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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 12:45

C-130J Super Hercules photo Lockheed Martin

 

4-04-2013 Africanmanager

 

Le fabricant aéronautique américain, Lockheed Martin a livré, jeudi, à la Tunisie, le premier Super Hercules C-130J, marquant la première livraison de ce type d’aéronef à un pays africain. Lockheed Martin a signé, en 2010, un contrat avec la Tunisie pour livrer deux C-130J entre 2013 et 2014, prévoyant une formation et une période initiale de trois ans de soutien logistique.

 

"Encore une fois, nous voyons un pays recapitaliser ses ressources de transport aérien avec un appareil qui a fait ses preuve et sans égal, tel que le C-130J", a déclaré George Shultz, vice-président et directeur général du programme C-130 à Lockheed Martin Aeronautics Company. "Tout au long de l'histoire de l'aviation, aucun aéronef, développé ou en développement, ne peut égaler la souplesse des Hercules C-130. Quinze pays ont déjà choisi le C-130J pour répondre à leurs besoins en transport aérien. Qu'il s'agisse de la recapitalisation des flottes existantes ou des opérateurs en quête de nouvelles performances et de capacité de transport aérien éprouvée, le C-130J est la solution abordable et présentant un faible risque ", a-t-il affirmé

 

Les deux Super Hercules acquis par la Tunis ont le fuselage le plus long. L’armée de l’air tunisienne dispose actuellement d’une flotte de C-130H et C-130bS, achetés, dans les années 1980. Le nouveau C-130J soutiendra les opérations de l’armée de l’air tunisienne à travers une variété de missions, notamment les opérations de secours à travers le monde, lutte contre les incendies, les combats aériens et les activités traditionnelles du transport aérien.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/130405-les-fazsoi-conduisent-une-formation-au-profit-des-forces-armees-malgaches/stage-aguerrissement-malgaches-1/2256279-1-fre-FR/stage-aguerrissement-malgaches-1.jpg

 

04/04/2013 Sources : EMA

 

Dans le cadre de la coopération entre  les FAZSOI et l’armée malgache, un stage commando a été organisé par les instructeurs du 2ème régiment de parachutistes d'infanterie de marine (2ème RPIMa) au profit des parachutistes du 1er Régiment des forces d’intervention (1er RFI).

 

Organisée au Centre d’Aguerrissement Tropical de la Réunion (CATR) du 18 au 28 mars, cette formation a permis d’initier cinquante parachutistes malgaches aux techniques commandos employées pour des interventions à terre et en mer. Parmi les techniques enseignées figuraient celles dites du filet d’abordage, des câbles, de l’école de rame et de l’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/130405-les-fazsoi-conduisent-une-formation-au-profit-des-forces-armees-malgaches/stage-aguerrissement-malgaches-2/2256274-1-fre-FR/stage-aguerrissement-malgaches-2.jpg

 

Par ailleurs, dans le cadre des échanges réguliers entre le CATR et le centre national d’entraînement commandos malgache d’Ambatolaona Apinga, les instructeurs français ont, à cette occasion, recyclé et complété les qualifications commandos pour quatre de leurs homologues.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/130405-les-fazsoi-conduisent-une-formation-au-profit-des-forces-armees-malgaches/stage-aguerrissement-malgaches-3/2256269-1-fre-FR/stage-aguerrissement-malgaches-3.jpg

 

Ces deux semaines de stage illustrent la coopération existant entre le 1er RFI et le 2ème RPIMa, et plus généralement entre l’armée malgache et les FAZSOI. Il s’est clôturé le 28 mars par une cérémonie de remise de brevet à laquelle ont participé 50 malgaches, tous ayant été brevetés.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/130405-les-fazsoi-conduisent-une-formation-au-profit-des-forces-armees-malgaches/stage-aguerrissement-malgaches-4/2256289-1-fre-FR/stage-aguerrissement-malgaches-4.jpg

 

Principal volet de la coopération militaire mise en œuvre par les FAZSOI, la formation constitue un appui important au développement des capacités opérationnelles malgaches. En 2012, les FAZSOI ont ainsi conduit trois détachements d’instruction opérationnelle CATR au profit de l’armée malgache.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/130405-les-fazsoi-conduisent-une-formation-au-profit-des-forces-armees-malgaches/stage-aguerrissement-malgaches-5/2256284-1-fre-FR/stage-aguerrissement-malgaches-5.jpg

 

Avec 1900 militaires, les FAZSOI constituent le principal point d’appui de la zone sud de l’océan Indien. Leur mission consiste à garantir la souveraineté, protéger les intérêts nationaux, lutter contre la piraterie en coopération et en coordination avec le commandant de la zone maritime océan Indien (ALINDIEN) et mener des activités de coopérations régionales.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/tessalit-3/2256413-1-fre-FR/tessalit-3.jpg

photo EMA

 

05/04/2013 Par Tanguy Berthemet - LeFigaro.fr

 

Alors que l'opération «Serval» touche à sa fin, Paris prévoit de laisser sur place une «force résiduelle» pour la lutte antiterroriste.

 

Le futur de la France au Mali se dessine lentement. Si la fin de l'opération «Serval» arrive, elle ne signifiera pas celle des troupes françaises dans le pays. Paris conservera une forte présence militaire dans les mois à venir, sous plusieurs formes.

 

Dans un premier temps, la France devrait maintenir environ un millier d'hommes dans le pays, selon les estimations d'un diplomate. Un chiffre qui correspond aux annonces faites, à la mi-mars, par le président de la République. François Hollande avait alors assuré que l'actuel contingent, fort de 4 000 hommes, baisserait à 2 000 au milieu du mois de juillet et à 1 000 à la fin de 2013. «Même si le gros des opérations est terminé, il est illusoire de penser que le nord du Mali sera totalement stable à la fin de l'année. Il serait déraisonnable de partir totalement», souligne un officier français. Cette «force résiduelle» agira, dans un cadre strictement bilatéral, en coopération avec l'armée malienne - comme l'opération «Serval».

 

Mais la France compte également s'investir dans la future mission de l'ONU au Mali. Les Nations unies envisagent d'envoyer dans le pays une force 11.200 Casques bleus et de 1 400 policiers, auxquels s'ajoutera «une force parallèle». Cette dernière, composée de troupes plus aguerries, servira de «task force» à l'ONU. «Elle devra se concentrer sur la lutte antiterroriste, opération que l'ONU n'a ni les moyens, ni la volonté de conduire», souligne un expert.

 

D'intenses négociations sont en cours à New York pour parachever la résolution qui mettra sur pied cette Minuma. Le gros des Casques bleus devrait provenir des 6 500 hommes de la force africaine déjà sur place (Misma), appuyés de renforts venus d'autres pays du continent ou d'Asie du Sud-Est. Mais, plus que les Casques bleus, c'est la «force parallèle» qui est l'objet de tensions. La France s'est déjà dite prête à y participer et devrait en former l'ossature avec certains pays scandinaves. Le statut comme le nombre de ces militaires restent en revanche très flous. «Les pays du Conseil de sécurité ne sont parvenus à s'entendre clairement sur ce que signifie cette force parallèle», a concédé jeudi Susan Rice, représentante américaine à l'ONU.

 

Paris, qui veut garder une certaine liberté, ne souhaite pas que la task force soit totalement placée sous commandement de l'ONU comme au Liban. Ses partenaires se montrent en revanche méfiants à l'idée d'un contingent entièrement autonome tout en étant placé sous mandat de l'ONU, à l'image de Licorne en Côte d'Ivoire. Les diplomates tentent donc d'imaginer une troisième voie de compromis. En guise de solution, les États-Unis plaident pour que les opérations antiterroristes ne fassent pas parti du mandat de l'ONU.

 

Pour Washington, qui souhaite que les Nations unies puissent «se déployer le plus tôt possible», la solution aurait le mérite d'être rapide. Paris, de son côté, espère néanmoins obtenir un vote du Conseil de sécurité d'ici à trois semaines, ce qui permettrait l'arrivée des premiers Casques bleus en juillet. Une date qui ne doit rien au hasard. Elle correspond à la première forte décrue de l'opération «Serval», mais aussi et surtout à l'élection présidentielle malienne.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 07:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130405-cote-d-ivoire-campagne-de-tir-interarmes-pour-la-force-licorne/campagne_tir_lomo-nord-1/2256056-1-fre-FR/campagne_tir_lomo-nord-1.jpg

 

04/04/2013 Sources : EMA

 

Du 25 au 29 mars 2013, un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) composé de deux pelotons de l’escadron blindé et d’une section de la compagnie d’infanterie de la force interarmées Licorne a mené une campagne de tir sur le complexe de Lomo Nord.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130405-cote-d-ivoire-campagne-de-tir-interarmes-pour-la-force-licorne/campagne_tir_lomo-nord-2/2256066-1-fre-FR/campagne_tir_lomo-nord-2.jpg

 

Après une première journée dédiée au déplacement, à l’installation et à la reconnaissance du site, un peloton blindé armé par le 1er régiment de spahis (1erRS) et équipé de 3 ERC 90 Sagaie a ouvert la campagne avec des tirs d’obus explosifs et fumigènes.

 

Le 27 mars, le peloton d’éclairage et d’investigation (PEI) du 1er RS et la section d’infanterie du 1er régiment d’infanterie (1erRI) ont à leur tour entretenu leurs savoir-faire en utilisant un large éventail d’armes en dotation: FAMAS, Minimi, FM 7-62 mm, mitrailleuse 12,7 mm, grenades à fusil et roquettes AT4.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130405-cote-d-ivoire-campagne-de-tir-interarmes-pour-la-force-licorne/campagne_tir_lomo-nord-3/2256076-1-fre-FR/campagne_tir_lomo-nord-3.jpg

 

L’exercice s’est achevé le lendemain avec l’organisation d’un parcours de tir du niveau SGTIA. Elaboré par le maître de tir de la force, le thème a permis aux différentes unités de mettre en pratique les principes et manœuvres du combat interarmes face à une attaque ennemie.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130405-cote-d-ivoire-campagne-de-tir-interarmes-pour-la-force-licorne/campagne_tir_lomo-nord-4/2256071-1-fre-FR/campagne_tir_lomo-nord-4.jpg

 

Le camp lieutenant-colonel Saboret, situé à proximité du village de Lomo Nord, est un complexe de tir d’une superficie de 130 km2 particulièrement propice à l’entrainement de l’infanterie et des blindés, du niveau section jusqu’au niveau sous-groupement tactique. Les champs de tir permettent la mise en œuvre de l’ensemble des types d’armement organique (du calibre 5.56 jusqu’au tir canon de 90 mm).

 

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La force Licorne comprend 450 hommes qui accompagnent la réforme de l’armée ivoirienne, en soutien de l’ONUCI. Elle organise notamment des formations pour les militaires ivoiriens, des aides à la dépollution ou à la destruction de munitions, ainsi que des actions civilo-militaires.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130405-cote-d-ivoire-campagne-de-tir-interarmes-pour-la-force-licorne/campagne_tir_lomo-nord-6/2256081-1-fre-FR/campagne_tir_lomo-nord-6.jpg

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 21:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/vlcsnap-3643120/2256499-1-fre-FR/vlcsnap-3643120.png

 

04/04/2013 21:15 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 28 mars 2012 (18h00) jusqu'au jeudi 4 avril à 18h00.

 

Depuis le 28 mars, les opérations aériennes se sont poursuivies avec près de cent quatre vingt sorties principalement dans la région du massif de l’Adrar et dans le centre du pays de Gao à Tombouctou. Une cinquantaine de sorties a été dédiée à la chasse, plus de soixante dix au transport de nos forces et de nos matériels, les autres sorties étant consacrées au soutien des opérations.

 

Ces sorties n’ont donné lieu à aucune frappe.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/tessalit-3/2256413-1-fre-FR/tessalit-3.jpg

 

Du 28 au 31 mars 2013, le GTIA 3 a mené une mission de reconnaissance en direction d’Abeïbarra avant de rejoindre Kidal. Après une première étape à Boughessa, où ils ont procédé à la fouille d’objectifs ciblés, les éléments du GTIA 3 ont fait jonction avec les forces armées tchadiennes (FATIM) pour conduire une opération de contrôle de zone conjointe dans la localité d’Abeïbarra. A l’issue, les éléments ont regagné Kidal puis se sont redéployés sur Gao. Cette opération n’a donné lieu à aucune prise à parti avec les groupes terroristes. Des munitions ont été découvertes à l’occasion des opérations de fouille.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/tessalit-2/2256428-1-fre-FR/tessalit-2.jpg

 

Le GTIA 3 a été déployé dans le massif de l’Adrar il y à un peu plus d’un mois aux côtés du GTIA TAP, lui-même actuellement en train de redéployer 2 de ses SGTIA sur Abidjan. Ce sont ces deux GTIA qui ont mené l’essentiel des opérations PANTHERE, qui combinées aux autres opérations dans la zone, ont permis d’affaiblir considérablement les groupes terroristes et de s’emparer de leurs dépôts logistiques.

 

La force Serval se réarticule en vue de son désengagement partiel à venir et afin de concentrer son effort dans le centre du pays où elle va poursuivre les actions contre les groupes terroristes et agir en soutien de la MISMA et des FAMA.

Dans le centre du pays, les groupes terroristes semblent vouloir tester la capacité de réaction des forces armées maliennes et africaines en menant quelques actions ciblées notamment sur la ville de Tombouctou.

 

Ainsi, dans la nuit du 30 au 31 mars 2013, une quinzaine de terroristes se sont infiltrés en ville. Avec l’appui de la population, les forces armées maliennes, après bouclage de la zone, ont fixés les terroristes dans une caserne et dans l’hôtel Colombe, avant de demander l’appui de la force Serval pour les réduire. Les échanges de tir se sont poursuivis jusque dans la matinée du 1er avril où les derniers éléments retranchés ont été définitivement neutralisés. L’EAE du GTIA2, la QRF du GAM ainsi que deux patrouilles de Mirage 2000D et de RAFALE sont intervenus en appui de l’armée malienne au cours de cette action. Ensemble, Français et Maliens ont neutralisé une dizaine de terroristes. Trois soldats maliens ont été tués et un soldat français légèrement blessé.

 

A Gao, les éléments français du GTIA2 ont conduit l’opération BOA en étroite coordination avec les forces de sécurité maliennes de la zone. Cette action commune visait à marquer la présence des forces françaises et maliennes dans la ville, notamment pour rassurer la population et les inciter à reprendre leurs activités et à lutter à leur niveau contre le terrorisme.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/eutm-2/2256398-1-fre-FR/eutm-2.jpg

 

Cette semaine a également été marquée par le début de la mission de formation du 1er bataillon malien par les instructeurs d’EUTM MALI. Près de 550 militaires de 21 nations européennes arment la mission EUTM MALI.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/eutm-4/2256373-1-fre-FR/eutm-4.jpg

 

La France y participe à hauteur de 210 militaires français présents sur les camps de Bamako et de Koulikouro. Ils arment avec leurs homologues européens : l’état-major de la mission avec à leur tête, le général Lecointre (9e BIMa) commandant EUTM MALI, le pilier « conseil et expertise » au profit de l’armée malienne, sous les ordres du colonel Héluin (9e BIMa), le pilier « formation » sous le commandement du colonel Paczka (2eRIMa) incluant la force protection du camp de Koulikouro.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/eutm-1/2256383-1-fre-FR/eutm-1.jpg

 

Enfin, de nombreuses visites d’autorités et délégations ont lieu sur Bamako au PCIAT de la force Serval, permettant ainsi aux futurs acteurs, qui contribueront à l’avenir du Mali, de mieux se rendre compte de la situation sur place.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130404-point-de-situation/tap-1/2256403-1-fre-FR/tap-1.jpg

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 17:45

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/04/DSC_0203.jpg

 

3 avril 2013 EUTM Mali

 

Mardi 02 avril 2013 et conformément à la planification de l’Union Européenne et des Forces Armées Maliennes, le premier bataillon Malien a été accueilli au camp d’entraînement de Koulikoro. Formé d’environ 600 personnes, ce bataillon est la première unité à suivre la formation et l’entraînement dispensé par les instructeurs européens d’EUTM Mali.

 

Ils sont arrivés en bus et en pickups en fin de matinée en provenance de Bamako. A leur arrivée, ils ont été accueillis par leurs formateurs européens. Dès cet instant, la formation débutait avec un dialogue entre l’encadrement Malien et leurs instructeurs.

 

L’entrainement durera environ 10 semaines et se déroulera en plusieurs phases. Il débutera par une instruction de base, du soldat, pour se conclure par un entraînement au niveau du bataillon. Des formations spécialisées seront menées en parallèle.

 

Le camp de Koulikoro se situe à environ 60 kms au NE de la capitale du Mali, Bamako.

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 17:45

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/04/IMG_1718.jpg

 

4 avril 2013 EUTM Mali

 

Pour débuter leur deuxième jour de présence au camp d’entraînement de Koulikoro, le bataillon malien a participé à une prise d’armes avec leurs instructeurs européens. Ce fut la représentation symbolique du rapprochement entre les formés et leurs formateurs.

 

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/04/IMG_1723.jpg

 

En effet, pendant les prochaines semaines ils ne vont guère se quitter. Ils vont passer de nombreuses heures ensemble aussi bien pour le sport, les exercices terrain, les séances de tirs, l’instruction sur les matériels que les rares cours en salle.

 

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/04/IMG_1719.jpg

 

Les unités maliennes ont particulièrement impressionné leurs instructeurs par leur tenue, leur volonté de participer et leur rigueur au cours de cette courte cérémonie.

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 18:45

Engagement d’un escadron blindé AMX 10RC de Niamey à Ga

 

03 April 2013 defenceWeb (Reuters)

 

France wants to cut its forces in Mali sharply by the year-end and is urging its ex-colony to hold elections in July, but an Islamist insurgency is threatening that timetable.

 

Many people in northern Mali who lived under the rebels' brutal form of Islamic law last year are apprehensive about French plans to leave just 1,000 of the current 4,000 troops in the country by December, with U.N. peacekeepers filling the gap.

 

"The Islamists are waiting for the French to leave to open the gates to hell. Let's hope the U.N. will take over quickly because the Malian army alone cannot face the terrorism threat," said Alhassane Maîga, a teacher in the ancient trading post of Timbuktu, Reuters reports.

 

Last weekend Islamist militants launched their second attack on Timbuktu in a fortnight, shortly after French President Francois Hollande insisted the elections must take place as scheduled and unveiled the plan to slash troop numbers.

 

Launched in January, the French-led offensive quickly succeeded in pushing a mix of Islamists out of their northern strongholds and remote mountain bases, hitting the local leadership of the al Qaeda-linked groups.

 

But new clashes have followed a handful of suicide attacks and raids on towns won back from the rebels, underscoring the task of securing the country as France prepares to hand over to the Malian army and a 7,000-strong regional African force.

 

The nightmare scenario is that of a repeat of the Afghan war, where Taliban insurgents have prevented a full pull-out of NATO-led troops after a 13-year conflict that has cost tens of thousands of lives.

 

Presidential and legislative elections due in July are vital steps to stabilizing the gold and cotton producer after a military coup a year ago left a power vacuum which the rebels exploited to make gains.

 

"We're doing everything we can to ensure the elections happen in that timeframe," said a senior Malian government official speaking on condition of anonymity. "But if you ask me what could stop them (pulling out), I'd say: security, security, security."

 

French Foreign Minister Laurent Fabius travels to Mali on Friday to make sure the main political players know what France's priorities are and that they are doing all they can to keep the political timetable on track.

 

Hollande has made it clear France's history of propping up African leaders indefinitely is over. He was quick to intervene against the militants who he argues could emerge as a global jihadist threat, but stresses the longer-term military, political and economic solutions must come from Malians and Africans first.

 

But the clock is already against him. The U.N. Security Council will vote this month to turn the current French and African mission into a U.N. peacekeeping force by July. If security does not quickly improve, French diplomats acknowledge it could be hard to justify an early winding down of troops.

 

"The fear is that the jihadists that have spread out will return when we leave," said one French diplomatic source. "The real political risk for us is if something serious then happens on the ground."

 

"SHAKE UP" THE MALIANS

 

Caretaker Malian President Dioncounda Traore's announcement in late-January of presidential elections on July 7 and the parliamentary vote by July 31 answered a demand of Western governments which backed France's intervention.

 

Despite the attack in Timbuktu, Paris remains sure a good portion of the military work has been accomplished and that the withdrawal plans can be kept. It has promised to keep a rapid intervention force to fight militants if needed.

 

"From a security perspective things are better, but now we have to reinforce this improvement by extending that politically and through economic development," Fabius said. "We need democratic legitimacy ... Malians must express what they want for their future," he said before his visit to the capital Bamako, which lies in the country's south.

 

The French diplomat put the message more bluntly: "We have pushed forward the calendar to shake the Malians up a bit ... It's easy for them to let us do all the work, but at some point they need to move politically."

 

Officials believe the technical side of holding elections by July is possible as long as political parties agree to certain concessions, such as accepting that it may be too complicated for all refugees or displaced Malians to vote.

 

French officials also say that any later than July would delay elections until the end of the year due to heavy rains.

 

But a sporadic insurgency coupled with a slow process in negotiating with disenfranchised Tuareg separatists in the north, who have vowed to remain armed until they have certain guarantees, may also scupper Hollande's plans.

 

ISLAMISTS BIDING TIME?

 

African and Malian officials privately fear France's early exit and few believe elections are possible in July. Those locals who lived under rebel rule, which included amputations as a form of punishment, are bracing for the worst.

 

"The withdrawal of 3,000 French troops in the northern cities would signify an abandonment and catastrophe," said Maîga, the Timbuktu teacher.

 

Mali's army, which is now being re-trained by European Union advisers, remains in tatters after the coup and a string of morale-sapping defeats last year. African troops have mostly stayed in the south and many lack logistics, funding and training, although a U.N. mandate could ease that burden.

 

Adding to general concerns, coup leader Captain Amadou Sanogo remains influential in Bamako.

 

"There is a lot of goodwill from Hollande, but the reality on the ground will mean that elections will be pushed back until after the rainy season," predicted a senior African diplomat.

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:45

MISMA

 

03 avril 2013 Par RFI

 

La participation de la Côte d’Ivoire à la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) prend de plus en plus forme. La force française Licorne achève cette semaine la formation de l’escadron ivoirien qui doit intégrer celle-ci. Il n’est pas question pour l’instant d’envoyer les militaires ivoiriens au contact avec les jihadistes.

 

La force Licorne achève la formation d'un escadron ivoirien
(01:08)
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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:45

mali army

 

03 April 2013 defenceWeb (Reuters)

 

The United States will seek ways it can help French and African forces in Mali combat al Qaeda-linked rebels, U.S. Senator John McCain said during a visit to the West African country.

 

France launched a military offensive in Mali in January against Islamist militants threatening the capital. That drove the insurgents out of the towns they had seized, but they have since hit back with suicide attacks and guerrilla-style raids.

 

Western powers are concerned that Mali's vast and lawless Saharan desert could become a launchpad for international militant attacks. Other European governments have ruled out sending combat troops but are backing a military training force. McCain said Washington wanted to offer some support too, Reuters reports.

 

"We will work with the French forces, assess the French and allied forces on the ground, and see to what extent we can provide equipment, training, and technology to rid Mali of these rebels which include al Qaeda," McCain, who was a presidential contender in 2008, told reporters.

 

"Our target is also drug traffickers," the Republican senator said during a visit to Bamako with Democratic Senator Sheldon Whitehouse to meet President Dioncounda Traore.

 

The former French colony is due to hold presidential and legislative elections in July - vital steps to stabilizing the gold and cotton producer after a military coup a year ago that left a power vacuum which was exploited by the rebels.

 

France is hoping to reduce its 4,000-strong force in Mali to 1,000 by the end of the year as it hands over to a regional African peacekeeping force and the Malian army.

 

A first battalion of 600 Malian soldiers arrived at a training camp in Koulikoro, about 60 km (40 miles) northeast of the capital, on Tuesday to begin training under the European Union training mission to Mali (EUTM).

 

The EU mission said 100 instructors from France, Britain, Sweden, Finland, Ireland, Lithuania and Luxemburg would train the Malian soldiers for at least 10 weeks.

 

The 500-strong EU training force will give military instruction to Malian soldiers for an initial period of 15 months at an estimated cost of 12.3 million euros ($15.79 million).

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:45

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03 April 2013 defenceWeb (Reuters)

 

South African President Jacob Zuma defended his decision to send troops to Central African Republic, saying 13 soldiers killed by rebels there had died fighting for Pretoria's foreign policy, not his party's business interests.

 

The South African force was involved in a nine-hour firefight with thousands of rebels who poured into Central African Republic's (CAR) capital Bangui last month and seized control of the country, which has rich deposits of gold, diamonds and uranium.

Zuma has faced enormous pressure over the 13 South African deaths - the worst military setback since the end of apartheid in 1994, Reuters reports.

 

South Africa's opposition is calling for a parliamentary investigation and domestic media are speculating that the troops were defending investments made by Zuma's ruling African National Congress (ANC).

 

The deaths have touched a nerve with a public not used to seeing flag-draped coffins being carried off planes, with many asking why Zuma sent troops to a country 3,500 km (2,200 miles) away and outside South Africa's normal sphere of influence.

 

Zuma said the 200 troops sent in December were "heroes" sent to uphold South Africa's foreign policy and were protecting a deployment of military trainers sent in 2007 under a military cooperation agreement.

 

"Let me emphasize that we reject any insinuation that these soldiers were sent to the CAR for any reason other than in pursuit of the national interest and the interests of the African continent," he said at a memorial for the soldiers.

 

"We will not be side-tracked by those who are on a perpetual campaign against this democratic government," said Zuma, who is due to attend a regional summit in Chad this week to discuss the political crisis in CAR, a former French colony.

 

South Africa's Mail & Guardian newspaper last week said the ANC's investment arm, Chancellor House, was involved in a company called Inala Centrafrique set up in 2006 to buy diamonds from Central African Republic's small-scale artisanal miners.

 

"The plan had two other elements, which, if implemented, would give Inala and its ANC-linked shareholders complete dominance of CAR's diamond market," the paper said.

 

The ANC dismissed the report as "blatant lies".

 

"The ANC as an organization does not have business interests in CAR," it said in a statement.

 

South African soldiers said they were traumatized after learning that many of the rebels in the battle in Bangui were child soldiers, South African newspapers the Sunday Times and City Press reported at the weekend.

 

"The rebels stormed our soldiers in groups, not at all like trained soldiers, and many of them were only children," City Press quoted one soldier as saying.

 

Troops ran out of ammunition for rifles and had to fire rocket-propelled grenades to repel the attacks, City Press said. Defense officials have not commented on specifics of the reports but said troops were adequately supplied.

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/le-premier-bataillon-malien-se-dirige-vers-koulikoro/2253108-2-fre-FR/le-premier-bataillon-malien-se-dirige-vers-koulikoro.jpg

Le premier bataillon malien se dirige vers Koulikoro

 

03/04/2013  ASP Margaux Thuriot

 

Le premier bataillon malien bénéficiant de la formation de l’EUTM Mali est arrivé sur le camp d’entraînement de Koulikoro, mardi 2 avril 2013, conformément au calendrier établi.

 

Conformément au calendrier initialement établi, un premier bataillon malien est arrivé le 2 avril sur le camp de Koulikoro, dans les environs de Bamako. Les 600 militaires qui le composent sont les premiers à être formés par la mission européenne de formation EUTM Mali.

 

Leur entraînement sera décliné en plusieurs phases et durera dix semaines. Après une instruction de base du soldat, la formation se conclura au niveau du bataillon. En parallèle, des entraînements spécialisés seront menés.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/la-formation-du-premier-bataillon-malien/2253233-1-fre-FR/la-formation-du-premier-bataillon-malien.jpg

La formation du premier bataillon malien débute, sur le camp d'entraînement de Koulikoro

 

Les instructeurs européens présents au Mali sont au nombre de 100, et viennent de sept pays différents : France, Royaume-Uni, Suède, Finlande, Irlande, Lituanie et Luxembourg. Les formateurs européens se sont eux-mêmes entraînés ensemble afin d’harmoniser leurs techniques de formation et favoriser la cohésion.

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 11:45

zone sahélo-saharienne par el-annabi

 

02/04/2013 Par Alain Barluet - LeFigaro.fr

 

Le président de la République effectue une visite d'État de deux jours au Maroc, premier partenaire de la France au Maghreb.

Certes, Mohammed VI a été le premier chef d'État étranger invité à l'Élysée, quelques jours après l'installation de François Hollande. En outre, le nouveau président et le roi se sont parlés au téléphone, notamment en janvier, peu après le lancement de l'opération «Serval» au Mali. Et Jean-Marc Ayrault a été dépêché en éclaireur à Rabat, mi-décembre, à la tête d'une importante délégation. Il n'en reste pas moins que François Hollande est attendu de pied ferme mercredi au Maroc pour sa première visite d'État. D'autant plus qu'il avait fait grincer des dents dans le royaume en se rendant d'abord en Algérie, fin décembre, contrairement à l'usage de ses prédécesseurs.

 

À Alger, Abdelaziz Bouteflika avait finalement donné son aval à l'intervention militaire française au Mali. Cette semaine à Rabat, le Mali et la situation au Sahel seront également bien présents dans les entretiens, largement consacrés par ailleurs au renforcement des liens économiques. Comme l'Algérie, le Maroc a appuyé l'initiative militaire française, en fournissant du renseignement et en ouvrant son espace aérien aux chasseurs venus frapper les colonnes djihadistes lancées sur Bamako. Sur le Mali, «nous avons été en phase dès le début avec le Maroc», assure un conseiller de l'Élysée. Le 6 février, «M 6» s'est rendu au Caire pour défendre devant le sommet islamique l'opération «Serval». Quelques semaines plus tard, le chef du gouvernement marocain, l'islamiste Abdelillah Benkirane, saluait à son tour le «courage» de la France au Mali.

 

Légitimement, François Hollande va donc s'employer à remercier le Maroc mais aussi à s'assurer de son soutien pour l'après-guerre, qui s'annonce semé d'embûches. L'exercice sera plus compliqué qu'il n'y paraît, compte tenu notamment de l'extrême sensibilité des relations, fort mauvaises, entre ses deux «soutiens» au Maghreb, le Maroc et l'Algérie, qui se disputent le Sahara occidental. L'ex-colonie espagnole est contrôlée par le Maroc qui propose pour la région une large autonomie sous sa souveraineté. Ce plan est rejeté par le Front Polisario, appuyé par l'Algérie, qui milite pour un référendum d'autodétermination. De laborieuses tentatives de règlement sont menées par l'ONU, qui maintient sur place une mission d'interposition, la Minurso, chargée de surveiller le cessez-le-feu depuis 1991.

L'envoyé spécial des Nations unies, Christopher Ross, est actuellement en tournée dans la région. Son rapport est attendu le 22 avril. Selon lui, «la situation très grave au Sahel exige une solution rapide de la crise du Sahara occidental».

 

La crise malienne est venue compliquer le paysage. Des experts, comme le spécialiste de l'islamisme Mathieu Guidère, soulignent la proximité des ambitions nationalistes des Touaregs et des Saharaouis. Pour les uns comme pour les autres, les perspectives politiques restent incertaines. En revanche, la menace sécuritaire aux franges du théâtre malien apparaît bien réelle. Elle s'est accrue récemment avec l'éparpillement des combattants djihadistes traqués par les militaires français et tchadiens. Certains jeunes proches du Polisario sont «descendus» faire le coup de feu à Gao et à Tombouctou. Inversement, des groupes repoussés vers le Nord auraient récemment rejoint des combattants du Polisario. Vu du Maroc, ce risque inquiète au plus haut point. La prise d'otages meurtrière du site gazier d'In Amenas, en Algérie en janvier, a été vécue comme un choc. La sécurité a été renforcée aux frontières et les autorités marocaines ont indiqué depuis avoir démantelé plusieurs cellules terroristes.

 

Dans ce contexte d'instabilité, les interlocuteurs de François Hollande à Rabat tiennent à s'entendre rappeler que la France soutient le plan d'autonomie marocain. Une ligne dont Paris ne déviera manifestement pas, sans l'appuyer de façon démonstrative non plus, pour laisser une petite chance à l'introuvable «dynamique régionale», comme on le dit à l'Élysée - et surtout pour ne pas se priver de l'appui d'Alger dans cette phase épineuse.

 

En donnant malgré tout des gages à Rabat sur le Sahara occidental, François Hollande attendra en retour le soutien du Maroc, membre non permanent du Conseil de sécurité, sur plusieurs dossiers chauds: le Mali - la résolution sur le déploiement de Casques bleus doit être votée fin avril -, mais aussi la Syrie.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 20:45

badge-eutm-mali a la une

 

02/04/2013 par Ludovic BASSAND – dna.fr

 

La mission de l’Union européenne au Mali (EUTM) accueille aujourd’hui le premier bataillon de soldats qu’elle va former.

 

Les instructeurs européens sont à pied d’œuvre au camp de Koulikoro, à une soixantaine de kilomètres de Bamako, là où va se dérouler la formation de l’armée malienne.

 

La tâche n’est pas simple. Il s’agit quasiment de construire une armée à partir de rien ! Un premier bataillon de 670 soldats est accueilli aujourd’hui. Objectif affiché par le général de brigade François Lecointre, commandant de la mission de l’Union européenne au Mali (EUTM) : permettre à l’armée malienne d’assurer la défense de son pays à long terme.

 

« Restauration de la force morale »

 

Alors que la guérilla semble s’enkyster à Gao et Tombouctou (lire aussi ci-contre) , avec le soutien d’une partie de la population, la crainte est celle d’une situation à l’afghane.

 

Face à des djihadistes défaits par l’Armée française mais toujours présents, infiltrés dans les villes du Nord, les soldats maliens auront fort à faire.

 

Les instructeurs de l’EUTM devront tout leur apprendre. La mission européenne comptera à terme 550 hommes dont 200 formateurs, 150 personnels de protection et 200 autres répartis dans les états-majors, la logistique et le soutien médical. Sur le contenu de la formation, le général Lecointre reconnaît qu’il y aura « un gros travail de structuration de l’armée malienne et de sa chaîne d’autorité ». Plus généralement, il indique que l’EUTM travaillera sur la capacité des Maliens « à délivrer des feux, à manœuvrer, à conduire une action coordonnée ». En clair, le B.A.-BA.

 

Selon lui, la clé de cette mission de formation, « c’est la restauration de la force morale, cette dernière repose sur un lien hiérarchique basé sur la confiance, le respect mutuel et le sentiment d’appartenance collective ».

 

22 nationalités

 

L’EUTM, qui regroupe des personnels de 22 nationalités européennes n’a pas mission à combattre. Elle aura cependant des officiers de liaison avec l’opération française Serval et avec la force africaine MISMA.

 

Dans ce contexte de reconstruction d’une armée malienne, le désengagement progressif des 4 000 militaires français présents sur le terrain malien doit commencer fin avril. En juillet, il ne devrait plus rester que 2 000 hommes sur place, puis 1 000 à la fin de l’année. Des forces françaises seront toutefois maintenues prépositionnées dans les pays voisins de façon à intervenir rapidement en cas de reprise du conflit. Une hypothèse qui ne peut être totalement exclue après les très durs affrontements du week-end à Tombouctou, et la semaine précédente à Gao.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 20:45

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02 Avr 2013 Lougaye Almouloud - L’Essor

La valeur des équipements, constitués de 16 véhicules et 2000 paquetages d’effets individuels, est estimée à 1,4 milliard de Fcfa. Le nouvel ambassadeur de France  dans notre pays, Gilles Huberson a procédé vendredi dernier à la remise au ministre de la Défense et des Anciens combattants d’un lot de 16 véhicules spécialisés comprenant des véhicules-PC, des ambulances et des véhicules ateliers ainsi qu’une palette de paquetages contenant différents effets. La valeur totale du matériel est estimée à plus de 1,4 milliard de Fcfa.

 

La cérémonie de remise s’est déroulée dans les locaux du ministère de la Défense et des Anciens combattants sous la présidence du ministre, le général Yamousa Camara. Etaient également présents, le chef d’état-major général des armées, le général Dahirou Dembélé et plusieurs autres chefs militaires.

 

Cette action entre dans le cadre du prolongement de l’opération SERVAL, appuyée par la MISMA, dont l’objectif est de lutter contre les groupes armés terroristes, afin de permettre à notre pays de recouvrer son intégrité territoriale dans un Etat laïc et démocratique. Elle vient pour densifier les structures de commandement malienne à qui la France a décidé d’apporter son appui.

 

Le ministre de la Défense et des Anciens combattants, Yamoussa Camara a salué le dynamisme de cette coopération qui se caractérise par sa réactivité, sa pertinence et son efficacité. Il a évidemment évoqué l’intervention militaire de la France qui se bat aux cotés de la MISMA et du Mali dans le cadre de la lutte globale contre le terrorisme, pour rétablir la dignité, l’unité nationale et l’intégrité territoriale de notre pays.

 

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Revenant sur la cérémonie du jour, le ministre a rassuré que la présente dotation contribuera sans conteste au renforcement des capacités opérationnelles de nos unités.

 

Il a conclu en réitérant ses remerciements au gouvernement français pour son soutien multiforme tout en donnant l’assurance qu’un bon usage en sera fait du matériel ainsi reçu.

 

La valeur des équipements est estimée à 1,4 milliard de FcfaLa valeur des équipements est estimée à 1,4 milliard de Fcfa

 

« La communauté internationale n’a jamais été aussi unanime sur un dossier tel que celui du Sahel. Le destin du Mali est celui de toute les nations démocratiques dans le monde », a de son côté indiqué l’ambassadeur de France Gilles Huberson.

 

Il a  précisé que les 16 véhicules et 2000 paquetages d’effets individuels remis ne sont qu’une modeste contribution de son pays pour l’équipement de  notre armée.

 

Le diplomate français s’est réjoui au passage du dénouement du conflit qui opposait une partie du Régiment des commandos parachutistes au reste de l’armée. « C’est maintenant une armée, une et entière qui monte au front », a-t-il relevé.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 20:45
Carte-Regionale-AQMI-344 2 0
02.04.2013 par
Après deux mois et demi de combats, la mission prescrite par le chef des armées (rétablir la souveraineté de l’Etat malien sur l’ensemble de son territoire et y détruire les organisations terroristes) n’est pas encore accomplie que l’on évoque déjà le repli du gros des forces françaises. 
Mission non encore accomplie

Après avoir stoppé l’offensive djihadiste, reconquis les villes du Nord et détruit le bastion d’AQMI dans le massif de Tigharghar, les forces alliées, et avant tout françaises, ont « planté le drapeau » sur la totalité des villes tenues par les rebelles depuis janvier 2012. La première partie de la mission peut donc être considérée comme atteinte même si avec seulement treize ou quatorze bataillons actifs  français ou africains on ne peut prétendre contrôler étroitement un territoire grand comme deux fois la France.
Sur les cinq organisations qui faisaient face au gouvernement malien, les deux organisations touaregs ont pratiquement disparu, comme Ansar Eddine, ou se sont associées aux les forces françaises, comme le MNLA ; AQMI a subi des pertes sévères et semble désorganisé ; le MUJAO et sans doute aussi le groupe de Belmokhtar ont également subi des pertes mais dans des proportions moindres. Ces résultats militaires remarquables ne sont cependant pas décisifs et comportent plusieurs incertitudes.
Si AQMI a subi des coups sévères avec la perte de sa base locale, de plusieurs centaines de combattants et de son principal leader, cette organisation possède encore des ressources et surtout la volonté de combattre la France. L’ex Groupe salafiste pour la prédication et le combat (CSPC) n’a accédé au label Al Qaïda à la fin de 2006 qu’avec la promesse de mener le djihad contre la France. Incapable de porter le combat en Europe, AQMI s’est attaqué aux ressortissants français dans le Sahel, y trouvant même une source importante de financement. Avec l’opération Serval, nous lui donnons un véritable front, à la manière des Américains en Irak. Il faut donc s’attendre très probablement à des actions offensives de sa part. Celles-ci peuvent encore avoir lieu au Mali, s’il reste à AQMI des forces dans l’adrar des Ifoghars et s’il est possible de les renforcer ou les renouveler. La surveillance aérienne, la tenue des villes de la région par les forces alliées, le quadrillage accru de l’armée algérienne dans le Sahara et la coopération des Touaregs réduisent néanmoins les possibilités de manœuvre dans ce secteur. Le mode d’action le plus probable pour AQMI consiste donc plutôt dans des opérations contre les Français hors du Mali, au Niger ou en Mauritanie par exemple, avec peut-être l’espoir d’y attirer à nouveau des forces françaises et de multiplier les « Mali » comme Che Guevara voulait multiplier les« Vietnam » pour épuiser les Américains. Par ailleurs, AQMI détient toujours six otages français après le décès probable et encore non clairement expliqué de l’un d’entre eux. Ces otages sont désormais probablement hors du Mali.
La deuxième incertitude concerne les organisations armées des Touaregs. Nous coopérons ouvertement avec le MNLA alors que celui-ci, déclencheur des évènements en janvier 2002 est toujours en guerre contre le gouvernement malien. Ansar Eddine a disparu mais ses combattants n’ont pas tous été éliminés, loin s’en faut. Certains ont rejoint le MNLA ou le nouveau Mouvement islamique de l’Azawad, d’autres poursuivent sans doute le combat, peut-être avec AQMI. Avec cette alliance avec le MNLA, on touche certaines difficultés du « combat couplé ». La coopération des Touaregs est un des clés de la sécurisation du Nord Mali et même de la région mais outre que cela suppose de s’associer avec d’anciens ennemis (beaucoup d’entre eux ont combattu avec Kadhafi), dont des Islamistes radicaux, cette alliance irrite les gouvernements alliés de la région.
Le point le plus préoccupant reste la résistance active du MUJAO qui, au contraire d’AQMI, poursuit un combat asymétrique dans la région de Gao, combat fait de multiples actions d’éclat combinant attaques suicide, infiltrations et tirs de harcèlement. Ces attaques ponctuelles témoignent à la fois de la motivation des membres du mouvement, assez éloignée de l’image de groupe de bandits parfois présentée, de la persistance de leur présence et donc aussi de l’incomplétude de l’opération Serval. Classiquement, le MUJAO mène une campagne de communications appuyées par des actions de combat, là où nous faisons l’inverse. De recrutement local, y compris dans les ethnies Songhaï et Peul, et régional, notamment en Mauritanie, le MUJAO peut prétendre au leadership régional à la place des Algériens d’AQMI. Le MUJAO détient aussi un otage français.
L’action du groupe de Mokhtar Belmokhtar, indépendant d’AQMI depuis la fin 2012 est floue dans ce paysage tactique. Proche du MUJAO, il combat peut-être à ses côtés mais certains témoignages tendent à montrer, que non seulement Belmokhtar est toujours vivant mais qu’il se serait réfugié en Algérie. Une organisation qui a été capable d’organiser la prise d’In Aménas est capable de surprendre à tout moment.
Qui pour combattre les djihadistes ?

Face à ces groupes encore très actifs, la force Serval fait encore basculer son centre de gravité sur le fleuve Niger et combine ses actions offensives (l’opération Doro) non plus avec les Tchadiens et les Touaregs comme dans le Nord mais avec l’armée malienne et la MISMA.
Or, ces deux forces sont faibles. Les contingents de la MISMA sont arrivés rapidement sur le territoire malien mais le plus souvent sans équipement et sans un financement suffisant. Le bataillon logistique de la force n’arrivera pas avant la fin du mois d’avril. De fait, l’action de la MISMA se limite au contingent tchadien à Kidal- lui aussi en recherche de financement et rattaché depuis peu à la MISMA- au contrôle de Ménaka par le bataillon nigérien et d’une présence sur les axes routiers du Sud. Quant aux forces armées maliennes (FAM), elles sont désorganisées. Tout au plus peuvent-elles mettre en œuvre huit petits bataillons très mal équipés et mal encadrés. Sans appui français, les FAM sont clairement incapables de sécuriser le fleuve Niger sans même parler de l’Adrar des Ifoghas. La Mission européenne de formation de l'armée malienne, EUTM Mali, a commencé son travail de quinze mois de formation de quatre bataillons de 650 hommes. Avec une Union européenne au moins aussi réticente à financer et armer l’opération EUTM que la CEDEAO avec la MISMA, la reconstitution de l’armée malienne risque de prendre beaucoup de temps.
Quant à la force ONU envisagée pour remplacer la MISMA, son intérêt principal, outre d’élargir le champ des contributeurs, est surtout de transférer aux Nations Unie le financement des opérations. Ce soulagement financier se paierait d’une moindre efficacité tactique, les forces ONU étant incapables de mener des opérations offensives. On voit mal, même avec mandat de chapitre VII et un volume de plus de 11 000 hommes (qu’il reste à réunir), résister longtemps à un adversaire résolu. On peut espérer qu’AQMI se détourne d’un adversaire aussi peu gratifiant mais ce ne sera surement pas le cas du MUJAO. Le secrétaire général des Nations Unies a d’ailleurs admis implicitement l’inefficacité de cette force en demandant la présence d’une force parallèle, qui en l’occurrence ne peut être que française.
Les djihadistes ne sont forts que parce que les Etats sont faibles

Avec un peu de recul sur les évènements, on voit bien avec ces atermoiements que la vraie force des organisations non étatiques armées réside surtout dans la faiblesse des Etats qu’ils affrontent. Ceux-ci ne sont pas faibles parce que leurs armées le sont, c’est l’inverse qui est vrai et les tendances ne sont pas favorables.
Autant AQMI et ses alliés bénéficient des réseaux sombres de la mondialisation (armes légères en abondance, parasitage des trafics en tous genres) sans, pour l’instant, en subir vraiment la corruption, autant les Etats locaux, tous ou presque en situation de désendettement, ont vu leurs moyens d’action publique se réduire. Cela vaut pour les instruments de sécurité mais aussi pour une action sociale qui laisse le champ libre aux organisations privées islamiques. Pire, les financements extérieurs, licites (aide du FMI) ou non (drogue), ont tendance à accroître nettement une corruption endémique qui, par contraste, rend l’offre des organisations islamistes, dure mais honnête, de plus en plus séduisante.  Dans une zone sahélienne sous pression écologique et où la population risque de doubler d’ici à vingt ans, les recruteurs du MUJAO ou de tous les groupes qui sont amenés à naître ou se transformer n’auront aucun mal à trouver des volontaires. Le coup d’état militaire de mars 2012 au Mali doit se voir aussi comme une tentative locale de réaction contre cette dérive générale.  
Pour autant, ces pays du Sahel, Mali compris, disposent de ressources importantes dans leur sous-sol. Leur exploitation, par des compagnies étrangères, peut être la chance de ces pays à condition de parvenir à en dériver une partie notable des revenus dans des Etats solides et des administrations honnêtes.
A court terme, et sans préjuger des évolutions du monde arabe tout proche, l’apaisement des tensions avec les Touaregs est une condition sine qua non de la victoire contre les djihadistes. A long terme, recensements, plan cadastraux, systèmes de retraites, éducation, juges et administrateurs suffisamment bien payés pour être honnêtes, élections transparente, sont les meilleurs instruments pour couper les racines de mouvements que des armées et polices mieux financées grâce pourront mieux affronter en surface grâce à de vraies entrées fiscales. Dans l’incapacité de créer ce cercle vertueux et sans Etats forts, la guerre contre les djihadistes sera une guerre de Sisyphe.
La France est-elle suffisamment endurante pour mener le combat ?

Le combat initié au Mali, s’inscrit dans un affrontement de longue haleine. Dans des conditions assez proches, il aura fallu trois ans d’engagement au Tchad pour y rétablir provisoirement la sécurité (cliquer sur Tchad).
A l’époque, la force de la France reposait sur une intégration assez réussie de tous ses moyens d’action sous un commandement unique. La diplomatie ne se focalisait pas sur le repli le plus rapide possible des forces françaises mais sur la manière de réunir les pays de la région dans un même combat, de dissocier le mouvement local de ses sponsors et d’aider à la résolution des problèmes ethniques locaux. Elle participait, avec les militaires qui, de fait, fournissaient la quasi-totalité du personnel engagé, à la restructuration parallèle de l’administration et de l’armée locale. De son côté, un contingent moyen de 2 500 hommes a conduit le combat jusqu’à ce qu’on soit certain que l’armée locale soit capable de prendre le relais et pas avant. Cela se passait quelques années seulement après la guerre d’Algérie, bien plus traumatisante pourtant que le « syndrome » afghan. L’opinion publique était alors beaucoup plus réticente à ce type d’engagement qu’aujourd’hui, où, malgré une chute rapide qui interroge, une majorité de Français soutient l’opération. Autant la vitesse était de mise pour l’intervention initiale, autant la précipitation pour le repli ne l’est pas.
Avec l’intervention du 11 janvier, nous avons retrouvé les vertus de la réactivité qui faisait une partie de notre force à l’époque des interventions nationales françaises. Il reste à retrouver celles de l’endurance, qui en constituait l’autre partie car non seulement l’engagement au Mali va durer sous des forces diverses mais il faut s’attendre également à une guerre de corsaires sur l’ensemble de la région.
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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 17:45

AW109LUH

 

02 April 2013 by defenceWeb

 

Captain Jacobus “Jakes” van Rensburg was one of three 5 Special Forces Regiment members killed when a 15 Squadron Agusta A109 light utility helicopter crashed in the Kruger National Park.

 

The other Special Forces members from the Phalaborwa-based unit were Sergeant Paulus Ndishishi and Lance Corporal Bheki Cele.

 

Captain Phil Chabalala was commander of the rotary-winged aircraft that, according to reports, was deployed in Kruger for four days as part of the national anti-rhino poaching operation. His flight engineer was Sergeant GP Ruiters, the SANDF said in a statement.

 

A preliminary investigation is underway to establish the sequence of events leading up to the crash.

 

This is the fourth helicopter of the same type to have crashed since their acquisition as part of the Strategic Defence package.

 

A May 2009 crash into Woodstock Dam, below the Drakensberg, that killed all three aboard was deemed to have been the result of pilot error. Two hard landings in November and December 2010 resulted in the SAAF A109s briefly being grounded. The incidents were ascribed to tail rotor failure and a broken swash plate control rod. Last year the SAAF said all A109 problems had been subsequently identified and rectified and the fleet was operating normally with various helicopter squadrons across the country.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 17:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/57/Naval_Ensign_of_the_People%27s_Republic_of_China.svg/750px-Naval_Ensign_of_the_People%27s_Republic_of_China.svg.png

 

ALGER, 2 avr 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Un détachement naval chinois, composé de deux frégates et d'un bâtiment pétrolier-ravitailleur, a accosté mardi matin au port d'Alger pour une escale de quatre jours, a indiqué l'agence de presse APS.

 

Cette escale est "la première du genre pour des bâtiments de guerre chinois en Algérie", a indiqué le lieutenant-colonel Mohamed Kaddour.

 

Elle vise à renforcer "la coopération militaire bilatérale entre les Forces navales algériennes et la marine chinoise", selon cette source.

 

D'une longueur de 135 mètres, les deux frégates lance-missiles, "Huangshan F-570" et "Hengyang F-568", ont un équipage de 190 hommes et pèsent 41.000 tonnes à pleine charge, a précisé l'officier.

 

Les deux frégates sont équipées notamment de six torpilles, de deux lance-roquettes et d'un hélicoptère, a-t-il ajouté.

 

Le navire pétrolier-ravitailleur, dont l'équipage compte 130 personnes, est long de 191 mètres et pèse 37.000 tonnes à pleine charge.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 17:18

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02 avril 2013 Par RFI Avec notre correspondante à Moscou, Anastasia Becchio

 

Le gouvernement du Mali a besoin d’hélicoptères, d’avions de combat et de véhicules blindés pour combattre les rebelles islamistes dans le nord du pays, au sein de l’opération multinationale à laquelle participe la France. L’agence publique russe d’exportations d’armements pourrait répondre favorablement aux requêtes maliennes.

 

Des hélicoptères Mi-35 et Mi-17, des avions cargo, des avions de combat, des véhicules blindés, des systèmes radar de défense antiaérienne, des armes légères et des munitions : telle serait la liste adressée par le Mali à Rosoboronexport, selon une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements citée par le quotidien Vedomosti.

 

L’armée malienne aurait aussi besoin de l’expertise russe pour la réparation d’une partie de son matériel et en particulier des tanks, acquis à l’époque soviétique. Les finances maliennes étant limitées, la Russie n’a livré que 3 000 fusils d’assaut Kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant de 12 millions de dollars en février. Selon le représentant de Rosoboronexport, de nouveaux contrats pourraient être passés prochainement pour des armes légères, des munitions, mais aussi des véhicules blindés et des hélicoptères de transport.

 

La Russie, qui achemine également de l’aide humanitaire au Mali, soutient l’opération de la France. Vladimir Poutine l’a rappelé fin février en recevant François Hollande au Kremlin. Selon une source au sein du ministère russe de la Défense, au début de l’opération, des avions cargo russes ont effectué une vingtaine de vols pour acheminer du matériel militaire de l’armée française.

 

deux Antonov 124 russes sur la base aérienne 105 d'Evreux

 

Les Antonov-124 russes pourraient reprendre du service le mois prochain, à la faveur du retrait d’une partie des troupes françaises du Mali.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 16:45

badge-eutm-mali a la une

 

02.04.2013 maliactu.net

 

Un premier contingent de 570 soldats maliens devait entamer mardi sa formation par des instructeurs militaires européens qui ont pour objectif de restructurer l’armée malienne, au lendemain de violences à Tombouctou (nord-ouest) provoquées par des islamistes armés infiltrés dans la ville.

 

Mardi matin, ces militaires maliens ont quitté Bamako pour Koulikoro, ville située à une soixantaine de km au nord-est de la capitale et qui abrite un centre de formation militaire, a indiqué à l’AFP le lieutenant-colonel français Philippe de Cussac, porte-parole de la mission de formation de l’Union européenne (EUTM).

 

C’est là qu’ils seront formés pendant dix semaines par une centaine d’instructeurs venant de sept pays: France, Royaume-Uni, Suède, Finlande, Lituanie, Luxembourg et Irlande.

 

« Dans un premier temps, on aura une formation généraliste, ensuite, il y aura une formation de spécialisation, en télécommunications, artillerie, génie », selon le lieutenant-colonel de Cussac. « Des forces spéciales, des tireurs d’élite » seront également formés, a-t-il ajouté.

 

Le but de l’EUTM est de former et entraîner près de 3.000 soldats, qui se succéderont en quatre vagues sur quinze mois à Koulikoro.

 

Cette opération débute alors que la France prépare le désengagement partiel de ses 4.000 soldats déployés dans le pays et que l’ONU finalise le lancement d’une mission de maintien de la paix qui sera composée de quelque 11.000 hommes.

 

A terme, la mission de « reconstruction » de l’armée du Mali de l’UE comprendra 550 militaires européens, dont l’objectif est de professionnaliser les soldats maliens pour qu’ils soient capables de résister aux attaques des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda.

 

Ces derniers, qui ont occupé pendant plus de neuf mois le nord du Mali après en avoir chassé les rebelles touareg qui avaient lancé l’offensive en janvier 2012, en ont été partiellement chassés par les soldats français qui, en soutien à l’armée malienne et d’autres pays africains, est intervenue dès le 11 janvier pour empêcher une avancée des islamistes vers le Sud.

 

« Plus d’actions jihadistes »

 

Mais d’importantes poches de résistance islamistes demeurent dans plusieurs régions du nord du Mali: massif des Ifoghas, Gao et Tombouctou.

 

Des islamistes armés ont réussi à s’infiltrer à Tombouctou après l’attentat suicide d’un kamikaze dans la nuit de samedi à dimanche.

 

Une dizaine de personnes, dont au moins huit jihadistes, ont été tuées dans l’opération de « ratissage » menée dimanche et lundi dans la ville par des soldats maliens et français.

 

Cité par l’agence mauritanienne de presse en ligne Nouakchott information (ANI, privée), un porte-parole d’un des trois groupes islamistes armés opérant dans le nord du Mali, le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), a menacé la France et ses alliés de « plus d’actions jihadistes ».

 

La persistance de l’activité des jihadistes en dépit de l’intervention franco-africaine rend d’autant plus nécessaire la formation de l’armée malienne qui, sous-équipée, démoralisée et un temps divisée, avait été mise en déroute dans le Nord l’an dernier en quelques semaines par les groupes armés.

 

Le gouvernement de transition malien a demandé à la Russie de lui livrer des hélicoptères, des avions de combat et des véhicules blindés pour combattre les islamistes, selon une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport, citée par un quotidien russe.

 

En février, la Russie a déjà livré au Mali 3.000 fusils d’assaut kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant total de 12 millions de dollars (plus de 9 millions d’euros), dans le cadre d’un contrat conclu en septembre 2012, a précisé cette source.

 

Sans commenter directement la mission de formation de l’UE, les Etats-Unis se souviennent d’avoir formé un certain Amadou Haya Sanogo, capitaine de l’armée malienne auteur d’un coup d’Etat ayant renversé le 22 mars 2012 le président Amadou Toumani Touré, précipitant la chute du Nord au mains des islamistes.

 

Le général Carter Ham, haut commandant des forces armées américaines en Afrique (Africom), s’était déclaré l’an dernier « amèrement déçu » qu’un militaire malien formé aux Etats Unis ait renversé « un gouvernement élu », qualifiant cela de « totalement inacceptable ».

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 16:45

Carte-Regionale-AQMI-344 2 0

 

March 30, 2013: Strategy Page

 

The defense budget is up 14 percent this year to $10.4 billion, and much of that is going to buy new equipment to replace the aging Cold War era stuff. Because of the war with the Islamic terrorists in the 1990s most of the defense budget went to counter-terror activities during the last two decades. But in the last few years that has changed. The army is getting 300 new Russian T-90 tanks and 1,200 German wheeled armored personnel carriers. Russia and Germany are also providing new warships for the navy and dozens of Russian Su-30 warplanes are arriving. Most of the weapons ($7.5 billion worth) are coming from Russia. Russia offers low prices and a tolerant attitude towards corruption and bribes. Plus, the Russian stuff looks impressive and is not likely to be used in any serious fighting because Algeria is surrounded by weaker nations.

 

Canada revealed that two Canadians were among the 32 terrorists killed during an attack by AQIM (Al Qaeda in the Islamic Maghreb) terrorists on an Algerian natural gas facility in January. The Canadian government would not release the names of the two dead Canadians, indicating that an investigation involving the two was still underway. Canada is under pressure (from foreign governments as well as a lot of Canadians) to change its policy of granting so many Canadian passports to recent immigrants from Moslem countries. Many of these passports have been obtained by Islamic terrorists because it makes it much easier to travel around the world.

 

The investigation into the terrorist attack last January on the natural gas facility revealed that the operation was made possible by poor security procedures at the facility. That is being fixed, and more armed guards and better physical defenses and local intelligence collecting procedures are being implemented. The poor security was the result of decades in which local Islamic terrorists would not attack Algerian oil and gas facilities because so many Algerians depended on the oil and gas revenue to survive. Thus a terrorist attack on these facilities would be very unpopular and hurt the terrorists. But the January attack involved only one Algerian. Most of the attackers did not care what the Algerian people thought.

 

In addition to recruiting expatriate Moslems for international terrorism, AQIM (the most active branch of al Qaeda at the moment)  is now urging those Moslems who moved to the West (or were born of parents who had) to organize terror attacks where they were, using the numerous “how to” documents found on the Internet. Many pro-terrorism Algerians fled to the West after the Islamic terrorist campaign of the 1990s failed. These Algerians keep turning up among active Islamic terrorists worldwide. The Maghreb has historically been Moslem North Africa west of Egypt. It used to include parts of Spain, before Moslems were expelled in the 15th century. After that Maghreb based pirates raided non-Moslem shipping and towns in southern Europe into the 19th century. The piracy was finally ended when European nations (mainly France, Spain, and Italy) invaded North Africa and shut down the pirate bases by turning the region into colonies. But that caused great resentment among the locals, and these bad feelings persist to this day. Islamic conservatives find many North Africans attracted to sermons explaining how God wants North African Moslems to dominate the region. This is why there are so many Islamic terrorists active in Spain, France, and Italy. Visions of lost glory and power are always a powerful narcotic to young men from countries that have failed to build strong economies and effective government.

 

March 27, 2013: East of the capital soldiers, acting on a tip, ambushed five al Qaeda men,  killing three and capturing the other two. Five AK-47s were seized. AQIM continues to maintain bases for several hundred members in the thinly populated coastal mountains of eastern Algeria. These men sustain themselves by working for drug smugglers. This helps maintain a chain of AQIM bases down to West African drug portals like Mauritania and Guinea-Bissau. Then there is the $100 million in ransom the terrorists have collected in the last decade by kidnapping Europeans. Those two sources provide over $300,000 a week to keep AQIM going. That pays for weapons, food, transportation, and salaries for senior members. Some of that cash is lost to corruption and theft (as captured documents make clear), but there’s enough to maintain a force of several thousand armed members. Kidnapping and drug smuggling only occupy (on average) a few hours a day, leaving plenty of time to plan and carry out righteous mayhem. To encourage this there are a lot of inspiring religious diatribes from AQIM leaders and clerics.

 

In practice a large minority of the AQIM men are in it mainly for the money. The recent defeat in Mali caused a lot of desertions, as well as deaths among true believers. This has weakened AQIM, making those still in Algeria more crucial to the survival of the organization. The drug smuggling routes have been disrupted by all the military activity throughout the Maghreb because of the Mali fighting. There are fewer potential kidnapping victims around and the long-established AQIM bases and stores of weapons and ammo in northern Mali are under attack. With fewer men, cash, and resources AQIM is in big trouble. Algerian counter-terror experts see this as making Islamic terrorists in Algeria more vulnerable. Many experienced Algerian AQIM men went to Mali and have been lost. Many back in Algeria were demoralized by what happened in Mali and have deserted the cause or, in some cases, went to work for the government. So for the next few months there will probably be fewer terrorist attacks in Algeria and more terrorist casualties until AQIM can pay more attention to rebuilding. 

 

March 24, 2013: AQIM announced that an Algerian (Djamel Okacha) has replaced Abou Zeid as leader in the Sahara region. Zeid was killed in late February in northern Mali near the Algerian border. At first AQIM insisted Abou Zeid was still alive but he wasn’t. AQIM leadership is dominated by Algerians, most of them veterans of the failed terrorist war in Algeria during the 1990s.

 

March 14, 2013: Over ten thousand people demonstrated against high unemployment in the central Algerian town of Ouargla. Corruption and incompetence among government officials is seen as the main reason for the lack of jobs. The official unemployment rate is ten percent, but underemployment (with make-work jobs) and heavy immigration by the young and unemployed mask a real rate of over twenty percent. The government has reduced the unemployment rate in the last decade (from an official rate of over 20 percent) but it’s still too difficult to find a job. Moreover, most of the jobs are in places people don’t want to move to.

 

March 8, 2013: East of the capital soldiers killed two al Qaeda men.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 16:45

http://www.mali-cikan.fr/wp-content/uploads/2013/04/DSCN0882.jpg

 

30.03.2013 mali-cikan.fr

 

Le 30 mars, la force Serval a remis aux forces armées maliennes 2,5 tonnes de munitions trouvées durant les opérations dans l’Adrar des Ifhogas. Ces dernières, détournées par les groupes terroristes, ont été récupérées sur les lieux de combat dans leurs caches et dépôts de munitions.

 

 

DSCN0888

 

Les experts de la force française ont tout d’abord procédé à un contrôle minutieux des milliers de cartouches d’armes légères individuelles afin de s’assurer de leur bon état. Certaines, abîmées et donc dangereuses pour les utilisateurs, ont été sorties du lot et détruites. Lors de cette remise de munitions, les militaires français et maliens ont fait un inventaire précis, pour officialiser et enregistrer cet acte de transfert de munitions.

 

L’importante quantité de munitions a ensuite été chargée dans des camions et sera utilisée par les soldats maliens.

 

DSCN0885

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 16:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130331-operation-serval-l-armee-malienne-repousse-une-attaque-terroriste/serval-en-appui-des-fama/2250693-1-fre-FR/serval-en-appui-des-fama.jpg

 

02 April 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Malian soldiers backed by French fighter jets battled Islamist rebels in Timbuktu on Sunday after insurgents used a car bomb as cover to infiltrate the northern desert town, sources said.

 

The French-led offensive in Mali has pushed a mix of Islamists out of their northern strongholds and remote mountain bases but the militants have hit back with several suicide attacks and guerilla-style raids.

 

At least one Malian soldier was killed and four injured in Sunday's fighting in the ancient Saharan trading hub 1,000 km (600 miles) north of the capital Bamako, according to a Mali government communique issued on Sunday evening, Reuters reports.

It said that 21 Islamist rebels were also killed.

 

"It started after a suicide car bombing around 2200, that served to distract the military and allow a group of jihadists to infiltrate the city by night," said Mali army Captain Modibo Naman Traore.

 

Bilal Toure, a member of Timbuktu's crisis committee set up after the town was recaptured from Islamist control in January, said he saw a French plane firing on the rebel positions. He said fighting had died down since nightfall.

 

"The situation settled down after around 1900 but everyone is still staying indoors," he said.

 

The attack reflected the challenge of securing Mali as France prepares to reduce its troop presence and hand over to the ill-equipped Malian army and a more than 7,000-strong regional African force.

 

Mali's defense ministry said on Saturday that two Nigerian soldiers in the regional African force were killed when their convoy struck a mine outside Ansongo, near the Niger border.

 

France launched its intervention in Mali in January to halt an advance by northern al Qaeda-linked rebels towards Bamako.

 

President Francois Hollande said on Thursday that France will reduce its troop numbers in Mali to 2,000 by July and to 1,000 by the end of the year, down from 4,000 at present.

 

The West African former colony is to hold presidential and legislative elections in July - vital steps to stabilizing the gold- and cotton-producer after a military coup a year ago paved the way for the northern rebel takeover.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 15:45

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/03/IGAS-2.jpg

 

31 mars 2013 EUTM Mali

 

L’accomplissement de la mission EUTM Mali repose sur deux piliers distincts mais totalement complémentaires. Dans l’ordre de mise en œuvre, la mission de formation constitue le second pilier : aider à la reconstruction par la formation, l’entraînement de 4 bataillons des Forces Armées Maliennes (FAMa). Le premier pilier est l’aide par l’Expertise des FAMa et le Conseil auprès des autorités militaires maliennes.

 

Cette dimension « Expertise – Conseil » a débuté dès le lancement officiel de la mission, le 18 février 20123. Elle a été réalisée par 20 officiers européens arrivés à Bamako le 08 février. Ils ont présenté aux autorités militaires leur évaluation le jeudi 14 mars 2013. Ils sont actuellement dans l’écriture d’un plan d’actions pour les prochains mois qu’ils exposeront au ministre de la défense malien dans les prochains jours.

 

Le colonel Héluin, chef de cet élément, nous résume ci-dessous la réunion qu’il a eue avec l’inspection générale des armées et des services le mercredi 27 mars 213 :

 

« Dans le cadre de la mission EUTM-MALI, le groupe de conseil a rencontré les principaux responsables de l’Inspection Générale des Armées et des Services (IGAS). Succédant à la phase d’audit qui avait permis de comprendre leurs modalités d’organisation et les difficultés rencontrées dans l’exercice du contrôle, il s’agissait d’offrirdes pistes de réflexion s’appuyant sur les expertises européennes dans ce domaine.

 

Cette réunion a également été l’occasion de présenter les options de réorganisation territoriale de l’armée malienne afin de permettre un meilleur contrôle tant de la capacité opérationnelle, du suivi du matériel que du suivi financier. »

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 15:45

http://www.eutmmali.eu/wp-content/uploads/2013/03/Imagen-155.jpg

 

31 mars 2013 EUTM Mali

 

Depuis l’arrivée des formateurs Britanniques et Irlandais, le mercredi 27 mars 2013, l’ensemble des instructeurs d’infanterie sont désormais réunis à Koulikoro.

 

Ils viennent de 7 pays : France (48), Royaume-Uni (21), Suède (12), Finlande (10), Irlande (6), Lituanie (2) et Luxembourg (1). Ils sont donc 100 au total, regroupés en 4 compagnies : 2 Françaises, 1 Nordique et une Irlando-britannique.

 

Afin d’harmoniser le style de la formation dispensée aux bataillons maliens, de faciliter et d’accélerer la cohésion entre les unités formatrices, il a été décidé de les faire s’entrainer par binômes : une compagnie française avec la compagnie nordique et la seconde compagnie française avec les Irlando-britanniques.

 

Les unités ont profités des quelques jours précédant l’arrivée des soldats maliens pour revoir ou apprendre les savoir-faire de base comme le maniement de l’arme en dotation au Mali, la kalachnikov, l’entretien et la conduite des véhicules 4*4 et l’utilisation des moyens de transmission utilisés lors des séances d’instruction.

 

Les mois les plus chauds au Mali sont selon les habitants de Bamako, les mois d’Avril-Mai et non celui de Mars. Cependant, les instructeurs Finlandais ont connu un choc thermique de « grande » amplitude lors de leur arrivée. Parti de Finlande où la température avoisinait -25°C, ils ont trouvé à Koulikoro l’après-midi des températures d’environ 45°C.

 

Plus de photos : ICI

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