Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:48

Mali slodiers 400x300

 

10 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

BAMAKO - Les affrontements ont repris jeudi dans la région de Mopti (centre) entre l'armée malienne et les islamistes qui occupent le nord du Mali, au lendemain d'échanges de tirs à l'arme lourde dans la même zone, a-t-on appris de source militaire.

 

Nos troupes sont actuellement engagées sur le terrain contre les islamistes, a déclaré à l'AFP un officier de l'armée malienne, une information confirmée par un représentant local d'une ONG étrangère selon qui ces affrontements se déroulent dans le petit village de Koko, situé entre les localités de Konna et de Boré, dans la région de Mopti.

 

Il y a de violents coups de feu, a affirmé ce représentant d'ONG.

 

Ca a repris. Selon certains, c'est l'armée malienne qui a repris l'initiative parce qu'elle veut aller jusqu'à Douentza. Mais pour d'autres, ce sont les islamistes qui ont tiré les premiers et l'armée riposte, a affirmé de son côté un haut-fonctionnaire malien en poste à Mopti, chef-lieu de la région éponyme.

 

Douentza, une localité située à 145 km au nord-est de Mopti, est sous contrôle des islamistes. La région de Mopti est proche de la ligne de partition qui coupe le Mali en deux, les groupes islamistes armés occupant le Nord depuis neuf mois.

 

Ces nouveaux affrontements surviennent au lendemain d'échanges de tirs à l'arme lourde dans la même région de Mopti entre les islamistes et l'armée, qui a affirmé avoir repoussé une incursion des jihadistes dans la nuit de mercredi à jeudi.

 

Ce sont les premiers combats entre les deux camps depuis neuf mois.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:45

Mi-26T2 Halo

 

TIOUMEN, 10 janvier - RIA Novosti

 

Un hélicoptère Mi-26 appartenant à la compagnie russe UTair a été attaqué au-dessus de Wau, au Soudan du Sud, a annoncé a RIA Novosti une porte-parole du transporteur qui travaille sous contrat avec l'Onu.

 

"Tout va bien, tout le monde est sain et sauf", a déclaré l'interlocutrice de l'agence, en précisant que l'équipage avait découvert un trou créé par une balle sur le fuselage de l'appareil.

 

La munition aurait endommagé notamment le panneau du système de climatisation et le radiocompas.

 

En décembre dernier, un hélicoptère Mi-8 russe utilisé par la Mission des Nations unies au Soudan du Sud (MINUSS) a été abattu dans ce pays africain. Le crash avait fait cinq morts, dont quatre Russes.

 

D'après l'ambassadeur sud-soudanais à Moscou Chol Deng Alak, des avions soudaniens portant des emblèmes de l'Onu violent régulièrement l'espace aérien du voisin du Sud, si bien que l'hélicoptère russe aurait été abattu par erreur.

 

Moscou a exigé que Juba mène une enquête exhaustive, traduise en justice les coupables et prévienne toute réédition de ce genre d'incidents.  

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:45

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

 

BRUXELLES, 10 jan 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

LUnion européenne va aider sept pays côtiers d'Afrique de l'ouest à mieux lutter contre la piraterie dans le Golfe de Guinée, qui "représente une menace réelle" pour la sécurité et le commerce dans la région, a-t-elle annoncé jeudi.

 

Le programme européen Crimgo (routes maritimes critiques du Golfe de Guinée), mis en oeuvre courant janvier, vise à renforcer la formation des gardes-côtes et à mettre en place un réseau permettant l'échange d'informations sur les actes de pirateries entre les pays, a précisé la Commission européenne dans un communiqué.

 

Les sept pays concernés sont le Bénin, le Cameroun, la Guinée équatoriale, le Gabon, le Nigéria, Sao Tomé-et-Principe et le Togo.

 

"Les actes de piraterie et les vols à main armée, de même que les trafics d'armes et de drogues ou encore la traite d'êtres humains, constituent une menace réelle pour la sécurité de la région", indique la Commission.

 

Pour le seul Nigéria, le pays le plus affecté, 98 actes de piraterie, de vols à main armée commis en mer et de pollution maritime ont été enregistrés entre 2008 et 2012.

 

"En rendant les eaux plus sûres, nous contribuerons à dynamiser les échanges et la croissance", a expliqué Andris Piebalgs, le commissaire chargé du développement.

 

L'UE y a intérêt car le Golfe de Guinée représente respectivement 13% et 6% de ses importations de pétrole et de gaz.

 

L'Union contribuera à hauteur de 4,5 millions d'euros au projet Grimgo, également soutenu par des partenaires publics français, espagnol, britannique ou italien.

 

Le Bureau maritime international (BMI) s'était inquiété en octobre dernier de la situation dans le Golfe de Guinée, où les attaques des pirates sont "souvent violentes, planifiées et visent à voler des produits pétroliers raffinés qui peuvent être facilement vendus sur le marché".

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 12:45

CarteMali@Onu-589x450

 

10.01.2013 Le Monde.fr avec AFP

 

Les affrontements ayant opposé dans la nuit de mercredi à jeudi militaires maliens et islamistes dans la région de Mopti (centre) ont pris fin, selon des sources au sein de l'armée mais la situation demeurait tendue dans cette zone proche de la ligne de partition du pays, où, selon l'armée, une tentative d'attaque avait été repoussée en début de semaine, selon des sources au sein de l'armée.

 

"Nous avons évité une embuscade des islamistes, et nous les avons repoussés après de durs affrontements" à partir de Konna, localité située à 70 kilomètres au nord de Mopti, a déclaré un officier joint dans la région. "Les accrochages de la nuit sont finis pour le moment", a affirmé un autre responsable militaire, indiquant qu'il n'y a eu aucun dommage dans le camp de l'armée. "Nous, on est sain et sauf", a-t-il ajouté, refusant d'en dire plus.

Selon des habitants de localités proches du théâtre des opérations, les tirs à l'arme lourde qui ont été entendus plusieurs heures depuis mercredi soir en provenance de Konna se sont arrêtés dans la nuit, après avoir progressivement baissé d'intensité. La situation demeurait toutefois tendue dans la zone. "Nous sommes allés jusqu'au village de Dima, 20 kilomètres après Konna, en direction du nord" et jeudi matin, "nous sommes revenus à Konna, mais nous repartons tout à l'heure vers le village de Dima, abandonné par les islamistes", a expliqué l'officier joint dans la région.

 

Aucune source n'a pu être jointe par l'AFP au sein des groupes islamistes armés Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Ansar Dine. Depuis neuf mois que ces mouvements ont pris le contrôle du Nord, c'est la première fois qu'ils affrontaient sur le terrain l'armée malienne.

 

Le Burkina Faso, médiateur régional dans la crise malienne, a appelé à la retenue par la voix de son chef de la diplomatie, Djibrill Bassolé, qui a été reçu à Bamako par les autorités. Mopti est la dernière capitale régionale avant les territoires sous contrôle des islamistes. Entre Konna et Mopti se trouve la localité de Sévaré (moins de 15 km de Mopti), où l'armée dispose d'un poste de commandement opérationnel.

 

Selon un militaire malien, des hommes et des armes ont été envoyés à Mopti dans la nuit de mardi à mercredi, et des témoins ont vu une partie de ces renforts se rendre à Sévaré. Dans la journée de mercredi, plusieurs centaines de personnes avaient manifesté à Bamako et Kati (15 km à l'ouest) pour réclamer notamment la libération du Nord. Des élèves et étudiants ayant été impliqués dans les manifestations, qui ont été marquées par des violences, le gouvernement a décidé de fermer tous les établissements d'enseignement dans ces deux villes. Le ministère de la sécurité intérieure a fait état d'un blessé admis à l'hôpital et de l'interpellation de six individus armés qui avaient profité des manifestations pour mal agir.

 

DISCUSSIONS DIRECTES

 

Ces développements se sont produit moins de deux jours après une tentative d'attaque des islamistes, qui a été repoussée lundi vers Konna selon l'armée. Le gouvernement malien, Ansar Dine et les rebelles touaregs – évincés du Nord par leurs ex-alliés islamistes – devaient tenir jeudi des discussions directes à Ouagadougou mais ces pourparlers ont été reportés à la demande des différentes parties pour leur donner "plus de temps pour se préparer", selon le Burkina Faso. Tous "sont d'accord pour se retrouver autour de la table de négociations, ce n'est qu'une question de jours", a assuré M. Bassolé à Bamako.

 

Sous la pression du Burkina Faso et de l'Algérie, Ansar Dine s'était engagé à prendre ses distances avec AQMI et le Mujao, à dialoguer avec Bamako et a offert une trêve. Le 3 janvier, il est revenu sur l'offre, sans fermer la porte à de nouvelles discussions.

 

Le président en exercice de l'Union africaine, le Béninois Thomas Boni Yayi, avait appelé l'OTAN à déployer des forces aux côtés des troupes africaines devant aller au Mali sous mandat de l'ONU. "Il n'y a ni demande, ni discussion sur un possible rôle pour l'OTAN au Mali", a réagi mercredi un responsable de l'OTAN à Bruxelles.

 

Des préparatifs sont en cours pour le déploiement d'une force internationale au Mali, approuvé par l'ONU le 20 décembre et prévu par étapes, sans calendrier précisé. Le 31 décembre, le président Dioncounda Traoré avait affirmé que le Mali se préparait à "la guerre contre les terroristes (...) plus tôt qu'on ne le pense". En novembre, Romano Prodi, l'émissaire de l'ONU pour le Sahel, avait estimé une intervention impossible avant septembre 2013. M. Prodi est attendu jeudi à Bamako, où il a été précédé mercredi par la responsable d'ONU Femmes, Michelle Bachelet, qui y a plaidé pour l'implication des femmes dans la recherche de la paix au Mali.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 12:45

Carte-Regionale-AQMI-344 2 0

 

OLIVET (France / Loiret), 09 jan 2013 marine-oceans.com  (AFP)

 

Le président François Hollande a fait de la lutte contre le terrorisme au Sahel et dans le nord du Mali l'un des "défis majeurs" que la défense française aura à relever en 2013, en prononçant ses voeux aux armées, mercredi à Olivet près d'Orléans.

 

Evoquant la fin de la mission combattante française en Afghanistan, et le retrait des troupes de ce pays "dans des conditions de sécurité remarquables", le chef de l'Etat a souligné que d'autres "défis majeurs" attendent les armées.

 

"Le terrorisme, cette forme de barbarie qui a déclaré la guerre à toutes les civilisations, a pris racine au Sahel et dans le nord du Mali", a-t-il affirmé.

 

Le président Hollande a rappelé que le Conseil de sécurité des Nations-Unies a adopté à l'unanimité une résolution autorisant, "pour une durée initiale d'une année", le déploiement d'une mission internationale sous conduite africaine, dans le but de chasser les islamistes armés qui occupent le nord du pays.

 

La France et l'Union européenne participeront "à la formation des forces armées, celle du Mali et celle des Africains, par rapport à l'opération qu'eux seuls peuvent décider", a-t-il souligné.

 

Le chef de l'Etat, chef des armées, a part ailleurs évoqué le futur Livre blanc de la défense et la Loi de programmation militaire (LPM) "qui sera discutée au Parlement cet été", rappelant notamment que cette loi réaffirmera le maintien de la stratégie de dissuasion nucléaire française dans ses deux composantes, sous-marine et aéroportée.

 

S'exprimant devant des soldats du 12e régiment de cuirassiers, basé à Olivet, et des trois armes, il a voulu rassurer les militaires inquiets des nouvelles réformes à venir et des choix budgétaires qui devront être faits.

 

"J'entends, je lis parfois, les messages de vos chefs d'état-major", "je connais les tensions qui peuvent résulter de vos exaspérations", a-t-il assuré.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 08:45

CarteMali@Onu-589x450

 

Bamako, le 08 janvier 2013 Lieutenant-colonel Diarran Koné

 

Le ministre de la défense et des anciens combattants informe l’opinion nationale et internationale que dans l’après midi du lundi 07 janvier 2013, des terroristes et  islamistes armés d’Al Qaïda au Maghreb islamique, d’Ansar Eddine et du MUJAO ont tenté un mouvement de force sur les positions avancées des forces armées et de sécurité maliennes aux alentours de la localité de Konna dans le cercle de Douentza.

 

Les forces armées et de sécurité maliennes ont repoussé cette tentative d’attaque. Contrairement à certaines allégations diffusées, tous les effectifs des forces armées et de sécurité sont au grand complet  sur la ligne de front et n’ont subi aucun dommage. A ce jour nos forces tiennent fermement leurs positions.

 

Le ministre de la défense et des anciens combattants salue le  comportement patriotique de nos soldats et les exhorte à poursuivre la mission.

 

Le ministre appelle les populations à garder leur calme tout en les  invitant de continuer à apporter leur soutien indéfectible aux forces armées et de sécurité du Mali.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 18:45

EPE source LdDef

 

09.01.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

En mai 2012, j'avais présenté le projet anti-piraterie du milliardaire Simon Murray (qui était passé, dans sa jeunesse, par la Légion étrangère). Projet qui consistait à créer une flotte privée chargée d'escorter des navires dans les zones où sévissent des pirates (l'océan Indien en premier).

 

Cliquer ici pour lire mon post du 31 mai.

 

Depuis deux ou trois jours, on reparle de ce projet, de Murray et de la société Typhon qui a été créée pour le mener à bien.

 

Un article dans The Australian fait le point; on y apprend que Typhon espère commencer ses opérations en avril mais que la société est toujours en pourparlers pour acheter un navire de 9 000 tonnes (et deux autres ensuite), qu'elle espère recruter deux équipages de 60 hommes pour chaque navire... Rien de nouveau en fait. L'intérêt des Australiens s'explique parce qu'ils ont désormais le commandement de la CTF basée à Barhain.

 

Ce qui me surprend, c'est que ce projet soit toujours considéré comme viable. Certes, on peut penser qu'au vu de la baisse des actes de piraterie au large de la Somalie, le désengagement des marines nationales va s'accélérer (les Britanniques y pensent sérieusement) et que combler le vide sécuritaire en déployant des navires privés est une solution.

Mais il va falloir compter avec deux paramètres nouveaux. 1) les armateurs ne veulent plus payer aussi cher pour tous ces teams d'ex soldats des forces spéciales qui forment les EPE privées. 2) la concurrence asiatique est de plus en plus féroce et des entreprises, sri-lankaises entre autres (je pense à Avant Garde qui est déployée à Djibouti et à l'Ile Maurice) sont en train de fracasser les prix.

 

Tout ça ne fait pas les affaires des sociétés de sécurité occidentales opérant dans la zone; ça ne fait pas non plus les affaires des agents de protection embarqués dont les contrats et les rénumérations se réduisent (et qui sont de plus en plus nombreux à chercher des contrats).

 

Typhon y croit encore, tant mieux. Mais j'attends de voir leur premier navire déployé dans les eaux somaliennes.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 17:45

RDC

 

9 janvier 2013 Guysen International News

 

Le Rwanda s'est opposé mardi au projet des Nations unies d'utiliser des drones de surveillance dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) afin de renforcer les moyens d'action des casques bleus de la Monusco. Kigali dit ne pas vouloir que l'Afrique devienne le laboratoire d'équipements pour des services de renseignement étrangers.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 13:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/cote-d-ivoire/130108-rci-exercice-pre-crer/exercice-pre-crer/2129343-1-fre-FR/exercice-pre-crer.jpg

 

09/01/2013 Sources : EMA

 

Le 15 décembre 2012, un exercice simulant le regroupement des ressortissants français sur le camp de Port Bouet a été organisé par la force Licorne, en liaison avec le consulat de France à Abidjan.

 

L’exercice avait pour objectif de mettre en œuvre le dispositif du pré-CRER (centre de regroupement et d’évacuation des ressortissants), dernière étape avant l’évacuation des ressortissants vers la France ou les pays de la sous-région. Lors de cet exercice, près de deux cents ressortissants, joués par les militaires des deux autres compagnies de la force Licorne, ont été enregistrés. La mise en situation a été très réaliste, grâce au retour d’expérience du personnel militaire et du consulat qui a vécu les événements de la crise post-électorale de 2011.

 

En cas de dégradation de la situation sécuritaire dans un pays, le ministère des Affaires étrangères peut être amené à déclencher un plan demandant ou proposant aux ressortissants de rejoindre des points de regroupement. En Côte d’Ivoire, cette première étape qui n’implique pas nécessairement le déclenchement d’une évacuation complète, marque le début de la prise en compte des ressortissants par la force Licorne.

 

Les militaires de la force Licorne, à travers le dispositif du pré-CRER, prennent en charge les ressortissants français et les ressortissants étrangers appartenant à des pays ayants des accords avec la France, au sein d’un dispositif complexe et rodé. Il s’agit d’accueillir les ressortissants, de les enregistrer avec l’aide du personnel du consulat et de les héberger.

 

Le pré-CRER est armé en quasi-totalité par la compagnie de commandement et de logistique interarmées (CCLIA), avec une cinquantaine de militaires, dont les prévôts, et les agents consulaires sont en appui. Les militaires sont notamment responsables du décompte et du recensement des personnes accueillies.

Dans une Côte d’Ivoire en voie de stabilisation, et alors que l’année 2012 a vu une nette amélioration de la situation sécuritaire, la force Licorne maintient ses savoir-faire pour être en mesure de protéger les ressortissants français.

 

La force interarmées Licorne, composée de 450 militaires maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire  pour assurer la protection des ressortissants français en cas de dégradation sécuritaire et accompagner l’armée ivoirienne dans sa réforme.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

Somalian Piracy Threat source oil-electric.com

 

8 janvier 2013 Guysen International News

 

Selon Slate, un milliardaire britannique exaspéré a financé une flotte armée privée pour lutter contre les pirates somaliens. Menée par un ancien commandant de la marine royale, elle sera composée d'anciens capitaines, de marines et de soldats. Prévue pour dans quelques mois (aucune date précise n'est donnée), la flotte est destinée à patrouiller et à escorter des navires marchands et de plaisance le long des côtes est africaines, dans une zone de la taille de l'Amérique du Nord.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/01/1466234008.jpg

 

08.01.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Le commandement Afrique (AFRICOM) et son Identity Resolution Team coopèrent désormais avec l'US Immigration and Customs Enforcement (ICE) pour conduire des opérations en Afrique de l'Est. Objectif: identifier des "bad actors" (les KST pour known suspected terrorists, les SIA pour special interest aliens): trafiquants, criminels, terroristes susceptibles de tenter de se rendre aux Etats-Unis.

 

Les ressortissants de plusieurs pays d'Afrique de l'Est sont dans le collimateur: Kenyans, Tanzaniens, Soudanais, Ougandais, Ethiopiens, Somaliens. Mais le Sahel et l'Afrique de l'Ouest constituent désormais des zones jugées sensibles.

 

En août 2012, des experts en biométrie de l'AFRICOM se sont rendus à Pretoria pour y former des fonctionnaires de l'ICE. Un exercice grandeur nature a suivi en septembre au Kenya où du personnel local a aussi été formé.

Les données biométriques (empreintes digitales, iris) collectées sont ensuite transmies aux agences US comme le FBI, le DoD, le DHS...

 

Plus de détail dans cet article.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

CarteMali@Onu-589x450

 

8 janvier 2013 par Jacques N. Godbout - 45enord.ca

 

La porte à une contribution militaire canadienne à la libération du Nord malien, fermée en septembre par le ministre des Affaires étrangères John Baird, entrouverte par le ministre de la Défense Peter MacKay la semaine dernière, vient maintenant d’être refermée par le premier ministre canadien lui-même.

 

Le premier ministre Stephen Harper a déclaré ce mardi 8 janvier que le Canada «n’envisageait pas pas une mission militaire au Mali. » , affirmant que le Canada est «très préoccupé par la situation», mais va concentrer ses efforts dans la région sur l’aide humanitaire et les négociations diplomatiques avec ses alliés en Afrique et en Occident. »

 

«Le gouvernement du Canada n’envisage pas directement la mission militaire canadienne», a dit M. Harper, mais il a noté que «le développement de toute une région essentiellement terroriste dans le centre de l’Afrique est une grande préoccupation pour la communauté internationale. »

 

Le premier ministre Stephen Harper et le chef de l’Union africaine et président du Bénin, Thomas Boni Yayi, se rencontraient aujourd’hui à Ottawa et on s’attendait à ce le Canada réponde favorablement à une demande que pourrait lui faire le président béninois de contribution militaire du Canada au Mali, dont le Nord est occupé par des islamistes radicaux.

 

Thomas Boni Yayi a déclaré pour sa part qu’il a discuté de la résolution de l’ONU avec M. Harper et a salué les efforts diplomatiques et humanitaires du premier ministre. Il toutefois insisté sur la nécessité d’une aide internationale pour lutter contre des activités terroristes en Afrique, et est allé jusqu’à demander l’aide des troupes de l’OTAN.

« Nous devons réagir pour la simple raison que, non seulement cette question va bien au-delà de la portée de l’Afrique, mais aussi nous devons nous concentrer sur le fait que le fléau du terrorisme est un problème de la communauté internationale dans son ensemble », a déclaré le président de l’Union africaine.

 

Au lieu d’aide militaire au Mali, le premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui un soutien visant à aider le Bénin à moderniser son administration publique et à accroître l’efficacité de son régime fiscal, la signature de l’Accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers (APIE) Canada Bénin et l’octroi d’un soutien supplémentaire afin d’aider les pays africains à gérer leurs ressources naturelles de façon responsable et transparente, ce qui favorisera le développement économique durable.

 

Positions des autres pays sur l’intervention militaire


Une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU du mois dernier demandait à tous les pays de contribuer à arrêter l’expansion du terrorisme qui a pris racine au Mali.

 

On se souvient que, à la faveur d’un coup d’État survenu l’an dernier et qui avait créé un vide sécuritaire, des groupes armés liés à Al-Qaïda s’étaient emparés du Nord du Mali. La progression des rebelles islamistes radicaux s’était ensuite arrêté. La communauté internationale craignait toutefois que le Nord malien ne devienne un refuge et une base pour ces groupes extrémistes.

 

Pire encore, les rebelles islamistes, non contents d’occuper le Nord du pays, se sont mis à bouger cette semaine et se sont déplacés le lundi 7 janvier vers le sud, à proximité de positions du gouvernement malien, éveillant la crainte de nouveaux affrontements après des mois d’impasse.

 

La résolution 2085 du 20 décembre du Conseil de sécurité pressait déjà les états membres de l’ONU de fournir de l’entraînement militaire, de l’équipement, du renseignement, de l’appui logistique et toute l’assistance nécessaire pour réduire la menace posée par les organisations terroristes. Mais certains pays hésitaient et l’intervention militaire des pays d’Afrique de l’Ouest, dans le meilleur des cas, ne semblait pas pouvoir se faire avant septembre 2013, le temps que soient formées et entraînées par les puissances occidentales les troupes africaines.

 

Le président français, François Hollande, indiquait dès octobre être disposé à «apporter une aide logistique, donner un appui matériel et former les personnels africains qui pourraient être amenés à intervenir dans le nord du Mali. »  L’Union européenne pour sa part se disait le 15 octobre prête à fournir une aide militaire au Mali afin de lutter contre les islamistes , car l’Europe craignait (et craint encore) que l’expansion du conflit puisse provoquer la création des zones pour des organisations terroristes sur son territoire.

 

Mais le Canada annonçait, quant à lui, dès la  fin septembre , qu’il ne souhaitait pas intervenir dans le conflit malien: le ministre des Affaires Étrangères John Baird a rejetait alors l’idée d’envoyer des troupes au Mali et toute autre aide logistique. M. Baird disait préférer la voie diplomatique et déclarait soutenir les efforts de la CEDEAO pour restaurer la démocratie au Mali après le coup d’État de mars dernier.

 

Pourtant, les forces spéciales canadiennes ont effectué plusieurs missions d’entraînement au Mali avant le coup d’État, et avant qu’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ne prenne le pouvoir dans la majorité de la portion nord de ce pays pauvre.

 

Toutefois, depuis la semaine dernière, la porte fermée en septembre par John Baird, avait été entrouverte par le ministre canadien de la Défense, Peter MacKay, qui a avait déclaré que le Canada pourrait, finalement envoyer des troupes pour former les forces africaines.

 

Aujourd’hui, la porte a été été refermée par Stephen Harper!

 

À lire aussi:

Le premier ministre Harper accueillera le président de la République du Bénin à Ottawa >>

Le Conseil de sécurité des Nations-Unies approuve une opération militaire au Mali >>

L’Union Européenne prête à fournir une aide militaire au Mali >>

Mali: le Canada n’ira pas et n’offrira aucune aide >>

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

Mi-171Sh-helicopter.jpg

Mi-171Sh helicopter

 

8 January 2013 airforce-technology.com

 

The Ghana Air Force (GAF) has inducted four new Russian Mil Mi-171Sh combat transport helicopters into operational service.

 

Manufactured by Russian state-arm-exporter, Rosoboronexport, the helicopters were delivered in December 2012.

 

Ghana president John Dramani Mahama said the helicopters will enable the military to safeguard the country's territorial waters, and also play a significant role in peacekeeping missions in the African continent and beyond.

 

The multi-purpose armoured military helicopters are also capable of engaging the air force staff throughout the year.

 

"I can assure you that the perennial resignation of the Air Force pilots to join private companies will also end as a result of these helicopters," Mahama added.

 

Ghana defence minister retired lieutenant general Joseph Henry Smith said the rotorcraft are integrated with exhaust to control warfare measures, and are provided with a training package that will deliver more capacity building to the air force personnel.

 

The air force has also established an advanced logistics warehouse for maintenance and preservation of all the necessary equipment for the newly delivered helicopters.

 

Powered by two Klimov TV3-117VM turboshaft engines, the Mi-171Sh is a derivative of the Mi-171 helicopter, and is used for the airlift of assault forces and cargo transport at a maximum altitude of 6,000m in the battlefield.

 

The helicopter can also be configured to conduct troop fire support, air-to-surface attack, escort of the military columns, medical evacuation, and combat search and rescue operations in all weather conditions.

 

More than 120 helicopters have been delivered to date by Rosoboronexport to customers in the Middle East, South East Asia, Africa and Eastern Europe.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/83/Map_of_Sudan_%28New%29.jpg

 

January 8, 2013: Strategy Page

 

Sudan and South Sudan have agreed to establish a demilitarized zone (DMZ) along their disputed border. The DMZ proposal (diplomats also call it a proposed demilitarized buffer zone, since the borders have not been fully demarcated) has been on the table for quite some time. In fact, South Sudan had agreed to demilitarize the border area last fall. Sudan, however, wanted new negotiations on oil transport fees and that agreement collapsed. However, both countries have been suffering severe financial hardship because of the drop in oil revenues and (in Sudan’s case) loss of oil transport revenue. The two countries agreed to establish a DMZ on January 4. However, the final details are not quite settled. That has been the continual story. The two countries reach an agreement on a key issue, but the real devil, the details, are not nailed down.

 

Prices have climbed in Sudan (northern Sudan), especially in the capital, Khartoum. This has led to increasing dissatisfaction with the government and diplomats contend that this is another economy-based reason the Sudanese government has decided to seek an agreement with the south that will increase oil revenues. Sudan also continues to face stiff rebel resistance in South Kordofan and Blue Nile states. Meanwhile, down south, South Sudan faces several tribal rebellions. South Sudan relies on oil revenue for at least 95 percent of its government budget. So sources say the figure is actually 98 percent, but the point is already made: if South Sudan can't export oil, it can’t really do anything. Right now South Sudan is relying on donor support and a growing number of donors are impatient and less generous.

 

The biggest issue dividing the Sudans is the Abyei region. Both sides claim the area. The UN has a peacekeeping mission in Abyei, UNISFA (UN Interim Security Force in Abyei), which consists of an Ethiopian Army brigade. Abyei is, in some ways, the former Sudan in a micro-cosm. The pro-south and predominantly Christian Dinka Ngok are Abyei’s indigenous tribe, but the pro-north and overwhelmingly Muslim Misseriya tribe also claims Abyei residency. The Misseriya are semi-nomadic and claim grazing rights in Abyei. Many Dinka Ngok were driven out of the area during the long Sudanese civil war, which ostensibly ended in 2005. Abyei also has oil resources. So Abyei is the Sudan-South Sudan conflict in a tough nutshell: ethnic/tribal divisions and a legacy of historical conflict, religious differences, and a battle for control of crude oil reserves. (Austin Bay)

 

January 5, 2013: The African Union is putting together a timetable to establish a demilitarized buffer zone between the two Sudans. Diplomats indicated that the zone could be put in place by January 16 or January 17. Meanwhile, the presidents of South Sudan and Sudan issued statements reaffirming their commitment to establish a demilitarized buffer zone.  The countries reached that agreement on January 4. The presidents also said the countries would soon resume oil exports.

 

January 1, 2013: Sudan officially opened the improved and enlarged Roseire dam on the Blue Nile River after four years of renovations.  The rebuilt dam has an increased power-generating capacity. The reservoir has also been enlarged.

 

December 29, 2012: Darfur rebels in the Sudan Liberation Movement-Abdel Wahid Al-Nur (SLM-AW) faction claimed to have seized the town of Zelo in West Darfur state. This follows an SLM-AW claim that it had killed some 90 Sudanese Army soldiers in a battle near the town of Golo.

 

December 27, 2012: The Sudanese government claimed that armed fighters from South Sudan had fought with men from a pro-northern tribe, the Rezeigat, near the town of Samaha. The fight took place on December 25. The area is remote. It lies on the border of Sudan’s East Darfur state and South Sudan and the border is disputed. The battle apparently did not involve troops from Sudan or South Sudan.

 

December 22, 2012: Russia has asked South Sudan to arrest and punish the individuals responsible for shooting down a U helicopter and killing its Russian crew. The helicopter was on a recon mission in South Sudan’s Jonglei state.

 

December 21, 2012: A Russian-made MI-8 helicopter assigned to the UN Mission in South Sudan (UNMISS) was shot down in South Sudan’s Jonglei state. The helicopter’s four crewmen were all Russians and all were killed in the incident. The UN Secretary General condemned the downing of the helicopter and contended that the helicopter was clearly marked as a UN aircraft. Early reports indicated that the helicopter went down in an area where both UNMISS and South Sudan reported the rebel militia commanded by David Yau Yau is currently operating. UNMISS reported in September that a Sudanese Air Force Antonov transport plane had been spotted in the area. At that time South Sudan claimed that Sudan was providing Yau Yau’s men with weapons and supplies.

 

The UN’s UNAMID peacekeeping operation in Sudan’s Darfur region reported that it is investigating an incident where a UN peacekeeper shot and killed four other UN peacekeepers. Another peacekeeper was wounded in the incident.

 

December 20, 2012: The Sudanese government announced that South Kordofan state will be split, creating South Kordofan state and West Kordofan state. West Kordofan existed prior to 2005. The Misseriya tribe will be the dominant ethnic group in West Kordofan.

 

December 19, 2012: Rebels in the Sudan Peoples Liberation Movement-North (SPLM-N) said that they would agree to quit fighting the Sudanese government if Sudan agrees to allow humanitarian aid to reach pro-SPLM-N tribes South Kordofan and Blue Nile states.

 

December 17, 2012: Sudan announced that it was reinforcing its units in South Kordofan state. The announcement follows a battle around the rebel-held town of Daldako (20 kilometers west of the state capital, Kadugli). On December 14 SPLM-N rebel forces defeated a Sudanese Army attack on Daldako and killed at least 21 Sudanese soldiers.

 

December 9, 2012:  The UN reported that soldiers in the Sudan Peoples Liberation Army (South Sudan’s army) shot and killed ten protestors in the town of Wau. The shootings are under investigation.

 

December 8, 2012: Two Iranian Navy warships have docked in Port Sudan. The Sudanese government called the visit a normal port visit. The government of Israel, however, alleges that Sudan helps Iran smuggle weapons to Hamas and Hezbollah.

 

December 5, 2012: Sudan’s inflation rate is now at 45 percent. The International monetary Fund estimated that Sudan’s GDP decreased by 11 percent in 2012. The decrease is due to loss of oil export revenue and oil transport fee revenue. The government, however, is claiming that the 2012 GDP will show an increase of slightly over one percent. Who do you believe?

 

November 28, 2012: The UN reported that South Sudan will need at least one billion dollars in humanitarian aid in 2013.

 

November 27, 2012: Sudanese forces attacked a Darfur rebel camp in the Samaha district of East Darfur state, not far from the South Sudan border. Sudanese Air Force planes bombed the camp. South Sudan, however, claimed that the bombs landed inside its territory and killed five civilians. Both Sudans claim the Samaha area.

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:45

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

 

jan 8, 2013 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2, exclusif)

 

La Norvège va apporter une contribution à la mission civile de l’Union européenne EUCAP NESTOR visant à renforcer des capacités maritimes des pays d’Afrique de l’Est et de l’Océan indien.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 22:06

monusco2

 

08 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

ADDIS ABEBA - Des ministres des pays de la Région des Grands Lacs ont convenu, mardi, que la future force neutre internationale devant être déployée dans l'est de la République démocratique du Congo pourrait fusionner avec la Mission de l'ONU dans ce pays, a annoncé un haut responsable de l'Union africaine à Addis Abeba.

 

Les discussions sont orientées vers une formule créative qui consisterait à fusionner la (mission de l'ONU pour la stabilisation de la RDC) Monusco et (...) la force neutre internationale, a déclaré le commissaire à la paix et à la sécurité de l'Union africaine (UA), Ramtane Lamamra.

 

Il s'exprimait à l'issue d'une réunion des ministres de la Défense et des Affaires étrangères et des chefs d'état-major des pays de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), qui tentent depuis des mois de mettre sur pied cette force internationale neutre peinant à se matérialiser.

 

La CIRGL réunit la RDC, le Rwanda, l'Ouganda, l'Angola, le Burundi, la Centrafrique, le Congo, le Kenya, le Soudan, la Tanzanie et la Zambie.

 

M. Lamamra n'a pas précisé de quelle manière la force neutre pourrait collaborer avec la force onusienne de 19.000 soldats déjà déployée en RD Congo, essentiellement dans l'est du pays.

 

Il a déclaré que des détails techniques pour le déploiement de la force neutre étaient toujours en discussion, mais a assuré qu'un plan pourrait être envoyé aux Nations unies d'ici une semaine pour être étudié.

 

Sur la base de cet accord général (...), les discussions devront permettre d'affiner les points techniques, a-t-il dit, pour le déploiement de cette force qui compterait environ 4.000 hommes.

 

Nous avons été informés que les officiers de commandement pourraient être déployés dans quelques semaines, a-t-il précisé à des journalistes.

 

M. Lamamra s'est dit satisfait des résultats de cette réunion, en concluant: Nous avons fait un important pas en avant.

 

Les point techniques devaient être discutés dans la soirée par les chefs d'état-major, selon lui.

 

Un bataillon tanzanien devrait être déployé en RDC dans le cadre de cette future force neutre et d'autres pays de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) s'étaient dits prêts à y contribuer.

 

Les rebelles congolais du mouvement du M23 avaient lancé en mai une offensive dans la riche province minière du Nord-Kivu (Est de la RDC) où les combats ont fait 500.000 déplacés et réfugiés.

 

La force neutre - un concept laborieusement développé par les pays des Grands Lacs - doit combattre des groupes armés, dont le M23, et être déployée à la frontière entre la RDC et le Rwanda.

 

Des experts de l'ONU accusent le Rwanda et l'Ouganda, voisins de la RDC, de soutenir les rebelles - ce qu'ils réfutent.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 21:25

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-9/2128655-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-9.jpg

 

08/01/2013 Sources : EMA

 

Les 5 et 6 janvier 2013, la frégate Surcouf, engagée dans l’opération de lutte contre la piraterie Atalanta, et l’USS Halyburton, ont participé à l’arrestation de douze présumés pirates à bord de deux bateaux, au large des côtes somalienne.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-3/2128601-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-3.jpg

 

Dans la soirée du 5 janvier, le navire de commerce MSC Jasmine battant pavillon panaméen, et naviguant au large de la côte somalienne lance un appel de détresse. Il vient d’être attaqué par des hommes armés débarqués d’un skiff, sous la protection d’une embarcation de type baleinière. Appliquant à la lettre les recommandations de l’opération européenne Atalanta de lutte anti-piraterie, l’équipe de protection embarquée à bord du MSC Jasmine réussit à déjouer l’attaque en repliant tout l’équipage dans la citadelle.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-2/2128596-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-2.jpg

 

La frégate française Surcouf est alors alertée par le CTF 465, le commandant de la force navale européenne Atalanta, qui lui demande de rallier la zone de l’attaque au plus vite, en coordination avec l’USS Halyburton. Pendant que le Surcouf pousse ses moteurs à plein régime, un avion de patrouille maritime allemand appartenant à la force Atalanta localise les deux embarcations impliquées dans l’attaque. Ce sont 200 nautiques, soit 360 kilomètres, que le Surcouf va parcourir afin d’arriver sur place au petit matin du 6 janvier. Alors que le soleil se lève à peine, l’hélicoptère britannique Lynx « Mark 8 » déployé à bord du Surcouf décolle pour localiser les deux embarcations suspectes. Le skiff est alors rapidement repéré par l’hélicoptère britannique qui lui intime l’ordre de s’arrêter.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-8/2128626-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-8.jpg

 

Pendant ce temps, les membres de l’équipe de visite du Surcouf embarquent à bord de l’ETRACO (embarcation de transport de commandos). A l’approche de cette dernière puis de l’imposante frégate, deux présumés pirates coupent les moteurs, se placent naturellement vers l’avant de leur embarcation et mettent les mains derrière la tête. A bord, l’équipe de visite du Surcouf trouve une douzaine de bidons et deux nourrices remplies d’essence mais pas d’arme. Les deux présumés pirates sont transférés à bord de la frégate française.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-7/2128621-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-7.jpg

 

La deuxième embarcation suspecte, interceptée initialement par l’USS Halyburton également dépêché sur zone par la Task Force 508 de l’OTAN, est alors appréhendée par le Surcouf. Une fois la baleinière stoppée par le Lynx, l’équipe de visite et les deux embarcations rapides du Surcouf sont une nouvelle fois déployées. Les dix présumés pirates se montrent coopérants et se rassemblement au fur et à mesure sur l’avant de la baleinière, mains derrière la tête. L’investigation de l’embarcation révèle la présence de fûts de gasoil et d’eau. Comme sur le skiff, aucune arme n’est retrouvée à bord. Une fois les investigations terminées, les présumés pirates sont alors transférés à bord du Surcouf.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-1/2128591-1-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-1.jpg

 

Les douze présumés pirates, tous somaliens, ont été pris en charge par l’équipage du Surcouf conformément aux règles juridiques. Ils ont en particulier subi un examen médical et ont pu se restaurer en attendant la fin de la procédure de recueil de preuves devant permettre la poursuite des présumés pirates devant un tribunal.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-4/2128606-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-4.jpg

 

Lors de la conférence de presse réalisée à bord du Surcouf au cours de sa relâche opérationnelle à Port Victoria (Seychelles) le 03 janvier 2013, le capitaine de frégate Hugues Lainé avait insisté sur l’importance de ne pas relâcher l’attention ainsi que les différents efforts consentis par l’opération européenne de lutte contre la piraterie.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/130108-piraterie-interception-de-12-presumes-pirates/interception-de-12-presumes-pirates-6/2128616-2-fre-FR/interception-de-12-presumes-pirates-6.jpg

 

La Frégate Légère Furtive Surcouf est engagée depuis 6 semaines dans l’opération européenne de lutte contre la piraterie au large de l’océan Indien. L’opération Atalanta contribue à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 21:22

CarteMali@Onu-589x450

 

08 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

OTTAWA - Le président de l'Union africaine, le Béninois Thomas Boni Yayi, a appelé mardi l'Otan à déployer des forces aux côtés des troupes africaines qui doivent être envoyées dans le Nord du Mali pour en chasser les groupes islamistes armés.

 

En conférence de presse à Ottawa, il a déclaré avoir attiré l'attention du Premier ministre canadien Stephen Harper pour lui demander d'intervenir pour que l'Otan s'ajoute à la coalition internationale qui doit être formée, conformément à une résolution de l'ONU adoptée fin décembre.

 

Si on fait la même lecture (de cette résolution), en réalité, l'Otan se joindra à nos forces africaines, a-t-il insisté, estimant que les forces africaines ont montré le chemin.

 

Selon le président de l'Union africaine, également président du Bénin, la question malienne dépasse le cadre africain car c'est une question de terrorisme et que ça relève de la compétence de la communauté internationale.

 

Ainsi, a indiqué M. Boni Yayi, l'Union africaine est en train de formuler auprès des plus grands décideurs de la planète le besoin de créer une coalition globale à l'image de celle qui avait été formée en Afghanistan après le 11-Septembre.

 

Pour s'assurer du succès de l'offensive militaire chapeautée par l'Union africaine, une conférence internationale va bientôt être organisée pour décider qui fait quoi et quand, a expliqué Thomas Boni Yayi, ajoutant que l'Otan devrait y participer.

 

Nous ne pouvons plus perdre de temps, a-t-il lancé.

 

Le 20 décembre, l'ONU a approuvé le déploiement d'une force de militaires africains appuyée par les Occidentaux, sans préciser de calendrier mais en indiquant qu'il se fera par étapes.

 

Selon le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian, l'intervention militaire pourrait être lancée au cours du premier semestre 2013.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:45

atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-co.jpg

 

Jan. 8, 2013 EU NAVFOR Press Release

 

In the evening of 5th January, a merchant vessel sailing 260 miles off the Somali Coast, made a distress call, reporting that she was coming under attack by six men in a fast moving boat, armed with rocket propelled grenades.  Thankfully, having employed avoidance tactics, the merchant vessel was able to repel the attack.

 

Upon hearing the distress call, NATO warship USS Halyburton, operating as part of NATO’s counter piracy operation – Ocean Shield, and on patrol 80 nautical miles away, launched her helicopter and was able to quickly locate a suspect boat - which was by now towing another vessel, with several men on board. 

 

EU Naval Force (EU Navfor) French Frigate Surcouf, operating as part of the EU’s counter piracy mission - Operation Atalanta, made best speed to the area, as a German EU Navfor Maritime Patrol Aircraft kept watch overhead.  Upon arrival, and in full cooperation with the NATO warship, the boarding team from French warship Surcouf boarded the two suspect vessels and apprehended twelve men in total.  All twelve men are currently being held on board Surcouf for evidence collection in order to fully assess the possibility of legal prosecution.

 

In a recent press conference held on board Surcouf during her port visit to Port Victoria, Seychelles, the Commanding Officer, Commander Hugues Lainé stressed the importance of not lowering the guard towards piracy, as the threat remains,   despite the drop in pirate attacks during the past year. 

 

Operation Atalanta commenced in December 2008 and is focused on the deterrence and repression of acts of piracy and armed robbery off the Somali Coast.  The EU mission also provides protection to World Food Programme (WFP) and African Union Mission on Somalia (AMISOM) shipping, together with the protection of vulnerable shipping on a case by case basis and the monitoring of fishing activities.

 

EU NAVFOR ATALANTA

EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia - Operation Atalanta is part of the EU's comprehensive approach to tackle symptoms and root causes of piracy off the coast of Somalia and the EU Strategic Framework for the Horn of Africa adopted in November 2011.

 

EU NAVFOR conducts anti-piracy operations off the coast of Somalia and the Indian Ocean and is responsible for the protection of World Food Programme (WFP) shipping carrying humanitarian aid to the people of Somalia and Horn of Africa as well as the logistic shippings supporting the African Union troops conducting Peace Support Operations in Somalia (AMISOM). Additionally, Operation Atalanta contributes to the monitoring of fishing activity off the coast of Somalia.

 

For more information, please visit our website www.eunavfor.eu.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/3/30/SANDF_emblem.jpg

 

08 January 2013 by Kim Helfrich - defenceweb.co.za

 

South African soldiers have been deployed to yet another hotspot on the continent as government furthers its foreign relations policy of peace and stability in Africa.

 

The movement of about 400 South African National Defence Force (SANDF) soldiers to the troubled Central African Republic (CAR) was authorised by President Jacob Zuma, who is also the Commander-in-Chief of the SANDF, on January 3.

 

South Africa has had a military presence in CAR since 2007 in terms of a bilateral co-operation agreement between the two countries. Indications currently are that South African soldiers are only tasked with protection of South African manpower and materiel assets.

 

A statement issued by the Presidency said the SANDF deployment would also “assist with capacity building” of the CAR Defence Force as well as the planning and implementation of the disarmament and re-integration processes in the strife-torn country ruled by President Francois Bozize.

 

The deployment instruction issued by Zuma is in force until March 31, 2018.

 

SANDF military personnel in CAR prior to the latest deployment are based at the South African training facility near the capital of Bangui. A defence source said the newly arrived soldiers would be responsible for protection duties at this facility.

 

The CAR deployment brings to three the number of SANDF continental peacekeeping, peace support and peace maintenance operations currently underway with a fourth looming ever larger on the horizon in Mali.

 

The 400 soldiers now in CAR bring to over 2 400 the number of SANDF personnel doing continental duty. The single largest SANDF contingent is in the DRC (more than 1 200) with close to 800 in Sudan.

 

Questions aimed at obtaining more detailed information about the CAR deployment from SANDF Corporate Communications went unanswered.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:45

Mali slodiers 400x300

 

08 January 2013 defenceweb.co.za (Reuters)

 

Malian soldiers fired warning shots at Islamist fighters pushing south towards their positions, military and diplomatic sources said, raising fears of the first clashes since militants seized Mali's north in April.

 

The capture of the northern two thirds of the arid West African nation by a loose coalition of Islamist groups has sown fears among Western and regional powers that Mali could become a haven for radicals to plot international attacks.

 

Peace talks between some of the northern rebel groups and the government are scheduled for Thursday in Ouagadougou, the capital of neighboring Burkina Faso, but growing military tensions threaten to derail them, Reuters reports.

 

Ansar Dine, one of the main rebel factions, was one of several groups pushing southwards toward the line dividing government-held territory from arid northern Mali.

 

The group had announced it ended a ceasefire because of international plans to deploy an African-led force to drive radical al Qaeda-linked fighters from Mali's north.

 

Ansar Dine is seen as more hard-line than the Tuareg MNLA but less radical than MUJWA, which includes more foreign fighters and is considered to have ties with al Qaeda.

 

A military source said on Tuesday the Malian army fired heavy artillery during the night to persuade the Islamist fighters to halt their advance.

 

"The army fired warning shots at several points along the line during the night, to dissuade them," said the source at the defense ministry in Bamako.

 

The warning shots were confirmed by a Western diplomat.

 

Sanda Ould Boumama, a spokesman for Ansar Dine, refused to comment on whether any fighting had taken place.

 

Once an example of democracy and development in turbulent West Africa, Mali was plunged into crisis by a March 2012 coup which allowed Tuareg rebels to seize the country's north, demanding an independent homeland. Islamists who initially fought alongside them soon came to dominate the rebellion.

 

There appears scant chance of a breakthrough in this week's talks. Ansar Dine has insisted it will not drop its demands for Islamic law and autonomy for northern Mali, while President Dioncounda Traore, installed after March's coup, has insisted he will not compromise over Mali's secular state and territorial integrity.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:45

Carte-Regionale-AQMI-344 2 0

 

jan 8, 2013 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2, exclusif)

 

Ainsi que les lecteurs du club de B2 (sur abonnement) le savent déjà, la décision sur la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali) aurait dû approuvée en décembre. Mais l’absence d’invitation formelle avait conduit à reporter cette formalité essentielle pour la poursuite du lancement de la mission. Cette invitation a formellement été faite maintenant et reçue juste avant la fin de l’année par Catherine Ashton, la Haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères. Ce qui permet dorénavant d’espérer voir adopter la décision rapidement. Ce devrait être fait au besoin par “procédure écrite, rapidement” a assuré à B2 une source bien informée.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 17:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/01/2495391860.jpg

 

President Jacob Zuma has authorised the employment of 400 South African National Defence Force (SANDF) personnel to the Central African Republic (CAR), to render support in fulfilment of an international obligation of the Republic of South Africa towards the CAR. The employment is for the period of 02 January 2013 - 31 March 2018. The employment is authorised in accordance with the provisions of section 201 (2) (c) of the Constitution of the Republic of South Africa, 1996. The employed members of the SANDF will assist with capacity building of the CAR Defence Force and will also assist CAR with the planning and implementation of the disarmament, demobilisation and re integration processes. The employment of members of the SANDF to CAR is one of the efforts that South Africa is making to bring about peace and stability in the region.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 13:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/01/1831646097.jpg

 

26.12.2012 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

A petits pas.. Mais sûrement. L'EUTM Mali aura bientôt officiellement un chef. Dès que l'UE l'aura formellement désigné...

 

Il s'agit du général François Lecointre (50 ans) qui dirigera la mission européenne chargée de former l'armée malienne. Une mission constituée de 400 hommes dont 250 formateurs et dont la mise en place interviendra début février, après les missions de reconnaissance habituelles à Bamako et sur les sites retenus.

 

Parmi ces militaires européens, de 250 à 300 Français: des formateurs bien sûr mais aussi l'élément de protection de l'EUTM Mali (un micro-GTIA formé par la 9e?).

 

Head of mission. Cherbourgeois de naissance (voir sa bio ci-dessous), Saint-cyrien, ancien chef de corps du 3e régiment d'infanterie de marine (RIMa) de Vannes, il commande, depuis août 2011, la 9e brigade légère blindée de marine, à Poitiers. François Lecointre connaît bien l'Afrique, où il a servi lors de missions à Djibouti, en République centrafricaine, au Rwanda et au Gabon.

 

François Lecointre s'est particulièrement illustré le 27 mai 1995. A la tête d'une section du 3e RIMA (commandée alors par le lieutenant Bruno Heluin, actuel numéro 2 de la 9e BIMa), le capitaine Lecointre avait repris aux Serbes le poste Sierra Victor sur le pont de Vrbanja, à Sarajevo, et libéré onze Casques bleus pris en otage.

 

Sa bio officielle (jusqu'à 2003):

lecointre.jpg

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 13:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/02/00/3335435490.jpg

 

25.12.2012 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Après avoir formé des miliers de soldats US en vue de leurs déploiements en Irak et en Afghanistan, les formateurs de la 162e brigade d'infanterie vont préparer leurs camarades pour un autre théâtre d'opérations. La première unité à passer entre les mains sera la "Dagger Brigade" (2e brigade de la 1ere division d'infanterie) qui va fournir à l'AFRICOM ses premières troupes conventionnelles déployables dans des pays comme la Libye, le Soudan, le Niger, l'Algérie, le Kenya ou l'Ouganda. Début de la formation en mars.

 

Cliquer ici pour lire mon post du 2 juillet dernier.

 

Cliquer ici pour lire un article sur les préparatifs de la 2e brigade.

 

Ces troupes conventionnelles vont se charger des missions de formation et d'assistance au profit des armées africaines et qui, éventuellement, pourront être engagées dans des missions de combat dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Des missions qui devront avoir le feu vert du secrétaire à la Défense, tout comme celles qui verront la brigade mettre en oeuvre ses drones.

 

Après l'attribution d'une CIF toute neuve, l'AFRICOM poursuit ainsi sa montée en puissance.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories