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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 17:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

28 January 2015 by defenceWeb

 

The French army has deployed 16 VBCI wheeled armoured vehicles to support its forces in the Central African Republic (CAR), where it says the vehicle is proving highly effective for asymmetric operations.

 

The VBCI brings together in one vehicle all the characteristics required in Central Africa: mobility, speed, protection, observation and fire support, the French Army said.

 

Alongside the short-range DRAC unmanned aerial vehicle used for reconnaissance and the Tiger combat helicopter, whose HAD version is gradually entering the theatre of operations, the VBCI armoured infantry fighting vehicle strengthens the Sangaris force and in turn the multinational Minusca force.

 

Since its introduction into the Central African theatre of operations in early August 2014, the VBCI has continued to improve and to demonstrate its capabilities, both for deterrent effect and for command and support roles, according to the French Army.

 

"The deployment of VBCI in the area was accompanied by the return of calm…and the lowering of inter-communal tensions," said Captain Christophe, commander of the GTIA sub group Korrigan, which operates the VBCI in the city of Dekoa, 190 km north of Bangui.

 

Thanks to its armour protection, this latest-generation vehicle is able to cope with different kinds of threats, ranging from simple stones to grenades. Its imposing size and firepower has earned it the nickname of "fire bull" by the Central African population.

 

Approximately 2 000 French soldiers are currently deployed in Operation Sangaris alongside 8 500 Minusca personnel. Launched on December 5, 2013, Operation Sangaris aims to restore a minimum level of security in the Central African Republic and to accompany the establishment of the UN mission.

 

The Nexter Systems VBCI (Vehicule Blinde de Combat d’Infanterie – Armoured Infantry Combat Vehicle) entered service with the French Army in 2008 and has been deployed to Afghanistan, Lebanon and Mali. Several hundred have been delivered to the French military where they are replacing the tracked AMX-10P.

 

The VBCI features modular steel and titanium armour fitted to an aluminium hull. Its 8x8 configuration is designed for high mobility, giving a top speed of 100 km/h via a 410 kW diesel engine. Weapons options include a 25 mm cannon or 7.62 mm machinegun. Two crew are carried in addition to nine troops.

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 13:45
FFDj : l’IHEDN à Djibouti

 

28/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 16 au 20 janvier 2015, 99 auditeurs et 19 cadres de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) se sont rendus à Djibouti au sein des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) pour leur mission d’étude annuelle.

 

Ce séjour alternant conférences et démonstrations a clôt la première phase de mise à niveau des connaissances des auditeurs leur permettant d’appréhender les enjeux stratégiques de la Corne de l’Afrique, ainsi que la dimension « interarmées ».

 

Le général Philippe Montocchio, commandant les FFDj a ouvert le cycle des conférences en présentant les FFDj et leur zone de responsabilité permanente. Plusieurs interventions d’autorités civiles et d’autorités militaires djiboutiennes, françaises et alliées ont étayé la réflexion.

 

Sur le terrain, après la mise en œuvre d’une batterie de mortiers de 120 mm dans le désert du Qaïd pour une vingtaine de tirs réels, les auditeurs ont assisté à une manœuvre aéroterrestre destinée à leur faire prendre conscience de la réalité et/ou de la nécessité de la coordination interarmées : héliportage de fantassins en Puma, raid blindé appuyé par les Mirage 2000, appui feu hélicoptère avec missiles HOT…

 

Au désert du Grand Bara, les FFDj ont également présenté le savoir-faire de leurs moyens aériens jusqu’au coucher du soleil : interception d’un Transall C160 par des Mirage 2000-5, poser d’assaut d’un C160 avec mise au sol de 2 véhicules tactiques, show of force et appui aérien de Mirage 2000 D, dépose de forces spéciales par corde lisse en hélicoptère, récupération par grappe et évacuation sanitaire par Puma SAR (Search and Rescue). La nuit est tombée sur le désert, les auditeurs se sont répartis sur les deux bivouacs dans le désert pour une nuit en ambiance militaire.

 

Le lendemain, le convoi s’est rendu à Arta plage pour une dernière démonstration en deux temps : une action vers la terre avec un Tarpon (largage de 12 parachutistes par C160) suivie d’un raid nautique, puis une extraction de ressortissants avec appuis aériens (Mirage 2000 D et Gazelle). Les auditeurs ont pu ensuite rencontrer les soldats et découvrir les spécifités des matériels mis en œuvre.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : l’IHEDN à DjiboutiFFDj : l’IHEDN à DjiboutiFFDj : l’IHEDN à Djibouti
FFDj : l’IHEDN à DjiboutiFFDj : l’IHEDN à Djibouti
FFDj : l’IHEDN à DjiboutiFFDj : l’IHEDN à Djibouti
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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 12:45
Israël a multiplié ses ventes d'armes à l'Afrique.


26.01.2015 israelvalley.com

 

Israël a augmenté de manière significative ses ventes d’armes aux pays africains. Le ministère de la Défense indique que 2013 (les chiffres de 2014 non encore diffusés) a été une année record puisque Jérusalem a vendu aux pays africains pour 210 millions d’euros d’armes et de technologie militaire alors que durant les 4 années précédentes le volume annuel était situé entre 63 et 107 millions d’euros. (i24News)

 

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 08:40
Moscou élargira sa présence sur les marchés des armements (Poutine)

 

MOSCOU, 27 janvier - RIA Novosti

 

La Russie élargira sa présence sur les marchés des armements en Asie, Afrique et Amérique latine, a déclaré mardi à Moscou le président russe Vladimir Poutine lors d'une réunion de la commission pour la coopération militaire et technique avec les pays étrangers.

 

"Les nouveaux défis et menaces obligent de nombreux pays du monde à revoir leurs doctrines militaires, à moderniser les Forces armées nationales (...). La Russie élargira sa présence sur les marchés prometteurs, notamment dans la région Asie-Pacifique, en Afrique, en Amérique latine et dans l'espace caraïbe", a indiqué M.Poutine.

 

"Nous élargissons notre présence sur les nouveaux marchés des armements, surtout en Amérique latine et en Asie du Sud-est. Nous intensifions notre coopération avec nos anciens et nouveaux partenaires", a ajouté le chef de l'Etat russe.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 21:45
Gao : les casques bleus ouvrent le feu

 

27.01.2015 par BBC Afrique

 

Au moins trois personnes ont été tuées à Gao au Mali lors d'une manifestation contre la Mission de l'Onu dans le pays.

 

Les casques bleus ont ouvert le feu sur une foule qui vociférait contre la Minusma, accusée de tenter d'affaiblir des groupes armés soutenant le gouvernement malien contre les rebelles. Selon le correspondant de la BBC à Bamako qui s'appuie sur des sources militaires, les manifestants sont des jeunes pour la plupart. Selon les explications officielles de la Minusma, l'incident est survenu quand les manifestants ont assiégé les policiers onusiens.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:45
UN base in Mali's Gao city hit by deadly clashes

 

27 January 2015 BBC Africa

 

At least two people have been killed after UN forces tried to end a siege of their military base in the northern Malian city of Gao, government and hospital sources said.

 

Protesters attacked to show their opposition to reports of a UN plan to create a buffer zone in the region. Northern Mali has been hit by conflict between government forces, Tuareg separatists and militant Islamists. The UN has a 9,000-strong force in Mali to bolster the weak government. The protesters claimed that a buffer zone in Gao region's Tabankort district would favour Tuareg separatists. The area is presently controlled by pro-government militiamen who have clashed in recent weeks with separatist Tuareg rebels.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:45
Analyse d'échantillons dans un laboratoire mobile. (Archives / Photo Jürgen Braekevelt)

Analyse d'échantillons dans un laboratoire mobile. (Archives / Photo Jürgen Braekevelt)

 

26/01/2015 MIL.be

 

En un mois, le laboratoire belge B-Life a effectué 190 analyses d'échantillons dans la ville guinéenne de N'Zérékoré. Un grand nombre de patients ont pu quitter le centre de traitement du virus Ebola dans de bonnes conditions.

 

Dans leur combat contre le virus Ebola, les infirmiers et médecins prélèvent quotidiennement du sang et des échantillons de salive. Parfois, ils prennent également de l'urine, du lait maternel et de la sueur afin de mieux cerner l'évolution de la maladie.

 

La première équipe a achevé son séjour en Guinée. Une deuxième équipe est sur place depuis le samedi 24 janvier dernier.

 

Composante Médicale

B-FAST

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:45
US negotiating with Spain to have permanent Marine force for Africa

 

26 January 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Spain has started negotiating with the United States to increase the number of US troops at an air base in the south of the country and host a permanent US Marine intervention force for Africa.

 

The Spanish government on Friday said it was ready to extend an agreement for troops to be stationed at Moron de la Frontera near Seville.

 

In March 2014, Spain agreed to an increase in U.S. troops to 850 from 500 at Moron to help support coalition operations against Islamist insurgents in north and west Africa. That agreement expires in April this year, Reuters reports.

 

The Spanish government approved negotiations to amend the two countries' 1988 defence accord, Deputy Prime Minister Soraya Saenz de Santamaria said after a cabinet meeting last week, according to Agence France Presse. Negotiations will discuss hosting the deployment indefinitely.

 

U.S. authorities have also used Moron as well as Spain's Rota naval base near Cadiz as part of an operation to combat the current Ebola epidemic in West Africa.

 

Moron Air Base has been used jointly by Spanish and U.S. air forces since 1953. It served as a springboard for U.S.-led coalition forces in the 1991 Gulf War.

 

The US Marine force was first stationed at Moron in April 2013 after a deadly attack on the US consulate in Benghazi, Libya, in 2012. Its temporary status was renewed last year.

 

Its duties in Africa include protecting embassies, rescuing military personnel and evacuating civilians or intervening in conflicts and humanitarian crises. The force is made up of 800 Marines plus air support, including MV-22 Ospreys.

 

Spanish newspaper El Pais reported that the new agreement could increase the strength of the contingent to 3,000 personnel if needed.

 

The force operates under the orders of the US military's Africa command, based in Germany.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 13:45
L’Afrique engage une guerre contre Boko Haram

 

26/01/2015 Par Igor Yazon, La Voix de la Russie-RIA Novosti


 

La décision de la Commission du bassin du lac Tchad regroupant le Nigeria, le Niger, le Cameroun et le Tchad de former les forces collectives pour lutter contre le groupe Boko Haram a été adoptée fin 2014.

 

Malheureusement, aucun des quatre pays ne se hâtait de tenir la promesse de réserver à ces fins ses 700 soldats. Les commandos du groupe en ont profité ayant engagé l’offensive contre le territoire appartenant au Cameroun long de cent et large de 60 kilomètres entre le Nigeria, la rivière Shari, frontière naturelle du Tchad, et le littoral Sud du lac. Les commandos de Boko Haram ont pris d’assaut début janvier la ville stratégique de Baga dans le Nord-Est du Nigeria à 200 kilomètres de N’Djamena, capitale du Tchad. Leur succès a poussé enfin les pays voisins de la région à entreprendre les démarches décisives. Le sommet de 13 pays africains et non africains avec la participation des délégués de l’UA et de plusieurs organisations régionales s’est réuni le 20 janvier à Niamey, capitale du Niger. Le chef de la diplomatie tchadienne a dit en ouvrant la réunion :

" La situation sécuritaire au Nigeria et dans le bassin du lac Tchad s'est considérablement dégradée. La montée en puissance de Boko Haram traduit notre lenteur et notre incapacité à lui opposer une réponse robuste. Nous assistons, comme ce fut le cas au Mali, à la perte de souveraineté du Nigeria sur des pans entiers de son territoire et à l'exportation de la violence aux pays voisins ".

 

A la fin du sommet ses participants ont pris notamment la décision d’accélérer la mise en oeuvre de la force régionale, à laquelle participent le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Le Tchad a réagi le premier ayant envoyé au Cameroun une colonne de 400 blindés avec des soldats. Ainsi, une guerre réelle contre Boko Haram a commencé dans la région du lac Tchad. " Comment appréciez-vous la réunion à Niamey et la guerre contre les djihadistes nigérians ? " L’interlocuteur permanent de notre observateur Igor Yazon le géopoliticien belge Luс Michel, directeur général de l’ONG " Observation eurasienne pour la démocratie et les élections " (OEDE), animateur d’EODE-TV & AFRIQUE MEDIA, répond à da question dans une interview accordée par téléphone de Bruxelles.

" Le sommet à Niamey avait pour but d’approuver officiellement le recrutement des forces régionales pour prêter concours au Cameroun, principale cible de l’offensive de Boko Haram. La réunion a été ouverte. Les pays occidentaux, l’UE et l’Africom – Commandement militaire américain pour l’Afrique y ont pris part. Ces derniers entendaient conserver leur influence sur cette région africaine.

Qu’est-ce qui se produit dans ces pays ? Boko Haram très bien armé a dirigé ses détachements contre le Cameroun. Le Cameroun est aujourd’hui la cible de trois offensives : de la part des djihadistes, de la pression de certains groupes internationaux subordonnés à George Soros et enfin de l’offensive diplomatique. Le président Obama insiste sur les présidentielles et la démission de l’actuel leader Paul Biya en 2015. Il n’y aura pas cette année de présidentielles au Cameroun.

En ce qui concerne le Tchad, ce pays a la meilleure armée dans la région. Le pays est en guerre depuis plus de trente ans et le président Déby a créé une armée très forte. L’armée tchadienne était il y a deux ans l’alliée des Français dans leur guerre contre les djihadistes dans le Nord du Mali. Le Cameroun a lui aussi une bonne armée mais elle n’a pas d’expérience de lutte contre les méthodes de la guérilla employées par les djihadistes de Boko Haram.

Deux versions de recrutement des forces de réaction rapide sont envisagées en Afrique. Ainsi, la Guinée équatoriale a envisagé d’abord les forces régionales qui seraient ensuite transformées en forces continentales de réaction rapide. La Guinée équatoriale avait déjà proposé au Nigeria d’envoyer de telles forces mais Abuja a décliné son initiative, comme on prétend, sous la pression de Washington. Celui-ci impose à l’Afrique sa variante : la présence totale de l’Africom sur le continent.

Les alliés principaux des Etats-Unis : Kenya, Ouganda et Rwanda se prononcent pour ce scénario. Cependant, les Etats-Unis n’y avaient dans le passé récent qu’une base militaire : à Djibouti. Actuellement les Etats-Unis ont plus de trente bases et ont annoncé, selon l’ambassade américaine à Abuja, l’aménagement d’encore une base : la plus grande au Nigeria avec emploi de drones et de satellites dans l’ensemble de l’espace aérien du continent.

Bref, la lutte contre Boko Haram sera une entreprise très compliquée et prolongée ne fut-ce que pour cette raison que l’armée nigériane, l’armée du pays, le plus riche en Afrique, évite parfois les affrontements avec Boko Haram pour des motifs politiques en prévision des présidentielles qui auront lieu cette année au Nigeria. L’Europe pourrait sans doute aider l’Afrique dans la guerre contre les djihadistes.

Il convient d’évoquer la réaction bruyante des Français à l’attentat contre Charlie Hebdo. Ceux qui l’ont inspiré ont été identifiés en un jour. Un satellite suffirait pour détecter les déplacements ou les camps des djihadistes dans n’importe quel endroit du continent africain. Or, l’Occident n’y est pas intéressé : le regain d’activité des djihadistes lui permet de conserver sa présence sur le continent et d’influer sur les processus politiques et les autorités par crainte, en particulier, de concurrence de la part de la Chine ou même de la Russie qui reprend graduellement ses activités sur le continent. C’est pour ça qu’en rejoignant la guerre contre les djihadistes en Afrique, l’Occident les soutient volontairement ou involontairement en se réservant par là même l’Afrique avec ses richesses naturelles. "

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 12:45
photos ECPAD

photos ECPAD

 

27/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 23 janvier 2015, jour de l’ouverture du centre de traitement des soignants, un premier patient présentant les symptômes du virus Ebola a été pris en charge par les médecins militaires français.

 

Le patient a été accueilli sur l’héliport en fin de journée. L’équipe médicale l’a immédiatement pris en charge en zone rouge d’accueil transit. Elle a réalisé un bilan pour établir le diagnostic. Une audioconférence avec la direction générale de la santé à Paris a permis d’écarter le diagnostic d’Ebola et d’établir un traitement.

 

L’équipe médicale s’est montrée réactive et efficace dans cette première mise à l’épreuve.

 

Le CTS est une structure unique destinée aux soignants qui œuvrent en première ligne dans la lutte contre Ebola. Il propose un traitement spécifique à toute affection et une prise en charge médicale pour 10 malades probables ou confirmés Ebola en chambre individuelle à usage unique. 120 militaires français sont déployés, dont 70 soignants du service de santé des armées, issus, pour la plupart, des hôpitaux militaires français.

Ebola : première prise en charge au centre de traitement des soignantsEbola : première prise en charge au centre de traitement des soignantsEbola : première prise en charge au centre de traitement des soignants
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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 12:45
Op Barkhane : « Dans la peau » d’un aide soignant militaire

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le caporal-chef Gaëtan, 34 ans, est déployé au Mali depuis le mois de novembre 2014 pour une durée de 3 mois en qualité d’aide soignant à l’antenne chirurgicale de la plateforme opérationnelle désert (PfOD), à Gao.

 

Affecté depuis trois ans et demi au régiment médical de la Valbonne (01), il est placé pour emploi et exerce le métier d’aide soignant au sein de l’hôpital d’instruction des armées Desgenettes, à Lyon (69). Dans le cadre de sa spécialité il est fréquemment projeté en opération extérieure au sein d’une antenne chirurgicale aérotransportable. Premier échelon chirurgicale de la chaîne santé en opération, cette structure sanitaire est la plus rapidement accessible pour les évacuations des blessés au combat.

 

Entrée en service en 2002, le caporal-chef Gaëtan a toujours travaillé au sein d’un service médical militaire. D’abord en qualité d’auxiliaire sanitaire au sein de l’infirmerie du 43ebataillon de transmissions à Orléans (45), avant de passer les qualifications pour devenir ambulancier en 2004, puis le diplôme d’état d’aide soignant au sein du centre de formation des aides soignants militaire à Bordeaux (33), en 2009.

 

A 13 ans de service, le caporal-chef Gaëtan est chargé d’assurer le soutien des équipes médicales (infirmiers, médecins, anesthésistes, chirurgiens, etc.) et de garder un contact permanent avec les patients admis à l’antenne chirurgicale. « L’observation des constantes et l’accompagnement sont deux actions primordiales, à la fois pour le confort du patient comme pour prévenir toute complication », nous confie t-il. Préparation et stérilisation du matériel chirurgical, remise en condition et réapprovisionnement du bloc opératoire sont autant de responsabilités qui font de l’aide soignant un « logisticien de la salle d’opération », comme aime à le souligner le caporal-chef Gaëtan.

Passionné par son métier, l’opération Barkhane est la huitième opération extérieure à laquelle il prend part. La Côte d’Ivoire, le Liban, l’Afghanistan, le Tchad, la Centrafrique, nombreux sont les théâtres où le caporal-chef Gaëtan a été engagé aux côtés des unités combattantes. « Placer nos savoir-faire au service de nos camarades d’armes doit rester une priorité. L’expérience opérationnelle est enrichissante dans toutes ses composantes », lance t-il.

 

Sur la PfOD, il n’est pas possible de définir une journée type au sein de l’antenne chirurgicale. Jour et nuit son personnel peut intervenir sur très court préavis. Au-delà du rôle de prise en charge des soldats de la force, l’antenne chirurgicale met au profit de la population malienne ses compétences et son matériel médical. « Nous avons un rôle à jouer auprès de la population locale, notamment celle présente dans les zones les plus reculées du Mali et qui ne dispose pas du niveau de médecine nécessaire. Souvent les pathologies sont graves et nous sommes les seuls à pouvoir intervenir. Cette mission d’aide à la population est importante ».

Très impliqué par son métier, le caporal-chef Gaëtan fait preuve d’une grande disponibilité. Prochainement, il se voit servir à nouveau sur un théâtre d’opération, « partout où cela sera nécessaire ! ».

 

L'opération Barkhane regroupe 3000 militaires dont la mission en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Op Barkhane : « Dans la peau » d’un aide soignant militaireOp Barkhane : « Dans la peau » d’un aide soignant militaire
Op Barkhane : « Dans la peau » d’un aide soignant militaireOp Barkhane : « Dans la peau » d’un aide soignant militaire
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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 12:45
Barkhane : « Dans la peau » d’un agent de transit aérien

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le brigadier Ana, 31 ans, est déployé au Mali depuis le mois de novembre 2014 pour une durée de 4 mois. Agent de transit aérien sur la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao, elle participe jour et nuit à relever le défi logistique qui caractérise l’opération Barkhane. Face aux élongations hors du commun de la bande sahélo-saharienne, sa disponibilité et son sens de l’engagement contribuent à la réussite de sa mission. Son objectif est clair, « maîtriser les flux de matériels en transit sur la PfOD ainsi que les ressources vitales aux troupes déployées est un enjeu permanent ».

 

Affecté depuis 10 mois à l’escale de la base aérienne (BA) 107 de Villacoublay (78), elle exerce le métier d’agent de transit aérien, fonction qu’elle occupe depuis 2012 lors de sa première affectation sur une base aérienne, la BA 105 d’Evreux (27).

 

Entrée en service en 2008, le brigadier Ana a d’abord été secrétaire au bureau d’accueil du personnel de l’armée de l’air à Balard (75) avant de rejoindre les pistes d’envol des bases aériennes. Passionnée par l’univers de l’aéronautique, elle obtient en 2011 les qualifications nécessaires pour assurer la gestion du transit aérien militaire. Depuis, son professionnalisme et son enthousiasme lui ont permis de gravir les échelons. Très prochainement, elle sera élevée au grade de brigadier-chef suite à l’obtention de la sélection de niveau 1 (SN1).

 

A bientôt 7 ans de service, le brigadier Ana est chargé d’assurer le package des aéronefs (avions et hélicoptères) lors des phases de stationnement au sol, d’effectuer le contrôle IATA de transport de matières dangereuses et de gérer le fret militaire, de sa dépose à l’escale jusqu’à l’arrimage à l’avion. En contact avec plusieurs milliers de passagers par an, elle participe à faire que leur voyage se passe dans les meilleurs conditions (accueil, accompagnement dans les démarches administratives, manifeste passagers, etc.). Sur la BA 107 de Villacoublay, elle est également amenée à être en contact avec les autorités politiques et militaires dans le cadre de leurs déplacements en France et à l’étranger.

 

Sur la PfOD de Gao, une journée type à la cellule du détachement de transit interarmées aérien est bien chargée. Jour et nuit, les aéronefs tactiques de transport militaire atterrissent et décollent. « Chaque appareil demande en moyenne un temps de travail estimé à 2 H 30. Pour le bien de la mission, le DETIA assure l’ensemble des tâches liées à l’environnement de l’avion ». Lorsqu’un aéronef arrive sur la PfOD de Gao, le brigadier Ana anticipe déjà son départ, « une fois ses passagers et son FRET débarqués, il faut préparer l’avion pour qu’il puisse poursuivre son plan de vol et ses missions opérationnelles dans les meilleurs délais ». Traitement du fret et gestion de son suivi administratif, complètement en carburant des aéronefs, gestion des soldats à l’embarquement et au débarquement, face à la densité des flux logistiques et du personnel militaire transitant par Gao, le brigadier Ana peut compter sur ses savoir-faire et son allant.

 

L'opération Barkhane regroupe 3000 militaires dont la mission en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : « Dans la peau » d’un agent de transit aérienBarkhane : « Dans la peau » d’un agent de transit aérien
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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 12:45
Corymbe : Entraînement avec la marine camerounaise

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 20 janvier 2015, l’équipage de l’aviso Lieutenant de Vaisseau Lavallée, a ouvert l’exercice naval NEMO 2015 dans le golfe de Guinée, en participant à un exercice d’évolution tactique avec un patrouilleur de la marine camerounaise.

 

Les deux équipages se sont livrés à cette manœuvre tactique au sud ouest de l’île de Bioko (Guinée Equatoriale), en ouverture de l’exercice multinational NEMO 2015 (Navy’s exercise for maritime operations). Cet exercice vise à développer la coopération et la coordination opérationnelle entre marines des pays côtiers dans le cadre de la surveillance et de la sécurisation de l’espace maritime du golfe de Guinée.

 

Pendant plusieurs jours, les deux unités françaises actuellement engagées dans la mission Corymbe, le BPC Tonnerre et l’aviso Lieutenant de vaisseau Lavallée, enchaîneront divers exercices avec les marines d’Afrique centrale et d’Afrique de l’ouest : Congo, Gabon, Cameroun, Nigéria, Benin, Togo et Ghana.

 

En place depuis 1990, la mission Corymbe est un déploiement naval quasi-permanent, en mesure de soutenir les forces armées françaises dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opérations dans la région. De plus, cette présence quasi-permanente permet de coopérer avec les marines régionales amies, et ainsi de participer à leur montée en puissance et au développement de capacités africaines autonomes.

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 17:45
Op Barkhane : entraînement au « sling » de la section d’appui mortier du GTD Est

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 17 janvier 2015, dans le cadre de son maintien en condition opérationnelle, la section appui mortier (SAM) du groupement tactique désert Est (GTD-E), armée par le 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes, a effectué une séquence d’entraînement visant à mécaniser la technique du « sling », technique d’emport du mortier par hélicoptère de manœuvre (HM).

 

Cette séquence d’entraînement s’est déroulée sur la zone technique opérationnelle (ZTO) du camp Kosseï de N’Djamena. Elle a mis en œuvre deux équipes mortiers de 120 mm, ainsi qu’un hélicoptère de manœuvre Caracal.

 

L’exercice a débuté par l’arrimage du lot sling (des sangles) sur les pièces, suivi d’un contrôle de leur état qualitatif par le mécanicien navigateur. Une fois l’hélicoptère au sol, l’équipage de pièce embarque puis la machine décolle afin de tendre l’élingue. La pièce mortier, le lot sling et la charge de munitions représentent près d’une tonne à soulever pour le Caracal. A l’atterrissage, le mortier est déposé puis immédiatement mis en batterie afin d’effectuer des tirs dans les plus brefs délais.

 

Durant son mandat, la SAM du GTD Est aura été intégrée durant plus de 75 jours au groupement tactique désert Ouest, qu’elle aura renforcé au cours de plusieurs opérations majeures menées au nord Mali, durant lesquelles elle aura tiré 30 obus. Elle aura ainsi incarné la notion de bascule d’effort d’un fuseau à l’autre, notion qui constitue l’un des principes d’action de l’opération Barkhane.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Op Barkhane : entraînement au « sling » de la section d’appui mortier du GTD Est
Op Barkhane : entraînement au « sling » de la section d’appui mortier du GTD Est
Op Barkhane : entraînement au « sling » de la section d’appui mortier du GTD Est
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 17:45
Sangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de Grimari

 

22/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 20 janvier 2015, la force Sangarisa transféré sa base opérationnelle avancée de Grimari à la MINUSCA.

 

C’est dorénavant le contingent congolais de la MINUSCA qui assure la responsabilité de la base opérationnelle avancée de Grimari. Une cérémonie réalisée en présence du général Bellot des Minières, commandant de la force Sangaris, du colonel Fielany, adjoint au commandant de la zone MINUSCA, et du sous-préfet de Grimari, a officialisé ce transfert et le retrait des soldats français.

 

Grimari se situe à 260 km au nord-ouest de Bangui, sur l’axe reliant la capitale à Bambari, deuxième ville du pays. La normalisation de la situation sécuritaire dans cette ville est donc une étape importante dans celle de l’ensemble du pays.

 

Après 11 mois de présence à Grimari et dans la préfecture de l’Ouaka, la force Sangaris a mis fin aux violents affrontements entre anti-Balaka et ex-Séléka dont la population était régulièrement victime. Elle a permis le rétablissement des conditions sécuritaires nécessaires au retour de l’autorité de l’Etat avec la remise en place de l’administration. Les conditions de sécurité minimales ont progressivement favorisé une reprise des activités économiques et un retour à la vie normale pour les habitants de la ville.

 

Le général Bellot des Minières, dans son adresse, à salué le travail accompli au cours de ces derniers mois par les militaires du GTIA Korrigan, dans la continuité de l’action d’apaisement initiée par les GTIA Scorpion et Magenta, pour faire de Grimari une ville de réconciliation. Le commandant de la force Sangaris a également rendu hommage à l’action du gouvernement de transition qui a toujours soutenu le maire de Grimari, les gendarmes de la ville, puis la réinstallation d’un sous-préfet au mois novembre. Tous ont, par leur investissement, contribué pour une large part à la normalisation de la situation de la ville.

 

Les militaires du contingent congolais de la MINUSCA, installés depuis le mois de décembre aux côtés des soldats de Sangaris vont poursuivre sur la voie de ce succès. Le général Bellot des Minières leur a réitéré le soutien des forces françaises dans leur mission au profit de la population centrafricaine.

 

Par leur action, les militaires de la force Sangaris ont contribué à la mise en place d’un environnement propice qui a conduit au départ de la garnison Séléka au mois de décembre, à la réconciliation entre les habitants de la ville et les Peuls en janvier, et à la renonciation des anti-Balaka aux activités de prédation.

 

Les soldats français, peuvent légitimement avoir le sentiment du devoir accompli à l’heure de cette transmission de flambeau au bataillon congolais de la MINUSCA.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de GrimariSangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de Grimari
Sangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de GrimariSangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de GrimariSangaris : transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de Grimari
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 14:45
Des écoliers en visioconférence avec Barkhane

 

23/01/2015 Ministère de la Défense

 

Jeudi 22 janvier 2015, 49 écoliers de la commune de Saint-Firmin-des-Bois (Loiret) ont visité la base aérienne 123 d’Orléans. Ils ont participé à une visioconférence avec les soldats déployés actuellement sur l’opération Barkhane.

 

Quarante-neuf écoliers de la commune de Saint-Firmin-des-Bois, dans le Loiret, se sont rendus le jeudi 22 janvier sur la base aérienne 123 d’Orléans. Durant cette journée ils ont participé à une visioconférence avec les militaires actuellement déployés en opération extérieure, dans la cadre de l'opération Barkhane. Les enfants ont également profité de leur visite sur la BA 123 pour découvrir l'avion de transport militaire A400Ml et rencontrer les commandos parachutistes.

Cette visite exceptionnelle fait suite à la carte postale géante envoyée par ces élèves aux militaires de Barkhane au moment des fêtes de fin d’année. Karine Desoubrie, correspondante Défense de Saint-Firmin-des-Bois avait en effet pris l'initiative de faire participer les enfants de sa commune à des actions en faveur des militaires déployés en opération extérieure.

 

Des écoliers en visioconférence avec Barkhane

Le rôle du correspondant défense

 

Mise en place depuis 2001, la fonction de correspondant défense permet à un élu local (désigné par le conseil municipal de sa commune) de développer le lien armée-nation en promouvant l’esprit de défense. Ils remplissent une mission de sensibilisation des concitoyens aux questions de défense. Ils sont l les interlocuteurs privilégiés des autorités civiles et militaires du département et de la région. Ils s’expriment sur l’actualité défense, le parcours citoyen,le devoir de mémoire, la reconnaissance et la solidarité. Les correspondants défense agissent donc en tant que relais pour comprendre le parcours citoyen.Ils doivent pouvoir expliquer l’engagement dans l’armée d’active, les périodes d’initiation ou de perfectionnement à la défense, le volontariat et la réserve militaire constituant des activités accessibles à tous les jeunes désireux de prendre part à la défense. Les correspondants défense ont un rôle pédagogique sur le devoir de mémoire, la reconnaissance et la solidarité. La sensibilisation des jeunes générations au devoir de mémoire en constitue l’un des éléments essentiels. En savoir plus

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 13:45
Sénégal : transfert d’autorité du détachement Marfil

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mercredi 14 janvier 2015, s’est tenu la cérémonie de passation de commandement du détachement espagnol engagé dans l’opération espagnole Marfil et stationné au Sénégal, sur l’escale aéronautique militaire (EAM) des éléments français au Sénégal (EFS).

 

L’opération espagnole Marfil a débuté à Dakar au même moment que l’opération Serval. Elle consiste à la mise en place, au sein des EFS, d’un avion de transport Hercules et d’une soixantaine d’aviateurs espagnols principalement dédiés aujourd’hui au soutien de l’opération Barkhane et des EFS dans leur mission de coopération opérationnelle de lutte contre les groupes armés terroristes dans la sous-région. Marfil se traduit « Ivoire » en français.

 

Le lieutenant-colonel Miguel Oliver Valcarcel a transféré son commandement au lieutenant-colonel Alberto Llopis au cours d’une cérémonie présidée par son Excellence Madame Cristine Diaz, ambassadrice d’Espagne au Sénégal et par le général Louis Duhau, commandant les éléments français au Sénégal (COMELEF).

 

Au cours de la cérémonie, le COMELEF a lu la lettre de félicitations adressée à l’ensemble du personnel quittant. Puis, le général Louis Duhau et le lieutenant-colonel Tony Guilloteau, chef de l’EAM, ont procédé à la remise de médailles de la défense nationale, argent et bronze, au lieutenant-colonel Miguel Oliver Valcarcel et à cinq de ses officiers.

 

Durant ces trois derniers mois, le détachement Marfil a effectué 89 missions représentant 228 heures de vol dans la sous-région, notamment sur les terrains du nord Mali.

 

Au-delà d’une très forte implication opérationnelle, le détachement quittant a montré en permanence, au contact des forces françaises, une très forte capacité à travailler en milieu interalliés et une aptitude marquée à résoudre les quelques aléas techniques survenus durant leur séjour, faisant ainsi honneur à l’armée de l’Air espagnole et à l’Espagne.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Sénégal : transfert d’autorité du détachement Marfil
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:45
Côte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCI

 

22/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 21 janvier 2015 l’opération Licorne, lancée le 22 septembre 2002, a pris fin et les militaires français engagés en Côte d’Ivoire ont endossé une nouvelle mission au sein des FFCI, les Forces Françaises en Côte d’Ivoire.

 

Avec la normalisation de la situation sécuritaire en république de Côte d’Ivoire, les objectifs qui justifiaient l’engagement de l’opération Licorne en septembre 2002 ont été atteints. La France, en accord avec les autorités ivoiriennes, a décidé de mettre un terme à cette opération tout en conservant sa présence militaire dans le pays.

 

Durant un peu plus de douze ans, dans un environnement complexe, les militaires français engagés dans l’opération Licorne ont assuré la protection des ressortissants et ont participé, en appui de la communauté internationale, à la résolution de la crise politique et humaine qui déchirait la République de Côte d’Ivoire.

 

Le dispositif des forces françaises déployées en Côte d’Ivoire s’est adapté à la situation sécuritaire. Ces évolutions ont toujours pris en compte la sécurité des ressortissants français et étrangers.

 

Au plus fort de la crise, fin 2004, la force Licorne comptait 5 000 militaires. Au cours de ces années, Licorne a effectué 3 évacuations de ressortissants permettant de mettre plus de 11 000 personnes en sécurité.

 

27 soldats français sont morts au cours de cette opération.

 

Malgré la fin de Licorne, les armées françaises ne quittent pas la Côte d’Ivoire. Des liens très forts unissent en effet nos deux pays, liens qui s’expriment notamment à travers un partenariat de défense signé en 2012. En outre, le positionnement géographique de la Côte d’Ivoire et la qualité des infrastructures portuaires et aéroportuaires d’Abidjan, font de la capitale une plateforme stratégique, opérationnelle et logistique majeure pour le soutien aux engagements militaires de la France en Afrique de l’Ouest.

 

Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 21 janvier, continueront à assurer la protection des ressortissants français et à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Elles seront en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de sécurité. Enfin, ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la sous-région.

 

Télécharger le dossier de presse

Côte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCICôte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCI
Côte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCI
Côte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCICôte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCICôte d’Ivoire : Fin de l’opération Licorne et création des FFCI
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:45
RCA : point de situation du 22 janvier 2015

 

23/01/2015 Sources : État-major des armées

 

En République centrafricaine, la situation reste partagée : si le climat reste tendu dans certaines villes de l’Est, la majorité du pays voit se poursuivre la réinstallation des administrations.

 

A Bangui, la situation était particulièrement calme cette semaine. Des missions de contrôle de zone ont été menées avec la MINUSCA dans la grande périphérie de la capitale. Le 15 janvier, la mairie du 4ème arrondissement a été inaugurée, en présence de l’ambassadeur de France en République centrafricaine et du général commandant la force Sangaris. Une partie des travaux de réhabilitation de ce bâtiment a été effectuée par les militaires français. Deux jours plus tard, une manifestation en faveur de la paix, organisée de longue date, s’est bien déroulée.

 

Dans l’Est du pays, la situation est encourageante dans les villes de Bambari et de Grimari, mais toujours tendue à Bria.

 

Dans cette dernière ville, les tensions se maintiennent en raison des luttes d’intérêt et de pouvoir menées par certains groupes armés qui refusent l’autorité de l’Etat.

 

En dehors de ce point de friction, la semaine a été marquée par la relève officielle des forces françaises par celles de l’ONU le 20 janvier dans la ville de Grimari. Ce jour-là, la force Sangaris a officiellement transféré la responsabilité de la sécurisation de cette zone au contingent de République Démocratique du Congo de la MINUSCA, en présence d’autorités civiles et militaires. Au cours de cette cérémonie, le commandant de la force Sangaris a rendu hommage aux autorités administratives centrafricaines qui ont contribué à la normalisation de la vie dans cette ville. Quelques jours auparavant, le 16 janvier, la sous-préfecture de Grimari avait été inaugurée en présence du Premier ministre du gouvernement de transition, du sous-préfet, de l’ambassadeur français et du général commandant la force Sangaris.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner le déploiement vers sa pleine capacité opérationnelle de la mission de l’ONU.

RCA : point de situation du 22 janvier 2015
RCA : point de situation du 22 janvier 2015RCA : point de situation du 22 janvier 2015
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:45
BSS : point de situation du 22 janvier 2015

 

22/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine a été marquée par la poursuite des mouvements de relève au sein de la force Barkhane, ainsi que la poursuite des opérations dans l’ensemble de la zone d’action

 

Le 18 janvier 2015, le sous-groupement aéromobile (SGAM), stationné à Gao et armé par le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) de Phalsbourg, a été relevé à Gao par le 3èmerégiment d’hélicoptères de combat d’Etain. Le 3 novembre dernier, le SGAM a accueilli deux hélicoptères Caïman, en remplacement de deux Puma. Il est constitué d’une quinzaine d’aéronefs, incluant treize hélicoptères et un Pilatus.

 

Le lendemain, le 3ème régiment du matériel (3ème RMAT) de Muret et le 515ème régiment du train (515ème RT) ont relevé le 516ème régiment du train et la quarantaine d’autres unités représentées dans les fonctions d’appui logistique de la force. Le colonel Vincent Buttolo, chef de corps du 3ème RMAT, succède ainsi au colonel Hervé Desmeulles à la tête du bataillon logistique (BATLOG) de la force Barkhane. Le BATLOG assure le soutien essentiel à la conduite des opérations, à savoir la maintenance des véhicules, les ravitaillements de la force en carburant, nourriture et logistique, le soutien du combattant, ou encore le soutien sanitaire de la force.

 

Sur le plan opérationnel, une reprise d’activités des groupes armés terroriste est observée depuis fin décembre au Mali sous la forme d’actions de harcèlement, cependant sans véritable coordination entre les attaques. Les opérations menées par la force Barkhane se poursuivent dans les deux fuseaux de la bande sahélo-saharienne.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

BSS : point de situation du 22 janvier 2015
BSS : point de situation du 22 janvier 2015
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:45
Côte d’Ivoire: fin de l'opération Licorne

 

21.01.2015 BBC Afrique

 

Aujourd’hui, mercredi 21 janvier, se termine officiellement la mission de la force française Licorne. Après 12 ans d’opération sur le sol ivoirien, elle laisse la place aux forces françaises de Côte d’Ivoire. Cette force n’aura plus vocation à intervenir uniquement en Côte d’Ivoire mais sera une base avancée pour l’Afrique de l’Ouest.

 

La force Licorne a traversé toute les crises ivoiriennes et n’a pas toujours fait l’unanimité auprès des Ivoiriens.

 

Elle a été déployée fin 2002 après le coup d’État manqué contre le régime de Laurent Gbagbo. Sa mission première était d’évacuer les ressortissants français et étrangers, notamment au centre du pays.

 

A l’époque, les forces françaises avaient vivement été critiquées par les deux camps. Ils les accusaient d’avoir enrayé leur progression et de leur avoir volé la victoire en s’interposant entre les combattants.

 

Peu après, la situation s’était stabilisée et le pays avait été coupé en deux par une zone de confiance séparant les belligérants : la rébellion au nord, les forces loyalistes au sud. L’armée française avait alors installé plusieurs bases le long de la zone tampon.

 

L’opération Licorne avait ensuite peu à peu augmenté ses effectifs. En 2004, une attaque par deux sukoi loyalistes contre la base française de Bouake, située en territoire rebelle, avait tué 9 soldats français. En guise de riposte, la France avait détruit tous les avions militaires ivoiriens, ce qui avait déclenché de gigantesques manifestations anti-forces françaises à Abidjan. Après plusieurs jours de fortes tensions, des soldats de Licorne avaient tiré sur les manifestants, faisant officiellement 57 morts.

 

La force Licorne comprenait alors plus de 5 000 hommes. Pendant la crise post-électorale de 2010 et 2011, l’armée française, agissant sous couvert de l’ONU, avait pris le contrôle de l’aéroport. Cela avait conduit Laurent Gbagbo à accuser l’armée française d’être une force d’occupation.

 

Par la suite, l’armée française avait aidé les forces qui soutenaient le président Ouattara à déloger le président Laurent Gbagbo de sa résidence. Ce dernier avait ensuite été arrêté. Cela aura été la dernière action d’éclat de la force Licorne en Côte d’Ivoire.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:45
photos SGC Kevin Congini

photos SGC Kevin Congini

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 18 janvier 2015, le général Philippe Montocchio, commandant les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) a commémoré le 80e anniversaire du sacrifice suprême de l’administrateur Bernard à Morahtou dans la région de Dikhil.

 

C’est sur le mont Morahtou que l’administrateur Albert Julien Bernard et 17 gardes Somalis sont tombés après avoir tenu le siège face à 2 000 fantassins et cavaliers éthiopiens le 18 janvier 1935.. L’administrateur Bernard n’avait que 25 ans lorsqu’il est mort en héros avec les gardes Somalis épuisant jusqu’à leur dernière cartouche face à des adversaires une centaine de fois plus nombreux. Tous ont été ensevelis à la place même où ils sont tombés. 80 ans après, c’est donc en ce lieu symbolisant les valeurs de courage, de cohésion et de sens du sacrifice, ciment de nos armées, que les FFDj se sont joint à l’hommage qui leur étaient rendu.

 

La cérémonie rassemblait de M. Guerquin, premier conseiller de l’Ambassade de France, M. Mohamed Cheiko Hassan, Préfet de la région de Dikhil et M. Abdourahman Yonis Arreh, Président du conseil régional de Dikhil.

 

Les autorités ont gravi le mont Morahtou, endroit précis où l’administrateur Bernard est mort en 1935. Militaires et civils djiboutiens et français se sont recueillis en ce lieu de mémoire et d’histoire commune. M. Guerquin et le général Montocchio ont chacun déposé une gerbe en mémoire de cet illustre ancêtre.

 

Cette cérémonie a également marqué la fin des travaux de rénovation de la nécropole. Pour réhabiliter les lieux, les sapeurs de la section génie travaux de la 6e compagnie du 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5e RIAOM) ont effectués trois types de missions. La première consistait à rouvrir l’ancienne piste qui courre au pied de la falaise éthiopienne. La deuxième mission visait à aménager une plateforme à son sommet afin que l’association pour le développement social et la protection de l’environnement de Gobaad puisse participer à la rénovation du site historique. Enfin, les sapeurs ont créé un parking à la base du « Mont Bernard » sur le site de Morahtou.

 

L’association pour le développement social et la protection de l’environnement de Gobaad, composée de jeunes issus de cette même région, a initié ces travaux de réfections pour contribuer au développement du tourisme régional et concourir ainsi à relancer l’économie locale en mettant en valeur leur histoire et leur jeunesse.

 

La réhabilitation effectuée fait partie des actions-civilo militaires menées par les FFDj au profit des Djiboutiens. Ce soutien s’inscrit dans le cadre du traité de coopération en matière de défense signé en décembre 2011 entre la France et la république de Djibouti.

FFDj : 80e anniversaire du sacrifice suprême de l’administrateur Bernard
FFDj : 80e anniversaire du sacrifice suprême de l’administrateur BernardFFDj : 80e anniversaire du sacrifice suprême de l’administrateur BernardFFDj : 80e anniversaire du sacrifice suprême de l’administrateur Bernard
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:45
Senegal orders offshore patrol vessel

 

21 January 2015 by defenceWeb

 

Senegal has ordered a 58 metre offshore patrol vessel from France’s OCEA, as it prepares to take delivery of a 45 metre vessel from STX.

 

The OPV 190 Mk II vessel will be delivered to Senegal’s navy in late 2016, according to Mer et Marine. Rumours of a possible acquisition surfaced in mid-2014.

 

Senegal’s vessel will be made in three segments at the Ocea site in Fontenay-le-Comte and transferred to Les Sables d’Olonne for final assembly.

 

The OPV 190 is a 58 m (190 foot) long, 9.4 metre wide vessel made from aluminium for less corrosion and lighter weight. Its shallow draft (2.3 metres) allows operation close to the shore. It has a crew of 30 but can take 24 passengers on board. Range is between 4 and 5 000 km at 12 knots, while maximum speed is 30 knots. Endurance is three weeks.

 

OCEA says the vessel can be used for missions such as law enforcement, exclusive economic zone (EEZ) surveillance, immigration control, search and rescue, anti-smuggling, disaster relief, fisheries patrol, anti-piracy etc.

 

For the offshore patrol vessel (OPV) role the ship can be equipped with sensors and weapons such as machineguns and cannons as well as two 7.5 metre speedboats, lowered into the water via davits. Various options are available for different missions, such as a holding cell, water cannons etc.

 

The acquisition of the OCEA OPV comes as Senegal’s new 45 metre vessel Kedougou undergoes sea trials ahead of delivery. The vessel was launched by French shipyard STX Lorient in October last year and was seen undergoing sea trials in December. Senegal ordered the OPV from Raidco Marine, which subcontracted construction to the STX Lorient shipyard.

 

The Kedougou is 45.6 metres long, 8.4 metres wide and crewed by 17, with the option of accommodating four to eight passengers such as special forces personnel. The vessel has a steel hull and aluminium superstructure. It is powered by two Cummins engines developing 1 940 kW. Endurance is ten days with a range of 2 000 nautical miles. It is able to launch two small boats.

 

Senegalese Navy Commander Serigne Fallou Diouf at the launch said the new vessel was part of the country’s plan to renew its naval fleet and allow the maritime arm of service to carry out missions such as fisheries inspection, fighting drug trafficking and piracy.

 

As part of its expansion process, Senegal’s Navy in the third quarter of 2013 took delivery of the Ferlo, a Raidco RPB 33 offshore patrol vessel. The 33 metre long vessel can accommodate a crew of 17 and travel 1 500 miles at 15 knots for an endurance of one week at sea, although top speed is over 40 knots. Armament includes a 20 mm cannon and two 12.7 mm machineguns and a boat can be launched from its stern.

 

Senegal has ordered vessels from OCEA in the past, placing an order for four FPB 98 Mk I patrol boats in October 2012.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 17:45
Dutch Apaches strike Mali rebels

 

21 January 2015 by defenceWeb (Reuters)

 

Dutch AH-64 Apache attack helicopters with the United Nations carried out air strikes on Tuareg rebel forces in northern Mali on Tuesday, the first such engagement by Dutch forces serving in the UN mission in Mali.

 

The U.N. mission, known as MINUSMA, said it was responding to heavy weapons fire directed at its peacekeepers in the town of Tabankort. It said the helicopters only destroyed a rebel vehicle after firing warning shots that were ignored.

 

A spokesman for the MNLA Tuareg separatist rebels, who are involved in peace talks with the Malian government in Algeria, denied warning shots had been fired and said five fighters had been killed and several others wounded.

 

U.N. peacekeepers have deployed across northern Mali to help the weak Bamako government secure desert zones that were occupied by a mix of rebels and al Qaeda-linked Islamists in 2012 until a French military intervention two years ago.

 

The incident highlights how Mali's north is still awash with various armed groups and is likely to complicate the last round of U.N.-backed peace talks due to take place next month between the government and the rebel factions that are involved.

 

The U.N. mission had been for days seeking to end a standoff over Tabankort, a desert town that the MNLA had surrounded and where there are rival pro-government militia fighters, as well as a contingent of U.N. peacekeepers protecting civilians.

 

"These actions were taken in line with our mandate which authorizes MINUSMA to use force to protect civilians, its personnel and its positions from attack or imminent danger," the mission said in a statement.

 

The U.N. mission did not give a toll and it said clashes were still taking place on Tuesday evening.

 

Some 450 Special Forces troops, intelligence operatives and four Apache helicopter gunships from the Netherlands have been deployed in northern Mali as part of a force of up to 12,000 men.

 

U.N. troops mostly help Mali's army occupy key towns while French soldiers hunt down resurgent Islamist militants. However, the Dutch contingent is tasked with intelligence gathering and has the force's only attack helicopters.

 

MNLA spokesman Moussa Ag Acharatoumane said cooperation with U.N. peacekeepers would be suspended as a result of the clash.

 

"There was no negotiation. There was no warning," he told Reuters. "That was an error, and bombing our positions was also a very serious political error."

 

A resident in the town of Kidal, an MNLA stronghold, said the bodies of five rebels had arrived and were being buried on Tuesday evening.

 

The Dutch contingent in Mali is mainly involved in conducting reconnaissance and gathering intelligence, serving, as it were, as the 'eyes and ears' of the mission. The Dutch contribution chiefly consists of, Special Operations Forces; intelligence personnel; Apache attack helicopters; Chinook transport helicopters (from October 2014); and police trainers. The first two Apaches arrived in Mali in May last year.

 

Troops from the Dutch Commando Corps and the Marine Corps, working in three teams, make up the operational core in the field. They have various types of vehicles at their disposal, including lightly armoured Bushmasters; Mercedes Benz tactical wheeled vehicles; Fennek tactical wheeled reconnaissance vehicles; and quad bikes.

 

The main task of the three Chinook helicopters is medical evacuation. The Dutch Chinooks have been fully deployed since October 2014. Until the arrival of the Chinooks, Dutch units only operated at distance from their base in Gao on condition that the French Operation Serval was able to guarantee medical evacuation.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 16:45
Côte d’Ivoire : fin de l’opération Licorne, place aux Forces françaises

 

21 janvier 2015  par Frédéric Schneider - afrik.com

 

La mission française baptisée Licorne, installée en Côte d’Ivoire, depuis le début de la guerre civile en 2002, prend fin ce mercredi 21 janvier 2015, au cours d’une cérémonie militaire. Elle va être remplacée par les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI).

Après 12 ans de mission, l’opération française Licorne prend fin, ce mercredi, au cours d’une cérémonie militaire. Elle va être remplacée par les Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), selon un communiqué de l’armée française, dont le terrain d’action est étendu à toute l’Afrique de l’Ouest.

 

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