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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 11:45
Niger : Focus sur le soutien de l’armée de l’air

 

04/07/2014 Sources : EMA

 

Depuis novembre 2012, des militaires des unités de la brigade aérienne d’appui à la manœuvre aérienne (BAAMA) sont déployés à Niamey, au Niger, pour assurer l’appui aux déploiements opérationnels des unités du détachement air (DETAIR).

 

La BAAMA est composée :

du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA) ;

du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) qui a pour mission de réaliser les infrastructures opérationnelles initiales nécessaires au déploiement d’un dispositif aérien sur un théâtre d’opération extérieure ;

du groupement des systèmes d’information et de communication tactiques de l’armée de l’air (GTSICAéro) qui assure la projection des capacités tactiques (matériels informatiques, réseaux, liaisons satellites, etc.) ;

du groupement aérien des installations aéronautiques (GAIA) qui est responsable de la composante logistique indispensable à l’approvisionnement des matériels d’infrastructures spécifiques de milieu.

 

A Niamey, les militaires du 25e RGA et du GAAO se sont notamment illustrés avec la mise en place d’infrastructures verticales (protections, clôtures, montage d’astro-arche et de structure métallo...) et horizontales (taxiway, parking avions de transport tactique (ATT), plot de stationnement pour C-135). (Lien brève travaux Niamey)

 

Les élongations importantes de l’opération Serval sur le territoire malien ont nécessité l’intervention de spécialistes de la BAAMA dans plusieurs villes (Gao, Mopti…) avec successivement une phase de reconnaissance, une phase d’expertise, puis une phase d’engagement des travaux. Dès le début des opérations, elle a été la garante des capacités de déploiement de la force.

Niger : Focus sur le soutien de l’armée de l’air
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 11:45
Mali : désengagement de la compagnie de la force Licorne

 

04/07/2014 Sources : EMA

 

Le 29 juin 2014, la compagnie d’infanterie de la force Licorne, déployée au Mali depuis fin mai dans le cadre des relèves de la force Serval, a été désengagée du théâtre malien.

 

Cette compagnie « renforcée », armée par trois sections du 2e régiment d’infanterie de marine (2eRIMa), a été projetée au Mali afin de faciliter les actions de la force Serval sur la plateforme opérationnelle Désert (PfOD) de Gao.

 

La relève entre les mandats 3 et 4 de la force Serval s’est effectuée conformément à la planification et s’est achevée mi-juin. La compagnie infanterie a donc été retirée.

 

Un peloton blindé de la force Licorne avait été déployé en même temps que cette compagnie au Mali. Celui-ci a été relevé le 24 juin. Il est constitué d’une vingtaine de militaire du RICM.

 

Environ 1 600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Mali : désengagement de la compagnie de la force Licorne
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 11:45
Sangaris : transfert d’autorité du DETLOG

 

04/07/2014 Sources : EMA

 

Le 30 juin 2014, sur le camp de M’Poko, à Bangui, s’est déroulé le transfert d’autorité du détachement logistique (DETLOG). Le lieutenant-colonel Wadin a relevé le lieutenant-colonel Leblanc lors d’une cérémonie présidée par le général Eric Bellot des Minières, commandant la force Sangaris.

 

Composante essentielle pour la conduite des opérations sur l’ensemble du territoire, le DETLOG assure le soutien des hommes et des matériels dans un contexte et un environnement exigeant. Depuis son arrivée en Centrafrique le 4 mars 2014, le DETLOG a parcouru plus de 350 000 km avec sa centaine de véhicules et sur des axes difficilement praticables. Son peloton de circulation routière (PCR), garantissant l’appui au mouvement des convois logistiques, a permis l’acheminement de 620 tonnes de fret dont 75 000 rations de combat et 52 000 packs d’eau au profit des groupements tactiques interarmes (GTIA) déployés à l’est et à l’ouest du territoire.

 

Fort de 300 soldats, le DETLOG arme une plate-forme logistique sur le camp de M’Poko, à Bangui, véritable centre névralgique du théâtre. Il est aussi responsable de la maintenance des véhicules, du soutien du combattant, de la composante « énergie », du traitement de l’eau, des services de restauration et de la fonction « carburant ».

Adoptant une posture opérationnelle permanente avec sa QRF « maintenance » (quick response force) en alerte de jour comme de nuit, le DETLOG a largement œuvré à la mise en place des infrastructures nécessaires à la vie courante des 2 000 soldats en opérations.

 

Le nouveau chef du DETLOG continuera à assurer la cohérence logistique de la force Sangaris tout en fournissant un appui aux forces de la MISCA mais aussi à celles de l’EUFOR RCA que le DETLOG a soutenues lors de son déploiement à Bangui.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5 800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : transfert d’autorité du DETLOG
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:45
Four Tunisian soldiers killed in landmine blast

 

03 July 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Four Tunisian soldiers have been killed in a landmine blast during an operation against Islamist militants in the north of the country, TAP state news agency reported on Wednesday.

 

Tunisian forces are battling militants from the hardline Islamist group Ansar al Sharia and other al Qaeda-linked fighters, especially since April when they began a new offensive on militant hideouts in the Chaambi mountains bordering Algeria.

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:45
Sangaris : point de situation du 3 juillet

 

03/07/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 26 juin au 3 juillet 2014.

 

Les effectifs de la force Sangaris sont de l’ordre de 2 000 soldats. Les forces françaises sont présentes principalement dans trois zones :

-        à Bangui et Boda avec le GTIA Acier,

-        à l’ouest, de Beloko à Bossembele avec le GTIA de Boissieu,

-        et à l’est, dans un triangle Sibut-Dekoa-Bria, avec le GTIA Scorpion.

 

Les effectifs d’EUFOR-RCA sont de 700 hommes, dont 250 militaires français. Pleinement opérationnelle depuis le 15 juin, EUFOR-RCA a aussitôt pris le relais de Sangaris pour appuyer la MISCA dans les 3e et 5earrondissements de Bangui.

 

Les effectifs de la MISCA sont de 5 800 hommes.

 

A Bangui, avec le GTIA Acier, la force Sangaris maintient des éléments aux côtés des forces de sécurité intérieure (FSI) et de la MISCA à la sortie nord de la ville, à PK12. D’une manière générale, elle est aujourd’hui en posture de réaction rapide (« quick reaction force » ou QRF), en mesure d’intervenir au profit des forces internationales déployées dans la capitale.

 

Le GTIA Acier a fait effort sur le point d’entrée sud-ouest de la capitale, à PK9, où un groupe d’extrémistes, vraisemblablement associés à des éléments relevant davantage du banditisme, cherchait depuis le 21 juin à perturber la situation sécuritaire dans le quartier. Ils se livraient à des actes de prédation envers les populations et entravait leur liberté de circulation. Leurs barrages ont été systématiquement démontés par la force Sangaris, qui, après avoir recherché le dialogue avec eux, a repris les barrages de vive force après avoir été prise à partie par des éléments armés.

 

Dans l’ouest, le GTIA de Boissieu poursuit son contrôle de zone en appui de la MISCA, mais aussi des FSI. L’engagement de ces forces de sécurité centrafricaines permet de développer un embryon de « pilier sécuritaire » qui manque à la RCA. Le 1erjuillet, au sud de Bouar, les éléments du GTIA ont ainsi participé au désarmement, avec les gendarmes centrafricains, d’un groupe d’une vingtaine de personnes. Les individus ont ensuite été remis aux forces de sécurité intérieures.

 

Après une très forte affluence la semaine passée, le trafic sur l’axe reliant le Cameroun à Bangui a repris de manière normale, avec près de 400 véhicules entrés en République Centrafricaine, dont environ 200 poids lourds. 140 d’entre eux ont été escortés par la MISCA ou la force Sangaris. 

 

Dans l’est, au cours des 3 dernières semaines, Sangaris a fait face à un cycle de représailles entre les différentes communautés, avec, en particulier, des affrontements au sud et à l’ouest de Bambari. La force Sangaris a appuyé la MISCA en renforçant ses effectifs et en engageant des hélicoptères armés. La situation a été particulièrement tendue le 26 juin avec une tentative de prise des quartiers est de la ville de BAMBARI par un groupe de près de 400 anti-balakas. Sangaris a dû s’engager dans une reconnaissance offensive pour barrer l’action de ces individus et leur interdire les accès de la ville. Depuis, la situation s’est stabilisée.

 

Le 1er juillet, le général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris, s’est rendu à Bambari aux côtés du ministre centrafricain de l’administration territoriale, pour impliquer les autorités locales, civiles et religieuses, dans le rétablissement de la situation sécuritaire de la ville.

 

Dans le couloir central, le GTIA Scorpion poursuit ses actions de sécurisation entre les villes de Sibut et Dekoa. Une brève montée de tension a eu lieu le 30 juin à Dekoa, où l’intervention de la force a permis d’éviter un affrontement entre deux groupes armés. Cet incident ne remet toutefois pas en cause la stabilisation progressive dans la zone.

Sangaris : point de situation du 3 juillet
Sangaris : point de situation du 3 juillet
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:45
Uganda says Seleka now its enemy as it hunts LRA in Central African Republic

 

02 July 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Seleka fighters in the CAR.Uganda's army said on Tuesday the mainly Muslim Seleka group in Central African Republic was now its enemy as the fighters were "in bed" with the Lord's Resistance Army (LRA) rebels they are hunting there.

A spokesman for the Ugandan army said its forces in CAR had clashed for the first time with Seleka, killing 12 and suffering one casualty. A Seleka official told Reuters on Monday that 15 of their fighters and three Ugandan soldiers were killed.

"Seleka had never tasted our fire. I think it was important that they taste our fire so that they are careful," Paddy Ankunda, spokesman for Uganda People's Defence Forces (UPDF) said, when asked about clashes on Sunday and Monday in CAR.

 

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:45
Denel Dynamics poised for growth

 

03 July 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Denel Dynamics is poised for growth.Missiles and aerospace house Denel Dynamics plans to nearly double is revenue over the next five years to nearly R2 billion and will do so in part by investing in new products and growing skills.

 

Denel Dynamics is hoping to achieve revenue of R1.8 billion for 2019 and R152 million in earnings before interest and tax (EBIT), compared to revenue of R999 million in 2013 and EBIT of R21 million (EBIT for 2012 was R40 million, according to Denel's 2013 annual report). Speaking at Denel Dynamics' recent Show and Tell, Dynamics CEO Tsepo Monaheng estimated that Denel Dynamics would grow by an average 12% year-on-year in the next five years.

 

The company also seeks to grow the number of employees from 872 to 942 and increase investment in skills development by 50%. Monaheng said growing skills is a big challenge - one strategy is to design a Specialised Technical Training (STT) program for employees under age of 35. Monaheng said that there is a crisis situation regarding skilled employment, especially of young people.

 

He also cautioned that the competition is aggressive as major manufacturers in the industry are moving into Denel's traditional markets as their home markets dry up. He said that South Africa is looking up to Denel Dynamics to deliver on hi-tech systems and solutions. "South Africa should be the country of choice to partner and do business with, the continent is looking up to us for solutions," he said, adding that Denel Dynamics has to not only continue to develop products for the South African National Defence Force (SANDF) but also position to compete in the international market.

 

Developing products for the SANDF is especially important in light of the Defence Review, which expects Denel to be responsible for sovereign capabilities such as commander and control.

 

Part of Denel Dynamics' strategy going forward is to keep developing new technology and focus on research and development. Christo de Kock, Chief Operations Executive at Denel Dynamics, said it was necessary to evolve and change especially in light of the fact that six out of the ten major conflict areas in the world are in Africa.

 

He noted that conflicts are starting more quickly and lasting longer and that warfare is changing and becoming increasingly asymmetric. Cities are more frequently becoming battlegrounds while the nature of warfare is changing - for instance cyber warfare and economic warfare are on the rise while organised crime syndicates and cartels are having a destabilising effect on certain countries - the Mexican drug cartels are a good example.

 

As a result of these changes, certain requirements are emerging for things like unmanned aerial vehicles, unmanned ground vehicles, unmanned marine systems, static observation sensors, precision weapons, man-portable weapons, weapons with targeted warheads and precision target marking and engagement, de Kock said.

 

On the protection side, de Kock said that vehicles, bunkers, assets, convoys etc. require protection, both active and passive, such as counter-artillery, rocket and mortar munitions and IED jammers. Another requirement he identified was the need for stealth, particularly a stealth anti-tank missile to defeat countermeasures systems as well an infrared stealth for vehicles.

 

Denel Dynamics is delving into all these areas (unmanned systems, space, sensors, stealth, and precision weapons) through various projects, many of which are funded by Armscor and the Department of Defence.

 

De Kock said that it is important to establish a research facility to look at future needs and solutions and that Denel Dynamics will do that and prioritise effort based on the SANDF's needs.

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:45
Somalie: combien de soldats américains?

 

4 juillet, 2014 – BBC Afrique

 

 

Les autorités des Etats-Unis ont pour la première fois divulgué des informations sur le nombre total de militaires américains en Somalie.

 

Des fonctionnaires à Washington ont expliqué à l'agence de presse Reuters qu'environ 120 soldats américains sont déployés dans le pays.

L'envoyé spécial de la BBC en Somalie a constaté la présence sur place de militaires américains engagés dans des opérations contre des insurgés d'al Shabab, organisation islamiste liée à al-Qaïda.

 

 

Suite de l'artilce

 

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 21:45
Serval : point de situation du 3 juillet

 

03/07/2014 Sources : EMA

 

Les effectifs de la force Serval sont de l’ordre de 1 600 soldats. Au terme d’un cycle des relèves qui s’est achevé il y a une dizaine de jours, le dispositif français reste inchangé. La compagnie d’infanterie de l’opération Licorne qui avait renforcé la force Serval durant la période de relèves a rejoint Abidjan le 29 juin (seul un peloton d’une vingtaine de militaires du RICM est toujours présent à Gao).

 

Les effectifs de la MINUSMA (ONU) sont de plus de 8 000 hommes. Ceux des forces armées maliennes sont de plus de 7 000 hommes.

 

Dans le domaine des opérations aériennes, les quinze derniers jours ont été marqués par une moyenne de 50 sorties air, dont une quinzaine de missions réalisées par les avions de chasse, autant de missions de ravitaillement et de renseignement, et une vingtaine de missions de transport.

 

Depuis les événements de Kidal à la fin du mois de mai, la situation malienne est marquée par un tempo avant tout politique.

 

S’agissant d’EUTM Mali, la formation du cinquième bataillon malien a débuté le 10 juin à Koulikouro. Dans le même temps, EUTM Mali a achevé le stage de maintien en conditions opérationnelles du premier bataillon dont elle avait assuré la formation initiale en 2013 (bataillon Waraba).

 

Les DLAO des forces françaises continuent d’accompagner les formations de l’armée malienne et de la MINUSMA. Du 21 au 23 juin, deux DLAO ont été engagés dans une mission de reconnaissance dans la région d’Ikadaouten au nord de Tessalit. Au-delà de la reconnaissance, cette opération a permis d’aller à la rencontre de la population et des autorités locales, ainsi que de délivrer une aide médicale.

 

Les DLAO des forces françaises continuent d’accompagner les formations de l’armée malienne et de la MINUSMA. Du 21 au 23 juin, deux DLAO ont été engagés dans une mission de reconnaissance dans la région d’Ikadaouten au nord de Tessalit. Au-delà de l’aspect purement militaire de la reconnaissance, cette opération a permis d’aller à la rencontre de la population et des autorités locales, ainsi que de délivrer une aide médicale.

Serval : point de situation du 3 juillet
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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 20:45
photo EMA

photo EMA

 

02 July 2014 by Simon Allison, ISS Africa  Consultant

 

In 2014, Mali has fallen off most news agendas, replaced by more urgent and potentially more devastating conflicts in South Sudan and Central African Republic.

 

For Mali, however, there is some comfort in the relative obscurity, which is also a recognition that things maybe aren’t so bad anymore. The dire predictions made in 2012 and early 2013 about what would become of Mali have not come to pass. There is a democratically elected government in place, once again; a ceasefire still holds in the restive north, albeit only just; and the humanitarian situation, while still poor, is not actively deteriorating.

 

After 2012’s rebellion, civil war, military coup and de facto secession of the north – it truly was Mali’s annus horribilis – the country has achieved some form of stability. Yes, it is tenuous. Yes, it is only maintained thanks to the presence of thousands of French, European and African peacekeepers. But it exists – and for this Mali has the French to thank.

 

Vive la France! Operation Serval, the unilateral French military intervention launched in January 2013 as Islamist rebels were advancing on Bamako, was well-timed. It almost certainly prevented the collapse of Mali’s central government, and the consequent imposition of strict Islamic law on most of Mali’s population. It also staved off the probability of even more conflict between the various Islamist groups jostling for power, and ensured access for aid agencies working to alleviate the humanitarian crisis. Malian authorities were so grateful for France’s efforts that they gave French President Francois Hollande a prize camel to show their appreciation – and even replaced it a year later, after the original found its way into a delicious tagine.

 

Since the intervention, there have been several encouraging developments. Although still active, none of the three major Islamist groups are anything near as influential in Mali as they were two years ago. Forced out of major towns, they have been reduced to hit-and-run attacks or, in the case of al-Qaeda in the Islamic Maghreb, have decided to focus instead on other targets in the region.

 

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 16:45
Washington reconnaît la présence de militaires US en Somalie (médias)

 

MOSCOU, 3 juillet - RIA Novosti

 

Des conseillers militaires américains opèrent en secret en Somalie depuis 2007, rapportent jeudi les agences occidentales citant des sources au sein de la Maison Blanche.

 

Selon les médias, à l'heure actuelle, environ 120 militaires américains se trouvent en Somalie sans prendre part aux combats. C'est la première fois que des responsables US reconnaissent une présence militaire américaine aussi importante en Somalie depuis la présidence de George W. Bush.

 

Les Etats-Unis ont l'intention d'accroître leur aide militaire à la Somalie pour aider ce pays à combattre l'insurrection islamiste d'Al Chabaab associée à la nébuleuse terroriste internationale Al-Qaïda.

 

Washington envisage également d'accorder plus de fonds à l'Armée nationale somalienne, après avoir coopéré pendant plusieurs années avec la Mission de l'Union africaine en Somalie (AMISOM). Il convient de rappeler que depuis 2007, les Etats-Unis ont débloqué 512 millions de dollars en faveur de l'AMISOM et 171 M USD pour la mise en place d'une armée professionnelle en Somalie.

 

La Somalie est plongée dans le chaos et la guerre civile depuis la chute du président Siad Barre en 1991 et la dislocation du pays qui a suivi. De nos jours, la Somalie n'existe pratiquement plus en tant qu'Etat uni. Le pays est partagé entre différentes factions hostiles, dont le mouvement radical al-Chabaab.

 

Reconnu par la communauté internationale comme l'unique organe de pouvoir légal, le Gouvernement fédéral de transition (GFT) ne contrôle que Mogadiscio et certaines régions environnantes, le reste du pays étant administré par des entités autonomes refusant de se soumettre aux autorités centrales.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 07:45
Mali : relève du général adjoint des opérations

 

02/07/2014 Sources : EMA

 

Le 30 juin 2014, le général de brigade aérienne (GBA) Jean-François Ferlet a pris les fonctions d’adjoint opérations au général commandant la force Serval. Il relève à ce poste le général de brigade Benoît Houssay.

 

Dès sa prise de fonction il a effectué une visite sur les emprises de Gao et Tombouctou. A Gao, il a pu avoir un aperçu de l’organisation de la plateforme opérationnelle Désert (PfOD) ainsi qu’un point de situation de la part des chefs de corps des principaux détachements. A Tombouctou, le général Ferlet a rencontré le détachement de liaison et d’assistance opérationnelle (DLAO) n° 4, engagé en appui des forces armées maliennes (FAMA) et de la MINUSMA.

 

Environ 1 600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 07:45
Tchad : entraînement de la relève Air

 

02/07/2014 Sources : EMA

 

Le 21 juin 2014, depuis la base aérienne 172 « sergent Kosseï » à N’Djaména, les hélicoptères du 1/67 « Pyrénées », déployés récemment, ont effectué leur premier vol sur le théâtre tchadien.

 

Ce vol en patrouille d’un hélicoptère Puma et d’un hélicoptère Caracal a permis la reconnaissance de plusieurs zones au nord de N’Djamena, la mise en condition opérationnelle des machines ainsi que quelques entraînements de « poser poussière » de jour et de nuit.

 

Les étendues sahéliennes imposent une vigilance accrue aux équipages lors des vols sous vent de sable et lors des atterrissages. Les moteurs des hélicoptères sont en effet sensibles aux poussières de sable ce qui nécessite des procédures et précautions particulières ainsi qu’un entretien et un entraînement accrus.

 

Intégrés au groupement Air de la force Epervier, les équipages et les machines du « Pyrénées » rempliront les missions d’évacuation sanitaire (EVASAN), de sauvetage aéroterrestre (SATER), de soutien et d’appui aux forces déployées sur le théâtre. Ils participeront également à l’une des missions permanentes du dispositif Epervier : la protection des intérêts français, tout particulièrement la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

 

Les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et sont en mesure de garantir la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 17:45
Sangaris : fortes tensions à Bambari

 

02/07/2014 Sources : EMA

 

Le 23 juin 2014, alors qu’il était majoritairement déployé au nord de Dekoa afin de prévenir toute escalade de la violence, le groupement tactique interarmes (GTIA) « Scorpion » a dû renforcer son dispositif dans la région de Bambari après à une série de crimes interconfessionnels dans cette zone.

 

Agissant avec impartialité, les soldats français se sont déployés dans le quartier de l’évêché de Bambari ainsi que le long de l’axe principal reliant les quartiers musulmans et chrétiens.

 

Des éléments de la force Sangaris se sont également positionnés sur le seul pont de la ville, permettant ainsi de contenir les tentatives de débordement des deux côtés de la rivière Ouaka, véritable ligne de confrontation entre les deux communautés. Effectuant des points de contrôle fixes et mobiles aux entrées de la ville, les hommes du GTIA « Scorpion » ont stoppé les tentatives d’intrusion d’individus armés.

 

Le chef de corps du GTIA « Scorpion » a ensuite conduit de nombreuses KLE (key leader engagement) avec les représentants des différentes communautés ainsi qu’avec les autorités locales. L’objectif de ces rencontres était de convaincre chaque partie d’enrayer les pillages et lynchages.

 

Face à une situation qui reste tendue dans la localité de Bambari, les hommes du GTIA « Scorpion », en appui de la MISCA et des forces de sécurité intérieures récemment déployées, ont été renforcés temporairement par deux sections du GTIA« de Boissieu » et une du GTIA « Acier » en provenance de Bouar et de Bangui. Les forces internationales maintiennent ainsi un dispositif de surveillance accru et poursuivent les patrouilles conjointes tout en assurant la protection des populations.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5 800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangarisvise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : fortes tensions à Bambari
Sangaris : fortes tensions à Bambari
Sangaris : fortes tensions à Bambari
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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 17:45
Sangaris : appui d’un groupe cynotechnique

 

02/07/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 20 juin 2014, un groupe cynotechnique du 132e bataillon cynophile de l’armée de terre de Suippes est déployé en République Centrafricaine, au profit de la force Sangaris.

 

Ce groupe est divisé en cinq équipes, chacune composée d’un chien et de son maître.

 

Prévus être utilisés en appui des groupements tactiques interarmes (GTIA) lors des opérations de contrôle de zone ou de gestion des mouvements de foule, les binômes sont également employés pour la force protection du camp de M’Poko, à Bangui. Les chiens d’intervention assurent une présence dissuasive dans un environnement complexe et tendu.

 

Après quelques jours d’acclimatation à leur nouvel environnement, les chiens et leurs maîtres sont pleinement opérationnels. Déjà engagées auprès du GTIA « Scorpion » dans la localité de Dékoa et à Bangui avec le GTIA « Acier », les équipes cynophiles appuient les soldats durant les patrouilles de jour comme de nuit, lors de la mise en place de points de contrôle fixes et pour contenir les populations.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5 800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 07:45
Mechem about to ship first Casspir wide body ambulances

 

01 July 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Specialist Denel division Mechem is about to ship off the first three wide body ambulance versions of its popular Casspir armoured personnel carrier and will deliver them to the United Nations in Somalia.

 

The United Nations and Angola are the launch customers of the wide body ambulance, the latest version of the Casspir NG2000, development of which was completed in 2012. The United Nations will use the vehicles as part of the Amisom hybrid African Union and UN mission in Somalia.

 

Ashley Williams, General Manager of Mechem, told defenceWeb that the vehicles would be shipped out within a week. He said the wide body ambulance has the same dimensions as the Rinkhals armoured ambulance and can accommodate four lying and two sitting patients plus two medics. The vehicle is fully equipped to treat any operational casualty. Older generation Casspir ambulances were much more confined and could only accommodate two stretchers, one sitting patient and a medic.

 

The new generation NG2000 Casspirs feature more powerful engines and better manufacturing techniques than their predecessors and can withstand a 21 kg TNG blast under a wheel and a 14 kg blast under the hull. Various Casspir NG2000 variants are available, including cargo, water, fuel, command and control, infantry fighting, and recovery. To meet customer demand, the vehicles can be fitted with different drivetrains, such as Mercedes or Powerstar South Africa.

 

Williams said that Mechem was mainly focusing on Casspirs as there is still a big need for them. Mechem also offers armoured truck cabs and two countries are interested in this product at the moment. Benin became the launch customer for the armoured trucks and has also bought Casspir NG2000s.

 

Because customers often want fast turnaround times on vehicle deliveries, Mechem has decided to keep a small stock of vehicles, with around 15-20 Casspirs as stock on hand.

 

Williams said an African country has just signed a large vehicle order but the contract is still being finalised. He estimated demand for 50 to 100 Casspirs a year – Mechem sold 50 last year.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 07:45
Counter Piracy Newsletter June - EU Naval Force Somalia

 

01.07.2014 EUNAVFOR

 

EU Naval Force Warship FS Floreal Provides Towing Assistance to Dhow in Distress

On Sunday 25 May 2014, French frigate FS Floréal, which is currently deployed with the EU Naval Force, provided towing assistance to a Yemeni dhow in the Gulf of Aden after it was seen drifting without power at sea.

 

EU Naval Force Flagship FGS Brandenburg Visits French Island of Mayotte In Southern Indian Ocean

At the end of May the EU Naval Force flagship, FGS Brandenburg, made a port visit to the island of Mayotte. Uniquely, Mayotte is the only part of the European Union located inside Operation ATALANTA’s area of operations.

 

Seychelles Carries Out Oil Spill Exercise With EU Naval Force And EUCAP Nestor

During her recent port visit to the Seychelles, the EU Naval Force flagship, FGS Brandenburg conducted an oil spill exercise with units of the Seychelles Coast Guard, Air Force, Fire and Rescue Services, Port authorities and Maritime Safety Administration. 

 

Commander Joint Forces New Zealand Visits EU Naval Force Operational Headquarters

Major General Tim Gall, the Commander Joint Forces New Zealand, today visited the Operational Headquarters of EU Naval Force at Northwood Base, North London. He was met by the Deputy Operational Commander of Operation Atalanta, Rear Admiral Bartolomé Bauzá.

 

German Navy Flight Operator Achieves 3,000 Flight Hours During Flight With EU Naval Force

On Wednesday 4 June, a flight operator in the Djiboutian based German Maritime Patrol and Reconnaissance Aircraft (MPRA) P-3C Orion crew reached an impressive 3,000 flight hours’ milestone.

 

Operation Commander Visits EU Naval Force Staff in Djibouti

During a visit to Djibouti this week, the Operation Commander of the EU Naval Force, Rear Admiral Tarrant, visited German and Spanish Maritime Patrol and Reconnaissance Aircraft (MPRA) crews based there as well as the team from Support Element Atalanta (SEA).

 

EU Force Commander Strengthens Ties with the Seychelles During Port Visit by EU Naval Force Flagship FGS Brandenburg

During a recent port visit of the EU Naval Force Flagship FGS Brandenburg to the Seychelles, the Force Commander, Rear AdmiralJürgen zur Mühlen, took the opportunity to meet several ministers and military representatives of the Republic of Seychelles, as well as the EU delegation.

 

EU Naval Force Deputy Commander and Force Commander visit Luxembourg Maritime Patrol Reconnaissance Aircraft

Recently the European Union Naval Force flagship “Brandenburg” held a port visit to the Seychelles. During this period the Force Commander, Rear Admiral Jürgen zur Mühlen, welcomed the Deputy Commander, Rear Admiral Bartolomé Bauzá, for a mid-term-review discussion. Both Flag Officers also took the opportunity to visit the Luxembourg Maritime Patrol Reconnaissance Aircraft (MPRA) Detachment, which is based at the Mahe Island main airport.

 

Operation Commander Welcomes a Chinese Military Delegation to the European Union Naval Force Operational Headquarters

Earlier today the Operation Commander of the EU Naval Force, Rear Admiral Bob Tarrant, welcomed the Defence Advisor to the People’s Republic of China Delegation to the European Union, Major General Luo Wei and his Deputy, Senior Colonel Qiu Yi, to the Operational Headquarters in Northwood.

 

French Warship FS Floreal Completes Another Successful Counter-Piracy Operation With The EU Naval Force

After two months of contributing to the European Union’s fight against Somali piracy in the Indian Ocean and Gulf of Aden, French warship FS Floréal is sailing towards her home port on La Réunion, which is a French territory in the Indian Ocean. This is the fifth time that FS Floréal has participated in the EU Naval Force Somalia Operation Atalanta.

 

Luxembourg Maritime Patrol Aircraft Participate in Seychelles National Day Ceremony

On Wednesday 18 June, the Luxembourg’s Maritime Patrol and Reconnaissance (MPRA) Detachment participated in the Seychelles National Day Ceremony.  Two Merlin aircraft conducted a fly-past over the National Sport Stadium in front of President James Michel and some 5,000 spectators.

 

Montenegro Continues Support To EU Naval Force Operational Headquarters In Northwood

Lieutenant Commander Zeljko Pekovic has become the second naval officer from Montenegro to serve at the EU Naval Force Operational Headquarters in Northwood, UK. Lieutenant Commander Pekovic will be stationed in the Headquarters until June 2015. Montenegro started providing a military officer to the EU Naval Force Operational Headquarters in June 2013.

 

EU Naval Force Operational Headquarters Welcomes European Union Military Committee

The Operation Commander of EU Naval Force Somalia Operation Atalanta, Rear Admiral Bob Tarrant and his Deputy, Rear Admiral Bartolomé Bauzá today welcomed the Chairman, Director General and 35 Military Representatives of the European Union Military Committee to the Operational Headquarters in Northwood.

 

EU Naval Force And NATO Force Commanders Meet At Sea

On Sunday 22 June, the newly-appointed Force Commander of the NATO counter-piracy Task Force, Commodore Aage Buur Jensen, paid an inaugural visit to the EU Force Commander, Rear Admiral Jürgen zur Mühlen.  Both met at sea on board of EU Naval Force flagship FGS Brandenburg.

 

EU Force Commander Meets Crew Of HNLMS De Zeven Provinciën At Sea

On Monday 16 June, the Force Commander of EU Naval Force, Rear Admiral Jürgen zur Mühlen, met the officers and ship’s company of HNLMS De Zeven Provinciën at sea for the first time since the Dutch frigate joined the EU Naval Force.

 

EU Naval Force Warship HNLMS De Zeven Provinciën Conducts Maritime Capacity Building With The Seychelles Coastguard

On Monday 23 June EU Naval Force warship HNLMS De Zeven Provinciën hosted members of the Seychelles Coastguard. The visit was in support of EUCAP Nestor’s initiative to promote regional maritime capability building.

 

EU Naval Force Flagship FGS Brandenburg Ensures A Safe Passage For World Food Programme Vessel In The Gulf Of Aden

Over a period of three days FGS Brandenburg has escorted a World Food Programme (WFP) voyage chartered vessel from Djibouti to Bosaso, which is the capital of Puntland.


EU NAVFOR ATALANTA
EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia - Operation Atalanta is part of the EU's comprehensive approach to tackle symptoms and root causes of piracy off the coast of Somalia and the EU Strategic Framework for the Horn of Africa adopted in November 2011.

EU NAVFOR conducts anti-piracy operations off the coast of Somalia and the Indian Ocean and is responsible for the protection of World Food Programme (WFP) shipping carrying humanitarian aid to the people of Somalia and Horn of Africa as well as the logistic shippings supporting the African Union troops conducting Peace Support Operations in Somalia (AMISOM). Additionally, Operation Atalanta contributes to the monitoring of fishing activity off the coast of Somalia.

For more information, please visit our website www.eunavfor.eu.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 07:45
Des forces de sécurité du Nigeria (Archives)

Des forces de sécurité du Nigeria (Archives)

 

1 juillet, 2014 – BBC Afrique

 

Le groupe aurait infiltré un groupe d'autodéfense pour couvrir ses activités

 

L'armée affirme avoir lancé un assaut contre ce qu'elle considère comme étant une cellule de renseignement pilotée par la secte Bokko Haram.

 

Le chef présumé de cette cellule, Babuji Ya'ari, qui serait lié à l'enlèvement de plus de 200 écolières a été arrêté, selon un communiqué militaire.

 

M. Yaari serait aussi activement mêlé au meurtre, en mai, d'un chef traditionnel, l'émir de Gwoza, ajoute le communiqué.

 

M. Yaari n'a encore fait aucun commentaire sur ces allégations.

 

Le ministère de la défense l'a décrit comme un homme d'affaires qui "a participé activement à l'enlèvement des écolières" dans la ville septentrionale de Chibok.

 

Il se serait aussi servi de ses activités au sein d'un groupe d'autodéfense contre Boko Haram pour couvrir sa mission d'espionnage pour les militants, a indiqué l'armée, ajoutant qu'il avait coordonné "plusieurs attaques meurtrières dans Maidugiri", la capitale de l'Etat de Borno, depuis 2011.

 

Parmi les personnes appréhendées figurent aussi des femmes qui étaient des membres de la cellule de renseignement, selon le ministère de la Défense

 

Pour l'instant, les allégations de l'armée n'ont pas pu être vérifiées de source indépendante.

 

Les combattants de Boko Haram ont enlevé plus de 200 jeunes filles de leur école dans l'Etat de Borno le 14 Avril.

 

Depuis, la plupart d'entre elles sont toujours portées disparues.

 

Plus de 2.000 personnes ont été aussi tuées cette année dans des attaques imputées à des militants.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 18:57
Les fiches de l'IRSEM



01/07/2014 IRSEM

 

En quelques pages seulement, les Fiches de l'IRSEM présentent l’état de l’art synthétique d’une question précise pour en indiquer les principaux débats, animateurs et enseignements.

 

Fiche de l'IRSEM n°33 - 2014
La sécurité des Territoires Frontaliers  à l'ère du global 
La Triple frontière (Brésil, Argentine, Paraguay)
Cynthia Salloum

Fiche de l'IRSEM n°32 - 2014
L’Ukraine : de la Révolution orange à Euromaïdan, une révolution « bleue et jaune » ? 
Revue de la littérature scientifique
Marie-Elisabeth Baudoin
 

Fiche de l'IRSEM n°31 - 2013
Les perspectives d'organisation du contrôle de l'espace maritime des Etats du golfe de Guinée
Oswald Padonou

 

  Fiche de l'IRSEM n°30 - 2013
Les opérations de maintien de la paix de l’ONU : doctrine et pratiques en constante évolution
Lucile Maertens

Fiche de l'IRSEM n°29 - 2013
La défense britannique en 2013 : une posture incertaine
Alice Pannier

Fiche de l'IRSEM n°28 - 2013
L’Inde, l’Afghanistan et le retrait de l’OTAN
Olivier Blarel

Fiche de l'IRSEM n°27 - 2013
La politique afghane de l’Inde depuis 2001
Olivier Blarel

Fiche de l'IRSEM n°26 - 2013
Les rapports de force entre la Chine et l'Inde à travers le prisme sri-lankais
Solène Soosaithasan

Fiche de l'IRSEM n°25 - 2013
Le paradoxe de la stabilité/instabilité : la bombe nucléaire comme facteur de paix globale et de guerre local
Adrien Schu

Fiche de l'IRSEM n°24 - 2013
L’Inde et sa « Look West Policy » : la stratégie indienne d’insertion dans la région du Golfe depuis la fin de la guerre froide
Mélissa Levaillant

Fiche de l'IRSEM n°23 - 2013
Les modèles explicatifs de la guerre irrégulière : discussion autour d’un objet évanescent
Sarah Guillet

Fiche de l'IRSEM n°22-2013
Prendre les armes en République démocratique du Congo, de la réalité d’un engagement à sa légitimation,
Mehdi Belaïd

Fiche de l'IRSEM n°21 - 2013
La paix au service de la guerre à l’est de la République démocratique du Congo : réflexions sur les mécanismes de reproduction de la conflictualité
Mehdi Belaïd

Fiche de l'IRSEM n°20 - 2012
Syndrome post-traumatique du militaire, éléments de contexte et de réflexion stratégique
Agnès Colin

Fiche de l'IRSEM n°19 - 2012
L’Etat et la guerre en Afghanistan 1978-2012
Adam Baczko

Fiche de l'IRSEM n°18 - 2012
Tensions sur les ressources en eau : l’enjeu de l’évaluation économique
Noëmie Neverre
   

Fiche de l'IRSEM n°17 - 2012
La sécurité environnementale et le processus de sécurisation : définitions et enjeux théoriques
Lucile Maertens

Fiche de l'IRSEM n°16 - 2012
Internet et la Défense : un nouvel outil pour la communication
Benjamin Loveluck, Irène Eulriet

Fiche de l'IRSEM n°15 - 2012
Etat des lieux des tensions en Mer de Chine méridionale : quelles perspectives pour 2012 ?
Frédéric Pupatti

Fiche de l'IRSEM n°14 - 2012
Deux « murs » de séparation contemporains : caractéristiques des dispositifs de contrôle israélien et américain
Damien Simonneau

Fiche de l'IRSEM n°13 - 2012
Le soft -power chinois en Afrique
Martina Bassan

Fiche de l'IRSEM n°12 - 2011
L’intégration de l’Albanie au sein de l’UE : entre sécurité, européanisation, et démocratisation.
Elda Nasho-Ah-Pine

Fiche de l'IRSEM n°11 - 2011
Cyberterrorisme : quel périmètre ?
Alix Desforges

Fiche de l'IRSEM n°10 - 201 Contrôler l’incontrôlable ? La politique américaine de contrôle des exportations de technologies à double usage dans l’après Guerre froide
Hugo Meijer

Fiche de l'IRSEM n°10 - 2011
Controlling the Uncontrollable ? U.S. Dual-Use Export Controls in the Post-Cold War Era
Hugo Meijer

Fiche de l'IRSEM n°9 - 2011
La stabilisation du voisinage de l’Union européenne au sud de la Méditerranée depuis 1995 : un aperçu des enjeux théoriques
Morgane Gertz

Fiche de l'IRSEM n°8 - 2011
Les États-Unis et l’idée de capitulation inconditionnelle
Benjamin Brice

Fiche de l'IRSEM n°7 - 2011
La Structure du système international
Ilinca Mathieu

Fiche de l'IRSEM n°6 - 2011
La médiation internationale dans la résolution des conflits : Un regard théorique
Milena Dieckhoff

Fiche de l'IRSEM n°5 - 2010
Les complexes régionaux de sécurité
Sihem Djebbi

Fiche de l'IRSEM n°4 - 2010
Le conflit afghan : panorama des analyses des spécialistes de sciences sociales
Camille Sicourmat

Fiche de l'IRSEM n°3 - 2010
L'avenir de l’OTAN : les regards académiques
Sophie Dagand, Oriane Reynaud

Fiche de l'IRSEM n°2 - 2010
L'attractivité des armées auprès des minorités ethniques en Europe : une comparaison Allemagne, France, Grande-Bretagne
Carina Scholz

Fiche de l'IRSEM n°1- 2010
Puissance Chine : la stratégie d'affirmation internationale chinoise
Magali Robert

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:45
The new Armscor board

 

01 July 2014 by Kim Helfrich – defenceWeb

 

New Armscor chairman Vice Admiral (ret) Johannes Mudimu can call on expertise ranging from legal through to foreign investment as well as procurement and acquisition when he and his board members take decisions on acquisitions for the South African defence and security sector.

 

Former South African ambassador to France and UNESCO, Thuthukile Skweyiya, is Mudimu’s deputy on the new 10-strong Armscor board announced by Defence and Military Veterans Minister, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, in May.

 

According to Armscor her tenure as ambassador to France saw “an unprecedented amount of foreign direct investment, including but not limited to, the SAA/Airbus contract, Pechiney, Alcatel and various empowerment projects in the South African wine industry”.

 

Bethuel Mobu brings to the Armscor board “depth and breadth in the procurement/acquisition environment”. He is currently General Manager: Tactical Procurement at Eskom and was previously group procurement specialist at the Airports Company of SA (ACSA) and Group Executive: Supply Chain Management at the SA Post Office. He currently chairs the State-owned Enterprise Forum and is a member of the Chartered Institute of Purchasing and Supply.

 

Legal expertise on the new Armscor board comes from advocates Virginia Lee Anne De la Hunt and Sesi Baloyi. De la Hunt is a practising advocate and member of the Cape Town bar while Baloyi is a member of the Victoria Mxenge Group of Advocates and a member of the Johannesburg Bar.

 

Raymond Vokwana was deputy director general of the Defence Service Commission and is now a businessman with interests in mining, manufacturing, ICT and financial services. According to Armscor he was also a senior manager at the National Intelligence Agency and the SA Secret Service.

 

Dr Moses Khanyile is currently General Manager: Strategy and Business Sustainment at ABSA. He was previously Chief Director: Strategic Planning at the Department of Defence and at the University of Stellenbosch’s Centre for Military Studies.

 

Ndumiso Tyibilika is a registered professional engineer who holds a Government Certificate of Competence (factories) and is a member of the SA Institute of Mechanical Engineers. He has previously worked at one of the Denel divisions in addition to holding positions at Eskom, Amcoal and Caltex.

 

The two remaining Armscor board positions are filled by Sipho Mkwanazi, who has been acting chief executive since November 2009, and chief financial officer, Gerhard Grobler.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:45
How Boko Haram is beating U.S. efforts to choke its financing

 

01 July 2014 defenceWeb (Reuters)

 

When Washington imposed sanctions in June 2012 on Boko Haram leader Abubakar Shekau, he dismissed it as an empty gesture.

 

Two years later, Shekau’s skepticism appears well founded: his Islamic militant group is now the biggest security threat to Africa's top oil producer, is richer than ever, more violent and its abductions of women and children continue with impunity.

 

As the United States, Nigeria and others struggle to track and choke off its funding, Reuters interviews with more than a dozen current and former U.S. officials who closely follow Boko Haram provide the most complete picture to date of how the group finances its activities.

 

Central to the militant group’s approach includes using hard-to-track human couriers to move cash, relying on local funding sources and engaging in only limited financial relationships with other extremists groups. It also has reaped millions from high-profile kidnappings.

 

"Our suspicions are that they are surviving on very lucrative criminal activities that involve kidnappings," U.S. Assistant Secretary of State for African Affairs Linda Thomas-Greenfield said in an interview.

 

Until now, U.S. officials have declined to discuss Boko Haram’s financing in such detail.

 

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:45
Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS

 

30/06/2014 Sources : EMA

 

Du 25 et le 26 juin 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a effectué une visite officielle au Sénégal.

 

Ce pays qui constitue à la fois un partenaire historique de la France, comme en témoigne la présence aujourd’hui encore de plus 20 000 ressortissants français, et un point d’appui stratégique avec l’implantation à Dakar des éléments français au Sénégal (EFS).

 

Pôle de stabilité régionale, le Sénégal est situé à proximité de deux zones principales : la bande sahélo-sahélienne (BSS), avec laquelle le Sénégal est particulièrement impliqué grâce à son engagement au Mali au sein de la MINUSMA ; le Golfe de Guinée, zone de concentration de trafics maritimes, ouverte au Sénégal, qui dispose de près de 700 kilomètres de côtes vers l’océan atlantique.

 

Le déplacement du général de Villiers a été marqué par une série d’entretiens officiels destinés à aborder l’ensemble de ces problématiques, ainsi que les questions liées à la coopération militaire bilatérale. Ce dernier point est d’autant plus important que les forces armées sénégalaises sont engagées dans une réforme de leur organisation interarmées qui doit les conduire à adopter un nouveau modèle baptisé « Armées 2025 ». Le général de Villiers a ainsi rencontré son homologue le général de corps d’armée Mamadou Sow, le ministre des Forces armées, M. Augustin Tine et a été reçu en audience par le Président de la République sénégalaise, M. Macky Sall, à son retour du sommet de l’Union africaine, à Malabo.

 

L’excellence des relations entre les armées française et sénégalaise a été marquée par la remise, d’une part, des insignes d’officier de la Légion d’honneur au général de corps d’armée Sow, d’autre part, des insignes de commandeur du Lion d’Or, plus haute distinction sénégalaise, au CEMA français.

 

Cette visite à également permis au général de Villiers de se faire présenter les missions et les problématiques des éléments français au Sénégal (EFS). Il a aussi rencontré les militaires et les civils des armées qui font vivre ce pôle de coopération, ainsi que leurs familles.

 

Héritiers des Forces françaises du Cap Vert (FFCV), les EFS sont organisés, depuis le 1er août 2011, sur le modèle d’un pôle opérationnel de coopération (POC). Ce modèle est centré sur l’accompagnement des forces africaines dans le cadre de formations dispensées au travers de détachement d’instruction opérationnelle ou technique (DIO ou DIT). Il vient compléter le dispositif des forces de présence (FP) qui, comme à Djibouti et bientôt en République de Côte d’Ivoire, repose sur une logique de réservoir de forces.

 

Forts d’environ 330 militaires et civils des armées, les EFS mettent en œuvre une coopération opérationnelle bilatérale et régionale avec l’ensemble des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Près de 200 actions de formation sont planifiées au titre de 2014. Cet effort s’inscrit prioritairement en soutien direct de l’opération SERVAL et de la MINUSMA, à travers une contribution à la mise en condition opérationnelle des contingents africains destinés à s’engager au Mali. Il s’étend également aux questions de sécurité dans le Golfe de Guinée, avec la promotion de l’action de l’Etat en mer (AEM). Cette démarche explique les interactions fréquentes entre les EFS et la mission Corymbe déployée de façon quasi permanente dans la zone.

Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS
Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS
Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS
Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS
Le CEMA en visite officielle au Sénégal : entretiens officiels et rencontre avec les EFS
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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:45
Le général d’armée Pierre de Villiers en visite officielle en Mauritanie

 

30/06/2014 Sources : EMA

 

Du 24 au 25 juin, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a effectué une visite officielle en Mauritanie, pays avec lequel la France entretient des relations militaires bilatérales étroites.

 

Située à l’extrémité occidentale de la bande sahélo-saharienne (BSS), la Mauritanie est un pays à la charnière du Maghreb et de l’Afrique noire, disposant d’une importante frontière commune avec le Mali et s’ouvrant largement sur l’océan Atlantique, avec une façade maritime de près de 700 kilomètres de long.

 

Membre de l’Union du Maghreb arabe et de l’Union africaine, dont elle assure actuellement la présidence, la Mauritanie est aussi à l’initiative de la création du « G5 du Sahel », cadre institutionnel « de suivi et de coordination régionale » crée à Nouakchott le 16 février 2014. Cette structure politique regroupe 5 des principaux pays de la BSS : la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad.

 

C’est dans ce cadre que se sont réunis pour la première fois à Niamey, le 9 avril 2014, les chefs d’état-major des pays membres. Lors de cette réunion, à laquelle avait été convié le général de Villiers, les CEMA du G5 avaient alors convenu de la nécessité de conjuguer leurs efforts pour « apporter une réponse régionale et coordonnée aux défis sécuritaires liés aux menaces des groupes armés terroristes ».

 

La visité effectuée en Mauritanie par le général de Villiers visait à prolonger cette réflexion stratégique sur la lutte contre la menace que les groupes armés terroristes (GAT) font peser sur la région sahélo-saharienne.

 

Le CEMA français a rencontré le ministre de la Défense nationale mauritanienne, M. Ahmedou Ould Idey Ould Mohamed Radhi, ainsi que le chef d’état-major mauritanien, le général de division Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed Ghazwani, avec lequel il s’est entretenu à plusieurs reprises, témoignant des excellentes relations qui unissent les militaires des deux pays.

 

C’est d’ailleurs côte à côte que les deux CEMA se sont rendus à Atar, où leur ont été présentés l’école de formation des officiers des forces armées de la République islamique de Mauritanie (FARIM), ainsi le détachement militaire opérationnel français d’Atar (DAMO ATAR).

 

Fort d’une soixante d’hommes, le DAMO ATAR a pour mission de participer à la formation des bataillons d’infanterie des FARIM, en fonction des besoins exprimés par la Mauritanie. Il est actuellement armé par des éléments qui sont principalement issus du 126e régiment d’infanterie. Son action peut être complétée par la réalisation de détachements d’instruction opérationnelle ou technique (DIO ou DIT) conduits par les éléments français du Sénégal (EFS), sous le contrôle tactique desquels le DAMO ATAR est placé.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 06:45
Sangaris : les Fennec en RCA

 

30/06/2014 Sources : EMA

 

Le 9 juin 2014, sur l’aéroport de Bangui, en République centrafricaine (RCA), un hélicoptère Fennec a été relevé par un hélicoptère du même type, acheminé depuis la France par avion porteur C 17.

 

Le détachement Fennec (DETFENNEC) fait partie de la force Sangaris. Présent en RCA depuis le 7 décembre 2013 et stationné sur le camp de M’Poko, il est constitué d’une vingtaine de pilotes, mécaniciens et spécialistes chargés de mettre en œuvre deux hélicoptères Fennec. Le détachement est actuellement armé par des aviateurs de l’escadron d’hélicoptères 3/67 de Villacoublay.

 

Le Fennec est engagé sur l’ensemble du théâtre centrafricain pour effectuer des missions d’appui-renseignement et d’appui-feu au profit des troupes au sol.

 

Outre le DETFENNEC, la force Sangaris comprend un sous-groupement aéromobile (SGAM) composé de six hélicoptères de manœuvre Puma et de quatre hélicoptères d’attaque Gazelle.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5 800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 17:45
FFDJ : un stage multinational au CECAD

 

30/06/2014 Sources : EMA

 

Du 23 au 30 mai 2014, une soixantaine de stagiaires français, américains éthiopiens, ainsi qu’un officier supérieur ougandais et un officier comorien ont effectué un stage au Centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD), armé par les Forces française stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Dirigé par dix instructeurs du 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM), cet entrainement avait pour objectif de renforcer les capacités opérationnelles au combat en zone désertique. Durant leur séjour au CECAD, les stagiaires ont acquis des savoir-faire tactiques et techniques, individuels et collectifs.

 

La barrière de la langue et les conditions climatiques extrêmes ont été une véritable épreuve pour les stagiaires français et étrangers. Malgré ces difficultés, chacun a su profiter des conseils et des instructions prodigués par les instructeurs français pour repousser ses limites physiques et mentales.

 

L'aguerrissement au CECAD s'appuie sur trois piliers : la connaissance du milieu, comprenant la capacité à vivre et survivre en zone semi-désertique (nomadisation) ; le combat en zone semi-désertique, avec notamment le combat de contre-rébellion ; l’entraînement de type commando. Les stagiaires ont donc suivi les différents modules du centre, tels que les pistes d’audace et nautique, les formations à la survie en milieu désertique (s’abriter, s’hydrater, s’alimenter, se déplacer) et la révision des fondamentaux du combat et du secourisme au combat.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDJ : un stage multinational au CECADFFDJ : un stage multinational au CECAD
FFDJ : un stage multinational au CECADFFDJ : un stage multinational au CECAD
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