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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 13:45
Barkhane : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile à Gao

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 18 janvier 2015, à Gao, a eu lieu le transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile (SGAM) de la plateforme opérationnelle désert (PfOD) entre le lieutenant-colonel Christophe Vincent (descendant) et le lieutenant-colonel François Gérard (montant).

 

Le SGAM est une unité de manœuvre à part entière armée par 150 militaires et intégrée au groupement tactique. Il remplit des missions d’appui feu, d’appui au mouvement, de destruction, de reconnaissance, de protection, d’escorte et d’appui au commandement. Le SGAM « HOMBORI » dispose pour remplir les missions qui lui sont données d’appareils tels que des hélicoptères Gazelle, Puma, Tigre, Cougar ou encore d’un avion Pilatus.

 

 Le mandat HOMBORI VIII qui vient de s’achever a aussi été marqué par la première projection de l’hélicoptère Caïman qui a rejoint les autres matériels de Barkhane au mois de novembre. Entre octobre et janvier, le SGAM a effectué près de 1 078 heures de vol dont 1 022 heures de mission de combat, en appui direct des troupes au sol (appui feu et appui renseignement).

 

 L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile à GaoBarkhane : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile à Gao
Barkhane : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile à Gao
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 13:45
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 11 au 13 janvier 2015, les Eléments Français au Gabon (EFG) ont conduit un exercice amphibie avec leurs homologues gabonais et la batellerie du BPC Tonnerre, engagé au large du Gabon dans le cadre de la mission Corymbe. Cet exercice était baptisé Tonnerre 2015.

 

Dimanche 11 et lundi 12, le personnel du 6eBIMa ainsi que près de soixante-dix militaires des EFG ont eu l’occasion de s’entrainer, de jour et de nuit, aux techniques amphibies – embarquements et débarquements de véhicules à bord de deux CTM (chaland de transport de matériel) et d’un EDAR (engin de débarquement amphibie rapide). Après une nuit passée à bord du BPC et un débarquement matinal sur la petite plage du site « BARRACUDA » à Owendo, l’exercice s’est poursuivi à Ayemé, sur un scénario de situation sécuritaire dégradée. Cette séquence a donné lieu à un ensemble de manœuvres tactiques, comme la récupération ou le regroupement et l’évacuation d’observateurs militaires, le tout émaillé par de nombreux incidents fictifs.

 

 Ainsi, « TONNERRE 2015 », avait pour objectifs d’entraîner les centres de commandement opérationnels des EFG, du 6eBIMa et du groupement de soutien des EFG dans un contexte d’engagement bilatéral. Il avait également pour but de maintenir les savoir-faire liés aux opérations amphibies, de tester les procédures et les systèmes d’information et de communication (SIC). Le personnel du détachement Fennec de Libreville (EA 470) a également largement contribué à cette opération en effectuant de très nombreuses missions : transport de personnel, livraison de fret (dont le courrier destiné aux marins du BPC !).

 

 La journée du 13 janvier fut consacrée à des visites à bord, notamment au profit des autorités gabonaises afin de présenter le concept de l’AEM (Action de l’Etat en Mer).

 

 Les éléments français au Gabon (FFG) constituent le deuxième pôle opérationnel de coopération sur la façade ouest-africaine avec celui constitué par les éléments français au Sénégal (EFS). A ce titre, ils mettent en œuvre la coopération opérationnelle avec nos partenaires de la communauté des Etats d’Afrique centrale et du Rwanda Ils restent également un point d’appui opérationnel et logistique pour nos forces déployés dans la région.

EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC TonnerreEFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC TonnerreEFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
South African Air Force Day parade

 

13 January 2015 by Kim Helfrich - defenceWeb

 

Friday, January 30, is Air Force Day and the South African Air Force (SAAF) will use AFB Waterkloof in Centurion to mark the start of its 95 years of existence, making it one of the world’s oldest independent air forces.

The annual Air Force Day parade is held on the Friday closest to February 1, acknowledged as the day when what is now the SAAF came into being in 1920. That was the date when Colonel Pierre van Ryneveld was appointed Director: Air Services with instructions to establish an air force for the then Union of South Africa.

The following year saw a site at Zwartkop (just east of what is now Thaba Tshwane and was then Roberts Heights before becoming Voortrekkerhoogte) selected as the fledgling force’s first aerodrome. AFB Zwartkop is today still a working base and is home to 17 Squadron and the SAAF Museum.

Brigadier General Marthie Visser said the final programme for SAAF 95 was still being worked on as far as format and the sequence of events was concerned. She was, however, hopeful a special SAAF 95 logo would be unveiled during the Air Force Day parade.

The closing date for 95th anniversary logo submissions is January 21 which leaves the judging panel only seven working days to decide on a winner.


No details of the January 30 parade have yet been made public but it is customary for the airborne arm of the SA National Defence Force (SANDF) to use the event to showcase as many of the aircraft it has in service as possible. In past years Gripen and Hawk jets have been the highlight of the flypast with Oryx, Agusta and Rooivalk helicopters taking part as well as transport aircraft ranging from the C-130BZ down to the Cessna 208 Caravan.

Traditionally the parade provides an opportunity for the Chief of the Air Force, Lieutenant General Zakes Msimang, to give an overview of what the SAAF plans for the year ahead as well as reflecting on the achievements of the previous year.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
A PLA Navy escort task force makes a stop in Walvis Bay on June 11. 2014

A PLA Navy escort task force makes a stop in Walvis Bay on June 11. 2014

 

Windhoek, 20 jan 2015 Marine et Océans (AFP)

 

La Namibie et la Chine discutent de l'installation d'une base navale chinoise dans ce pays d'Afrique australe, a rapporté mardi le quotidien The Namibian, provoquant des démentis immédiats de Pékin et Windhoek.

 

Le journal cite une lettre confidentielle de l'ambassadeur de Namibie à Pékin envoyée à son ministère, indiquant qu'une délégation chinoise se rendrait prochainement à Windhoek pour des discussions "sur la suite à donner au projet d'une base navale à Walvis Bay" (ouest), le principal port namibien.

 

Dans sa lettre adressée le 22 décembre à la secrétaire permanente du ministère namibien des Affaires étrangères Selma Ashipala-Musavyi, l'ambassadeur Ringo Abed fait état d'une réunion avec Geng Yansheng, un responsable du ministère chinois de la Défense.

 

L'ambassadeur y ajoute que la délégation chinoise doit comprendre du personnel technique et des architectes chargés d'une étude de faisabilité, selon The Namibian.

 

Le ministère chinois de la Défense a assuré à l'AFP que "l'échange entre les responsables de la Défense chinois et des fonctionnaires de l'ambassade de Namibie tels que rapporté par The Namibian est une pure fabrication".

 

"Je ne sais rien à propos de la base navale, je vais devoir suivre cela et mener une enquête pour en savoir plus", a renchéri la ministre namibienne des Affaires étrangères Netumbo Nandi-Ndaitwah.

 

Selon la lettre de l'ambassadeur, une présence navale chinoise dissuaderait les pêcheurs illégaux dans les eaux namibiennes, note The Namibian.

 

"D'autres considérations pour la base navale seraient qu'elle puisse servir à former la marine namibienne, non seulement pour être prête au combat mais aussi pour des tâches civiles", ajoute-t-elle.

 

C'est la deuxième fois en deux mois que la Chine, qui est de plus en plus présente en Namibie, dément vouloir installer une base navale à Walvis Bay.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Ukraine delivered T-72AV tanks and BTR-4E APCs to Nigeria

BTR-4 Infantry Fighting Vehicule source Beegeagle's Blog

 

January 4, 2015 Denys Kolesnyk - info-news.eu
 

Ukraine Industrial, referring to Nigerian source “Beegeagle’s Blog”, published information about the delivery of Soviet-made T-72AB tanks and modern Ukrainian BTR-4E APCs.

Previously there was no information about contracts on delivery of such armaments to Nigeria. However, the information about the repair works of T-72AV at State Enterprise “Lviv Armor Repair Plant” appeared in September 2014. Concerning the BTR-4E, it seems that small part of 42 BTR-4E APCs batch designed for Iraq, was sold to Nigeria, after Iraq refused to accept them.

On March 26, 2014, Ukraine’s ex-PM Yulia Tymoshenko asked the Security Service of Ukraine to investigate the sale of military equipment to foreign states during the time of Russian military aggression against Ukraine. She also noted, that she had the information about the preparation of delivery of T-72 tanks and BTR-4E APCs to Nigeria.

Valeriy Heletey, then-Defense Minister of Ukraine, refuted some part of Tymoshenko’s statements, while confirmed the existence of a sales contract between Ukraine and Nigeria. “The contract was signed during the presidency of Viktor Yanukovych, and in case of inability to fulfill this contract, Ukraine will be obliged to pay the penalties.” – said Mr. Heletey.

According to unofficial information, in 2014, the Democratic Republic of Congo received a batch of modernized T-64B1M tanks in the framework of sales contract for 50 such tanks. However, 12 T-64B1M from that batch were delivered to the National Guard of Ukraine.

Source: Ukraine Industrial | Beegeagle’s Blog

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Le Niger en alerte face à Boko Haram

Les soldats nigériens face à des combattants armés de Boko Haram. Au loin, un drapeau des jihadistes. Photo Nicolas Champeaux RFI

 

21-01-2015 Par Nicolas Champeaux, envoyé spécial à Bosso et Diffa dans le sud-est du Niger – RFI

 

Au Nigeria, les insurgés islamistes menacent la frontière sud du pays. La rivière Komadougou Yobé, la démarcation naturelle, offre de nombreux points de passage vers le Niger. C’est le cas à Mamouri, près de Bosso, à deux heures de pistes de Diffa sur la rive Est du lac Tchad. Reportage avec une patrouille des forces armées nigériennes sur ce site sensible, où sont postés des guetteurs armés de Boko Haram.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Cameroon to receive Russian weapons

 

20 January 2015 by defenceWeb


Cameroon will this year receive artillery, missiles, armoured trucks and other weapons from Russia, according to the country’s government.

Russia’s ambassador Nikolay Ratsiborinskiy met with President Paul Biya on January 16 and discussed a number of issues. In a statement released after the meeting, the president’s office said that, “By the end of the year, the Cameroonian army will be equipped with the most sophisticated military equipment from Russia. This will among other latest generation of weapons, heavy artillery, including missiles, air protection, anti-aircraft missile system, and cannon. Armoured trucks of Russian production will also be delivered to Cameroon to transport troops. To ensure proper use of this equipment, Russia is ready to welcome the young Cameroonians for the training of civilian and military specialists.”

Cameroon has increased its defence budget as it attempts to deal with Boko Haram militants carrying out raids in its territory. According to figures obtained by IHS Janes from a Cameroonian defence official, the Ministry of Defence's budget will grow from CFA198.5 billion ($355 million) in 2014 to CFA212 billion ($376 million) in 2015. After taking into account inflation of 2.7%, this works out as an increase of $16 million in real terms.

At the end of last year, Cameroon became the first country outside of Nigeria to launch coordinated air strikes against Boko Haram. According to Reuters, about a thousand Jihadists had entered the country, “attacking five villages and temporarily seizing a Cameroonian military base”.

“Fighter planes went into action for the first time since the start of the conflict,” Cameroonian Communications Minister Issa Tchiroma Bakary told Al Jazeera. “Militants were driven out after two strikes and heavy fire”, he added. Later on President Biya reportedly deployed more than 1 000 troops to the Nigerian border to fortify against follow-up attacks. Meanwhile, neighbouring Chad has agreed to send troops to Cameroon to combat Boko Haram.


If Cameroon does indeed receive weapons from Russia, it will be a shift away from China, which is supplying a significant amount of hardware to the West African nation, such as two P-108 patrol vessels being built by Poly Technologies. In May last year Cameroon unveiled a variety of new Chinese hardware, including Type 07P infantry fighting vehicles and PTL-02-type tank destroyers.

Apparently Germany has provided over a 100 military vehicles to Cameroon to help it fight Boko Haram militants. Cameroon’s forces are gradually being re-equipped – for example in August 2013 Cameroon ordered Mi-17 helicopters from Russia and in July that year received a CN235-300 medium transport from Airbus. A French OPV-54 patrol craft was delivered in 2012 while two Aresa-320 patrol boats from Spain were delivered last year.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Barkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistique

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 janvier 2015, le colonel Hervé Desmeulles, chef de corps du 3e régiment du matériel (3e RMAT) a succédé au colonel Vincent Buttolo à la tête du bataillon logistique (BATLOG) du fuseau ouest de l’opération Barkhane.

 

La cérémonie de transfert d’autorité a eu lieu sur la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao entre le BATLOG Alsace-Lorraine (descendant) et le BATLOG Maréchal Niel (montant).

 

 Composé de 270 soldats provenant de 27 unités différentes, le BATLOG stationné sur la PfOD de Gao assure le soutien de l’opération Barkhane, au profit du groupement tactique désert ouest (GTD-Ouest). Extrêmement variées, ses missions vont de la maintenance des véhicules aux convois logistiques, en passant par le ravitaillement en carburant, le soutien du combattant, le dépôt munitions, ou encore la santé.

 

 Entre octobre 2014 et janvier 2015, le BATLOG Alsace-Lorraine a effectué 24 convois et parcouru 992 500 kilomètres. Il a transporté 2 350 tonnes de fret et 990 m3 de carburant. C’est aussi plus de 40 000 rations livrées, plus de 620 m3 d’eau en bouteille et 5 500 m3 d’eau sanitaire.

 

 L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistiqueBarkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistique
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 07:45
Damen successfully builds two FCS 5009 patrol vessels in South Africa

 

16 January 2015 naval-technology.com

 

Damen Shipyards Cape Town (DSCT) has successfully completed construction on two FCS 5009 patrol vessels in South Africa.

Another Damen vessel of the same class is currently operational with the Cape Verdean Coast Guard.

Damen Africa sales manager Friso Visser said: "The versatile FCS 5009 patrol boats have consistently shown themselves to be an ideal solution for patrolling an exclusive economic zone (EEZ).

"They have low operational costs, are very fuel efficient, have a competitive purchase price and, crucially, are easy to maintain.

"Overall, they provide a reasonable total cost of ownership, making them attractive to countries that have a requirement to patrol an EEZ."

The two new vessels are designed to be equipped with Sea Rogue weaponry, which includes a system with a 20mm cannon forward of the wheelhouse and two 12.7mm Browning guns.

Capable of being operated by a hand controller, the Sea Rogue boasts an accurate target-tracking feature and can be installed in collaboration with manufacturer Reutech.

DSCT chairman Sam Montsi said: "The FCS 5009 is deliverable in two formats. It can be either a fast crew supply ship or a security patrol vessel.

"They are also the first in their class to be outfitted with MTU engines that offer a lighter weight-to-power ratio for increased speed."

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 07:45
photo Defensie.nl

photo Defensie.nl

 

21-01-2015 Par RFI

 

Les forces de l'ONU au Mali ont détruit mardi 20 janvier un véhicule des rebelles lors d'une frappe aérienne dans le nord du pays. La coordination des mouvements de l'Azawad (CMA) assure avoir été visée par un hélicoptère de la Minusma. Sept personnes ont été tuées.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:50
Les Européens comptent travailler avec les pays arabes pour contrer le terrorisme

 

20.01.2014 par 45eNord.ca (AFP)

 

Les Européens ont appelé lundi à plus de coopération avec les pays arabes dans la lutte contre le terrorisme, alors que l’Europe était en état d’alerte après les attentats de Paris et le monde musulman en ébullition contre les caricatures de Mahomet.

 

« Nous préparons des projets spécifiques à lancer dans les prochaines semaines avec des pays précis pour accroître le niveau de coopération en matière de contreterrorisme », a déclaré la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini en citant « la Turquie, l’Égypte, le Yémen, l’Algérie, les pays du Golfe ».

L’UE a aussi décidé une meilleure coordination en matière d’échange d’informations et de renseignement, à la fois à l’intérieur de l’UE mais aussi avec d’autres pays. Mme Mogherini a à cet égard mentionné la Turquie, l’Égypte, des pays du Golfe, l’Afrique du Nord, mais aussi l’Afrique et l’Asie.

Elle a indiqué qu’elle ferait deux actions concrètes immédiates : la mise en place d’attachés de sécurité dans toutes les délégations de l’UE dans les pays pertinents afin d’entretenir des contacts réguliers entre professionnels de la sécurité et du contreterrorisme, et l’amélioration de la communication avec les populations arabophones, au sein de l’UE et avec la communauté arabe dans le monde.

Mme Mogherini a évoqué une prochaine conférence internationale à Bruxelles sur les moyens d’assécher le financement des réseaux terroristes.

Sur le plan intérieur européen, les 28 ont appelé le Parlement européen à relancer le travail sur le PNR, le projet de registre européen des passagers dans le transport aérien, que les élus européens bloquent depuis 2011, réclamant des garanties sur la protection des données personnelles.

« Il faut qu’on renforce notre façon de coopérer (…) avec les pays arabes », avait affirmé la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, avant la réunion des 28 ministres des Affaires étrangères de l’UE à laquelle était convié le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi.

« Les attaques terroristes ciblent surtout les musulmans dans le monde, il nous faut donc une alliance, un dialogue pour faire face ensemble », avait-t-elle expliqué. « On va discuter aujourd’hui des relations d’échange plus denses aussi avec les États musulmans dans le monde », avait rnchéri pour sa part le ministre allemand, Frank-Walter Steinmeier.

 

Le monde musulman en ébullition

Mais la pression est forte dans de nombreux pays musulmans. Des centaines de milliers de personnes ont manifesté lundi à Grozny, capitale de la Tchétchénie, contre la publication d’une nouvelle caricature du prophète Mahomet dans Charlie Hebdo, cible de l’attentat meurtrier du 7 janvier. Des islamistes radicaux ont défilé à Gaza, brûlant le drapeau français et menaçant de s’en prendre aux Français.

De nombreuses manifestations avaient déjà eu lieu ce week-end dans des pays musulmans. Au Niger, de violentes émeutes ont fait dix morts.

La lutte contre le terrorisme n’est pas seulement « une question militaire ou sécuritaire », a estimé à Bruxelles M. al-Arabi, affirmant qu’il fallait la livrer « au niveau intellectuel, culturel, médiatique, religieux ». « C’est cela que nous tentons ».

Certains ministres, comme le luxembourgeois Jean Asselborn, ont reconnu que cette coopération euro-arabe ne devait toutefois « pas » se faire « aux dépens de la démocratie ».

La coopération en matière de renseignement, le renforcement des contrôles aux frontières de l’espace Schengen, la lutte contre le trafic d’armes ou la création d’un registre commun des passagers aériens (PNR) sont devenus une priorité des dirigeants européens après les attentats meurtriers de Paris et la vaste opération anti-jihadistes en fin de semaine dernière en Belgique.

Ces questions seront discutées par les ministres compétents, ceux de l’Intérieur, le 29 janvier à Riga, et surtout par les chefs d’État et de gouvernement le 12 février, lors d’un sommet consacré à la lutte contre le terrorisme et les « combattants étrangers » européens de retour de Syrie ou d’Irak.

 

L’Europe en alerte

Plusieurs chefs de la diplomatie de l’UE participeront aussi jeudi à Londres à une rencontre organisée conjointement par le Royaume-Uni et les Etats-Unis entre pays membres de la coalition contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.

L’Europe est en alerte. En Allemagne, le manifestation hebdomadaire du mouvement anti-islam Pegida a été annulée à Dresde (est) en raison de menaces de mort proférées par l’EI contre l’un des organisateurs. Lundi dernier, 25.000 personnes, un record, avaient défilé dans la capitale de la Saxe.

En France, neuf personnes soupçonnées d’avoir pu apporter un soutien logistique à Amédy Coulibaly, en armes et véhicules notamment, sont en garde à vue jusqu’à mardi soir. Coulibaly avait tué une policière près de Paris puis quatre personnes juives dans une supérette casher dans l’est de Paris le 9 janvier.

Un Algérien de 33 ans arrêté samedi à Athènes et soupçonné d’avoir un lien avec la cellule jihadiste démantelée en Belgique devait être présenté lundi au parquet en vue de son éventuelle extradition, demandée par Bruxelles.

Mais le chef et pourvoyeur de fonds de la cellule belge qui projetait des attentats contre des policiers est toujours en fuite. Il s’agirait d’Abdelhamid Abaaoud, un Belge d’origine marocaine de 27 ans qui a combattu dans les rangs de l’EI en Syrie, selon les médias belges.

Dès samedi, l’armée a commencé à surveiller certains sites sensibles à Bruxelles et à Anvers, notamment des ambassades et lieux juifs. La police britannique a conseillé à ses agents d’être prudents et a « pris des mesures autour des bâtiments ».

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:45
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 janvier 2015, monsieur Jean Marc Todeschini, secrétaire d’Etat aux anciens combattants et à la mémoire (SEDACM), a inauguré le centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry mis en œuvre par le Service de santé des armées dans le cadre de l’action des armées françaises dans  la lutte contre Ebola.

 

M. Todeschini a été accueilli par le commandant du détachement français et celui de la base de l’armée l’air guinéenne qui abrite le CTS. Pour visiter le centre, le secrétaire d’Etat et le ministre guinéen de la santé ont suivi le circuit du patient : zone d’accueil et de transit, zone d’hospitalisation composée de 10 chambres individuelles à usage unique avec ses différents sas d’habillage et de déshabillage, puis zone médicale de transit, avant de se rendre dans le laboratoire puis la pharmacie. « Les soignants sont en première ligne dans la lutte contre Ebola, il faut leur garantir l'accès aux soins » a-t-il déclaré, avant de saluer «le travail acharné, efficace et solidaire réalisé par les 120 personnes déployées dans ce centre ».

 

Le CTS propose une offre de soins spécifique aux soignants guinéens et de toute nationalité qui œuvrent en première ligne dans la lutte contre Ebola. Il leur assure une prise en charge médicale basée sur le damage control infectiologie, c’est-à-dire le traitement symptomatique de chaque trouble pour palier à la défaillance d’organes. Le patient sera pris en charge par les soignants du service de santé des armées, la plupart issus des hôpitaux militaires, en chambre individuelle à usage unique spécialement conçues. Ainsi, l’intimité du patient et la relation soignant-patient pourront être assurées. Les familles seront également accueillies pour les visites dans un espace communautaire.

 

Cette structure de soins unique et entièrement autonome a été construite en un mois par un détachement interarmées de militaires français.

 

Depuis cet été, les armées prennent pleinement part à l’action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à participer à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et à participer aux différentes structures du plan interministériel Ebola. Dorénavant, les armées assurent le fonctionnement d’un centre de traitement des soignants (CTS) destiné à prendre en charge les soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:45
Djihadistes. La carte de la menace

 

20 Janvier par Bruno Ripoche – Ouest France

 

Treize ans après les attentats du 11 septembre, Oussama Ben Laden est mort et al-Qaida affaibli. Mais personne ne peut crier victoire, car le groupe a fait des émules.

 

Al-Qaida (central)

Création : 1991. Chef : Ayman al-Zawahiri. Implantation : nord-ouest du Pakistan. Force : résiduelle.

Al-Qaida (la Base) est le réseau formé autour d'Oussama Ben Laden par les djihadistes internationaux que le Saoudien avait entraînés pour lutter contre les Soviétiques en Afghanistan (1979-1989). En 1991, après l'invasion du Koweït, Ben Laden offre de protéger les monarchies du Golfe contre Saddam Hussein. L'Arabie Saoudite l'éconduit, lui préférant des troupes américaines. Une présence « impie » pour Ben Laden, qui dès lors porte le combat contre l'Occident. Il culminera avec les attentats du 11 septembre 2001. Ben Laden mort, al-Qaida chassée de son sanctuaire afghan, la « base » est affaiblie, mais a essaimé.

 

Al-Qaida péninsule arabique

Création : 2009. Chef : Nasser al-Wuhaiyshi. Implantation : sud du Yémen. Force : un millier d'hommes.

Aqpa est née du regroupement, dans les montagnes du Yémen, de vétérans locaux du djihad en Afghanistan, rejoints par les rescapés de la répression qui suivit la campagne d'attentats de 2004 en Arabie Saoudite. En 2011, ils profitent de la révolte contre le président Saleh, et se taillent un fief dans le sud. Sous l'impulsion de l'Américano-yéménite Anwar al-Awlaki, tué en 2011 par un drone, Aqpa redonne priorité à la guerre contre l'Occident : elle recrute et forme des radicaux aux États-Unis et en Europe, comme les tueurs de Charlie Hebdo.

 

Al-Qaida au Maghreb islamique

Création : 2007. Chef : Abdelmalek Droukdel. Implantation : Algérie, nord du Mali et du Niger, sud de la Libye. Force : 1 500 hommes.

Aqmi est la réincarnation du GSPC, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat algérien, qui a prêté allégeance à al-Qaida, fin 2006, alors qu'il végétait, vivant du trafic de drogue sur la frontière malienne et d'enlèvements au Sahel. En 2012, une alliance des islamistes et des Touaregs s'empare de la moitié nord du Mali, avant d'être refoulée par l'armée française. Affaiblie, mais bénéficiant d'une base arrière en Libye, livrée au chaos depuis la chute de Kadhafi, Aqmi reste une menace, y compris pour la France.

 

Daesh

Création : 2013. Chef : Abu Bakr al-Baghdadi. Implantation : ouest de l'Irak, nord-est de la Syrie. Force : plus de 10 000 hommes.

L'État islamique (EI ou Daesh en arabe) émane de la « filiale » irakienne d'al-Qaida, rébellion sunnite contre l'occupation américaine en Irak, dirigée par l'islamiste jordanien Abou Moussab al Zarkaoui, tué en 2007. Son actuel chef, Abou Bakr al-Baghdadi, a tiré profit du chaos en Syrie pour y prendre pied. En avril 2013, ses partisans évinçaient les modérés de Raqqa, première ville syrienne conquise par l'opposition à Bachar al-Assad. Un an plus tard, renforcés par un afflux de djihadistes internationaux, ils reviennent en force en Irak, s'emparent de Mossoul et Bagdadhi se proclame caliphe d'un État islamique à cheval sur les deux pays, et prétend diriger le monde musulman.

 

Talibans

Création : 1994. Chef : mollah Omar. Implantation : sud de l'Afghanistan, est du Pakistan. Force : plusieurs milliers d'hommes.

Chassés de Kaboul par l'intervention occidentale qui suivit les attentats du 11 septembre, les talibans n'ont jamais disparu. Repliés dans le sud et l'est pachtoune du pays, ils ont attendu leur heure - le retrait de l'Otan en décembre 2014 - et l'on verra, à la fonte des neiges, s'ils repartent à l'assaut de Kaboul. Rien n'indique qu'ils prendraient le risque d'héberger, de nouveau, des djihadistes internationaux. De l'autre côté de la frontière, le Mouvement des talibans pakistanais, né en 2007 dans les zones tribales, protège ce qu'il reste d'al-Qaida, et mène une sanglante campagne contre le pouvoir d'Islamabad.

 

Boko Haram

Création : 2002. Chef : Abubakar Shekau. Implantation : nord du Nigeria. Force : plusieurs milliers de combattants.

Après la fin du régime militaire, en 1999, le prédicateur Mohamed Yusuf, un émule nigérian des talibans afghans, part en croisade contre l'influence occidentale - Boko Haram signifie, littéralement, « l'éducation occidentale est un péché ». Il est capturé en 2009 et sommairement exécuté. Ses successeurs déclarent une guerre totale à l'État, en vue d'instaurer l'ordre islamique dans le nord musulman. Les attentats sanglants se multiplient, contre les églises, les écoles, l'armée. Cette violence a fait plus de 5 000 victimes en 2014.

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:45
Gender transformation a challenge for Armour Formation Reserves

 

20 January 2015 by defenceWeb

 

There are some who may ask why transformation is still an agenda item in the SA National Defence Force (SANDF) after 21 years and one answer is to be found in the Armour Formation where ergonomics ensures one size doesn’t fit all.

 

“It’s not easy to meet the female representative targets prescribed by gender policy,” said Lieutenant Colonel Philip Coetzer, SO1 Reserves of the Army Armour Formation.

 

“Accommodation of personal safety and convenience for different gender is a challenge. One-piece versus two-piece fire resistant overalls is an example but however creative one would like to be, the safety and survival of personnel is a non-negotiable.

 

“Physical power of the upper part of the body for handling and carrying equipment and ammunition makes it difficult for smaller or female soldiers, who would rather prefer another military division to the hard and rough armour milieu. This has implications for gender transformation in general,” he pointed out.

 

Taking the analogy of sport, Coetzer asked whether his formation would rather see “rugby forward types” go to other formations.

 

“Not necessarily, but at the same time it must be understood that tall female netball players will experience combat vehicles being just as uncomfortable and challenging.”

 

He sees the pool of suitable candidates for the Armour Formation (Reserve Force) shrinking and maintains it will impact on continued transformation in the Formation.

 

“The utilisation of women as armoured soldiers in the Reserve Force has to be put into perspective. Almost 40% of the current available number of combat vehicles can presently be fully manned only with women from Armour Reserves. In other words the utilisation of women as drivers, gunners, crew and troop commanders for tanks and Rooikat combat teams is a necessity.”

 

Overall Coetzer maintains the Reserve component of the Armour Formation, which has been actively working on transformation for the last 10 years, has made progress especially in the management process.

 

He is adamant one of the major hurdles still to be faced is an improved feed of newcomers to the ranks of the Formation.

 

“It is virtually impossible to implement racial and/or gender transformation without an improved feeder source of new recruits.”

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:45
Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le vendredi 16 janvier, des représentants des autorités centrafricaines, les représentants administratifs de la ville de Grimari et de ses quartiers, ainsi que les représentants de la société civile étaient présents à l’inauguration de la sous-préfecture de Grimari.

 

Cette ville, située à plusieurs centaines de kilomètres à l’ouest de Bangui, ne bénéficiait plus des conditions optimales de travail pour ce service de l’Etat. En appui de la MINUSCA, la force Sangaris (GTIA Korrigan), a participé à la sécurisation de l’évènement aux côtés de la gendarmerie centrafricaine.

Depuis plusieurs mois, l’intervention de Sangaris en appui de la MINUSCA, a permis à la ville de reprendre une activité normale. Les quartiers reprennent vie, le marché central se remplit et les commerces réapparaissent. Le retour progressif des autorités  a permis aux services administratifs de proximité, aux mairies, à la gendarmerie et aux écoles primaires une réhabilitation de l’administration dans un climat plus apaisé.

Cet évènement en province est un signal fort pour la Centrafrique : la réelle prise en compte de l’importance des conditions d’exercice d’un fonctionnaire et l’amélioration des conditions d’accueil de la population dans ce bâtiment étatique qu’est la sous-préfecture de Grimari.

Le climat apaisé de la ville de Grimari illustre les résultats obtenus par les efforts conjugués de l’Etat centrafricain et de son administration, des forces internationales dont Sangaris, et de la population.

La veille, la force Sangaris participait aussi à l’inauguration de la mairie du 4e arrondissement de Bangui. Ce chantier est le deuxième projet de rénovation de bâtiment administratif ayant abouti après celui de la mairie du 8ème arrondissement.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de GrimariSangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari
Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de GrimariSangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:45
Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Sangaris dispose de 16 véhicules blindés de haute capacité, particulièrement adaptés à la mission de stabilisation et d’appui de la MINUSCA. Le VBCI rassemble en un seul véhicule toutes les caractéristiques pour agir en Centrafrique : mobilité, rapidité, protection, observation et appui feu.

 

Aux cotés des drones de reconnaissance au contact (DRAC) et de l’hélicoptère Tigre, dans la version HAD arrivés progressivement sur le théâtre, le véhicule blindé de combat d’infanterie permet de densifier les appuis de la force. Cet engagement matériel va de pair avec l’évolution de la mission de Sangaris qui est devenue, peu à peu, « force de réaction rapide » de la MINUSCA.

 

Le VBCI, depuis sa mise en place début août 2014 sur le théâtre centrafricain, n’a cessé de conforter ses équipages sur sa puissance, à la fois force de dissuasion et d’appui au commandement. « Le déploiement des VBCI dans la zone a accompagné le retour au calme, et l’apaisement déjà entamé des tensions intercommunautaires», témoigne le capitaine Christophe, commandant le sous groupement du GTIA Korrigan, armé de VBCI dans la ville de Dékoa (190 km au nord de Bangui).

 

Ce véhicule de dernière génération est en mesure de faire face, grâce à son blindage, à différents types de menaces, allant du simple jet de pierres aux grenades offensives. Son gabarit imposant et sa puissance de feu lui valent l’appellation de « taureau de feu » par la population centrafricaine.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris
Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 11:45
Ebola : immersion au centre de traitement des soignants

 

19/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 14 janvier 2015, le personnel soignant du Service de santé des armées a rejoint le CTS de Conakry. Depuis ce jour, ils prennent leurs marques dans ce nouvel outil de travail construit sur la base aérienne principale.

 

Au programme de cette phase d’immersion : « les procédures d’habillage et de déshabillage à apprendre par cœur, savoir se repérer et se déplacer avec la tenue de protection », explique le médecin chef des services Granier, chef du centre. Les cours pratiques s’enchainent en petits groupes dans les différents SAS.  Car les médecins, infirmiers, hygiénistes, la plupart issus des HIA, doivent rapidement s’adapter à ce nouvel environnement avant la mise en service du centre prévue le 23 janvier.  Un challenge que tous les soignants s’appliquent à relever : « j’ai hâte d’accueillir le premier patient, de mettre en œuvre ce que j’apprends et répète depuis ces dernières semaines et surtout, d’humaniser la maladie » explique une infirmière qui sera en zone hospitalisation. Cette phase d’immersion complète la formation dispensée avant le départ : théorique par e-learning à l‘Ecole du Val-de-Grâce puis pratique au centre opérationnel santé de La Valbonne.

 

Le 17 janvier, un symposium a rassemblé l’ensemble des acteurs, guinéen et internationaux, de la lutte contre Ebola au CTS. Ils ont visité et particulièrement apprécié le centre qui pourra accueillir leur personnel soignant en cas de suspicion de contamination.

 

Le centre a été construit en un mois par un détachement de l’armée de Terre : 3 zones distinctes d’une surface totale de 1500m2 et 10 lits d’hospitalisation dont un de soins intensifs. Il est réservé aux soignants qui sont en première ligne dans la lutte contre Ebola.

 

Depuis cet été, les armées prennent pleinement part à l’action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à participer à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et à participer aux différentes structures du plan interministériel Ebola. Depuis le mois de novembre, les armées préparent en complément la construction d’un centre de traitement des soignants (CTS), qui permettra de soigner les soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

Ebola : immersion au centre de traitement des soignants
Ebola : immersion au centre de traitement des soignantsEbola : immersion au centre de traitement des soignants
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 11:45
RCA: le GTIA Korrigan poursuit sa mission dans l'est "instable"


19.01.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Et le GTIA Korrigan? Finalement, on en parle peu. La situation se serait donc pacifiée dans l'est de la RCA? Mais le dernier point de situation de l'EMA précise que " la situation à Dékoa et Bambari demeure instable. A Bria, l’Etat peine à assoir son autorité face au Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) qui cherche à s’implanter au nord de la ville. La situation y est rythmée par des vagues de tension."

Les marsouins du 3e RIMa et leurs camarades qui constituent Korrigan ont donc du travail, dans des conditions toujours aussi éprouvantes;

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 17:45
EUCAP Sahel Mali gets green light for advising internal security forces in Mali
 

The Council has launched EUCAP Sahel Mali, the EU's Common Security and Defence Policy mission in Mali. The mission's task is to support the Malian internal security forces.

EUCAP Sahel Mali will help the Malian state ensure constitutional and democratic order, put in place the conditions for lasting peace as well as maintain its authority throughout the entire territory. The mission advises and trains the three internal security forces in Mali, i.e. the police, Gendarmerie and Garde Nationale, and coordinates with international partners.

The EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy, Federica Mogherini, said: "The EU is a steadfast partner of Mali. The new mission reinforces the EU's comprehensive support to stability and security throughout Mali. By assisting the Malian internal security forces, EUCAP will help bring a long term solution to Mali's security challenges."

Following the Council Decision to establish the Mission in April 2014, the Core Team has been deployed in Bamako last July and has started its work to support the Malian internal security forces.

The mission is foreseen to last until 15 January 2017. Its headquarters is in the capital Bamako. A budget of €11.4 million has been allocated for the first year.

EUCAP Sahel Mali is embedded in the EU's comprehensive approach to security and development in the Sahel and comes in addition to two existing CSDP actions in the region: EUCAP Sahel Niger supports the fight against organised crime and terrorism in Niger while the EU training mission in Mali contributes to the restructuring and the reorganisation of the Malian Armed Forces though training and advice.

 

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 17:45
EU establishes mission to advise armed forces in the Central African Republic

 

19/01/2015 Press release 17/15 / Foreign affairs & international relations

 

The Council has established the EU Military Advisory Mission in the Central African Republic (EUMAM RCA). It sets out to support the Central African authorities in preparing a reform of the security sector, especially with respect to the management of the CAR armed forces (FACA). The new mission will follow the EU military operation in the CAR (EUFOR RCA), which contributes to security in the capital Bangui until 15 March 2015.

 

EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy, Federica Mogherini, said: "The European Union is fully committed to support CAR's return to stability. This new mission will play a critical role in strengthening the security sector. EUMAM will advise on the reforms necessary to make the CAR armed forces a more multi-ethnic, professional and republican army."

 

EU experts will advise on how to manage the military forces as well as on the preparation of a future systemic reform of the FACA. In addition, they will provide expertise on the conditions for a training programme for the army. Based on a gradual approach, the mission could also conduct limited non-operational training.

 

The mission is set to last 12 months, starting from the moment of reaching Full Operational Capability. EUMAM's headquarters will be located in Bangui. Brigadier General Dominique Laugel from France has been appointed EU Mission Commander for a team of up to 60 staff. The budget for the preparation phase and the first year of the mission is estimated at €7.9 million.

 

A separate Council decision is required to launch EUMAM's activities.

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 17:45
crédits Ouest-France

crédits Ouest-France

 

19 janvier 2015 par Laurent Marchand – Tout un monde

 

La technique est vieille comme le monde. Pour peser politiquement tout en étant moins puissants militairement, les terroristes usent de la peur. Sans limite aucune. On l’a vu dans le conflit syrien où les moudjahidines se filmaient en train d’exécuter leurs horreurs. On l’a vu depuis un an avec la montée en puissance de Daech, qui filme les décapitations d’otages. Boko Haram est même allé plus loin en bardant une fillette de dix ans d’explosif pour un attentat téléguidé, ou en enlevant des dizaines de jeune femmes comme esclaves pour leurs mercenaires.

 

    L’horreur sert doublement ces seigneurs de la guerre. Sur le territoire qu’ils entendent contrôler, elle pétrifie toute opposition. Sur la scène médiatique mondialisée, elle effraye les opinions publiques, conditionne les classes politiques. L’horreur suscite en soi une hypertrophie de la menace réelle. Et il suffit d’un attentat pour l’alimenter.

 

    Cette pratique, toutes les branches du terrorisme islamiste en usent. Aqmi, Aqpa, Daech, Boko Haram. Outre le vernis délirant d’idéologie islamiste qui leur sert d’étendard, la violence est leur principal point commun. Pour le reste, le terrorisme islamiste est avant tout une nébuleuse. Sans structures pérennes.

 

    Tenues par des chefs de guerre souvent auto-proclamés, les organisations qui, du Maghreb au Proche Orient en passant par le Sahel, terrorisent l’Occident usent, en les renversant, de tous les instruments de la modernité.

 

    La société ouverte qui est la nôtre est vulnérable en certains points ? C’est là qu’ils portent le glaive. Internet ? Ils l’utilisent à plein. Pour endoctriner à distance les cibles mentalement fragiles qu’ils ont identifiées. Pour communiquer clandestinement. Pour communiquer à grande échelle leurs faits d’arme. Les armées conventionnelles avaient leur service cinématographique, les jihadistes trucident un smartphone à la main.

 

    La liberté de parole est notre sanctuaire ? C’est là qu’ils pointent les kalachnikovs. Le multiculturalisme notre défi sociétal ? Ils en attisent les contradictions. Le monde globalisé permet d’aller partout très vite ? Leur haine fait le même chemin en retour. Et comme toute guerre s’accompagne d’une guerre culturelle, le grand vecteur du soft power qu’est devenu internet est un espace décisif du nouveau front.

 

    90% des embrigadés basculent sur internet, affirmait récemment le ministre de l’intérieur à l’Assemblée. Les cyberattaques ne disent rien d’autres. Le monde, pour nous, s’est rapproché. Pour le meilleur et pour le pire.

 

    Une base physique, pourtant, est toujours nécessaire. Ben Laden privilégiait le réseau, tout en s’appuyant sur les terres afghanes. Daech, Aqmi, Aqpa et Boko Haram oeuvrent à conquérir des terres, tout en utilisant le réseau. En Irak, au Sahel, au Yémen, au Nord du Nigéria. Il sera difficile de faire cesser « ici » la menace sans éradiquer « là » ce qui constitue leur « base », qui se dit  « Al-Qaïda » en arabe.

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 07:45
Libye: après les milices, l’armée annonce un cessez-le-feu

 

18-01-2015 par RFI

 

En Libye, deux jours après l’annonce d’un cessez-le-feu par la coalition de milices Aube de la Libye, proche du Parlement sortant de Tripoli, l’armée libyenne, qui soutient le Parlement de Tobrouk et l'opération Dignité de Khalifa Haftar, a annoncé à son tour dimanche un cessez-le-feu. Ces déclarations ont lieu tandis que les négociations de Genève entamées la semaine dernière doivent se poursuivre dans les prochains jours.

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 08:45
Centrafrique: première femme à la Défense depuis l'indépendance

 

16/01/2015 lorientlejour.com (AFP)

 

Une femme, Marie Noëlle Koyara, est devenue pour la première fois depuis l’indépendance en 1960 ministre de la Défense en Centrafrique, à la faveur d'un remaniement technique du gouvernement du Premier ministre Mahamat Kamoun. Deux portefeuilles concernant la sécurité changent de propriétaire.

Mme Koyara, qui était ministre de l'Equipement dans le précédent gouvernement, aura un dossier capital à gérer: la réforme des Forces armées centrafricaines étant considérée comme un des points clé pour réussir à remettre sur le bon chemin un pays miné par les affrontements depuis 2013.

Elle a été plusieurs fois ministre sous François Bozizé, Michel Djotodia et Catherine Samba Panza. Elle a aussi été représentante de la FAO au Burkina Faso et en Côte d'Ivoire.

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 07:45
Mali: des groupes armés rivaux s’affrontent dans le nord

 

18 janvier 2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca

 

Des groupes armés rivaux dans le nord du Mali se sont affrontés samedi à Tabankort, dans la région de Gao, où la tension était vive depuis quelques jours, selon des responsables des belligérants et une source onusienne, sans faire état de mort ou blessé.

 

Les affrontements de Tabankort (plus de 190 km au nord de Gao) ont impliqué des combattants de groupes touareg et arabes formant la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) à des hommes du Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia) appuyés d’une branche du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), ont indiqué à l’AFP des dirigeants de la CMA et du MAA proche de Gatia ainsi qu’une source militaire africaine au sein de la Mission de l’ONU au Mali (MINUSMA) basée dans le Nord.

 

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 22:45
archives

archives

 

17 janvier 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Environ 400 véhicules de l’armée tchadienne, qui se déploie pour combattre le groupe islamiste Boko Haram au Cameroun et au Nigeria, ont pénétré samedi après-midi à Kousseri, ville frontalière du nord du Cameroun, acclamés par la foule, a constaté un journaliste de l’AFP.

 

L’impressionnant convoi, salué par le président tchadien Idriss Deby lors du franchissement du pont, surplombant le fleuve Chari, qui relie les deux pays, est composé de 400 véhicules environ, selon une source militaire tchadienne, parmi lesquels des chars, de véhicules blindés ainsi que de nombreux pick-ups transportant des soldats.

Des milliers de Camerounais de Kousseri ont applaudi au passage du convoi, scandant des « bravo », levant le poing ou faisant le V de la victoire pour encourager les soldats. Le convoi doit rallier Maltam, à 80 kilomètres au sud de Kousseri, sur la route de Maroua.

 

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