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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 23:00

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archives - photo EMA

 

13 février 2013 10h17 Romandie.com (AFP)

 

GAO (Mali) - L'armée française a désamorcé mercredi matin une bombe artisanale composée de 600 kilos d'explosifs dans le centre de Gao, la grande ville du nord du Mali, a constaté un journaliste de l'AFP.

 

Posé dans la cour d une maison abandonnée, au vu et au su de tous, l'engin, composé de quatre fûts métalliques remplis d'explosifs d'où dépassaient des fils pour la détonnation, se trouvait non loin d'un hôtel ou logent des dizaines de journalistes étrangers. Des cartouches de mitrailleuse lourde traînaient également sur le sol de la cour, ainsi que quelques obus à l'intérieur de la maison.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 22:00

http://www.45enord.ca/wp-content/uploads/2013/02/130213-amadousanogo-africa-presseAmadou-Sanogo1.jpg

Le chef des putschistes maliens à la tête d’un comité

de réforme de l’Armée (Africapresse)

 

13/02/2013 par Jacques N. Godbout  - 45enord.ca

 

Le capitaine Amadou Haya Sanogo, chef des putschistes qui ont renversé en mars 2012 le président malien Amadou Toumani Touré, a été officiellement investi mercredi à la tête d’un comité de réforme de l’armée.

 

Il avait été nommé à ce poste mais n’avait pas encore été officiellement investi.

 

Le capitaine Sanogo a donc été investi ce mercredi 13 janvier en tant que président du “Comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité” lors d’une cérémonie au siège de la présidence, à Koulouba (près de Bamako), en présence du président par intérim Dioncounda Traoré, du premier ministre Diango Cissoko et de plusieurs chefs militaires maliens, tous, ironie du sort, des gens qui lui doivent leur poste.

 

Le coup d’Etat du 22 mars 2012, en plongeant le pays dans le chaos, avait précipité la chute du nord du Mali aux mains de groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda.

 

En perte de vitesse depuis le début de l’opération Serval et la reconquête d’un Nord-Mali, le capitaine Amadou Haya Sanogo devrait donc continuer à jouer un rôle après la période de transition, selon la revue Jeune Afrique, qui se demande si celui qui se compare en privé au général De Gaulle se contentera des honneurs qui lui seront faits – avec les prébendes qui vont avec, ou voudra un rôle important dans la transition.

 

Pendant ce temps, l’arrivée des casques bleus de la Misma se précise. Le Conseil de sécurité des Nations unies devrait parvenir d’ici deux à trois semaines à un accord sur le déploiement d’environ 6 000 casques bleus, a déclaré hier, mardi 12 février, le secrétaire général adjoint des Nations unies aux opérations de maintien de la paix Hervé Ladsous.

 

Les casques bleus de l’ONU devraient donc être déployées avant les élections prévues au plus tard le 31 juillet et censées rétablir l’ordre constitutionnel après le coup d’Etat militaire de mars 2012. Les casques bleus déployés au Mali pourraient être environ 6 000.

 

Mais les autorités maliennes, encore sous l’influence des putschistes qui avaient renversés le président Touré, se montrent réticentes.Le déploiement d’une force de maintien de la paix de l’ONU nécessite une résolution du Conseil de sécurité mais aussi l’accord des autorités maliennes.

 

Par ailleurs, une cache d’explosifs a été découverte ce matin à Gao.L’armée française a découvert dans le centre-ville de Gao un dépôt d’explosifs et de munitions appartenant au Mujao (Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest), contenant 300 à 400 kilos d’explosifs, notamment des obus, qui auraient pu être utilisés pour des opérations kamikazes menées par les djihadistes.

 

Les forces française et africaines restent vigilantes alors que Gao, la plus grande ville du nord du Mali, a été ces derniers jours le théâtre de violences de la part des groupes islamistes armés qui ont réussi à s’y infiltrer et promis d’y rester pour mener le combat.

 

 

Mali : Gao craint l’infiltration de djihadistes (source: Al-Qarra TV)

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 19:50

EUTM Mali

 

13.02.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Après deux (autres) jours de palabres à Dublin, lors d'une nouvelle conférence de génération de forces, va-t-on y voir un peu plus clair dans les contributions des uns et (de quelques-uns) des autres au profit de la mission européenne de formation de l'armée malienne (EUTM Mali)?

 

Je rappelle que vendredi 8 février, un élément précurseur est arrivé composé d'une soixantaine de Français et de dix militaires issus des armées belge, suédoise, allemande, britannique, espagnole et roumaine. Un détachement aux ordres d'un colonel (Bruno Heluin), soit 5 galons pleins pour 70 hommes. Je comprends que l'on mette un général pour moins de 500 hommes (dont 200 formateurs).

 

Ce mercredi, les gouvernements devaient préciser leurs généreuses contributions puis patienter un peu avant de les annoncer officiellement. Pour l'heure, le relevé des compteurs indique: 8 Irlandais (au-delà de 12, il fallait un vote du Parlement), 18 Britanniques, 10 Roumains, 4 Bulgares, 30+ Tchéques (qui pourraient aussi contribuer à la Force Protection), une poignée de Hongrois et d'Autrichiens dans le soutien médical, peut-être jusqu'à 80 Allemands. On attend qu'Espagnols, Britanniques, Belges etc communiquent; ce qui saurait tarder.

 

Et les trous? La France les bouchera...

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:45

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13 February 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Canada is unlikely to commit troops to the French-led campaign against Islamist rebels in Mali because it is threatening to become a counter-insurgency operation.

 

Last month Ottawa extended the loan of a C-17 military cargo plane to the French operations in Mali until February 15, while making clear it had no plans to contribute soldiers.

 

"I am very cautious about sending in potentially thousands of Canadian troops to Malian soil ... to what is already is amounting to a counter-insurgency. We're not at the drop of a hat going to get into another Afghanistan," Baird told a parliamentary committee, Reuters reports.

 

Canada's appetite for military intervention is low following 10 years of military involvement in Afghanistan, ending in 2011, during which 158 soldiers were killed. Canada stayed out of the U.S.-led invasion of Iraq in 2003.

 

Baird also laughed off the suggestion that Canada could eventually provide troops to serve as peacekeepers.

 

"On one side we have a military government that took power in a coup last year and on the other side an al Qaeda affiliate. I don't think they're going to sign on for a peacekeeping mission," Baird said.

 

"It's very much going to be an insurgency on the ground like we've seen in Iraq and like we've seen in Afghanistan."

 

Rather than sending in troops Canada could support West African regional group ECOWAS, the United Nations and Mali's neighbors, Baird said. He did not give details.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:45

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13 February 2013 defenceWeb

 

Buoyed by the success of its Western Cape recruitment drive, the South African National Defence Force (SANDF) Reserve Force next month aims at Gauteng tertiary institutions for its next intake of University Reserve Training Programme (URTP) volunteers.

 

The universities of Johannesburg and Pretoria as well as the Tshwane University of Technology will be called on by Reserve Force recruiting officers on March 5, 6 and 7.

 

They will give students an overview of the Reserve Force, its importance as a component of the full-time force as well present specific opportunities for trainee Reserve Force officers in five different SA Army formations. These are artillery, air defence artillery, armour, intelligence and signals.

 

The visit to the University of Pretoria will be the second and follows a successful recruitment drive among engineering faculty students last year.

 

In December 94 students from three Western Cape tertiary institutions successfully completed basic military training, conducted in eight modules, and will this year start with officer formative training.

 

Students who volunteer during the Gauteng recruitment round will follow the same route and should, by year-end, also be able to invite family and friends to their passing out parade signalling the start of a military career that will complement their civilian careers.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:45

Shaldag_fast_patrol_boat.jpg

 

13 February 2013 defenceWeb

 

The Nigerian Navy has commissioned into service three OCEA and two Shaldag patrol boats during a ceremony at Western Naval Command Headquarters in Lagos.

 

P 175 patrouilleur Ocea pour le Nigéria photo Bernard Prez

 

The three OCEA FPB 72 Mk 2 vessels are 24 metre long coastal patrol craft with a top speed of more than 30 knots. The first commenced sea trials in March last year and all three were delivered in late September.

 

On September 4, 2012, Israel Shipyards announced that two new Shaldag Mk II Fast Patrol Craft were on their way to “an African customer for delivery to the local Navy.” This almost certainly was Nigeria.

 

During the commissioning ceremony on Monday, Minister of Finance Ngozi Okonjo-Iweala said the vessels would be used to combat oil theft and other crime on Nigeria’s waterways. She is quoted by This Day as saying the government procured the boats because Nigeria relies heavily on resources from its maritime domain.

 

“I am personally delighted at what has been achieved [by the Nigerian Navy] and I urge them to continue to work hard so that we can see results,” Okonjo-Iweala said. “With the acquisition, it is to show that the president is totally behind the Armed Forces.”

 

The Minister of State for Defence, Dr Olusola Obada, was quoted by the Voice of Nigeria as saying the commissioning was another milestone in the Nigerian Navy’s history. “I am aware of the constraints militating against the Nigerian Navy's efforts to optimally discharge its statutory duties, especially in the security of the maritime domain. It is however gladdening to note that in spite of existing challenges, the Nigerian Navy has continued to do its best in safe-guarding the nation's maritime assets,” Obada stated.

 

The Chief of Naval Staff Vice Admiral Dele Ezeoba said the Navy required at least 40 such patrol boats to effectively deal with maritime crime like sea robbery, piracy and oil theft. “Though the boats are small, they are fast. They are designed for security tasks such as interdiction, anti-smuggling, anti-illegal bunkering, sea robbery and piracy.”

 

Ezeoba noted that eleven officers and 48 ratings have been trained to man and maintain the boats.

 

The Shaldag design is in service with the Israeli Navy and other customers in Europe, Asia and Africa. It was developed and built by Israel Shipyards Ltd in the late 1980s but upgraded over the years based on combat experience. The type is powered by two diesel engines driving two water jets, which give an acceleration time to 40 knots of 40 seconds. The Shaldag Mk II has a length of 24.8 metres, a displacement of 58 tons and a range of 650 nautical miles.

 

Standard equipment on most Shaldag versions includes an X-band surveillance/navigation radar and electro-optical sensor system for day and night surveillance. A number of armament options are available, including fore and aft deck guns, and heavy machineguns on the fly bridge. The guns can be remotely controlled (such as the 23/25 mm Typhoon and 12.7/7.62 mm Mini-Typhoon) or manually operated weapons. In addition, a 20-23 mm naval gun can be mounted on the rear gun mount or four to eight short range missiles can be carried.

 

The Nigerian Navy received at least two Shaldag Mk IIs in June 2009. It is undergoing major expansion, with new boats being built locally and overseas. In October last year, China’s Wuchan Shipyard began construction of the first of two P18N offshore patrol vessels for the Nigerian Navy. These vessels are 95 metres long and are being built by China Shipbuilding and Offshore International Limited, the trade arm of China Shipbuilding Industry Corporation (CSIC). They will be delivered in around three years’ time and will be partly built in Nigeria.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/sam_0356/2171970-1-fre-FR/sam_0356.jpg

 

13 February 2013 by defenceWeb

 

Since January, a detachment of Harfang unmanned aerial vehicles (UAVs) has been engaged in Operation Serval, France’s intervention in Mali, where they joined dozens of French air assets, from maritime patrol aircraft to tankers.

 

Last week the French Ministry of Defence (MoD) said that the Harfangs carried out their first operational missions over Mali on January 18. The aircraft are flown by Squadron 1/33 ‘Belfort’ from neighbouring Niger, with two being based in Niamey. It was under the eye of the Harfang that the cities of Douentza and Gao were taken over from Islamist militants. They were also overhead when French paratroops landed in Timbuktu.

 

Hargfang pic12 source FB Armee de l Air

 

The EADS Harfang (based on the IAI Heron) medium altitude long endurance (MALE) UAV has an endurance of over 20 hours – one flew for 26 hours between January 25 and 26. After Afghanistan and Libya, the Sahel desert is the third theatre to which the unarmed Harfang has been deployed.

 

The French MoD said the aircraft cooperate with Air Force and Navy aircraft operating over Malian territory. France has a wide variety of air assets operating in support of Operation Serval. From its base in Ndjamena, Chad, it has six Rafale and three Mirage 2000D fighters, five C-135FRs tankers, one A310, one C-130 Hercules, three C-160 Transal and one CN235 transport aircraft.

 

Based in Mali’s capital Bamako are two Mirage F1CR and three Mirage 2000D fighters and eight Gazelle, four Super Puma and three Tiger helicopters. Five French Navy Atlantique II maritime patrol aircraft are based in Dakar, Senegal. France has also charted aircraft, including An-124, An-225 and Il-76 transports.

 

The French Ministry of Defence on February 4 said that since January 31, French aircraft had flown more than 135 missions over Mali, including 30 reconnaissance flights, and destroyed 25 targets from logistics depots to training centres. Fighter aircraft and attack helicopters were used for these strikes.

 

Apart from French air assets, a large number of foreign aircraft have been contributed to the intervention force. Nigeria is the only other country to have committed combat aircraft, deploying two Alpha Jets (NAF 455 and NAF 452) to neighbouring Niger on January 18, followed by two Mi-35 attack helicopters. Nigerian Air Force C-130s are being used to airlift equipment and soldiers to Mali as part of the ECOWAS (Economic Community of West African States) contingent (Nigeria has pledged 900 troops out of 3 300 mandated to be sent).

 

The United States has been supporting French operations with five C-17 Globemaster III strategic transports, three KC-135 tankers and unarmed RQ-1 and RQ-4 unmanned aerial vehicles. The US may also be flying armed MQ-1 Predators over Mali.

 

The US Air Force (USAF) said that between January 21, when the US airlift effort began, and February 3, its C-17s had flown 30 flights transporting 610 personnel and 1 675 000 lb (760 tons) of equipment and supplies. Since aerial refuelling began on January 27, the USAF flew nine missions and offloaded 360 000 lb (163 000 kg) of fuel to French aircraft.

 

Canada has contributed a C-17 Globemaster III transport, which arrived in Mali on January 17 carrying French military hardware. In Europe, Belgium has offered two C-130 Hercules and two A109 medevac helicopters as well as 75 soldiers.

 

The Netherlands pledged to provide transport aircraft and on February 7 dispatched a KDC-10 from Eindhoven air base to pick up supplies in France before delivering them to Ndjamena, which is the French logistics hub for Operation Serval.

 

Germany has sent two C-160 Transal aircraft to support ECOWAS. On February 8 the Bundeswehr announced that the Luftwaffe had flown 48 C-160D flights that transported 337 personnel and 92 tons of materiel in support of the International Support Mission in Mali (AFISMA).

 

The Italian Air force is sending two C-130J Super Hercules and a KC-767A tanker, which will refuel French combat aircraft. A Danish C-130J-30 Super Hercules departed for Mali on January 15 while a Spanish C-130 left for Bamako on February 1, transporting men and materiel to Mali.

 

Elsewhere, Sweden has given France use of its share of the NATO Strategic Airlift Capability, dispatching a C-17 aircraft to France, and the United Arab Emirates (UAE) has offered two of its C-17s to assist France transporting men and materiel to Mali.

 

The Royal Air Force has contributed three aircraft, starting with a C-17 that flew into Bamako on January 14, delivering equipment for the French Army. A second RAF C-17 left Paris for Mali on January 15. The two airlifters are providing non-combat logistics support. The UK last month extended its commitment to Mali by committing one of its C-17s to Operational Serval by three months.

 

On January 25 a Royal Air Force Sentinel surveillance aircraft deployed to Dakar, Senegal, from RAF Waddington. Around 20 British personnel are deployed in Mali’s capital Bamako in support of French forces.

 

France commenced military operations in Mali on January 11, with the goal of removing Islamist militants from the country. According to the French MoD, there are currently 4 000 French soldiers in Mali. Alongside them are nearly 3 800 African soldiers and some 2 000 AFISMA soldiers belonging to Togo (640), Burkina Faso (500), Nigeria (240), Niger (500), Benin (90) and Senegal (50). More troops are expected in the coming weeks.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/50/Flag_of_Burundi.svg/800px-Flag_of_Burundi.svg.png

 

13 February 2013 by Guy Martin  - defenceWeb

 

sixth addition to our new portal on African Militaries: a profile of Burundi.

 

Click here to access the military analysis of Burundi.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 16:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/serval-mission-transmission/2180382-1-fre-FR/serval-mission-transmission.jpg

 

13/02/2013 CNE C. Brunetaud - Economie et technologie

 

Pour l’opération Serval et pour la 1re fois, un groupement de transmissions a été déployé avec à sa tête un chef de corps sur un théâtre d’opérations. Les premiers éléments du groupement sont arrivés à Bamako au Mali le 16 janvier 2013.

 

Les 150 transmetteurs du détachement proviennent du 28e régiment de transmissions (28e RT) d’Issoire (100 militaires) et du 53e RT de Lunéville. Leur matériel a été acheminé sur le territoire le 20 janvier. En trois jours, le groupement de transmissions a mis en place des moyens de liaisons nécessaires à l’opération Serval. Les soldats transmetteurs du 28e RT étaient d’alerte Guépard. Tout leur matériel SIC avait été testé au préalable pour permettre le bon déroulement de l’opération Serval. Le groupement de transmission est un prestataire de services fiables pour constamment garder le lien.

 

Les transmetteurs ont pu garantir rapidement une liaison avec la France et les unités sur le terrain. Au poste de commandement, 99 lignes téléphoniques ont été ouvertes et 90 postes informatiques avec messagerie et accès aux différents réseaux Défense ont été mis en place.

 

Une visioconférence a même été installée pour permettre au commandant de la force, le général Grégoire de Saint-Quentin, de communiquer avec le centre de planification et de conduite des opérations (CPCO) à Paris.

 

La liaison est toujours assurée par des moyens importants comme le terminal haut débit (HD) connecté au satellite SYRACUSE 3. Le terminal HD est doublé en secours de la station radio F14 qui fonctionne avec le logiciel CARTHAGE.

 

Sur le terrain, les unités assurent une liaison téléphonique avec une antenne déployable en 15 minutes avec leur véhicule de l’avant blindé (VAB) satellite moyen léger (ML). Les combattants peuvent être renforcés des opérateurs BGAN (Broadband Global Aera Network).

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 14:57

 

13 févr. 2013 belgiandefence 


Le premier des deux C-130 est parti le 15 janvier 2013 vers Abidjan afin de fournir un appui logistique à l'opération Serval. Trente militaires veillent à ce que tout se déroule rapidement. La semaine dernière, l'appareil belge a atterri à Gao, ville située dans l'est du Mali.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 08:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ac/Russia_South_Africa_Locator.png

 

PRETORIA, 12 février - RIA Novosti

 

La prochaine visite du président russe en Afrique du Sud, prévue fin mars, débouchera sur la signature de nombreux accords bilatéraux, a déclaré mardi à Prétoria le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à l'issue d'entretiens avec son homologue sud-africaine Maité Nkoana-Mashabane Zuma.

 

"Nous avons examiné la préparation d'un très grand nombre d'accords bilatéraux qui couvrent pratiquement l'ensemble de notre coopération. A notre avis, nous sommes bien préparés au prochain sommet", a indiqué M.Lavrov.

 

Les deux ministres ont décidé mardi que les organismes bilatéraux de coopération existants, dont les commissions russo-sud-africaines pour la coopération économique et commerciale et pour la coopération militaire et technique, rédigeront des rapports qui seront soumis aux présidents des deux pays au cours des prochaines rencontres.

 

Le président russe Vladimir Poutine assistera notamment à un sommet du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) dans le cadre de sa visite en Afrique du Sud fin mars, a ajouté M.Lavrov.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 08:45

http://www.45enord.ca/wp-content/uploads/2013/02/130212-soudan-arm%C3%A9e-UN-Photo-Tim-McKulka-642x426.jpg

Le Soudan du Sud accuse son voisin soudanais de

continuer à déployer des forces militaires, notamment

dans la région frontalière d'Abyei

(Photo: UN Photo/Tim McKulka)

 

12/02/2013 par Gaëtan Barralon - 45enord.ca

 

Khartoum et Juba ne parviennent toujours pas à s’entendre. Ce mardi, le vice-ministre sud-soudanais de la Défense, Majak D’Agoot, a accusé le Soudan de renforcer sa présence à la frontière entre les deux pays. De nouvelles déclarations qui interviennent quelques jours après de nouveaux affrontements meurtriers dans cette zone contestée.

 

Majak D’Agoot est unanime. «Au cours des deux derniers mois, nous avons constaté une augmentation inhabituelle des forces le long de notre frontière commune», a ainsi assuré le vice-minisitre sud-soudanais de la Défense, ce mardi.

 

Il a également ajouté que les forces sud-soudanaises sont «en état de préparation maximum pour repousser toute attaque de Khartoum. Nous resterons sur nos positions actuelles, nous respecterons les termes de l’Accord [de septembre]».

 

Cet accord établi à Addis Abeba, le 27 septembre dernier, prévoyait la mise en place d’une zone tampon entre les deux pays. Cela aurait ainsi permis d’apaiser les tensions dans la région en imposant une zone démilitarisée où chaque armée devait reculer ses positions.

 

«C’est contraire à l’esprit de dialogue»

 

Riche en pétrole, la région d’Abyei constitue l’une des zones clés du désaccord persistant entre le Soudan et le Soudan du Sud.

 

Ce dimanche, le co-président du Comité de surveillance commun d’Abyei (AJOC), Luka Biong Deng, a dénoncé la décision du gouvernement soudanais de «former et d’imposer» leur propre commission pour les affaires humanitaires à Abyei sans consulter le gouvernement du Soudan du Sud.

 

«C’est également contraire à l’esprit de dialogue. L’accord [de juin 2011, certifiant la démilitarisation commune de la région, ndlr] ne prévoit pas de formation de ce corps. Ce qui est dans l’accord est [un] groupe de travail inter-gouvernemental», a-t-il déclaré.

 

«Il s’agit d’une violation flagrante de l’accord que l’UNIFSA [la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei] devrait signaler. Il n’y a aucun autre moment mieux que maintenant. Les gens d’Abyei ont beaucoup souffert. Il est temps pour la communauté internationale de leur donner [le] soutien qu’ils méritent», a-t-il ajouté.

 

24 morts dans des affrontements proche de la frontière, ce samedi

 

Ces tensions et affrontements jaillissent notamment des relations délicates qu’entretiennent le Soudan et le Soudan du sud, héritage des vingt années de guerre civile.

 

Des heurts ont ainsi eu lieu, ce samedi, à la frontière des deux pays, entre miliciens et soldats sud-soudanais, faisant au moins 24 morts. L’armée du Sud (SPLA) aurait ainsi saisi un camion de l’armée du nord utilisé par les miliciens lors d’affrontements à Obed, dans l’État du Haut-Nil, au nord-est du pays.

 

Un porte-parole de l’armée du Soudan du Sud a également indiqué que les soldats ont tué sept activistes d’une milice soutenue par le Soudan après avoir franchi la frontière entre les deux pays.

 

A lire aussi:

 

Nouvelles violences à la frontière entre Soudan et Soudan du Sud >>

 

Soudan: dégradation de la situation au Darfour et dans le Jebel Marra >>

 

Le Sud-Soudan dénonce des attaques soudanaises qui auraient fait 5 morts >>

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 07:45

http://www.sillinger.com/uploads/images/Sillinger%201200%20Profil.jpg

 

13.02.2013 Stéphane Frachet, Correspondant à Tours - Les Echos

 

Les bateaux fabriqués en France de Sillinger vont équiper la marine libyenne.

Leurs caractéristiques en font une arme efficace pour la lutte contre les pirates.

 

Commande record pour Sillinger, le fabricant de bateaux semi-rigides implanté à Mer (Loir-et-Cher). Grâce à sa puissance et sa rapidité de mise en oeuvre, le 1200 RIB UM (semi-rigide à usage militaire), dernier-né de cette PME d'une quarantaine de salariés, a déjà séduit deux marines africaines, qui luttent contre la piraterie maritime. Parmi elles, la Libye vient de lui acheter 50 bateaux pour plusieurs millions d'euros, compris les équipements supplémentaires nécessaires pour ce type de mission.

 

« Cette commande doit être livrée d'ici à fin mai. Nous avons dû prendre des intérimaires supplémentaires », dit Ivan de Quatrebarbes, PDG, qui avait présenté en octobre dernier ce bateau destiné aux forces d'intervention rapides et à la surveillance des eaux territoriales lors du dernier Salon Euronaval. Ses atouts : ce bolide capable d'atteindre 40 noeuds (70 km/h) dans une mer agitée est doté d'une carène effilée qui lui permet de passer les vagues. Et il est équipé de trois moteurs hors-bord qui n'ont pas besoin d'un temps de chauffe.

 

Maintien en France

 

Pari gagné pour Silinger, qui, à l'inverse d'un de ses concurrents, désormais contrôlé par des fonds américains, a maintenu son outil de production en France. « Le coeur de notre savoir-faire réside dans le collage des bandes d'hypalon-néoprène, sous atmosphère contrôlée. C'est ce qui assure la flottabilité des engins. Il était délicat d'externaliser ou de délocaliser cette étape », juge le dirigeant, qui exporte ses bateaux dans quarante-cinq pays.

 

Fondée en 1962 par Tibor Sillinger, cette PME a failli disparaître en 2000, quand Ivan de Quatrebarbes l'a reprise autribunal de commerce. Sillinger est désormais intégré au groupe familial Marck (490 salariés), contrôlé par le holding Euclide Fasia de Philippe Belin. Fournisseur d'uniformes et d'accessoires aux armées et à des groupes comme Air France, son chiffre d'affaires consolidé atteint 120 millions d'euros. Sillinger a vendu plus de 500 bateaux l'an passé pour environ 4 millions. Grâce au 1200 RIB UM, et à une gamme étendue, l'entreprise espère doubler son chiffre d'affaires d'ici à 2015.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 22:25

Canadian Forces Flag.svg

 

12/02/2013 par Nicolas Laffont - 45enord.ca

 

Témoignant ce matin devant le comité des affaires étrangères de la Chambre des communes, le ministre John Baird a affirmé être «très prudent quant à l’idée d’envoyer des milliers de troupes canadiennes sur le territoire malien, comme certains le réclament, pour lutter ce qui ressemble à une contre insurrection. Nous n’allons pas au claquement d’un doigt nous embarquer dans un autre Afghanistan».

 

Le ministre canadien des Affaires étrangères a également indiqué que le Canada avait une importante responsabilité. «Il faut être très impliqué pour aider le pays à retourner à un régime démocratique.  Nous avons l’obligation d’appuyer la lutte contre le terrorisme. C’est pourquoi nous appuyons un allié clé, la France, à cette fin. Nous fournissons une aide humanitaire substantielle. Nous sommes prêts à en faire plus étant donné que ce problème ne sera pas réglé dans l’immédiat».

 

Un peu plus tôt devant ce même comité, l’ex diplomate canadien Robert Fowler avait défendu l’idée inverse.

 

Enlevé par des islamistes radicaux en 2008, Robert Fowler a ainsi soutenu que le Canada devrait augmenter ses efforts au Mali. Il a demandé à ce que le gouvernement déploie des avions et des troupes spécialisées dans la traque d’ennemis pour donner un coup de main aux Français.

 

Il a soutenu que les groupes islamistes radicaux sont déterminés à prendre le contrôle non seulement du Mali, mais aussi de la région du nord de l’Afrique. D’où l’importance de contrer les velléités de ces radicaux le plus rapidement possible.

 

«Nous pouvons empêcher que le Mali devienne un autre Afghanistan dans la mesure où nous ne faisons pas les mêmes erreurs qu’en Afghanistan», a affirmé M. Fowler.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 22:01

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12/02/13 - 17h50  Christophe Durant - 7sur7.be (belga.be/ reuters.)

 

La ville malienne de Ménaka (Nord), à 80 km de la frontière nigérienne, qui était depuis le 5 février sous le contrôle des rebelles touareg du MNLA, a été reprise par l'armé malienne, sans combats, a-t-on appris mardi de source militaire malienne.

 

"Nous controlons Ménaka depuis 48 heures. Actuellement, ce sont l'armée malienne et l'armée française qui sont à Ménaka. Le MNLA n'est plus là", a déclaré le colonel malien Alaji Ag Gamou.

 

Les rebelles touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA, l'Azawad étant le nom touareg de la région du Nord du Mali) étaient entrés le 5 février à Ménaka, abandonnée par les soldats nigériens qui avaient repris le contrôle de cette ville occupée pendant des mois par des groupes islamistes armés.

 

"On ne peut pas dire qu'il y a eu vraiment de combat. Le MNLA a compris qu'il fallait partir", a ajouté le colonel Ag Gamou

 

Alaji Ag Gamou est un colonel de l'armée malienne, d'origine touareg, qui s'était replié avec plusieurs centaines de soldats au Niger, après avoir été défait en mars 2012 par des groupes armés, dont le MNLA et des mouvements islamistes.

 

Ces groupes islamistes avaient ensuite chassé le MNLA du nord du Mali.

 

Le MNLA a dénoncé récemment l'arrestation ces derniers jours de quatre de ses membres à Ménaka.

 

"En conséquence, le MNLA informe que dans les prochains jours il engagera ses troupes dans une lutte sans merci contre l'armée malienne sur l'ensemble du territoire de l'Azawad, sans exclure les villes déjà occupées tel Gao et Tombouctou, où l'armée malienne continue de perpétuer des crimes contre les populations Azawadiennes au vu et au su de l'armée française", avait dénoncé le MNLA.

 

Le MNLA, qui revendique le contrôle de Kidal, dans l'extrême nord-est malien, assure travailler en "coordination" avec les soldats français présents dans cette région, dernier fief des groupes islamistes armés.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 20:31

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-fevrier-2013/le-transport-tactique-d-abidjan-au-caeur-des-operations./2178781-1-fre-FR/le-transport-tactique-d-abidjan-au-caeur-des-operations..jpg

 

12/02/2013 19:36 Armée de l'air

 

Le 25 janvier 2013, sur décision du CPCO (centre de planification et de conduite des opérations), un groupement de transport opérationnel (GTO) s’est constitué dans l’urgence. Décollant sur alerte de métropole, de La Réunion ou d’autres sites comme N’Djaména ou Libreville, neuf C160 Transall et trois C130 Hercules arrivèrent en quelques heures sur l’aéroport d’Abidjan dans la nuit du 25 au 26 janvier.

 

La décision de constituer un GTO avait été précédée d’une phase de planification, associant, entre autres, un noyau dur de navigants spécialistes des opérations aériennes et aéroportées. La première mission ordonnée en appui de l’opération Serval a quitté Abidjan le samedi 26 janvier, moins de quatre heures après l’installation du GTO dans les locaux du PCIAT (poste de commandement interarmées de théâtre) mis à disposition par la force Licorne.

 

Entre le 26 et le 31 janvier, l’activité a été continue, de jour comme de nuit. Le bilan des opérations menées au départ d’Abidjan: 280 heures de vols dont un tiers de nuit, plus de 1000 passagers et près de 200 tonnes de fret transportés, plus de 250 parachutistes et 80 tonnes de fret largués.

 

Les avions de transport tactiques restant à N’Djaména et Libreville ont également participé de manière active à ces actions d’appui et de soutien à l’opération Serval.

 

Selon les étapes, il était fréquent pour l’équipage de devoir décharger à la main les tonnes de fret transporté. Le temps d’une escale nocturne au Mali et la soute des C160 et C130 s’est parfois transformée en hôtel de fortune.

 

Le C160 R86, après cette mission, est parti d’Abidjan vers Orléans pour un ultime voyage, avant d’entrer en chantier de retrait de service (RDS), mi février.
 Un beau final pour sa carrière aéronautique que cet ultime mission où, en l’espace de quelques jours, sa soute a résonné au chant des militaires africains de la MISMA (mission internationale de soutien au Mali) et du bruit sourd des chaussures des légionnaires.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 19:59

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/visite-ctf-465-1/2179327-1-fre-FR/visite-ctf-465-1.jpg

 

12.02.2013 Sources : EMA

 

Le 9 février 2013, l’amiral Garcia de Paredes, commandant la Task Force Atalante (TF 465) s’est rendu pour la deuxième fois à bord de la frégate légère furtive Surcouf  (FLF) pour saluer l’équipage.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/visite-ctf-465-2/2179332-1-fre-FR/visite-ctf-465-2.jpg

 

Le Surcouf et la frégate espagnole Mendez Nunez, bâtiment amiral de la force européenne Atalante, se sont retrouvées au large des côtes somaliennes. Transféré avec une partie de son état-major par l’hélicoptère, le commandant de la TF 465 s’est entretenu avec le commandant et l’équipage du Surcouf. Cette rencontre a permis de dresser un bilan des actions menées par le Surcouf depuis son entrée dans l’opération au début du mois de décembre 2012 et de présenter les premiers éléments de retour d’expérience. L’amiral Garcia de Paredes a salué l’efficacité des moyens mis en œuvre lors de l’appréhension des douze présumés pirates le 6 janvier dernier.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/visite-ctf-465-3/2179337-1-fre-FR/visite-ctf-465-3.jpg

 

Le Surcouf est engagé depuis plus de deux mois dans l’opération européenne de lutte contre la piraterie. Armée par des bâtiments européens l’opération Atalante a pour mission de fournir une protection aux navires affrétés par le programme alimentaire mondial (PAM), de protéger les navires marchands afin de dissuader, prévenir et intervenir pour mettre fin aux actes de piraterie au large de la Somalie.

 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 18:45

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12 February 2013 defenceWeb

 

The five year deployment of South African National Defence Force (SANDF) personnel to the troubled Central African Republic (CAR) will cost in the region of R1.25 billion and not the R65 million first stated.

 

President Jacob Zuma, who is also Commander-in-Chief of the SANDF, was reported by Times Live as saying the R65 million first given as the deployment cost over five years between January 2013 and March 2018, was only for the current financial year.

 

“Only part of this will be covered by the SANDF budget. No provision has yet been made for the financial year 2013/14 for this deployment. The Department of Defence estimates approximate R21 million a month will be required. Treasury is being consulted in this regard,” the Johannesburg daily’s online edition said.

 

The Democratic Alliance (DA) party’s Shadow Minister of Defence and Military Veterans David Maynier said the Presidential statement “effectively concedes” a mistake was made in estimating the cost of the CAR deployment.

 

“The real cost of the deployment is R1.28 billion.

 

“We have to get to the bottom of why we (South Africa) are planning to sink R21 million a month into the CAR. It makes no sense given SANDF priorities on the country’s borders and within the Southern African Development Community,” the outspoken DA MP said.

 

Last month Zuma told Parliament in a letter he had approved the deployment of 400 SANDF members to the CAR. They will assist in restoring stability in the politically volatile country until March 31, 2018.

 

Their taskings will comprise capacity building of the CAR military as well as planning and implementing disarmament, demobilisation and reintegration of rebels into the military.

 

This has also been questioned by Maynier who said the deployment of specialist troops, including the Parachute Regiment and Special Forces Brigade, was not in line with providing the type of assistance set out by the President.

 

“It unfortunately creates the impression the SANDF is being deployed to provide support for President Francois Bozize.”

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 18:45

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12 February 2013 defenceWeb

 

Maritime piracy is now so entrenched that companies have to incorporate private maritime security services into their business models, according to Anthony Sharp, chief executive of Typhon, a new company that will launch a marine convoy protection service this year.

 

“It is substantial and can cause significant damage to a company’s bottom line,” said Sharp. He singled out ransoms, insurance premiums, rerouting ships away from piracy risk zones, fuel costs associated with increasing speeds at which vessels transit and the cost of naval forces as expenditure that will affect profitability.

 

“There is also the human cost of piracy and while not quantifiable in economic terms, it is nonetheless a high cost, with crew being taken hostage, some killed, some being held for up to 18 months and the associated trauma,” he said.

 

Add these factors to comments made by Russian Navy Rear Admiral Vasily Lyashok on the flexibility, adaptability and better organisation of Somali pirates, including more modern weapons and communications and Sharp sees the cost of maritime security as having to become part and parcel of operations.

 

“Piracy is a concern companies must pay close attention to,” he said.

 

Typhon plans to launch its marine convoy protection service this year. The service will see a mother ship, crewed by capable ex-soldiers, marines and Special Forces operators, accompanying ship operators in transit through piracy hotspots including the Gulf of Aden, the Gulf of Guinea, the Arabian Sea and the Indian Ocean. Mother ship crew will deploy on protection tasks in any number of rigid inflatable hulls rather than as now with security operators onboard potential pirate targets.

 

He did not give an indication of either the size of the mother ship, the number of crew or deployable reaction boats.

 

According to studies quantifying the cost of piracy conducted by One Earth Future (OEF) Foundation, piracy is costing the global economy between $7-12 billion a year and the global cost of Somali piracy is between $6.6 and $6.9 billion a year.

 

Although there has been a decrease in reported piracy off the coast of Somalia, attacks are escalating in other locations including the Gulf of Guinea, Indonesia and further afield. According to the International Maritime Bureau “Piracy and Armed Robbery against Ships Report 2012”, three locations out of eight reported the highest incidences of piracy for the year: Indonesia (81%), Somalia (49 %), and Nigeria (27%). The remaining five locations listed were Togo (15%), Red Sea (13%), Gulf of Aden (13%), Malaysia (12%) and Bangladesh (11%).

 

“The reported decrease in piracy in Somalia has a lot to do with an extended period of monsoonal weather, rerouting of vessels to the western Indian coastline rather than around the Cape of Good Hope, the presence of foreign naval forces and the use of private maritime security firms to deter pirates. There has also been widespread under-reporting of piracy incidents to avert escalating insurance premiums,” Sharp said.

 

“With falling naval budgets across the globe, there is a chance countries will begin to reduce the level of security they offer and eventually, they will withdraw their navies from some of the world’s most dangerous waters.

 

“Should this happen attacks will escalate as the threat is still there and pirate networks are heavily armed. Companies transporting goods across high-risk waters need to incorporate a bespoke security model into their plans,” Sharp warned.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 18:45

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12/02/2013 à 17:27 Par Vincent Hugeux - lexpress.fr

 

Les analystes réunis lundi à Paris par le Centre d'études et de recherches internationales (Ceri) de Sciences-Po livrent une lecture décapante de l'intervention française au Mali et de ses enjeux régionaux. Best of et verbatim.

 

Un mois après le déclenchement de l'intervention française au Mali, il n'est pas vain, au coeur du tumulte, de se tourner vers des experts dotés d'une réelle "profondeur de champ", histoire de prendre un peu de recul et de hauteur. Non que leur jugement soit infaillible. Mais si discutables soient-elles parfois, leurs analyses s'avèrent toujours stimulantes. Pour preuve, la conférence-débat organisée hier lundi au Centre d'études et de recherches internationales (Ceri-Sciences Po), présidée par Sandrine Perrot et intitulée "Interventions au Mali et enjeux régionaux".

 

L'impact contre-productif de toute "déclaration de guerre à Aqmi"

 

Premier orateur, Roland Marchal déplore d'emblée le "maniement irresponsable", par certains acteurs politiques, des concepts "terroristes", "djihadistes" et "islamistes". Il observe aussi l'impact contre-productif de toute "déclaration de guerre à Aqmi": "Vu d'Afrique, cela signifie qu'Al-Qaïda au Maghreb islamique est un mouvement puissant, digne le cas échéant d'être rallié". "Hostile" à l'intervention militaire française, Marchal estime que deux facteurs ont pesé d'un poids décisif dans la décision d'un François Hollande dont l'accession à l'Elysée, juge-t-il, "a signifié la fin d'une période vibrionnante et peu rationnelle". D'abord, le voeu des militaires français eux-mêmes, pourvus de deux atouts: la proximité entre le tombeur de Nicolas Sarkozy et son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian; l'influence de son chef d'état-major particulier, le général Benoît Puga. Ensuite, le plaidoyer de plusieurs chefs d'Etat africain, à commencer par le Nigérien Mahamadou Issoufou.

 

La menace djihadiste sur Bamako: un péril surestimé

 

Roland Marchal tord ensuite le cou à la thèse, de fait inepte, tendant à reléguer l'initiative hexagonale au rang de énième avatar des turpitudes de la "Françafrique". "Depuis 2008, souligne-t-il, la France s'épuise à internationaliser le dossier sahélien, et notamment à convaincre ses partenaires européens de l'ampleur des périls tels que l'essor d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et celui du trafic de drogue. On est très loin du Gabon ou de la Côte d'Ivoire. Les -modestes- ressources naturelles du Mali échappent d'ailleurs aux opérateurs français."

 

Cela posé, l'universitaire, chargé de recherches au CNRS, tient pour excessive la dramatisation de l'attaque djihadiste sur Konna, présentée comme le prélude à la conquête de Mopti puis Bamako. "Je vois mal comment 3000 ou 4000 combattants, au grand maximum, aurait pu prétendre occuper une ville d'1,8 million d'habitants". Pas si simple: l'alliance Aqmi-Mujao-Ansar-Eddine avait affiché son ambition de foncer sur la capitale; quelques dizaines de miliciens aguerris lui avait suffi, après l'éviction de ses "alliés" touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), pour asservir Tombouctou et Gao; nul doute enfin que les stratèges djihadistes misaient sur l'effet dévastateur des rivalités claniques patentes dans la capitale. A ce sujet, les récents affrontements entre les Bérets verts acquis au capitaine putschiste Amadou Sanogo et les Bérets rouges fidèles à l'ex-président Amadou Toumani Touré (ATT) attestent, comme le remarque Roland Marchal, l'impuissance sur l'échiquier bamakois d'une France qui accomplit par ailleurs le "sale boulot".

 

Présidentielle: mirage électoral

 

"Paris, poursuit-il, espérait la marginalisation définitive des putschistes de mars 2012. Mais l'échéance fixée pour le prochain scrutin présidentiel -le 31 juillet- n'est pas raisonnable. Maints acteurs politiques maliens désirent un retour au statu quo ante, la restauration d'un système politique générateur de crises. A quoi rimerait une élection à laquelle participerait, comme hier, 25% du corps électoral? Et qui risque d'aggraver les divisions plutôt que de hâter l'émergence d'un nouveau contrat social. "A ce stade, avance le chercheur, le président par intérim Dioncounda Traoré apparaît comme l'un des hommes les plus ouverts au dialogue national. Mais il doit se sentir un peu seul." Reste que, au lendemain de la séquence militaire, toute formule politique novatrice devra être validée au niveau régional, et notamment passer pour acceptable aux yeux d'Alger.

 

Les valeurs à géométrie variable de l'Occident

 

Quant à la Communauté des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), elle se sera montrée "au mieux dysfonctionnelle". "Nombre de chefs d'Etat ouest-africains, relève Marchal, ont avant tout utilisé la crise malienne pour améliorer leurs relations avec Paris."

 

Sur le front européen, souligne-t-il, l'Elysée traîne l'héritage de l'ère Sarkozy et reste suspect de vouloir "mutualiser" les coûts de ses aventures africaines. Même si l'Union européenne a fini par bouger, avec l'envoi de 500 instructeurs -non-Français en majorité- censés former la nouvelle armée malienne; et même si l'irruption au Nord-Mali d'un contingent de 2000 soldats tchadiens -dont un millier formé par les Américains et un autre venu de la Garde présidentielle d'Idris Déby Itno- doit moins à Marianne qu'à l'Oncle Sam. 

 

L'Occident, Etats-Unis en tête, tend à s'en remettre à des "Etats-pivots", quitte à fermer les yeux sur leurs travers. Tel est le cas de l'Ethiopie, dictature volontiers célébrée, ou du Rwanda, assuré de l'indulgence de Washington et de Londres. S'agissant du Tchad, "on ne peut que noter le silence quasiment total sur la politique intérieure et la gouvernance économique. Sur 23 régies financières, 18 sont aux mains du clan présidentiel... Il y aura pour le régime de Déby de l'argent à la clé, et ça risque de coûter cher à la France". Enfin, Marchal nuance les éloges dont on gratifie d'ordinaires les soldats tchadiens, virtuoses de la guerre en terrain désertique. "Il est vrai qu'ils ont battu l'armée libyenne en 1987. Mais qu'en est-il 25 ans après?" D'ailleurs, insiste-t-il, on ne peut pas parler d'armée tchadienne, mais de contingents d'ethnies zaghawa -celle de Déby- et gorane.

 

Les djihadistes bénéficient de soutiens significatifs à l'échelon local

 

Gare aux raccourcis simplistes et au triomphalisme en vogue dans les médias. Selon Roland Marchal, les groupes djihadistes bénéficient de soutiens significatifs à l'échelon local. Même si leur cruauté, que reflètent les amputations, les ont privés d'une base sociale plus large. "La terreur doit être vue comme un moyen de gouvernement. Elle contraint les dissidents éventuels à rester dans le rang. Si le touareg malien Iyad ag-Ghali -fondateur et chef d'Ansar-Eddine- revient avec un discours politique plus nuancé, il sera en mesure d'élargir son assise populaire."

 

Qu'adviendra-t-il demain des combattants djihadistes et islamistes?" L'Histoire n'est pas écrite et cette guerre peut durer longtemps. Elle ne se joue pas aujourd'hui à Gao. Patientons quelques mois pour voir ou non le retour d'une opposition armée. Et il faut s'attendre à une effervescence soutenue dans des pays tels que l'Algérie, la Tunisie, le Niger ou le Burkina Faso. "

 

Hollande sous influence algérienne

 

Chercheur familier des arcanes algériens et libyens, Luis Martinez souligne en préambule l'importance cruciale, pour Paris, de soigner sa communication en direction des opinions nord-africaines dans un contexte "a priori défavorable", compte tenu du rôle dévolu aux partis islamistes au sein même des gouvernements. A cet égard, les propos récents du ministre de l'Intérieur Manuel Valls -allusion à son réquisitoire contre le "fascisme islamiste"- risquent d'accroître la confusion. 

 

Luis Martinez relève aussi les indices, convergents depuisla visite sur place de François Hollande, de l'influence qu'exerce l'Algérie sur la France. Témoin, "la relecture révisionniste", conforme à la version des autorités locales, qu'a adopté l'Elysée quant aux épreuves tragiques des années 1990, consécutives à la liquidation d'un parti -le Front islamique du salut (FIS)- en passe de remporter les élections. "Lors de la décennie suivante, poursuit l'expert, le Sahel est devenu pour l'armée algérienne, vaillant soldat de la lutte anti-terroriste aux côtés des Etats-Unis, une terre de réhabilitation". "Pour Alger, précise Luis Martinez, il est préférable de voir Aqmi et le Mujao à Bamako qu'aux portes de Tamanrasset, l'essentiel étant de les fixer le plus au sud possible".

 

Cadeaux empoisonnés

 

L'intervention française peut néanmoins constituer, pour les deux rives de la Méditerranée, un "cadeau empoisonné". Pour François Hollande en cas d'enlisement; pour son homologue Abdelaziz Bouteflika, dont on peut se demander, à l'horizon de la présidentielle de 2014, s'il survivra politiquement à cette épisode.

 

Car cette intrusion bleu-blanc-rouge demeure politiquement "difficile à accepter et à assumer", en ce qu'elle "bouscule un équilibre précaire et ravive trois inquiétudes". Un, que fera Alger si "ses" Touaregs, liés aux frères maliens ou nigériens par d'anciennes solidarités, réclament leur indépendance? Deux, il se peut qu'une partie de la population affiche son soutien aux Arabes et Touaregs, perçus comme "les victimes d'une campagne coloniale". Trois, l'assaut sur le complexe gazier d'In Amenas a ravivé, notamment dans la presse, la thèse d'un complot visant à attenter à l'intégrité territoriale du pays; complot ourdi par une France qui n'aurait jamais vraiment accepté de céder ses territoires sahariens. 

 

Au sujet d'In Amenas, le chercheur met en évidence un changement de cap lourd de conséquences: "Tant que les islamistes algériens espéraient accéder au pouvoir par les urnes, ils prenaient soin de préserver les infrastructures économiques. Dans la rhétorique du FIS, le pétrole passait encore pour 'le sang du peuple'. Mais pour Aqmi, il s'agit d'une ressource confisquée par des sociétés étrangères et les profiteurs corrompus d'Alger. Dès lors, on peut redouter une intensification des attentats-suicides, préférés aux prises d'otages, peu rentables dès lors que les autorités refusent de payer et optent pour la manière forte."

 

La revanche des kadhafistes?

 

Enfin, cette intervention offre l'occasion aux réseaux kadhafistes, qui ont préservé la quasi-totalité de leur pactole financier, de remobiliser leurs soutiens touareg pour engager enfin contre la France, hors de Libye, la guerre qu'ils n'ont pu livrer en 2011. Les Libyens sont très majoritairement ravis de ne plus être les instruments et les victimes d'une dictature qui, à leurs yeux, a fait le bonheur des Africains et des Occidentaux, et non le leur. Par ailleurs, une bataille féroce s'est engagée, de Koufra à Tripoli, pour le contrôle des trafics juteux -cigarettes, drogue, armes, êtres humains- contrôlés hier par les Brigades révolutionnaires de la défunte Jamahiriya.

 

Calculs mauritaniens

 

Troisième intervenant, Zekeria Ould Ahmed Salem (Université de Nouakchott et Institut d'Etudes avancées de Nantes) s'est attaché quant à lui à décrypter la posture mauritanienne. De nombreux cadres et "guerriers-théologiens" d'Aqmi, souligne-t-il, viennent de Mauritanie, pays secoué en outre par l'impact de l'afflux de 120 000 réfugiés maliens dans l'est du pays. Enfin, nombre de commerçants mauritaniens établis depuis des lustres à Bamako, cibles d'une répression aveugle de l'armée et de la police car perçus comme des complices du MNLA ou des djihadistes, ont dû fuir et chercher refuge dans leur patrie d'origine.

 

Nouakchott, rappelle le chercheur, a vivement déploré la "trahison" d'ATT. Notamment lorsque celui-ci a consenti, à la demande de la France, à laisser filer en contrepartie de la libération de Pierre Camatte plusieurs figures islamistes radicales, dont le futur fondateur du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao).

 

Si le président Mohamed Ould Abelaziz a signifié, notamment en novembre 2012 à l'Elysée, au sortir d'une rencontre avec François Hollande, son hostilité à toute intervention armée française, c'est qu'il lui faut tenir compte de diverses contraintes, souligne Salem. Parfois accusé de mener une guerre par procuration pour le compte de le France, il subit au pays une forte pression pour déconnecter sa politique de celle de Paris. Autre facteur, l'ambiguïté des autorités islamiques mauritaniennes, qui condamnent le terrorisme mais aussi l'Opération Serval, assimilée parfois à une "croisade", terme emprunté à la logomachie salafiste. Le pouvoir doit aussi tenir compte des solidarités tribales et villageoises envers les fils et les frères engagés au sein des factions djihadistes. Enfin, on ne peut ignorer que la communication d'Aqmi transite pour l'essentiel par des journalistes mauritaniens et des sites web qui opèrent un peu comme des porte-paroles.

 

Voilà bien, on l'aura compris, le mérite de ce genre de rencontre. On en sort, non pas armé de nouvelles certitudes, mais délesté de quelques illusions.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:45

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February 12, 2013: Strategy Page

 

The second anniversary of the revolution is being memorialized on the 15th but there is not much cause for celebration. Disunity, corruption, warlords and an inability to provide law and order has stalled the economy and the return of government services. The oil income allows the government to delay another major rebellion, but if the current conditions persist the country will fall back into another period of open war. There are still over 200,000 gunmen in illegal militias and the government is moving slowly to organize police forces capable of shutting down these groups. The militias are a major reason why it has been so difficult to get the economy and government going again.

 

Western intelligence agencies have told Algeria and Libya that there are a lot of Islamic terrorists operating in southern Libya and it will be from there that more attacks will be launched on Algerian, Libyan and Tunisian gas and oil facilities. American intelligence also found some Islamic terrorists who were involved in both last month’s attack in southern Algeria and the one in Libya (Benghazi) last September that killed the U.S. ambassador to Libya. There is so little government control in Benghazi that there has been no effective police action to find and arrest any of these suspects.

 

Then there is the Mali problem. Libya’s southern border is 4,600 kilometers long and largely desert. Anyone with enough fuel, water and a GPS can sneak across. Libya has officially closed this border since late December, but military patrols have sighted vehicles and camel caravans crossing in both directions. The recent defeat of al Qaeda in Mali is believed to have sent some of the surviving Islamic terrorists into Libya, but information is scant and no one really knows.

 

A favorite target of the Islamic radical militias has been the small Christian community. Most of the 100,000 Christians who were in Libya two years are gone; fleeing growing crime and persecution. The Islamic radical groups feel it is their duty to persecute non-Moslems and drive them out of the country. The government is officially against this sort of thing but has neither the forces nor the will to take on the Islamic radical militias over this issue.

 

The government has tried to channel some of the Islamic radical violence in a useful direction. The government in Tripoli hired an Islamic radical militia to eliminate the illegal drugs that are increasingly common. The Islamic radicals went at it but also sought to enforce all the other lifestyle rules they favored. This produced armed confrontations with secular militias. Another problem with all these militias is the growth in crime. Murder, rape, theft and kidnapping are all more common. Often the crooks are militia members, going gangster on the side to augment their small (or non-existent) militia wage. The warlords who often lead these militias are sometimes running criminal enterprises as well. Many militias are basically local self-defense groups, but even some of these see no problem in plundering nearby areas they don’t control. The murder rate has increased five times over the last three years and most other crime has shown similar jumps.

 

On the Egyptian border police continue to seize shipments of weapons (stolen from government warehouses during the revolution) being smuggled out. The Libyan border police can be bribed, not so most of the Egyptians. Most of the smuggled weapons are getting through where they go to Gaza and onto ships where the smugglers can reach even more distant markets.

 

February 9, 2013:  The government sharply reduced the number of visas issued to Lebanese and is seeking to keep pro-Iran and Islamic radical Lebanese out of the country.

 

February 6, 2013: An Algerian army base just across the border was attacked by about 50 Islamic terrorists from Libya. With the assistance of Algerian warplanes and attack helicopters the attack was defeated and at least two of the attackers were killed. The army pursued the attackers to the border and captured one of them alive.

 

January 31, 2013: The government now demands that all foreigners wishing to enter Libya must get a visa. This is meant to keep out gangsters and Islamic radicals. It does keep some out, but most can get into Egypt and sneak across the border.

 

January 30, 2013: In the aftermath of the Islamic terror attack on an Algerian natural gas facility just across the border the government has increased security around its own oil and gas operations. Islamic radicals in Libya have not attacked these assets because the cash generated by oil and gas sales still benefits most Libyans. Thus an attack on this source of cash would be very unpopular. Foreign Islamic radical groups would be less concerned about losing popularity inside Libya. Being on a Mission From God does that to you.

 

January 28, 2013:  Britain announced that it has detected a threat to their embassy in Tripoli. Four days earlier Britain urged its citizens to leave Benghazi. Germany and Netherlands followed suit, claiming the same reason (fear of Islamic terrorist attack).

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:45

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12/02 Par DANIEL BASTIEN – LesEchos.fr

 

Un mois après le début de l'intervention française au Mali, le Sahel inquiète. Les Etats s'y sont montrés impuissants face au terrorisme islamiste. Tour d'horizon d'une région dont l'instabilité menacerait la sécurité du monde.

 

Maintenant que l'armée française a tapé dans la fourmilière des groupes islamistes et libéré les villes du nord du Mali, qu'est-ce qu'on fait ? » s'interroge-t-on dans les chancelleries. Car au-delà de la stabilisation du Mali, le problème de la région dans son ensemble reste entier. Un mois après le lancement de l'opération surprise de soutien à Bamako lancée par Paris, le Sahel suscite toujours autant d'interrogations et apparaît comme une sorte de « ventre mou », sur lequel il est bien difficile de s'appuyer. Il représente pourtant un enjeu capital pour les espaces qui l'entourent… et bien au-delà. Souvent qualifié de « zone grise » sans unité, voire de « chaos » après l'« Afrique inutile » de l'époque coloniale, le Sahel vaut en effet beaucoup plus que cela : l'historien Fernand Braudel ne désignait-il pas le Sahara comme « l'autre Méditerranée », alors que l'OCDE, dans une étude récente, estimait qu'« on ne peut aborder les enjeux stratégiques méditerranéens en faisant l'impasse sur la géopolitique du Sahel », « cet espace charnière entre la Méditerranée et l'Afrique subsaharienne » ? Les voies de passage, qu'on croit s'être évanouies avec les caravanes, appartiennent bien au présent, et les flux migratoires y sont plus vigoureux que jamais. Ironique consécration, d'ailleurs : depuis les années 2000, « le Sahel est perçu comme un espace dont l'instabilité menacerait la sécurité du monde », rappelle le politologue Frédéric Deycard, chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le monde, de Bordeaux.

 

Les faiblesses politiques, institutionnelles, économiques et militaires de la région en font à l'évidence un terrain miné. « Sur le fond, tous les pays y vivent un peu les mêmes difficultés que le Mali, et tout le monde peut sauter », résume crûment un haut responsable diplomatique européen. « Fragilité », « vulnérabilité », résonnent en leitmotiv chez les experts du Sahel. Elles sont multiformes, et ne disparaîtront pas du jour au lendemain.

 

En son temps, déjà, la décolonisation n'a su léguer ni paix ni fonctionnement démocratique à des Etats qui, bien plus que des agressions extérieures, ont depuis eu à souffrir de handicaps internes précipitant désordres politiques, coups d'Etat, partitions, et conflits ethniques et religieux. Avec pour résultat une sous-administration chronique des territoires et la stérilisation de l'émergence de toute gouvernance. Les plans d'ajustement structurels et le désendettement imposés à ces pays par les institutions internationales n'ont pas non plus aidé : en asséchant leurs déjà chiches budgets sociaux, ils ont ouvert un véritable boulevard à la prolifération d'organisations non-étatiques nouvelles et puissantes, souvent radicales, réduisant d'autant l'emprise de l'Etat sur la société, relèvent les experts. En matière de décomposition étatique, dont le Mali ne constitue hélas pas un contre-exemple, « le Sahel semble en passe de succéder à la région des Grands Lacs », estime Serge Sur, rédacteur en chef de « Questions internationales ». Faiblesse économique, encore, de pays parmi les plus pauvres du monde, qui ont souffert de la dévaluation du franc CFA de 1994 ; dont les budgets nationaux, auparavant quasiment exclusivement alimentés par la fiscalité portant sur l'import-export, ont cruellement souffert de la libéralisation des échanges mondiaux ; et dont les grands commerçants, très liés aux pouvoirs politiques, ont toujours cherché à freiner la modernisation de l'économie. L'arc sahélien dispose pourtant d'un riche sous-sol : à l'or et au sel, qui ont traversé l'histoire, se sont ajoutés le pétrole, le gaz, le fer, l'uranium, les phosphates, le cuivre, la bauxite, le cobalt et le nickel. On parle même désormais d'un « hub énergétique » sahélien. Mais cette rente, que se disputent les puissantes multinationales ainsi que les opérateurs chinois, européens et arabes, n'a jamais permis aux Etats de consolider leur autorité… Elle a en revanche enrichi nombre de ses « serviteurs ».

 

Un climat d'insécurité généralisé

 

Faiblesses physiques et géographiques, enfin, que partagent tous les pays sahéliens : une explosion démographique (150 millions d'habitants prévus en 2040, le Niger enregistrant une croissance démographique sans précédent dans l'histoire de l'humanité), l'exceptionnelle mobilité des individus et des groupes et la dilution des frontières, l'immensité des territoires, et la circulation massive d'argent et d'armes rendent impossibles l'exercice des fonctions régaliennes des Etats, créant un climat d'insécurité généralisé. Sans surprise, la région a ainsi fait le lit des activités criminelles, de trafics (de drogue notamment, en provenance d'Amérique latine et à destination de l'Europe), et d'une véritable « conflictualité endémique », comme le souligne l'OCDE, où les groupes djihadistes et terroristes ont trouvé une place. C'est sur ces bases bien branlantes que se pose aujourd'hui la question du devenir de l'intervention armée africaine contre les groupes armés islamistes au Mali. Que les soldats français entament rapidement leur retrait du Mali, que les forces africaines de la Misma (Mission internationale de soutien au Mali) deviennent pleinement opérationnelles, ou que l'aide militaire au Mali se transforme en une opération de maintien de la paix sous l'autorité des Nations unies, les armées de la région seront nécessaires. Jusqu'où sont-elles capables d'aller pour éradiquer les islamistes de la région, et pas seulement les refouler du Mali ? « Le Niger, la Mauritanie ou l'Algérie sont-ils prêts à sortir de leurs frontières ? A un moment donné, la question va se poser, car on a là affaire à une logique continentale, qui va de la Mauritanie à la Somalie des shebabs ! » estime un diplomate français de haut niveau.

 

Tous les experts s'accordent sur le rôle d'« acteur-clef » qu'aura l'Algérie voisine sur cette question. Mais au coeur même du Sahel, les ressources politico-militaires ont d'abord quelques caractéristiques communes peu encourageantes : « Aucune ne peut répondre, comme la France, à des problématiques de terrorisme », souligne le consultant béninois Oswald Padonou. « Depuis la fin de la Guerre froide, et donc la fin des "sponsors", les équipements militaires lourds sont en ruine », rappelle le colonel Michel Goya, de l'Institut de recherche stratégique de l'Ecole militaire ; ces armées sont faibles et plutôt « faites pour l'intérieur, au service du pouvoir politique, car, pour les opérations extérieures, il y avait la France. C'est par ailleurs un vrai problème d'envoyer ce qu'on a de mieux à l'étranger ! » souligne un autre expert ; « Le gros souci, c'est le renseignement. Largement utilisé contre les opposants politiques, il est très peu partagé dans la région », ajoute un observateur africain. On ne manque pourtant pas, parfois, ni de moyens ni de motivations pour agir… Petite revue de détail.

 

Le Tchad

 

« C'est la superpuissance militaire de la région », affirme Michel Goya. « C'est une armée qui s'est aguerrie pendant des années lors des conflits avec le Soudan, et qui s'est rôdée dans le désert lors de l'intrusion de la Libye au Tchad », souligne Oswald Padonou. Son « plus » : le niveau de son armement autorisé par ses revenus pétroliers au cours des dernières années, et le nombre - et surtout la qualité professionnelle - de ses troupes, de surcroît proches de l'armée française. Non-membre de la Misma, le Tchad a rejoint la France au Mali et « est partant pour l'éradication du terrorisme islamiste », précise un diplomate.

 

Le Niger

 

Vu d'Europe, c'est plutôt un « bon élève », qui « a dépêché des troupes sur le front terroriste dès la première heure ». Le gouvernement, qui bénéficie d'une forte légitimité politique, « a conscience de sa fonction régalienne pour faire face aux vraies menaces », observe Oswald Panodou. « On constate un vrai effort de la part de Niamey. Le budget 2012 a été réaménagé en faveur de l'armée face à l'expansion terroriste et en direction d'infrastructures sociales, afin de couper l'herbe sous les pieds des islamistes. A leur retour de Libye, les combattants touareg ont été soigneusement désarmés [contrairement aux Maliens !] et gratifiés de programmes de réinsertion professionnelle », ajoute le consultant. Une démarche « intelligente » largement soulignée. « Le Niger peut constituer un exemple pour la résolution du problème malien », estime Pierre Jacquemot, ancien ambassadeur et chercheur associé à l'Iris.

 

Le Nigeria

 

Le géant économique africain possède un énorme budget militaire et une armée « importante en nombre », mais qui a fort à faire sur le front intérieur et souffre de « problèmes de qualité de la chaîne de commandement » : « l'élite est déconnectée de la base », explique un expert africain. Sur la question malienne, le Nigeria est resté quelque peu en retrait face au tandem Ouattara (président de la Cédéao)-Compaoré (médiateur avec les groupes du nord du Mali), mais les contacts avérés entre Aqmi et le groupe terroriste islamiste Boko Haram, qui sévit au nord du Nigeria et envers lequel Abuja a choisi la manière forte, mais sans autres résultats que de le radicaliser, ont visiblement changé la donne. « Sans le Nigeria, il sera difficile de bouger », estiment les observateurs.

 

Le Burkina Faso

 

Médiateur actif et clef des grandes crises régionales, le président Blaise Campaoré, à la tête d'un régime hyper-autoritaire, a toujours été le partisan ambigu d'une solution négociée au nord du Mali, au risque de relations dangereuses avec les islamistes. En appui des aspirations stratégiques régionales de Ouagadougou, l'armée burkinabée a développé des capacités importantes, et elle est considérée comme « bien équipée, bien préparée, et bien renseignée ». Mais elle a été secouée par des rébellions en 2011.

 

La Mauritanie

 

Frappé ces dernières années par plusieurs attentats, attaques et prises d'otages d'Aqmi, Nouakchott est monté en première ligne contre le terrorisme islamiste, et est considéré comme un solide allié de Paris et Washington. Victime de coups d'Etat récurrents, fragile économiquement malgré son pétrole, traversée de courants très conservateurs de l'islam et travaillée par des tensions interethniques, la Mauritanie n'est pour le moment pas « chaude » pour rejoindre une intervention collective au Mali.

 

Les points à retenir

 

Espace charnière entre la Méditerranée et l'Afrique subsaharienne, le Sahel est une voie de passage importante pour la région.L'immensité des territoires, la dilution des frontières, la mobilité des groupes sont autant de facteurs rendant difficile toute tentative de contrôle de cette « zone grise ».Désordres politiques, coups d'Etat, conflits éthniques et difficultés économiques compliquent la capacité des pays à coordonner leur lutte contre les groupes terroristes.

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:45

mali-cikan.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12.02.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Appelons ça une "opération de com d'influence"; certains parleront de "psy ops", d'autres diront "propagande". Peu importe; le site Mali-Cikan existe depuis quelques jours (post inaugural: le 30 janvier) et comme l'annoncent les animateurs du site, qui ne se cachent pas (la preuve ci-dessous):
cikan2.jpg"ce site d’information est dédié à ceux qui veulent en savoir plus sur les opérations et les missions en cours au Mali. Il permet d’accéder à des informations actualisées quotidiennement sur les principaux volets de l’intervention militaire."

"Quotidiennement"? C'est bien là mon seul reproche: Mali-Cikan manque de réactivité: ce mardi matin, à 7h30, pas un mot sur Gao. La dernière entrée date du lundi 11 certes, mais elle traite d'un événement du 9.

 

Allez du nerf! Pour avoir vécu et travaillé pendant dix ans en Afrique, je peux assurer que la rue africaine est avide d'infos. Quand on traite d'une opération militaire dans un Etat où les déplacés se comptent par dizaines de milliers, où les nouvelles du pays manquent, où les communications téléphoniques sont capricieuses, ce n'est pas en proposant une version "africanisée" du site du MinDef que l'on va rendre service aux internautes locaux. Je sais que l'information de proximité ou la com' de proximité, ça demande des moyens... Mais des OCI sur place, ça existe; et pour un peu que l'on réduise la "chaîne de commandement éditorial", on devrait pouvoir apporter, dans des délais acceptables, un vrai plus aux lecteurs de Mali-Cikan (qui ne devraient pas être seulement des journalistes).

 

PS: "cikan" signifie "message".

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:45

La veille permanente est un point essentiel de cette mission d’accompagnement

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11.02.2013 Par Aviso EV Jacoubet

 

Dans le cadre de l’opération Serval, l’aviso « Enseigne de vaisseau Jacoubet » a appareillé dimanche 27 janvier afin d’accompagner un bâtiment civil affrété par la marine nationale. La mission consistait à sécuriser le transport stratégique de matériel nécessaire à l’opération Serval se déroulant au Nord Mali. Après une escale technique de quelques heures à Malaga, le Jacoubet a franchi le détroit de Gibraltar en escorte du bâtiment affrété, en route vers Dakar. 

 

C’est le deuxième transport stratégique maritime depuis le début de l’engagement français au Mali. Le premier, parti quelques jours plus tôt était effectué par le BPC Dixmude, escorté lui aussi par un aviso, le LV Le Hénaff. Ce premier convoi avait permis le déploiement d’un GTIA supplémentaire au Mali avec beaucoup de souplesse. Arrivés au Sud des îles canaries au terme de 6 jours de navigation, le convoi remontant vers le nord composé du Dixmude et du Le Hénaff et celui descendant, composé du Jacoubet et de l’affrété se sont retrouvés pour changer d’escorteur. Le Jacoubet a donc fait demi tour en direction du Nord pour accompagner le Dixmude, l’affrété quant à lui a continué sa route, accompagné par l’aviso Le Hénaff.

 

Au sud des canaries le Jacoubet et l’affrété qu’il accompagne retrouvent le Dixmude (au fond) et le LV Le Hénaff

 

Cette remontée avec le Dixmude a été l’occasion d’effectuer des entraînements en commun à la mer même si le trajet vers notre port base commun a été marquée par une météo défavorable jusqu’au passage de Gibraltar le 4 février dernier. Une deuxième escale de 36 heures à Malaga nous a permis de ravitailler en carburant et en eau afin de terminer notre mission et traverser la méditerranée occidentale jusqu’au port de Toulon où nous avons accosté en fin de semaine dernière.

Sur l’aviso, quelque soit la mission à accomplir, « tout baigne !»

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:45

MISMA

 

12.02.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

On a tendance à l'oublier mais la force africaine au Mali, la MISMA, poursuit sa montée en puissance. Sont récemment arrivés des compléments des contingents de la Guinée Conakry (150), du Bénin (150) et du Sénégal (180). Désormais, les effectifs des forces africains atteignent près de 4 100 soldats dont 1 800 des forces armées tchadiennes déployées entre Kidal et Tessalit. A terme, ces soldats africains devraient être 8 000.

 

A Gao, c'est un bataillon nigérien, remis à niveau par la France fin 2012, qui est déployé aux côtés des forces maliennes et françaises. François Rihouay, le correspondant d'Ouest-France, est sorti en patrouille avec eux. Voic son récit paru dans nos éditions de ce mardi (cliquer sur l'image pour accéder à la version en ligne qui permet une meilleure lecture):

 

gao niger.jpg

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