Operational Sea Training in Plymouth – United Kingdom, and finally the Portuguese Training for Counter-Piracy Deployment.

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 11:05

 

  8 avril 2013 FORCESFRANCAISES

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 21:07

rooivalk9 aircraft

Le contingent sud-africain déployé en RDC bénéficiera

de l'appui d'hélicoptère de combat Rooivalk C SH2.

 

7 avril, 2013 - 18:43 GMT BBC Afrique

 

Le porte-parole de l'armée sud-africaine a confirmé que le gouvernement allait envoyer plusieurs centaines de soldats dans l'Est de la république démocratique du Congo.

 

La nouvelle est tombée comme un couperet alors que de nombreux sud-africains ont été choqués par la mort de 13 soldats des SANDF lors de la prise de Bangui par les rebelles de la Séléka le 24 mars.

 

On savait que le gouvernement de Prétoria était volontaire pour envoyer un contingent important participer à la brigade d'intervention mise sur pied par les Nations unies afin de neutraliser groupes armés, dont le M23, dans l'Est du Congo.

 

Ce déploiement en RDC s'inscrit dans le cadre de la résolution votée par le Conseil de sécurité des Nations unies le 28 mars dernier.

 

Cette brigade de 2 500 soldats sera déployée dans la province du Kivu en appui de la MONUSCO.

 

Jusqu'ici les casques bleus n'étaient autorisés à user de leurs armes que quand ils étaient attaqués.

 

Le Mozambique, le Malawi et la Tanzanie ont aussi promis d'envoyer un contingent dans les prochains mois.

 

Il semble donc que Pretoria continue donc à vouloir jouer les gendarmes de l'Afrique.

 

Pretoria, gendarme de l'Afrique

 

Le ministère des Affaires étrangères avait d'ailleurs expliqué la semaine dernière que la politique de défense du pays était en accord avec la politique étrangère.

 

Que ce soit au Soudan, au Burundi, aux Comores ou en RDC, les Sud-Africains maintiennent ce qu'ils appellent "la diplomatie de l'ubuntu" - une volonté de coopération multilatérale afin d'assurer la stabilité et la paix sur le continent africain.

 

Mais après la mort de 13 soldats à Bangui, le gouvernement devra s'expliquer.

 

Le principal parti d'opposition, l'Alliance démocratique, a exigé dimanche que le président Zuma informe le parlement.

 

Combien de soldats y aura-t-il exactement? Quand seront-ils déployés? Et comment assureront ils leurs mission?

 

Coopéreront-ils avec les soldats du Mozambique, du Malawi et de la Tanzanie dans le cadre d'une force régionale?

 

"On ne peut plus rester sans réponses à ces questions. Le président doit nous dire ce qui se passe", s'est indigné le député David Maynier.

 

La ministre de la Défense doit déjà s'expliquer sur la tragédie de Bangui le 23 avril prochain devant le parlement reuni en plénière.

 

Nosiviwe Mapisa Nqaqula doit désormais se préparer à un barrage de questions sur l'envoi de troupes en république démocratique du Congo.

 

Le journal City Press a rapporté dans son édition dominicale que plusieurs centaines de tonnes de matériel ont été embarquées de Bloemfontein, Pretoria et Makhad à bord d'avions cargos russes à destination de l'Ouganda où l'armée sud-africaine devrait avoir une base près de la frontière avec la RDC.

 

Un bataillon sud-africain est déjà stationné à Munigi à 3 km de Goma dans le cadre de la Monusco.

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130405-tchad-action-de-cooperation-dans-la-region-du-tibesti/acm-tibesti-1/2258687-1-fre-FR/acm-tibesti-1.jpg

 

06/04/2013 Sources : EMA

 

Du 15 mars au 3 avril2013, la force Épervier a conduit une mission de reconnaissance dans la région du Tibesti, à plus de 900 kilomètres au Nord de N’Djamena, combinant des moyens terrestres et aériens. Lors de son déplacement, le détachement, de 150militaires français a mené des actions d’assistance à la population.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130405-tchad-action-de-cooperation-dans-la-region-du-tibesti/acm-tibesti-2/2258697-1-fre-FR/acm-tibesti-2.jpg

 

Le groupement terre de la force Épervier, armé par des militaires du 110ème  régiment d’Infanterie (110e RI), du 3ème  régiment de Hussards (3e RH) ainsi que du 8ème régiment d’artillerie (8e RA), a mené une opération de reconnaissance dans les régions de Bardaï et de Zouarke, tout en maintenant une présence permanente à Zouar, durant une quinzaine de jours.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130405-tchad-action-de-cooperation-dans-la-region-du-tibesti/acm-tibesti-3/2258692-1-fre-FR/acm-tibesti-3.jpg

 

Le détachement a mené des actions d’instruction opérationnelle au profit du personnel de l’armée tchadienne (ANT) stationné dans la zone, des missions d’aide médicale à la population ainsi que des missions d’assistance. Le détachement a procédé au ramassage et à la destruction d’environ une tonne de munitions anciennes non explosées qui représente un danger majeur et permanent pour la population locale.

 

Dans les villages de Zouar et de Domo, séparés d’une dizaine de kilomètres, les militaires français ont participé à la réfection de deux écoles, inaugurées le 18 mars par le colonel Laurent Rataud, commandant de la force Epervier (COMANFOR EPERVIER). Le personnel du détachement a également remis en état les tombes du cimetière français de Zouar qui compte une trentaine de sépultures.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130405-tchad-action-de-cooperation-dans-la-region-du-tibesti/acm-tibesti-4/2258702-1-fre-FR/acm-tibesti-4.jpg

 

Cette mission a représenté pour la force Épervier une opportunité de se rendre pour une durée significative dans la région du Tibesti et de renforcer les liens qui unissent la force Epervier à la population tchadienne.

 

Les éléments français au Tchad (EFT) de la force Épervier (950hommes) assurent deux missions permanentes : ils garantissent la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et apportent un soutien logistique(ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/130405-rca-operation-de-securisation/rca-securisation-1/2258807-1-fre-FR/rca-securisation-1.jpg

 

06/04/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 22mars 2013, le détachement Boali a été renforcé à Bangui et se tient prêt à assurer, si besoin, la sécurité des ressortissants français et étrangers présents sur le territoire centrafricain.

 

Au total, ce sont un peu plus de 300 militaires français en mission de courte durée au sein des forces françaises au Gabon(FFG) qui ont été projeté depuis Libreville, à l’aide de plusieurs rotations deC160 Transall, C130 Hercules et Casa 235. Avec les 250 militaires français stationnés à Bangui dans le cadre de l’opération Boali, ce sont plus de 550militaires français qui sont présents dans la capitale Centrafricaine.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/130405-rca-operation-de-securisation/rca-securisation-2/2258802-1-fre-FR/rca-securisation-2.jpg

 

Les soldats français déployés dans la capitale centrafricaine assurent la sécurité des accès de l’aéroport international de M’Poko ainsi que la liberté des mouvements sur l’aéroport et la poursuite des vols commerciaux. Des patrouilles de sécurité, en étroite coordination avec la force multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC) sont menées dans les quartiers résidentiels de la ville, auprès des sites importants pour la sécurité des ressortissants. Des militaires français sont également présents dans une cimenterie pour assurer la sécurité d’une centaine de travailleurs indiens.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/130405-rca-operation-de-securisation/rca-securisation-3/2258797-1-fre-FR/rca-securisation-3.jpg

 

Le 31 mars 2013,afin de renforcer les forces françaises au Gabon (FFG) dont deux compagnies sont présentes en RCA, une compagnie PROTERRE du 501e régiment de chars de combat (501e  RCC) de Mourmelon a été projetée depuis la France.

 

La France est présente dans le cadre de l’opération Boali en RCA depuis 2002. Cette opération vise à apporter un soutien logistique, administratif, technique et si besoin opérationnel à la MICOPAX (Mission de consolidation de la paix en République Centrafricaine).

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 11:07

http://fbcdn-sphotos-g-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/526989_358837770894485_1616637007_n.jpg

 

4 avril 2013 EUTM Mali

 

Un député européen visite EUTM MaliLe 3 avril 2013, le député européen Monsieur Arnaud Danjean a rendu visite à EUTM Mali à la tête d’une délégation parlementaire de la sous-commission Défense du Parlement Européen. Après lui avoir présenté sa mission, Le général Lecointre lui a fait un point de situation sur le déploiement de EUTM.

 

 Monsieur Arnaud Danjean est président de la sous-commission « Sécurité et Défense » du Parlement Européen depuis juillet 2009. Il siège également au sein de la commission des Affaires Etrangères. Il était accompagné par Monsieur Ioan Mircea, vice président de la commission des affaires étrangères, et Madame Anna Ibrisagic, tous les deux membres de la sous-commission « Sécurité et Défense ».

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 22:10

zone sahélo-saharienne par el-annabi

 

06.04.2013 Par Mohamed Mouloudj - liberte-algerie.com

 

“L’opération touchera les engins explosifs posés par les terroristes”

 

Depuis la mise en œuvre de la Convention jusqu’au 28 février de cette année, “l’Algérie a enlevé 849 712 mines, restitué 6 425,772 hectares de terrains, détruit 159 110 engins explosifs et retenu 5 970 autres”.

 

L’opération de déminage engagée par l’Algérie, depuis les premières années de l’Indépendance, touchera même les engins explosifs disséminés par les groupes terroristes islamistes. C’est ce qui ressort du séminaire tenu, jeudi à Alger, à l’occasion de la Journée internationale contre les mines antipersonnel.

 

La rencontre était organisée par le Conseil national économique et social (Cnes) et le ministère de la Défense nationale, en collaboration avec Handicap International. “Le déminage en Algérie a atteint 70%, et l’opération touchera même les engins explosifs posés par les groupes terroristes durant la décennie noire”, a indiqué Mohamed-Seghir Babès, premier responsable du Cnes. Cela dit, le travail qu’effectuent les soldats de l’ANP sur le terrain ne sera pas circonscris, uniquement aux zones minées par la France coloniale, mais touchera les maquis et autres massifs forestiers infestés par les groupes terroristes, dont les bombes posées ne cessent de faire des victimes parmi la population.

 

En effet, la presse nationale fait état, régulièrement, d’explosions de bombes artisanales disséminées par les groupes terroristes dans plusieurs régions du pays. Entre soldats et éléments de services de sécurité, des citoyens civils sont aussi comptabilisés parmi les victimes. La rencontre de jeudi était aussi une occasion pour les participants, notamment pour les cadres du ministère de la Défense nationale, de présenter un bilan exhaustif de l’opération de déminage. Ainsi, le colonel Hassen Gherab a fait état de destruction de “159 110 mines antipersonnel” et ce, “depuis  l'adhésion de l'Algérie, le 27 novembre 2004, au processus d'Ottawa”. Le cadre du MDN a précisé que, depuis la mise en œuvre de la Convention jusqu’au 28 février de cette année, “l’Algérie a enlevé 849 712 mines, restitué 6 425,772 hectares de terrain, détruit 159 110 engins explosifs et retenu 5 970 autres”. Pour rappel, l’opération de déminage a été faite en deux phases. La première s’étalant de 1963 à 1988, dans le cadre de “l’effacement de l’œuvre du colonialisme”, a détruit 7 819 120 mines et le nettoyage de 50 006 terrains. Ces mines ont été disséminés, pour rappel au long des frontières est et ouest du pays sur les lignes Challe et Morice. La deuxième phase s’étale depuis 2004 à ce jour et vise à assainir définitivement le territoire national de toutes ces mines. Les présents ont rappelé que la France coloniale avait disséminés pas moins de 11 millions de mines. L’Algérie postindépendance a réussi la destruction de 8 millions, donc 3 millions autres engins explosifs restent enfouis sous le sol algérien. Les statistiques présentées par le ministère de la Défense nationale indiquent que les unités de l'Armée nationale populaire (ANP) chargées de l'opération de déminage sont parvenues, au 28 février dernier, à détruire un total de 670 256 mines dont 566 579 mines antipersonnel, 99 622 mines antigroupes et 4 055 mines éclairantes, soit, 14 types de mines. Par ailleurs, le colonel Gherab a abordé le volet concernant l'assistance aux victimes. Il dira, à ce sujet, que plusieurs points ont été pris en considération dans le cadre des dispositions de la stratégie nationale adoptée lors d'un symposium international tenu en mai 2005.  Il s'agit de favoriser la participation des victimes à tous les thèmes les concernant, d'augmenter leurs capacités de gestion et de prise en charge, d'appuyer leur réinsertion socioéconomique et leur apporter le soutien psychologique nécessaire. Salima Rebbah, de Handicap International, a évoqué, quant à elle, le volet concernant l’application d'un plan d'action contre les mines visant notamment l'application des droits des victimes. En marge du séminaire, Mohamed-Seghir Babès a indiqué que le Cnes, en sa qualité d'organe consultatif d’évaluation des politiques publiques, a conféré à l'opération de déminage “une plus grande dimension humanitaire partant du fait qu'il est question d'un crime contre l'humanité qui constitue une entrave au développement des peuples et une menace pour leur sécurité”.

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 21:45

http://eunavfor.eu/wp-content/uploads/2013/04/20130406_Rear-Admiral-Garcia-De-Paredes-Rear-Admiral-Dupont-and-Commodore-Jorge-Palma-during-the-hand-over-of-the-Force-Command1-623x393.jpg

 

April 6, 2013 - EUNAVFOR

 

On 6 April 2013, Commodore Jorge Palma (Portuguese Navy) took over as Force Commander of the EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta from Rear Admiral Pedro Garcia De Paredes (Spanish Navy), following a change-of-command-ceremony in Djibouti. The Deputy Operation Commander of EU NAVFOR, Rear Admiral Eric Dupont, presided over the ceremony. Attending the handover were distinguished guests including representatives from the Djiboutian military and government as well as several ambassadors from numerous EU Member States and other nations, including his Excellency Antonio Luis Cotrim, Ambassador of Portugal to the Republic of Djibouti. Also many Commanding Officers and representatives from EU Naval Force units in port were present.

 

Deputy Operation Commander Rear Admiral Eric Dupont, deeply honoured to preside over to this handover ceremony, said, “Let me say to Rear Admiral Pedro Garcia de Paredes, with much sincerity, how impressed I am with his achievements. Admiral, under your dynamic leadership, the Force accomplished all its objectives. Your personal dedication and your relentless commitment were outstanding. You shall now hand over your command with pride of having led the EU Naval Force to success and accomplished your mission. I wish you and your staff a safe return home. Commodore Jorge Novo Palma, I congratulate you to your appointment as new Force Commander. I have noted how well prepared your staff is. I have noted the energy and willpower that drive you and your staff. I am very confident that you are ready to lead the units of the EU’s counter piracy operation off the Horn of Africa. The period to come will be challenging for our operation. It will be challenging for you, Commodore, and your staff. Yes, figures are good. Yes, our action has been effective. But piracy remains. Today, a number of pirate groups are still active. They are a real and actual threat. They hunt for merchant ships, they hunt for hostages. It is our task, your task, to protect the shipping, deter the pirates, and disrupt them. They hamper the evolution of Somalia towards a place where Somalis will have the opportunity to live in peace and dignity. I wish Commodore Novo Palma all the best and much success in the coming months.”

 

In his address, outgoing Force Commander Rear Admiral Pedro García de Paredes said, “In my last words as Force Commander of EU NAVFOR Atalanta, it´s a real honor to have the opportunity to address all of you and to thank the presence of all the distinguished guests on ESPS Mendez Nuñez´s flight deck. After four months on duty I can say, in general terms, that the situation is a little better than it was on the 6th December 2012. The good news is that the common efforts of the counter-piracy forces, the commitment of the shipping and fishing industries, as well as the improved co-ordination among all, have prevented pirates from successfully taking control of any vessel over the past four months. EU Naval Force units stopped 4 out 6 Pirates Action Groups at sea. The other two turned back ashore without any success. Out of 29 suspected pirates detained by our units, 21 were transferred for prosecution after a complex, difficult and persistent job taking and collecting a complete evidence packages. The bad news is that pirates are still out there; ready to catch a new prey to demand a high ransom for ship and hostages to feed their criminal business. They still hold 60 innocent seafarers in deplorable conditions. Meanwhile, well known pirates can move with complete freedom and impunity through many places in Somalia, keeping sanctuaries from which they can prepare and launch their assaults. Therefore, we must be sure that any sign of complacency or weakness in our commitment is banished in all levels. This clear message has to be released to all audiences and stressed within the industry to continue with their Best Management Practices implementation effort. Otherwise the situation could easily be reverted if we do not continue with the present determination. Finally, Commodore Novo Palma, dear Jorge, I would like to conclude with my best wishes to you and your staff. Good luck and all the best for the forthcoming months.”

 

Following the hand-over of command, the incoming Force Commander Commodore Jorge Palma said, “It is a privilege to take over from Rear Admiral Pedro Garcia de Paredes. Successful pirate attacks are reduced, with the EU Naval Force continuing to apply pressure on their activity. Nevertheless, we all know that complacency at this moment would hamper the massive effort for the security in the region. With the situation improving, but acknowledging that piracy is not over, we must adapt with agility to evolving political, operational and tactical circumstances. I am committed to maintaining EU NAVFOR’s main achievements of a 100 per cent success rate in providing protection to World Food Programme (WFP) shipments to Somalia, as well as those of the African Union Mission in Somalia (AMISOM). Notwithstanding these tasks, we will remain focused on deterring and disrupting acts of piracy; continue contributing to the protection of vulnerable shipping within the Internationally Recommended Transit Corridor (IRTC) and the High Risk Area; and maintain our close co-operation with all stakeholders; other counter piracy forces, regional partner states and industry. We also continue to support and co-operate with the other European Union missions, namely EUCAP Nestor and the EU Training Mission Somalia. We will continue to provide a key part of the EU’s Comprehensive Approach to Somalia.”

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 21:35

 

6 avril 2013 FORCESFRANCAISES

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 22:08

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130405-operation-serval-la-force-appuie-une-reconnaissance-des-nations-unies/reco-onu-1/2258143-1-fre-FR/reco-onu-1.jpg

 

05/04/2013 Sources : EMA

 

Du 29 au 31 mars, la force Serval a assuré l’accueil, le transport et la sécurité d’une équipe d’experts des Nations Unies en mission de reconnaissance au Mali.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130405-operation-serval-la-force-appuie-une-reconnaissance-des-nations-unies/reco-onu-2/2258153-1-fre-FR/reco-onu-2.jpg

 

Sous la direction de M. David Gressly, chef du Bureau des Nations Unies au Mali et fin connaisseur de la région sahélienne, les dix représentants de l’ONU ont été acheminés vers les villes emblématiques de Tombouctou, Gao, Kidal et Tessalit, dans le but d’évaluer les conditions de sécurité, de mener des entretiens politiques et des reconnaissances logistiques.

 

Ainsi, tandis qu’une partie d’entre eux rencontrait les autorités politiques et militaires maliennes, les experts logistiques bénéficiaient de l’appui de leurs homologues militaires de SERVAL pour évaluer les capacités des emprises visitées.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130405-operation-serval-la-force-appuie-une-reconnaissance-des-nations-unies/reco-onu-3/2258148-1-fre-FR/reco-onu-3.jpg

 

Malgré des délais contraints, de nombreux domaines ont pu être étudiés : potentialités aquifères des sites, caractéristiques des pistes d’atterrissage, capacités de stockage, systèmes d’approvisionnement en fuel, réseaux d’eau et d’électricité, systèmes d’information et de communication, capacités d’accueil de personnel, dispositifs de sécurité, etc.

 

Cette visite est un signe encourageant dans la perspective d’une éventuelle mission de l’ONU pour la résolution de la crise au Mali. Pour mémoire, plus de 4000 soldats français ont été déployés dans le cadre de l’opération Serval, qui a débuté le 11 janvier 2013 afin d’aider le gouvernement malien à recouvrer son intégrité territoriale et permettre l’application des résolutions internationales.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 12:45

 

5 avril 2013 FORCESFRANCAISES

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