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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 17:45
Un au revoir des Savoyards

 

14/02/2014 ASP M. FOUQUET – Armée de Terre

 

Février 2014 : les militaires du 13e bataillon de chasseurs alpins sont prêts à rejoindre la Centrafrique, pour la relève de l’opération Sangaris. La validation avant projection a été adaptée aux difficultés du théâtre, prenant en compte la situation actuelle. Zoom sur leur préparation opérationnelle

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 13:55
Zoom sur 8 jours au cœur de l’armée de Terre en Centrafrique

 

17/02/2014 armée de Terre

 

Patrouilles. Contacts. Reconnaissance. Saisie d’armes. Contrôle de zone. Soins aux blessés. Zoom sur 8 jours au cœur de l’armée de Terre en Centrafrique.

 

Le reportage photos

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 11:45
L'opération française en Centrafrique n'est pas près de s'achever

 

15/02/2014  Par lefigaro.fr



Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a indiqué samedi que la présence française sera plus longue que prévu. L'armée française et la force de l'Union africaine ont mené une opération de désarmement samedi matin dans un quartier chrétien de Bangui.

 

«Je crois que ça sera plus long que prévu.» Jean-Yves Le Drian a prévenu samedi que l'opération militaire française en Centrafrique devrait encore durer, au lendemain de l'annonce de l'envoi de 400 soldats français supplémentaires dans ce pays. «Le niveau de haine et de violence est plus important que celui qu'on imaginait», a justifié le ministre de la Défense sur France Inter. Une opération militaire «ne se décrète pas comme du papier à musique, il faut s'adapter, se rendre compte des situations et répondre au besoin de sécurité en fonction des événements», a-t-il également expliqué. Début décembre, lors du lancement de l'intervention française, le président François Hollande avait évoqué une opération «rapide».

Seulement, Paris a décidé vendredi d'envoyer 400 soldats supplémentaires, ce qui portera à 2000 les effectifs français en Centrafrique. La France répondait notamment à une demande du secrétaire général des Nations unies. Ban Ki-moon doit présenter prochainement au Conseil de sécurité ses propositions pour transformer l'actuelle force africaine Misca en une opération des Nations unies. «À partir du moment où on s'oriente vers une opération de maintien de la paix au niveau des Nations unies, je pense que cet accroissement de notre présence était indispensable», a souligné Jean-Yves Le Drian. Ces renforts comprendront des unités de combat d'infanterie, des hélicoptères de transport et des moyens logistiques et de commandement. «Beaucoup d'exactions» continuent d'être perpétrées en Centrafrique, a ajouté le ministre.

 

La tension est palpable à Bangui

Sur place, l'armée française et la force de l'Union africaine ont mené samedi matin une opération de désarmement de miliciens anti-balaka (à majorité chrétiens) dans un quartier chrétien de Bangui. Il s'agit de la plus grosse opération de ratissage depuis le début de l'intervention. En tout, 250 militaires et policiers ont été déployés pour cette opération. «Toutes les personnes chez qui des armes ont été saisies ont été identifiées et seront remises à la gendarmerie», a affirmé à l'AFP le capitaine Bolo, un gendarme camerounais de la Misca. Le quartier est un fief banguissois des milices anti-balaka, régulièrement accusées d'exactions envers les civils musulmans.

Au cours de cette opération, le «coordonnateur politique» des anti-balaka, Édouard Ngaissona, a pu échapper à l'armée. L'opération s'est achevée sous les huées des habitants qui scandaient notamment à l'adresse des soldats français et africains: «Cassez-vous ou on va s'occuper de vous!»

Apparus comme des milices luttant contre la rébellion Séléka, à dominante musulmane, qui avait pris le pouvoir en mars 2013 et qui persécutait la communauté chrétienne, les anti-balaka ont rapidement semé la terreur dans Bangui et en province.

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 12:55
La France envoie 400 soldats supplémentaires en Centrafrique

 

14/02/2014 Par Adrien Jaulmes - LeFigaro.fr

 

La France va renforcer le contigent de l'opération «Sangaris», afin de soulager les unités sur place et faire face à la montée de l'insécurité dans le pays.


 

La France a décidé d'envoyer 400 hommes supplémentaires en ­Centrafrique, augmentation importante du volume de l'opération «Sangaris» que le pouvoir politique a pourtant tout fait pour éviter. La décision a été annoncée hier à l'issue d'un Conseil de défense restreint, et après le retour du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de sa visite en RCA. Le président de la République a décidé de porter «temporai­rement à 2000 les effectifs militaires français déployés en Centrafrique», dit le communiqué de l'Élysée, «pour répondre à l'appel du secrétaire général de l'ONU», et «à la décision de l'Union européenne d'engager une opération militaire en Centrafrique.»

Ces renforts de 400 hommes comprennent une cinquantaine de gen­darmes, qui permettront de faire face à la nouvelle situation à Bangui, où le départ et le casernement des ex-Séléka ont réglé en partie le problème militaire, mais a fait naître une insécurité qui relève plus de la criminalité: pillages, lynchages et autres violences. Ces gendarmes devraient à terme être intégrés à une force européenne (Eufor), qui devra être déployée en RCA. Le reste, soit 350 hommes, sera composé de troupes de combat. Ils permettront de soulager un peu les unités déjà sur place, soumises depuis deux mois et demi à un rythme épuisant. Et de donner plus de mobilité à l'opération «Sangaris», qui est en train de se déployer dans les provinces et a besoin de plus d'hommes que les volumes initiaux. Les effectifs de la Misca, la force panafricaine, ont atteint un volume de 6000 hommes, mais manquent de moyens de transports permettant d'opérer dans les provinces.

 

Les effectifs initiaux ont rapidement été dépassés par les événements

La question des effectifs se pose depuis le début de l'opération française en RCA le 5 décembre 2013. François Hollande avait à l'époque assuré que le chiffre de 1600 hommes ne serait pas dépassé. «Il n'y en aura pas davantage, cela suffira.» Mais l'opération «Sangaris», planifiée initialement pour faire face aux seules milices de l'ex-Séléka qu'il s'agissait de consigner dans leurs casernes et de désarmer progressivement, s'est retrouvée dès son déclenchement face à des situations imprévues. Le soulèvement des milices Anti-Balaka, qui avaient réussi à attaquer Bangui quelques heures avant le déclenchement de «Sangaris», puis le déchaînement de la vengeance populaire contre la minorité musulmane ont vite dépassé les capacités des forces déployées, obligées d'intervenir comme des pompiers sur des feux multiples, qui reprennent aussitôt étouffés.

Les effectifs sur le papier n'indiquent pas non plus les forces réelles dont dispose le commandement sur le terrain. Une partie des troupes appartiennent à des unités de soutien, ou sont «consommées» par des astreintes de garde. Le nombre de véhicules est aussi limité, et, en comptant d'indispensables périodes de repos, seule une partie des soldats présents en RCA sont disponibles opérationnellement. Le ministère de la Défense a précisé que la décision d'envoyer des renforts était motivée par l'évolution positive de la situation, et que l'opération était entrée «dans une deuxième phase». Elle contredit cependant toutes les assurances répétées depuis le début que le volume des forces ne dépasserait en aucun cas les 1600 hommes initialement prévus.

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 12:45
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 13 février

 

14/02/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties, dont 20 effectuées par les avions de chasse. 30 sorties ont été dédiées aux missions de transport et de ravitaillement et 20 aux missions de renseignement.

 

Lundi 10 février, dans le cadre de la revue stratégique d’EUTM Mali et d’études de planification, le groupe politico-militaire de l’Union Européenne (28 conseillers) a effectué une visite sur Bamako, incluant une visite auprès de la force Serval sur le camp Damien Boiteux. Ils ont pu rencontrer différentes autorités du PCIAT afin de bénéficier de l’expérience française dans la réalisation de l’opération Serval. Ces conseillers ont également mené une série d’entretiens, notamment auprès des autres forces en présence (EUTM Mali et MINUSMA), des autorités maliennes, et des différentes représentations étrangères au Mali (ambassades).

 

Le 7 février 2014 sur la plateforme opérationnelle de Gao a eu lieu le transfert d’autorité au sein du GTIA Désert de la force SERVAL.

 

Le colonel Lionel CATAR, chef de corps du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins (7e BCA) a succédé au colonel Hervé PIERRE, chef de corps du 3e Régiment d’Infanterie de Marine (3e RIMa).

 

Durant son mandat de quatre mois, le GT Korrigan aura poursuivi la lutte contre les groupes armées terroristes dans le Nord de la boucle du Niger, en contribuant notamment à la neutralisation d’individus mi-novembre à 200km à l’Ouest de Tessalit et le 23 décembre au Nord de Tombouctou. Il aura également poursuivi l’affaiblissement de leur logistique avec le démantèlement d’un important stock de munitions le 20 novembre dans la région de Gao et la destruction de près de 6 tonnes d’explosif (nitrate d’ammonium) fin décembre à 150 km au Sud-Ouest de Tessalit.

 

Parallèlement, le GT Korrigan aura appuyé les forces armées maliennes et de la MINUSMA dans la sécurisation des élections législatives, qui se sont déroulées sans incident sécuritaire majeur. Ces élections, dont le deuxième tour s’est déroulé le 15 décembre, ont marqué la fin d’un cycle visant à ramener les conditions d’une normalisation de la vie politique au Mali. Le groupement a ensuite contribué à l’allègement de la force Serval, qui se poursuit encore aujourd’hui. Cet allègement a été accompagné de la manœuvre de réarticulation des détachements de liaison et d’appui (DLA) et des détachements d’appui opérationnel (DAO) en détachements de liaison et d’appui opérationnels (DLAO).

 

Le GT Vercors est composé d’un état-major, d’une compagnie de combat du 7e Bataillon de chasseurs alpins (7eBCA), d’un escadron du 4e Régiment de chasseurs (4e RCh), d’une section génie du 2e Régiment étranger de génie (2eREG) et d’un sous-groupement aéro-mobile du 1er Régiment d’hélicoptères de combat  (1er RHC).

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 13 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 13 février
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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 12:45
photo ECPAD

photo ECPAD

 

14/02/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République de Centrafrique, du 07 au 14 février 2014.

 

Au cours de cette semaine, la force Sangaris a poursuivi sa mission visant à rétablir un niveau de sécurité minimal en Centrafrique, en protégeant les populations des violences de toutes sortes.

 

Depuis le 09 février, la force Sangaris a désormais un de ses deux GTIA complètement déployé en province tandis que l’autre poursuit ses opérations de contrôle de zone dans les rues de Bangui.

 

A Bangui, la situation sécuritaire s’est apaisée dans la majorité des quartiers, s’illustrant par la réouverture de certaines écoles, commerces et marchés. La situation dans d’autres quartiers, comme le 3e ou le 5e arrondissement, reste néanmoins très variable. La chef d’Etat de transition a décidé d’alléger les horaires du couvre-feu jusqu’alors en vigueur : de 20H00 à 05H00 actuellement, contre 18H00-06H00 précédemment.

 

Le 10 février 2014, la force Sangaris a détruit plus de 750 Kg de munitions. Ces munitions  ont été saisies auprès de groupes armés qui ne respectaient pas les mesures de confiance, ou trouvées à l’occasion de la découverte de caches d’armes, ou tout simplement de munitions abandonnées après utilisation mais non explosées (UXO). C’est par mesure de sécurité que ces munitions ont été détruites, les conditions antérieures de stockage et de manipulation n’offrant pas les garanties nécessaires pour une conservation dans un dépôt ou pour leur réutilisation.

 

Au Nord de Bangui, à « PK12 », les troupes françaises ont découvert, le 11 février, une importante cache d’armes et de munitions dans un secteur abritant des groupes armés. Plusieurs types de mines, d’obus de mortier, de munitions de différents calibres ont ainsi été saisis par la force.

 

L’amélioration de la situation sécuritaire à Bangui a permis à la force Sangaris et à la MISCA de se déployer plus largement en province. Après les villes de Sibut, M’Baiki, Boda, Boali, Bossembélé, Bossangoa, Yaloké, la MISCA et les forces françaises continuent leur progression dans le pays. Elle vise à la fois à maintenir la liberté de mouvement sur les principaux axes routiers en démontant les check-points barrant les routes, à protéger les populations en contraignant les groupes armés à respecter les mesures de confiance, et enfin accélérer la prise en compte des zones par la MISCA.

 

Après avoir patrouillé à Bossemptélé en début de semaine, les soldats de la force Sangaris ont rejoint le 12 février la deuxième plus grande ville de la Centrafrique, Berberati, située à 450km à l’Ouest de la capitale. Ils y ont trouvé une situation calme et sans trace de violences. Ils poursuivent actuellement leur mission sur l’axe routier principal reliant Bangui au Cameroun.

 

Le 14 février enfin, après avoir réuni un Conseil de défense restreint, le Président de la République a décidé de renforcer le dispositif Sangaris et de porter son effectif à 2000 hommes. Dans les jours à venir, des éléments français, déjà déployés dans la région, renforceront Sangaris. Ces renforts seront constitués d’éléments de combat, de moyens aéromobiles, de commandement et de logistique. Ils permettront à Sangaris de poursuivre son déploiement en province et d’accélérer celui de la MISCA.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : point de situation sur les opérations au 14 février 2014
Sangaris : point de situation sur les opérations au 14 février 2014
Sangaris : point de situation sur les opérations au 14 février 2014
Sangaris : point de situation sur les opérations au 14 février 2014
Sangaris : point de situation sur les opérations au 14 février 2014
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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 17:03
Centrafrique: la France accroît sa présence militaire

14/02/2014 LeFigaro.fr (AFP)

 

La France va envoyer un contingent supplémentaire de 400 hommes en Centrafrique, d'après l'Elysée. 


Actuellement, l'armée française compte 1600 hommes présents dans le pays.

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 08:45
Sangaris : Premières relèves

 

13/02/2014 Sources : EMA

 

Le 10 février 2014, une des premières compagnies engagées dans l’opération Sangaris a été relevée au terme d’une mission de quatre mois commencée en Côte d’Ivoire et achevé en Centrafrique.

 

Dans le cadre des forces prépositionnées, le 126e régiment d’infanterie se trouvait en RCI, prêt à intervenir en cas d’alerte sur un théâtre voisin.

 

C’est ainsi que les fantassins de Brives ont été déployés en République Centrafricaine à la fin du mois de décembre 2013. Pendant un peu plus d’un mois, ils ont assuré plusieurs missions dans Bangui, notamment la défense du camp de M’Poko et de l’aéroport international.

 

Le capitaine Geoffroy L., commandant la compagnie, explique : « Les bisons de la 2e compagnie ont rempli une mission exigeante qui constitue une riche expérience pour tous mes hommes. »

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 08:45
Serval : Acheminement de containers en provenance de Dakar

 

13/02/2014 Sources : EMA

 

Les 4 et 5 février 2014, la force Serval et le Centre de Coordination Interarmées des Transports, Transits et Mouvements (CCITTM), ont procédé à l’acheminement de containers de fret en provenance du Sénégal vers Bamako.

 

Plusieurs liaisons ferroviaires sont organisées tous les mois. Les containers sont déchargés au port de Dakar avant d’être transportés par train vers le camp Damien Boiteux à Bamako.

 

Pour assurer le contrôle et la sécurité du convoi routier jusqu’au camp militaire de Bamako, le CCITTM est soutenu par une escorte de militaires appartenant au bataillon logistique « Normandie Provence ».

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : Acheminement de containers en provenance de DakarServal : Acheminement de containers en provenance de DakarServal : Acheminement de containers en provenance de Dakar
Serval : Acheminement de containers en provenance de Dakar
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:45
Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti

 

10/02/2014 Sources : EMA

 

Du 4 au 6 février 2014, le transport de chalands de débarquement  (TCD) Siroco, bâtiment amiral de la force européenne Atalante, était en relâche opérationnelle à Djibouti.

 

A cette occasion, le commandant de la force, l’amiral Hervé Bléjean, a rencontré le 4 février les unités de la force Atalante stationnées à Djibouti.

 

Accueilli par le commandant de l’élément de soutien Atalante et officier de liaison Atalante à Djibouti, la délégation de l’état-major embarqué a rencontré le personnel du SEA et les équipages des avions de patrouille maritime allemands et espagnols actuellement déployés dans le cadre de l’opération Atalante et stationnés sur la Base Aérienne 188 des forces françaises stationnées Djibouti (FFDj).

 

Au cours de sa visite, l’amiral Bléjean a salué le rôle essentiel des moyens aériens dans la lutte contre la piraterie. Les renseignements collectés par les équipages de ces aéronefs permettent d’anticiper des actes de piraterie, de localiser des bâtiments suspects et de les poursuivre.

 

Après avoir remercié le commandant de la Base Aérienne 188, qui assure  un soutien logistique au profit des équipages Atalante, l’amiral Bléjean a rencontré Monsieur Joseph Silva, ambassadeur de l’Union Européenne à Djibouti.

 

Djibouti joue un rôle majeur dans les opérations de lutte contre la piraterie. D’une part, les forces françaises stationnées à Djibouti apportent un soutien logistique essentielle à l’opération européenne Atalante (soutien des bâtiments, des avions de patrouille maritime, soutien santé), d’autre part, la République de Djibouti participe à la mobilisation régionale pour lutter contre la piraterie.

 

L’opération Atalante a pour mission d’escorter les navires du Programme alimentaire mondial (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

 

La France est un acteur majeur et historique participant à l’opération Atalante depuis ses débuts avec le déploiement régulier de bâtiments de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement d’un avion de patrouille maritime.

Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djiboutiPiraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti
Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djiboutiPiraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti
Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djiboutiPiraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:45
Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans

 

10/02/2014 Sources : EMA

 

Le 5 février 2014, l’ambassadeur de la République de Pologne en France, Monsieur Tomasz Orlowski, s’est rendu sur la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy auprès du contingent militaire polonais déployé en soutien de la force Sangaris depuis le 30 janvier.

 

Accueilli par le colonel Gilles Besançon, commandant de la BA 123, l’ambassadeur de Pologne a reçu les honneurs du détachement polonais. Il a ensuite visité l’escadron de transport Franche-comté(ET 2.61) et rencontré les membres de l’équipe multinationale de mise en service (Multinational Entry into Service Team - MEST) déployé à Orléans dans le cadre de l’entrée en service de l’avion de transport A400M.

 

Depuis le 30 janvier 2014, les autorités polonaises ont mis un avion de transport tactique C130 à disposition de la force Sangaris pour appuyer les manœuvres logistiques entre la France et la RCA. D’une durée de trois mois, ce soutien est réalisé depuis la base aérienne 123 d’Orléans Bricy.

 

Le contingent polonais compte deux équipages, un avion C-130 Hercules et du personnel de service au sol. Un deuxième appareil est en disponibilité opérationnelle sur la base aérienne de Powidz en cas de défaillance du premier.

 

La coopération de défense entre la France et la Pologne s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique signé en 2008. Cette coopération opérationnelle s’exerce principalement dans le domaine de la formation, des entraînements et des exercices. Elle a dernièrement été mise en évidence dans le cadre de l’exercice de certification de la force de réaction rapide de l’OTAN, Steadfast Jazz. Organisé en Pologne du 2 au 9 novembre 2013, cet exercice avait notamment permis de renforcer notre interopérabilité au sein de l’Alliance.

Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à OrléansSangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans
Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:45
Sangaris : destruction des munitions saisies

 

11/02/2014 Sources : EMA

 

Le 10 février 2014, la force Sangaris a détruit plus de 750 Kg de munitions saisies lors des actions de désarmement des groupes armés et à l’occasion de la découverte de caches d’armes.

 

Très tôt dans la matinée, les experts en explosif et déminage (MINEX) de la force Sangaris se sont déployés à 10km au Nord de Bangui afin de détruire une partie des munitions saisies lors des différentes missions de désarmement et de fouilles réalisées depuis le début de l’opération Sangaris. Appuyée d’une section armée par le 35e régiment d’artillerie parachutiste (35eRAP) dont la mission était de former une bulle de sécurité autour de la zone de destruction et de prévenir les populations environnantes, les sapeurs du 17erégiment du génie parachutistes (17e RGP) ont pu neutraliser en toute sécurité les 750 kilos de matière active par la technique dite « du fourneau ».

 

Ces munitions (obus de mortier, roquettes, grenades, mines et cartouches d’arme automatique) ont été saisies auprès de groupes armés ne respectant pas les mesures de confiance, trouvées à l’occasion de la découverte de caches d’armes, ou tout simplement de munitions abandonnées après utilisation mais non explosées (UXO). C’est par mesure de sécurité que ces munitions ont été détruites, les conditions antérieures de stockage et de manipulation n’offrant pas les garanties nécessaires pour une conservation dans un dépôt ou pour leur ré-utilisation.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés dans le cadre de l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA.

Sangaris : destruction des munitions saisiesSangaris : destruction des munitions saisies
Sangaris : destruction des munitions saisiesSangaris : destruction des munitions saisiesSangaris : destruction des munitions saisies
Sangaris : destruction des munitions saisiesSangaris : destruction des munitions saisies
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 21:45
CEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCA

 

11/02/2014 Sources : EMA

 

Les 3 et 4 février 2014, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées, s’est rendu en République Centrafricaine et au Mali. Ce déplacement avait pour objectif d’inspecter les forces françaises déployées sur ces deux théâtres d’opération et de rencontrer les autorités politiques et militaires locales.

 

En République Centrafricaine, le chef d’état-major des armées s’est rendu auprès des militaires des groupements tactiques interarmes « Amarante » et « Panthère », placés sous les ordres du général Soriano, commandant l’opération Sangaris. Il a également été reçu en audience par madame Samba Panza, chef de l’état de transition.

 

Au Mali, après avoir inspecté le groupement tactique désert à Gao, le CEMA a rejoint le PC de l’opération Serval à Bamako où les travaux actuellement en cours sur le partenariat élargi avec les pays de la bande sahélienne lui ont été présentés.

 

Symboliquement, lors de son dernier déplacement à l’étranger, l’amiral Guillaud a souhaité témoigner de son estime à l’égard de tous les militaires qu’il a eu l’honneur de commander en opérations.

CEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCACEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCA
CEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCACEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCACEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCA
CEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCACEMA : Déplacement de l’amiral Guillaud au Mali et en RCA
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 21:45
Mali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAO

 

13/02/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 1er février, les éléments français détachés en appui des unités de l’armée malienne ou de la MINUSMA sont identifiés sous le vocable unique de Détachement de Liaison et d’Appui Opérationnel : DLAO.

 

Au nombre de six, ces DLAO sont composés chacun de 32 soldats. Ils sont répartis entre Tessalit (2) Kidal, Gao, Ansongo et Tombouctou. Les DLAO succèdent aux DLA (Détachement de liaison et d’appui, déployés aux côtés des bataillons de la MINUSMA) et aux DAO (Détachement d’appui opérationnel, déployés auprès des bataillons FAMA formés par EUTM Mali) qui étaient répartis selon une logique organique. Désormais les DLAO répondent à une logique géographique (prise en compte d’une zone donnée) et de projection indifférenciée aux côtés des FAMA ou de la MINUSMA.

 

Chacun de ces détachements est composé d’une équipe de commandement, d’éléments du génie, d’infanterie, d’une équipe sanitaire complète, de mécaniciens et de contrôleurs aériens.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Mali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAOMali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAO
Mali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAO
Mali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAOMali : les DLA et DAO fusionnent et deviennent des DLAO
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 20:45
Sangaris : la force se déploie en province

13 févr. 2014  FORCESFRANCAISES

 

Depuis le 9 février 2014, le groupement tactique inter-armes (GTIA) « Panthère » de la force Sangaris est entièrement déployé sur l'axe reliant Bangui à l'ouest du pays. Il y conduit des missions de reconnaissance et de sécurisation, afin de protéger la population et d'appuyer le déploiement de la MISCA dans l'ouest du pays.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 19:45
Italian warship training Mozambican Navy

 

10 February 2014 by Dean Wingrin - defenceweb

 

The Italian Navy vessel Borsini is in Mozambican waters for the next two months as it trains the southern African nation’s small navy, following the signature of a maritime collaboration agreement between the two countries.

 

The 30th Naval Group of the Italian Navy, comprising the aircraft carrier Cavour (CVH550), frigate Bergamini (F590), patrol ship Borsini (P491) and supply ship Etna (A5326), left Italy on 13 November on a circumnavigation of the African continent. Commanded by Rear Admiral Paolo Treu, the Naval Group arrived in Maputo, Mozambique, on 27 January.

 

Titled "A Country on the Move", the Naval Group is a joint Italian Navy and industry campaign involving multiple objectives, such as training, maritime security operations, confidence building, naval diplomacy, humanitarian assistance and the promotion of Italian industry.

 

The technical agreement for collaboration with the Mozambique Navy was signed by the Italian Chief of Navy during his visit to Maputo between 28 and 30 January.

 

In terms of the agreement, the Italian and the Mozambican navies will carry out naval cooperation activities in Mozambican waters for two months. In particular, training will be organized at sea and on land with specific emphasis placed on anti-piracy and patrolling in Mozambican territorial waters. Other areas of cooperative training include protection of commercial shipping, the fight against trafficking and rescue at sea.

 

The Italian Navy has experience with anti-piracy operations in the Indian Ocean, being a participant in Operation Atalanta, the European Union’s counter-piracy operation off the coast of Somalia.

 

As a result of the cooperation agreement, the patrol ship Borsini detached from the Naval Group on 1 February and will remain in Mozambican waters for the next two months.

 

Speaking to defenceWeb, Treu said that the Borsini will be helping the Mozambican Navy to grow. “It’s a small navy, so we are trying to provide them (with) our experience in maritime security operations, in particularly in anti-piracy activities and protecting the ships from terrorist attacks,” he said.

 

In light of the recent natural gas deposits discovered in Mozambique, Treu noted that the country has to learn how to protect its resources.

 

“We are there just to help them grow as a navy, providing them with our experience,” he explained. “We will show them how to perform operations (like anti-piracy patrols). If there is a real event going on, of course we could be tasked to do a real operation to fight piracy in case of need,” he continued.

 

The South African Navy, supported by the South African Air Force, has maintained a permanent anti-piracy patrol in the Mozambique Channel since early 2011, under Operation Copper. The frigate SAS Spioenkop is currently on station.

 

Having departed Maputo on 31 January, the three remaining vessels of the Naval Group arrived in Cape Town on 5 February.

 

Following their departure from Cape Town on 11 February, the Naval Group will continue its circumnavigation of the African continent, visiting Luanda in Angola next.

 

Mozambique’s small navy has only a few serviceable vessels, including two Namacurra boats (donated by South Africa), eight patrol vessels (including RHIBs) and a Conejera class patrol craft (Pebane – donated by Spain). However, last year French firm Constructions Mecaniques de Normandie (CMN) was given a $200 million contract to build three Ocean Eagle 43 patrol vessels, three HSI 32 interceptors and 24 CMN 23.5 trawlers for the Mozambican navy. Deliveries are scheduled to take place by 2016.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 19:45
U.S. urges removal of foreign fighters from South Sudan

 

 

10 February 2014 defenceweb (Reuters)

 

The United States on Saturday expressed concern over reported violations of a shaky ceasefire agreement between South Sudan's government and rebel forces and urged the removal of foreign fighters engaged in the conflict.

 

Thousands of people have been killed and more than half a million have fled their homes since fighting erupted in December in a conflict that has brought oil-producing South Sudan to the brink of civil war.

 

State Department spokeswoman Jen Psaki said the United States is "deeply concerned by reports of violations by both the government of South Sudan and anti-government forces" of the ceasefire deal.

 

"We urge the redeployment or phased withdrawal of foreign forces invited by either side, and warn of the serious consequences which could result from any regionalization of this conflict," Psaki said in a statement.

 

President Salva Kiir's government and rebels loyal to his fired deputy, Riek Machar, agreed to the ceasefire on January 23, but both sides have since accused each other of violations.

 

Regional and world powers worry about the potential for a spillover of violence in an already volatile part of Africa. South Sudan declared independence from Sudan in 2011.

 

The rebels have accused government SPLA forces and fighters from the Sudanese Justice and Equality Movement - a rebel group from north of the border - of razing Machar's hometown, massacring women and children as they fled. The government also accuses the rebels of flouting the ceasefire.

 

An advance team sent by east African nations to monitor the ceasefire arrived in South Sudan last Sunday. Violence erupted in the capital, Juba, in December before spreading across the world's newest nation.

 

Psaki said the United States welcomed the arrival in Juba of the first component of the monitoring team, adding that "we strongly urge the government of South Sudan to facilitate (the team's) important work, which will provide both sides with a mechanism to report any breaches of the agreement."

 

Psaki reiterated a U.S. request for the government's release of the last four of a group of 11 detainees held on suspicion of trying to stage a coup.

 

"The expeditious release and transfer of all of the detainees would reduce tension and build confidence in an inclusive reconciliation process," Psaki added.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:45
Terrorisme et piraterie au menu de la tournée africaine de Le Drian

 

10-02-2014 par

 

Le ministre français de la Défense a entamé ce dimanche 9 février une nouvelle tournée africaine. Elle l’a d’abord mené à Ndjamena où Jean-Yves Le Drian s’est notamment entretenu avec le président Déby sur la question du terrorisme dans la région. Le ministre s’est ensuite rendu au Congo-Brazzaville. Une visite axée cette fois sur la sécurisation des activités économiques en mer.

 

La première étape de la visite officielle de Jean-Yves Le Drian l’a conduit à Ndjamena.
Depuis décembre, il s’agit de la quatrième visite du ministre français de la Défense dans la capitale tchadienne. Avec le président Idriss Déby, le ministre de la Défense a évoqué, entre autres, la situation dans le sud de la Libye, un pays avec lequel le Tchad partage un peu moins d’un millier de kilomètres de frontières.

La France veut installer à Ndjamena son centre de commandement opérationnel pour la zone sahélo-saharienne. Idriss Déby a renouvelé son accord ce dimanche. Dans le cadre d’un mouvement de réarticulation des troupes françaises dans la région, la présence française au Tchad devrait être renforcée de 300 hommes, pour arriver à des effectifs proches de 1 400 soldats.

Au Tchad, les militaires français s’appuieront également sur la base de Faya Largeau, mais pourront aussi opérer de manière plus ponctuelle depuis la localité de Zouar, au pied du massif du Tibesti.

Plus à l’ouest, au Niger, Niamey sera le centre dédié au renseignement. Madama, dans l’extrême nord du pays, près de la Libye, où se trouve un ancien fort français, pourrait aussi devenir un autre point d’appui. Enfin, l’armée française restera à Tessalit, dans le nord du Mali, non loin de la frontière algérienne.

 

La piraterie, un problème endémique

Après Ndjamena, Jean-Yves Le Drian poursuit sa tournée au Congo-Brazzaville. Il est arrivé ce dimanche à Pointe-Noire, la capitale économique. Cette fois, sa visite est axée sur la sécurisation des activités économiques en mer, et notamment la question pétrolière. Car l’exploitation pétrolière représente 60 % du Produit intérieur brut du Congo-Brazzaville.

Or, en mer, c’est l’or noir qui intéresse les pirates, qui utilisent la technique du « bunkering » qui consiste à siphonner les bateaux-citernes pour revendre le carburant. Mais les équipages aussi servent parfois de monnaie d’échange. Un mode d’action très courant dans le golfe de Guinée où 154 attaques ont été recensées en 2013. Mais fin janvier, un pétrolier grec, le mont Kerala, a, selon son armateur, été attaqué au large de Luanda, en Angola. Une première.

Les marines de la région commencent à s’équiper en achetant des patrouilleurs. La Chine a livré quatre navires de 46 mètres au Congo. La France a remporté un marché au Togo. Mais au-delà des moyens déployés en mer, les pays riverains doivent mieux coopérer. À Pointe-Noire, Jean-Yves Le Drian visitera le futur Centre de coordination de l’action régionale, qui doit commencer à fonctionner en mars prochain.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:45
USARAF training helping African nations

 

 

06 February 2014 defenceweb

 

The training US Army Africa (USARAF) is providing to different African nations is helping them secure their own borders as well as own regions, in line with the US policy of helping Africans solve their own problems.

 

This is according to Major Albert Conley III, USARAF's Counter Terrorism Desk Officer for International Military Engagements. He said that this means the US doesn't need to get involved and whatever American interests are in that region or country will, as a secondary effect, be secure because USARAF is helping them with internal and external security.

 

“If Africans are solving African problems the US government won't need to use the United States Army to solve African problems. For example, by having a conglomerate of nations in the African Union going into Somalia to help fix that nation's problems means American servicemen don't have to go into Somalia to help fix that problem,” he said.

 

USARAF is currently partnering with the French government to train and equip in Guinea and will be in Chad and Malawi this month to train more than 4 000 African troops for peace enforcement missions in Mali and the DRC.

 

“We are ready to begin training in Chad for about 1 300 soldiers - an 850 man battalion plus another 450 man battalion. While we are not partnering with the government of France, we are partnering with a private French security firm the government of Chad has contracted. They are providing some training and we are also providing some,” said Colonel John Ruffing, USARAF Security Co-operation Director.

 

USARAF is planning more training and equipping iterations -- probably a total of about 15 between now and the end of the fiscal year, with various countries on the African continent.

 

“We are looking at partnering with some of our non-traditional partners as well and would like to partner with an African nation to train other countries. We'd also like to work with an international, non-traditional partner to train a third-party African nation in a particular skill set, as well as provide us with training because we don't know how to operate in that environment very well, and are learning each and every time we put people on the continent," he said.

 

USARAF only started training and equipping African nations about 18 months ago.

 

“A lot of this is coming on-line now with the Regionally Aligned Forces. An example would be how the US Army Africa worked during Shared Accord 13 (SA13).

 

“It was a sophisticated exercise where we did air field seizure, forcible entry operations, an amphibious assault and the environment was difficult with high sea states, low visibility, high winds and we were able to conduct this operation through mission command in a C-130 where you had a South African general officer and a US colonel sitting side-by-side with the South African general making decisions to conduct this operation. There were two forces --the US and South Africa, conducting this event. Not only conventional forces were involved, but there were Special Forces from both countries involved in this exercise,” he said.

 

Because of lessons learned from that Shared Accord 13 the impact was seen almost immediately.

 

“I believe the training received during SA 13 helped 1/18th Infantry when they were sent to South Sudan to reinforce the US Embassy there as part of the East Africa Response Force operations. Had that force just been sitting at a location doing training and not understanding the environment or working with a foreign military, it might have been a little more difficult. But because they were able to work in the environment with South Africa during Shared Accord, I think that helped them and prepared them for that operation in South Sudan.”

 

Conley offered additional examples.

 

“We trained in Niger and then Niger went into Mali. We are now working with the French to actually get the assessment of that since we're not working with them in Mali. So, now the French get to see this unit we trained and equipped to go in and fight in Mali and secure the area. The French are actually giving us the assessment and evaluation of that unit and then whatever lessons are learned, we will implement them in the next training mission,” he said.

 

Another and perhaps better example, Conley said, is from training in East Africa.

 

“The US government has been training in Uganda, Kenya, Djibouti and Burundi to conduct peacekeeping missions in Somalia. For the longest time they were restricted to the city of Mogadishu. Because of all the training we've been doing with them, building up different units with reconnaissance capabilities so they can push out of Mogadishu and into the countryside while pushing the terrorist group El Shabaab out speaks of success. I don't need to be on the ground to see the success of that - it's evident."

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Sangaris : Opération de la Force à Boda

 

08/02/2014 Sources : EMA

 

Le 5 février 2014, un détachement de la force Sangaris s’est déployé dans la ville de Boda à environ 130 kilomètres à l'ouest de Bangui pour assurer la protection de la population.

 

Quelques jours auparavant la force Sangaris avait reçu des informations laissant craindre des exactions. Face au risque qui pesait sur les populations, le général Soriano, commandant la force Sangaris, décide de lancer rapidement une opération vers cette localité.

 

Celle-ci s’est déroulée en deux temps.

 

Le 3 février en fin de journée, un détachement d’une trentaine d’hommes s’engage dans une reconnaissance héliportée pour confirmer les informations et évaluer précisément la situation. Lors de sa prise de contact avec la population, cet élément a pu constater que des exactions avaient effectivement eu lieu dans les jours précédents. Si la situation est apparue plus calme, la persistance de tensions a décidé le COMANFOR Sangaris à renforcer la présence française à Boda.

 

La décision a donc été prise d’engager l’unité la plus proche, un sous-groupement tactique (GTIA, soit une centaine d’hommes) qui conduisait une mission de contrôle de zone dans la ville de  M’Baïki, 85 kilomètres au sud-est de Boda. Pour pouvoir quitter sa position et s’engager vers Boda, Sangaris a demandé à la MISCA de la relever sur M’Baïki. Cette relève sur positions s’est effectuée le 4 février 2014 et dès le lendemain, le GTIA français a entamé sa reconnaissance vers Boda. À son arrivée sur place, le détachement a constaté que la situation était demeurée calme. Au cours de ses missions de reconnaissance en ville, il a procédé à la saisie d’un certain nombre d’armes détenues en violation des mesures de confiance.

 

Le détachement français poursuit depuis le 5 février sa mission de protection des populations.

Sangaris : Opération de la Force à BodaSangaris : Opération de la Force à Boda
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

L’escouade« carburant » du camp Damien Boiteux est responsable du ravitaillement en carburant de toute la plate-forme opérationnelle de Bamako, ainsi que des convois routiers. Composée d’une dizaine de militaires du 503erégiment du Train (503e RT), elle est sous le commandement du bataillon logistique « Normandie-Provence » de la force Serval.

 

Le service des essences des Armées (SEA) assure la livraison mensuelle de près de50m3 de carburant au profit des détachements stationnés à Bamako. Deux fois par jour, l’escouade carburant se déploie dans l’ensemble du site pour réapprovisionner les groupes électrogènes qui permettent la production d’électricité. Une mission nécessaire pour le bon fonctionnement de l’infirmerie, du mess, ou encore des douches de campagne.

 

Environ2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties, dont environ 25 effectuées par les avions de chasse. Une trentaine de sorties a été dédiée aux missions de transport et une quinzaine aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Le 28 janvier 2014, les opérations conduites par la force Serval au Nord de Tombouctou ont permis la découverte d’une cache qui abritait un important stock d’armements et de munitions : fusils de type AK47 et Dragunov, cinq corps de missiles SA7 (inaptes au tir), des roquettes, des grenades, des mines anti-char et de nombreuses munitions de petit calibre. Cette action, qui s’inscrit dans le cadre des opérations permanentes de la force Serval au Nord de la boucle du Niger, a porté un coup supplémentaire aux ressources logistiques des groupes armées terroristes (GAT).

 

Depuis le 1erfévrier, les éléments français détachés en appui des unités de l’armée malienne ou de la MINUSMA sont identifiés sous le vocable unique de Détachement de Liaison et d’Appui Opérationnel : DLAO. Au nombre de six, ces DLAO sont composés chacun de 32 soldats. Ils sont répartis entre Tessalit (2) Kidal, Gao, Ansongo et Tombouctou. Les DLAO succèdent aux DLA (Détachement de liaison et d’appui, déployés aux côtés des bataillons de la MINUSMA) et aux DAO (Détachement d’appui opérationnel, déployés auprès des bataillons FAMA formés par EUTM Mali) qui étaient répartis selon une logique organique. Désormais les DLAO répondent à une logique géographique (prise en compte d’une zone donnée) et de projection indifférenciée aux côtés des FAMA ou de la MINUSMA.

 

Dimanche 2 février, un site de lancement de roquettes a été découvert dans la région de GAO, à cinq kilomètres au sud-est de l’emprise. Une équipe EOD de la force Serval est intervenue aux côtés d’une section malienne pour détruire 5 roquettes de 57 mm. Cette opération a été rendue possible grâce aux renseignements donnés par la population.

 

Du 2 au 4 février, une délégation du conseil de sécurité de l’ONU s’est rendue à Bamako pour soutenir le processus de stabilisation en cours. A l’occasion de ce déplacement, la MINUSMA a sollicité l’intervention de la force Serval pour compléter son dispositif de sécurité. Au terme de sa visite, la délégation du CSNU a salué l’action de Serval au Mali.

 

Lundi 3 février, l’amiral Guillaud est arrivé à Gao dans le cadre de sa dernière inspection de théâtre auprès des soldats français engagés dans les opérations extérieures. Mardi 4 février, le CEMA a poursuivi sa visite en se rendant à Bamako. En compagnie de l’ambassadeur de France, il a rencontré le président de la République malienne, Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, et le ministre de la défense malienne, Monsieur Soubéye Maïga.

 

Il s’est ensuite rendu au camp Damien Boiteux où il s’est adressé aux troupes françaises présentes à Bamako. Rappelant la fierté qu’il avait éprouvé à les commander, il a salué la qualité de leur engagement dans la lutte contre les groupes armés terroristes. La pression continue exercée sur cet adversaire permet aujourd’hui la reconstruction progressive de l’Etat malien, la reprise de la vie économique et la poursuite de la montée en puissance des FAMA.

 

Le 3 février enfin, 2 roquettes de 107 mm ont été tirées à proximité de la PfOD de GAO. Ce tir n’a causé aucun dégât humain ni matériel.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Sangaris: point de situation du 8 février 2014

 

 

08/02/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République de Centrafrique, depuis le 31 janvier jusqu'au 8 février 2014.

 

La force Sangaris a poursuivi au cours des huit derniers jours ses missions à Bangui et en province, afin de rétablir un niveau de sécurité minimal et appuyer la montée en puissance de la MISCA.

 

Tandis que les opérations de contrôle de zone visant à faire appliquer les mesures de confiance par tous se poursuivent, la force a intensifié cette dernière semaine son action en province. Cette évolution a notamment été permise par une baisse du nombre d’exactions et l’amélioration du niveau sécuritaire général dans Bangui, sous l’effet des opérations combinées de la MISCA et de Sangaris.

 

Les 1eret 2 février, plusieurs opérations ciblées de contrôle de zone ont été conduites dans Bangui par la MISCA et Sangaris. Ces actions coordonnées visaient essentiellement les quartiers Ouango, Galabadja, Boeing, Boy Rabe, Miskine, ainsi que le 3e arrondissement. Elles ont permis de désarmer des anti-Balakas, comme que des ex-Sélékas. Elles illustrent la détermination de la force à faire appliquer les mesures de confiance.

 

Du 31 janvier au 4 février, la MISCA a conduit une opération visant à prendre pied dans Sibut, 180 kilomètres au nord de Bangui, pour y installer un détachement en contrôle de zone. Deux compagnies de la MISCA (l’une du Gabonet l’autre du Burundi) ont bénéficié de l’appui d’un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) français. Conçue, planifiée et conduite par la MISCA, cette opération qui a mobilisé environ 400 hommes a permis d’améliorer la protection des populations. Elle illustre également le degré d’interopérabilité entre la MISCA et Sangaris qui, à cette occasion, était en mesure de garantir un appui aérien à la MISCA (avions de chasse et hélicoptères).

 

Le 5 février, un détachement d’une centaine d’hommes a été engagé en direction de la ville de Boda, où une dégradation de la situation sécuritaire et des exactions avaient été signalées (motivant déjà une reconnaissance héliportée conduite le 3 février). Ce détachement qui était déployé en contrôle de zone à M’Baïki depuis le 28 janvier a été relevé le 4 février par une compagnie de la MISCA. Le lendemain, il a ainsi pu entamer sa mission vers Boda, à 85 kilomètres plus à l’ouest. La reconnaissance de l’axe comme l’entrée dans la ville se sont déroulées sans incident. Ce détachement de Sangaris assure désormais une mission de contrôle de zone dans Boda et ses abords.

 

Les opérations se sont par ailleurs poursuivies dans les villes de Yaloké et de Bossangoa où la situation est restée calme au cours de la semaine. Lors des missions logistiques menées depuis Bangui pour ravitailler les militaires français qui y sont déployés, la force est intervenue pour faire cesser des exactions et démonter des check-points qui avaient été installés. Sangaris garantit ainsi, en complément du dispositif tenu par la MISCA, la liberté de circulation sur l’axe Bangui – Yaloké, artère vitale pour l’économie centrafricaine.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés en République centrafricaine, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris: point de situation du 8 février 2014Sangaris: point de situation du 8 février 2014
Sangaris: point de situation du 8 février 2014
Sangaris: point de situation du 8 février 2014Sangaris: point de situation du 8 février 2014
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
photos BA 188 - 5e RIAOM

photos BA 188 - 5e RIAOM

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Du 26 au 31 janvier 2014, le général de division Dominique-Marie Pinel, adjoint à l’inspecteur des armées (IDA), a contrôlé les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Le général de division Pinel s’est fait présenter l’ensemble des composantes des FFDj afin de mieux apprécier la diversité et la complémentarité du dispositif stationné à Djibouti. Ces présentations ont fait l’objet de rencontres et de déplacements sur le terrain. Elles ont permis de mettre en avant les possibilités qu’offre le territoire en matière de préparation opérationnelle interarmées, et de soutien aux opérations (Atalante)

 

Le général de division Pinel était accompagné de représentants techniques de l’infrastructure de la défense (ITID), d’une délégation du service du commissariat des armées (SCA) et d’un officier traitant de l’état-major des Armées (EMA) en charge de la piraterie.

 

Par ailleurs, plusieurs tables rondes ont été organisées avec les militaires du rang, les officiers, les sous-officiers et les civils de la Défense. Ces rencontres ont permis d’échanger sur la condition du personnel et les réformes en cours. Considérées comme des observateurs privilégiés par les fonctions qu’elles occupent au sein de la force, certaines entités, comme l’aumônerie, l’échelon social, le poste de protection et de sécurité de la défense et la prévôté, ont été reçues en entretien par la délégation. L’inspecteur des armées a également visité différentes composantes de la Force Atalante et a pu apprécier la qualité des relations interalliées à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFD,) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent par ailleurs un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

photos BA 188 - 5e RIAOM
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:45
Sangaris : la force française sécurise l'intervention des forces de la MISCA au Nord de Bangui

7 févr. 2014 Crédit : EMA / armée de Terre

 

Sangaris : la force française sécurise l'intervention des forces de la MISCA dans la ville de Sibut, au Nord de Bangui

 

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