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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 12:30
F-4 Phantom II de la Force Aérienne Turque

F-4 Phantom II de la Force Aérienne Turque

 

11 Mars 2015 par Defens’Aero

 

La Force Aérienne et Spatiale Turque traverse actuellement une période difficile et douloureuse. En effet, après avoir perdu deux pilotes de chasse et deux officiers navigateurs système d'armes lors d'une collision entre deux F-4 Phantom II le 24 Février dernier, un troisième et tragique accident vient de se passer, encore avec un F-4 Phantom II.

 

Selon les médias locaux turcs, un F-4E Phantom II-2020 "Terminator" s'est écrasé Jeudi 05 Mars au cours d'un exercice de formation, conjointement organisé avec la Force Aérienne Azerbaïdjanaise.

 

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 11:50
photo Defensie.be

photo Defensie.be

 

10/03/15 Le Vif (Belga)

 

Les exigences précises auxquelles devront répondre les avions qui succéderont aux chasseurs-bombardiers F-16 seront déterminée dans le plan stratégique de la Défense, a indiqué mardi le ministre Steven Vandeput en commission de la Chambre. Ce plan est attendu pour l'été.

 

Parmi les critères auxquels devra satisfaire le nouveau chasseur pourrait figurer la capacité de transporter et de larguer des bombes nucléaires, comme peut le faire actuellement le F-16 avec les B-61 américaines supposées entreposées sur la base aérienne de Kleine-Brogel (Limbourg).

 

La Belgique a demandé à cinq agences étatiques de répondre à un questionnaire avant d'entamer des négociations pour acquérir un nouvel avion. L'exigence nucléaire pourrait s'avérer déterminante dans le choix belge, à croire le député Georges Dallemagne (cdH).

 

"Si les nouveaux avions devaient avoir les mêmes missions nucléaires qu'aujourd'hui, cet appel n'a aucun sens. Jamais, l'armée américaine ne partagera ses codes de mise à feu et de largage", a affirmé le député humaniste, qui a mis en garde le ministre contre un appel d'offres "pour la galerie".

 

Actuellement, cinq avions - dont deux américains - sont en lice, représentés par cinq agences: le Joint Program Office (JPO), qui pilote le programme de chasseur F-35 Lightning II du groupe Lockheed Martin, le US Navy PMA 265 pour le F/A-18E/F Super Hornet de Boeing, la Direction générale de l'Armement (DGA) du ministère français de la Défense pour le Rafale de l'avionneur Dassault, la Swedish Defence and Security Export Agency (FXM) pour le JAS-39 Gripen de Saab et le UK Trade and Investment Defence and Security Organisation (UKTI DSO) du ministère britannique de la Défense pour l'Eurofighter d'Airbus.

 

"Les spécifications techniques dépendront du 'level of engagement' (niveau d'engagement) et on en décidera dans le plan stratégique qui définira ce qu'on attend exactement d'un avion de chasse", a répondu M. Vandeput (N-VA), sans donner d'autre précision sur ce point.

 

La présence d'ogives nucléaires américaine en Belgique, supposée mais jamais confirmée officiellement, fait l'objet d'un débat politique récurrent et de nombreuses voix se sont déjà exprimées pour mettre en cause l'utilité d'un tel arsenal dans le pays depuis la fin de la guerre froide.

 

Selon M. Dallemagne, il est temps que le gouvernement se pose la question. "Si l'on veut avoir un appel d'offres ouvert aux pays européens, il est important de mener le débat", a-t-il dit. Autre élément invoqué mercredi: la surveillance conjointe de l'espace aérien du Benelux par les forces aériennes belge et néerlandaise, en principe à partir de la mi-2017.

 

Le PS et le cdH craignent que cette coopération renforcée, annoncée la semaine passée lors d'une réunion conjointe des gouvernements belge et néerlandais, soit aussi le prélude à l'acquisition du F-35, les Pays Bas ayant collaboré au programme qui a mené à sa conception.

 

Dans un entretien accordé au journal 'La Libre Belgique', le député Sebastian Pirlot (PS) a dit même redouter l'avènement d'une armée "des Plats pays" qui ferait la part belle à la Flandre. "La surveillance n'aura pas de conséquence sur les achats militaires", a indiqué le ministre. Selon lui, des "effets d'échelle" seront toutefois recherchés. Mais cela ne signifie pas que la Belgique fera le même choix que les Pays Bas, a-t-il assuré. Les effets d'échelle seront déterminés en fonction du choix de l'avion et pourraient donc être recherchés dans d'autres pays.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

10/03/2015 Aspirant Julie Beck  - Armée de l'air

 

Jeudi 5 mars 2015, sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, les élèves de la promotion « OSC 2015-02 » d’officiers sous contrat (OSC), du cours spécial de formation des officiers ont reçu leur poignard, symbole du commandement. Récit vécu de l’intérieur.

 

Salle des marbres, 18h30

Tenues impeccables, 33 élèves officiers attendent l’arrivée des autorités. C’est le calme absolu dans la salle des marbres, lieu prestigieux de l’École de l’air. La pression monte. La fierté est palpable sur les visages. Le général Francis Pollet, commandant les écoles d'officiers de l'armée de l'air et la base aérienne, prend place pour présider la cérémonie.

Devant l’œil attentif de l’ensemble de ses camarades, l’aspirant Caroline, major de promotion, sort des rangs pour se faire remettre son poignard des mains du général. Puis au rythme des coups de poignards sur le marbre, les élèves, d’une chorégraphie millimétrée, rejoignent leur parrain.

 

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Âgées de 23 à 30 ans, ces nouvelles recrues viennent tous d’horizons différents : communication, aérospatiale, mécanique, ressources humaines,… Autant de domaines d’emplois pour lesquels ils ont été recrutés. Parmi eux, des diplômés de master, de licence et d’écoles d’ingénieurs.

Ce moment solennel marque la réussite de la formation militaire générale de l’officier, ainsi que l’obtention de la certification de qualification des officiers. Cette remise du poignard est une étape fondatrice de leur carrière. Elle symbolise l’entrée dans le corps des officiers et l’aptitude à commander.

 

Huit semaines de formation

Pour les OSC, la formation se déroule sur une période de huit semaines. Les élèves ont ainsi pu s’aguerrir lors d’épreuves militaires et sportives. Envers et contre tout, les jeunes officiers ont su faire preuve d’humilité, de dépassement de soi et de cohésion. Au terme de cette aventure, ils ont appris sur eux-mêmes et sur les autres.

Dès aujourd’hui, ils ont tous intégré leur unité d’affectation pour une carrière qui s’annonce d’ores et déjà enrichissante.

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:55
Nouvelle opération de sauvetage en Corse

 

10/03/2015 Armée de l'air

 

Mercredi 4 mars, le Super Puma de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 « Solenzara » a décollé de la base aérienne 126 de Ventiri-Solenzara pour porter secours à un équipage d’ULM en difficulté.

 

Dans l’après-midi, suite à un feu moteur, le pilote d’un ULM (ultra-léger motorisé), en transit maritime vers le continent, passe un message de détresse. Au large de Saint-Florent, il tente de rejoindre l’aéroport de Bastia mais disparaît des écrans radar et n’émet plus de message radio.

 

Après des heures de recherche infructueuses menées conjointement par la gendarmerie, l’armée de terre et le centre opérationnel départemental d’incendie et de secours (CODIS), la nuit commence à tomber. C’est alors que le Super Puma de l’EH « Solenzara », apte à remplir des missions de sauvetage maritime (SAMAR) de nuit, est sollicité. Finalement, l’hélicoptère est envoyé vers une plage que le pilote d’ULM naufragé a rejoint à la nage. Le rescapé est évacué par le Super Puma vers Saint-Florent afin d’être pris en charge par le SAMU.

 

Ce sauvetage réussi est un bel exemple de coordination interministérielle dans une opération de secours !

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:50
Transfer of Authority successful


9 March - by EATC

 

Since July last 2014, Spain is member of the EATC - although its fleet operated yet on national assets. This has now changed, because since 09 March 2015 the sixth EATC nations transferred 25 Air Transport assets via Transfer of Authority (ToA) to EATC OPCON (Operational Control).


The first Spanish aircraft to fly on EATC OPCON was a Lockheed C-130H “Hercules” from Air Transport Wing 31, stationed in Zaragoza. It departed this morning from Torrejon Airbase (near Madrid) via Algeria to Libreville.

 

The consequences of the Spanish ToA

The accession of Spain comprises a bigger fleet for the EATC nations and more types of aircraft. This entails more Air Transport Requests and therefore more cross-national possibilities. Besides this, Spain’s geographical situation and its regular routes provide interesting synergy opportunities to make the EATC’s Pooling and Sharing initiative more effective. In numbers this means 25 additional aircraft for EATC use, three extra Airbases and 30 EATC positions to be filled by Spain within EATC.

In total, the EATC assigned air fleet now consists of 189 aircraft.


By the use of the below links, find some overview of the newly assigned Spanish aircraft types as well as their Airbase locations.

 

New EATC assigned Spanish aircraft:
-    Lockheed C-130H and KC-130H  
-    CASA C-295             

-    Boeing B707/KC707  

 

Spanish Airbases

- Air Transport Wing 35, Getafe

- Air Transport Wing 31, Zaragoza

- Air Mixed Group 47, Torrejon   

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:35
DSAÉ : visite d’une délégation singapourienne à Villacoublay

 

10/03/2015 Armée de l'air

 

La direction de la sécurité aéronautique d’État (DSAÉ) a accueilli, lundi 2 mars 2015, sur la base aérienne 107 Villacoublay, une délégation de la Republic of Singapore Air Force (RSAF).

 

Cette visite était articulée autour du thème de la sécurité aérienne. Cette journée d’échanges a permis aux militaires français et singapouriens de procéder à une présentation croisée de leurs chaînes de sécurité aérienne respectives. De la navigabilité à l’ATM (Air Traffic Management), un vaste ensemble de problématiques a été évoqué.

 

Depuis de nombreuses années, l’armée de l’air et la RSAF entretiennent des relations nourries. La base aérienne 120 de Cazaux héberge depuis 1998 le 150 Squadron, unité chargée de la formation avancée des pilotes singapouriens. Par ailleurs, les deux pays doivent prochainement acquérir des A330 MRTT (Multi Role Tanker Transport), évolution permettant d’envisager de nouvelles synergies.

 

La DSAÉ en bref

Organisme interarmées et interministériel créé en 2010, la DSAÉ est chargée de la navigabilité des 1600 aéronefs d’État, de la circulation aérienne, de la formation du personnel navigant, ainsi que de l’exploitation des aéronefs.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:20
Holloman - Crew Solo Flight


10 mars 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 15E10502 03/2015

 

Premiere für eine Tornado-Besatzung in Holloman / New Mexico: Beim „Crew Solo Flight“ fliegen junge Flugschüler zum ersten Mal als Pilot und Waffensystemoffizier den Tornado. Bei diesem Flug haben der Pilot und sein Backseater erstmals ganz allein die Verantwortung für das Kampfflugzeug. Ein großer Schritt für die beiden im Rahmen der Waffensystemausbildung auf dem Tornado in den USA.

Musik: Adrenaline Crash von Brian New & George Young (Universal Music)

 

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 19:55
Le tour du monde de l’A400M Atlas

 

10/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 19 février, un A400M Atlas  décollait de la base aérienne 123 d’Orléans pour son premier tour du monde. Au cours de cette mission, l’armée de l’air aura mené des évaluations en vue d’en optimiser l’emploi, d’assurer des transports de fret pour nos forces, et de présenter son nouvel avion de transport, notamment en Australie lors du Salon aéronautique d’Avalon.  

 

Programmé sur quelques 75 heures de vol et une dizaine d’escales seulement, ce vol est avant tout un test significatif pour l’appareil et la communauté A400M. Il représente en effet la plus longue mission jamais réalisée sur Atlas depuis son entrée en service en août 2013 et concrétise l’entrée dans une nouvelle dimension du transport aérien militaire français.

 

Une Armée de l’Air modernisée, avec l’arrivée de l’A400M dans les forces, constitue l’un des points-clés de son programme « Unis pour faire face ». Avion tactique à allonge stratégique, il apporte de nouvelles capacités qui se traduisent notamment par la possibilité de transporter des matériels nouveaux comme le VBCI ou les modules MAMBA. Ce long périple à travers le monde s’inscrit dans le cadre des tests en conditions réelles visant à optimiser son emploi. D’un point de vue technique, l’importante capacité d’emport de l’Atlas, couplée à son très long rayon d’action, permettent aujourd’hui aux équipages de réaliser des missions d’une durée et d’une ampleur jusque-là inédites.

 

C’est ainsi que l’appareil a embarqué 5,5 tonnes de fret à destination de sa première escale aux Emirats Arabes Unis, au profit des forces françaises. Entre les Philippines et Nouméa, poursuivant sa mission, il a déchargé trois tonnes de matériel au profit des forces françaises de Nouvelle Calédonie (FFNC).

 

Lors de son escale à Kuala Lumpur, il a ainsi suscité l’intérêt des Malaisiens, qui recevront leur premier appareil prochainement. Puis, il s’est rendu au salon d’Avalon, la plus importante rencontre aéronautique organisée dans l’hémisphère Sud.

 

L’équipage a aussi évalué les conditions de mise en œuvre d’escales aériennes militaires outre-mer et mené une étude avec le service de santé des armées (SSA) afin de mesurer l’état de fatigue et le niveau de vigilance du personnel navigant sur ces vols longue durée.

 

Il est rentré à Orléans le 06 mars, après 3 jours 2 heures et 20 minutes de vol et 11 étapes. Nul doute que l’armée de l’air saura tirer tous les enseignements de cette mission inédite qui aura mis en valeur les capacités remarquables de l’Atlas.

 

Le tour du monde de l’A400M Atlas
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:55
Jean-Yves Le Drian en Mirage 2000D - photo R. Pellegrino

Jean-Yves Le Drian en Mirage 2000D - photo R. Pellegrino

 

10/03/2015 BA 133 -  Armée de l’Air

 

Vendredi 6 mars 2015, la base aérienne (BA) 133 de Nancy-Ochey a reçu la visite de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense. Cette visite était axée sur l’aspect opérationnel et l’engagement de la BA 133 dans les opérations Barkhane et Chammal.

 

Vendredi 6 mars, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, s’est déplacé sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. Accompagné du général d’armée aérienne Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’Air (CEMAA), il a effectué une visite axée sur l’aspect opérationnel et l’engagement de la BA 133 dans les opérations Barkhane et Chammal.

 

Dans un premier temps, le ministre a assisté à des présentations de la BA 133 et des opérations en cours avant de poursuivre par des visites dynamiques du Mirage 2000D, des ateliers de l’escadron de soutien technique aéronautique et du centre de formation à l’appui aérien.

 

Le ministre de la Défense s’est ensuite exprimé devant le personnel de la base aérienne. À cette occasion, il a évoqué le tragique événement que la BA 133 a connu, avec la perte de sept de ses aviateurs lors de l’accident aérien qui s’est produit à Albacete (Espagne), le 26 janvier dernier. Il a assuré le personnel de tout son soutien et a rencontré les blessés et rescapés de l’accident qu’il avait déjà rencontré en Espagne au lendemain du crash aérien.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:50
Photo Daniel - MIL.be

Photo Daniel - MIL.be

 

03/03/2015 Victoria Timmermans –MIL.be

 

Deux NH90 occupaient le ciel de Brasschaat ce lundi 2 mars. Les pilotes de la 18e Escadrille y testaient les capacités de leurs appareils dans le cadre d’une phase de formation.

 

Les NH90 ont débuté leur phase de formation en janvier 2014. « À l’époque, la 18e Escadrille a développé les vols de base, de jour comme de nuit », explique le lieutenant-colonel Michel Gelders, commandant de l’escadrille. Ce lundi 2 mars, pour la deuxième étape de leur formation, c’est sur une plaine de Brasschaat que les hélicoptères se sont exercés à l’appui aéromobile. Pour être totalement opérationnels, les appareils doivent subir un programme comportant quatre aspects. Aujourd’hui, dans le cadre de l’operation testing & evaluation, les NH90 doivent soulever de lourdes charges. « Pour cet exercice, nous avons trois charges différentes : un canon, un mortier et une jeep. Ainsi nous connaîtrons la résistance des NH90 » ajoute-il.

 

En début d’après-midi, les hélicoptères prennent leur envol. Malgré la pluie et la grêle, leur mission consiste à récupérer le personnel et à hélitreuiller ensuite du matériel jusqu’à l’aérodrome de Zoersel. Une équipe au sol doit accrocher la cargaison grâce à l’aide du cabin operator. En effet, ce dernier a pour mission de préciser au pilote à quelle hauteur se positionner afin que l’équipe au sol puisse procéder à l’accrochage sans danger.

 

Arrivés à Zoersel, les NH90 déposent leur charge et débarquent ensuite les hommes qui quittent les appareils tactiquement, comme en situation réelle de combat. Un exercice nécessaire pour se préparer à un engament opérationnel. Mais un entraînement qui demande maîtrise et concentration. « C’est une procédure avancée qui requiert des pilotes qualifiés » conclut le lieutenant-colonel Gelders.

 

Les NH90 et leurs équipages ont poursuivi leur entraînement jusqu’à la tombée de la nuit. Mais ces machines volantes ont, d’ores et déjà, prouvé leur puissance.

Les NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissance
Les NH90 testent leur puissance
Les NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissance
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 12:54
Le nouveau numéro d’« Air actualités » est arrivé !

 

10/03/2015  Air actualités

 

Dans ce numéro 679, la rédaction d’Air actualités vous emmène à la découverte des unités d’appui au déploiement. Explorez les missions de ces aviateurs de l’ombre, qui opèrent dans l’envers du décor, en préparant le terrain pour les forces, sur les théâtres d’opérations extérieures notamment.

 

Vous pourrez également plonger dans les coulisses d’une opération de haut-vol : une évacuation aéromédicale. Un journaliste d’Air actu est allé à la rencontre des « anges du ciel » et a embarqué à bord d’un de ces « hôpitaux en kit volants », qui restent en alerte jour et nuit pour intervenir à tout moment.

En ce mois de mars, les femmes et les réservistes sont à l’honneur : faites la connaissance de deux aviatrices passionnées par leur métier, qui ont choisi de poursuivre l’aventure dans la réserve.

Au gré de votre lecture, vous pourrez également suivre les premiers pas des fusiliers commandos de l’air au sein du stage Maquis, en savoir plus sur la modernisation du contrôle aérien et « buller » dans l’univers de la BD aéronautique.

Sans oublier, comme tous les mois, un survol en textes et en images de toute l’actualité de l’armée de l’air. N’attendez plus et partez à la découverte de ce nouveau numéro. Et pour toujours plus d’informations et d’actualités inédites, rendez-vous sur le site Internet et les réseaux sociaux de l’armée de l’air : Facebook, Twitter et Instagram.

 

Le numéro de février 2015 est désormais consultable en ligne.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 12:40
Tu-95MS - Tu-160 - Tu22M3 - PAK-DA

Tu-95MS - Tu-160 - Tu22M3 - PAK-DA

 

03/09/2015 Dr James Bosbotinis - DefenceIQ

 

Russia’s Long Range Aviation Command (LRA) has assumed an increasingly prominent role in recent years, commencing with the resumption of regular bomber patrols in August 2007, and particularly through the course of 2014/2015, as Russia’s resurgence has adopted a distinctly more muscular tone amid deteriorating relations with the West. The LRA is increasing both its tempo and scope of operations: the latter highlighted by the declared intent to expand patrols to new regions, including the Caribbean and Gulf of Mexico; in addition, Russian long-range bombers have been observed conducting armed patrols. Most significantly, the LRA is intended to form a core component of a wider conventional strategic deterrent capability. Russia’s interest in developing conventional long-range strike systems is a facet of its on-going military reform efforts whereby it is seeking to enhance the effectiveness of the Russian Armed Forces, especially in terms of its ability to conduct extensive, precise strikes against an adversary’s critical strategic economic and military objectives.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 17:30
An Egyptian MiG-21

An Egyptian MiG-21

 

09 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Egyptian military air strikes have killed 25 Islamist militants in Northern Sinai over the last two days, security sources said, targeting an insurgency that seeks to topple the Cairo government.

 

On Friday, air raids hit two houses south of the Sinai town of Sheikh Zuweid, killing 10 militants from Ansar Beit al-Maqdis - which renamed itself Sinai Province after pledging allegiance to Islamic State - the sources said.

 

At least 14 other militants were injured in the strikes. On Thursday, 15 militants were killed when air strikes hit three homes south of Sheikh Zuweid. Reuters could not immediately verify accounts of the attacks and the army spokesman was not immediately available for comment.

 

North Sinai is the epicentre of an Islamist militant insurgency that has killed hundreds of police and soldiers since then army chief Abdel Fattah al-Sisi ousted Islamist president Mohamed Mursi in July 2013 after mass protests against his rule.

 

Egypt has launched a crackdown in Sinai and systematically repressed Muslim Brotherhood supporters and other political opponents across the country. The Brotherhood says it is committed to peaceful activism.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 13:30
Islamic State conflict: Deadly strike on Syria refinery

Video posted by Raqqa is Being Slaughtered Silently purportedly showing fireball in sky after air strike on oil refinery outside Tal Abyad, Syria (8 March 2015)

 

9 March 2015 BBC MidEast

 

At least 14 people have been killed in US-led coalition air strikes on an oil refinery in northern Syria run by Islamic State (IS), activists say.

 

Refinery workers and jihadist militants were among those who died in the raid on the facility outside Tal Abyad. One activist group posted a video purportedly showing a fireball rising into the night sky after the attack. Captured refineries and oil fields have played a key role in fuelling Islamic State's advance across Syria and Iraq. Last year, the group may have earned as much as $100m (£66m) from the sale of oil and oil products to local smugglers who, in turn, sell them to the Syrian government and merchants in neighbouring countries. However, US officials say the group's ability to use oil as a source of revenue is now believed to be diminishing due to the air strikes.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:40
Attrition: The Grinding In Ukraine

 

March 9, 2015: Strategy Page

 

At the end of 2014 the world’s air forces possessed nearly 52,000 aircraft (fixed wing and helicopters). That’s down (because of accidents or retirement) about .8 percent from 2013. About 38 percent of those losses are from one country; Ukraine. In late 2014 Ukraine had about 400 military aircraft but 44 percent were lost to battle damage, capture or accidents in 2014 during the ongoing combat with Russian backed rebels and Russian troops.

 

Some Ukrainian aircraft were found to be unfit for service after having been neglected for too many years. Thus Ukraine lost about half its military aircraft in one year. Surface- to-air missiles took down 21 Ukrainian aircraft and one was shot down by an air-to-air missile fired by a Russian jet that was still in Russian air space. Other Ukrainian aircraft (helicopters) were lost to heavy machine-gun fire. At the moment the Ukrainian Air Force only has about 60 combat jets available and about as many helicopters. Russia has bullied Western nations into not providing weapons for Ukraine and thus is able to grind down the Ukrainians eventually.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:30
photo F. Robineau Dassault Aviation

photo F. Robineau Dassault Aviation

 

March 9, 2015: Strategy Page

 

Egypt, looking to strengthen its military muscle, has placed an order for 24 Dassault Rafale Fighter Jets. Egypt has a long history of buying from the French and currently have some 100, Mirage V’s and Mirage 2000’s, in service. These two predecessors to the Rafale have served the Egyptian air force well, seeing action most recently in the 2014 bombing of Libya. But these Mirages are getting old and will have to be retired within the next ten years. Egypt has a large force of American F-16s, but the U.S. has lots of rules that prevent some countries from buying more and the rules change all the time. France is less judgmental when it comes to selling warplanes.

 

The Rafale costs between $100 and $130 million. Its design was based heavily off the Mirage 2000 and like most other Dassault fighters it has the Delta Wing configuration. The Rafale has a maximum speed of 2,130 kilometers an hour and a range of over 3,700 kilometers. It is equipped with a 30mm cannon and can carry nine tons worth of weapons. It is a battle tested aircraft that has already seen service with French Forces in Afghanistan, Mali, Libya and Iraq.

 

Over the past few years’ export buyers for the Rafale have been scarce. The Rafale is up against stiff competition for sales from aircraft such as the Eurofighter Typhoon, Gripen NG, F-18 and Su-30. Thus in 2013 Brazil passed on buying the Rafale and instead went with the cheaper Swedish Gripen NG. The UAE (United Arab Emirates) is still considering a purchase as is India. This latest sale to Egypt is a much needed to boost for Dassault and an aircraft that has not been selling well. What helped make this sale happen was Saudi Arabia, Kuwait and UAE providing half the financing and the French government guaranteeing most of the other half. Egypt is not a good credit risk and has been kept afloat since 2011 by massive charity from Gulf Arab oil states (like Saudi Arabia, Kuwait and UAE).

 

France has had nothing but hard times trying to find export customers for its Rafale. In 2009 the production rate was reduced from 14 a year to 11 aircraft a year and that was further reduced later. This was to slow down the delivery of Rafales, mainly because the Defense Ministry has decided that other things were more important. The new emphasis (and spending) is on peacekeeping and anti-missile defenses. Another reason for slowing down Rafale production was the lack of export orders.

 

India is currently taking a closer look at the Rafale. The country has been seeking to modernize its military and has most recently turned to the United States for assistance. France wants to build up its relationship with India, as well, and would like it to purchase the Rafale. The Indian air force is already using the Mirage 2000 and has historically liked Dassualt aircraft. The two main sticking points, standing in the way of a deal, are the Rafale’s rising price tag and whether India will be able to produce the fighter domestically. India insists on coproduction (some Rafale manufacturing done in India) and the French believe India overestimates its capabilities in handling some of the advanced technologies that go into Rafale. Of course India wants local manufacturers to handle that advanced tech and this is how you learn. But India also wants the French held responsible for the quality of items produced in India and this is still being negotiated. The French are confident and hope to close out a $20 billion deal for the Indian Rafale by the end of 2015

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:30
photo IAF

photo IAF

 

04.03.2015 Vered Talala / Eden Sharon - IAF

 

New system will warn ISR planes pilots from impact. The system was already installed in dozens of "Beechcraft King-Air" planes and is used to track adjacent aircraft

 

The ISR (Intelligence Surveillance and Reconnaissance) squadrons in Sde-Dov Airbase were recently equipped with new alert system, which has already helped to upgrade flight safety level.

Throughout the years, the number of active aircraft in the IAF has increased dramatically, directly increasing aerial traffic and the risk of aerial accidents. Four years of hard work on the side of IAF technician came to an end and pilots could go out on operational activities with no fear of unexpected aerial "surprises".

"Now you are not afraid when other airplanes fly next to you", said Lieutenant Colonel Yoav, Commander of the "First" squadron. "There are other implications besides safety. It allows more planes to fly together closely".

 

"We fly much safer today"

The system that installed in the "Beechcraft King-Air B200" and the "Beechcraft King-Air C-12" is tracking close-by aircraft and presenting them to the air crew members on the plane.

When a plane enters the safety range, the system detects an impact hazard and relying on speed, altitude and flight direction data and provide the pilots with relevant verbal alert.

"It is impossible to fly without that system in Israel", said Colonel Yahel, Commander of Sde-Dov Airbase. "It is a highly important system which prevents crashes and therefore saves lives. We fly much safer today".

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:30
IAF Practice fighting Aerial Terrorism

 

03.03.2015 Shani Poms / Eden Sharon - IAF

 

Aerial terrorism is always on the agenda and demands constant attention. IAF simulated various scenarios as part of a multiplayer training exercise

 

IAF soldiers took part in a large, multiplayer training exercise, which aimed to simulate a highly sensitive and complicated aerial terrorism scenario. It included a large number of participants, both from the IAF and outside of it. "This is the only training exercise training exercise that combines all units that take part in protecting Israel's skies - the IAF, IDF Operations Division, Department of Transportation and different Intelligence platforms", says Major Ilan from Aerial Defense Department in the IAF Operations Division.

 

Not once throughout the year, IAF's units and squadrons practice air defense scenarios in the face of aerial terrorism. Nevertheless, this time was different mainly because of the number of participants and the extreme scenarios involved. "The definition of aerial terrorism is actually an attempt to perform a terror attack using a civilian aircraft. It can be a small "Cessna", an executive jet or 400-seat airliner, which is defined as an extreme scenario", he says.

 

Aerial terrorism poses some unusual dilemmas. "The problem with these missions is the involvement of civilians. When you want to remove that kind of threat, people might be affected. The dilemmas with such scenarios are much more complex and therefore managed by higher-ranking officers".

 

It took three months of preparations which climaxed with a conference Call of the senior decision-making officers, including IAF Commander, IDF Chief of Staff and civilian government leaders. "The training exercise introduces the decision-makers with the missions, because the real-time decisions are complex and difficult", said Major Ilan. "The exercise was highly successful. Bring these scenarios into awareness is by itself extremely important".

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:20
L'US Air Force retire du service son plus ancien C-130 Hercules

 

8 Mars 2015 par defens-aero.com

 

Dans un communiqué publié Mercredi 04 Mars, l'US Air Force a indiqué que son plus ancien C-130 Hercules, encore en service au sein de sa flotte, vient d'être retiré du service actif.

 

Intégré au sein du 23rd Wing, l'avion de transport, qui porte le surnom de "Iron Horse", est arrivé sur la base aérienne de Davis-Monthan, dans l'Arizona, afin d'y être entreposé. L'appareil, en version HC-130P, recherche et sauvetage, est resté en service au sein de l'US Air Force pendant 52 ans, et a donc tout naturellement subi de nombreuses modifications et améliorations au cours de sa longue carrière.

 

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 13:56
Journée de la femme - Une touche féminine au coeur des infographistes

 

08/03/2015 Adjudant Jean-Laurent Nijean - Armée de l'air

 

Représentant 22% des effectifs de l'armée de l'air, les aviatrices œuvrent dans tous les domaines : personnel navigant, secrétariat, contrôle aérien, informatique, comptabilité, fusiliers de l'air, mécanique, renseignement ou encore métiers de l'image. Rencontre aujourd'hui avec le sergent-chef Gwendoline, infographiste au sein du service d’information et de relations publiques de l’armée de l’air (Sirpa air).

 

Jonglant entre InDesign, Photoshop et Illustrator, trois logiciels de conception graphique, le sergent-chef Gwendoline est à pied d’œuvre sur la nouvelle plaquette de présentation des ambassadeurs de l’armée de l’air. «À l’âge de huit ans, j’accompagnais déjà mon père dans les meetings de l’air, se souvient-elle. J’étais impressionnée par la virtuosité des pilotes qui réalisaient des figures que je trouvais époustouflantes.» Sous-officier supérieur sur la base aérienne de Bordeaux, son père lui a fait découvrir le monde de l’aéronautique militaire.

 

Après une formation scientifique, c’est tout naturellement qu’elle se dirige vers l’armée de l’air pour y embrasser une carrière technique. «J’avais d’abord opté pour une spécialité comme “mécanicien avionique” ou “électronique bord”, précise-t-elle. J’ai découvert la spécialité “photographe” par hasard et j’ai été rapidement conquise.Même si au départ, on m’avait certifié qu’il y avait peu de places disponibles. Je me suis quand même lancée et je n’ai pas regretté.»

 

Sportive, la jeune Gwen survole la partie militaire de sa formation à Rochefort. Grâce à ses qualités athlétiques, notamment en course à pied, elle termine major de sa promotion. Elle commence ensuite son stage de qualification élémentaire dans la spécialité “photographe“. En seconde position lors de l’amphi sanctionnant la fin de la formation à Rochefort, elle opte en février 2005 pour un poste au centre d’études stratégiques aérospatiales (CESA) situé au cœur de l’École militaire, à Paris.

 

«Le CESA m’a permis d’appréhender diverses facettes du métier de photographe dans l’armée de l’air, explique l’aviatrice. J’ai pu faire de la photo, de la vidéo et également un peu de PAO (publication assistée par ordinateur).» Cette dernière discipline lui a tellement plu qu’elle n’a pas hésité quand, au début de l’année 2014, elle prend connaissance d’un poste d’infographiste au Sirpa air. Quelques entretiens plus tard, la sergent-chef déménage de quelques kilomètres pour rejoindre l’équipe de la section infographie du Sirpa Air. Elle peut dès lors se spécialiser dans un domaine qui l’attirait déjà : «Rapidement, j’ai pu faire mes premières armes sur le magazine Air actualités, c’était une expérience exaltante. J’avais beaucoup de choses à apprendre mais je me suis accrochée. Nous sommes une équipe très soudée au sein de laquelle je peux exprimer ma créativité.»

 

Après près d’un an passé à la rédaction, elle a déjà à son actif, outre sa contribution au magazine Air actualités le calendrier 2015, des plaquettes de présentation de l’armée de l’air et de ses ambassadeurs, et d'autres produits de notoriété. «Ce qui me plaît le plus dans ce travail au sein de la section infographie, c’est de voir la finalité de mon travail distribué au sein de l’armée de l’air et même à destination du grand public.» Gwen apporte sa petite touche de féminité à la conception graphique. «Dans les différents postes que j’ai occupés depuis mon entrée dans l’armée de l’air, mon appartenance à la gente féminine ne m’a jamais causé de difficultés, assure-t-elle. Aujourd’hui de plus en plus de femmes sont attirées par le métier de photographe dans l’armée de l’air.»

 

Le sergent-chef Gwendoline écoute les conseils avisés du chef de la maquette

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 13:45
Deux Rafale C en vol au-dessus de la BSS. Photo : JL. Brunet - Armée de l'air

Deux Rafale C en vol au-dessus de la BSS. Photo : JL. Brunet - Armée de l'air

 

6 Mars 2015 defens-aero.com

 

Lors du renforcement des moyens aériens français dans le cadre de l'opération Chammal le 1er Octobre 2014, le Président de la république François Hollande avait pris la décision de déployer trois Rafale supplémentaires, issus de l'Escadron de Chasse 1/7 "Provence" et du Régiment de Chasse 2/30 "Normandie Niémen".

A ce moment-là, ces avions de chasse rejoignaient donc les six Rafale de l'Escadron de Chasse 3/30 "Lorraine", le ravitailleur C-135FR, ainsi qu'un avion de patrouille maritime Atlantique II de la Marine Nationale. Mais depuis, le dispositif aérien (et même terrestre...) de l'opération Chammal s'est consolidé et a été renforcé par le déploiement de six Mirage 2000D en Jordanie (base aérienne Prince Hassan), ainsi que l'engagement du groupe aéronaval, constitué de douze Rafale M et de neuf Super-Etendard Modernisés de la Marine Nationale.

C'est pourquoi, l'Etat-Major a pris la décision de retirer les trois Rafale qui n'appartiennent pas à l'EC 3/30 "Lorraine", et qui ne sont donc pas habituellement pré-positionnés sur la base aérienne 104 d'Al Dhafra, aux Emirats Arabes Unis. Ces trois appareils sont rentrés en France accompagnés par un ravitailleur C-135FR, ce qui fait qu'actuellement, la France n'engage pas de ravitailleur dans la coalition internationale. Mais c'est une situation qui n'est que passagère.

 

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 12:35
photo Livefist

photo Livefist

 

March 06, 2015 by Shiv Aroor - Livefist

 

A 150-km range stand-off glide weapon and 288-km range light-weight cruise missile. These two mysterious items surfaced at Aero India last month. I'd been meaning to post about them, but decided to first get more information. They're both internal concepts by a group of IAF officers (serving and retired) for stand-off weapons that the service has been looking for for years. What stands out is just how specific the 'performance' parameters of the cruise missile and glide bomb really are. The IAF confirmed to Livefist that neither of the two items on display was part of active development activity, but that the concepts had been showcased as an indication of the kinds of design activities its internal teams are engaged in. The two models were fabricated at an IAF depot. The information on the boards suggest these are concepts with reasonably serious tactical capabilities, especially in terms of their stand-off range. More on these soon.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 22:50
MQ-9 Reaper - photo Armée de l'Air

MQ-9 Reaper - photo Armée de l'Air

 

March 7, 2015: Strategy Page

 

Britain, France, Italy and the U.S. are forming an international MQ-9 Reaper users group to make it easier for all users (soon to expand to Netherlands and a few more countries) of the MQ-9 to quickly share information on maintenance, tactics and operations in general. This would allow new ideas that work to quickly become known to all MQ-9 users.

 

Training is a particular problem. For example, the MQ-9 is not yet cleared (by government aviation authorities) to operate in British air space. So the ten British Reapers recently withdrawn from Afghanistan are grounded until they can find some hospitable air space to operate in. The British Reapers might end up in a Middle Eastern base, for actual recon work as well as training for operator and maintenance crews.

 

While the Reaper manufacturer serves as a clearing house and common source for maintenance information (as is common with all aircraft) the different countries using the UAV develop local variations on the standards that are often an improvement on the standards. Eventually the manufacturer becomes aware of this and after some time lets other users know. The new user group spreads information like that immediately via a secure form of communication (like an encrypted version of the Internet the U.S. Department of Defense has been using for over a decade).

 

The RUG (Reapers Users Group) would work mainly because all the current users and the most likely future ones are NATO members. That means the RUG members already have arrangements for sharing classified information and technical data in general. The U.S. recently eased the export restrictions on where Reaper could be exported to so future Reaper users won’t automatically be invited to join. No problem there because many other complex American military systems that were widely exported have formal and/or informal users groups. With the Internet that was unavoidable. But with a formal users group you can freely exchange everything and when it comes to useful tip from those with combat experience, this can be a matter of life or death.

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 20:55
Le sergent Antoine, cadet de la mission Atlas - photo Armée de l'Air

Le sergent Antoine, cadet de la mission Atlas - photo Armée de l'Air

 

06/03/2015 Cne Karim Djemaï – Armée de l’Air

 

À 21 ans, le sergent Antoine, alias « Tonio », est le plus jeune participant à la mission menée par l’A400M Atlas autour du monde. Du 19 février au 6 mars 2015, Tonio a, en tant que mécanicien « vecteur », contribué à la mise en œuvre et à la maintenance de l’avion de transport de l’armée de l’air. Rencontre tonifiante entre deux fuseaux horaires.

 

Comment ce tour du monde à bord de l’Atlas s’est-il passé pour vous ?

Sergent Antoine L. : C’est ma toute première mission à l’étranger et j’ai eu la chance d’avoir été choisi pour effectuer ce périple. Du coup, je me suis donné à fond ! Durant ce tour du monde, nous avons enchaîné les pays à un rythme soutenu. À chaque étape, notamment pendant le salon aéronautique d’Avalon en Australie, nous avons reçu un accueil exceptionnel. Partout, les gens se sont pressés pour voir l’avion de près et nous poser toutes sortes de questions. En à peine quinze jours de mission, j’ai énormément appris. Aujourd’hui, j’ai gagné en assurance et mes compétences se sont étoffées. En termes de maintenance, l’appareil s’est extrêmement bien comporté.

 

Quel était votre rôle durant la mission ?

En tant que mécanicien « vecteur » j’interviens sur l’ensemble de l’appareil : circuits hydrauliques, moteurs, freins, train d’atterrissage... Je participe aussi aux opérations de servicing (remise en œuvre de l’appareil) : faire les niveaux et les pleins de carburant, brancher un groupe de démarrage, mettre les cales et les sécurités…  N’étant pas encore titulaire de toutes les qualifications, je devais assister mon chef d’équipe. L’appareil disposait d’un ensemble de pièces de rechange (roues, protections des capots de moteurs, bougies…) pour pallier les différents cas de figures.

 

Depuis quand opèrez-vous sur A400M ?

Lorsque je suis arrivé sur la base aérienne 123 d’Orléans, j’ai dû attendre l’arrivée des premiers Atlas. Je me suis donc « fait la main » sur Transall. Pendant 18 mois, j’ai été affecté à l’atelier moteur de l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) 2E/061 « Loiret ». J’étais chargé de remettre en état les hélices de C160. De juin à septembre 2014, j’ai suivi la formation sur A400M, chez l’industriel à Séville en Espagne. C’était très exigeant. En quelques semaines, il a fallu assimiler le fonctionnement général des systèmes de l’appareil. Cela représente une documentation d’environ 12 000 pages ! En plus, pour corser le tout, la totalité des cours se déroulaient en anglais !

 

Comment avez-vous choisi de devenir « mécanicien vecteur » ?

J’ai toujours été attiré par l’aéronautique. Tout gosse déjà, mon père m’emmenait sur les meetings aériens. J’ai très vite attrapé le « virus ». Je me suis engagé en 2009 comme arpète sur la base aérienne 722 de Saintes. J’avais alors 16 ans. J’ai décroché un BAC STI avec mention bien. Jamais je n’aurais obtenu de tels résultats dans un lycée classique. À Saintes, la préparation est excellente. Chez les arpètes, l’esprit de cohésion est très fort. On forme un groupe soudé. On prend beaucoup de plaisir à se revoir, que ce soit en France ou partout ailleurs dans le monde. En tant que mécanicien vecteur, je voulais travailler sur un gros avion, fait pour le transport aérien. J’adhère totalement à l’état d’esprit qui règne dans le transport. On constitue une communauté unie. En tant que dernier arrivé, je dois m’imprégner des traditions. Pendant ce tour du monde, je devais par exemple m’occuper de la mascotte de l’atelier. Elle est revenue en métropole avec pleins de souvenirs, qui pourront ensuite être partagés avec l’ensemble de l’unité !

 

Mission Atlas : le sergent Antoine, mécanicien - photo Armée de l'Air

Mission Atlas : le sergent Antoine, mécanicien - photo Armée de l'Air

Des mécaniciens autour du monde

Pour effectuer son premier tour du monde, l’A400M Atlas a embarqué pas moins de huit mécaniciens afin de pouvoir assurer un dépannage, en toute autonomie, à des milliers de kilomètres de la métropole. De nombreuses spécialités étaient représentées : un officier mécanicien, un chef de piste, un mécanicien « cellule », un technicien en télécommunications, ainsi que deux mécaniciens « vecteur » et deux mécaniciens « avionique ». Ces deux dernières spécialités sont aussi respectivement appelées « B1 » et « B2 ». La lettre B correspond au niveau de licence de navigabilité délivré, en accord avec la réglementation civile.

Le tour du monde de l’Atlas à travers les yeux du sergent Antoine
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 17:30
Op. IMPACT: point de presse du 05 mars 2015

 

6 mars 2015 45eNord.ca

 

Point sur les opérations avec Paul Forget du COIC

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