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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 17:35

http://www.saabgroup.com/PageFiles/2132/16-AUG-07-ALH%20WEAPONISED-37.jpg

photo saabgroup.com

 

Dec 21, 2012 ASDNews Source : Saab AB

 

Defence and security company Saab has received an order for helicopter self-protection and electronic intelligence systems worth around SEK 100 Million (ZAR 130 Million) from AgustaWestland Ltd.

 

“This contract strengthens our relationship as a key supplier to AgustaWestland and shows our ability to design and develop highly competitive Electronic Warfare self-protection and Electronic Intelligence systems. That AgustaWestland has selected us for the supply of this highly integrated self-protection and electronic intelligence system is a great proof of its capability, says Micael Johansson, Head of Saab’s business area Electronic Defence Systems.

 

This is a configuration where the Electronic Surveillance Payload (ESP) is integrated with the IDAS system (Integrated Defensive Aids Suite). This enhances the capability of the system to perform high accuracy direction finding and emitter location.

 

Development and production takes place at Saab in Centurion, South Africa(Saab Grintek Defence), and in Järfälla, Sweden. Deliveries are scheduled for 2013-2015.

 

Saab’s family of Integrated Defensive Aids Suite (IDAS) are ideally suited to enhance the survivability of aircraft in sophisticated, diverse and dense threat environments, by providing a multi-sensor warning system including radar warning, laser warning and missile approach warning; integrated with the lightweight pyrotechnic dispensing system (BOP/L). The Electronic Surveillance Payload (ESP) is ideal for helicopter applications where a highly capable but compact light weight Electronic Intelligence system is required.

 

IDAS systems protect many diverse platforms including Saab 2000, AgustaWestland A109, A129, AgustaWestland Super Lynx 300, Boeing CH-47 Chinook, Denel Rooivalk, Denel Oryx, Eurocopter Puma & Super Puma, Eurocopter Cougar, NH Industries NH90, Lockheed Martin C-130B, H and L100, Su-30MKM and deliveries are ongoing for Hindustan Aeronautics Limited Advanced Light Helicopter Dhruv.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 12:35

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/00/02/3544336343.jpg

 

20.12.2012 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

L'AFRICOM dispose, depuis quelques semaines, d'une Commander's in-Extremis Force (CIF), une unité d'intervention rapide à vocation anti-terroriste. Jusqu'alors, l'AFRICOM pouvait compter sur le CIF de l'EUCOM (European Command).

 

L'unité qui va fournir cette force à l'AFRICOM pourrait être le 10th Special Forces Group, qui est basé à Fort Carson, dans le Colorado.

 

La question, que les événements de Benghazi ont fait resurgir, est de savoir si ce CIF sera en stand-by dans le Colorado (peu probable) ou pré-déployé en Europe (Stuttgart), voire en Afrique.

 

Dans le cas de l'Allemagne, le bataillon du 10th SFG qui y est déjà basé est à disposition de l'EUCOM dont il constitue le CIF. Sera-t-il alors renforcé pour constituer un second CIF?

 

Dans le cas de l'Afrique, Djibouti pourrait être la base arrière du CIF de l'AFRICOM qui y déployerait des unités tournantes en provenance du Colorado.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 08:35

EU-NAVFOR-Atalanta-Crest A4-243x300

 

18/12/2012 EU source: Council - Ref: CL12-141EN

 

Summary: 18 December 2012, Brussels - The Political and Security Committee today announced the appointment of the new Operation Commander for the EU Naval Force Somalia - Operation Atalanta, which aims to prevent piracy and armed robbery off the Somali Coast and in the Indian Ocean.

 

Rear Admiral Robert Tarrant of the UK Royal Navy will take up the post of Operation Commander of Operation Atalanta on 16 January 2013. He will replace Rear Admiral Duncan Potts, who has commanded the EU's counter piracy mission since 15 June 2011.

 

Operation Atalanta was launched in December 2008 under the Common Security and Defence Policy and is part of the EU's comprehensive approach for a peaceful, stable and democratic Somalia. The operation also protects vessels of the World Food Programme delivering food aid to displaced persons in Somalia and shipping of the African Union mission in Somalia (Amisom).

 

For more information, see www.eunavfor.eu.

 

Rear Admiral (designate) Robert K Tarrant, Royal Navy, Commander United Kingdom Maritime Forces (designate)


Rear Admiral (designate) Bob Tarrant was born in 1961 and joined the Royal Navy in 1979. During his service at sea he has held positions in both submarines and surface ships and commanded the nuclear powered submarine HMS Talent from 1997-99 and the Ice Patrol Ship HMS Endurance 2007-08. He has a variety of operational experience from the Falklands Conflict in 1982 on board the destroyer HMS Antrim, numerous submarine patrols, two seasons in the Antarctic and periods of defence diplomacy off West Africa.

 

Ashore he has trained junior officers and been on the staff of Commander Submarine Force US Atlantic Fleet. More recently he has focused on the higher management of defence, developing security policy and strategy and creating effective international and political relationships. After a tour as the Commodore Naval Staff, supporting the First Sea Lord in the 2010 Strategic Defence and Security Review developing the strategy for the future of the Royal Navy, he attended the Royal College of Defence Studies in London.

 

He is currently Commander Combined Task Force 150, responsible for a multi-national maritime security operation extending from the Red Sea to the Gulf of Oman, and will be promoted Rear Admiral in January 2013 to assume the role of Commander United Kingdom Maritime Forces.

 

Bob is married to Tracy and they have two children. Beyond professional duties, he focuses on his family.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 08:35

Mali slodiers 400x300

 

déc 20, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

Le Conseil de sécurité des Nations-Unies vient de voter ce jeudi (20 décembre) une résolution qui porte le numéro 2085 autorisant le recours à la force sous le Chapitre VII de la Charte des Nations Unies. Ce vote a été acquis à l’unanimité, faut-il préciser. La résolution souligne combien « la consolidation et le redéploiement des forces de sécurité et de défense maliennes sur tout le territoire malien sont essentielles pour assurer la sécurité et la stabilité du Mali à long terme et pour protéger le peuple du Mali ».

 

Six fonctions pour une mission d’un an


La résolution autorise ainsi la mise en place de la MISMA / AFISMA — la mission internationale conduire par les Africains de soutien au Mali — pour une période initiale d’un an, qui aura six fonctions :

  • « contribuer à la reconstruction de la capacité des forces de sécurité et de défense maliennes, en étroite coordination avec les autres partenaires internationaux impliqués dans ce processus, y compris l’Union européenne et les autres États membres
  • soutenir les autorités maliennes dans la récupération des zones dans le nord de son territoire sous le contrôle des terroristes, extrémistes et des groupes armés et réduire la menace posée par les organisations terroristes, y compris AQMI, le MUJAO et les groupes extrémistes associés, tout en prenant les mesures nécessaires des mesures pour réduire l’impact d’une action militaire contre la population civile;
  • avoir une transition vers des activités de stabilisation pour soutenir les autorités maliennes dans le maintien de la sécurité et de consolider l’autorité de l’État par le biais de capacités appropriées;
  • soutenir les autorités maliennes dans leur responsabilité première de protéger la population;
  • soutenir les autorités maliennes à créer un environnement sûr pour la fourniture de l’aide humanitaire par des organisations civiles et le retour volontaire des personnes déplacées et des réfugiés (…) en étroite coordination avec les acteurs humanitaires;
  • protéger son personnel, les installations, les locaux, l’équipement et de la mission et assurer la sécurité et la circulation de son personnel. »

Une planification à “affiner”, une assistance demandée


La planification militaire de l’opération « devra être affinée avant le début de l’offensive » est-il précisé.

Les États Membres de l’ONU, les organisations régionales et internationales sont aussi priées de « fournir une assistance coordonnée, d’expertise, de formation, notamment sur les droits de l’homme et du droit international humanitaire et le renforcement des capacités de soutien aux forces de sécurité et de défense maliennes, conformément à leurs besoins nationaux pour (1) rétablir l’autorité de l’Etat du Mali sur son territoire national tout entier, (2)  préserver l’intégrité territoriale et de l’unité du Mali, (3) réduire la menace posée par des terroristes ».

Cette disposition renforce ainsi la mise en place de la mission européenne EUTM Mali visant à former l’armée malienne. Même si elle n’était pas totalement nécessaire au plan juridique interne, elle était cependant demandée par plusieurs Etats membres qui estimaient cette seconde résolution nécessaire d’un point de vue politique. 


Le respect de la feuille de route


Le gouvernement de transition du  Mali est, lui, prié d’établir « une feuille de route de transition à travers le dialogue politique large et inclusive, pou rétablir l’ordre constitutionnel et l’unité nationale, par la tenue d’élections présidentielles et législatives selon des moyens pacifiques, crédibles et inclusives ».

Nb : traduction personnelle du texte original produit en anglais.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 07:35

http://www.meretmarine.com/sites/default/files/new_objets_drupal/20121221024010_41475.jpg

Le Meteoro, tête de série des patrouilleurs du type BAM

crédits : NAVANTIA

 

21/12/2012 Mer et Marine

 

Le nouveau patrouilleur hauturier espagnol est en opération de séduction, cette semaine, en Afrique du Sud. Du 19 au 22 décembre, le Relampago est en escale au Cap, où Navantia et les autorités espagnoles présentent les capacités de cet OPV (Offshore Patrol Vessel), proposé à la marine sud-africaine dans le cadre du futur programme BIRO, qui doit voir la réalisation de trois patrouilleurs océaniques. En compétition notamment avec le modèle français Gowind OPV, de DCNS, les Espagnols font notamment valoir que leur bâtiment a déjà réalisé, avec succès, différentes missions outre-mer, dont un déploiement réussis, à l’été dernier, dans le cadre de l’opération européenne Atalante de lutte contre la piraterie au large de la corne d’Afrique. A cette occasion, le Relampago s’est notamment illustré en portant assistance à 68 personnes en détresse dans une embarcation en panne de moteur au large de la Somalie.

 

Troisième unité du type BAM (Buque de Accion Maritima), dont la tête de série, le Meteoro, est entrée en service en juillet 2011, le Relampago mesure 93.9 mètres de long pour 14.2 mètres de large. Affichant un déplacement de 2575 tonnes en charge, ce grand patrouilleur, conçu pour les missions océaniques, présente une autonomie très importante, soit 8000 milles à 15 nœuds et une quarantaine de jours d’opérations, avec une vitesse maximale de 21 nœuds. Armé par 35 marins, il dispose de logements pour 35 passagers, par exemple des forces spéciales, qui peuvent être mise en œuvre au moyen d’embarcations rapides. Le bâtiment dispose également d’une plateforme et d’un hangar pour un hélicoptère, et peut embarquer des conteneurs sur la plage arrière. Son armement, axé sur l’artillerie, comprend une tourelle de 76mm et deux canons de 25mm, ainsi que des mitrailleuses.

 

Un quatrième BAM, le Tornado, doit prochainement entrer en service au sein de l’Armada.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 07:35

http://www.45enord.ca/wp-content/uploads/2012/11/touareg-mali-forum-642x325.jpg

Touaregs et islamistes au Mali (Photo: Lareleve.ma)

 

21 décembre 2012 par Jacques N. Godbout - 45enord.ca

 

Au Mali, le groupe islamiste Ansar Dine, responsable d’exécutions publiques et d’amputations dans le nord du pays, se donne un nouveau visage et crée un autre groupe du nom d’Ansar Charia.

 

«Nous voulons élargir Ansar Dine à d’autres communautés dans le nord du Mali », a déclaré Oumar Ould Hamaha, un commandant musulman qui est un des organisateurs du nouveau groupe.

 

Ansar Dine et son nouveau « bébé », Ansar Charia, pourraient représenter une solution pour les autres groupes de combattants dans le Nord malien, attirés par le statut « indigène » d’Ansar Dine. Ce statut lui confère un avantage dans les négociations avec le gouvernement malien, à l’approche d’une intervention militaire des forces gouvernementales et des pays de la l’Afrique de l’Ouest pour la reconquête du territoire, dont les rebelles et les groupes islamistes se sont emparés en mars dernier.

 

Ansar Dine est désormais considéré comme le seul groupe islamique dans le nord qui peut être amené à la table des négociation, en partie parce que ses dirigeants sont tous des ressortissants maliens qui possèdent des biens dans le nord du Mali. Le groupe, dirigé par le rebelle touareg Ag Ghali, est en effet arrivé au pouvoir après une rébellion lancée par les membres du groupe ethnique touareg et, depuis sa création il y a 1 an, la plupart des membres d’Ansar Dine sont des Touaregs, contrairement aux membres des autres groupes islamistes qui se sont emparés du Nord du Mali.

 

Le président malien, Dioncounda Traorehas, a reconnu lui-même que la plupart des extrémistes au sein d’Ansar Dine sont en fait des Maliens et non des combattants étrangers.

 

En revanche, MUJAO et al-Qaida au Maghreb islamique, quant à eux, sont dirigés par des commandants algériens et mauritaniens. Leur idéologie est en phase avec Al-Qaïda et leurs porte-paroles ont clairement fait savoir qu’ils n’ont aucun intérêt à négocier avec les «infidèles» du gouvernement du Mali.

 

Le Département d’État américain a d’ailleurs désigné le vendredi 7 décembre le Mouvement pour l’Unité et le Jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) et deux de ses dirigeants comme Specially Designated Terrorists. Le comité des sanctions contre al-Quaïda de l’Organisation des Nations Unies avait déjà quant à lui désigné le MUJAO comme organisation terroriste en tant qu’entité lié à al-Quaïda.

 

Ansar Dine affirme maintenant que certains combattants ont quitté le MUJAO pour se joindre à Ansar Charia, craignant que le MUJAO soit la première cible de toute intervention militaire.

 

En effet, ce jeudi 20 décembre, l’ONU a approuvé une opération militaire qui devra être menée par l’Afrique pour chasser les extrémistes liés à Al-Qaïda du nord du Mali.

 

La résolution autorise une force dirigée par des Africains à soutenir les autorités maliennes dans la reconquête du Nord, mais fixe des repères avant le début des opérations offensives, à commencer par les progrès sur une feuille de route politique pour rétablir l’ordre constitutionnel. Elle souligne également que la planification militaire ultérieure est nécessaire avant que la force dirigée par des Africains ne soit envoyée vers le nord

 

Bien qu’il ne puisse y avoir d’intervention militaire avant que ne soient formées et entraînées les forces de sécurité du pays et qu’il y ait eu des progrès sur la voie de la réconciliation politique et des élections, la perspective d’une intervention militaire se fait donc de moins en moins lointaine.

 

Ansar Dine, ou «Défenseurs de la Foi», contrôle les villes de Kidal et Tombouctou, dans le nord du Mali. Ses combattants – estimés entre 500 et 1000 – ont imposé la Charia, une forme stricte de la loi islamique. Ils ont déjà lapidé à mort un couple accusé d’adultère, coupé les mains des voleurs et ont recruté des enfants aussi jeunes que 12 dans leurs rangs. Leurs militants, lourdement armés, ont aussi attaqué des bars qui vendent de l’alcool, et interdit toute relation entre hommes et femmes dans les lieux publics.

 

Toutefois, ces dernières semaines, leurs dirigeants ont essayé de faire des concessions, notamment en disant renoncer au terrorisme. Le choix de former le sous-groupe d’Ansar Charia, plutôt que d’étendre le groupe originel Ansar Dine, pourrait être une simple question de marketing, certains combattants des autres groupes pouvant être réticents à se placer sous les ordres du chef rebelle touareg Ag Ghali, qui dirige Ansar Dine.

 

Chez les extrémistes d’Ansar Dine, on ratisse large et on pense…marketing, semble-t-il!

 

À lire aussi:

Le Conseil de sécurité des Nations-Unies approuve une opération militaire au Mali >>

Mali: le MUJAO et deux de ses dirigeants déclarés « Special Designated Terrorists » >>

Mali: les rebelles Touaregs et Ansar Dine tentent d’éviter une intervention militaire >>

Mali: le groupe Ansar Dine renonce au terrorisme >>

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 06:35

Carte-Regionale-AQMI-344 2 0

 

20 décembre 2012 par Jacques N. Godbout - 45enord.ca

 

Le Conseil de sécurité a adopté ce jeudi 20 décembre une résolution approuvant une opération militaire menée par l’Afrique pour chasser les extrémistes liés à Al-Qaïda du nord du Mali, mais pas avant d’avoir formé et entraîné les forces de sécurité du pays et d’avoir fait des progrès sur la voie de la réconciliation politique et des élections.

 

La résolution, adoptée à l’unanimité, souligne qu’il doit y avoir un plan en deux volets, politique et militaire, pour reconquérir le nord du pays et réunifier la nation ouest-africaine.
La résolution autorise une force dirigée par des Africains à soutenir les autorités maliennes dans la reconquête du nord, mais fixe des repères avant le début des opérations offensives, à commencer par les progrès sur une feuille de route politique pour rétablir l’ordre constitutionnel.
Elle souligne également que la planification militaire ultérieure est nécessaire avant que la force dirigée par des Africains ne soit envoyée vers le nord et demande le Secrétaire général Ban Ki-moon, de «confirmer à l’avance la satisfaction du conseil à l’égard de militaire projetée ».

Le responsable onusien des forces de Maintien de la paix, Hervé Ladsous, a dit qu’il ne s’attend pas à ce que l’opération militaire puisse débuter avant septembre ou octobre de l’année prochaine.

 

Lire l’article de l’Associated Press >>

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 23:52

CarteMali@Onu-589x450

 

20/12/2012 LeFigaro.fr (AFP)

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté aujourd'hui à l'unanimité une résolution autorisant, "pour une période initiale d'un an", le déploiement d'une force internationale au Mali. La résolution ne fixe pas de calendrier précis pour le déclenchement d'une offensive au Nord-Mali afin d'en chasser les groupes islamistes extrémistes qui contrôlent cette région depuis six mois.

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 18:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/djibouti/121220-djibouti-exercice-interarmees-et-interallies-amitie/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-1/2117649-1-fre-FR/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-1.jpg

 

20/12/2012 Sources : EMA

 

Du 8 au 12 décembre 2012, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) ont organisé et participé à l’exercice interarmées et interalliés Amitié. Cet exercice a rassemblé à Djibouti près de 1000 militaires français, américains et djiboutiens, 200 véhicules et 15 aéronefs.

 

Cet exercice avait pour objectif de développer l’interopérabilité entre les trois nations participantes. Le scénario simulait un engagement à haute intensité. Les forces étaient placées sous les ordres du poste de commandement interarmées (PCIA).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/djibouti/121220-djibouti-exercice-interarmees-et-interallies-amitie/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-3/2117681-2-fre-FR/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-3.jpg

 

L’exercice a débuté à l’aube du 8 décembre après un saut effectué par le 2e Régiment étranger parachutiste (2e REP), au sud de la ville de Djibouti. Le PC du groupe tactique interarmes (GTIA), armé par le 5e RIAOM, a été déployé à HolHol, à environ 50 kilomètres au Sud-Ouest de Djibouti. Après s’être déployée par voie aérienne et terrestre au nord de la ville d’HolHol, la composante terrestre française a entamé des actions de reconnaissance offensive et de contrôle de zone. Le 5e RIAOM en était le principal contributeur avec l’ensemble de ses unités dont l’escadron blindé sur AMX 10 RC, la batterie de défense sol-air équipée de MISTRAL, une compagnie d’appui mortier et une compagnie d’infanterie sur véhicules de l’avant blindés (VAB). Une compagnie parachutiste du 2e REP et 2 sections des forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) issues du détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) et du 2e Régiment de parachutiste d’infanterie de marine (2e RPIMa) complétaient cette composante terrestre. L’action terrestre a été menée en coopération avec la 15e MEU (Marines Expeditionary Unit), les forces armées djiboutiennes (FAD) et la Garde Républicaine (GR) djiboutienne. Des élèves officiers djiboutiens de l’Académie Militaire Interarmées d’Arta (AMIA) ont été insérés dans les sections françaises et ont pu parfaire leur connaissance auprès des chefs de section.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/djibouti/121220-djibouti-exercice-interarmees-et-interallies-amitie/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-2/2117676-2-fre-FR/exercice-interarmees-et-interallies-amitie-2.jpg

 

La composante aérienne de l’exercice avait des objectifs d’entraînement complémentaires à l’action des troupes au sol: reconnaissance aérienne, exploitation du renseignement, appui feu air-sol (CAS), recherche et sauvetage des équipages et défense aérienne d’ensemble. Elle était composée de l’escadron de chasse 03/11 Corse sur Mirage 2000 D, de l’escadron de transport 00/088 Larzac avec un Transall et un Puma SAR (search and rescue) et du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) avec 1 Gazelle et 4 Puma. Les américains, totalement intégré à l’exercice, ont engagé 2 F16 aux côtés des Mirage 2000 D  et 1 hélicoptère d’attaque Cobra. Un ravitailleur français C135 a été spécialement déployé depuis Istres pour AMITIE et a participé aux côtés d’un KC 130 américain au ravitaillement des aéronefs.

 

Un détachement du groupement de soutien de la base des FFDJ (GSBFFDJ) a joué le rôle de plastron durant toute la durée de l’exercice, alors que le soutien sanitaire était assuré par le service de santé des FFDJ.

 

Au bilan, cet exercice interarmées de grande ampleur a, comme son nom l’indique, permis de renforcer la coopération entre les forces françaises, américaines et djiboutiennes.

 

Les forces françaises sont stationnées à Djibouti (FFDJ) dans le cadre d’un accord bilatéral et constituent la base opérationnelle avancée (BOA) française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDJ participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer de réservoirs de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 18:00

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1e/Department_of_state.svg/600px-Department_of_state.svg.png

 

MOSCOU, 20 décembre - RIA Novosti

 

Trois responsables du département d'Etat américain ont démissionné mercredi suite à la publication des résultats de l'enquête sur l'attaque contre le consulat US à Benghazi (Libye), perpétrée le 11 septembre dernier, rapportent les médias internationaux. 

 

Se référant à une source diplomatique, la presse précise que le secrétaire adjoint chargé de la sûreté diplomatique, Eric Boswell, compte parmi les diplomates démissionnés.

 

Selon la commission d'enquête indépendante, mise en place par la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, le département d'Etat a échoué d'assurer une sécurité adéquate de ses missions diplomatiques en Libye, ce qui a entraîné la mort de l'ambassadeur Chris Stevens et de trois autres Américains. Dans son rapport, elle critique "des ratés au niveau de deux bureaux du département qui ont conduit à mettre en place un dispositif de sécurité largement inadéquat pour faire face à l'attaque".

 

Quatre Américains ont trouvé la mort le 11 septembre dernier lors d'une attaque au mortier perpétrée contre la mission diplomatique des Etats-Unis à Benghazi. L'attaque a eu lieu suite à la mise en ligne sur YouTube d'un film islamophobe tourné aux Etats-Unis.

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 16:35

MQ-9 Reaper

 

déc 19, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2, exclusif)

 

La douzaine de drones américains (Reaper et Predator) présente au Camp Lemonnier de Djibouti est interdite de vol dans la petite république de la Corne. Les autorités locales ont pris cette décision après un incident qui est survenu dans la nuit de jeudi à vendredi. Un incident mécanique à l’atterrissage – un “posé dur” en jargon aéronautique – a légèrement fracassé le RQ 1 (Predator).

 

Suite de l’article

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 16:35
HMS Monmouth
HMS Monmouth (foreground) and a US warship
Picture: Crown Copyright/MOD 2012

 

19 December 2012 Ministry of Defence

 

HMS Monmouth and her Royal Marines have been working with the US Navy to demonstrate how they can help keep the sea lanes open in the Middle East.

 

The Plymouth frigate HMS Monmouth joined forces with a United States warship and air power for an exercise involving the military and merchant shipping to show how the two can work together to ensure safe passage on the high seas.

HMS Monmouth, known as the Black Duke, was given the task of providing close-in protection to two huge tankers - including the Bahamian-registered Arcturus Voyager (333 metres long and displacing 160,000 tonnes) which travels at only 5 knots/6 miles per hour (9.26 kilometres per hour).

 

The UK warship was supported by US Navy and coast guard patrol ships, a supply vessel and the air-defence destroyer USS Winston S Churchill - with a Royal Navy navigator aboard.

 

Aircraft involved were a US Seahawk helicopter, Orion eye-in-the-sky patrol aircraft, F18 Super Hornets and HMS Monmouth’s own Lynx helicopter which landed Royal Marines boarding team by rapid roping on to the Arcturus Voyager while smaller boats delivered the rest of the boarders.

 

This demonstrated how the Royal Navy responds to pirates or terrorists threatening merchant vessels - exactly as Royal Marine commandos from RFA Fort Victoria did on the Italian MV Montecristo in 2011, to free the crew from pirates.

Lieutenant Chris Hollingworth, principal warfare officer in HMS Monmouth, said:

HMS Monmouth on exercise with a tanker
HMS Monmouth on exercise with a tanker in the Gulf [Picture: Crown Copyright/MOD 2012]

It was great to be able to demonstrate to the tanker captains how we would be able to deal with threats and offer them a level of protection. We were able to neutralise potential threats by both directing support aircraft and using our 4.5-inch [114 millimetres] Mk8 gun.

HMS Monmouth’s commanding officer Commander Gordon Ruddock said of the exercise:

It will give confidence to the merchant marine community that we are ready, willing and able to protect them should they need us.

With fully-laden cargos of over 150,000 tonnes, it is important that merchant ships such as these are able to transport their cargo around the world without fear of piracy or other attack.

His ship has recently taken over from HMS Diamond on patrol until returning to Plymouth in the spring.

 

The patrol is vital to UK and world trade because each day 17 million barrels of oil pass through the Strait of Hormuz, while 3-4 million barrels are moved through the Bab-al-Mandeb Strait, gateway to the Red Sea.

 

In a typical week, more than 500 ships pass through Hormuz - 3 in every 5 of them energy carriers (including liquefied natural gas which is used in the UK).

 

The exercise tested mock crisis centre staff in Bahrain, merchant sailors and the military response should shipping come under terrorist attack.

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 12:35

http://1.bp.blogspot.com/-9jYkCSHzdeQ/UI4Go2chVAI/AAAAAAAAEow/7L3EaeDAR0E/s320/Australian_Soldier_with_AUS-Flag_and_Army_Patch_in_Desert_Cammo.jpg

 

18 December 2012 By Brian Agnew – Pacific Sentinel

 

Despite the aphorism that generals always prepare for the last war, the 2011 Libyan campaign to oust the Gadhafi regime presents some useful pointers regarding the exercise of deadly force by Australia. This is especially so when compared with the lengthy, costly and perhaps inconclusive military campaigns in Iraq and Afghanistan. From a Western perspective, the Libyan campaign was short, cheap, and successful.
Nineteen nations, employing the most potent military coalition in the world (NATO) attacked a small country, of 6.6 million people, for seven months to eventually force a change of regime. No NATO personnel were lost in combat, there were few civilian casualties caused by NATO and the mission was clearly achieved. The cost was about one billion dollars, one ninth of what it costs for a month in Afghanistan.

 

The campaign has been widely hailed by air power advocates, but it was more than just a sophisticated air campaign. Forces from aerospace, land and maritime and cyber domains were all needed to ensure success. In the opening attack on the night of 19 March 2011, 45 precision munitions from three B-2 bombers aircraft and 110 Tomahawk cruise missiles were launched against air-defence and other targets. The British also launched Tomahawks and delivered Storm Shadow cruise missiles from strike aircraft flying from Britain. This initial engagement, mainly by the US with some UK and French support, was crucial to the eventual outcome as it enabled subsequent operations to occur unencumbered by an air threat, and it began the attrition of Libyan military assets. Once air superiority had been established, the Europeans were then able to conduct about 90 per cent of all strike sorties.

 

The employment of precision guided missiles was central to maintaining domestic public opinion, ensuring fewer civilian casualties as well as removing the air threat. This part of the campaign is a model for the future and Australia is working to be able to implement a similar strategy. The elements required included Intelligence, Surveillance, Target Acquisition, and Reconnaissance capabilities, aerial tanker support and a supply of precision-guided weapons. Australia is currently purchasing the Growler electronic warfare aircraft, which potentially offers an offensive cyber capability. Australian forces, with the JSOW-C long range strike weapon on Super Hornets have similarly capable missiles and modern combat aircraft with which to deliver air superiority.

 

In the maritime environment, mine countermeasure operations kept sea lines of communications off the coast of Libya open for humanitarian support and embargo implementation. Australia’s modest mine countermeasure capability based on the Huon class mine hunters, has been approved for augmentation.

 

Other maritime activities in the campaign included using surface ships and submarines (21 in all) to conduct non-combatant evacuations, enact the UN arms embargo and to support the campaign with naval gunfire, command and control, surveillance and logistics.

 

The Libyan campaign re-kindled the debate on the role of airpower in modern warfare on the basis of the so-called ‘Obama doctrine’, which emphasises multilateralism and has as a corollary that military action should be strictly limited, with few or no ground forces involved. The Libyan rebels provided the critical ground element to the campaign, supported by special forces from several European and Arab countries. While small in number, estimated as not exceeding a couple of hundred, special forces initially deployed to rescue civilians working in Libya, to gather intelligence on the rebels and to liaise with them. These tasks evolved into training and mentoring, provision of weapons, target de-confliction and eventually in-combat coordination. Australian special forces could offer a similar capability.

 

The forming and practice of coalitions of like-minded nations is largely absent from the exercise regimen of Asia–Pacific militaries, except when a combat-weary US provides the opportunity. The few nations that conduct periodic low-scale exercises or one-off humanitarian operations don’t come near to replicating the kind of coalition cooperation and cohesion exhibited during the Libyan campaign. But Australia, as agreed with its US ally, could seek further opportunities to conduct military exercises with regional partners.

 

America’s high-end capabilities and scale can’t currently be replicated by any other nation, but well-organised coalitions demonstrate an accumulation of both political will and military forces. Australia remains largely on track to being able to offer military capabilities that might be attractive to regional coalitions. Even small-scale actions will demand the deployment of sophisticated forces from a range of combatant domains. If regional tensions are assessed as likely, then regional coalitions might be needed, and additional activities with regional partners will become a higher priority for Australia.

 

Brian Agnew is an Australian public servant with the Department of Defence. He is a member of the staff at the Centre for Defence and Strategic Studies.

 


This work is the sole opinion of the author, and does not necessarily represent the views of the Centre for Strategic and Defence Studies or the Department of Defence. The Commonwealth of Australia will not be legally responsible in contract, tort or otherwise, for any statement made in this publication.

 

This article first appeared on the ASPI "The Strategist" Blog

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 12:35

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

 

18.12.2012 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Et si la piraterie disparaissait de l'océan Indien? Ce serait tragique. Tragique pour les assureurs, les entreprises de sécurité maritime, les fournisseurs d'équipements de protection, les constructeurs d'OPV et les marines gouvernementales qui agitent la menace pirate pour exiger des moyens navals.

 

Pour ces dernières, comment dès lors procéder pour faire durer des opérations de sécurisation dans des mers pacifiées?

 

"Je suis convaincu que si nos bâtiments disparaissaient, le modèle de piraterie serait intact", a expliqué le contre-amiral néerlandais Ben Bekkering, commandant sortant de l'opération "Ocean Shield" (Bekkering va en effet passer le flambeau au contre-amiral italien Antonio Natale).

 

Les attaques de pirates au large des côtes de la Somalie ont effectivement considérablement décliné en 2012 mais ce phénomène reste un "business modèle" viable. Selon l'Otan, il est susceptible de connaître un nouvel essor en cas de réduction des forces navales internationales dans la région.

 

CQFD: mobilisation soutenue et durable signifie sécurité en mer. Donc, il ne faut pas baisser la garde et continuer à mettre en oeuvre des moyens militaires permanents. En temps de disette budgétaire et de coupes à venir, la démonstration a son importance. Et elle vaut aussi bien pour Ocean Shield qu'Atalante.

 

Une baisse réelle. Le nombre de navires arraisonnés par des pirates dans l'océan Indien, au large de la Somalie, est tombé à sept lors des onze premiers mois de 2012, contre 24 pour la totalité de l'année 2011, selon l'Otan.

 

L'IMB (au 3 décembre) a recensé 71 incidents au large de la Somalie, 13 captures de navires. 212 marins ont été capturés. Actuellement, 9 navires sont aux mains des pirates et 147 personnes. sont otages

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 08:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5d/Comores_carte.gif

 

17 décembre 2012 linfo.re

 

L’Assemblée nationale des Comores doit examiner dans les prochains jours un projet d’accord franco-comorien dans le domaine de la Défense.

 

Une nouvelle forme de coopération militaire se dessine entre la France et l’Union des Comores. Un projet d’accord de partenariat a été transmis à l’Assemblée nationale à fin d’adoption plénière, selon Abderemane Ahmed Abdallah, président de la commission parlementaire des Relations extérieures.

 

« Nous avons été saisis par le gouvernement à travers le chargé de la Défense pour examiner, en commission, un accord de partenariat de défense entre l’Union des Comores et la République française », déclare l’élu comorien lors d’un point de presse à Moroni. Selon lui, le projet d’accord a déjà été voté en commission sous la houlette des personnalités comoriennes, à l’instar de Hamada Madi Boléro, le directeur de cabinet de la présidence de la République chargé de la Défense, des techniciens de la Défense nationale et de l’attaché de défense auprès de l’ambassade des Comores à Paris.

 

« Au cours des travaux en commission, les articles composant cet accord ont fait l’objet de longs débats et contrairement à ce que l’on pouvait croire, nous au niveau de l’assemblée, nous avons examiné cet accord et n’avons rien vu qui peut mettre en danger l’existence et l’intégrité de notre pays », rapporte le parlementaire Abderemane Ahmed Abdallah.

 

Après avoir franchi cette étape, le texte sera débattu par les députés dans les prochains jours. Les mesures proposées constituent fondamentalement « la continuité » d’un précédent accord signé en 2010 entre le gouvernement comorien et le ministère français de la Défense. Le quotidien local Alwatwan précise qu’« il s’agit d’un accord de défense différent de celui qui liait les deux pays de 1978 à 1999 ».

 

« La plupart des closes figurant dans l’accord de défense ont été supprimées, ce qui veut dire que nous allons progresser dans un cadre de partenariat et le côté positif est que l’accord a été examiné en profondeur afin de voir que le pays n’est pas soumis à une quelconque pression », explique le député Abderemane Ahmed Abdallah.

 

En clair, « la mise en place de cet accord de partenariat permettra aux différentes composantes de l’Armée nationale de développement de bénéficier des formations, des stages et de l’assistance technique », conclut l’élu comorien.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 18:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/das/ri/5-52/logo-de-l-initiative-5-5-defense/1553166-1-fre-FR/logo-de-l-initiative-5-5-defense.png

 

11 Décembre 2012 maghrebemergent.info

 

La 8e réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’initiative "5+5 Défense" qui s’est tenue lundi à Rabat a été sanctionnée par la signature d’une déclaration conjointe en vue de promouvoir la coopération entre les pays membres et de consolider la défense, la sécurité et la stabilité dans la région.

 

Dans leur déclaration conjointe, les participants à cette réunion à laquelle a pris part Abdelmalek Guenaïzia, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, ont exprimé leur satisfaction quant aux résultats obtenus dans les domaines d’intérêt commun, notamment en matière de surveillance et de sécurité maritimes, de sécurité aérienne et de contribution des forces armées dans la protection civile, la formation et la recherche.

 

Ils se sont également félicités du rôle actif des services compétents de chaque Etat membre dans la consolidation de la coopération entre les membres de l’Initiative, particulièrement dans les domaines relatifs au système de contrôle du trafic maritime et au système d’échange d’informations maritimes et aériennes.

 

Les participants se sont également réjouis du rôle accru de l’Institut "5+5 défense" dans la formation et du progrès réalisé grâce à l’action du Centre euro-maghrébin de recherches et d’études stratégiques au service de la sécurité en Méditerranée occidentale.

 

Les ministres de la Défense des pays membres de l’Initiative ont, par ailleurs, insisté sur la nécessité d’agir ensemble pour la paix et la sécurité dans les deux rives du pourtour méditerranéen et sur l’importance de hisser la coopération commune pour lutter contre le terrorisme et les trafics en tout genre.

 

L’Initiative "5+5 Défense" regroupe les pays du Maghreb (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie) et cinq pays européens (Espagne, France, Italie, Malte et Portugal).

 

Cette réunion intervient suite au deuxième sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du dialogue des pays de la Méditerranée occidentale 5+5, tenu en octobre dernier à Malte.

 

L’objet de la réunion était d’aborder les questions de sécurité et de défense ainsi que les activités menées par chaque pays membre durant l’année 2012 avant de procéder à la validation du plan d’action pour l’année 2013. Après le Maroc en 2012, le Portugal assurera la présidence de l’initiative pour l’année 2013.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 17:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/patrouille-stick-action-speciale-du-1er-rpima-a-djibouti/2109804-1-fre-FR/patrouille-stick-action-speciale-du-1er-rpima-a-djibouti.jpg

 

14/12/2012 Actu Terre

 

Depuis plusieurs semaines, le stage patrouille motorisée stick action spéciale (PAT SAS) se déroule à Djibouti dans le cadre de l'exercice Tarentule organisé par la brigade des Forces spéciales Terre BFST).

 

Retrouvez en vidéo les PAT SAS qui mettent en pratique, durant 3 semaines, ce qu'ils ont appris en France : combat et tir en véhicule, réaction à une embuscade ou entraînement au poser d'assaut type opérations spéciales.

 

La mission d'une patrouille motorisée stick action spéciale (PAT SAS) au 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa) de Bayonne, est de s'infiltrer dans n'importe quel pays du monde quelles que soient les conditions avec une importante puissance de feu afin d’accomplir l’ensemble des missions de ce régiment emblématique des forces terrestres.

 


 
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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 17:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/83/Map_of_Sudan_%28New%29.jpg

 

2012-12-16 xinhua

 

Le ministre soudanais de la Défense Abdul-Rahim Mojhamed Hussein est parti samedi pour Abbis Abeba pour examiner la mise en oeuvre des accords de coopération entre le Soudan et le Soudan du Sud, a rapporté l'agence de presse officielle soudanaise Suna.

 

Les priorités de Khartourm à ces rencontres comprennent entre autres le retrait immédiat et sans conditions de l'Armée populaire de libération du Soudan (SPLA) de quatre zones frontalières contestées et l'arrêt du soutien et l'abri du Soudan du Sud aux groupes rebelles au Soudan, selon l'agence Suna.

 

Le porte-parole de l'armée soudanaise, Al-Sawarmy Khalid Saad, a déclaré que les deux délégations devraient discuter lors de leur rencontre à Addis Abeba des questions en suspens, dont la mise en oeuvre de l'accord de défense commune conclu entre les deux pays sous les auspices du médiateur de l'Union africaine Thabo Mbeki.

 

Khartoum insiste sur la mise en oeuvre de l'accord de sécurité au premier et demande à Juba de démobiliser tous les troupes du SPLA/Nord présentes au Soudan du Sud, dont celles dans le Kordofan- Sud et le Nil bleu.

 

Le Soudan et le Soudan du Sud avaient signé le 27 septembre des accords de sécurité et de coopération sous la médiation de l'Union africaine, sans toutefois parvenir à s'entendre sur les très sensibles questions du statut de la zone contestée d'Abyei et de la démarcation de leur frontière.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 17:35

EU-NAVFOR-Atalanta-Crest A4-243x300

 

déc 17, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

La frégate belge Louise-Marie qui croise au large de la Somalie pour le compte de l’opération européenne Eunavfor Atalanta a intercepté cinq pirates, samedi (15 décembre), vers 15 heures locales. Une arrestation qui ne doit rien au hasard. Les hommes étaient pistés. Dès mercredi, un groupe suspect de skiffs est ainsi repéré au large de la Somalie par des avions patrouilleurs d’Eunavfor. La Louise-Marie est alors en train de quitter le port de Mombasa (au Kenya) où elle avait fait relâche. La plus proche du lieu, elle se dirige alors vers la zone.

 

L’embarcation suspecte est de nouveau localisée samedi (15 décembre) vers 12h par l’avion de patrouille suédois d’Atalanta. L’hélicoptère du Louise Marie intervient aussitôt, suivi en mer du RHIB avec l’équipe d’abordage. « Après les sommations verbales, les pirates ont rapidement levé les bras » précise la marine belge. « Leur embarcation était dotée d’une échelle et d’un grappin. » Ce qui laisse peu de doutes sur leurs intentions. Cependant « aucune arme n’a été trouvée » à bord. Le skiff a été remonté à bord, pour preuves, ou s’il faut libérer les pirates, pour les remettre à l’eau en liberté.

 

Les suspects sont cependant soupçonnés d’avoir attaqué le MV Papua, un navire marchand, le 28 novembre dernier, à 500 miles nautiques des côtes somaliennes. Les pirates dans deux skiffs, soutenus par un bateau mère, avaient alors tenté de prendre d’assaut le navire, armés de grappins et d’échelles. Ils avaient été repoussés par l’équipe de sécurité privée à bord. Le système mis en place d’identification à la fois visuelle (photographies, témoignages…) et biométrique mis au point par les forces anti-piraterie pourraient permettre de confondre les pirates. Restera ensuite à trouver le tribunal compétent (et qui accepte de les juger).

 

En attendant une suite judiciaire, les prévenus ont été soignés pour déshydratation, épuisement et malnutrition. L’un d’eux souffrait « d’un abcès au poignet et va être opéré par le chirurgien de bord » précise-t-on coté belge.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 17:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2a/Flag_of_EAC.svg/600px-Flag_of_EAC.svg.png

 

14 décembre 2012 afriquinfos.com

 

BUJUMBURA (Xinhua) - Le Sénat burundais a ratifié vendredi à l'unanimité le protocole de la Communauté de l'Afrique de l'est (CAE) dans le secteur de défense, signé le 28 avril 2012 en Tanzanie.

 

Selon le ministre burundais de la Défense et des Anciens combattants, le général-major Pontien Gaciyubwenge, qui défend ce projet de loi devant les membres de la chambre haute du parlement bicaméral burundais, outre que l'intérêt de ce protocole est de promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité de l'espace CEA, le protocole a pour but ultime de coopérer avec les organisations régionales et internationales en matière de défense.

 

Face aux milices, le protocole autorise aux Etats membres de la CAE de recourir à la technique de défense mutuelle pour anéantir l' ennemi, a précisé le général-major Gaciyubwenge.

 

En cas de dispute entre deux ou plusieurs parties membres de la CAE, a-t-il révélé, le protocole a prévu le règlement des différends à l'amiable. A défaut d'entente à l'amiable, les pays membres peuvent porter plainte à la Cour de Justice de l'Afrique de l'Est, dont le verdict revêt un caractère irréversible.

 

Après l'étape de ratification du protocole par les Etats membres de la CAE (Burundi, Rwanda, Kenya, Tanzanie et Ouganda), suivront les négociations pour la signature d'un pacte de défense commune, a-t-il signalé.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 08:35

RhibFpsPatino - crédit Eunavfor Marine Espagnole

 

déc 15, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

 

C’est une nouvelle technique des pirates, détectée par les coalitions maritimes à l’oeuvre dans l’Océan indien : la “soft approach”. Un skiff apparemment inoffensif s’approche d’un navire marchand. Il teste « la réponse et la réactivité de l’équipage » et surtout le fait de vérifier qu’une équipe de protection embarquée est à bord. S’il n’y a pas de réponse, le gentil skiff “pêcheur” se transforme en pirate, et passe à l’abordage, avec des renforts arrivés par un second skiff.

 

Suite de l’article

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 08:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/121214-atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-3/2110157-2-fre-FR/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-3.jpg

 

14/12/2012 International

 

La frégate légère furtive (FLF) Surcouf, après avoir transité par le canal de Suez et le détroit de Bab-el-Mandeb, a rejoint l’opération Atalante le 3 décembre 2012. Pour cette mission, l’équipage compte un détachement aéronautique britannique.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/121214-atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-4/2110162-2-fre-FR/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-4.jpg

 

La mission principale de la frégate Surcouf sera de fournir une protection aux navires affrétés par le Programme alimentaire mondial (PAM), de protéger les navires marchands et de recourir aux moyens nécessaires, y compris à l'usage de la force, pour dissuader, prévenir et intervenir afin de mettre fin aux actes de piraterie sévissant dans la région.

 

La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement permanent d’une frégate pendant toute la durée de l’opération et la participation ponctuelle d’un avion de patrouille maritime, ATL 2, basé à Djibouti.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/piraterie/121214-atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-1/2109979-1-fre-FR/atalante-le-surcouf-rejoint-la-force-europeenne-de-lutte-contre-la-piraterie-1.jpg

 

L’opération Atalante contribue à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie et de vols à main armée au large des côtes de la Somalie. Les bâtiments de la force ont pour mission de fournir une protection aux navires affrétés par le PAM et aux navires marchands. L’embarquement du détachement britannique de douze militaires et de son hélicoptère Lynx illustre le renforcement de l’interopérabilité et de la coopération des forces britanniques et françaises depuis la signature du Traité de Lancaster House en novembre 2010.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 08:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-2/2109183-2-fre-FR/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-2.jpg

Débarquement d'un VAB lors de l'exercice Akwaba.

 

13/12/2012 International

 

Le 13 décembre 2012, le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco a achevé le 118e mandat de la mission Corymbe. Ce déploiement entamé le 8 octobre 2012 a donné lieu à plusieurs actions de coopération militaire et à vu sa participation à l’ exercice Akwaba.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco/2109159-1-fre-FR/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco.jpg

 

Durant ce déploiement dans le Golfe de Guinée, la coopération a été marquée par plusieurs interactions entre les marines des pays de la côte Ouest de l’Afrique et l’équipage du Siroco : trois marins sénégalais ont été intégrés pendant toute la mission à différentes équipes du bord afin de parfaire leur formation. Le Siroco a également accueilli des cadets et des instructeurs de l’École navale de Bata, qui appartient au réseau des Écoles nationales à vocation régionale (ENVR), pour une période d’instruction opérationnelle de deux semaines. Les élèves de l’ENVR de Bata ont ainsi pu être intégrés dans les équipes de quart et participer à la vie du bord. Parallèlement, pendant quatre semaines, des marins gabonais ont embarqué pour deux périodes d’instruction opérationnelle (PIO) sur les manœuvres amphibies et la navigation. Enfin, durant les escales de Conakry, Port-Gentil et Abidjan, des formations ont été dispensées dans les domaines aussi variés que la sécurité, la manœuvre, la navigation, les opérations de visite ou encore les premiers secours, en coordination (au Gabon) avec le bâtiment à grande vitesse Swift de l’US Navy déployé par les Etats-Unis dans le golfe de Guinée pour la mission APS (African Partnership Station).

 

Ces actions de coopération bilatérale permettent aux nations riveraines du golfe de Guinée de partager les savoir-faire entre forces armées locales et Marine Nationale. En plus de ces périodes d’instruction opérationnelle menées à bord, le TCD Siroco a apporté un soutien déterminant aux Éléments Français du Sénégal (EFS) dans leur mission de coopération en transportant à Conakry leur Chaland de Transport de Matériel (CTM) pour aider à la construction du sémaphore de l’île de Tamara. Grâce à cette embarcation, les Guinéens ont pu acheminer les engins de travaux publics qui leurs faisaient défaut et terminer ainsi la première phase du projet.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-3/2109188-2-fre-FR/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-3.jpg

 

Par ailleurs, les différentes escales du Siroco sont autant d’occasions d’actions diplomatiques avec les pays hôtes. Ainsi, les escales au Sénégal, en République de Guinée, au Gabon, en Guinée-Équatoriale et en République de Côte d’Ivoire (RCI). Ces escales ont été l’occasion pour le capitaine de vaisseau Jean-Marc Le Quilliec, commandant du Siroco, de rencontrer, avec les ambassadeurs et les attachés de Défense français, les autorités civiles et militaires des pays concernés, dont M. Condé, président de la république de Guinée et M. Duncan, premier ministre de Côte d’Ivoire. Les sujets abordés au cours de ces entrevues ont principalement porté sur l’Action de l’Etat en Mer et la coopération franco-africaine en matière de défense.

 

Enfin, au cours de l’exercice Akwaba en Côte d’Ivoire, l’engagement du Siroco a permis de déployer rapidement des éléments depuis la base opérationnelle avancée de Libreville où sont stationnées les Forces Françaises au Gabon (FFG) jusqu’à la côte Nord du golfe de Guinée, en RCI, avec un débarquement amphibie à Abidjan où est stationné la force Licorne. L’objectif était de développer le renforcement inter-théâtre entre forces françaises stationnées en Afrique et de promouvoir la coopération militaire entre la France et la Côte d’Ivoire. Cet exercice a permis aux FFG, à la force Licorne, au TCD Siroco et aux Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) de conduire et participer ensemble à un même exercice.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-4/2109193-2-fre-FR/corymbe-118-mission-accomplie-pour-le-siroco-4.jpg

 

Corymbe est une mission de présence permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé par un bâtiment de la marine Nationale qui peut être ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués.

 

Le dispositif Corymbe complète le dispositif français prépositionné en Afrique occidentale, au Gabon et au Sénégal. Il peut soutenir toute opération, en cours comme Licorne en Côte d’Ivoire, ou nouvelle comme des opérations d’aide aux populations, de sécurisation ou d’évacuation de ressortissants. Corymbe permet également la réalisation de missions de coopération bilatérale avec les pays de la région.

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 12:40

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11/12/2012 Par Adèle Smith – leFigaro.fr

 

Washington souhaite dissocier le processus de réconciliation avec les Touaregs et la mise en place d'une force d'intervention contre les groupes islamistes au Nord du pays.

 

L'objectif est le même - éradiquer la menace terroriste en provenance du nord du Mali -, mais les moyens d'y parvenir diffèrent. Les États-Unis s'opposent au projet de résolution déposé par la France à l'ONU pour autoriser l'envoi d'une force militaire africaine de plus de 3000 hommes au Mali, malgré les appels répétés du Conseil des ministres de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao). Le Conseil de sécurité de l'ONU a «condamné » l'arrestation et renouvelé ses menaces de «sanctions ciblées» contre les ex-putschistes et le Quai d'Orsay a rappelé mardi que la démission du premier ministre malien, Cheick Modibo Diarra, soulignait l'urgence d'un «déploiement rapide de la force de stabilisation ». Mais les États-Unis, qui jugent le concept français «non viable », ont fait une contre-proposition en début de semaine au Conseil de sécurité.

 

La France propose une seule et même mission gérant à la fois le processus de réconciliation politique nationale avec les Touaregs et la mise en place d'une force d'intervention militaire contre les groupes islamistes au nord avec une possible intervention à l'automne 2013. Ce seraient les Maliens eux-mêmes, une fois formés qui interviendraient au nord.

 

Les États-Unis souhaitent dissocier les deux missions. Ils sont d'accord pour une mission onusienne en charge de la réconciliation politique, mais veulent repousser à plus tard l'autorisation d'une opération militaire au nord. Ils préfèrent deux missions onusiennes sur le sol malien: une politique et une chargée uniquement d'entraînement militaire pour le moment. La France ne voit pas d'un bon œil la présence de deux missions au Mali.

 

À New York, la diplomatie française estime avoir le soutien des treize autres pays du Conseil de sécurité, mais doit compter avec Susan Rice, qui ne cède rien. Selon un diplomate new-yorkais, l'ambassadrice américaine estime incapables la Cédéao et une armée malienne partiellement reconstruite de venir à bout des islamistes au nord. «Elle ne pense pas que six mois suffiront à former l'armée malienne et préférerait des Tchadiens pour aller régler le problème parce qu'ils ont la réputation d'être de vrais combattants du désert », explique un diplomate de l'ONU.

Les réticences de Ban Ki-moon

Selon le Wall Street Journal, les autorités américaines seraient divisées. Les responsables de la lutte antiterroriste au Pentagone, soutenus par une partie de l'Administration Obama, seraient disposés à agir vite. Certains chercheraient à obtenir une plus grande marge de manœuvre pour mener éventuellement eux-mêmes des opérations spéciales contre les salafistes de l'Aqmi (al-Qaida au Maghreb islamique) et le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest), présents au nord du Mali. D'autres craignent les conséquences régionales d'une telle action.

 

La position du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, ne facilite pas la tâche des Français. Réticentes à soutenir une opération de guerre, qui ne correspond pas aux principes de l'organisation, les Nations unies traînent des pieds pour le financement des opérations et s'inquiètent de possibles violations des droits de l'homme. Le coût annuel d'une mission telle qu'envisagée par la France est évalué à 200 millions d'euros et prévoit une participation de l'ONU, de l'Union européenne, de la France et des États-Unis. En attendant un dénouement au Conseil de sécurité, l'Union européenne a autorisé l'envoi au Mali début 2013 d'une mission de 400 militaires européens pour encadrer les troupes maliennes.

 

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 17:40

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11 December 2012 by Oscar Nkala -  defenceWeb

 

The United Nations says it is considering the use of drones to monitor the activities of the M-23 and other rebel groups and militias involved in the cycle of wars being fought over Goma and the volatile North and South Kivu provinces of the eastern Democratic Republic of Congo (DRC).

 

Late last month a flurry of regional peace efforts led by Uganda, Rwanda under the International Conference on the Great Lakes Region (ICLGR) pulled the DRC from the brink of a wider war by securing a ceasefire and preliminary peace talks, which saw the M-23 rebels withdraw from the city of Goma after claiming it in a lightning offensive which routed United Nations peacekeepers, the Congolese army and paramilitary police units.

 

With the M-23 threatening to occupy the whole country and march on Kinshasa to remove the regime of President Joseph Kabila unless it met their demands, the offensive proceeded to claim the town of Sake thirty kilometres further south. Peace efforts halted the advance and secured a withdrawal of the rebel army and its allies.

 

Following the M-23 offensive, which displaced thousands of people, the UN says it has reviewed its peacekeeping operations and plans to acquire unarmed drones for use in monitoring rebel groups and tribal militias in the North and South Kivu provinces and the borders between Rwanda and DRC. The UN has 17 500 troops from 50 countries deployed to the United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of Congo (MONUSCO) but the force has so far proved largely incapable of protecting civilians and refugees from armed attacks.

 

Over the last few months, the UN force has fought a series of indecisive battles that failed to suppress the M-23 insurgency. Amid growing concerns that MONUSCO is failing in its combat, stabilisation and peacekeeping missions, the UN is pushing for radical reforms in the strategy of combating insurgency and protecting civilians in the eastern DRC.

 

UN peacekeeping operations spokesman Kieran Dwyer told the AFP news agency that peacekeeping diplomats have already met the Rwandan and Congolese governments to seek approval for the deployment of unarmed drones to sharpen the arsenal of the peacekeeping and combat capabilities of the force.

 

"The UN is considering a range of ways to strengthen the capabilities of MONUSCO to protect civilians from the threat of armed groups in the vast area of eastern DR Congo. Unarmed aerial vehicles, or drones, for monitoring the movements of armed groups, are one tool we are considering. Of course, we would do this carefully in full cooperation with the government of the DR Congo.” Dwyer said the drones would be used for information gathering to help implement the UN’s mandate to protect civilians. “Ultimately, to introduce these, we would need the support of member states to equip the mission," Dwyer said.

 

Rwanda's first counsellor for Rwanda's UN Mission in New York Olivier Nduhungirehe told news agencies that it will be hard to find consensus for the deployment of MONUSCO drones in the Great Lakes region. "This is controversial, not all countries agree with this." An unnamed UN security council diplomat also warned it will be hard to get the co-operation of divided regional neighbours.

 

"In Congo, the drones could spot any troops and weapons coming across the border, which is good. But there are a lot of countries with secrets to hide. If the drones are used in other missions, who will guard the information and guarantee that it does not get passed on?" the diplomat was quoted as saying. Suspicion and accusations over the backing of rebels in DR Congo between the Great Lakes powers is reported to be strangling the ongoing African Union regional effort, which also uses drones, to track down the fugitive Lord's Resistance Army (LRA) leader Joseph Kony across the Central Africa Republic and the DRC.

 

The US, which has deployed at least 100 US Army counter-insurgency troops to assist the AU's hunt for Kony, has expressed concern that the lack of regional co-operation has made it harder to locate Kony. Analysts fear the use of drone in the DRC will suffer from the fate.

 

"While regional cooperation and coordination is important, it doesn't mean it always work well and it doesn't mean it is always successful. I think we have had some success, but not the success we need with the African Union Regional Task Force in the effort to bring Joseph Kony and senior leaders of the LRA to justice. But there are certainly frictions amongst the four primary countries that are engaged in this.

 

"We try to use our good offices and opportunities for dialogue with the four participants to try to work through those regional efforts. We've had a number of meetings with the African Union's special representative for LRA, Ambassador Madeira and we have met a number of times. We will meet again at a very senior level to try to focus on this problem," US Africa command chief General Carter Ham said in an interview with French TV station France 24.

 

As part of strengthening MONUSCO, the UN plans to deploy an additional 2 000 peacekeepers to boost its strength from 17 500 at present.

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