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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 17:45
EFS : visite du directeur de la coopération de sécurité et de défense

 

18/06/2014 Sources : EMA

 

Le 5 juin 2014, le vice-amiral d’escadre Marin Gillier, directeur de la coopération de sécurité et de défense (DCSD), s’est rendu à Dakar auprès des les éléments français au Sénégal (EFS).

 

L’amiral Gillier s’est entretenu avec son Excellence Monsieur Macky Sall Président de la République du Sénégal, son Excellence Monsieur Jean-Félix Paganon, Ambassadeur de France au Sénégal, son Excellence Monsieur Mankeur Ndiaye, ministre des affaires étrangères et européennes (MAE) et le général de corps d’armée Mamadou Sow, chef d’état-major général des armées (CEMGA). De nombreux sujets ont été abordés lors de ces entretiens, notamment le travail de coopération structurelle effectuée par la Mission de coopération militaire et de défense (MCMD), et le travail de coopération opérationnelle mise en œuvre par les EFS.

 

La coopération de défense en Afrique est mise en œuvre par des actions de coopération d’ordre structurel, relevant du ministère des Affaires étrangères et européennes, et opérationnel relevant du ministère de la Défense. Outre l’action traditionnelle de la France en faveur de la formation des cadres, il s’agit d’accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Le volet opérationnel de cette coopération, mise en œuvre par les forces prépositionnées françaises, s’articule autour de trois volets : la formation, l’entraînement et l’aide à l’engagement.

 

Les actions de coopération régionale réalisées par les EFS entrent dans ce cadre. Au sein de leur zone de responsabilité permanente qui couvre les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie, les EFS agissent dans plusieurs domaines tels que :

- le soutien à l’engagement des forces africaines dans les opérations de maintien de la paix : formation avant projection ;

- l’assistance militaire opérationnelle (AMO) : formation au TAP, aux techniques de commando, génie de combat… ;

- l’AMO technique : réparation et entretien de moteur hors-bord, techniques basiques de commando marine, protection portuaire, protection de base aérienne…

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 16:45
Défense: Dakar et Madrid disposés à "continuer à renforcer leur collaboration"

 

2014-06-17 (APS)

 

Dakar, 17 juin - Le Sénégal et l’Espagne ont fait part mardi de leur volonté de "continuer à renforcer" leur collaboration dans le domaine de la défense, a appris l'APS, à l'issue d’une audience accordée par le président sénégalais Macky Sall au ministre espagnol de la Défense, Pedro Morenés.

 

Le ministre espagnol est arrivé au Sénégal lundi "dans le cadre d’une tournée qu’il effectue en Afrique, du 15 au 17 juin", indique un communiqué de l'ambassade d'Espagne à Dakar.

 

Mardi, Pedro Morenés, qui est "accompagné du chef d’état-major de la Défense, l’amiral Fernando García Sánchez, a été reçu en audience" par le président Macky Sall.

 

Lors de cette audience, M. Sall et son hôte "ont révisé la coopération en matière de défense entre les deux pays et ont exprimé leur volonté de continuer à renforcer cette collaboration", selon le communiqué.

 

Il signale que "le ministre s’est également entretenu avec son homologue sénégalais, Augustin Tine, pour le remercier de l’appui du gouvernement du Sénégal au détachement de l’Armée de l’air déployé dans la capitale [sénégalaise] et renforcer les liens" entre les deux pays.

 

Le ministre espagnol de la Défense a aussi rendu visite à ce détachement de l’Armée de l’air de son pays, qui est dénommé Détachement Marfil.

 

Composé de 48 militaires espagnols et doté d’un avion de transport, Marfil opère à Dakar depuis janvier 2013 "pour appuyer l’opération Serval que mène la France au Mali".

 

Le contingent espagnol a "mené a bien plus de 500 sorties et accumule plus de 1.500 heures de vol", souligne le communiqué. Il a "transporté 4.000 passagers et 700 tonnes de matériel, en plus d'avoir fourni 10.000 litres de combustible en vol".

 

Pedro Morenés et sa délégation ont quitté Dakar, mardi en début d’après-midi, à destination du Cap-Vert, la "dernière étape" de leur tournée africaine.

 

Outre le Sénégal, M. Morenés s’est rendu en République Centrafricaine, au Gabon et au Mali. Comme au Sénégal, il a "visité les militaires espagnols détachés [dans ces pays] pour collaborer avec les missions de maintien de la paix et de la sécurité".

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 13:45
Mali – France : signature de l’accord de défense avant le 14 juillet

 

17.06.2014 maliactu.net

 

Des sources diplomatiques révèlent que l’accord de défense devrait être signé entre les autorités maliennes et françaises d’ici le 14 juillet 2014, date de la célébration de la fête nationale en France.

 

La signature de ce fameux document de coopération militaire entre les deux pays a été maintes fois reportée. Selon les autorités, cet accord doit permettre de donner un cadre juridique à la présence française au Mali après l’opération Serval qui devait s’achever à la fin du mois de mai. Les autorités avaient dû surseoir à leur agenda à cause de la nouvelle montée de tension au nord du Mali.

Après la conclusion de cet accord, Serval va être remplacée par une nouvelle opération plus élargie sur le terrain. Elle concernera, cette fois-ci, outre le Mali qui devrait abriter un millier de soldats français, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad, où les militaires français sont présents depuis des années. Au total, 3000 hommes vont être engagés pour cette nouvelle opération axée sur la lutte contre le terrorisme et l’éradication des groupes djihadistes.

 

Des reports récurrents

Initialement prévue pour le 20 janvier 2014, des manifestations d’hostilité à sa signature ont été enregistrées à travers l’opinion nationale. Elle avait été reportée par la suite à une date ultérieure avant d’être mise sur la table au mois de mai. L’ex ministre de la défense, Soumeylou Boubeye Maïga, déclarait avec conviction au début du mois précédent que l’entente sera conclue « d’ici la fin de ce mois de mai ».

Les évènements de Kidal qui ont débuté vers la moitié du mois de mai ont causé, encore une fois, un autre report de la signature de l’accord militaire. Ce, alors que l’agenda du ministre français de la défense était déjà établi. Il devait se rendre à Bamako, à la fin du mois de mai, pour la signature de l’accord historique de défense avec le Mali.

Ces dits évènements ont considérablement contribué à tenir l’image de la France aux yeux de l’opinion malienne. Même si une grande frange gardait une position de méfiance, c’est désormais les maliens en général qui ont adopté une posture hostile à la France et à ses activités au Mali.

 

Un accord polémique

Depuis la première annonce, des voix se sont levées au Mali pour dénoncer un tel accord entre le Mali et la France. La date initialement prévue pour sa signature a été la première polémique qui a causé son report. Le 20 janvier étant la date où le dernier soldat français a quitté le sol malien, beaucoup de nationalistes voyaient en cela une provocation qu’ils interprétaient comme un retour à la colonisation.

Au-delà de cette date, un certain nombre de maliens croient que l’accord cache le calendrier secret de l’opération française au Mali. Les détracteurs à cette intervention défendaient que la France ne pouvait fournir, sans arrière-pensée, autant d’effort dans une guerre qui n’est pas la sienne. L’ambiguïté de la position française par rapport aux rebelles du nord du Mali est venue renforcer le nombre de partisans de cette thèse du complot.

Autre accusation, la France est soupçonnée de vouloir maintenir une présence militaire permanente au Mali à travers une clause dans l’accord qui lui permettrait l’installation d’une base militaire permanente dans une localité du nord du Mali.

 

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:45
L'opération EUFOR-RCA en pleine capacité opérationnelle... Déjà?!


18.06.2014 par Philippe Chapleau  - Lignes de Défense
 

Un communiqué de presse conjoint (et vibrant de satisfaction) du ministère des Affaires étrangères et du Développement international et du ministère de la Défense EUFOR-RCA a été diffusé hier.

 

Le texte du communiqué.

"La France salue le déploiement réussi des forces de l’opération militaire européenne en République centrafricaine, EUFOR RCA. Il s’agit d’une nouvelle étape dans l’engagement de l’Union européenne en faveur de la stabilisation du pays et de la protection des populations civiles. Ayant atteint sa pleine capacité opérationnelle le 15 juin, la force de l’Union européenne comprend 700 soldats et gendarmes - français, espagnols, estoniens, finlandais, géorgiens, lettons, luxembourgeois, néerlandais, polonais et roumains. Outre la protection de l’aéroport de Bangui, EUFOR-RCA assurera désormais la sécurisation des 3e et 5e arrondissements de Bangui, en soutien des forces de l’Union africaine de la MISCA et aux côtés de l’opération Sangaris."

 

Ce texte me suggère quelques questions auxquelles je n'ai pas encore trouvé les réponses:
- 700 soldats et gendarmes: ne parlait-on pas de 800, voire 1000?
- combien de ces soldats sont déployés sur le territoire de la RCA? Combien en Grèce? Combien dans d'autres pays africains?
- combien de Français parmi eux?
- combien de temps précisément cette force sera-t-elle déployée?

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:45
Sangaris : le GTIA « Acier » relève le GTIA «Savoie »

 

18/06/2014 Sources : EMA

 

Le 13 juin 2014, sur le camp de M’Poko, le groupement tactique interarmes (GTIA) « Savoie» a été relevé par le GTIA « Acier ». La cérémonie, présidée par le général Soriano, fut l’occasion de mettre à l’honneur l’engagement opérationnel des hommes du GTIA « Savoie ».

 

Commandé par le colonel Cyrille Becker, le GTIA « Savoie » s’est déployé à Bangui et à Boda fin février 2014. Il était composé d’un état-major tactique, de deux compagnies d’infanterie du 13e bataillon de chasseurs alpins, d’une compagnie de combat du 2e régiment d’infanterie de marine, de renforts et de détachements de soutien.

 

Ce déploiement autour de de la capitale centrafricaine avait plusieurs objectifs : appuyer la montée en puissance et le déploiement de la MISCA et assurer, à ses côtés, un niveau minimal de sécurité au profit des populations centrafricaines.

 

Durant près de quatre mois,  le GTIA « Savoie » a mené des missions permanentes de contrôle de zones dans la capitale en faisant appliquer les mesures de confiance : opération de désarmement en étroite coopération avec les forces de sécurité intérieures, démontage de check points et actions auprès des populations. Toutes les semaines, un détachement était chargé d’escorter les convois civils de marchandises entre la sortie nord de Bangui et la localité de Boali à 70km au nord-ouest. Une compagnie était déployée au PK12, au nord, avec un poste de contrôle fixe afin de contribuer à rétablir la libre circulation des personnes et des biens. Des éléments ont également été déployé ponctuellement dans l’est du pays à Bambari et à Bria en soutien du GTIA « Scorpion ».

 

Ce sera désormais au GTIA « Acier », commandé par le colonel Didier Leurs, chef de corps du 16e bataillon de chasseurs, d’assurer cette mission. Il est composé de l’état-major tactique et de trois compagnies de combat, dont une provenant du 7e bataillon de chasseurs alpins, ainsi que de renforts.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : le GTIA « Acier » relève le GTIA «Savoie »Sangaris : le GTIA « Acier » relève le GTIA «Savoie »
Sangaris : le GTIA « Acier » relève le GTIA «Savoie »
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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:45
Une flotte de la marine chinoise en visite en Afrique du Sud

 

18.06.2014 Source: Xinhua

 

Une flotte de la marine chinoise a jeté l'ancre à Victoria Bay, au Cap, dernière étape de sa tournée africaine de huit pays, et a été accueillie par plus de 1.000 personnes.

 

Le contre-amiral Robert Higgs de la marine sud-africaine a déclaré dans son discours d'accueil que la visite symbolise l' amitié et la coopération croissante entre l'Afrique du Sud et la Chine, qui permettra également de renforcer la coopération entre les marines des deux pays.

 

L'officier a expliqué que pendant la visite, il y aura une série d'activités entre l'Escort Task Group et la marine sud- africaine. Les Sud-africains pourront également visiter les deux frégates anti-missiles modernes.

 

Ensemble, les deux pays peuvent beaucoup contribuer à la paix dans la région et dans le monde, a souligné le contre-amiral Higgs.

 

L'ambassadeur chinois en Afrique du Sud, Tian Xuejun, a déclaré que la visite intervient dans une période où la Chine et l'Afrique enregistrent des avancées rapides et solides au niveau du partenariat stratégique sino-sud-africain établi depuis quelques années.

 

"Cette visite de l'Escort Task Group est un symbole important des échanges et de la coopération amicale entre la Chine et l' Afrique du Sud et entre les armées chinoises et sud-africaines", a poursuivi M. Tian.

 

Comprenant deux frégates anti-missiles et un navire d' approvisionnement, l'Escort Task Group a effectué un voyage d' environ 200 jours, traversant l'océan Pacifique, l'océan Indien, la mer Méditerranée et l'océan Atlantique avant d'amarrer en Afrique du Sud.

 

Ces six dernières années, l'Escort Task Group a participé à des missions d'escorte dans le golfe d'Aden et dans les eaux au large de la Somalie, accompagnant plus de 5.500 navires.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 11:45
STREIT Group’s largest ever contract to meet growing demand  in Africa

 

18th June 2014 STREIT Group

 

A contract to build 480 special purpose vehicles for use in riot control situations in Africa has just been announced by STREIT Group.

 

This is the largest single order in STREIT’s 22-year history. It will involve building products to fulfil a range of riot control, site illumination and side and front barricade functions, and fitting them with various urban crowd control equipment.

 

The world’s leading privately owned manufacturer of armored vehicles is about to reach a major landmark in its development, as Chief Executive Guerman Goutorov explains:

 

“This is a very exciting time for STREIT Group. We are set to achieve treble-digit growth, both through new contract awards and through new commercial and armored personnel carrier lines that we will be demonstrating for the first time at Eurosatory in Paris.”

 

He continues: “The need for riot control and urban response units, both armored and unarmored, has grown significantly in the Middle East and Africa in the last few years. STREIT is ideally placed to meet this need, thanks to our manufacturing capacity, third-party technology alliances and R&D expertise.”

 

The 480 vehicles will enter service in early 2015, in North Africa, and will be built at STREIT’s impressive Ras Al Khaimah factory in the United Arab Emirates. Believed to be the largest armored vehicle manufacturing facility in existence, it is one of 12 production facilities worldwide with which STREIT meets customers’ growing demand for high production capacity.

 

Guerman Goutorov adds: “STREIT Group’s rapid growth is based on on high-quality, innovative, dynamic product development, coupled with value for money, high productivity and excellent customer service. Our primary aim is customer protection, whilst as a business our goal is to increase our revenue globally and to consolidate our leadership in the market.”

 

So far STREIT has shipped more than 17,000 vehicles to its clients worldwide, for use in some of the most dangerous environments on earth.  Everyone who has been involved in an incident while travelling in a STREIT Group vehicle has lived to tell the story.

 

For further information on STREIT Group, visit www.armored-cars.com.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 09:45
photo EMA

photo EMA

 

Deux spectres hantent les interventions de maintien de la paix sur le continent africain. Le premier est le génocide rwandais de 1994, face auquel la communauté internationale a réagi, mais trop tard, par l'opération Turquoise. À cet égard, ce fut l'honneur de la France de s'interposer dans la guerre civile centrafricaine, qui menaçait de devenir à son tour un génocide.

Cependant, le second spectre est celui de la première bataille de Mogadiscio, en 1993. Deux cents hommes de l'opération Restore Hope, essentiellement américains, furent engagés dans des combats acharnés contre des miliciens somaliens trente fois plus nombreux. En mai 2014, deux mille soldats français tentent, aux côtés des forces africaines, de désarmer vingt mille rebelles de la Seleka et soixante-dix mille des anti-Balakas. Donc, en examinant lucidement les rapports de forces en présence - et même si chaque conflit possède sa logique propre -, nos troupes risquent à tout moment de subir un nouveau Mogadiscio pour avoir voulu éviter un Rwanda.

 

Suite de la tribune

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:45
Denel PMP to double turnover to R1 billion

 

17 June 2014 by defenceWeb

 

Munitions company Denel PMP aims to double its turnover to over R1 billion over the next five years as it grows its presence in Africa and meets the growing requirements of the local market.

 

Phaladi Petje, CEO of the Pretoria West-based company, says PMP will be embarking on a plant-renewal programme to modernise its machinery and production processes.

 

“We will also increase our research and development capacity. PMP is set to become the ammunition solution partner of choice both in South Africa, across the continent and in any of the markets we are targeting,” said Petje.

 

The Defence Review, presented to Parliament earlier this year, has highlighted the need for self-sufficiency in the provision of ammunition not only to the South African National Defence Force (SANDF), but the security cluster as a whole. “PMP is in an excellent position to meet all the SANDF’s current and future needs for small and medium calibre ammunition,” according to Petje.

 

“We have been in this business for more than 75 years and the experience gained over this period will enable us to meet the challenges emanating from the local defence community.”

 

The state-owned company has a strong relationship with the SANDF and Armscor that covers product development and testing to the ultimate production and delivery as well as after sales service, proofing and destruction of ammunition. “We offer our clients a complete life cycle management approach,” said Petje.

 

The company intends to build a similar relationship with the SA Police Service, metro police forces and the private security industry, Denel said in a statement today. “We can meet almost the entire local demand for small calibre ammunition in the defence and security sectors,” he said.

 

Petje also foresees significant opportunities for business growth on the rest of the African continent. The company now manufactures 7.62 mm calibre ammunition for the well-known AK-47 assault rifle as well as a range of 23 mm ammunition widely used by African defence forces. Denel PMP has formed strategic relationships with companies in Europe whilst similar mutually beneficial relationships are being pursued in Africa and within the Brics (Brazil, Russia, India, China and South Africa) partnership, the company said.

 

More than 40% of PMP current production of ammunition is destined for the export market (export revenue amounted to R185 million last year, while total revenue was R531 million). Petje said that “innovation is at the core of the company’s future” and Denel is working together with Armscor, the Council for Scientific and Industrial Research (CSIR) and local universities on various research and new product developments.

 

PMP specialises in manufacturing small- and medium-calibre ammunition and technology-related products for military and commercial use. It also manufactures crew escape systems and power cartridges for local and international clients. The company supplies handgun and rifle ammunition to the commercial sector. It also provides the mining industry with drill bits and the electrical manufacturing sector with brass strip. These are commercial products that are derived from defence technology. Lead styphnate and lead azide are supplied to the chemical industry for the manufacture of detonators for the mining industry.

 

PMP’s main range of products include small-calibre ammunition ranging from 5.56 mm to 12.7 mm and medium-calibre ranges of ammunition from 20 mm to 35 mm and percussion caps of all types, as well as links for various small- and medium-calibre rounds.

 

PMP also produces power cartridges, rocket motors and canopy fragilisation systems for the safe ejection of pilots from aircraft; Probit rock drill bits for the mining industry and primary explosives and explosive products for commercial use in the private sector.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 18:20
Libye: opération secrète américaine

 

17 juin, 2014 – BBC Afrique

 

Un homme suspecté d’avoir dirigé l’attaque contre le consulat américain de Benghazi, en Libye, a été arrêté, a révélé le Pentagone.

 

L'assaut du 11 septembre 2012 avait coûté la vie à quatre Américains.

 

Ahmed Abu Khatallah est détenu depuis son arrestation lors d’une opération secrète des Américains en Libye le 15 juin.

 

Il est aujourd’hui sous détention dans un endroit sécurisé, à l’extérieur de la Libye, a confirmé un porte-parole du Pentagone.

 

L'ambassadeur américain Christopher Stevens et trois autres personnes avaient été tués dans cette attaque.

 

« Aucun civil n’a été blessé pendant cette opération et tout le personnel américain est aujourd’hui en dehors de la Libye”, a révélé un porte-parole du Pentagone dans un communiqué.

 

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 17:20
L'AFRICOM étudie une solution de transport aérien "low volume, low frequency" en Afrique

 

17.06.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

L'USTRANSCOM (Transportation Command) et l'AFRICOM organisent les 9 et 10 juillet (à O'Fallon, Illinois) un atelier de mise en place d'un "Multinational Airlift Consortium Working Group". Contacts et "special notice" sont à consulter ici.

Selon l'avis, il s'agit d'étudier la faisabilité d'une externalisation du transport aérien (personnels et fret) au profit des forces armées US (DoD)  mais aussi d'autres agences fédérales (non-DoD) déployées sur le continent africain, ainsi que des partenaires multinationaux.

L'avis précise "low volume": 10-14 passagers et 2000/6000 pounds de fret, et "low frequency": 1/2 fois par semaine.

Le/les prestataires, si l'USTRANSCOM prolonge l'atelier du 9 et 10 juillet, devront fournir des appareils, des équipages et tout l'équipement d'entretien etc.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:45
L'Angola prend la présidence du Comité de la défense de la région des Grands Lacs

 

16 juin 2014 (Xinhua)

 

LUANDA - Le ministre angolais de la Défense Joao Lourenco a pris la présidence du Comité de la défense de la région des Grands Lacs, à l'issue d'une réunion du comité de deux jours tenue vendredi et samedi à Luanda.

 

M. Lourenco succède à son homologue ougandais, Odongo Jeje, rapporte dimanche l'agence de presse angolaise officielle Angop.

 

La réunion de Luanda a rassemblé 11 des 12 ministres du Comité de la défense de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), avec l'absence de celui de la République centrafricaine.

 

Au cours de la rencontre, les ministres ont examiné un rapport du Comité des chefs d'état-major de la CIRGL, qui fait état de  l'amélioration  de la situation sécuritaire dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).

 

Les pays de la région des Grands Lacs ont mis en place la CIRGL en 1994 en vue d'un effort concerté pour promouvoir la paix et le développement de la sous-région.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:45
Libya deploys special forces to protect petrol stations

 

17 June 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Libya is deploying special forces to protect petrol stations in the capital Tripoli packed by angry motorists trying to refill, the government said, as the state oil firm struggles to bring in fresh supplies.

 

Petrol stations across Tripoli have seen for almost two weeks queues stretching sometimes kilometres, adding to the frustration of Libyans exhausted by chaos and violence.

 

Libya's state oil firm says it has sufficient supplies but a lack of security at petrol stations makes it difficult to bring in fresh supplies. Residents say some of the fuel is being sold on the black market.

 

The government said in a statement posted late on Sunday it had agreed with Tripoli's security headquarters to deploy the interior ministry's special forces to protect petrol stations.

 

In the up-market Gargaresh district, trucks with mounted anti-aircraft guns were seen protecting two petrol stations and shepherding long queues of motorists.

 

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 15:45
Sangaris : le général Bellot des Minières relève le général Soriano

 

 

17/06/2014 Sources : EMA

 

Le 17 juin 2014, le général de brigade Eric Bellot des Minières a pris le commandement de l’opération Sangaris (COMANFOR Sangaris). Il relève le général de brigade Francisco Soriano qui a commandé les forces françaises engagées en République Centrafricaine depuis le 5 décembre 2013.

 

La cérémonie de transfert d’autorité était présidée par le général de corps d’armée Clément-Bollée, commandant les forces terrestres. Elle s’est déroulée sur le camp de M’Poko en présence de nombreux invités, dont le premier ministre centrafricain et l’ambassadeur de France.

 

Depuis le mois de décembre 2013, l’action de la force Sangaris a permis de mettre fin aux exactions massives qui étaient conduites contre la population, de rétablir un niveau minimal de sécurité dans une vielle qui abrite plus du quart de la population centrafricaine, et d’accompagner la montée en puissance et surtout le déploiement de la MISCA sur le territoire.

 

Au cours de ces six premiers mois, l’action de la force s’est déroulée au travers d’un engagement de la force articulé en trois phases.

 

La première phase, en appui de la MISCA, avait pour objectif de rétablir à Bangui un niveau de sécurité minimale, afin de créer les conditions d’un retour de la vie au sein de la capitale. Cet effort a permis d’initier la reprise du fonctionnement des services publics les plus importants (hôpitaux, écoles) ainsi que de la vie économique. Aujourd’hui, tous les établissements de santé de Bangui sont opérationnels, une vingtaine de marchés et près de 75 établissements scolaires sont ouverts enfin, le trafic aérien civil sur l’aéroport de M’Poko a doublé en quatre mois.

 

La deuxième phase, a été marquée par un effort porté vers l’ouest du pays, avec pour objectif de sécuriser la route reliant le Cameroun à Bangui, un corridor économique qui constitue le véritable « poumon économique » du pays. Cette action a permis de garantir la reprise des flux, en particulier alimentaire, évitant ainsi une catastrophe humanitaire. Désormais près de 400 véhicules empruntent cet axe chaque semaine, dont la moitié sans demander d’escorte à la force Sangaris ou à la MISCA, permettant ainsi de ravitailler Bangui, où se concentre près d’un quart de la population centrafricaine.

 

La troisième phase, débutée fin mars 2013, consistait à se déployer vers l’Est, en faisant initialement effort sur l’axe reliant Bangui à Bria, au travers de missions de reconnaissance et de sécurisation visant à protéger la population et à appuyer le déploiement de la MISCA.

 

Aujourd’hui, le pilier sécuritaire a permis de mettre fin au cycle des exactions et de retrouver un niveau de sécurité minimum, bien qu’encore précaire. Il a surtout permis de mettre en place les conditions du développement des piliers politiques, économiques et judiciaires qui, seuls, permettront d’espérer une résolution dans la durée de la crise centrafricaine.

 

Ces avancées ont été rendues possibles par l’engagement déterminé des militaires français, qui a coûté la vie à trois de nos soldats et fait une dizaine de blessés.

 

En prenant le commandement de la force Sangaris, le général Bellot des Minières va prolonger cet engagement, en portant son effort sur l’établissement des conditions de déploiement de l’opération de maintien de la paix des Nations-Unies, en appui des soldats de l’Union Africaine et en étroite coordination avec ceux de l’opération EUFOR RCA.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : le général Bellot des Minières relève le général SorianoSangaris : le général Bellot des Minières relève le général SorianoSangaris : le général Bellot des Minières relève le général Soriano
Sangaris : le général Bellot des Minières relève le général Soriano
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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:45
Thales supplies secure communications services for EU force in Central African Republic

 

17.06.2014 Thales
 

Thales has been chosen to supply and operate the European Union Force (EUFOR) with a highly secure communication and information system in the Central African Republic.

 

The system deployed and operated in theatre by Thales in the Central African Republic employs a wide range of technologies including satcom and point-to-point PMR radio links, fire-optic links, secure voice over IP (VoIP) and video on demand. All these services are available simultaneously and can be implemented extremely quickly, enhancing operational value for forces in the field. The system also provides data storage and back-up for users and military applications. Complex combinations of transmission solutions are required to meet the broad spectrum of operational situations encountered on this deployment, which increasingly call for data and video services as well as voice.

 

The contract covers three deployment phases. The first phase, involving the provision of secure communication services between chiefs of staff and in-theatre units, was completed in April. The second phase is now underway.

Thales will equip EUFOR’s two points of presence in Bangui as well as the European command headquarters in Larissa, Greece. The Central African theatre network is connected to Larissa via a satcom link also supplied and operated by Thales.

Thales’s experience as a supplier of information system and secure communication services proved decisive in the contract award. Since 2006, Thales has been delivering secure voice and data communication services for NATO’s International Security Assistance Force (ISAF) in Afghanistan.

Thales’s solution guarantees a very high level of telecommunication service availability for EUFOR, with highly qualified Thales on-site personnel operating the system around the clock.

 

“This success with EUFOR in Central African Republic is a further endorsement of the operational value of our turnkey network operations services and our ability to guarantee extremely high levels of reliability and availability for users.”

Gérard Herby, Services Director, secure communications and information systems activities, Thales.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 07:45
Thales fournit des services innovants de communication sécurisés sur le théâtre des opérations en Centrafrique

 

Eurosatory, 17 Juin 2014 Thales

 

Thales a été retenu par la force de l’Union européenne (EUFOR-RCA) pour lui fournir et opérer un système de communication et d’information hautement sécurisé en République centrafricaine.

 

Ce système déployé et opéré par Thales sur le théâtre des opérations en Centrafrique fait appel à des technologies aussi variées que les liaisons satellitaires, les liaisons radio PMR point à point, la fibre optique, la voix sur IP sécurisée et la vidéo à la demande. Toutes ces technologies sont délivrées en même temps, dans un délai de mise en oeuvre extrêmement court, ce qui constitue une vraie valeur ajoutée pour les forces sur le théâtre. Le système offre également des capacités de stockage et de sauvegarde de données pour les utilisateurs ainsi que des applications métier militaires. La multiplicité des situations opérationnelles nécessite en effet une combinatoire poussée de toutes les solutions de transmission de données, pour la voix mais aussi de plus en plus pour les données et la vidéo.

Le contrat comprend trois phases de déploiement ; la première a été achevée en avril dernier, fournissant les services de communication sécurisés entre l’état-major et le théâtre centrafricain et la deuxième phase est en cours de réalisation.

Thales équipe les deux points de présence à Bangui, ainsi que l’état-major européen basé à Larissa, en Grèce. Le réseau de théâtre centrafricain est connecté à l’état-major européen grâce à une liaison satellite fournie et opérée également par Thales.

L’expérience reconnue de Thales dans la fourniture de services de systèmes d’information et de communication sécurisés a été un élément décisif pour remporter ce contrat en Centrafrique. Depuis 2006, Thales délivre des services innovants de communication sécurisés voix et données à la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF) de l’Otan en Afghanistan.

La solution de Thales garantit une très haute disponibilité du service de télécommunication. L’EUFOR peut ainsi s’appuyer sur les équipes de Thales hautement qualifiées présentes sur place pour opérer le système 24 heures sur 24, sept jours sur sept.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 07:45
EUFOR-RCA atteint sa pleine capacité opérationnelle

 

 

16 juin 2014 (Xinhua)

 

BRUXELLES - La force de l'Union européenne en République centrafricaine (EUFOR RCA) a atteint sa pleine capacité opérationnelle ce dimanche du 15 juin, a annoncé lundi le Service européen pour l'action extérieure (SEAE)

 

Déployée dès le début du mois d'avril, EUFOR RCA est désormais forte de 700 soldats et gendarmes pour assurer d'abord la sécurisation et la protection de l'aéroport de Bangui pour un mandat de quatre à six mois. Elle assure aussi, en coordination avec les forces de l'Union africaine (UA), la sécurité des 3ème et 5ème arrondissements de Bangui où existent de profondes tensions intercommunautaires et la plupart des violences qui agitent la capitale centrafricaine.

 

Toujours selon le SEAE, EUFOR RCA sera renforcée d'une centaine de soldats supplémentaires au cours des prochains jours.

 

EUFOR RCA s'inscrit dans le cadre de la résolution 2134 du Conseil de sécurité des Nations Unies en date du 28 janvier dernier. Elle vise, en appui de l'UA et en coordination avec la force d'intervention française Sangaris, à l'établissement d'un environnement stable et sécurisé pour le retour durable des populations déplacées, à l'appui des projets européens d'assistance et de développement, au rétablissement de la complète liberté de mouvement des acteurs humanitaires dans son secteur.

 

 EUFOR RCA se prépare aussi à appuyer le déploiement de l'opération de maintien de la paix des Nations Unies prévu d'ici la fin de l'année 2014.

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 11:45
Un Transal C160 transportant un hélicoptère Tigre

 

Crédit : EMA / armée de Terre

 

Le 4 juin 2014, à 10h 17, un avion Transal C160 transportant un hélicoptère Tigre se pose sur le tarmac de l’aéroport de Bamako.


Dans le cadre de la réorganisation des moyens aéromobiles de la force Serval et de la cinématique de relève des matériels, ce Tigre va être mis en condition pour rentrer en France par voie aérienne.

 

Reportage photos

 

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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 11:45
Piraterie maritime en baisse, mais de plus en plus violente

Des opérations de lutte contre la piraterie sont menées dans le golfe d’Aden et la côte orientale de Somalie (Archives/ONU)

 

12 juin 2014 par Nicolas Laffont – 45e Nord.ca

 

Les pirates continuent de sévir essentiellement dans les eaux d’Asie du Sud-Est, mais la violence de leurs attaques s’est accrue dans le golfe de Guinée tandis que la piraterie somalienne a été pratiquement éradiquée, a indiqué jeudi l’ONU.

 

Un rapport de l’Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (UNITAR)sur la piraterie maritime mondiale a identifié plusieurs tendances importantes liées à la sécurité maritime.

Ainsi, en 2013, plus de 150 attaques ont été enregistrées dans les mers d’Asie du Sud-Est, région qui enregistre le plus grand nombre d’incidents depuis 2012.

En Afrique de l’Ouest, principalement le golfe de Guinée, une cinquantaine d’attaques ont été comptabilisées en 2013, un chiffre stable depuis trois ans. Le rapport précise que les attaques en haute mer ne cessent d’augmenter depuis les années 2000, tandis que celles dans les ports diminuent depuis 2005/2006.

Surtout, «concernant l’Afrique de l’Ouest, bien qu’il n’y ait pas une augmentation à court terme, la nature des attaques est en train de changer, elles deviennent plus violentes», a expliqué un responsable d’Unitar, Einar Bjoergo.

Les experts sont d’autant plus inquiets – en termes de coûts pour les entreprises – qu’ils soulignent que seuls 5 % des navires qui traversent le golfe de Guinée disposent d’une assurance antipirates des mers, alors que près de la moitié des navires qui passent par le golfe d’Aden sont assurés.

Ils sont aussi préoccupés de la quasi-absence de coordination régionale pour lutter contre la piraterie, qui cible principalement les pétroliers, dans cette partie du monde.

 

Cartes des attaques en Afrique de l’Est et de l’Ouest. (UNITAR/UNOSAT)

 

«Elle a pratiquement cessé, dans l’océan Indien occidental, depuis 2011», alors que les attaques dans la région étaient en constante augmentation entre 2006 et 2011, a souligné M. Bjoergo, soulignant l’efficacité de l’action coordonnée des forces armées maritimes.

En procédant à l’arrestation de nombreux pirates ces dernières années près des côtes somaliennes, la Force maritime européenne Atalante et les Marines alliées (OTAN, Chine, Japon) ont eu un effet largement dissuasif.

Vingt-huit bateaux ont été attaqués en 2013 dans l’océan Indien occidental, contre plus de 300 en 2011 et plus de 100 en 2012. En outre, aucun navire n’a été détourné dans la région en 2013.

Dans le reste du monde, la piraterie est en repli dans la baie de Bengale et le long des côtes d’Amérique latine, mais pas dans le bassin des Caraïbes (où les attaques restent cantonnées aux ports).

La piraterie maritime s’est accrue dans le monde à la fin des années 1990, atteignant un pic en 2011, avec plus de 500 attaques, en majorité dans l’océan Indien occidental, avant de reculer depuis début 2013.

Deux cent soixante-quatre attaques ont été comptabilisées dans le monde en 2013, contre 353 en 2012 et 569 en 2011.

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 12:45
Sangaris : Entraînement au franchissement d'obstacles en véhicules

 

Crédit : EMA / armée de Terre


Opération Sangaris, 10 juin 2014, à Bouar -  Entraînement au franchissement d'obstacles en véhicules.
 

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 12:45
Sangaris : point de situation du 12 juin 2014

 

 

13/06/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 5 au 11 juin 2014.

 

Les effectifs de la force Sangaris sont toujours de 2000 hommes. Au  terme de quatre mois de mandat, une relève des unités est en cours. Les premiers soldats ont quitté le théâtre au début du mois de juin et sont passés par le sas de décompression à Chypre, réactivé pour faciliter leur retour. Le GTIA de Boissieu a relevé le GTIA Dragon à l’ouest du pays. Le GTIA Acier sera progressivement déployé à Bangui et Boda à partir de mi-juin, en remplacement du GTIA Savoie. Le GTIA Scorpion sera relevé dans quelques semaines et continue la sécurisation de l’est de la République Centrafricaine. Il se déploie depuis cette semaine en direction de Kaga-Bandoro, au Nord du pays. Les effectifs de la MISCA sont de 5 800 hommes. Ceux d’EUFOR RCA sont désormais de 600 hommes avec l’arrivée du contingent géorgien ; ils incluent 250 militaires français.

 

A Bangui, la force Sangaris poursuit sa mission de contrôle de zone en appui de la MISCA et des forces de sécurité intérieure centrafricaines dans les 3eet 5earrondissements. Cette semaine, la situation est restée calme dans la ville de Bangui et les indicateurs sanitaires et économiques restent stables : les établissements de santé sont toujours opérationnels (33), 75 établissements scolaires sont ouverts ainsi qu’une vingtaine de marchés.

 

Le 8 juin, la MISCA a appuyé les forces de sécurité intérieures centrafricaines dans une opération de désarmement volontaire initiée par le gouvernement de transition. EUFOR et Sangaris ont appuyé cette action en sécurisant la collecte de l’armement récolté auprès des mairies de chaque arrondissement, de Bimbo et de Begoa, et à la maison des jeunes de Fatima. Si un volume assez faible d’armement a été collecté, cette opération a cependant permis de confirmer la qualité de la coordination entre FSI, MISCA, EUFOR et Sangaris.

 

Dans l’ouest, le GTIA Dragon a été relevé le 6 juin par le GTIA de Boissieu à Bouar, en présence du général Soriano. Commandé par le colonel Armel Dirou, chef de corps du 4e régiment de chasseurs, il est composé de l’état-major et d’un peloton de ce régiment, d’une compagnie du 7ebataillon de chasseurs alpins, d’une compagnie du 3e régiment parachutiste d’infanterie de marine et d’un détachement de renfort..

 

La situation dans la région est calme en dépit d’une phase de tension au cours de la semaine entre certains camionneurs et la MISCA à la suite de l’annulation de l’escorte d’un convoi. Cette situation prouve que certains camionneurs craignent encore d’emprunter l’axe sans l’appui des forces internationales. Suite à cet incident, seuls 270 véhicules, dont 210 poids lourds, sont entrés dans le pays au cours de la semaine. Ce regain de tension vient rappeler qu’une attention permanente doit être accordée à cette zone.

 

Dans l’est subsistent des zones marquées par les affrontements. La force y trouve une situation caractérisée par une fracture communautaire et une grande attente envers Sangaris en matière de sécurité. Cette semaine, des combats ont ainsi eu lieu entre ex-seleka et anti-balakas dans le secteur de Bakala (nord-ouest de Bambari). Afin d’éviter que la situation ne s’envenime, une opération conjointe impliquant la force Sangaris, la MISCA et les forces centrafricaines a été menée au sud de Sibut. Elle a permis de désarmer des anti-balakas et de montrer à la population que les forces internationales s’opposent à tous les groupes armés susceptibles de la menacer.

 

Malgré ces tensions, des signes positifs sont observés dans la région. Une usine de sucre (SUCAF) va ainsi rouvrir à Ngakobo au sud de Bambari. Elle a été inaugurée le 5 juin en présence du COMANFOR et de l’ambassadeur de France en RCA. Alors que ce site de production avait été pillé en janvier 2013, la reprise de son activité renvoie un signal positif sur le développement du pilier économique, avec la perspective de générer 1300 emplois.

 

La semaine a également été marquée par le déploiement de la force Sangaris dans le couloir central conduisant de Sibut vers le Nord du pays. La reconnaissance de la ville de Dekoa s’est déroulée sans incident le 9 juin, grâce notamment au travail de concertation réalisé par le GTIA Scorpion en amont de son engagement. « Convaincre plutôt que de contraindre » est bien le principe qui guide l’action des forces françaises. Dans les jours à venir, la force poursuivra sa reconnaissance vers la ville de Kaga Bandoro. A terme, la réouverture de cet axe permettra de rétablir le lien entre le nord du pays et la capitale, tout en garantissant les conditions d’un déploiement futur des forces de la mission de l’ONU.

Sangaris : point de situation du 12 juin 2014Sangaris : point de situation du 12 juin 2014
Sangaris : point de situation du 12 juin 2014Sangaris : point de situation du 12 juin 2014Sangaris : point de situation du 12 juin 2014
Sangaris : point de situation du 12 juin 2014Sangaris : point de situation du 12 juin 2014
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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 12:45
Serval : point de situation du jeudi 12 juin 2014

 

13/06/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties, dont 20 effectuées par les avions de chasse. 30 sorties ont été dédiées aux missions de transport et 20 aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Le 9 juin, un Mirage 2000D de retour de mission s’est écrasé dans une zone semi-désertique à mi-chemin entre Gao et Niamey. Suite à une panne technique, l’équipage s’est éjecté, avant d’être récupéré sain et sauf. La zone du crash est depuis sécurisée en coopération avec les autorités nigériennes. Comme pour tout accident d’aéronef, l’objectif est dorénavant le relevage de l’épave.

 

Le 6 juin, lors d’une mission de contrôle de zone dans la région d’Almoustarat, au Nord de Gao, et sur renseignement de la population, des éléments de la force Serval ont découvert une importante cache d’armes. 11 roquettes de 122 mm ont ainsi pu être récupérées dans un puits avant d’être détruites.

 

Parallèlement, les missions des détachements de liaison et d’appui (DLAO) se poursuivent. Le 9 juin, à Tessalit, des séances d’entraînement ont été assurées au profit du bataillon SIGUI des forces armées maliennes. Les entraînements ont principalement porté sur les savoir-faire basiques tels que le déplacement, l’orientation, et la transmission d’un message.

 

Le 11 juin, la force Serval a apporté son appui à la MINUSMA suite à l’attaque suicide qui a visé son camp à Aguelhock et qui a fait 4 morts dans les rangs du bataillon tchadien. Le GTD Dio a assuré l’évacuation sanitaire d’une partie des blessés, qui ont été pris en charge par les structures médicales de Kidal et de Gao de la force Serval.

 

Enfin, les 8 et 9 juin ont été marquées par la visite du général d’armée Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), auprès des militaires de l’armée de Terre déployés au Mali. Le CEMAT est arrivé le 8 juin à Bamako où un point des opérations lui a été présenté par le COMANFOR et les personnels du poste de commandement. En fin de soirée, il s’est adressé à l’ensemble des personnels de Bamako. Sa visite s’est poursuivie le lendemain par des déplacements à Tombouctou puis Tessalit pour y rencontrer les détachements de liaison et d’appui opérationnels (DLAO). En fin de journée, il a été accueilli sur la PFOd de GAO où il a pu rencontrer l’ensemble des détachements.

Serval : point de situation du jeudi 12 juin 2014
Serval : point de situation du jeudi 12 juin 2014
Serval : point de situation du jeudi 12 juin 2014
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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:45
Kenya to acquire new military helicopters and other hardware

 

09 June 2014 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The Kenyan government has unveiled plans to spend US$1 billion acquiring 10 new military helicopters, the refurbishment of three grounded Russian-made Mi-17 helicopters and the installation of closed circuit (CCTV) surveillance cameras in 10 cities in terms of a strategic five-year national security plan to secure the country against a series of terrorist attacks blamed on Somali Islamist militant group Al Shabaab.

 

The Standard reports the budget, released to the heads of national security agencies which include the army, intelligence, prisons and police services by cabinet secretary for the Interior Ministry Joseph Lenku in Nairobi last week, also includes the leasing of at least five helicopters to improve the operations the police force aerial wing.

 

The 2014/2015 budget will also cover the hiring of undisclosed number of motor vehicles and the acquisition of new motorcycles for the police services in addition to the 1 200 vehicles leased for the force last year. The budget will also cover additional vehicles for high-ranking police officers including regional superintendents and assistant commissioners.

 

According to the budget breakdown, the government will spend $205.6 million on the acquisition of 10 new military helicopters, $12.6 million on the renovation of three grounded Mi-17 helicopters, $11.4m on leasing helicopters to enhance aerial police patrols and a further $171.3 million on the metropolitan CCTV surveillance system.

 

The Integrated Public Safety Communication and Surveillance System will cover the municipalities of Nairobi, Mombasa, Nakuru, Kisumu, Garissa, Eldoret, Thika, Kisii, Nyeri and Kakamega. The controversy-shrouded tender for its implementation was recently won by local company Safari.com.

 

"This is part of the modernisation of our security systems in that we are able to use technology to respond to emerging crime trends. Criminals are becoming more sophisticated and we think this is the solution to tame them," Lenku said.

 

The first phase of the project involves mapping of the Mombasa and Nairobi line which will then be fitted with 1 800 communication and surveillance cameras monitored from a command and control centre in Nairobi.

 

The system will use infrared cameras capable of capturing images in dim light, Box cameras and Dome cameras capable of covering a 360 degree observation angle. The CCTV system is also capable of identifying and cross-checking faces against local police and Interpol databases of known criminals and terrorists.

 

The command and control centre will initially be connected to 195 police stations in the Nairobi and Mombasa municipalities while 7 600 officers will have walkie-talkies connected to the system.

 

The connection will enable officers to use a distress button fitted to the walkie-talkie to send video imagery of the situation around them via high speed internet link. Addressing the nation during the independence celebrations on Sunday, President Uhuru Kenyatta said the country has to spend more to achieve national security.

 

"Terrorists, thieves and poachers threaten our lives, our property and our national heritage. Our first line of defence is our men and women in the disciplined services and my government will stand with them. We have introduced CCTV cameras in major cities and towns, as well as broadband connectivity at border points.

 

"We have already provided at least 1 200 vehicles for the police, which will soon be equipped with CCTV cameras. Nearly 8 000 men and women have already joined our armed services to strengthen them for the challenges to come. This year, we have set aside Sh2.9 billion for the recruitment of 10 000 more police officers," Kenyatta said.

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:45
Centrafrique: au moins 22 tués dans des affrontements entre groupes armés dans l'Est

 

12 juin 2014 Romandie.com (AFP)

 

Bangui - Au moins 22 personnes ont été tuées et des dizaines d'autres blessées dans des affrontements entre des ex-rebelles Séléka, à dominante musulmane, et des milices chrétiennes anti-balaka dans l'est de la Centrafrique, a-t-on appris jeudi auprès de la gendarmerie locale.

 

Au moins 22 personnes ont été tuées et plus d'une trentaine d'autres blessées dans des affrontements qui ont éclaté lundi et mardi derniers dans le village de Liwa, à 10 km de Bambari (est), a affirmé à l'AFP une source au sein de la gendarmerie locale ayant requis l'anonymat.

 

Ces violences opposaient des ex-Séléka appuyés par des peuls armés et des anti-balaka, a précisé la même source.

 

On dénombre aussi 127 maisons d'habitation incendiées par les ex-Séléka et peuls armés. D'autres personnes ont été enlevées et conduites à Bambari par ces derniers, qui ont exécuté publiquement mardi deux hommes, a précisé la source.

 

A Paris, le ministère français de la Défense a également fait état jeudi de combats entre ex-Séléka et anti-balaka dans les environs de Bambari les 6 et 10 juin.

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:45
Maroc-Russie, la coopération militaire a le vent en poupe

 

11.06.2014 medias24.com

 

En marge du 1er forum économique entre les deux pays qui vient de s’achever, le Maroc et la Russie ont décidé de développer une coopération militaire inédite. Le royaume affiche désormais clairement sa volonté d'acquérir des armes russes.

 

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