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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:45

soldier_combat_uniforms_armyrecognition_south_africa_army_0.jpg

source army recognition

 

17 January 2013 by Kim Helfrich - defenceweb.co.za

 

South Africa’s latest deployment in support of African peace and stability, in the Central African Republic (CAR), has come under fire, in part due to its stated R65 million cost.

 

David Maynier, Democratic Alliance MP and Shadow Minister of Defence and Military Veterans, wants to know why capacity building of the Central African Republic (CAR) defence force needs “elite combat formations” such as the Parachute Regiment and the Special Forces Brigade.

 

He has also questioned the deployment cost given by President Jacob Zuma in his letter to National Assembly Speaker, Max Sisulu, on January 7.

 

Maynier maintains SA National Defence Force (SANDF) elements have been deployed into “the middle of what amounts to a civil war in CAR. There is surely little opportunity for the South African soldiers to assist with, for example, disarmament, demobilisation and reintegration of the CAR defence Force.

 

“Moreover, if the reason for the deployment was simply to provide assistance with these tasks why use the Parachute Regiment and Special Forces Brigade? It unfortunately creates the impression the SANDF was deployed to provide support for President Francois Bozize.”

 

The outspoken Maynier, who was on the receiving end of former Defence and Military Veterans Minister Lindiwe Sisulu’s wrath on a number occasions, is also not happy with the stated deployment cost of R65 055 000.

 

“The deployment cost over a five year period cannot possibly be R65 million. This amount is more likely to be the cost of the deployment of the defence force for a couple of months. The real cost of the CAR deployment at current force levels over a five year period is likely to exceed R1 billion.”

 

With the SANDF battling to meet its commitments, both in terms of budget and manpower, Maynier also questioned the CAR deployment against a background of local use of military and security forces.

 

“Last year it was reported about 1 050 soldiers were deployed on border protection as from April. Add to this the 16 722 police and security force personnel protecting Ministers and their residences and the country has more bodyguards than troops protecting the country.”

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:45

c212.jpg

 

17 January 2013 by Dean Wingrin/defenceWeb

 

A South African Air Force (SAAF) transport aircraft was involved in a landing incident at Bloemfontein this morning.

 

The CASA 212 light transport aircraft, operated by 44 Squadron, was involved in a “hard landing” at AFB Bloemspruit shortly after 10h00 this morning. AFB Bloemspruit shares a runway with Bram Fischer International Airport (Bloemfontein).

 

It is understood that the aircraft landed heavily on its nose wheel and thereafter ran off the runway. The SAAF flight crew were uninjured. It is not known if any passengers were aboard at the time of the incident.

 

Four CASA 212s are currently in the SAAF inventory, inherited in 1994 from the air wings of the former Bophuthatswana (1, 1985), Transkei (2, 1986) and Venda (2, 1988).

 

The accident marks the SAAF’s third incident in the last three months. On December 5 eleven people died when their 35 Squadron C-47TP crashed in bad weather in the Drakensberg mountains. The aircraft was on a routine shuttle run from AFB Waterkloof near Pretoria to Mthatha in the Eastern Cape. Four of the crew were from 35 Squadron, based at AFB Ysterplaat in the Cape.

 

On November 7, a C-47TP Dakota of 35 Squadron was involved in a landing accident at Mthatha Airport, when it bounced on landing and left the runway. Damage included a torn-off main undercarriage, bent propeller and damaged engine and wing. Fortunately, none of the 16 passengers on board was injured.

 

The SANDF is expected to issue a press release shortly on the CASA 212 incident.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/it/thumb/d/d4/Lockheed_C-130H_MM61991_Aeronautica_Militare.jpg/800px-Lockheed_C-130H_MM61991_Aeronautica_Militare.jpg

 

jan 17, 2013 Nicolas Gros-Verheyde(BRUXELLES2)

 

Le ministre des Affaires étrangères italien Terzi l’a confirmé à son arrivée à Bruxelles pour la réunion des ministres des Affaires étrangères. L’Italie fournira un soutien logistique à l’opération menée par la France au Mali. Un avion C130 Hercules sera mis à disposition, ainsi qu’une équipe logistique, qui pourra être placée sur une base italienne, au sud, au plus près de l’Afrique. Par ailleurs, l’Italie va s’impliquer avec 24 soldats pour l’opération EUTM Mali en liaison avec la mission EUCAP Niger a déclaré le ministre Terzi, selon mon confrère de TMnews.

 

Suite de l’article

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:34

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/f/f8/Drapeau_de_l%27Union_africaine_%282010%29.svg/800px-Drapeau_de_l%27Union_africaine_%282010%29.svg.png

 

17 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

ADDIS ABEBA - Une réunion des donateurs destinée à soutenir le déploiement de la force africaine au Mali (Misma) se tiendra le 29 janvier à Addis Abeba, au lendemain de la clôture d'un Sommet de l'Union africaine (UA), a annoncé jeudi l'UA dans un communiqué.

 

Cette conférence donnera l'occasion de mobiliser des ressources et autre soutien nécessaire aux forces de défense et de sécurité maliennes, ainsi que pour la Misma, indique la Commission de l'UA dans un communiqué, publié après une rencontre avec celle de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao).

 

Au cours de cette réunion, il a été décidé, conformément au caractère africain de la Force, de trouver des contributions supplémentaires (en troupes) de la part d'autres membres de l'UA, hors Cédéao.

 

L'UA dirigera les efforts pour mobiliser des contingents hors de la Cédéo pour intégrer la Misma, selon le texte.

 

A l'origine la force ouest-africaine, la Misma a été autorisée par la résolution 2085 de l'ONU du 20 décembre, pour combattre les islamistes qui occupent depuis mi-2012 le nord du Mali. Elle sera dirigée par un général nigérian, Shehu Abdulkadir.

 

Quelque 2.000 soldats de contingents de la Cédéo sont attendus d'ici le 26 janvier à Bamako, et un premier contingent nigérian devait arriver jeudi.

 

Les effectifs de la Misma ont d'ores et déjà été étendus à des forces hors-Cédéao, le Tchad ayant promis 2.000 hommes, dont un premier groupe a quitté N'Djamena jeudi. Les soldats tchadiens, aguerris et rompus au combat dans le désert, devraient apporter une forte plus-value opérationnelle à la Misma.

 

Sur le terrain, la France a déployé depuis samedi 1.400 soldats au Mali, certains d'ores et déjà engagés dans des combats au sol contre les islamistes qui s'étaient récemment rapprochés de Bamako. Des avions et hélicoptères de combat sont également engagés.

 

Le Burundi s'est dit prêt mi-janvier à contribuer à la Misma, si on le sollicitait.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:33

Opération Serval

 

17 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

BRUXELLES - Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a assuré jeudi que tous les pays européens avaient salué l'action de la France au Mali.

 

Les Français ne sont pas seuls, ils sont les précurseurs, a dit M. Fabius en quittant une réunion avec ses homologues européens consacrée au soutien de l'UE aux opérations engagées pour venir en aide au Mali.

 

L'ensemble des pays a apporté sa solidarité à la fois au Mali et à l'action de la France, a-t-il ajouté.

 

Devant la presse, M. Fabius a refusé de commenter les informations concernant la prise d'otages en Algérie en raison de l'évolution constante de la situation.

 

C'est une situation absolument dramatique qui démontre à quel point le terrorisme est un mal absolu, a-t-il dit.

 

Il a répété que l'intervention de la France, lancée vendredi dernier, était nécessaire, urgente. Il fallait stopper les terroristes, car sinon ils auraient pris Bamako et le Mali serait devenu un Etat terroriste, a-t-il expliqué.

 

Il y a une unanimité en Europe sur le bien fondé de l'action française, a assuré M. Fabius, qui a appelé la classe politique française à se garder de toute polémique dans ce contexte.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:28

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130116-operation-serval-point-de-situation-du-16-janvier-2013/point-de-situation-du-16-janvier-2013-1/2139187-1-fre-FR/point-de-situation-du-16-janvier-2013-1.jpg

photo EMA (16 jan 2013)

 

17/01/2013 à 16:10 Par David Baché Envoyé spécial à Markala (Mali) - Service infographie du Figaro

 

REPORTAGE - Les premiers soldats Français ont quitté Bamako et commencé à remonter vers le nord du pays dans les zones où se sont repliés les groupes islamistes armés.

 

Mardi soir, une centaine de soldats français, embarqués à bord de dix-huit véhicules - ERC 90 Sagaie et VAB (véhicules de l'avant blindés) - a quitté Bamako. Sur sa route, en sortant de la capitale du Mali, la population applaudit, klaxonne, crie «Vive la France!».

 

Après une douzaine d'heures de route, le GRA Sirwa (groupement interarmes Sirwa, du nom d'une antilope du désert malien), composé d'éléments du 21e régiment d'infanterie de marine (Rima) de Fréjus et du 1er régiment étranger de cavalerie d'Orange, arrive mercredi matin à Markala, à 270 kilomètres au nord-est de Bamako. Objectif: la sécurisation du pont de Markala et de son barrage hydroélectrique. Un site jugé stratégique, car il s'agit du premier grand pont sur le fleuve Niger avant la capitale.

 

«Face à nous, il y a un ennemi que nous estimons à plusieurs centaines d'hommes et de nombreux véhicules, explique le lieutenant-colonel Frédéric, chef du détachement blindé à Markala. Notre objectif est de tenir le pont qui nous est confié.» Ce pont n'est pas aux mains des combattants islamistes et l'armée malienne s'y trouve déjà présente. Le GRA Sirwa a donc pour mission de relever les «camarades» maliens et de conserver ce «point clé de la zone». À terme, l'essentiel du GTIA (groupement tactique interarmées) est censé s'y concentrer.

 

«Nous sommes impliqués avec nos camarades maliens pour interdire le franchissement de ce pont», dit encore le lieutenant-colonel Frédéric, qui précise, mais en souriant, que «ça peut devenir tendu». Une première mission de sécurisation, donc, et non de reconquête, mais qui marque le début d'une nouvelle étape pour l'armée française: pour la première fois, après avoir massivement employé sa force de frappe aérienne, elle engage ses hommes au sol.

Incidents techniques

La première phase de cette mission devrait durer 36 heures, au terme desquelles parviendra le premier ravitaillement. Parmi les militaires engagés, qui ne savent pas combien de temps ils vont rester, on note davantage d'enthousiasme que de tension. «On ne peut pas être plus devant, se réjouit l'un d'eux, à peine descendu de son blindé, le visage noir de poussière. Donc ça ne peut pas être plus intéressant. On est en première ligne.»

 

Un adjudant de l'armée de l'air, présent pour assurer la coordination avec les avions chargés d'observer la zone pendant la nuit, se montre plus sobre: «C'est l'ordre qui nous a été donné, c'est tout, nous tiendrons notre position. Le risque est calculé, même s'il y a toujours une part d'impondérable. On est les premiers, donc c'est à nous d'essuyer les plâtres.» Une allusion aux déboires techniques rencontrés par la colonne, contrainte de s'arrêter à de nombreuses reprises pendant la nuit, notamment pour soutenir un blindé affecté d'une simple crevaison. Des dysfonctionnements minimes, mais qui pourraient entamer la confiance. «Ça arrive souvent, élude le lieutenant-colonel Frédéric, et tout va être réglé rapidement.»


Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:45

council of the eu

 

17 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

BRUXELLES - Les ministres européens des Affaires étrangères ont approuvé jeudi l'établissement de la mission de l'UE destinée à former et à réorganiser l'armée malienne, a-t-on appris de source européenne.

 

Cette décision, prise au cours d'une réunion ministérielle exceptionnelle consacrée à la crise malienne, vise à déployer quelque 450 Européens, dont 200 instructeurs, à partir de la mi-février dans le cadre de cette mission dénommée EUTM.

 

Le calendrier a été accéléré de quelques semaines pour prendre en compte la nouvelle situation créée par l'intervention militaire française lancée vendredi dernier.

 

A son arrivée à la réunion, le ministre français, Laurent Fabius, a jugé normal que la solidarité européenne s'exprime. Il faut bien comprendre que, même si la France est précurseur, tous les pays européens sont concernés par le terrorisme, a-t-il ajouté devant la presse.

 

Outre la mission européenne, M. Fabius a indiqué attendre que l'ensemble des pays européens fassent des efforts sur les plans financiers, notamment pour aider l'opération d'intervention des troupes des pays d'Afrique de l'ouest, et en faveur du développement du Mali, l'un des pays les plus pauvres au monde.

 

Plusieurs ministres, dont ceux d'Allemagne et d'Espagne, ont exprimé leur soutien aux différentes mesures présentées.

 

EUTM, dont la France est la nation-cadre, a pour tâches de former et conseiller les forces armées (...) afin de contribuer à restaurer leur capacité militaire avec l'objectif de leur permettre de mener les opérations de combat visant à rétablir l'intégrité territoriale du pays, selon l'UE.

 

Les militaires européens ne participeront pas à des opérations de combat, a précisé l'UE.

 

Concernant la prise d'otages en Algérie, M. Fabius a indiqué qu'il s'exprimerait en fonction des développements.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:45

http://fbcdn-sphotos-h-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/736439_480058688706528_1959457436_o.jpg

 

17.01.2013  Armée française - opérations militaires OPEX (page officielle)

 

Opération Serval - Ravitaillement en vol par un C135 F ravitailleur d’un avion Rafale engagés dans l’opération Serval, entre N’Djamena au Tchad et un objectif ciblé au Mali, le 15 janvier 2013.

Crédit EMA / armée de l’Air

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:45

RAF C17

 

17 January 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Britain is giving strong logistical support in Mali, where France is leading international efforts to repel Islamic rebels, Europe Minister David Lidington said.

 

"We have given the logistical support which our French partners have asked for," he told reporters on arrival at a meeting of foreign affairs ministers in Brussels, reuters reports.

 

"The UK government continues to give its very strong support to the French-led intervention," he said.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:45

CEDEAO

 

17 January 2013 defenceWeb (Reuters)

 

The chairman of the West African bloc ECOWAS said the group aimed to mobilise its troops as quickly as possible in order to support Malian forces fighting Islamist rebels.

 

Ivory Coast President Alassane Ouattara, who currently holds the rotating chairmanship of ECOWAS, said on a visit to Berlin that the situation in Mali had developed very fast and required urgent action, which he hoped all Europeans would support.

 

"We want to mobilise our troops as quickly as possible to support the Malian forces. We want to solve the problem, militarily, as quickly as possible, also so we can move to humanitarian support," Ouattara said. ECOWAS leaders would meet on Saturday, he added, Reuters reports.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:45

US DOD United States Department of Defense Seal.svg

 

17 January 2013 defenceWeb (Reuters)

 

The United States takes the French fight with al Qaeda-affiliated militants in Mali "very seriously" but must evaluate French military needs and the legal basis for U.S. action before providing aid, said Defense Secretary Leon Panetta.

 

Panetta, speaking to reporters in Rome, said the United States already was providing information to Paris to help French forces in their effort to disrupt the advance of Islamist groups in Mali until the ECOWAS grouping of African nations can put troops on the ground, Reuters reports.

 

"The administration takes this very seriously and they have indeed been reviewing areas where assistance can be provided," said Panetta, who is on a week-long trip to Europe that will likely be his last as defense secretary. "I'm confident that we're going to be able to provide that assistance."

 

Asked why a decision on the issue was taking so long, Panetta said the U.S. administration wanted to make sure of the kind of assistance Paris needed and "that we have the proper legal authorities to be able to provide that."

 

Asked if the legal authorities granted the administration to battle al Qaeda following the September 11 attacks weren't enough, Panetta quipped: "One thing I've learned is every time I turn around I face a group of lawyers."

 

"The lawyers basically have to review these issues to make sure that they feel comfortable that we have the legal basis for what we're being requested to do," he added. "I'm not going to say these questions are insurmountable. ... I'm confident that we'll able to provide the assistance."

 

Paris has sent hundreds of soldiers to Mali and carried out air raids since Friday in the northern half of the country, which was seized last year by an Islamist alliance that included al Qaeda in the Islamic Maghreb.

 

WAITING FOR ECOWAS

 

The French action that began on Friday was to halt a move by the militants toward the Malian capital until an ECOWAS force could be deployed in the region.

 

Panetta told reporters on Monday the Pentagon was looking at providing France with logistics, intelligence and airlift capabilities.

 

Western and West African states fear the al Qaeda-linked insurgents will use Mali's north, a vast and inhospitable area of desert and rugged mountains the size of Texas, as a base for international attacks.

 

"From my own background in having dealt with al Qaeda, they are a threat," Panetta said. "Wherever they locate and try to establish a base for operations, I think that that constitutes a threat that all of us have to be concerned about."

 

Panetta said the concern was that the group could use Mali to carry out attacks like the one on Wednesday in Algeria, where Islamist militants attacked a gas field, reportedly killing three people and kidnapping up to 41, including seven Americans.

 

"That's the kind of thing terrorists do. And that's why we're concerned," he said.

 

Panetta said he had discussed Mali with Italian Defense Minister Giampaolo di Paola and other Italian leaders during visits on Wednesday. Italy and Germany have both announced plans to provide France with assistance, and Britain is providing transport aircraft.

 

"I don't think there's any question that all of us concur that we ought to provide whatever assistance we can to assist the French in their effort," he said, adding that French actions had been endorsed by the United Nations and should be considered an "international effort."

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:59

Opération Serval

 

17.01.2013 à 13h19 Le Monde.fr

 

Si la communauté internationale salue la décision française d'intervenir au Mali pour bloquer l'avancée vers le Sud des "terroristes", l'aide – concrète ou promise – des alliés de la France est, pour l'heure, réduite à sa portion congrue. Outre les troupes maliennes et les quelque 200 soldats sur le point d'arriver du Nigeria, la France est seule sur le terrain. Revue des moyens alloués par les alliés de la France.

  •  Allemagne

 Les parlementaires allemands ont adressé, mercredi 16 janvier, un message de soutien à la France, qui était représentée, au Bundestag par Bernard Cazeneuve, ministre délégué aux affaires européennes.

 

C-160 of the German Air Force-Transall LTG 62 1983

 

L'Allemagne a promis de mettre à disposition deux avions de transport de troupe Transall. "Nous ne refusons pas de prendre nos responsabilités, nous le faisons sur différents terrains, en Afghanistan ou au Kosovo, où nous fournissons le plus gros contingent", s'est justifiée la chancelière Angela Merkel, mardi, à la radio allemande.

  • Etats-Unis

Les Etats-Unis apporteront une aide en matière de logistique et de renseignement, a assuré Jay Carney, porte-parole de la Maison Blanche, lors d'une conférence de presse. Le même porte-parole a en revanche exclu tout envoi de troupes.

  • Nigeria

Le Nigeria est l'un des pays au centre du dispositif de 3 300 soldats africains qui étaient censés intervenir, au mieux en septembre, sous l'égide de la Commuauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao).

Un premier contingent de 200 soldats nigérians doit arriver jeudi à Bamako. Ce seront les premiers non-Français à intervenir au Mali.

  • Cédéao

CEDEAO

 

La résolution 2085 de l'ONU a autorisé les pays africains à disposer leurs troupes au Mali pour faire cesser la progression des "groupes terroristes et des réseaux criminels".

Selon un officier de l'armée malienne cité par l'AFP, 2 000 hommes seront déployés d'ici au 26 janvier, sur les 3 300 prévus à terme, venus des pays voisins – Niger, Nigeria, Bénin, Burkina, Togo, Sénégal.

  • Belgique

"La Belgique entre dans le conflit", titre le quotidien belge Le SoirCet engagement consiste en l'envoi de deux avions Hercule C-130 et d'un hélicoptère Augusta A-109.

 

A109 source airventure.de

 

Quelque 70 hommes gagneront la région, "pour rejoindre ce matériel volant et assurer sa protection et son déploiement effectif".

  • Danemark

Denmark-Air-Force_C-130J-Hercules--L-382-_190712.jpg

 

 Les Danois se sont engagés à fournir un  Hercule C-130.

  •  Royaume-Uni

RAF C17

 

Les Britanniques apporteront, eux aussi, un soutien logistique aux troupes françaises. Pour l'heure, cette aide consiste en l'envoi de deux avions de transport C-17. Aucun envoi de troupe n'est prévu. L'un d'entre eux est arrivé sur place, le second a pris du retard en raison de problèmes mécaniques, assure The Guardian.

  • Canada

C-17

 

François Hollande s'est entretenu avec le premier ministre canadien, Stephen Harper, pour lui demander son soutien. Selon le Globe and Mail, le Canada pourrait mettre à disposition un avion de transport de troupes C-17, pour une semaine.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:11

operation-serval-4

 

17 janvier 2013 13h03 Romandie.com (AFP)

 

N'DJAMENA - Un premier contingent de soldats tchadiens destinés à la future force africaine au Mali a quitté mercredi soir N'Djamena à bord de trois avions pour Niamey, a appris jeudi l'AFP de source militaire tchadienne.

 

Deux cents éléments des forces spéciales tchadiennes, sur les 2.000 hommes promis par le Tchad, ont quitté hier soir N'Djamena et ils sont présentement à la base militaire de Niamey (Niger) a indiqué une source militaire tchadienne sous couvert de l'anonymat.

 

Nos éléments sont partis à bord de trois avions, les chars sont transportés dans un C-130, les pick-up dans un Antonov et les troupes ont été embarquées dans un Boeing de la compagnie Toumai Air Tchad, a précisé cette source.

 

Ces premières troupes tchadiennes devaient être rejoints par des soldats burkinabé et nigériens, pour ensuite pénétrer en territoire malien, selon la même source.

 

Vous partez pour défendre une cause juste et donc ayez un comportement exemplaire, a déclaré le ministre de la Défense Benaindo Tatola à l'attention des militaires tchadiens, toujours cité par la même source.

 

Les soldats tchadiens, aguerris et rompus au combat dans le désert, devraient apporter une forte plus-value opérationnelle à la force d'intervention de la Cédéao, la Misma (Force internationale de soutien au Mali), pour reprendre le nord du Mali.

 

A l'origine une force ouest-africaine, la Misma sera dirigée par un général nigérian, Shehu Abdulkadir. Quelque 2.000 soldats ouest africains sont attendus d'ici le 26 janvier à Bamako, avec l'arrivée jeudi d'un premier contingent nigérian.

 

Le Nigeria doit fournir 900 hommes. Le Niger, le Burkina Faso, le Togo et le Sénégal ont également annoncé l'envoi chacun d'environ 500 hommes, le Bénin 300, la Guinée et le Ghana plus de 100 chacun.

 

Plus de 1.400 soldats français sont d'ores et déjà déployés au Mali, et leur nombre devrait à terme s'élever à 2.500.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:48

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Brussels, 17 January 2013 COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION – REF 5428/13 / PRESSE 15

 

 

The Council today established a Common Security and Defence Policy mission to support the training and reorganisation of the Malian Armed Forces. This decision creates the legal basis for the operation and is another step towards its deployment.


The EU training mission in Mali (EUTM Mali) is intended to help improve the military capacity of the Malian Armed Forces in order to allow, under civilian authority, the restoration of the country's territorial integrity. It represents an integral part of the EU's comprehensive approach to the situation in Mali and the Sahel.


EUTM Mali will provide military training as well as train and advise the Malian Armed Forces on command and control, logistics, human resources as well as on international humanitarian law, the protection of civilians and human rights. The mission will not be involved in combat operations.


The Council also appointed Brigadier General François Lecointre from France as EU mission commander. Besides, it estimated the common costs of the operation at EUR 12.3 million for the mandate of 15 months. The headquarters will be in Bamako while training is to take place in a dedicated location north-east of Bamako.


The launch of operations will require a separate legal act.


More information:

 

Factsheet EUTM Mali

 

CV of Brigadier General François Lecointre

 

Council conclusions on Mali


Factsheet European Union and the Sahel

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:45

Europe Flag

 

jan 17, 2013 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

Les 27 ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne viennent de donner aujourd’hui (17 janvier), leur feu vert à la mission européenne de formation de l’armée malienne (appelée EUTM Mali). Quel est son objectif ? A quoi sert-elle ? Qui va la commander ? Combien coutera-t-elle ? … Quel est l’effort européen pour la stabilisation du pays ? Questions et réponses…

 

Suite de l’article

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:45

Operation-Serval.jpg

 

16 janv. 2013 Armée Française (chaîne officielle)

 

13 et 14 janvier 2013 : Arrivée des véhicules blindés à Bamako

 

 


 

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:45

Opération Serval

 

17 janv. 2013 Armée Française (chaîne officielle)


Opération Serval - 14 janvier 2013 : chargement des véhicules dans Antonov à destination du Mali depuis N'Djamena

 


 

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:45

Opération Serval

 

17 janv. 2013 Armée Française (chaîne officielle)

 

Opération Serval - 15 janvier 2013 : montée en puissance des éléments terrestres au profit du dispositif français de l'opération Serval au Mali.


Projection de renforts pré-positionnés à N'Djamena, au Tchad

 


 

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:45

General-Lecointre-source-B2.jpg

 

déc 26, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

Pour diriger la mission EUTM Mali, la France qui assume le rôle de nation-cadre a proposé le nom du général François Lecointre. La règle – non écrite – que la nation-cadre assumant le commandement, c’est elle qui a la maitrise du nom proposé devrait être respectée. Et c’est ce nom qui figure dans le projet de décision à l’examen au conseil des Ministres de l’UE. Le général ayant, outre la nationalité, certaines qualités pour ne pas dire des qualités certaines.

 

Ce nom n’est en effet, peut-être, pas inconnu à certains. En 1995, le capitaine Lecointre avait commandé le groupe de marsouins du 3e régiment d’infanterie de marine (Rima) épaulés par des chars légers Sagaie qui avait repris, fin mai, le pont de Vrbanja au centre de Sarajevo. Fait d’armes qui avait marqué un tournant, dans le conflit en ex-Yougoslavie, donnant ainsi le signal aux Serbes que les casques bleus ne se laissaient plus faire. Les Serbes avaient, en effet, commencé une stratégie de prise d’otages (faisant presque 400 otages parmi les casques bleus). Ils avaient ainsi pris le pont et retenaient prisonniers plusieurs casques bleus français. Les troupes de marine laisseront deux tués dans l’opération et 17 blessés (dont deux graves). S’ensuivront les frappes sur Pale, le fief des serbes bosniaques, et l’intervention de la force de réaction rapide. Et les accords de Paris-Dayton seront signés.

 

Officier des troupes de marine


Né en 1962 à Cherbourg, le général François Lecointre est un officier des troupes de marine dont l’Afrique est généralement le terreau de naissance (puisque elle est née la fusion de l’infanterie et de l’artillerie coloniales). Saint Cyrien, il a servi au 3e RIMA (régiment d’infanterie de marine) d’abord comme lieutenant et au 5e RIOM (régiment interarmes d’outre-mer).

 

Il a été engagé à diverses reprises : en Irak lors de la première guerre du Golfe (1991), en Somalie dans le cadre de l’ONUSOM (1992), en République de Djibouti dans le cadre de l’opération Iskoutir (1991-1993), au Rwanda dans le cadre de l’opération Turquoise (1994) ainsi qu’à Sarajevo (1995). Il a ensuite servi à l’état-major de l’armée de terre, au sein du bureau de conception des systèmes de forces. Il a commandé le 3e RIMA de Vannes et le groupe tactique interarmes 2 (GTIA2) en République de Côte d’Ivoire d’octobre 2006 à février 2007.

 

Auditeur puis directeur de la formation au Centre des hautes études militaires (CHEM) de 2007 à 2009, François Lecointre passe ensuite au cabinet militaire du ministre de la Défense (2009-2011), Hervé Morin comme chef de la cellule “activités-emploi” et adjoint “Terre”. Il commande aujourd’hui la 9e BLBMa (brigade légère blindée de marine) qui est composée du 2e et 3e Rima, du 11e Rama (régiment d’artillerie de marine) et du 6e RG (régiment de génie, basé à Angers).

 

Cet article a été publié en primeur (le 17 décembre) aux abonnés du Club

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 13:11

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/mali/130116-operation-serval-point-de-situation-du-16-janvier-2013/point-de-situation-du-16-janvier-2013-1/2139187-1-fre-FR/point-de-situation-du-16-janvier-2013-1.jpg

photo EMA

 

17 janvier 2013 12h00 Romandie.com (AFP)

 

VINCENNES - Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé jeudi que 1.400 militaires français étaient désormais engagés dans les opérations contre les islamistes armés au Mali.

 

Ce matin, il y a 1.400 militaires français sur le sol malien, a déclaré le ministre en marge d'un déplacement à Vincennes, alors qu'ils étaient plus de 800 selon le pointage donné la veille par le ministère de la Défense. Il y a eu des combats hier (jeudi, ndlr) au sol et par voie aérienne. Il y en a eu cette nuit, il y en a en ce moment, a ajouté M. Le Drian.

 

Evoquant la prise d'otages en Algérie sur un site gazier, le ministre a seulement déclaré que les autorités françaises étaient en relation permanente avec les autorités algériennes. Nous faisons totalement confiance aux autorités algériennes pour faire face à la situation complexe à laquelle ils sont confrontés sur place, a-t-il ajouté.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 12:46

operation-serval-4

 

17.01.2013 à 12h27 Le Monde.fr avec AFP

 

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé, jeudi 17 janvier, que 1 400 militaires français étaient désormais engagés dans les opérations contre les islamistes armés au Mali. Ils étaient plus de 800 selon le pointage donné la veille par le ministère. Le Tchad a par ailleurs annoncé son intention d'envoyer "un régiment d'infanterie et deux bataillons d'appui, ce qui fait aux alentours de 2 000 hommes". "Ce qui se passe au Mali, en tant qu'Etat sahélien, nous concerne", a ajouté le ministre tchadien des affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, à Radio France internationale (RFI). Les premières troupes ont quitté N'Djamena pour le Mali jeudi matin.

 

Les combats se poursuivent sur le terrain, "au sol et par voie aérienne", a déclaré Jean-Yves Le Drian jeudi. "Il y en a eu cette nuit, il y en a en ce moment", a ajouté le ministre français de la défense.

 

Dans la nuit du mercredi à jeudi, un nouvel accrochage a opposé des soldats maliens à des islamistes armés près de Konna, ville du centre du Mali dont la prise le 10 janvier par les djihadistes a provoqué l'intervention de Paris. Un premier affrontement avait eu lieu mercredi après-midi entre des islamistes et des soldats maliens, appuyés par l'armée française présente dans le secteur.

 

"Nous avons eu un deuxième accrochage avec les islamistes à 20 kilomètres de Konna, a déclaré le capitaine Saliou Coulibaly. Six islamistes ont été tués et nous avons pu récupérer huit véhicules et en détruire d'autres." Un combattant islamiste joint par l'AFP a confirmé que les combats pour la contrôle de la zone de Konna n'étaient "pas terminés".

 

NOUVEAUX RAIDS AÉRIENS ATTENDUS À DIABALI

 

Le ministre français de la défense, Jean-Yves Le Drian, avait reconnu que Konna n'avait pas encore été reprise par l'armée malienne, contrairement à ses affirmations. La zone n'est pas accessible à des observateurs indépendants.

 

Par ailleurs, plusieurs quartiers de Diabali (Ouest), où des combats "au corps à corps" auraient opposé mercredi des membres des forces spéciales françaises à des combattants islamistes, restaient encore aux mains des djihadistes, selon une source sécuritaire malienne. Ce que le ministère français de la défense a démenti.

 

Diabali a été prise lundi par des islamistes qui seraient dirigés par l'Algérien Abou Zeid, un des chefs d'Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). La localité a été bombardée à plusieurs reprises mardi par l'aviation française, mais les islamistes ne l'ont pas pour autant totalement quittée et, selon divers témoignages, ils cherchent à se fondre dans la population dont ils se servent comme bouclier. De nouveaux raids aériens de l'aviation française étaient attendus pour aider à les chasser définitivement.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 12:45

zone sahélo-saharienne par el-annabi

 

17.01.2013 rezonances.blog.lemonde.fr

 

Cette note s'appuie sur l'excellente initiative de Rue89, qui a publié récemment une liste de sites et des comptes Twitter pour suivre les derniers développements de l'intervention militaire française au Mali – incluant désormais la prise d'otages en Algérie (retrouvez toutes nos informations sur le sujet).

 

Nous en appelons également à vous, pour nous signaler en commentaire (ou directement sur Twitter @szadkowski_m) les comptes ou sites que vous jugez fiables : cet article sera mis à jour régulièrement, après vérification.

 

Le Monde. En plus de notre compte Twitter @lemondefr qui vous transmet les dernières alertes, voici quelques comptes de nos journalistes :

Twitter

  • Fabien Offner - @fabienoff, journaliste en Afrique de l'Ouest et collaborateur de Rue89
  • Leila Beratto - @LeilaBeratto, journaliste pour RFI et Radio France à Alger
  • Omar Ouahmane - @ouahmaneomar, envoyé spécial de France Culture
  • David Thomson -@_DavidThomson, correspondant de France 24 en Afrique du Nord
  • Julien Sauvaget -@jsauvaget de France 24
  • Tahar Hani - @taharhani de France 24
  • Le blogueur Baki 7our Mansour, observateur de l'Afrique et de l'Algérie en particulier - @7our
  • Olivier Monnier - @OlivMon, journaliste de Bloomberg basé à Abidjan
  • Mark Doyle - @Doylebytes, correspondant de la BBC
  • Afua Hirsch - @afuahirsch, correspondante pour le Guardian
  • Borzou Daragahi @borzou, correspondant pour le Financial Times
  • Bate Felix -@BateEtah, correspondant pour l'agence Reuters
  • Drew Hinshaw - @drewyorkminute, correspondant pour le Wall Street Journal
  • Hannah Armstrong - @HannahHaniya, chercheur
  • Martyn Roper -@martynroper, l'ambassadeur britannique en Algérie

Les sites d'information.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 08:45

A330 Belgium AF

 

16/01/2013 lalibre.be (Belga)

 

Ils ont quitté vers 11h00 l'aéroport militaire de Melsbroek à bord de l'Airbus A330 utilisé par l'armée belge à destination d'Abidjan.

 

Un premier groupe de 35 militaires belges engagés dans l'opération Serval dirigée par la France au Mali pour contrer les groupes islamistes armés s'est envolé mercredi matin à destination de la Côte d'Ivoire, d'où ils mettront en œuvre deux avions de transport C-130 "Hercules". Ils ont quitté vers 11h00 l'aéroport militaire de Melsbroek à bord de l'Airbus A330 utilisé par l'armée belge à destination d'Abidjan, la capitale économique de la Côte d'Ivoire, au lendemain de la décision du Conseil des ministres restreint de participer à l'opération française avec deux C-130 et deux hélicoptères Agusta A109 pour des missions d'évacuation médicale.

 

http://www.airventure.de/helidays03/helidays_a109_30.jpg

Crédits : airventure.de

 

L'un de ces appareils se trouve déjà au Tchad (après un vol assuré au profit de la France dans le cadre du commandement européen du transport aérien, l'EATC). L'autre a quitté Melsbroek mardi après-midi et devait faire escale à Solenzara (Corse) pour embarquer du matériel militaire français à destination du Mali. Ils seront basés à Abidjan et opéreront sous le commandement du chef de l'opération Serval (le "Joint Force Commander" en jargon militaire).

 

Aucune date n'a encore été fixée pour le départ des hélicoptère, a-t-on indiqué mercredi de source militaire.

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 08:45

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

 

MOSCOU, 16 janvier - RIA Novosti

 

La piraterie maritime a connu un net recul en 2012, atteignant un niveau d'activité minimal depuis cinq ans, indique le rapport annuel du Bureau maritime international (BMI) publié mercredi.

Selon le rapport, 297 navires ont été attaqués l'année dernière contre 439 en 2011. En 2012, les pirates ont pris 585 personnes en otages contre 802 un an plus tôt. Le document constate que les attaques de pirates ont fait six morts et 32 blessés.

L'Afrique de l'est demeure la région la plus dangereuse: 25% de tous les détournements de navires (75 attaques) ont été enregistrés au large de la Somalie et dans le golfe d'Aden. Il n'en reste pas moins que ce chiffre témoigne d'une réduction considérable de l'activité des pirates par rapport à 2011 (237 attaques).

D'après le BMI, ce résultat a été obtenu grâce à la mission internationale Atalanta mise en œuvre par l'Union européenne avec la participation de bâtiments de guerre russes.

Par contre, le nombre d'attaques est en hausse au large du Nigeria et dans le golfe de Guinée où 58 navires ont été détournés et 207 membres d'équipage ont été pris en otages l'année dernière.

Au 31 décembre 2012, huit navires et 104 marins sont toujours retenus par des "écumeurs de mer".

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 08:45

RAF C17

 

January 16th, 2013 By UK Ministry of Defence - defencetalk.com

 

Following the Prime Minister’s announcement that the UK will provide logistical military assistance in support of French military operations in Mali, a second Royal Air Force C-17 strategic transport aircraft has arrived in France.

 

At Evreux Airbase near Paris the aircraft will be loaded with armoured vehicles and other military equipment for transport to the Malian capital Bamako. French forces are assisting the Malian Government to contain rebel and extremist groups in the North of the country.

 

Officer Commanding 99 Squadron, Wing Commander Stu Lindsell said:

 

“We started doing some contingency planning on Saturday and we had the green light to go yesterday and so the first aircraft left within 24 hours of our initial scoping.

 

“We will be providing the C-17 logistical support as part of the UK commitment to supporting the French operations in Mali. We’ll be operating from France to provide support to the region.

 

“I have been very impressed by how everyone on the squadron and the station has risen to meet the task. We often plan for contingency operations on 99 Squadron; we’re fairly used to that as part of our day-to-day operations, but everyone has been incredibly keen and enthusiastic and we couldn’t have done it any quicker.”

 

This view was echoed by Flight Lieutenant David Blakemore, Flight Commander Training on 99 Squadron:

 

“There’s a real buzz on the squadron. This is something different, somewhere different and people really want to get involved.

 

“The fact another nation is coming to the UK to ask for its outsize lift capability is testament to the C-17’s reputation forged over the past decade.”

 

The RAF’s fleet of C-17 Globemasters give the ability to move equipment and personnel swiftly around the World for both military and humanitarian operations. The huge payload and long range of the C-17 make the aircraft, operated by 99 Squadron, ideally placed to enable the UK Government to respond to worldwide challenges.

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