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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 18:45

Tuareg Rebels

 

22 March 2013 at 11:05 GMT BBC Africa

 

The US government has placed Mali's Islamist group Ansar Dine on its terror blacklist because of continued links to al-Qaeda's North Africa branch.

 

The decision freezes any of its US assets and bans business with it.

 

Ansar Dine was one of a number of militant groups that took control of northern Mali in the aftermath of a coup, one year ago on 22 March 2012.

 

French troops, which intervened in January to oust them, are still fighting insurgents in the mountains.

 

France currently has 4,000 troops in Mali, backed by thousands of soldiers from Mali, Chad and other African countries.

Following the coup, several Islamist groups took over major cities, including Gao, Kidal and Timbuktu, and imposed strict Islamic law.

 

Suicide attacks

 

Ansar Dine has received backing from al-Qaeda in the Islamic Mahgreb (AQIM) since its creation in late 2011 and "in its fight against Malian and French forces", the US State Department statement said.

 

It said that before France's intervention, Malian citizens in towns under Ansar Dine's control who did not comply with its laws "faced harassment, torture, or execution".

 

A year ago the group executed more than 80 Malian soldiers and kidnapped 30 more, the statement said.

 

Since the French intervention began, all the major towns in the vast desert region have been recaptured but fighting is still continuing in the remote Ifoghas mountains.

 

There have also been three suicide bomb attacks in northern towns.

 

Capt Amadou Sanogo, who headed the coup in March 2012, handed over to an interim government but remains a powerful figure in the background and heads a committee to oversee reforms in the military.

 

He led the putsch saying the army was ill-equipped to fight the rebellion in the north, which was initially started by Tuareg separatist fighters but later dominated by the Islamist groups.

 

France plans to withdraw its troops from Mali next month, with West African countries expected to take over the mission in the run-up to elections due in July.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 17:49

deux Antonov 124 russes sur la base aérienne 105 d'Evreux

 

22 mars 2013 FORCESFRANCAISES

 

 


 


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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 17:46

Opération Serval

 

22 mars 2013 FORCESFRANCAISES

 


 
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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 16:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/02/02/358000557.jpg

 

22.03.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Dans l’Adrar des Ifoghas, les GTIA 3 et GTIA TAP, en coordination avec les forces tchadiennes, poursuivent leurs opérations. Ils opèrent actuellement dans la vallée de Terz, au sud de la vallée d’Amettetai (voir la carte ci-dessus).

 

Notre correspondant, François Rihouay, est en reportage dans la zone. En attendant son témoignage et ses articles (en début de semaine prochaine, je l'espère), on peut lire le point de situation de l'EMA.

 

Selon l'EMA,"les soldats français ont atteint les objectifs fixés et assurent désormais une mission de contrôle de zone dans cette vallée considérée comme un possible refuge pour des groupes islamistes armés. Les éboulis, naturels ou réalisés par les terroristes, les passes très étroites, ont pu parfois ralentir leur progression. Durant cette action, une partie des forces tchadiennes, commandée par le général Deby, s’est positionnée pour interdire toute exfiltration de la zone fouillée, et empêcher ainsi tout renfort de terroristes depuis la région de Kidal. Le 20 mars, les forces tchadiennes ont réalisé la jonction avec le GTIA 3."

 

Cette opération a permis aux EOD de détruire un pick up qui contenait un stock important de munitions et d’obus. Une cache contenant aussi des munitions a été trouvée, avec de l’armement : une mitrailleuse de 14,5mm, un canon anti-char SPG9, des mortiers et un poste de tir missile 107 type 85.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 15:45

EUTM Mali

 

21.03.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Si EUTM (European Training Mission) Mali avance et va pouvoir débuter sa mission de formation de l’armée malienne, c’est bien grâce à la France. Car le processus de génération de force au sein des États de l’Union Européenne est toujours en cours. Au total, 22 pays européens ont manifesté leur intention de contribuer à ce que doit être la mission européenne de formation de l’armée malienne, soit au total aux alentours de 500 soldats. Cette force comprendra états-majors, équipements, une force de protection ou soutien (logistique, médical…) ainsi que les relèves, puisque le mandat initial est de 15 mois.

 

general-de-brigade-francois-lecointre-commandant-de-l-eutm-.jpg

 

A peine nommé en février à la tête de EUTM Mali, le général français Lecointre (photo), commandant la 9ème Brigade légère blindée de marine (9e BLBMa), est parti à Bamako avec des éléments précurseurs pour mener les expertises initiales. Le constat : « L’armée malienne est aujourd’hui profondément délabrée et désorganisée. Elle est aussi très appauvrie par vingt ans de sous-dotation budgétaire systématique. Au-delà des problèmes généraux de corruption au Mali, on n’a pas donné à cette armée les moyens de s’entraîner et de s’équiper pendant vingt ans » a t-il confié à JeuneAfrique.com le 18 mars dernier.

 

Retour sur les contributions européennes. D’après les intentions enregistrées, EUTM Mali devrait être suffisamment fournie, sauf que cela prend du temps. Beaucoup de temps ! Rappelons que la France s’est engagée le 11 janvier, alors que l’UE palabrait déjà à propos d’EUTM Mali depuis des mois. La France a déployé plus de 4000 soldats en quelques semaines, l’Europe moins de 100 en 3 mois. Ces longs délais de décision sont le plus souvent dû à des processus de ratifications internes (approbation par les Parlements nationaux…).

 

EUTM Mali devrait compter sur les contributions de l’Allemagne, l’Espagne, la Grande-Bretagne, la République Tchèque, la Belgique, la Pologne et les pays nordiques. Mais aucune de ces contributions ne dépasse la centaine de soldats. Certaines contributions sont parfois faibles, voir inexistantes (Pays-Bas). Et en attendant, Paris, va combler les trous européens et mettre à disposition plus de 200 soldats, formateurs, et soldats, éléments de protection afin que la mission puisse débuter, le 2 avril. Ce, dans l’attente d’obtenir les accords formels des États membres.

 

A relever un bonne surprise, la République Tchèque qui a déployé une vingtaine de soldats pour la forces protection à l’aéroport de Bamako.

 

La France a déjà déployée 110 soldats dans le cadre d’EUTM à Bamako (État-major…). Il seront bientôt rejoint par 95 soldats instructeurs et force protection, issus du 2ème RIMa (régiment d’infanterie de marine), arrivés à Dakar et bientôt en route pour Bamako.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 12:45

zone action-1024x716

 

21/03/2013 à 23:16 Par Tanguy Berthemet Envoyé spécial à Bamako – LeFigaro.fr

 

En poste depuis deux ans l'ambassadeur de France à Bamako, Christian Rouyer, a été rappelé à Paris. Et remplacé dès vendredi par Gilles Huberson.

 

Paris pense de plus en plus à l'après-guerre au Mali. La première conséquence de ce changement d'optique a été l'annonce brutale jeudi du «rappel» de l'ambassadeur de France à Bamako, Christian Rouyer. Un mot poli qui cache un débarquement pur et simple de ce diplomate en poste seulement depuis deux ans. Il sera remplacé dès vendredi par Gilles Huberson, qui avait été envoyé en renfort dans le poste malien il y a près de six mois.

 

À Bamako la nouvelle a semblé prendre tout le monde de court, y compris au sein de certaines autorités maliennes. «Je viens de l'apprendre et je ne comprends pas très bien ce qui se passe», soulignait ainsi un haut diplomate malien. Tiébilé Dramé, président du Parena, l'un des principaux partis politiques, s'avouait lui aussi «extrêmement étonné». «C'était un ambassadeur compétent qui avait acquis le respect des Maliens, des hommes politiques comme de la société civile», soulignait-il. Dans la communauté française du Mali, le renvoi de Christian Rouyer ne passe pas très bien non plus. «C'est triste et un peu indigne. Il ne faut pas oublier que, si l'action de la France au Mali est bien acceptée, c'est en partie grâce à lui», affirme un industriel français qui assure qu'au moins une partie des ressortissants manifestera «dans les jours prochains leur mécontentement». L'éditorialiste Abel Thiam estime que les Maliens «vont être choqués». «Il tenait un langage de vérité assez rare, notamment du temps d'ATT (l'ancien président renversé en mars 2012, NDLR), qu'il accusait à raison de ne pas combattre le terrorisme au nord du Mali.» Un haut responsable gouvernemental malien, qui préfère rester anonyme, assure que son pays n'est pour rien dans cette affaire. «C'est quelque chose de purement franco-français.»

 

Divergences d'approches

 

De fait, le renvoi s'inscrit dans une série de mises à l'écart de plusieurs diplomates jusqu'alors en charge du dossier malien au Quai d'Orsay. Fin février, Laurent Bigot, sous-directeur de l'Afrique de l'Ouest, avait été démis de ses fonctions. Peu auparavant, c'est Jean Félix-Paganon, éphémère représentant spécial pour le Sahel, qui avait été écarté. Les raisons de cette valse semblent multiples. Au Quai, on reproche à cette équipe d'avoir une approche trop classique de l'imbroglio malien au moment où Paris voudrait peser plus lourdement sur la scène locale en toute discrétion. Les passés de l'ambassadeur et de son successeur sont éloquents. Quand Christian Rouyer affiche un parcours de diplomate policé, Gilles Huberson, spécialiste des questions liées au terrorisme, est volontiers décrit comme proche des services. Son passage par Saint-Cyr devrait aussi faciliter son entente avec les militaires alors que la France a toujours plus de 4 000 soldats sur le terrain. Les changements sont aussi le résultat de tensions entre les militaires et les diplomates, entre les approches sécuritaire et politique des problèmes, très classiques dans les anciennes colonies d'Afrique.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130212-tchad-exercice-rva/tchad-rva-1/2236857-1-fre-FR/tchad-rva-1.jpg

 

22/03/2013 Sources : EMA - Opérations

 

Les 4 et 16 mars 2013, le groupement terre de la force Epervier a effectué un exercice de ravitaillement par air (RVA), en Transallpuis en Hercules du groupement de transport opérationnel (GTO) sur la zone de Farcha-Boutelouali, à une dizaine de kilomètres à l’Est de la base aérienne de Kosseï (BA 172), au Tchad.

 

À l’aube, l’un des pelotons de l’escadron blindé de la Force Épervier armé par le 3erégiment de Hussards (3e RH)s’est positionnée à Farcha-Boutelouali et a installé le marquage de la zone de mise à terre (ZMT). Longue de 500 mètres au minimum sur 300 mètres de large, elle est matérialisée par des panneaux de couleur disposés sur le sol. Une fois la ZMT installée, un message météo a été envoyé à la base aérienne indiquant les coordonnées de la position, l’origine et la force du vent ainsi que la visibilité.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130212-tchad-exercice-rva/tchad-rva-2/2236862-1-fre-FR/tchad-rva-2.jpg

 

Au même moment, le personnel du 1er régiment du train parachutiste (1er RTP) a finalisé le chargement d’une palette de 880 kg d’eau ainsi que deux autres colis d’une cinquantaine de kilogramme chacun. Dans le cockpit de l’avion de transport tactique, l’équipage est composé de cinq personnels. En soute, l’équipe du 1er RTP est constituée d’un chef-largueur et de trois arrimeurs-largueurs. Le chef largueur est en liaison permanente avec le commandant de bord. Le chef de soute a la responsabilité de la sécurité de toute la phase de largage.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130212-tchad-exercice-rva/tchad-rva-3/2236867-1-fre-FR/tchad-rva-3.jpg

 

La livraison par air s’est déroulée en trois passages. Dans un premier temps, l’aéronef a réalisé une reconnaissance de la zone en liaison radio avec le peloton au sol. Puis, au deuxième passage, la rampe, située à l’arrière de l’avion, s’est ouverte pour larguer la première charge. Une fois le fardeau au sol, le marqueur a annoncé à l’équipage le drop score, l’endroit exact où est tombée la charge. Ce résultat a permet d’affiner, au besoin, le largage du passage suivant. Enfin, lors du dernier passage, l’équipage a effectué le largage des petit colis par les portes latérales de l’avion, à une hauteur de 50 mètres. Une fois le largage terminé, les militaires de l’escadron blindé ont déconditionné les colis et plié les voiles.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/tchad/130212-tchad-exercice-rva/tchad-rva-4/2236872-1-fre-FR/tchad-rva-4.jpg

 

La livraison par air permet ainsi de ravitailler très rapidement les unités isolées ou éloignées. A titre d’exemple, dans le cadre de l’opération Serval, les unités engagées sur le terrain sont régulièrement ravitaillées par les airs en vivres et matériels.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 11:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130320-atalante-epe-estonie/epe-estonienne-12/2236811-1-fre-FR/epe-estonienne-1.jpg

 

22/03/2013 Sources : EMA - Opérations

 

Depuis le 2 février 2013, après avoir suivi un entraînement intensif de 4 mois en Estonie, une dizaine de militaires, sélectionnés au sein des différentes composantes de l’armée estonienne, ont embarqué à bord du Courbet et forment, dans le cadre de l’opération européenne Atalante, une équipe de protection embarquée (EPE).

 

Durant les deux semaines de navigation entre Toulon et l’océan Indien, les militaires estoniens et français se sont exercés ensemble au tir, à l’interception de skiffs et à la protection de navire.

 

A son départ de Djibouti, le 20 février dernier, la frégate Courbet a reçu l’ordre d’escorter un navire du programme alimentaire mondial entre Djibouti et Dar es Salam, en Tanzanie. L’EPE estonienne a été transférée sur le bâtiment civil. La mission de cette équipe était d’assurer la dissuasion et de riposter face à d’éventuelles attaques pirates. Pendant l’escorte, et du fait de la présence d’une EPE embarquée, la frégate Courbet se tenait prête à patrouiller ou à intervenir dans d’autres zones. En contact direct avec le chef du détachement estonien, les marins du Courbet ont eu en permanence une bonne perception de la situation.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130320-atalante-epe-estonie/epe-estonienne-2/2236821-1-fre-FR/epe-estonienne-2.jpg

 

Après une semaine de présence sur le vraquier et une fois à bon port, l’équipe estonienne a été rapatriée sur le Courbet et continue désormais sa route en compagnie des marins français, prête à être de nouveau embarquée sur un navire vulnérable transitant au large des côtes somaliennes.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130320-atalante-epe-estonie/epe-estonienne-3/2236816-1-fre-FR/epe-estonienne-3.jpg

 

Non dotée de bâtiments hauturiers, la marine estonienne a choisi de contribuer à sa manière à l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante. Pour la troisième fois en deux ans, l’Estonie a tenu à manifester sa solidarité européenne en faisant embarquer une équipe de protection à bord d’une frégate française en mission dans l’océan Indien. Déployée aujourd’hui sur la frégate Courbet, cette équipe est capable d’être mise en place à tout moment sur un navire civil afin de le protéger durant son transit dans les zones sensibles de la Corne de l’Afrique.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 09:07

 

21 mars 2013 FORCESFRANCAISES

 

Du 12 au 17 mars, durant l'opération Doro 3, ce sont près d'une quinzaine de terroristes qui ont été neutralisés et 8 Pick Up . Au cours des fouilles dans les villages d'In Zekouan, Teurteli et Temuy, les soldats français et maliens ont trouvé de l'armement lourd (2 affûts de 14,5mm et 1 PKM) ainsi que des munitions.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 08:45

http://fbcdn-sphotos-g-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/525155_508958575816539_172000132_n.jpg

 

21/03/2013 21:27 Sources : EMA

 

Point de situation sur les opérations de la force Serval depuis le lundi 18 mars 18h00 jusqu’au jeudi 21 mars 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec près d’une cinquantaine de sorties, principalement dans la région de l’Adrar des Ifoghas et le long de la boucle du Niger, de Gao à Tombouctou. Une vingtaine de sorties a été dédiée à l’appui feu des opérations terrestres et une vingtaine au transport de nos forces et de nos matériels, les autres sorties étant consacrées au soutien des opérations.

 

Au sol, les opérations se poursuivent.

 

Au centre, sur la boucle du Niger, les unités de la force Serval, depuis Gao, Tombouctou et Ménaka poursuivent leurs opérations pour rechercher et détruire les groupes terroristes présents dans leur zone. Ces unités mènent des actions sur des objectifs ciblés.

 

Le 18 mars, dans la région de Djebok, le GTIA 2 a conduit une opération consistant à déceler les terroristes qui s’approvisionnent habituellement sur le marché local. Les 20 et 21 mars, une autre mission a été conduite dans la même zone afin de désorganiser le réseau de fabrication et de poseurs d’IED à l’Est de Gao.

 

Le 19 mars, le détachement génie d’aide à l’engagement (DGAE) est intervenu pour analyser un IED qui avait explosé contre un camion civil au Sud de Bourem quelques jours auparavant. Cette action vise à réduire la menace IED contre la population et les forces armées.

 

A Ménaka, la situation est restée calme. Le maire est intervenu sur les radios pour inviter la population à revenir en ville et se faire recenser, les enfants, à retourner à l’école.

 

A Tombouctou, une attaque d’une cinquantaine de terroristes s’est produite dans la nuit du 20 au 21 mars. Elle visait dans un premier temps les forces armées maliennes puis les forces françaises en appui, présentes sur l’APOD.  La riposte a été immédiate et le dispositif de défense de l’EAE (Escadron d’appui à l’engagement) a permis de tenir la position, en coordination avec les FAM, sans perte du côté français. Une patrouille constituée de 2 Mirage 2000D est intervenue en appui des troupes au sol. Le bilan actuel fait état de plus d’une dizaine de terroristes tués. On déplore 1 soldat FAMA tué dans une attaque de type « suicide bomber», et 4 soldats FAMA auraient été blessés. Depuis, la situation est redevenue calme.

 

Au Nord, dans le massif de l’Adrar, les GTIA 3 et GTIA TAP sont toujours engagés en coordination avec les forces tchadiennes, et poursuivent leurs opérations dans la vallée de Terz, au sud de la vallée d’Amettetai. Les soldats français ont atteint les objectifs fixés et assurent désormais une mission de contrôle de zone dans cette vallée considérée comme un possible refuge pour des groupes islamistes armés. Les éboulis, naturels ou réalisés par les terroristes, les passes très étroites, ont pu parfois ralentir leur progression. Durant cette action, une partie des forces Tchadiennes, commandée par le général Deby, s’est positionnée pour interdire toute exfiltration de la zone fouillée, et empêcher ainsi tout renfort de terroristes depuis la région de Kidal. Le 20 mars, les forces tchadiennes ont réalisé la jonction avec le GTIA 3.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/point-de-situation-operation-serval-du-31-mars-1/2236757-1-fre-FR/point-de-situation-operation-serval-du-31-mars-1.jpg

 

Cette opération a permis aux EOD de détruire un pick up qui contenait un stock important de munitions et d’obus. Une cache contenant aussi des munitions a été trouvée, de l’armement : une mitrailleuse de 14,5mm, un canon anti-char SPG9, des mortiers et un poste de tir missile 107 type 85.

 

Le 21 mars, le général d'armées Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de terre, s’est rendu à Bamako, Tessalit puis Gao pour rencontrer les soldats de la force Serval.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/point-de-situation-operation-serval-du-31-mars-3/2236762-1-fre-FR/point-de-situation-operation-serval-du-31-mars-3.jpg

 

4000 soldats français sont déployés au Mali aux côtés de 6300 soldats des forces africaines.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 08:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130318-mali-1000-heures-de-vol-pour-le-detachement-harfang/harfang-1000h-1/2236647-1-fre-FR/harfang-1000h-1.jpg

 

21/03/2013 18:53 Sources : EMA

 

Dans la nuit du 15 au 16 mars 2013,  le détachement Harfang a effectué sa millième heure de vol en soutien de l’opération Serval.

 

Engagé depuis le 17 janvier en soutien des opérations françaises au Mali, le détachement  Harfang de l’escadron de drones 1/33 Belfort a effectué en moins de deux mois un millier d’heures de vol, de jour comme de nuit.

 

Le drone Harfanga accompagné les forces françaises qui ont libéré Douentza, a été en appui des opérations des forces spéciales ou des troupes aéroportées sur Tombouctou. Il a fourni un apport décisif aux troupes engagées dans la reconquête du nord Mali, dans le massif de l’Adrar des Ifoghas.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130318-mali-1000-heures-de-vol-pour-le-detachement-harfang/harfang-1000h-2/2236652-1-fre-FR/harfang-1000h-2.jpg

 

Apportant une contribution conséquente au recueil de renseignement sur le théâtre grâce à ses capteurs et à sa persistance sur zone, le Harfang a également mis à profit ses capacités de détection pour  aider les aéronefs de l’armée de l’Air et de la marine Nationale à acquérir et engager des cibles ennemies. Grâce à l’illuminateur laser embarqué sur le drone, les équipages ont ainsi guidé sur leur objectif des bombes de précision tirées par d’autres vecteurs.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130318-mali-1000-heures-de-vol-pour-le-detachement-harfang/harfang-1000h-3/2236642-1-fre-FR/harfang-1000h-3.jpg

 

Ainsi, en 1000 heures de vol, le détachement Harfanga été engagé dans toutes les phases de l’opération et sur tout le théâtre. Il a couvert en une cinquantaine de vols opérationnels un large spectre de missions et a ainsi nettement contribué aux succès tactiques de l’opération Serval.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 08:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e6/Gulf_of_Guinea-fr.jpg/800px-Gulf_of_Guinea-fr.jpg

 

COTONOU (Bénin), 21 mars 2013 marine-oceans.com  (AFP)

 

Vingt-cinq pays d'Afrique centrale et d'Afrique de l'Ouest se sont engagés à coopérer pour endiguer la multiplication des actes de piraterie dans le Golfe de Guinée, a-t-on appris mercredi de source officielle.

 

Les ministres de la Défense, des Affaires étrangères et de la Sécurité de ces pays se sont réunis mardi à Cotonou pour définir un plan de coopération qui sera soumis à leurs chefs d'Etat, indique un communiqué de la Communauté des Etats d'Afrique de l'ouest (Cédéao).

 

Ce plan prévoit la mise en place d'une base régionale pour lutter contre la piraterie, indique un autre communiqué de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cémac), qui ne précise cependant pas le lieu de cette base.

 

Il doit permettre une meilleure coopération face à la hausse alarmante des actes de piraterie le long des côtes des pays africains concernés, et plus particulièrement dans le Golfe de Guinée, au large du Nigeria et du Bénin voisin notamment.

 

Au Bénin, les actes de piraterie sont ainsi passés de un en 2010 à 44 en 2011, selon la Cédéao.

 

"Ce code de conduite est la nouvelle ligne juridique de notre collaboration pour mettre un terme à cette insécurité dans le Golfe de Guinée", a expliqué à l'AFP le ministre béninois des Affaires étrangères, Nassirou Arifari Bako.

 

La plupart des actes de piraterie dans le Golfe de Guinée vise les tankers pétroliers et leur précieuse marchandise, volée et ensuite revendue au marché noir.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 21:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/6f/Flag_of_the_Central_African_Republic.svg/450px-Flag_of_the_Central_African_Republic.svg.png

 

20 mars 2013 Romandie.com (AFP)

 

LIBREVILLE - La coalition rebelle centrafricaine du Séléka a annoncé mercredi qu'elle allait reprendre les armes après l'expiration de son ultimatum de 72 heures au président François Bozizé à qui elle demande le respect des accords de paix de Libreville du 11 janvier.

 

L'ultimatum est terminé. Nous allons retourner aux armes, a affirmé à l'AFP le colonel Djouma Narkoyo, un des chefs militaires rebelles, précisant toutefois que cela ne veut pas dire que nous allons attaquer maintenant ici ou là. On est sur (on étudie) la stratégie.

 

Le Séléka avait pris les armes le 10 décembre pour exiger l'application d'accords de paix précédents et notamment l'intégration dans l'armée d'anciens combattants.

 

Lors d'une offensive éclair, ils avaient mis en déroute les Forces armées centrafricaines (FACA) pour finalement s'arrêter aux portes de Bangui, la capitale, sous la pression internationale.

 

Les rebelles ont finalement signé le 11 janvier les accords de Libreville qui ont abouti à l'entrée de ministres issus de leurs rangs dans un gouvernement d'union nationale dirigé par un Premier ministre venu de l'opposition Nicolas Tiangaye.

 

L'accord prévoyait aussi la libération de tous les prisonniers de part et d'autre et le départ du pays des forces étrangères notamment sud-africaines appelées à la rescousse par le président Bozizé.

 

Mais une partie des rebelles sont mécontents de la manière dont sont appliqués ces accords et, depuis dimanche, des éléments du Séléka retiennent cinq ministres issus de la rébellion à Sibut, à 160 km au nord de Bangui.

 

Ils avaient donné 72 heures au président Bozizé pour libérer tous les prisonniers politiques, faire partir les forces étrangères et faire lever des barrages (policiers et de partisans du président) à Bangui.

 

C'est cet ultimatum qui expirait mercredi.

 

La France qui avait envoyé des soldats à Bangui pendant la crise demandé mercredi à toutes les parties de s'abstenir de tout recours à l'option militaire, qui n'aurait pour effet que de dégrader encore la situation sécuritaire et humanitaire.

 

Mais le colonel Narkoyo a répondu qu'il revenait au gouvernement de respecter les accords de paix.

 

Nous, on respecte les accords de Libreville. Nous demandons à la France de mettre la pression sur Bozizé et pas sur nous. C'est Bozizé qui peut amener la paix mais il amène la guerre.

 

Ce matin on a encore eu des informations selon lesquelles les FACA avaient encore arrêté des gens à Bangui, a--t-il ajouté.

 

Quant aux cinq ministres du Séléka, retenus à Sibut, M. Narkoyo a déclaré qu'ils n'ont plus leur mot à dire. Ils ont été au gouvernement, ils ont travaillé et rien n'a changé. C'est la base qui décidé, c'est le général Issa (Issaka) qui est le chef d'Etat-major qui dirige.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 19:45

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20.03.2013 Opérations

 

Le soutien pétrolier réalisé par le service des essences des armées (SEA) au profit de l’opération SERVAL a pour objet de garantir à la force son autonomie au combat, en déplacement et en stationnement, dans les phases de mise en place et d’engagement.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/p10108412/2234287-1-fre-FR/p1010841.jpg

 

Ce soutien n’est pas limité au territoire du Mali car la demande en produits pétroliers est globale, notamment sur les nombreuses plateformes aéronautiques, de la sous région ouest africaine étendue au territoire du Tchad. Dans les premiers instants, cela s’est traduit par la recherche de la ressource pour l’approvisionnement, la passation de contrats d’approvisionnement, le contrôle de qualité, le stockage, le transport et la distribution des carburants. Ceci était facilité par une très bonne connaissance du tissu industriel et pétrolier de la zone d’action par le SEA.

 

Les détachements du SEA pré positionnés ou en opération, en Côte d’Ivoire, au Tchad, au Sénégal, au Niger et au Gabon ont été les premiers sollicités et ont permis d’apporter une réponse rapide au besoin de soutien tous azimuts, dans un contexte de forte demande et dans un espace géographique étendu, où la ressource pétrolière est comptée. Renforcé ensuite par les moyens venus de France, le dispositif SEA a pu se mettre en place et consolider le soutien au plus loin de la BLIAT et au plus prêt des combats.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/dscn23902/2234292-1-fre-FR/dscn2390.jpg

 

Fort de cent personnes, d’une capacité de transport de plus de 1000m3 (une soixantaine de véhicules et remorques) et disposant d’une capacité de stockage de plus de 3000m3, le détachement SEA soutient le groupement aéromobile, la base aérienne projetée et la composante terrestre en coordination avec le bataillon logistique sur l’ensemble du théâtre.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/dscn23353/2234321-1-fre-FR/dscn2335.jpg

 

Les élongations et les volumes de flux de l’opération SERVAL ont incité la force à recourir au concept de carburant unique à plusieurs reprises afin de lui laisser sa liberté d’action dans un environnement ou le gasoil pouvait faire défaut.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/p10108202/2234326-1-fre-FR/p1010820.jpg

 

La polyvalence des personnels du SEA, sur l’ensemble du spectre des fonctions du soutien pétrolier, ainsi que son aptitude à opérer en zone hostile ont sans nul doute contribué aux premiers succès de la force SERVAL.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 19:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130320-serval-operation-doro-3/operation-serval-operation-doro-3/2233678-1-fre-FR/operation-serval-operation-doro-3.jpg

 

20 mars 2013 18h46 Romandie.com (AFP)

 

PARIS - Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a annoncé mercredi que le retrait des troupes françaises du Mali débuterait à partir de la fin du mois d'avril, et promis que tout serait fait pour libérer les otages français en Afrique.

 

Evoquant une réunion lundi prochain avec des personnalités de l'Assemblée nationale et du Sénat, M. Ayrault a précisé que cette rencontre permettrait de faire le point sur l'opération militaire conduite par la France au Mali, même si nos troupes vont commencer, à partir de la fin du mois d'avril, à rentrer.

 

Un débat aura lieu sur cette opération conformément à la Constitution, a ajouté le chef du gouvernement.

 

Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait évoqué dans un premier temps un début de retrait en mars du contingent français. Puis le président François Hollande avait promis une diminution du nombre des soldats à partir du mois d'avril.

 

Le gouvernement évoque donc désormais fin avril pour un début de désengagement de ses 4.000 soldats déployés dans le cadre de l'opération Serval.

 

Le Premier ministre a rendu à l'Assemblé un vibrant hommage à l'armée française engagée depuis le 11 janvier. Elle est notre honneur, la preuve que la France peut être à la hauteur de ses ambitions et je m'y engage, elle continuera à le faire partout où ce sera nécessaire.

 

Cinq soldats français ont péri dans des combats depuis le début de l'opération visant à chasser les groupes islamistes armés du nord du Mali.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 18:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130320-serval-operation-doro-3/operation-serval-operation-doro-33/2233688-3-fre-FR/operation-serval-operation-doro-3.jpg

 

20/03/2013 14:08 Sources : EMA - Opérations

 

Du 12 au 17 mars 2013, près de 460 militaires du GTIA 2 ont mené l’opération Doro 3 dans la région de Gao. Cette opération visait à neutraliser les groupes terroristes qui sévissent dans le secteur centre du Mali.

 

Les éléments français étaient répartis en deux SGTIA VBCI et appuyés par des éléments du génie, de l’artillerie et du groupement aéromobile (GAM). Ils se sont déployés dans la région de Goram, à 30 Km au Nord-Est de Djebok. A plusieurs reprises au cours de leur progression, ils ont essuyé des actions de harcèlement  (pièges et prises à partie à courte et moyenne portée) de la part des groupes terroristes.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130320-serval-operation-doro-3/operation-serval-operation-doro-32/2233683-2-fre-FR/operation-serval-operation-doro-3.jpg

 

L’action combinée des éléments déployés, des canons CAESAR et des hélicoptères d’attaque du GAM a permis de réduire les résistances et de poursuivre la mission. Ainsi, ce sont près d’une quinzaine de terroristes qui ont été neutralisés et 8 Pick Up et 1 motocyclette détruits. Au cours des fouilles dans les villages d’In Zekouan, Teurteli et Temuy, les soldats français et maliens ont trouvé de l’armement lourd (2 affûts de 14,5mm et 1 PKM) ainsi que des munitions.

 

L’opération Doro, menée régulièrement par les forces françaises, maliennes et africaines, dans la région de Gao, a pour objectif de sécuriser le terrain, de rechercher et de détruire les groupes terroristes qui continuent cherchent à instaurer un climat d’insécurité.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130320-serval-operation-doro-3/operation-serval-operation-doro-3/2233678-1-fre-FR/operation-serval-operation-doro-3.jpg

Lors de l'opération Doro 3, près d’une quinzaine de terroristes ont été neutralisés et 8 Pick Up et 1 motocyclette ont été détruits.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 13:45

Tessalit and the Adrar des Ifoghas mountains source BBC

 

March 20, 2013: Strategy Page

 

One reason French troops are staying longer in northern Mali has to do with what intelligence analysts found among all the captured documents and interviews with terrorists and civilians up there. The analysts discovered that al Qaeda (AQIM, or al Qaeda in the Maghreb, which is what Arabs call North Africa) and the two other Islamic terror groups (Ansar Dine and MUJWA) in the area had different goals and types of members. Ansar Dine is composed largely of Tuaregs while MUJWA (Movement for Oneness and Jihad in West Africa) MUJWA is unique because its leadership is black African. There has long been a lot of tension between Arabs and black Africans. The Arabs disdain the blacks and that causes a lot of tension and resentment. MUJWA is an AQIM splinter group striving to show they can be more extreme and effective than the Arab dominated al Qaeda.

 

Before the French move north Ansar Dine offered to work with the Mali government to destroy al Qaeda control of the north in return for autonomy for the Tuareg tribes that predominate up there and the continued use of Sharia (Islamic) law. The southerners are willing to discuss the former but are hostile to the latter. Meanwhile Ansar Dine and their less religious Tuareg allies found that they lacked the firepower to prevent AQIM and MUJWA from calling all the shots in northern Mali.

 

When the French moved north in January there were about 3,000 armed Islamic terrorists in the north, but only a third of them were terrorist veterans. The rest were recent recruits. About half of these recruits were from northern Mali and were in it mainly for the money (although for some, religion was the main draw.) The other thousand were mostly Africans from countries like Nigeria, Togo, Tunisia, Burkina Faso, Somalia, Mauritania and Niger. There were several hundred from North Africa (mainly Algeria and Libya) and other Middle Eastern nations, as well as Europe and North America. France was aware that al Qaeda was calling for new recruits from all over the world. France had informants inside their own Moslem community who reported that this was happening, and a growing number of young men were quietly leaving home for parts unknown. Now the French know where some of those terrorist recruits were headed. Some died in northern Mali, but others, more ominously, got away. French intelligence has collected names, but they realize that some of the French recruits were unidentified and if they go back to France they could form terrorist cells and do some damage. It’s the same with all the new recruits that got away and had no past record of being Islamic terrorists.

 

AQIM was already running training programs when the French invaded and were rapidly expanding that. The plan was to train thousands of new recruits a year and show them how to set up terrorist cells back home and operate, and communicate, without getting caught.  French intelligence also discovered the extent of the AQIM bases in northwest Mali near the Algerian border. Also discovered was how AQIM, Ansar Dine and MUJWA had made lots of money in the past decade via kidnapping, drug smuggling and extortion. The French got some leads on who worked with the terrorists on these money-making endeavors and where some of the cash was.

 

France now has troops, especially commandos, up near the Algerian border going after these older terrorist bases. Counter-terrorism organizations worldwide are now getting leads to work on, but France wants other Western nations to send specialists (especially commandos and air recon forces) to Mali to help shut down the terrorists in northern Mali before these guys can flee or hide in plain sight. This is the case with the Tuareg and black African terrorists. These guys can pay for some help, as a little cash goes a long way in poverty stricken northern Mali. But it takes time to set those things up and the French believe most of their hot leads will have grown cold by the end of April.

 

The French are trying to organize a Western staffed quick reaction and intelligence force for northern Mali, to detect and stomp on any al Qaeda revival up there. Western UAVs and intelligence aircraft can be a big help with that. Western special operations troops, assisted by some locals, can quickly exploit any leads. It may take a year or two to make Islamic terrorists understand that northern Mali is no longer the kind of place they want to be.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 13:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130315-cote-d-ivoire-formation-du-bataillon-logistique-de-la-misma/dio-rci-batlog-1/2233351-1-fre-FR/dio-rci-batlog-1.jpg

 

20/03/2013 Sources : EMA

 

Du 11 au 15 mars, 18 militaires de l’escadron Alpha de la force Licorne ont mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit de 62 stagiaires des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) sur le camp militaire ivoirien d’Akouédo sud. Ce DIO, le troisième du genre depuis le début du mois de mars 2013, a pour objectif de participer à la formation de l’état-major et de la compagnie de transport du Bataillon Logistique (BATLOG) qui sera projeté au Mali dans le cadre de la Mission Internationale de Soutien au Mali (MISMA).

 

Tout au long de la semaine, les participants ont reçu une formation élémentaire de type PACK VITAL composée de cours théoriques, de mises en situation et d’exercices pratiques. L’instruction a notamment porté sur les domaines du combat (réaction face à une embuscade), de la logistique (constitution et déplacement d’un convoi) et du génie (lutte contre les IED). Une séance de tir et un atelier sur les transmissions  ont complété une semaine de formation particulièrement  riche.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130315-cote-d-ivoire-formation-du-bataillon-logistique-de-la-misma/dio-rci-batlog-2/2233346-1-fre-FR/dio-rci-batlog-2.jpg

 

Au total, ce sont près de 200 soldats du BATLOG ivoirien qui ont été formés par la force Licorne. Début avril, un exercice synthèse de grande ampleur clôturera ce cycle de formations. Organisé conjointement par les FRCI et la force Licorne, il permettra aux stagiaires ayant suivi ces DIO de restituer l’ensemble des connaissances et qualifications apprises avant leur projection au Mali.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130315-cote-d-ivoire-formation-du-bataillon-logistique-de-la-misma/dio-rci-batlog-3/2233356-1-fre-FR/dio-rci-batlog-3.jpg

 

Dans le cadre de sa mission de soutien à la modernisation de l’armée ivoirienne, la force Licorne ainsi que les Eléments Français au Sénégal conduisent régulièrement des DIO au profit des FRCI dans des domaines aussi variés que la navigation nautique, la formation à l’exercice de l’autorité, le tir de combat (IST/C), l’éducation sportive (EPMS) ou encore la tactique.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 12:45

rooivalk9-aircraft.jpg

Rooivalk helicopter

 

20 March 2013 airforce-technology.com

 

Denel Aviation has handed over the final domestically manufactured Rooivalk combat support helicopter under contract to the South African Air Force (SAAF).

 

Speaking during the handover ceremony, Denel Aviation CEO Mike Kgobe said acceptance of the last helicopter represents culmination of a 26 year partnership between the air force and the company.

 

As part of an agreement signed with the air force, the company will also ensure operational readiness of the Rooivalk fleet through provision of on-going maintenance and repair services, as well as continued airworthiness engineering support.

 

Kgobe said: "This is a win-win situation for both Denel and the SAAF which results in the retention of high-level critical skills, a focused service delivery and cost effectiveness for the SAAF."

 

A total of 12 Block 1F upgraded Rooivalk helicopters were initially ordered by the air force as part of an R876m ($95.1m) deal from Denel, but the order was reduced to 11 following an accident.

 

Designated the Rooivalk Mk 1 in SAAF service, the helicopters will be used to conduct peacekeeping operations and in support of future deployment of South African soldiers.

 

The 16 Squadron, based at Bloemspruit Air Force Base near Bloemfontein, South Africa, has been operating the aircraft since April 2011.

 

A derivative of Aerospatiale SA 330 Puma helicopter, the Rooivalk is designed to carry out a wide range of operations, including reconnaissance, heliborne escort, close air support, deep penetration and anti-armour, as well as ground suppression and ferry missions in the battlefield.

 

Powered by two Turbomeca Makila 1K2 turboshaft engines, the Block 1F helicopter can carry various weapons depending on the mission requirement and features improved targeting systems and other avionics that enable use of Mokopa ZT-6 anti-tank guided missile (ATGM).

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 23:21

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130318-mali-breve-point-de-situation-du-18-mars/doro-2/2230928-1-fre-FR/doro-2.jpg

La France envisage d'entamer le retrait de ses soldats du Mali à partir du mois d'avril.

 

19 mars, 2013 - 20:42 GMT BBC Africa

 

La France a organisé mardi une conférence pour débattre du développement du Mali, deux mois après y avoir déployé des troupes pour lutter contre des militants islamistes dans le nord du pays.

 

Des responsables maliens et français se sont rencontrés à Lyon, dans le sud-est de la France, pour discuter des moyens pour garantir une stabilité durable du Mali et éviter de nouvelles attaques islamistes.

 

Au moment où la France se prépare à débuter le retrait de ses troupes, les participants ont indiqué que l’amélioration des conditions de vie de la population est une priorité.

 

Des combats sont toujours signalés dans le nord du Mali même si l’intervention des forces françaises aux côtés des troupes maliennes, tchadiennes et d’autres pays africains a permis de reprendre le contrôle des principales villes de la région des mains des islamistes.

 

Selon l’envoyé spécial de BBC Afrique à la conférence de Lyon, Mamadou Moussa Ba, la France est disposée à soutenir les institutions maliennes et a réuni à cet effet les autorités et les élus locaux du pays.

 

Le ministre français du développement, Pascal Canfin, a déclaré que la priorité sera consacrée aux projets visant à améliorer les conditions de vie de la population dans les secteurs de la santé, du développement rural et de l’accès à l’eau notamment.

 

Selon Monsieur Canfin, l’accent doit être mis sur la coopération avec les collectivités locales maliennes car "au Mali, une ville sur trois a une coopération décentralisée, un partenariat, une action de développement avec une ville française," a-t-il déclaré à la BBC.

 

La France envisage de commencer à retirer ses soldats du Mali à partir du mois d'avril.

 

Plusieurs pays ouest-africains ont déployé des contingents au Mali et ceux-ci devraient prendre le relai des forces françaises, probablement sous la bannière de l’ONU dont une mission fait l’objet de débat au conseil de sécurité.

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 23:17

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/02/01/2565723248.jpg

 

19.03.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Au cours de la semaine écoulée, les opérations se sont poursuivies à l'est de Gao où plusieurs groupes du MUJAO continuent de harceler les troupes franco-maliennes. Côté français, le GTIA2 et ses VBCI opèrent dans un environnement humain et géographique "plus compliqué que dans les Ifoghas".

 

Dans son dernier point de situation, l'EMA précise que "dans la région de Gao et plus particulièrement dans la zone de Djebok, les éléments du GTIA 2 engagés depuis le 12 mars dans l’opération Doro, ont fait face au harcèlement des groupes terroristes le long de leur axe de progression. Pris à partie sporadiquement par des tirs à courte et moyenne portée, le GTIA 2 a neutralisé une quinzaine de terroristes et 8 pick up avec l’appui combiné des moyens terrestres et aéroterrestres (GAM et VBCI). Il a également décelé et neutralisé plusieurs IED et a saisi une quantité importante d’armes (2 affûts de 14,5mm et PKM notamment) ainsi que des munitions."

 

L'EMA confirme aussi des tirs, signalés par des journalistes sur place, "dans la nuit du 17 au 18 mars, plusieurs détonations ont été entendues au nord de Gao. Le GTIA 2 a mené une mission de reconnaissance qui lui a permis de détruire 4 tubes de lancement de roquettes 122mm."

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 18:45

Europe Flag

 

Brussels, 19 March 2013 European Union - A 149/13

 

Today the EU has decided to provide additional support of €33 million to the African Union Mission in Somalia (AMISOM), which plays an essential role in securing the country on its path towards lasting peace, prosperity and stability.

 

The renewed EU support will allow AMISOM to continue to fulfil its mandate and to reach its total strength of 17,731 troops as authorised by the UN. The EU’s support covers costs such as troop allowances, costs of the police and civilian component of the mission, and operational costs of the mission headquarters in Nairobi, Kenya.

 

High Representative Vice President Catherine Ashton said: "Supporting AMISOM is a key element of the EU's comprehensive approach to Somalia, assuring the security necessary for the Federal Government of Somalia to provide governance, re-establish the rule of law and provide basic social services to the people. AMISOM will remain important as Somalia , with support from the EU and other partners, develops its capabilities and assumes responsibility for its own security. Following the appointment of the new President and government last August, the EU remains committed to supporting Somalia further develop its new political order. This includes finalising the Constitution in the run up to future general elections."

 

Andris Piebalgs, EU Commissioner for Development said: "AMISOM continues to play a critical role in establishing a safer and more secure environment in Somalia to the benefit of the Somali people and the development of the country as a whole. The EU is committed to continue its support to Somalia to help Somalis to overcome the remaining challenges not only in the field of peace and security but also for example by improving food security, strengthening the rule of law and creating better schools for children".

 

This new funding amounts to €33 million and brings the overall EU contribution to over €444 million since 2007. Since late 2011, substantial progress has been a chieved, as AMISOM, the Somali National Security Forces and troops aligned to the Somali Government have regained control of most of the capital of Mogadishu and other parts of the country.

 

Background

 

AMISOM is an African Union-led mission, mandated by the UN Security Council. Its initial mandate includes the provision of support to dialogue and reconciliation in Somalia, the protection  of key infrastructure (e.g. government buildings and Mogadishu International Airport) to enable the Transitional Federal Institutions (TFIs) - whose mandate expired in August 2012 when the Federal Government of Somalia was established to carry out their functions. The mandate also includes support to the implementation of the National Security and Stabilisation plan, and to disarmament and stabilisation efforts, as well as the facilitation of humanitarian operations.

 

Since its beginning, the EU has been one of the main funders of the operation, both through the African Peace Facility (APF), which is the EU's main instrument to support Peace and Security in Africa, and through bilateral contributions of its Member States. The EU trains Somalia's national security forces through its Training Mission (EUTM Somalia) und er its Common Security and Defence Policy (CSDP). Through this mission, the EU aims to help develop Somalia's security sector to ultimately hand over security responsibility to Somalis.

 

The mission is also contributing to the Africa-EU partnership on peace and security of the Joint Africa-EU Strategy (JAES). The strategy, adopted at the Lisbon Summit in December 2007, remains the overarching policy framework for EU-Africa relations. The JAES puts EU-Africa relations on a new footing, based on the pursuit of shared values and common interests. Both sides are determined to strengthen their cooperation as equal partners, based on this shared long-term vision for EU-Africa relations in a globalised world.

 

EU development aid to Somalia

 

European development cooperation in Somalia is designed to put in place minimum conditions for a functioning state, peace and security, as well as to provide basic services to the population. TheEU’s efforts already achieved substantial results, such as:

•In education: more than 30.000 students gained access to primary and secondary education and 4.000 teachers were trained.

•In water and sanitation: ongoing projects aim to provide access to safe water for up to 70.000 people and over 80.000 with basic sanitation.

 

For the period 2008-2013, the EU is allocating approximately €412 million to development projects in Somalia:

•Governance (including support to institution building, reconciliation, rule of law, human rights and support to Somali civil society).

•Education and the social sector (including primary and secondary education, adult literacy and teacher and vocational training). Funding also goes to improving a ccess to safe water in urban and rural areas.

•Economic development, including support to the livestock and agriculture sector and to improve food security; mainly through the distribution of seeds and fertilisers, as well as cash transfer systems. This is complemented by EU funded projects on maritime security, water resources management and de-mining in the liberated areas (€102 million).

 

1) For more informationEU relations with Somalia:http://eeas.europa.eu/somalia/index_en.htm

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 17:45

http://assets.digital.cabinet-office.gov.uk/government/uploads/system/uploads/image_data/file/7407/s300_Kenya_Patrollingg.jpg

Soldiers on patrol in the Kenyan savannah during

Exercise Ascari Thunder 5 [Picture: Crown copyright]

 

19 March 2013 Ministry of Defence

 

C Squadron of 1st The Queen's Dragoon Guards (QDG) have recently returned from Kenya where they provided the enemy force for Exercise Ascari Thunder 5.

 

The QDG last deployed to British Army Training Unit Kenya (BATUK) in 1997, with the focus of BATUK having been more on training light infantry battle groups as opposed to the armoured battle groups which the QDG have been part of over recent years.

 

C Squadron is made up not just of QDG soldiers but also includes Reconnaissance Platoon from 1st Battalion The Princess of Wales’s Royal Regiment, which forms one of the troops within the squadron.

 

Deploying in mid-February at the height of the Kenyan summer to the Archer’s Post training area and Laikipia Plateau gave C Squadron the perfect opportunity to not only help train and test soldiers from the 1st Battalion The Yorkshire Regiment (1 YORKS) Battle Group, but to also conduct low-level training of their own over a 6-week period.

 

Some members of C Squadron had experience serving as part of the Brigade Reconnaissance Force on Operation Herrick 15 in Afghanistan, but a significant proportion were new and fresh out of training, with Exercise Ascari Thunder their first experience of a regimental exercise.

Soldiers taking part in Exercise Ascari Thunder 5
Soldiers taking part in Exercise Ascari Thunder 5 are briefed on that day's training scenario [Picture: Crown copyright]

Major Johnny Hanlon explained:

Kenya gave us the ideal opportunity to gel together as a squadron, fighting a live, thinking enemy that was considerably larger than our squadron; frequently we relied on cunning manoeuvre tactics to ensure we gave the 1 YORKS Battle Group a real run for its money. 

 

Exercise Ascari Thunder allowed us the opportunity to really develop our basic skills, concentrating initially at troop-level before bringing everything together as a squadron in a quite unique environment. It provides us with a solid foundation from which to build on in the training year ahead.

The Kenyan savannah was a unique and impressive environment for the troops to train in, with the QDG soldiers switching between mounted and dismounted combat and from offensive to defensive actions in order to give the 1 YORKS Battle Group a varied training scenario.

Soldiers taking part in rock climbing activities
Soldiers taking part in rock climbing activities [Picture: Crown copyright]

Although a controlled training environment, there was a degree of inter-regimental rivalry and the QDG developed a reputation as a tough adversary.

 

Trooper Chris Evans said:

We wore Swiss camouflage uniforms and moved as a squadron or troop around the savannah harassing and attacking the training troops during their exercises. We also carried out our own troop-level training in the savannah, conducting basic low-level drills and putting them into practice.

A particular highlight of the Kenyan training environment for the soldiers was the proximity of the wildlife throughout the exercise.

 

Trooper Evans continued:

As lead man of the troop after a night ambush I got a little too close to a leopard, which sounded ready to attack! A quick flash of light from the man behind me in the general area of the animal scared it off; needless to say it was a bit of a shock.

 

Later on, during a night exercise, our 5-man patrol was stalked for a good 15 minutes. Only until we stopped and monitored its movements did it realise we weren’t food and pulled back.

 

The best part of the whole experience was definitely getting so close to the wildlife; it was at times literally in front of your face!

A soldier scaling a rock face
A soldier scaling a rock face during downtime in Kenya [Picture: Crown copyright]

For others it was the excellent adventurous training activities that were being offered by BATUK in Kenya after the exercise that were the highlight.

Trooper Luke ‘Gwatch’ Gercio said:

I really enjoyed the rock climbing and boat safari; the terrain was so different from the UK and the wildlife was incredible. I will definitely be telling my civilian friends all about my experience.

C Squadron and their attachments have now returned to their base in Sennelager in Germany and are currently conducting live firing training as part of both mounted and dismounted close combat prior to the regiment’s deployment to British Army Training Unit Suffield in Canada.

 

The QDG are part of 20th Armoured Brigade and are due to rerole to ‘Light Cavalry’ and move to Swanton Morley in Norfolk as part of the Army 2020 restructuring programme.

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 17:45

Tuareg Rebels

 

18 March 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) has appealed for new recruits from North African Arab countries in its fight against what it said was France's Crusader campaign in Mali, a US-based intelligence monitoring website reported.

 

SITE said the appeal was posted on websites used by AQIM on Saturday urging Islamist militants being pursued by their governments to join its fighters battling French-led forces in Mali or Algeria, Reuters said.

 

France launched a ground and air operation in Mali in January to break Islamist rebels' hold on the region saying the militants posed a risk to the security of West Africa and Europe.

 

“The front of the Islamic Maghreb today is in direst need of the support of the sons of Tunisia, Morocco, Libya and Mauritania to thwart the attack of Crusader France and defeat its agents in the region and empower the Islamic project,” AQIM said, according to a translation of the statement emailed by SITE.

 

AQIM also said that if Islamist youths in North Africa could have a greater impact in their own countries they should stay to fight secularism and push for the imposition of sharia-based rule.

 

France’s offensive has wrested northern Mali from Islamist occupation and killed scores of fighters. Other rebels have retreated into mountain caves and desert hiding places stocked with arms and supplies.

 

The Algerian army in January killed at least 32 al-Qaeda- linked militants in an assault to end a siege at a desert gas plant in which 23 hostages were killed, many of them foreigners.

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 12:45

 

 

19 mars 2013 FORCESFRANCAISES

 

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