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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:45
Sangaris : un drone effectue un mission de reconnaissance


24 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / Armée de Terre​

 

Sangaris, 17 avril 2015

Un drone effectue une mission de reconnaissance de zone pour sécuriser la route allant de Bangui à Damara

 

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:45
 Sautez sur la Passe de salvador au Niger, avec les légionnaires parachutistes du 2e REP

 

18 avr. 2015  Ministère de la Défense

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 10:45
Les Drones de la Paix de la MINUSMA


27 avr. 2015 par MINUSMA

 

Les drones de la paix renforce l’efficacité des opérations de l’ONU car utilisé dans les contextes les plus difficiles du maintien de la paix.

Les drones sont utilisés depuis quelques années dans divers contextes comme la planification humanitaire et la récolte de données à des fins scientifiques (météorologie, cartographie, etc.) ou encore commerciales (agriculture, foresterie, etc.). Dans le cas de la MINUSMA, tel que mentionné plus haut, les drones sont utilisés exclusivement à des fins de surveillance aérienne et pour la protection des civils. La surveillance aérienne permet de collecter des informations qui fourniront du renseignement aux cellules JMAC et au Centre de situation comme ASIFU de l’ONU, pour qu’il prenne les mesures nécessaires de prévention des conflits avec les casques bleu sur le terrain.

La Mission de l’ONU au Mali ne possède pas de drone d’attaque. Les drones de la MINUSMA servent uniquement comme outils de surveillance et de renseignement dans le seul but de contribuer à la paix durable et à la stabilisation du Mali.

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 10:45
photo ECPAD

photo ECPAD

 

23 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / ECPAD

 

Opération Barkhane : Ravitaillement en vol de 3 Rafale par un C-135FR
 

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 10:45
Aérolargage au niveau de la passe de Salvador


22 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / ECPAD

 

EMBARQUEZ à bord d'un Hercules pour un aérolargage au profit de militaires parachutés quelques jours avant au niveau de la passe de Salvador

 

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:59
LCP : Serval, une brigade au combat



27/04/2015 Domenico Morano  - DICoD

 

Mardi 28 avril, La Chaîne Parlementaire (LCP) diffusera à 20h30 le documentaire Serval, une brigade au combat. Réalisé par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), cette production revient sur le déroulement des quatre premiers mois des opérations engagées au Mali en janvier 2013.

 

La Chaîne Parlementaire diffusera mardi 28 avril à 20h30 le documentaire Serval, une brigade au combat. Réalisé par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), le documentaire Serval, une brigade au combat est une plongée au cœur de l’opération Serval, avec ses 5 000 hommes, ses centaines de véhicules blindés, et ses dizaines d’avions de combat, partis à la reconquête du territoire nord-malien pour détruire les groupes armés terroristes. C’est aussi le témoignage poignant d’une aventure opérationnelle et humaine extraordinaire.  

Ne manquez pas ce rendez-vous dans le quotidien des forces françaises engagées dans l’un des conflits les plus importants depuis la guerre d’Algérie.

Pour en savoir plus : ici

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:55
70 ans des combats de la pointe Grave

 

26/04/2015 armée de Terre

 

70 ans après la libération de la poche de Royan, le 18 avril 2015, une cérémonie a été commémorée en présence de nombreux anciens et d’un détachement du 1er régiment d’infanterie de marine (1e RIMa).

 

Parmi ces anciens, l’adjudant-chef Housseim Karie Elmi est venu spécialement de Djibouti pour témoigner de cet événement en représentant du bataillon de marche Somali qui avait participé à la libération de la poche de Royan au sein du détachement d’armée de l’Atlantique.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:45
Sangaris: mission de contrôle à Bambari

 

24/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 20 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Turco a mené une opération de surveillance et de sécurisation au sud-est de la ville de Bambari en République centrafricaine, en appui des forces de la MINUSCA.

 

L'objectif principal de cette mission de reconnaissance était de contrôler les quartiers de l'Evêché, de l'Elevage, et les alentours du quartier Bournou, afin de repérer d’éventuels points de contrôle illégaux tenus par des individus armés. Les éléments du 1er Spahis, intégrés au GTIA Turco, ont ainsi sillonné cette zone, appuyés par les hélicoptères Tigre du sous groupement aéromobile (SGAM). Cette mission était également l’occasion de prendre contact avec la population et vérifier la mobilité et la circulation sur ces axes.

 

Situés à l’extrémité de la ville, ces quartiers forment un lieu de passage incontournable pour les commerçants et les producteurs de sucre et de café centrafricains. Afin de garantir leur sécurité et d'éviter le développement de réseaux de banditisme, les forces congolaise et pakistanaise de la MINUSCA, ainsi que les tirailleurs de la force Sangaris, mènent régulièrement des patrouilles dans cette zone et dans les autres points d'entrée de la ville.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

27/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 8 au 10 avril 2015, un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) composé des cavaliers de l’escadron blindé des forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a conduit une formation au profit d’une cinquantaine de militaires de l’armée ivoirienne en Côte d’Ivoire.

 

L’objectif de cette formation était de compléter et d’approfondir les aptitudes opérationnelles des stagiaires, dans le cadre de la coopération militaire bilatérale entretenue avec la République de Côte d’Ivoire.

 

Cette formation s’est déroulée au centre d’instruction du 4è bataillon d’infanterie ivoirienne, à Korhogo, l’une des principales villes de la Côte d’Ivoire. Les deux pelotons de combat du 1er régiment de Spahis ont conduit une formation sur mesure pour deux sections de fantassins ivoiriens : combat, topographie, secourisme, mise en œuvre de points de contrôle et instruction sur le tir au combat (ISTC).

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont également en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

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photo EMA / Armée de Terre

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:30
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

17/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

En marge de la mission de la mission Atalante qu’il avait débutée le 30 mars, le patrouilleur L’Adroit a été déployé durant deux semaines au large des côtes yéménites où il a permis l’évacuation de 23 ressortissants français d’Aden, dans des conditions délicates.

 

L’Adroita également escorté plusieurs boutres yéménites entre les ports d’Al Mukah et de Djibouti, contribuant à l’évacuation de près d’un millier de personnes du Yémen, dont plus de 500 Djiboutiens.

 

Le navire français a ensuite fait escale Djibouti afin de se ravitailler. Plusieurs autorités se sont rendues à bord, dont l'ambassadeur de France à Djibouti, venu féliciter l'équipage pour sa participation à l'évacuation des réfugiés djiboutiens. Cette mission essentielle a permis d’illustrer les liens très forts qui unissent la France à Djibouti.

 

Le général Montocchio, COMFOR Djibouti, est lui aussi venu à la rencontre de l’équipage, en mer, et a apponté par Puma sur la plateforme hélicoptère du patrouilleur.

 

L’Adroit reprend actuellement sa patrouille au large des côtes somaliennes dans le cadre de la mission européenne Atalante de lutte contre la piraterie.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:45
photo Armée de Terre

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14/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 2 au 5 avril 2015, les forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont effectué une campagne de tir de niveau sur le camp « lieutenant-colonel Saboret », à 150 kilomètres au Nord d’Abidjan.

 

Ce camp, situé à proximité du village de Lomo Nord, est un complexe de tir de 130 km2 permettant la mise en œuvre de l’ensemble des types d’armement. Les trois pelotons de l’escadron blindé des FFCI ont conduit la campagne de tir, mettant chacun en valeur leur capacité tactique au cours de manœuvres variées.

 

Dotés d’ ERC 90 Sagaie et de véhicules blindés légers particulièrement utilisés dans les manœuvres d’éclairage et d’investigations, les pelotons ont ainsi alterné des missions de reconnaissance offensive. Les tirs de masquage, de neutralisation, de destruction des résistances isolées se sont succédé, appuyés par des tirs d’armes légères individuelles.

 

L’exercice s’est achevé avec l’organisation d’un parcours de tir élaboré, afin de mettre en pratique les principes et manœuvres du combat blindé face à une attaque ennemie. Le parcours a permis de confirmer la capacité opérationnelle de l’escadron des FFCI.

 

Les forces françaises stationnées en Côte d’Ivoire (FFCI) constituent la base opérationnelle avancée française sur la côte Ouest de l’Afrique et un réservoir de forces. Base de soutien logistique aux forces engagées dans la bande sahélo-saharienne, elles agissent dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Côte d’Ivoire et la France en assurant des missions de coopération militaire avec les forces armées ivoiriennes. Par le maintien d’une présence militaire à Abidjan, elles assurent la protection des ressortissants, si nécessaire.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:45
photo EMA / Armée de Terre

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14/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 10 avril 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, le détachement du 3e régiment du génie, déployé à Bambari en appui du GTIA Turco, avait pour mission de vérifier l’absence de grenade ou engin explosif sur le site du marché central de Bambari.

 

Tous les jours, les sapeurs du 3e RG effectuent des fouilles dans le marché Central de Bambari, avant l’ouverture au public. L’objectif de cette mission est de repérer d’éventuelles munitions explosives apparentes à l’œil nu et qui pourraient remettre en cause la sécurité des commerçants et de la population. En cas de contamination de la zone, les sapeurs du 3e RG sont en mesure de sécuriser le périmètre autour de cette zone, puis de neutraliser et détruire les munitions trouvées.

 

Au cœur de la ville, le marché central est un lieu fréquenté par toutes les communautés. Il représente un espace de réconciliation pour les autorités locales et pour les habitants. Afin de protéger la population, le GTIA Turco et les éléments congolais de la MINUSCA déployés à Bambari, mènent quotidiennement des patrouilles dans la ville et ses abords, afin de sécuriser la zone, reconnaitre les points sensibles et maintenir un climat de paix.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:45
photo EMA / Armée de Terre

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14/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Depuis le 3 avril, dans le cadre de la lutte contre Ebola, les sorties de patients du Centre de Traitement de Soignants (CTS) de Conakry en Guinée se succèdent. Huit patients sont ainsi sortis guéris du CTS.

 

Leur prise en charge par les équipes médicales et paramédicales du service de santé des armées (SSA) se caractérise par un suivi individuel de chaque patient. Un traitement antiviral  Favipiravir  et des traitements symptomatiques sont administrés en fonction des résultats des différentes analyses biologiques réalisées par le personnel du laboratoire du CTS. Dès que ces résultats sont connus, ils sont communiqués immédiatement au patient. Le personnel, qui s’occupe aussi de l’aspect psychologique du  processus de guérison, travaille tout en respectant l’important dispositif de sécurité médical du centre.

 

La veille de la sortie d’un patient, un moment de convivialité en musique est organisé à l'espace communautaire, avec d'un côté les patients dont l'état permet cette activité, et de l'autre le personnel médical militaire français rassemblés pour célébrer cette victoire. Le lendemain, c'est à la sortie de la zone rouge que tout le monde se rassemble, pour accueillir les « champions » guéris et leur serrer la main.

 

Depuis le 23 janvier, 37 soignants ont été pris en charge au CTS dont 22 contaminés par le virus Ebola. 6 décès sont à déplorer. 15 patients sont sortis guéris et deviennent alors des ambassadeurs auprès de leurs confrères et de leur entourage pour expliquer les bonnes procédures de biosécurité et pour lutter contre les réticences persistantes.

 

Ce centre engage depuis le 14 janvier plus de 120 militaires, dont 70 proviennent du service de santé des armées (SSA) et du régiment médical de la Valbonne et 25 viennent du 2e régiment de Dragons de Fontevraud, dont la spécialité est l’intervention face aux dangers nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques. Une trentaine de militaires sont dédiés au commandement et au soutien logistique de ce centre.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 16:45
photo D. Geffroy - FFDj

photo D. Geffroy - FFDj

 

15/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 31 mars, dans le cadre de ses actions de coopération militaire bilatérale, la France a délivré gratuitement 20 tonnes de carburant de navigation au navire de débarquement La Dague de la Marine nationale djiboutienne.

 

Un détachement de liaison du service des essences des armées et la base navale des FFDJ a livré ce carburant, en liaison avec un coopérant de la Marine française inséré au sein de la Marine nationale djiboutienne.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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15/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 3 au 14 mars 2015, le 6e bataillon d'infanterie de marine (6e BIMa) a conduit un Détachement d'Instruction Opérationnelle (DIO) de tir de combat au Centre d'Instruction des Forces Armées Nationales (CIFAN) de N’Gaoundere, au Cameroun.

 

L’objectif de cette formation était de concourir à la mise sur pied des futures forces spéciales (FS) des forces de défense camerounaises. Ce stage visait ainsi la formation des instructeurs des forces spéciales camerounaises en pleine montée en puissance.

 

C’est sur le site du (CIFAN) que le stage a débuté par une sélection des plus exigeantes, en appui des autorités camerounaises pour choisir les meilleurs des commandos camerounais présents. Sur 90 prétendants, seulement 41 ont été retenus pour suivre le stage. Ces derniers ont ensuite suivi les modules de manipulation, de tir et de pédagogie, pour devenir à leur tour les relais de cette formation au sein de leur unité.

 

Au terme de cette instruction, les stagiaires se sont vus attribuer le diplôme de moniteur et d’initiateur. Cette action de suivi et d’accompagnement s’inscrit dans les missions exercées par les éléments français au Gabon (EFG) au titre de pôle opérationnel de coopération à vocation régionale, et renforce une fois de plus les liens forts entre nos deux forces armées.

 

Depuis le 1er septembre les EFG sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

photo EMA / Armée de Terre
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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 11:45
Les drones Reaper passent le cap des 4 000 heures de vol

 

15/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Depuis janvier 2013, dans le cadre de l’opération Barkhane, l’escadron de drones 1/33 "Belfort" de Cognac est déployé avec deux drones Harfang au sein du détachement Air (DETAIR) de Niamey. Au mois de décembre 2013, deux drones MQ-9 Reaper ont rejoint le dispositif afin de renforcer les capacités de surveillance et de renseignement de Barkhane. Ces derniers viennent de franchir le cap des 4 000 heures de vol.

 

Dès son arrivée, le drone MQ-9 Reaper MALE (moyenne altitude, longue endurance) a démontré toute son utilité. Sa vitesse de déplacement et la qualité des images prises par son capteur principal sont devenues un atout indéniable dans la réalisation des missions d'appui renseignement aux opérations menées par Barkhane. Avec 4 000 heures de vol depuis son déploiement sur la bande sahélo-saharienne (BSS), il permet d’assurer un appui quotidien en matière de FMV (Full Motion Vidéo) et complète parfaitement l’action du Harfang. L’escadron de drones 1/33 "Belfort" a ainsi réalisé près de 14 400 heures de vol depuis le mois de janvier 2013.

 

Face à l’immensité du théâtre d’opérations, la capacité ISR (Intelligence, surveillance and reconnaissance) du drone s’inscrit au cœur de la mission aérienne et vient en appui et en complément des autres capteurs, comme ceux du Rafale équipé de la nacelle RECO NG. Le drone peut cibler des zones de danger ou de surveillance et mettre en œuvre dans la durée la précision de ses instruments de recueil d’images.

 

Un rôle déterminant qui s’appuie sur un équipage. Celui-ci est composé d’un pilote, d’un opérateur capteur, d’un opérateur image et d’un coordinateur tactique, également officier de renseignement. C’est en effet l’alliance de toutes ses fonctions qui constitue la force d’appui direct renseignement et de soutien aux forces engagées sur le terrain. Les « anges gardiens » de la BSS sont présents à chaque phase des opérations menées au sein de la force Barkhane.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 10:45
photo Armée de Terre

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15/04/2015 Gabriel Boyer - armée de Terre

 

Arrivé en octobre 2014, le 2e escadron du 1er régiment de spahis a achevé sa mission mi-avril 2015 au sein des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Cet engagement de 6 mois a été l’occasion pour les Spahis de renouer avec leur milieu historique de prédilection : le désert.

 

Plusieurs temps forts ont marqué le mandat de l’escadron. Tout d’abord, les militaires ont effectué un stage d’une dizaine de jours au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Les spahis ont ainsi pu s’élancer à l’assaut de la mythique « voie de l’inconscient » (parcours commando à flanc de falaise) et apprendre à survivre et combattre en milieu désertique et semi-montagneux. Fin janvier, ils ont réalisé des manœuvres avec véhicules blindés avec les groupements d’application des écoles de cavalerie et d’infanterie  françaises en entraînement sur le territoire. Enfin, en mars, les spahis ont poursuivi leur entraînement opérationnel en confirmant leurs savoir-faire du combattant (secourisme et technique d’intervention opérationnelle rapprochée) mais également en s’engageant sur  l’exercice amphibie d’évacuation de ressortissants « Wakri 15 ».

 

L’escadron a toujours accompli efficacement les missions qui lui ont été confiées dans l’environnement hostile du désert djiboutien. Grâce à ces conditions d’entraînement difficiles, il quitte le sol djiboutien plus aguerri et mieux préparé à faire face aux futurs défis qui lui seront assignés.

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16 avril 2015 4 16 /04 /avril /2015 18:45
photo EMA / Armée de Terre

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16/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La Centrafrique est toujours tendue vers la préparation du forum de Bangui, la positionnant dans un temps politique.

 

Avec une autonomie croissante, la MINUSCA poursuit ses actions visant à améliorer la situation sécuritaire dans le pays. Le 6 avril, le COMANFOR s’est rendu à Kaga Bandoro, accompagné de deux ministres centrafricains, permettant d’impulser un projet de plateforme de concertation. Ce projet, qui rassemble éleveurs et agriculteurs, a vocation à rétablir le dialogue entre ces deux communautés, pour l’une sédentaire et l’autre nomade, dont les contraintes de cohabitation sont souvent source de tensions. Le même jour, l’office de réglementation, de commercialisation et du conditionnement des produits agricoles (ORCCPA), organisme de l’Etat chargé des taxations sur les produits agricoles, s’est installé à Bambari, où il s’attachera à réorganiser la circulation de ces produits en Centrafrique. Enfin, du 9 au 15 avril, la force Sangaris a appuyé les forces de sécurité intérieures dans une opération visant à accentuer la pression sur les coupeurs de route entre Sibut et Bangui.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Armée de Terre

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16 avril 2015 4 16 /04 /avril /2015 18:45
photo EMA / Armée de Terre

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16/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Cette semaine, trois opérations ont pris fin dans la bande sahélo-saharienne, mettant en œuvre la gamme totale des moyens des armées et permettant d’entretenir l’incertitude sur les lieux d’intervention de la force et sur sa stratégie d’action contre les groupes armés terroristes.

 

Au nord de Tessalit quinze points stratégiques ont été contrôlés du 8 au 10 avril dans une zone de 5 000 km2, permettant de confirmer l’absence de nouvelles caches sur ces points.

 

Du 4 au 12 avril, dans le Tigharghar, au Nord du Mali, une autre opération a été menée afin de poursuivre la pression exercée sur les groupes armés terroristes, suite aux opérations conduites au mois de mars. Utilisant principalement le vecteur aérien, cette opération a permis la destruction de quatre caches et d’un camp d’entraînement.

 

Enfin du 7 au 13 avril, dans la région des « trois frontières » au Nord du Niger, la force Barkhane a mené une opération de reconnaissance offensive, lancée par une opération aéroportée sur la passe de Salvador. Les 90 parachutistes infiltrés ont été rejoints par une cinquantaine de militaires français ainsi qu’une trentaine de militaires nigériens en provenance de Madama. Plusieurs plots logistiques ont été découverts (25 fûts d’essence vides, nourriture, etc.) et trois individus capturés par les forces armées nigériennes.

photo EMA / Armée de Terre
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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 07:45
Le général de Villiers en visite officielle au Maroc

 

11/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 8 et 9 avril 2015, à l’invitation du  général de corps d’armées Bouchaib Arroub, inspecteur général des forces armées royales (FAR), le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu à Rabat, au Maroc, où il était reçu par monsieur Abdeltif Loudyi, ministre délégué auprès du Chef du Gouvernement chargé de l'Administration de la Défense Nationale.

 

Partenaires historiques, la France et le Maroc partagent une vision commune des grands enjeux de défense. Cette rencontre a été l’occasion de confirmer la continuité de notre coopération militaire bilatérale, portée par une dynamique d’échange de savoir-faire et de partage de compétences. Cela a également permis aux hautes autorités de défense marocaines et au CEMA de saluer l’excellence de la coopération opérationnelle entre nos forces armées, dans le cadre bilatéral et dans celui du partenariat « 5+5 défense », et d’encourager le développement de notre interopérabilité.

 

Le CEMA a également souligné la qualité de l’action des forces marocaines dans le cadre des opérations de maintien de la paix menées en Afrique, aux côtés des forces françaises. Il a notamment évoqué leur engagement au sein de la MINUSCA en Centrafrique, en liaison avec  la force Sangaris,et en Côte d’Ivoire dans le cadre l’ONUCI.

 

Rappel

Lancé en décembre 2004, le partenariat « 5+5 défense » s’inscrit dans le cadre de l’Initiative 5+5 associant cinq Etats de la rive Nord de la Méditerranée (Espagne, France, Italie, Malte et Portugal) et cinq Etats de la rive Sud (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie). Dans le domaine de la défense, cette enceinte de coopération multilatérale privilégie plusieurs axes : la surveillance maritime, la sûreté aérienne, la contribution des forces armées à la protection civile en cas de catastrophe majeure et la formation.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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10/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 23 février au 6 mars 2015, un détachement d’assistance opérationnelle « feux dans la profondeur » de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS), s’est rendu au centre d’entraînement tactique n°7 (CET7) de Thiès, au Sénégal. Ils y ont conduit une action de formation artillerie au profit de soldats sénégalais.

 

Les stagiaires sénégalais issus des sections de mortiers des 4ème  et 6ème bataillons d’infanterie et du bataillon parachutiste des forces armées sénégalaises (FAS), ont reçu une formation qui avait pour objectif de les remettre à niveau dans le domaine de l’artillerie. Le travail s’est axé autour des domaines suivants : calcul des éléments de tir (EPT), service de la pièce (EDP) et utilisation d’une équipe de reconnaissance (RECO), permettant ainsi de gagner en vitesse lors de l’équipement d’une position de tir.

 

La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique, dispensée entre salle de cours. La deuxième semaine a quant à elle été réservée à la mise en pratique des savoir-faire acquis. Des exercices ont été effectués sur le terrain de manœuvre du CET7, permettant ainsi au personnel de s’entraîner à la manœuvre tactique et d’appliquer les procédures de travail étudiées plus tôt.

 

Au terme de ces deux semaines enrichissantes, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé à la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:55
 Conférence le mercredi 15 avril "Faut-il intervenir militairement en Afrique ?"

 

09/04/2015 IRSEM

 

Conférence organisée par l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA) et l'IRSEM le mercredi 15 avril de 17h15 à 19h "Faut-il intervenir militairement en Afrique ?" à l'amphithéâtre Leroy-Beaulieu-Sorel, Bâtiment A - Sciences Po, 27 rue Saint-Guillaume, 75007 PARIS

 

Faut-il intervenir militairement en Afrique ?

Mercredi 15 avril de 17h15 à 19h

Sciences Po - PSIA
Amphithéâtre Leroy-Beaulieu-Sorel, Bâtiment A
27 rue Saint-Guillaume
75007 PARIS

Introduction par

Ghassan Salamé, Doyen de l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Conférence en présence de :

- Richard Banegas, Professeur à Sciences Po (Sous réserve)
- Sonia Le Gouriellec, Chargée d’études à l’IRSEM
- Colonel Philippe Susnjara, Chef du bureau Afrique de l’Etat-major des armées et enseignant à l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Discussion par :

- Général Vincent Desportes, Enseignant à l'Ecole des Affaires internationales de Sciences Po (PSIA)

Inscription :
psia.events@sciencespo.fr

 

A cette occasion de cette conférence, le prix IRSEM-PSIA 2015 du meilleur devoir sur le thème de la sécurité, sera remis aux deux lauréats.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:45
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

9 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

À la suite d’une importante catastrophe naturelle, qui a entraîné de lourds dommages et l’infiltration de bandes armées, la décision d’évacuer nos ressortissants est prise : l’exercice Wakri 2015 commence.

 

Les officiers élèves (OE) de la promotion 2012 de l’École navale débarquent sur la plage d’Arta de Djibouti en hélicoptère ou en engins amphibies.

 

Ils sont intégrés à un dispositif interarmées où l’armée de Terre et la Marine vont mener des actions sur terre, en mer et dans les airs.

 

Les élèves sont répartis en 8 escouades, dirigées par un élève motivé par le métier de commando. Un sous-lieutenant de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr tient le role d’adjoint et un médecin des armées assure le soutien santé de chaque groupe.

 

Les « fanas commandos » sont testés sur leur sens du commandement, leur capacité à organiser leurs équipes en fonction de leurs missions, et leur lucidité en conditions dégradées. L’enjeu est de taille car l’évaluation finale conditionnera la possibilité de vivre leur passion.

 

Les équipes arpentent sous un soleil de plomb le relief lunaire. Les esprits s’échauffent et le discernement est mis à l’épreuve. Cependant, tous sont acteurs de la réussite de leur chef, et ils doiventaller au-delà de leurs motivations. Si bien que l’élan ne peut rester intact que si une dynamique commune s’installe. Les douleurs musculaires, la soif et la fatigue oppressent tous les organismes ; c’est là que le chef doit galvaniser ses troupes, leur donner la force d’avancer pour accomplir leur tache. L’entraide et la cohésion deviennent des armes bien plus précieuses que tous les fusils d’assauts portés par les élèves.

 

Cet entraînement permet au futur chef de comprendre l’importance d’être un vrai leader. Il doit avant tout chercher à valoriser les qualités de ses équipiers tout en favorisant le repos des personnes en difficulté. Au cours de l’exercice, les fatigues physique et psychique s’intensifient et le chef doit être pour ses hommes une figure de confiance, car dans un futur proche,  en opérations, ils n’auront pas le droit à l’erreur.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 12:45
photo D..Geffroy - GEAOM

photo D..Geffroy - GEAOM

 

07/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 20 au 28 mars 2015, les unités de soutien du 5e régiment interarmes d’outre-mer (RIAOM) ont suivi une formation au sein du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD), en coopération avec l’armée américaine.

 

Les stagiaires, comprenant la compagnie de commandement et de logistique, la compagnie de maintenance, et deux personnels du groupement de soutien de la base des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) et de la base aérienne 188, se sont livrés à cette formation dispensée au sein du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Cette instruction était axée sur le combat du soutien et la tactique du train de combat (TC2). Elle s’est déroulée conjointement avec une cinquantaine de militaires américains du 1/77 Bataillon et des Civil Affairs américains, ainsi que d’un petit détachement de la Garde Républicaine des Forces Armées Djiboutiennes.

 

Après deux jours d’aguerrissement et d’instruction sur la vie en milieu désertique, les 102 stagiaires ont enchaîné sur une phase tactique spécifique de deux jours dans la région d’Arta-plage, incluant des ateliers sur la procédure de contre explosif, la réaction à l’embuscade, le secourisme au combat, l’escorte de convoi et le tir de niveau groupe. Chaque nuit, un campement était installé en zone d’insécurité, dont le dispositif était régulièrement testé par une force d’opposition simulée par des militaires originaires du 1er Spahis et des instructeurs du CECAD.

 

Enfin, la synthèse de cette formation a été l’exercice amphibie WAKRI 2015. Elle a permis à une partie du TC2 d’embarquer à bord du BPC Dixmude et de participer à la mise à terre du Groupement Tactique Embarqué. Profitant de tous les moyens mis en place pour l’exercice, le TC2 a ainsi pu rassembler les ressortissants, simulés pour l’exercice, et les extraire vers le centre de regroupement et d’évacuation des ressortissants (CRER) d’Arta-plage.

 

L’enrichissante coopération avec les militaires américains, notamment dans la phase de diffusion des ordres et la coopération sur le terrain a contribué à la réussite de l’opération.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo D..Geffroy - GEAOMphoto D..Geffroy - GEAOM

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:45
photo Sangaris

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09/04/2015 Sources : État-major des armées

 

En République centrafricaine, la situation est principalement tournée vers la préparation du forum de Bangui, qui marquera l’entrée du pays dans un temps politique.

 

Le 4 avril, le commandant de la force Sangaris s’est rendu à Bria auprès des autorités militaires et civiles locales, où il a pu observer une situation calme et des actions de développement en cours de réalisation, appuyées par la MINUSCA.

 

Le 10 février dernier, Bria avait été le théâtre d’une opération de la MINUSCA contre des membres du FPRC, visant à déloger les miliciens qui occupaient illégalement les édifices publics. Cette opération a eu un effet d’entraînement dans l’aide à la restauration de l’autorité de l’Etat centrafricain. Le 8 avril, la force Sangaris a procédé à la destruction de 8 tonnes de munitions confisquée depuis le mois de janvier 2015.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Sangaris

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