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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:45
Photos : MOST

Photos : MOST

 

03/02/2015 Hubert Rubbens - MIL.be

 

Depuis le 26 janvier, des membres de l’équipe d'experts belges du Mine countermeasure vessels Operational Sea Training (MOST) de Zeebruges, conduite par le capitaine de frégate Guy Terryn, forment les équipages des trois patrouilleurs de type OCEA, régulièrement déployés dans le cadre de la lutte contre la piraterie.

 

Cette formation se déroule en trois phases durant lesquelles diverses attaques de bateaux pirates sont simulées et qui sont autant d’occasions de favoriser les échanges de connaissances entre les deux marines. La première phase s'achève ce mercredi 4 février et sera suivie, en mars prochain, d'une deuxième période de formation plus intensive.

 

Viendra ensuite la phase de test qui aura lieu lors de la venue du Léopold I dans la région. La frégate servira alors de plate-forme opérationnelle dans la lutte contre la piraterie, comme lors de l’opération Atalanta en Afrique de l’Est. Les formations dispensées par l’équipe du MOST s’inscrivent dans le cadre d'une collaboration internationale entre la Belgique et le Bénin.

La composante Marine belge entraîne la Marine béninoiseLa composante Marine belge entraîne la Marine béninoise
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
Guinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre Ebola

 

09/02/2015 Sources : EMA

 

Samedi 7 février 2015, l’équipe interministérielle de la Task force Ebola était en visite au centre de traitement des soignants de Conakry mis en œuvre par les armées françaises. L’occasion de découvrir l’expertise du service de santé des armées dans la gestion des crises sanitaires.

 

Mme Fages, ambassadrice et le Pr Delfraissy coordonnateur national, accompagnés par Monsieur l’ambassadeur de France, ont été accueillis par le lieutenant-colonel Lion, commandant le détachement. Ils ont visité le poste de commandement médical qui organise et supervise les équipes qui entrent en zone rouge, le laboratoire P3 qui réalise les bilans sanguins dont le test Ebola, les sas d’habillage et de déshabillage et une tente d’hospitalisation.

 

Mme Fages a particulièrement apprécié l’offre de soins spécifique du CTS avec ses chambres individuelles à usage unique adaptées à la culture et à la religion du patient. « C’est un travail remarquable que d’avoir déployé un outil aussi efficace et d’une telle qualité » a-t-elle déclaré.

 

Deux soignants guinéens contaminés par Ebola sont actuellement hospitalisés en zone rouge depuis sept jours. Le CTS a spécialement été conçu pour prendre en charge tous ceux qui sont en première ligne dans la lutte contre l’épidémie. 180 soignants ont été contaminés, plus de 100 sont décédés sans autre alternative que d’être mélangés à leur propres malades. « Ils peuvent désormais compter sur l‘expertise des militaires pour être bien soignés » a conclu Mme FAGES.

 

Le CTS a été construit en un  mois sur la base aérienne principale de Conakry. 120 militaires français y sont déployés dont 70  soignants des hôpitaux militaires.

 

Depuis cet été, les armées prennent pleinement part à l’action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à participer à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et à participer aux différentes structures du plan interministériel Ebola. Les armées assurent le fonctionnement d’un centre de traitement des soignants (CTS) destiné à prendre en charge les soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

Guinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre EbolaGuinée : le CTS reçoit l’équipe interministérielle chargée de la lutte contre Ebola
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
Contre-insurrection : étude n°36 de l'IRSEM et de HotFoot à LightFoot

 

09.02.2015 par Laurent Touchard - CONOPS

La lecture de l'étude numéro 36 de l'IRSEM, La stratégie américaine en Afrique, sous la direction de Maya Kandel, me donne l'occasion de revenir sur le concept de « l'empreinte légère » particulièrement bien présenté à l'aulne de l'Afrique via l'étude mentionnée. Si l'Afrique constitue bien un laboratoire de la smart power  qui s'appuie sur le concept de l'empreinte légère, les éléments constitutifs dudit concept existent depuis des décennies. L'innovation consiste à les avoir assemblés et structurés comme ils ne l'avaient jamais été auparavant1. En l'occurrence, l'adage « faire du neuf avec du vieux » décrit très bien la démarche américaine.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:45
FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina

 

09/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le patrouilleur austral Albatros a profité d’une escale dans le port de Toamasina à Madagascar, du 15 au 19 janvier 2015, pour rendre hommage aux anciens combattants morts pour la France.

 

Lors de cette escale, l’équipage de l’Albatros a participé à une cérémonie en hommage aux anciens combattants locaux morts pour la France, le 16 janvier, au cimetière de Toamasina. Cette cérémonie était coprésidée par le commandant de l’Albatros et le consul honoraire de France. Les derniers anciens combattants malgaches à Tamatave étaient présents, ainsi que le consul honoraire de Grande-Bretagne, le proviseur du lycée français de Toamasina, le directeur de l’alliance française

 

Une gerbe a été déposée, au nom des Forces Armées dans la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI), sur la stèle érigée en mémoire des combattants malgaches morts pour la France au cours des différents conflits depuis 1800.

 

La rencontre s’est achevée par des échanges chaleureux entre les marins de l’Albatroset les anciens combattants, dont un âgé de 103 ans qui a participé à la libération de la France lors de la Deuxième Guerre Mondiale, émus par l’hommage rendu à leurs anciens camarades.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à ToamasinaFAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina
FAZSOI : Hommage aux anciens combattants à Toamasina
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:55
Atterrissage réussi pour Cats à l’aéroport de Brie-Champniers

Le patron de Cats, Laurent Blattner, a reçu le chef d’état-major de l’armée de l’air sénégalaise pour qui l’entreprise refait à neuf quatre avions-écoles. Photo Phil Messelet - charentelibre.fr

 

06 février par François GOUBAULT - charentelibre.fr

 

La filiale d’Airbus, présente à la BA 709 de Cognac, vient de s’installer à Brie-Champniers. Elle y remet en état des avions, dont quatre Epsilon pour l’armée du Sénégal.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:45
Carte des forces prépositionnées au 23 janvier 2015 - crédits EMA

Carte des forces prépositionnées au 23 janvier 2015 - crédits EMA

 

source Sénat.fr

 

Question écrite n° 04513 de M. Jean-Paul Fournier (Gard - UMP)publiée dans le JO Sénat du 07/02/2013 - page 386

 

M. Jean-Paul Fournier souhaite interroger M. le ministre de la défense sur le devenir des forces prépositionnées en Afrique qui ont montré toute leur pertinence ces derniers mois.

L'opération Serval au Mali, mais également l'engagement en République centrafricaine au cours du mois de décembre 2012 ont en effet souligné combien la réactivité de nos armées et leur aptitude à la projection dans l'urgence tiennent notamment à l'existence de bases en Afrique et de forces immédiatement disponibles et projetables conséquentes.
À l'heure où les travaux de révisions du Livre blanc sur la sécurité et la défense nationale de 2008 sont en cours et alors que nombre de voix s'élèvent pour réduire cet outil militaire, dans son format et ses capacités, au titre des efforts, certes légitimes, de réduction de la dépense publique, il lui demande de préciser ce qui est envisagé pour la présence de l'armée française en Afrique dont l'intérêt stratégique dans la lutte contre les mouvements terroristes internationaux et la défense de notre sécurité vient de se rappeler à notre pays de façon criante.

 

Transmise au Ministère de la défense


 

Réponse du Ministère de la défense,publiée dans le JO Sénat du 05/02/2015 - page 257

 

Conformément aux évolutions programmées par le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale publié en 2013, la réorganisation des forces de présence françaises constitue un projet global tendant à transformer notre dispositif en le rapprochant de la bande sahélo-saharienne, tout en contribuant à l'objectif général de réduction des effectifs du ministère de la défense.

Dans ce contexte, s'agissant de l'Afrique, le président de la République a décidé la mise en place d'un schéma de présence permettant :

- de développer les capacités de la force africaine en attente (FAA), en formant chaque année 20 000 soldats locaux. Cet effort reposera essentiellement sur les pôles opérationnels de coopération de Dakar et de Libreville qui, dotés chacun d'un effectif de 350 militaires, sont en mesure de proposer plus de 188 formations différentes à nos partenaires ;

- de préserver une capacité d'intervention à partir de deux bases implantées à Abidjan et à Djibouti. Cette organisation a été définie de manière à soutenir et à compléter le dispositif déployé par la France dans le cadre de la conduite des opérations extérieures.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:45
photo PR - Elysée

photo PR - Elysée

 

09.02.2015 par JDD

 

François Hollande et le souverain marocain Mohammed VI se sont entretenu lundi à Paris. Tous deux ont dit vouloir souhaiter "une nouvelle dynamique de coopération confiante et ambitieuse entre la France et le Maroc", qui passera notamment dans "la lutte contre le terrorisme".

 

L'échange a mis fin à un an de brouille diplomatique entre les deux pays. François Hollande et le souverain marocain Mohammed VI ont souhaité lundi à Paris "une nouvelle dynamique de coopération confiante et ambitieuse entre la France et le Maroc". Ils ont également affirmé la détermination de la France et du Maroc "à lutter ensemble contre le terrorisme et à coopérer pleinement dans le domaine de la sécurité", selon le communiqué.

Lors d'un entretien d'une heure à l'Élysée, les deux dirigeants se sont félicités, selon un communiqué de la présidence, de la reprise "d'une coopération judiciaire plus efficace entre les deux pays", grâce à un accord bilatéral signé le 31 janvier.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:45
Niger : Le parlement vote l'envoi de troupes au Nigeria

 

10.02.2015 par BBC Afrique

 

Le Parlement nigérien a approuvé lundi soir l'envoi de troupes au Nigeria dans le cadre de la force régionale pour lutter contre le groupe islamiste armé nigérian Boko Haram. La résolution a été votée de façon unanime par les 102 députés présents.

Le président du Parlement, Amadou Salifou, a souligné dans l'après-midi, lors de l'ouverture du débat parlementaire, que le vote se déroulait alors que "les bombes tombent sur Diffa", dans le sud-est du pays, à la frontière avec le Nigeria.

 

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 20:45
OPV 190 MKII

OPV 190 MKII

 

9 février 2015 par ActuNautique.com

 

Le chantier sablais Océa vient de signer la vente d'un patrouilleur de 60m de long, qui lui ouvre la porte d'un nouveau marché, celui des patrouilleurs hauturiers.

 

C'est une belle commande que vient d'engranger le chantier naval Ocea, avec la vente d'un patrouilleur hauturier de 60m de long au Sénégal, qui lui ouvre de facto un nouveau segment de marché, à savoir celui des grosses unités militaires.

 

Ocea était en effet jusqu'à présent plutôt spécialisés sur les patrouilleurs de 20 à 30m de long. Cette commande vient donc élargir son positionnement sur un terrain occupé par Kership (DCNS et Piriou) et les CMN notamment.

 

Elle concrétise la stratégie du groupe vendéen de développer son offre sur des unités de 40 à 60 m, stratégie couronnée de succès avec la vente de 3 navires océanographiques, deux OPV 190 de 60m pour l'Indonésie et un OPV 130 de 40m pour le Koweit.

 

Le patrouilleur commandé par le Sénégal consiste dans un OPV 190 MKII. Il mesure 58m de long pour 9,40m de large. Sa livraison est prévue pour l'automne 2016.

 

Construit en aluminium, cet OPV offre une vitesse maximale de 24 noeuds pour une autonomie de 5500 milles à 12 noeuds, sa vitesse de croisère. Il dispose d'ailerons stabilisateurs, associés à une carène conçue pour des conditions de navigation difficiles, avec un tirant d'eau réduit de 2.30m.

 

Armé par un équipage de 24 marins, et OPV, qui peut accueillir 32 personnes supplémentaires, est destiné à la surveillance et la protection des eaux territoriales et de la  ZEE du pays.

 

En particulier la police des pêches, mais aussi la lutte contre les différents traffics et la piraterie.

 

Il est également conçu pour participer à des opérations de sauvetage - il dispose pour cela de canonos à eau contre les incendies - et de lutte contre la pollution.

 

Côté armement, ce patrouilleur hauturier disposera d'un canon télé-opéré, situé sur l'avant, et de deux mitrailleuses situées sur chaque bord. Il mettra en oeuvre deux semi-rigides de 7,50m de long, stockés sur son arrière, destinés aux équipes de visite ou à des commandos.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 17:45
No South African military assets deployed in battle against Boko Haram

 

09 February 2015 by defenceWeb

 

South Africa has not deployed any military assets to assist the Chadian Defence Force in its pursuit of Boko Haram.

 

Siphiwe Dlamini, head of communications for the Department of Defence, said the SA National Defence Force (SANDF) was “dismayed and distances itself from reports claiming the SA Air Force (SAAF) has provided air cover to the Chadian Defence Force”.

 

“The reports are speculative, misleading, baseless and without substance. For the record, the SANDF has not deployed any of its personnel or any of its military assets in that area or region,” he said adding all South African military deployments are “sanctioned and authorised in accordance to (sic) strict procedures guided by our Constitution and government”.

 

The denial follows a call last week by the UN Security Council for central and west African countries to improve regional military co-ordination to more effectively combat Boko Haram militants in northern Nigeria.

 

Boko Haram has become the main security threat facing Nigeria, Africa's biggest economy and top oil producer, and increasingly threatens neighbouring countries.

 

The African Union (AU) has authorised a 7 500 force with troops from Nigeria, Chad, Cameroon, Niger and Benin to fight the Islamist militants.

 

The Security Council welcomed a meeting held in Cameroon last Thursday where details of the African Union force and its deployment and modus operandi were held. Diplomats have indicated once full details of the force, its composition and rules of engagement are known, the AU is likely to request UN Security Council support for it.

 

In another development around the ongoing planning and fighting against Boko Haram, France last week sent advisors to the Nigerian border with Niger to help co-ordinate military action by the regional powers which have committed to fighting the Islamist group. Chad has committed 2 500 soldiers to the battle against Boko Haram.

 

Boko Haram insurgents seek to create an Islamist emirate in northern Nigeria. The group is said to have killed at least 10 000 people last year.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 17:45
NH 90 Caïman sur la PfOD de Gao au Mali


source Ministère de la Défense

23 janvier 2015, sur la Plateforme Opérationnelle Désert (PfOD) de Gao au Mali, les équipages du NH 90 Caïman nouvellement projetés dans le cadre de l'opération Barkhane effectuent des vols d'entraînement pour s'acclimater à l'environnement du Sahel, exigeant tant pour les hommes que pour les machines.
Une fois ces entraînements terminés, les NH 90 Caïman participeront aux missions de combat au sein du sous-groupement aéromobile du groupement tactique désert ouest.
Engagé dans le cadre de l'opération Barkhane depuis le 3 novembre 2014, le NH 90 Caïman a participé à l'ensemble des opérations de lutte contre les groupes armés terroristes conduites par la force dans le nord du Mali.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 13:45
Nigeria's Boko Haram has up to 6,000 hardcore militants - U.S. officials

 

09 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

The Islamist militant group, Boko Haram, which is fighting a violent insurgency in northeast Nigeria, has about 4,000-6,000 "hardcore" fighters, U.S. intelligence officials said on Friday.

 

In an assessment of the group, whose five-year uprising has included massacres and kidnappings and spread from Nigeria into neighbouring states, the officials said they did not believe it posed a major threat to Nigeria's oilfields in the south.

 

The officials, who spoke on condition of anonymity, said the militants were believed to be still holding about 300 schoolgirls they kidnapped early last year and had dispersed them to multiple locations.

 

Around 10,000 people were killed in Boko Haram attacks last year. The Sunni Muslim group poses the biggest security threat in Nigeria, Africa's top oil producer and biggest economy.

 

Concern over the insurgency appears to be and one of the main reasons for what appears to be a surge in political support for opposition leader Muhammadu Buhari in a Feb. 14 election.

 

Many Nigerians believe Buhari, as a former military ruler, will be able to bolster the army's hapless efforts to counter the insurgency, and that as a Muslim he may even be able to take some of the wind out of Boko Haram's ideological sails.

 

The officials said the militants had been engaging in both small-scale and larger attacks in recent weeks and they expected this mixed pattern of operations to continue during the election period.

 

The U.S. intelligence officials said the Nigerian military forces were stretched thin in fighting the insurgents, as well as by their involvement in international peacekeeping forces.

 

But military forces in neighbouring Cameroon, Chad and Niger, where Boko Haram had spread its attacks, were taking an increasing active role in combating the group.

 

One official said: "It remains to be seen how much tactical prowess (Boko Haram) have" in fighting regular military forces.

 

Sources in the region say Chad and Cameroon are deploying thousands of troops and Niger has reinforced its border against the militant group, but they face an uphill battle against a group which has rebuffed offensives by the Nigerian military.

 

The officials said over the last year Boko Haram had established a "safe haven" in territory it controlled, which included 30 or more towns and villages.

 

The group, which says it wants to establish an Islamic state, has produced videos praising the Islamic State militants who have taken over parts of Iraq and Syria.

 

But one of the U.S. officials said there was "no known tactical cooperation or leadership contact between the two groups."

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 13:45
Niger forces kill 109 Boko Haram militants in battle

 

09 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Niger's forces killed 109 fighters from the Islamist militant group Boko Haram on Friday as they repulsed attacks on Bosso and Diffa, two southeastern towns near the Nigerian border, Niger state television said.

 

Four Niger soldiers were killed, 13 were wounded and two are missing after the fighting in Bosso against Boko Haram, whose five-year insurgency is spreading from Nigeria to neighbouring states. Four Niger soldiers were wounded in Diffa.

 

"At around 9 a.m. elements of the Boko Haram terrorist group launched two simultaneous attacks at Bosso and Diffa. At Bosso, Niger's defence forces helped by Chadian troops neutralised the assailants," said the statement by Defence Minister Karidio Mahamadou on state television.

 

Chad deployed war planes to repulse the attack, military officials in Niger said earlier.

 

There was no independent confirmation of the numbers killed.

 

General Yaya Doud, commander of Chadian forces deployed north of Lake Chad, was shot in the stomach in Bosso, a Chadian security source said. He has been evacuated to hospital in N'Djamena for treatment.

 

"The Boko Haram attack from Malam Fatori (in Nigeria) against the town of Bosso and the bridge at Doutchi in the Diffa region has been repulsed. We have Chadian planes bombarding the locality," said a Niger military source.

 

Boko Haram has seized territory in northeastern Nigeria as part of a five-year insurgency for an Islamist state. Around 10,000 people were killed last year and the militants increasingly stage cross border attacks.

 

The insurgency is the worst threat to Nigeria's security as the nation, Africa's top oil producer and biggest economy, heads to a presidential election on Feb. 14.

 

The militants are also increasingly threatening neighbouring Chad, Niger and Cameroon, prompting regional leaders to come up with a joint plan to defeat them.

 

Chad has deployed some 2,500 soldiers to neighbouring Cameroon and Niger as part of this effort. Niger's parliament is due to vote on Monday on a proposal by the government to send its troops into Nigeria to fight Boko Haram.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 13:45
Niger troops and Chad air force fight off Boko Haram attack

 

09 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Niger troops and Chadian war planes fought off an attack on Friday on the Niger town of Bosso by Boko Haram militants whose insurgency is spreading from Nigeria to neighbouring states, military officials in Niger said.

 

The fighting took place in the southeastern region of Diffa, part of the border area where Chad has sent hundreds of troops to help Niger take on Boko Haram, the sources said.

 

"The Boko Haram attack from Malam Fatori (in Nigeria) against the town of Bosso and the bridge at Doutchi in the Diffa region has been repulsed. We have Chadian planes bombarding the locality," said a Niger military source.

 

A second source said: "There is heavy weapons fire from both sides .... We have at least five injured in our ranks." Later a military source said the attack had failed, calm had returned and there was no hot pursuit operation into Nigeria.

 

Boko Haram has seized territory in northeastern Nigeria as part of a five-year insurgency for an Islamist state. Around 10,000 people were killed last year and the militants increasingly stage cross border attacks.

 

The insurgency is the worst threat to Nigeria's security as the nation, Africa's top oil producer and biggest economy, heads to a presidential election on Feb. 14.

 

The militants are also increasingly threatening neighbouring Chad, Niger and Cameroon, prompting regional leaders to come up with a joint plan to defeat them.

 

Chad has deployed some 2,500 soldiers to neighbouring Cameroon and Niger as part of this effort. Niger's parliament is due to vote on Monday on a proposal by the government to send its troops into Nigeria to fight Boko Haram.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 12:55
Premier groupe de Picards de retour de Centrafrique

 

09.02.2015 republicain-lorrain.fr

 

Fin de la mission pour 140 soldats du 1er RI qui viennent de reposer le pied au quartier où ils ont été cueillis à froid par la froidure… Et maintenant ? Trois semaines de repos avant de repartir vers de nouvelles aventures.

 

Les 35° ambiants dans la capitale Centrafricaine n’étaient plus qu’un vieux souvenir lorsque le bus ramenant les soldats au bercail a franchi la grille du quartier Rabier, hier matin. Le vent glacial qui balaye le sud mosellan depuis plusieurs jours a vite ramené tout le monde à la réalité climatique de la Lorraine. Bronzés, en forme, le visage à peine marqué par le long voyage, quelque 140 Picards de la 3e Compagnie de combat ont retrouvé leur base au cours de la matinée. Pour mieux savourer l’instant des retrouvailles, une poignée de fiancées, de mamans et d‘enfants emmitouflés était au rendez-vous. Et c’est à l’ordinaire que le petit-déjeuner d’accueil a été servi, en présence du lieutenant-colonel Beausoleil, commandant en second. « Comme vous le voyez, la température est très fraîche… Mais bienvenue chez vous. Je suis content et soulagé de vous voir tous revenir sains et saufs, malgré les heures intenses que vous avez vécues au début de votre séjour à Bangui », a-t-il souligné.

 

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 12:45
France sends advisers to Nigeria border to coordinate Boko Haram fight

 

06 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

France has sent military advisers to Niger's southern border with Nigeria to help coordinate military action by regional powers fighting the Islamist group Boko Haram, a French army official said on Thursday.

 

The deployment was announced as warplanes pounded Boko Haram positions just over the border in Nigeria, a resident in the Niger town of Bosso said, and hundreds of Chadian troops massed at the frontier to prepare an attack.

 

Chad has sent about 2,500 troops as part of efforts to take on the militant group, which has intensified its fight to set up a breakaway Islamist state in Nigeria and has staged cross-border raids. Chadian troops crossed into Nigeria this week from Cameroon, on the southern side of Lake Chad.

 

A French army official told Reuters a detachment of about 10 military personnel had been stationed in Diffa at the request of Niger, its former colony.

 

"It is there to coordinate the armies on the ground in the fight against Boko Haram," the official said.

 

The African Union (AU) has authorised a force of 7,500 troops from Nigeria, Chad, Cameroon, Niger and Benin to fight the militants. It is expected to seek a United Nations Security Council mandate, which could also include logistical support from other countries.

 

A source close to the Niger government told Reuters on Thursday the parliament in Niamey would vote Monday to send its troops to Nigeria.

 

Nearly two years after a French-led operation liberated the north of Mali from al Qaeda-linked rebels, France has headquartered a 3,200-strong Sahel counter-insurgency force, Barkhane, in the Chadian capital N'Djamena, some 50 km (30 miles) from the Nigerian border.

 

It has also been operating reconnaissance missions near the Nigerian border and sharing intelligence with countries in the region, although it has ruled out direct military involvement for now.

 

Speaking at a news conference on Thursday, President Francois Hollande said Paris was also providing logistical and operation support, including by delivering fuel and munitions to countries fighting Boko Haram.

 

However, he said France could not be expected to get involved in every crises around the world and accused other major powers of inaction in Africa.

 

"This is a message to the international community and the biggest countries. Do your work! Stop giving lessons and take action!" Hollande said.

 

"In Africa, we have to help the Africans a lot more to fight terrorism, because if we do not then other countries will be destabilised," he warned.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 12:45
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

09/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 15 novembre 2014 au 8 février 2015, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a été engagé dans le golfe de Guinée dans le cadre de l’opération Corymbe. Il est relevé ce 8 février par le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco.

 

Au cours de ce déploiement, le Tonnerre a conduit de nombreux exercices avec les marines riveraines du golfe de Guinée, notamment celles du Gabon, du Nigéria, du Bénin, du Cameroun, du Togo et du Ghana, au cours de l’exercice NEMO. Cet exercice naval annuel consistait à évaluer la coopération et l’inter-opérabilité (procédures, transmissions) des différents acteurs de la sous-région.

 

En Côte d’Ivoire, le Tonnerre a également effectué plusieurs exercices tactiques, tant avec les forces armées ivoiriennes (hélitreuillage depuis le BPC sur un patrouilleur ivoirien) qu’avec les forces françaises en Côte d’Ivoire. En effet, la flottille amphibie embarquée à bord du BPC, avec ses chalands de débarquement et un engin de débarquement amphibie rapide (EDAR), a participé à plusieurs entraînements de débarquement/rembarquement.

 

La première mission du BPC Tonnerre fut toutefois celle d’acheminer depuis la France, le matériel nécessaire à l’installation du centre de traitement des soignants (CTS) à Conakry en Guinée.

 

Durant sa mission, le BPC Tonnerre a été escorté par deux avisos : l’Enseigne de vaisseau Jacoubet puis le Lieutenant de Vaisseau Lavallée. Ce dernier poursuivra sa mission avec le TCD Siroco.

 

En place depuis 1990, la mission Corymbe est l’une des missions des forces armées françaises dans le golfe de Guinée. Elle est destinée à compléter le dispositif prépositionné en Afrique occidentale. Outre leur mission de présence dans une zone où les intérêts français sont nombreux, les navires déployés en Corymbe effectuent des actions de coopération bilatérale avec les pays de la région. Ils sont en mesure d’apporter un soutien rapide en cas de besoin, au même titre que les forces prépositionnées.

Corymbe : le BPC Tonnerre relevé par le TCD SirocoCorymbe : le BPC Tonnerre relevé par le TCD SirocoCorymbe : le BPC Tonnerre relevé par le TCD Siroco
Corymbe : le BPC Tonnerre relevé par le TCD Siroco
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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 20:45
La Turquie renouvelle la mission anti-piraterie de sa marine au large de la Somalie

 

04-02-2015 Par : LIANG Chen - French.china.org.cn

 

Le Parlement turc a adopté mardi une motion prolongeant d'une année supplémentaire la mission assurée par la marine turque dans le cadre de la campagne internationale de lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden.

 

En 2009, le Parlement turc avait autorisé le gouvernement à envoyer des unités des forces navales turques dans le golfe d'Aden et dans les zones maritimes avoisinantes pour contribuer à la campagne de lutte contre la piraterie menée par l'OTAN conformément à la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU adoptée en 2008.

 

La mission a déjà été prorogée à plusieurs reprises. Dans le cadre de cette mission, la marine turque est chargée de protéger les navires marchands turcs naviguant dans le golfe d'Aden et au large des côtes somaliennes, où ils sont souvent pris pour cibles par des pirates.

 

Lors des discussions sur la question au Parlement ce mardi, Ahmet Berat Conkar, député du Parti de la justice et du développement (AKP, au pouvoir), a indiqué qu'au cours des 26 opérations menées au total depuis 2009, la marine turque a contrecarré les agissements de 179 pirates dans la région

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 12:45
Pourquoi le Tchad s’engage dans la lutte contre Boko Haram

 

6 Février 2015 Par Christophe Châtelot -  LeMonde.fr

 

Le 17 janvier, répondant à l’appel du président camerounais Paul Biya, des troupes tchadiennes franchissent la frontière camerounaise pour combattre le groupe djihadiste nigérian Boko Haram. Puis le 3 février, l’armée tchadienne a pénétré en territoire nigérian pour prendre le contrôle de la ville de Gamboru, rapidement reprise à la secte islamiste.

 

Aux origines de l’engagement tchadien

Depuis plusieurs mois déjà, le président tchadien alertait la communauté internationale sur les risques très sérieux de déstabilisation régionale provoqués par l’extension des violences commises par les djihadistes de Boko Haram dans le nord du Nigeria. Une menace dont l’ampleur semblait alors sous-évaluée, diluée dans l’émoi provoqué par l’enlèvement de plusieurs centaines de jeunes filles, le 14 avril à Chibock, et les vidéos outrancières du chef de la secte, Aboubakar Shekau. Dès 2014, le Tchad avait donc renforcé sa présence militaire aux frontières avec le Cameroun et le Nigeria alors que Boko Haram multipliait les offensives dans le nord-est du Nigeria et au nord du Cameroun.

Mais le facteur déclencheur de l’engagement tchadien correspond à la prise de la ville nigériane de Baga par les djihadistes au début du mois de janvier. Boko Haram met alors en déroute les soldats nigérians stationnés sur place. Symboliquement, les islamistes s’emparent de la base qui devait accueillir la Multinational joint task force (MNJTF) créée en 2014 par le Tchad, le Niger et le Nigeria et destinée à lutter contre Boko Haram. Dorénavant, la secte est physiquement présente à la frontière tchadienne, certes sur l’autre rive du lac Tchad. A une centaine de kilomètres plus au sud, les incursions répétées des djihadistes au nord du Cameroun menacent directement la capitale tchadienne N’Djamena, distante de quelques kilomètres seulement.

 

Les raisons économiques de l’intervention

Au-delà de l’aspect purement sécuritaire, les actions de Boko Haram ont un impact très lourd sur l’économie tchadienne, déjà sévèrement touchée par l’effondrement du prix des cours du pétrole et le chaos chez ses voisins centrafricains et libyens. L’un des objectifs centraux de l’intervention tchadienne consiste donc à dégager les passages frontaliers et les axes de circulation vitaux pour le Tchad.

L’insécurité dans le nord-est du Nigeria a en effet quasiment stoppé, depuis un an et demi, le commerce (exportation de bétail sur pied, importations de biens de consommation) à destination de ce pays. Ces échanges qui passaient par le lac Tchad à bord de grandes pirogues doivent dorénavant emprunter une longue route de contournement par le Niger. L’augmentation des coûts de transport se répercute sur les prix à la consommation. Simultanément, la chute du commerce prive l’Etat d’importantes recettes douanières.

Plus au sud, la propagation de la zone d’influence islamiste au nord du Cameroun menaçait donc le Tchad d’étouffement. Peu avant de passer à l’offensive, N’Djamena redoutait en effet une attaque sur Maroua, la grande ville de l’extrême nord camerounais. Un tel scénario aurait signifié la fermeture de la route transnationale N’Djamena-Kousseri-Maroua, qui relie la capitale tchadienne au port camerounais de Douala, son principal débouché maritime par où transite la majeure partie des approvisionnements destinés au sud du pays.

 

Quelle est la taille du contingent tchadien

Le 17 janvier, des soldats tchadiens, commandés par le général Ahmat Darry Bazine, franchissent la frontière camerounaise à l’appel du président camerounais Paul Biya. N’Djamena ne fournit pas de détails sur la nature de ce déploiement. Mais selon plusieurs sources, il comporterait trois régiments de 800 hommes chacun, appuyés par des hélicoptères de combat MI-24 et 400 véhicules, dont des blindés.

Dans le même temps, plus au nord, le Tchad a massé des troupes (commandées par Mahamat Idriss Déby Itno, le propre fils du président) à la frontière entre le Niger et le Nigeria, à proximité immédiate de bastions de Boko Haram. Selon l’AFP, un contingent d’environ 400 véhicules et des chars est positionné de Mamori à Bosso, deux bourgades de l’est nigérien, qui ne sont séparées du Nigeria que par une rivière, la Komadougou Yobé. Leur mouvement vers le sud permettrait de prendre les islamistes en tenaille

 

Pourquoi le Nigeria a fini par accepter l’intervention du Tchad ?

Après avoir longtemps rejeté toute ingérence étrangère, les autorités nigérianes, qui n’arrivent pas à enrayer seules l’expansion militaire de Boko Haram, estiment dorénavant que la présence de troupes tchadiennes sur son sol ne remet pas en cause « l’intégrité territoriale du Nigeria ». Contrairement au Cameroun, dont les forces protégeant Fotokol depuis des mois sont restées sur leurs positions, le Tchad, étant membre avec le Nigeria et le Niger de la Multinational joint task force (MNJTF), bénéficie d’un « accord de poursuite » de Boko Haram en territoire nigérian. Le président tchadien Idriss Déby Itno a clairement dit que l’objectif est la « libération » de la ville nigériane de Baga, tombée début janvier. A N’Djamena, des sources sécuritaires n’excluent pas de pousser jusqu’aux faubourgs de Maiduguri, l’ancien fief de Boko Haram, cible aujourd’hui d’attaques répétées par les islamistes.

 

La lutte contre Boko Haram se régionalise

A l’issue du sommet d’Addis Abeba des 30 et 31 janvier, l’Union africaine a adopté le principe du déploiement d’une force africaine de 7 500 hommes destinés à combattre le groupe djihadiste. Ce contingent devrait regrouper des soldats du Cameroun, du Tchad, du Niger, du Nigeria et du Bénin. Si le principe de ce déploiement a été retenu, il reste encore à finaliser la stratégie de combat contre Boko Haram, la chaîne de commandement ainsi que le calendrier.

Sans précision sur la date, l’Union Africaine (UA) a par ailleurs annoncé qu’elle saisira ensuite le Conseil de sécurité de l’ONU afin de « conférer à la force la légalité et la légitimité internationales, ainsi que les ressources nécessaires à soutenir ses opérations sur le terrain ». En clair : des financements internationaux.

Sans attendre, le Niger devrait envoyer prochainement des troupes au Nigeria. Pour ce faire, le Parlement doit se réunir, lundi 9 février, pour autoriser l’envoi de troupes dans ce pays voisin. Aucun détail n’a été fourni sur le nombre de soldats mobilisés ni sur la date de leur déploiement.

 

La France aux premières loges

L’armée française est géographiquement aux premières loges dans cette crise. C’est en effet à N’Djamena que Paris a installé, en août 2014, le quartier général de son opération Barkhane. Pourtant, le ministère de la défense rappelle qu’il n’est pas question d’envoyer des soldats au Nigeria. Barkhane, avec ses 3500 hommes, est destinée à lutter contre le terrorisme dans la bande sahélo-saharienne pas contre le djihadisme nigérian, rappelle-t-on au ministère de la défense.

Paris soutient cependant l’action tchadienne avec des missions de reconnaissance au-dessus du Tchad et du Cameroun. Une cellule de coordination et de liaison du renseignement a d’ailleurs été créée à N’Djamena. Elle doit permettre aux états-majors du Niger, du Tchad et de la France de partager du renseignement. Par ailleurs, la France participe à la Cellule régionale de fusion du renseignement, mise en place à Abuja le 11 octobre 2014. L’objectif était alors la libération des jeunes otages de Chibok.

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 08:45
BTR-4 Infantry Fighting Vehicule source Beegeagle's Blog

BTR-4 Infantry Fighting Vehicule source Beegeagle's Blog

 

04.02.2015 by BBC Africa

 

When Nigeria's militant Islamist group Boko Haram abducted more than 200 girls from a school in Chibok in April 2014, the world woke up to the brutality and strength of its insurgency.

Since it launched military operations in 2009 to create an Islamic state, the group has seized vast amounts of territory in the north-east of the country and caused a humanitarian crisis affecting some three million people, according to the country's officials.

In the run-up to Nigeria's elections on 14 February, Boko Haram has stepped up its attacks. There are also added fears that those living in areas controlled by the group will be unable to vote.

There are many factors that have enabled the rise of Islamic militancy in the country, but the blame for some falls on the Nigerian army. Three expert witnesses offer their insight as to whether this is correct, for the BBC World Service's The Inquiry.

 

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 08:45
Touch and go pour la Royal Navy sur le BPC Tonnerre

 

Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale
 

Le 27 janvier 2015, un hélicoptère Merlin de la Royal Navy a effectué une série de « touch and go » sur le pont du BPC Tonnerre actuellement engagé dans la mission Corymbe. L’hélicoptère Merlin est embarqué à bord du bâtiment britannique RFA Argus déployé au large du Sierra Leone et avec lequel le Tonnerre a mené diverses interactions.
La mission Corymbe est un déploiement naval quasi-permanent, en mesure de soutenir les forces armées françaises dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opérations dans la région.

 

Reportage photos

 

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 07:45
8.700 hommes contre Boko Haram

 

07.02.2015 par BBC Afrique

 

Au départ, les besoins en hommes pour la constitution de cette force étaient de 7.500 hommes.

 

Pour le moment, l’on ne sait pas la contribution par pays dans la constitution de cette force. Mais "un groupe restreint travaillera dans les jours qui viennent sur les détails" de l'apport de chaque Etat et élaborera le budget initial de la Force", selon les experts réunis à Yaoundé. Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine sera ensuite saisi pour approuver et transmettre au Conseil de sécurité des Nations Unies le dossier. Les documents définissant les contours de la force africaine et ses missions qui sont notamment de "créer un environnement sûr et sécurisé dans les régions affectées par les activités de Boko Haram et d'autres groupes terroristes" ont également été élaborés par les experts. N’Djamena, la capitale tchadienne sera le quartier général de cette force. Pour rappel, le Tchad a déjà déployé depuis trois semaines au Cameroun et au Nigéria, plus de 2.500 hommes contre Boko Haram. Les députés nigériens voteront lundi pour l’envoi de l’armée au Nigéria contre Boko Haram. Les troupes tchadiennes ont été attaquées vendredi par Boko Haram le long de la frontière Niger-Nigeria: 109 islamistes, quatre militaires nigériens et un civil ont été tués, selon Niamey. Les rencontres contre la secte islamiste se multiplient. Militaires tchadiens et nigérians ont eu une réunion bilatérale ce vendredi à Abuja. Le Nigeria a estimé la semaine dernière que son intégrité territoriale n'était pas compromise par l’intervention des troupes tchadiennes sur son sol. Le président Goodluck Jonathan brigue un nouveau mandat à la tête du pays africain le plus peuplé, le 14 février prochain. Depuis 2009, l'insurrection de Boko Harama a fait 13.000 morts et 1,5 million de déplacés.

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 07:45
Boko Haram: Un général tchadien blessé

 

6 février 2015 BBC Afrique

 

Lors des combats, un combattant de Boko Haram qui a fait semblant d'être tué a tiré sur le commandant des forces tchadiennes déployées au Niger, le général Yaya Daoud, le blessant au ventre.

 

Il été a été évacué d’urgence à l'hôpital de la Renaissance de N'Djamena, où il reçoit des soins. Boko Haram a mené ce vendredi à Bosso sa première attaque au Niger. Le Tchad a déployé un important contingent le long de la frontière avec le Niger dont l’assemblée nationale devrait approuver lundi un engagement de ses troupes au Nigeria. Selon Yacouba Soumana Gaoh, gouverneur de Diffa dans le sud-est du pays, les combats ont débuté vendredi vers 08 heures, mais ‘’tout est rentré dans l’ordre’’. Des témoins ont indiqué que l'attaque a fait plusieurs morts. L'armée tchadienne affirme avoir bombardé ces deux derniers jours, différentes localités nigérianes voisines de Bosso, aux mains de Boko Haram. D’un autre côté, le ministre camerounais de la défense a indiqué que 13 soldats tchadiens ont été tués dans la récente attaque lancée par Boko Haram contre Fotokol, attaque repoussée par les forces tchado-camerounaises.

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 07:45
Boko Haram launches first attack in Niger

 

7 February 2015 by BBC Africa

 

The Nigerian Islamist militant group Boko Haram has attacked a town in Niger for the first time, witnesses say.

 

Niger's government said it killed more than 100 of the group's fighters as it repulsed the attack on the border town of Bosso. The group reportedly killed at least 70 people in an attack on the town of Fotokol in Cameroon on Wednesday. The Boko Haram insurgency has left thousands dead and displaced more than a million over the past six years. The militants control a large stretch of land in north-eastern Nigeria. Its neighbours have promised to send troops to help it fight the militants, who are now attacking those countries.

 

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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 21:45
Côte d’Ivoire : la section d’appui mortier des FFCI en exercice à Lomo Nord

 

06/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 24 au 31 janvier 2015, Lomo Nord, au sud de la République de Côte d’Ivoire, a été le théâtre d’exercices au tir pour la section d’appui mortier du 35ème  régiment d’infanterie. Ces exercices étaient réalisés dans le cadre du maintien en conditions opérationnelles des forces françaises prépositionnées sur la façade ouest africaine.

 

Cet entrainement avait pour objectif l’entretien des savoir-faire et connaissances techniques des stagiaires afin de mieux appréhender les phases de tirs, dans des mises en condition réelles. Sur ordres du chef du groupe mortier, les deux pièces, chacune armée par 5 soldats, ont été mises en œuvre pour la séquence de tir. Leur mission était de détruire des cibles placées jusqu’à 4 km. Au cours de cette semaine, les manouvres de tir ont été réalisées de jour comme de nuit, avec, pour le tir nocturne, un équipement spécifique composé de caméras thermiques de type « Sophie ».

 

Véritable prouesse technique, le tir mortier nécessite sang-froid et précision. Le groupe mortier profite avant tout aux autres membres de la compagnie d’infanterie qui, en cas de besoin, sollicitent un appui feu.

 

Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 21 janvier, continueront à assurer la protection des ressortissants français et à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale, avec les forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Elles seront en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI, conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de la sécurité. Ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la sous-région. 

Côte d’Ivoire : la section d’appui mortier des FFCI en exercice à Lomo NordCôte d’Ivoire : la section d’appui mortier des FFCI en exercice à Lomo Nord
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