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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 18:55
photo F. Robineau Dassault Aviation

photo F. Robineau Dassault Aviation

 

18 Février 2015  - ouest-france.fr

 

La France vient de vendre 24 Rafale et une frégate multimission à l’Égypte. Une partie des radars qui équiperont les Rafale seront fabriqués près de Vitré (Ille-et-Vilaine).

 

Lundi, la France a vendu 24 Rafale, son avion de combat, et une frégate multimission à l’Égypte. Pour le groupe Thales, notamment implanté à Étrelles, près de Vitré (Ille-et-Vilaine), ce contrat commercial est une bonne nouvelle.

En effet, le groupe Thales est membre du groupement d’intérêt économique Rafale, aux côtés de Dassault aviation et de Snecma (Safran). La production du radar RBE2 AESA, embarqué à bord du Rafale, est assurée par deux sites de Thales : à Étrelles et à Pessac (Gironde).

 

Thales : 440 salariés près de Vitré

« Les équipements et systèmes fournis par Thales représentent environ 25 % de la valeur du Rafale et 20 % de la frégate multimission », informe le groupe Thales.

Pour rappel, à Étrelles, Thales emploie environ 440 salariés ; 70 % de son activité concerne le secteur de la défense.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

24/02/2015 Armée de l'air

 

Du 8 au 13 février 2015, le centre de formation à la survie et au sauvetage (CFFS) de la base aérienne 120 de Cazaux a organisé plusieurs stages de survie, à Barège dans les Pyrénées.

 

Les stagiaires, principalement des pilotes et des mécaniciens navigants, ont commencé leur formation par un premier jour de cours théoriques. Ensuite, ils ont pu mettre leurs acquis en pratique lors d’une épreuve de mise en situation de survie d’une journée et d'une nuit en groupe ou en solo.

 

L’objectif de ces stages est d'apprendre à s’adapter à l’environnement et au terrain, malgré la faim et le froid. Il s’agit d’acquérir les gestes de survie en temps froid : conception de caves à neige en fonction de leur équipement (transport ou chasse), construction d’abris, assurance des outils, transformation de la neige en eau potable…

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:55
Remise de brevets sur la base aérienne 705 de Tours

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février 2015, une remise de brevets du personnel navigant était organisée sur la base aérienne 705 de Tours, sous la présidence du général Philippe Lavigne, commandant la brigade aérienne de l'aviation de chasse (BAAC).

 

Au cours de cette cérémonie, cinq brevets de pilote de chasse, trois brevets de navigateur officier système d’armes (NOSA) et cinq poignards d’officier ont été remis. Un défilé de troupes, survolé par trois Alphajet, a clôturé cet événement.

 

L’école de l’aviation de chasse (EAC), de Tours forme les élèves pilotes de chasse et les élèves NOSA. Ces élèves sont issus de 2 types de recrutements : une sélection après un baccalauréat pour les officiers sous contrat et une sélection par concours après classes préparatoires scientifiques pour les officiers de carrière.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:50
Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.be

 

16/02/2015 Karen Bral – MIL.be

 

Depuis le 7 janvier 2015, un détachement belge a relevé les Néerlandais dans leur mission de surveillance aérienne en Pologne. Les Belges travaillent avec quatre F-16 pour une période de huit mois à Malbork. Cette opération porte le nom d’Enhanced Air Policing Mission.

 

Après l’annexion de la Crimée par la Russie en mars 2014, l’Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) a demandé une protection renforcée de son espace aérien, en particulier au-dessus de la mer Baltique. Depuis le printemps 2014, le nombre d’avions de combat est passé de quatre à seize pour la circonstance. 

 

L’OTAN répartit les avions de combat sur trois bases aériennes, y compris celle de Malbork. Cette dernière n’est pas choisie au hasard explique le commandant du détachement : « Malbork se situe près de l’enclave russe de Kaliningrad, à seulement soixante kilomètres de la mer Baltique. » La plupart des incidents qui mettent en péril la sécurité des vols ont lieu, en effet, au-dessus des eaux internationales.

 

Le détachement compte un peu plus de cinquante personnes provenant du 2e Wing Tactique de Florennes et du 10e Wing Tactique de Kleine-Brogel. Cinq d’entre eux sont pilotes, dont le commandant du détachement : « Notre opération comporte deux aspects » explique-t-il. « Toutes les deux semaines, nous sommes de permanence Quick Reaction Alert (QRA). Cela signifie que pendant sept jours, deux pilotes et une équipe technique se tiennent prêts 24 heures sur 24. S’il y a alerte, ils doivent décoller le plus vite possible pour identifier les avions inconnus qui auraient envahi l’espace aérien de l’OTAN. »

 

Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.be
Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Les autres semaines, les Belges ont l’opportunité de s’entraîner avec les avions de chasse MiG-29 de l’armée polonaise à des combats aériens. « Pour les jeunes pilotes, c’est une excellente occasion de se battre avec un autre type d’avion que les F-16 » souligne le commandant. Bien que MiG-29 et F-16 soient de la même génération, ils comportent de sérieuses différences. « Le MiG a deux moteurs et le F-16 n’en a qu’un », clarifie un pilote polonais. « Mais sur longue distance, le F-16 est plus performant grâce à ses systèmes et missiles plus modernes. » Cela provient du fait que, contrairement au MiG-29, le F-16 a bénéficié de modernisations au fil du temps.

 

Les pilotes sont relevés chaque mois tandis que le reste du détachement demeure deux mois sur place. Le détachement actuel restera donc jusqu’à début mars à Malbork. Ces six dernières semaines, les Polonais ont effectué deux interceptions afin d’identifier des appareils et les Belges une.

Vidéo : Wim Cochet

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:45
Nigerian warplanes bomb Boko Haram forest training camps

 

20 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Nigerian warplanes bombarded training camps and caches of weapons and vehicles belonging to the Islamist group Boko Haram in the northeasterly Samibisa forest on Thursday, the military said.

 

"The death of a large number of terrorists has been recorded while many others are also scampering all over the forest and out of the struck bases," defence spokesman Major-General Chris Olukolade said.

 

After a year in which Boko Haram seemed to be gaining ground, seizing swathes of territory, killing thousands of people and kidnapping hundreds of mostly women and children, the tide has appeared to turn against them in the past month, as neighbouring countries plagued by cross-border attacks have weighed in.

 

Nigerian forces have killed more than 300 Boko Haram fighters during an operation to recapture 11 towns and villages since the start of the week, the military said on Wednesday, though it was not possible to independently verify this and the military has in the past been accused of exaggerating enemy casualties while understating its own.

 

Samibisa gained notoriety last year when more than 200 girls kidnapped by Boko Haram from a secondary school in nearby Chibok were taken there. Some of them escaped Samibisa shortly afterwards but most have remained in captivity ever since.

 

Aerial surveillance of the forest has not revealed their whereabouts.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:35
The Australian F-35 Program 2014 Highlights


21 févr. 2015 Lockheed Martin

 

The F-35 program’s success in 2014 was punctuated by international expansion. In December, the first two Australian F-35As arrived at Luke AFB. Currently, Squadron Leader Andrew Jackson, Australia’s first F-35 pilot, is undergoing training at Eglin AFB. 2014 was highlighted by building momentum, increasing maturity and meeting F-35 program milestones. This video highlights a few of the F-35 program’s most notable accomplishments of 2014

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:30
RAF Strike on ISIL 18 February (video)


19 févr. 2015 Royal Air Force

 

Royal Air Force aircraft have again struck at the ISIL terrorists in Iraq, hitting a mobile rocket launcher that had fired on Kurdish troops north of Mosul.

On the afternoon of Wednesday 18 February, two RAF Tornado GR4s from RAF Akrotiri conducted an armed reconnaissance mission over northern Iraq to provide close air support to the Kurdish peshmerga, who have conducted a series of successful offensives to liberate their countrymen from the terrorists. The Kurds reported coming under rocket fire, and after an intensive search the GR4s were able to locate an ISIL truck-mounted rocket launcher, and attacked it, scoring a direct hit with a Brimstone missile. The Kurdish peshmerga are also receiving infantry training from a team of coalition instructors, including British military personnel.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 16:55
Discours du président de la République sur la dissuasion nucléaire depuis la base aérienne 125 d’Istres

 

20/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février, M. François Hollande accompagné de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, s’est rendu sur la base aérienne (BA) 125 d’Istres pour prononcer un discours sur la dissuasion nucléaire.

 

« Le contexte international n’autorise aucune faiblesse et montre que le temps de la dissuasion nucléaire n’est pas dépassé. » Sept ans après son prédécesseur, dans ce traditionnel discours sur la dissuasion nucléaire, François Hollande confirme l’intérêt de cette dissuasion nucléaire pour la France, tout en soulignant l’évolution du contexte international.

« Il ne saurait être question (…) de  baisser la garde », dans le domaine de la dissuasion nucléaire, a fermement rappelé le président de la République, même si « la France ne se sent pas directement agressée (et qu’elle) n’a pas d’ennemi déclaré ». Dans la politique de défense de la France, la dissuasion nucléaire a plus que jamais sa place. Le président a d’ailleurs confirmé son attachement aux deux composantes sous-marine et aéroportée : « toutes deux concourent à l’ensemble des missions de la dissuasion et c’est leur complémentarité qui permet au chef de l’Etat de disposer, à tout moment, de la gamme d’options nécessaires et suffisantes et de ne jamais être tributaire d’un seul type de moyens ». Afin de conserver la crédibilité de ces deux composantes et malgré un contexte budgétaire contraint, François Hollande a confirmé leur nécessaire modernisation : la mise en œuvre des adaptations futures du missile M51 destiné aux sous-marins lanceurs d’engins (SNLE), la poursuite d’études pour préparer des SNLE 3e génération, le remplacement progressif des derniers Mirage 2000N par des Rafale et les études pour faire évoluer le missile de croisière ASMP-A (air-sol moyenne portée améliorée) et préparer son successeur l’ASN4G. Le chef des armées a également précisé : « Par ailleurs, la loi de programmation militaire a engagé le renouvellement de la flotte des avions ravitailleurs, 12 avions Phénix ont été commandés et les deux premiers seront livrés à partir de 2018. ».

« La France doit être lucide. Elle sait qu’il ne suffit pas de proclamer le désarmement nucléaire immédiat et total, il faut que la réalité des actes de chacun soit cohérente avec les discours. » Dans le domaine du nucléaire militaire, la France doit compter avec de nouvelles puissances qui cherchent à émerger. A ce sujet, le président de la République a rappelé que « l’accroissement du nombre d'États possédant l'arme nucléaire (est) un risque majeur pour la paix ». Et de rajouter « En même temps (que la France) est prête à se défendre, elle ne veut pas pour autant renoncer à l’objectif même du désarmement, y compris du désarmement nucléaire. La France, c’est une puissance de paix, et c’est pourquoi elle se défend, pour la paix ! »

« Je tenais à venir ici à Istres pour faire cet exercice de vérité, de transparence, et en même temps, de reconnaissance de ce qu’est la Force de dissuasion pour notre pays ». « Pour réaffirmer l’enjeu fondamental qu’elle représente (…) pour la sécurité de la France. (…) Indépendance, liberté, capacité à faire prévaloir nos valeurs, voilà pourquoi nous devons chaque jour, assurer la permanence de la dissuasion nucléaire et être capables, à chaque instant, d’en améliorer encore l’organisation, le fonctionnement et les armes. »

Enfin, le président de la République a rappelé que la dissuasion nucléaire était complémentaire des moyens militaires conventionnels « Ainsi, en emportant des armements conventionnels, les chasseurs des forces aériennes aux capacités duales ont réalisé environ un quart des frappes effectuées par des avions français lors des opérations en Libye et au Sahel. Ils opèrent aujourd’hui en Afrique et en Irak, et contribuent tous les jours à l’alerte de défense aérienne. »

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 15:35
MMRCA may get a push today

 

February 24, 2015 idrw.org Source Asian Age

 

India and France are hoping for a major breakthrough on Tuesday on the proposed multi-billion dollar 126 medium multi-role combat aircraft (MMRCA) deal when visiting French defence minister Jean Yves Le Drian will hold a 90-minute crucial meeting with defence minister Manohar Parrikar.

 

Talks are stuck on contract-negotiation with French firm Dassault — manufacturer of the Rafale aircraft — after certain problems allegedly cropped up regarding acceptance of complete responsibility by the French firm for the 108 aircraft (out of 126) that will be manufactured in India by the lead integrator—stae-run HAL.

 

Sources said France could agree to firmly adhere to standard operating procedures (SOPs) regarding the manufacture of the 108 aircraft in India but French sources said it is up to HAL to stick to deadlines.

 

In the proposed deal, 18 aircraft will be supplied in “fly-away” condition by Dassault. Work had already begun earlier on the draft for the proposed deal amid speculation that the deal could be to the tune of about $20 billion when it is inked. Dassault was earlier selected as the “L-1” (lowest financial bidder) among the two firms selected after the completion of the technical trials.

 

The IAF is eagerly looking forward to clinching the deal to bolster the number of its fighter squadrons. It remains to be seen whether the French Government provides any guarantees to India to clinch the deal during the talks on Tuesday which is being seen as a make-or-break attempt to reach an agreement on the deal. If talks are successful, the proposed draft of the deal is expected to be placed before the Cabinet Committee on Security (CCS) for clearance before the deal is formally inked with Dassault. The Modi Government is going all-out to ensure that crucial defence acquisitions are not delayed.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 13:56
Portrait d'un tireur embarqué


17 févr. 2015 Armée de l'Air

 

Portrait d'un tireur d'élite embarqué sur hélicoptère Fennec.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 13:50
Photos : COMOPSAIR IPR

Photos : COMOPSAIR IPR

 

18/02/2015 Danny Van Brusselen - MIL.be

 

Sur base de restrictions budgétaires et d'une rigoureuse analyse coûts-bénéfices, la Défense a décidé de maintenir au sol un des deux Falcon 20. Cet avion, qui a presté 16.192 heures de vol, finira dans un hangar du 15 Wing Transport aérien.

 

Le vendredi 13 février, cela ne s'invente pas, le Falcon immatriculé CM-01 s'avance sur le taxiway à 16h30, puis se dirige vers la piste de décollage. Quelques instants plus tard, les roues quittent l'asphalte. L'avion entame sa dernière mission avant d'être parqué dans un lieu de stockage.

 

Notre pays doit prendre de sévères mesures d'économie pour réduire la dette publique et maintenir le budget sur les rails. La Défense doit prendre part à l'effort et se serrer également la ceinture. Aussi, la Composante Air ne se servira plus du Falcon. Si l'avenir de la Défense se clarifie de manière plus précise, nous saurons si la mesure sera provisoire ou non.

 

En juin 1972, le gouvernement belge décidait d'acheter deux business jets. Il utilisait, pour ce faire, de l'argent épargné sur la dévaluation du dollar lors de l'achat des avions de transport C-130. En 2005, ces avions bénéficiaient d'ordinateurs de bord et d'instruments. Ils étaient également dotés d'un cockpit digital, de moteurs plus propres et plus puissants avant d'être renommés, pour l'occasion, Falcon 20E.

 

De nombreuses autorités internationales et belges pouvaient prendre place à bord de l'appareil. Mais des militaires, des civils et une équipe de donneurs avec un organe destiné à être transplanté furent également transportés.

 

Après un programme d'entretien adapté, l'appareil finit sa course dans un hangar.

Photos : COMOPSAIR IPRPhotos : COMOPSAIR IPR
Photos : COMOPSAIR IPR

Photos : COMOPSAIR IPR

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:35
L’A400M Atlas au salon aéronautique d’Avalon en Australie

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

C’est une première de plus dans la jeune histoire du nouvel avion de transport tactique de l’armée de l’air ! Un A400M Atlas s’est posé en Australie, dimanche 22 février 2015. Baptisé MSN 014, l’appareil s’était élancé jeudi 19 février de la base aérienne 123 d’Orléans afin de rallier Melbourne en Australie. Son objectif : prendre part au salon d’Avalon, plus importante rencontre aéronautique organisée dans l’hémisphère Sud.

 

Pour ce premier déplacement dans le sud du Pacifique, l’A400M a effectué le trajet en un temps « canon » : environ 15 000 km parcourus, soit 27 heures de vol enregistrées, en deux escales desservies… « Un autre avion de transport de l’armée de l’air, comme le C130, aurait eu besoin de deux fois plus de temps et d’étapes, explique le lieutenant-colonel Olivier, pilote au sein de l’équipe de marque « avion de transport tactique » (EMATT) du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM). Avec l’Atlas, nous pouvons voler au niveau de vol 400 (40 000 pieds, soit 12 000 mètres environ), à des altitudes comparables à celles empruntés par les avions de ligne. Nous pouvons aussi atteindre des vitesses de l’ordre de Mach 0.72. Pour un avion équipé de turbopropulseurs, c’est une vraie performance ! »

 

Véritable avion de transport tactique à l’allonge stratégique, l’Atlas répond aujourd’hui à un véritable besoin de l’armée de l’air. Au quotidien, il effectue des missions de transport logistique, notamment au profit des opérations militaires françaises menées en Afrique et au Levant. « Notre présence durant le salon est l’occasion de présenter non seulement l’appareil, mais aussi les compétences que les aviateurs mettent en œuvre chaque jour pour réaliser leurs missions », ajoute le lieutenant-colonel Olivier.

 

Si l’A400M Atlas sera sous le feu des projecteurs, un autre appareil en service dans l’armée de l’air, un Casa CN235 des forces armées de Nouvelle-Calédonie, sera également présenté durant le salon.

 

Par ailleurs, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), actuellement en visite en Australie, doit assister à l’inauguration officielle de l’événement, mardi 24 février. Le CEMAA participera également au Chief of Air Forces Symposium, colloque réunissant les chefs d’états-majors de nombreuses forces aériennes à travers le monde. À cette occasion, le général Mercier doit s’entretenir avec plusieurs de ses homologues étrangers, d’Asie et d’Océanie notamment.

L’A400M Atlas au salon aéronautique d’Avalon en Australie
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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:34
Transport de fret à destination des EAU

Transport de fret à destination des EAU

 

23/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février 2015 au matin, un avion de transport A400M Atlas décolle de la base aérienne 123 d’Orléans pour une mission de longue durée, baptisée « Avalon ».  Il s’agit du premier tour du monde vers l’est pour le nouvel avion de transport tactique de l’armée de l’air.

 

Deux premières escales réussies avec succès !

 

L’Atlas a décollé d’Orléans en emportant 5,5 tonnes de fret à destination notamment des Émirats arabes unis. Le matériel embarqué (lots de maintenance aéronautique, matériel médical et de soutien…) doit en partie bénéficier aux forces françaises engagées dans le cadre de l’opération Chammal. L’importante capacité d’emport de l’Atlas, ainsi que son très long rayon d’action permettent aujourd’hui aux équipages d’avions de transport tactique de réaliser des missions d’une durée jusque-là inédite.  Lors de sa deuxième escale, à Kuala Lumpur en Malaisie, l’avion a d’ailleurs été très bien accueilli, suscitant l’intérêt des Malaisiens, qui recevront leur premier appareil dans le courant du mois de mars.

 

Échanges avec les aviateurs malaisiens

Échanges avec les aviateurs malaisiens

Des expérimentations à chaque étape

 

Tout au long du périple, des expérimentations sont menées sur l’environnement de l’A400M (température, qualité de l’air), afin de produire des recommandations notamment en matière de sécurité aérienne, ainsi que dans la constitution des repos et des relèves équipages.  « La totalité de la mission est programmée sur environ 75 heures de vol, explique le lieutenant-colonel Olivier, commandant de bord et pilote de l’équipe de marque « avion de transport tactique » (EMATT), unité du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM). C’est à l’heure actuelle la plus longue mission jamais réalisée sur Atlas, depuis son arrivée dans les forces en août 2013. Ces vols de longue durée permettent de poursuivre l’expérimentation sur A400M. Chaque pilote est ainsi équipé d’un électro-encéphalogramme mesurant son état de fatigue, ainsi que son niveau de vigilance. Chacun doit également répondre à une série de tests informatiques et de questionnaires. L’influence du décalage horaire sur notre état général est également prise en compte. » Et d’ajouter : « les mesures réalisées par le département de médecine aéronautique opérationnelle (DMAO) et de l’institut de recherche biomédicale des armées (IRBA), ainsi que les enseignements tirés, seront bénéfiques à l’ensemble de la communauté A400M. »

 

La prochaine étape est déjà entamée, destination Avalon en Australie pour assister au salon aéronautique.

L'A400M quitte Kuala Lumpur

L'A400M quitte Kuala Lumpur

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:30
Vol sans escale de l’A400M aux Émirats arabes unis

 

18/02/2015 EMA/ Armée de l'air

 

Le 28 janvier 2015, un Atlas A400M s’est posé sur la base aérienne 104 d’Al Dhafra, pour livrer du fret aux militaires français des forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU).

 

Nouvel avion de transport tactique à allonge stratégique de l’armée de l’air, l’Atlas A400M démontre chaque jour un peu plus son extraordinaire capacité de projection.  Son allonge lui permet de remplir ce type de mission sans escale avec un emport plus important que sur Transall C160 ou Hercules C130.

 

Déployé à plusieurs reprises lors des opérations Chammal et Barkhane, il soutient les forces armées engagées sur les théâtres extérieurs et facilite les flux logistiques tout en permettant d’économiser les moyens engagés.

 

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:30
Sortie d’assemblage pour le 100ème PC-21 de Pilatus

 

23 février Aerobuzz.fr

 

Le 100ème PC-21 est sorti de la chaine d’assemblage finale de Pilatus, le 20 février. Il s’agit aussi du 1.000ème Turbopop Trainer produit par le constructeur suisse. Cet appareil sera livré aux forces aériennes saoudiennes qui en ont commandé 55 exemplaires destinés à la formation de leurs pilotes. Trois autres pays utilisent déjà le PC-21 pour la formation : la Suisse qui en possède 8, Singapour (19) et les Emirats Arabes Unis (25). La Qatar en a commandé 24 exemplaires en 2012.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 11:50
Un A400M ravitaillant deux F/A-18 photo Airbus DS

Un A400M ravitaillant deux F/A-18 photo Airbus DS

 

jeudi 19 février 2015 par Aerobuzz.fr

 

Dans un contexte tendu, Airbus Military a tenu à démontrer les capacités opérationnelles de son A400M en version ravitailleur en réalisant une série d’essais concluants avec deux F/A-18 des forces aériennes espagnoles. Au cours de quatre vols, 74 contacts ont été réalisés et 27,2 tonnes de carburant à des altitudes comprises entre 20 et 30.000 ft, et à des vitesses comprises entre 180 et 300 kts. Au cours d’une mission classique de ravitaillement, l’A400M peut opérer pendant deux heures dans un rayon de 500 NM (930 km) de sa base et transférer jusqu’à 34 tonnes. Reste que pour l’heure,l’A400M n’est toujours pas capable de ravitailler des hélicoptères.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 08:55
Visite du CEMA sur la base aérienne d’Orange

 

20/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février, la base aérienne 115 d’Orange a reçu la visite du chef d’état-major des armées (CEMA) accompagné du chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

 

Les généraux Pierre de Villiers (CEMA) et Denis Mercier (CEMAA) se sont rendus sur la base aérienne d’Orange pour découvrir les moyens de mise en œuvre de la posture permanente de sûreté (PPS) aérienne.

 

À cette occasion, ils ont pu visiter la permanence opérationnelle (PO), armée par les Fennec, ainsi que les locaux du futur centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA).

 

Lors de cette visite, les deux autorités ont pu également aller à la rencontre des aviateurs présents sur la base aérienne.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 17:45
Canon de 20 mm sur Fennec pour Sangaris

 

20.01.2015 Crédits : Etat-major des armées / armée de Terre


Le vendredi 30 janvier 2015, sur la base opérationnelle de Bambari, trois techniciens du détachement FENNEC de Bangui, projetés pour plusieurs semaines à Bambari, montent un canon de 20 mm sur une machine. L’opération prend environ 1h30.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner le déploiement vers sa pleine capacité opérationnelle de la mission de l’ONU.

 

Reportage photos
 

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 17:45
Côte d’Ivoire : dissolution du détachement « FENNEC » des Forces Françaises en Côte d’Ivoire

 

21/02/2015 Sources :  EMA

 

Après 42 ans de présence en République de Côte d’Ivoire, le détachement hélicoptère de l’armée de l’Air d’Abidjan a été dissout vendredi 13 février 2015 à l’occasion d’une cérémonie présidée par le colonel Nicolas Chabut, commandant les Forces Françaises en Côtes d’Ivoire (FFCI). Avec un équipage de deux pilotes, il a effectué un dernier vol historique dans le ciel ivoirien mercredi 9 février dernier.

 

D’abord mis pour emploi auprès du commandement des troupes françaises en Côte d’Ivoire (TFCI) du 43e Bataillon d’Infanterie de Marine (43e BIMa), ce détachement hélicoptère de l’armée de l’Air est rattaché le 22 septembre 2002 au dispositif interarmées « Licorne » pour assurer la protection des ressortissants français et soutenir la Force déployée par l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Seule unité de l’armée française à avoir participé à l’intégralité de l’opération « Licorne », l’escadron d’hélicoptères 3/67 « Parisis » qui met en œuvre le Fennec, aura effectué en 12 ans près de 4000 missions de guerre, transporté plus de 8000 militaires et civils et évacué plus de 60 soldats blessés.

 

Ce détachement de taille très réduite permet d’assurer des missions de sauvetage, de reconnaissance et de renseignement, d’appui, de transport tactique, d’infiltration et d’extraction. Dans un pays où l’instabilité est récurrente, le détachement d’hélicoptères Fennec (DETFENNEC) a prouvé son engagement à plusieurs reprises.

 

Tout au long de ces années, ce détachement hélicoptère de l’armée de l’air a effectué 11 000 heures de vol pour plus de 12 000 missions de guerre et après avoir sauvé près de 200 personnes, tout le personnel ayant participé à cette aventure se souviendra de cette date avec émotion.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 08:30
Vol sans escale de l’Atlas A400M aux Émirats arabes unis

 

18/02/2015 Sources EMA/ Armée de l'air

 

Le 28 janvier 2015, un Atlas A400M s’est posé sur la base aérienne 104 d’Al Dhafra, pour livrer du fret aux militaires français des forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU).

 

Nouvel avion de transport tactique à allonge stratégique de l’armée de l’air, l’Atlas A400M démontre chaque jour un peu plus son extraordinaire capacité de projection.  Son allonge lui permet de remplir ce type de mission sans escale avec un emport plus important que sur Transall C160 ou Hercules C130.

 

Déployé à plusieurs reprises lors des opérations Chammal et Barkhane, il soutient les forces armées engagées sur les théâtres extérieurs et facilite les flux logistiques tout en permettant d’économiser les moyens engagés.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 07:45
Le Cameroun utilise des drones d'observation dans la lutte contre Boko Haram

 

17/02/15 africatime.com (AFP)

 

Le Cameroun utilise des drones pour recueillir des renseignements sur les positions nigérianes des islamistes du groupe armé nigérian Boko Haram, a-t-on appris mardi auprès d'officiers supérieurs de l'armée.

 

"Nous avons des drones mobilisés depuis un moment pour neutraliser le groupe Boko Haram", a affirmé un responsable du ministère de la Défense sous couvert d'anonymat.

 

"Les drones que nous avons peuvent envoyer des coordonnées instantanées. Lorsque nous avons les coordonnées (des positions de Boko Haram au Nigeria) et que nous sommes certains qu'il n'y pas de civils, on allume" à travers des frappes d'artillerie notamment, a-t-il ajouté.

 

Les frappes s'inscrivent, selon le responsable, dans le cadre d'"actions préventives" pour anticiper sur d'éventuelles incursions et attaques de Boko Haram en territoire camerounais.

 

"Nous disposons de plusieurs drones" utilisés dans le cadre de la lutte contre Boko Haram, a confirmé un officier supérieur de l'armée de l'air, précisant qu'il s'agisait "essentiellement des drones d'observations. Nous n'en disposons pas encore pour le combat".

 

Ils "viennent de plusieurs corps de la Défense et de la Sécurité nationale", a-t-il expliqué.

 

Depuis des mois, le groupe islamiste nigérian a multiplié les incursions dans l'extrême-nord du Cameroun frontalier du Nigeria, commettant des massacres dans les villages, posant des mines antipersonnelles sur les axes routiers et s'en prenant désormais directement aux positions de l'armée.

 

L'armée camerounaise a lancé le 1er août 2014 une vaste opération de lutte contre Boko Haram baptisée Alpha, avec "plus de 6.500 soldats engagés" actuellement dans la région, selon le ministère de la Défense.

 

Pour la première fois fin décembre 2014, le Cameroun avait utilisé pour son aviation - il dispose d'Alpha jet basés à Maroua, principale ville de l'Extrême-nord - pour bombarder des combattants islamistes qui avaient pris un camp militaire à la frontière avec le Nigeria, selon le gouvernement camerounais.

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20 février 2015 5 20 /02 /février /2015 12:30
Vente des Rafale : les coulisses d'une grande première

 

15 février 2015 par François Clémenceau - JDD

 

Avec la vente de 24 avions de combat à l’Égypte, dont le contrat sera signé demain (16 fev), la France mise sur un nouvel axe arabe qui passe par Le Caire, Abu Dhabi et Riyad. De quoi doper les ventes d’équipements militaires au service d’une stratégie antiterroriste.

 

Le week-end prochain, Jean-Yves Le Drian sera de nouveau dans le Golfe. À Abu Dhabi, le ministre de la Défense verra pour la treizième fois en moins de trois ans son homologue émirien avant de participer au salon de l'armement Idex, qui réunit tous les pays du Moyen-Orient. Avec Cheikh Mohammed Ben Zayed, la relation est devenue suffisamment confiante pour que, après l'arrivée au pouvoir du maréchal Sissi au Caire, l'Émirien confie au Français son souhait de voir l'Égypte renforcée. Aux Émirats, comme en Arabie saoudite, le bilan de l'expérience des Frères musulmans à la tête de l'Égypte est en effet jugé des plus négatifs. D'où le message envoyé à la France : "Il faut aider Sissi à remettre sur pied son pays pour en refaire un pôle de stabilité et de référence." À Paris, le renseignement militaire sait également que la présence de Daech en Libye devra être traitée tôt ou tard et que ce sera plus facile avec l'aide de l'Égypte. "La diplomatie française était en retrait", confie une source officielle. Il faut dire qu'avec la répression de fer qui s'abat sur les Frères musulmans au Caire, avec des condamnations à mort par centaines, il est délicat diplomatiquement d'afficher un soutien total à un gouvernement qui piétine aussi brutalement les droits de l'homme.

 

"Le secret absolu a été gardé"

 

«Nombre de deals ont capoté parce qu'ils avaient été éventés sans que le client soit au courant, ce qui nous les a écartés à vie»

Le 15 septembre, alors que Jean-Yves Le Drian vient de donner depuis Abu Dhabi le coup d'envoi de l'opération française contre Daech en Irak, il débarque au Caire où l'attend le maréchal égyptien. À la résidence de France, l'ambassadeur Nicolas Galey prépare le ministre à l'entretien du lendemain avec Sissi. Le diplomate explique que le nouveau président égyptien veut doubler le canal de Suez pour redynamiser l'économie égyptienne et que le maître d'ouvrage allemand a reçu consigne de finir le chantier à l'été 2015, avec près de deux ans d'avance sur le calendrier. Le lendemain, au palais, le maréchal Sissi indique à Le Drian son souhait de voir une frégate multimissions de fabrication française ouvrir le chemin du nouveau canal. "Mais le bateau français après, je le garde", dit Sissi. Le maréchal fait part alors des difficultés énormes qu'il affronte dans le Sinaï contre les djihadistes, évoque une nécessaire modernisation de la flotte d'avions de combat. Sous-entendu, des Rafale. En moins d'une semaine, une équipe à Paris est désignée pour ne travailler que sur ce seul dossier. "Le secret absolu a été gardé parce qu'il fallait que ça aille vite, on a fonctionné à l'expérience", confie une source proche du dossier. "Nombre de deals ont capoté parce qu'ils avaient été éventés sans que le client soit au courant, ce qui nous les a écartés à vie."
L'expérience, c'est aussi le format et la méthode imposés par Jean-Yves Le Drian depuis bientôt trois ans dans ce domaine. En créant dès le départ le Comité ministériel des exportations de défense (Comed), le ministre a voulu réunir autour d'une même table, entre autres, les industriels, Bercy, le Quai d'Orsay, l'état- major, la Direction du renseignement militaire, afin que plus personne ne se marche sur les pieds. C'est avec ce nouveau dispositif que Le Drian récupère auprès des Émiriens le contrat Falcon Eye, ces deux satellites d'observation fabriqués par Airbus Défense et Thales.

 

Concurrence américaine

 

«Le président Sarkozy a voulu négocier lui-même le tarif, si bas que cela correspondait à la moitié du prix réel du bateau»

Alors qu'en 2000 70% des équipements émiriens étaient d'origine française, ce taux était tombé à 6% en 2012. "C'était un projet de très haut niveau où la concurrence avec les Américains était frontale", raconte une source impliquée dans la négociation. "Le ministre a essayé de recréer une relation personnelle avec le prince héritier. Lorsqu'il n'a pas obtenu de réponse, il a répondu qu'il attendrait sur place et a annulé tous ses rendez-vous pour quarante-huit heures. C'est comme ça qu'il a obtenu gain de cause et qu'il a pu revenir plus tard pour signer." Cette volonté d'aboutir sans jouer pour autant au VRP de base qui met un pied dans la porte tranche avec les pratiques du passé où tout se décidait de A à Z à l'Élysée. À l'époque, "les Marocains aussi voulaient une frégate Fremm. Le président Sarkozy a voulu négocier lui-même le tarif, si bas que cela correspondait à la moitié du prix réel du bateau", se souvient un observateur de cette période. "Résultat, les autres pays qui voulaient le même produit entendaient l'acheter au même prix que les Marocains. Le ministre, lui, discute avec nos partenaires jusqu'à ce qu'on lui dise : "Je veux que la France m'aide à faire ça."" Le tout avec une immense disponibilité. "Quand il va dans le Golfe, il n'y passe pas lors d'une escale, ce qui est mal vu par les dignitaires, mais pour les voir il dort sur place car c'est important d'accepter l'hospitalité offerte", confie un vétéran du ministère. Avec près de 200.000 km parcourus depuis juin 2012, rien qu'en "soutien à l'export", activité à laquelle il consacre un tiers de son temps, qui peut dire qu'on n'a rien sans rien?

 

Lire aussi : Vente de Rafale à l'Egypte : un premier contrat à l'exportation

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 12:35
IAF To Induct 1st Indo-Brazilian AEW&C Jet In Sept


15.02.2015 by Livefist

The Indo-Brazilian EMB-145i AEW&C platform, that made its first public appearance at AeroIndia 2013, returns to the show this year. But unlike two years ago, when the jet was steeped in a busy and extended period of systems trials, including sorties in the Eastern sector and over the Arabian Sea, the Indian Air Force gets all set to receive its first aircraft in seven months.

 

The team is looking to wrap up development flight & systems trials by the end of March (a Centre for Airborne Systems, CABS, officer tells me the aircraft at AeroIndia will still be notching up test points at the show too). With two aircraft in flight test, the Defence R&D Organisation (DRDO) has enough to meet its March 2015 deadline to complete development tests. But choosing to deploy one of the two jets at the Bangalore show wasn't a difficult decision, given the remarkable level of interest in the platform. CABS sources say at least two countries could sign MoUs declaring their interest in getting more information about the platform to support potential acquisitions. A confidential list of nations that have asked for briefings on the platform includes Malaysia, Indonesia, Brazil, Oman, and UAE. Embraer has taken it upon itself to (a) look at consolidating the EMB-145i into a standard marketable product that the two countries can jointly pitch in the global market, and (b) handle South American operations by itself.

 

Director of the Centre for Airborne Systems (CABS), lead integrator on the programme, Dr Christopher says, "Currently though the system is customised for the Indian Air force, the AEW&C India can fine tuned to any specific user‐oriented early warning product through appropriate programming/software which can be defined by the user. Many countries are evincing keen interest in the AEW&C system and discussions are in progress for export of this system."

 

But exports are in the future. The more immediate good news for the programme is what the Indian Air Force thinks of the EMB-145i. In the words of a senior officer associated with the programme, and one who will be part of 4-6 month user evaluation trials aimed for April, the IAF is 'impressed and satisfied'. Those are important words from a customer that hasn't had much faith in the past in long-gestation systems, especially critically needed platforms like early warning jets.

 

But September, the Indian Air Force hopes to be ready to induct the first of three EMB-145i. A third platform arrives from Brazil by the end of June or early July. The second EMB-145i will also likely enter service by the end of the year.

 

User trials with the IAF will include the deployment of the aircraft in a special live exercise to be jointly held by the Western and Central Commands, and involve operational situations for the AEW&C. A team from CABS will, of course, be embedded through this phase. Most importantly, there's a rare confidence in the systems and platform.

 

The IAF officer quoted above says, "These are impressive timelines. Our team has been satisfied with the performance. There are still some ends to tie up in the process of matching requirements with performance, but all major requirements have been demonstrated, including intercept control, battle management, Electronic Support Measure (ESM) and Communication Support Measure (CSM), data handling and the crucial SATCOM links. This could be one of the most trouble-free developments we have had so far."

 

The official literature on the platform, to be released at Aero India this year, says, "The AEW&C India has managed to pack in several sub-systems namely a highly versatile active array  Radar system, Identification friend or foe system, ELINT, COMINT systems, along with multiple combination of ‘C’-Band& SATCOM ‘Ku’-Band voice and Data Links, UHF/VHF/HF communications, & Self Protection Systems - in order to enhance mission capabilities, add redundancies to foolproof operations, and implant self‐protection against missile attacks from ground as compared with its contemporaries on same Embraer aircraft elsewhere in the world."

 

Speaking of the primary sensor, the heart of the platform, and India's contribution to the system, the Director of CABS Dr S. Christopher says, "While India has caught up with the rest of the world in adopting the Active Electronically Steering Array (AESA) Antenna for its radar; the two building-block components of the radar, the Transmit-Receive Multi-Module (TRMM) and the teflon-clad ultra light Antenna Panel are notable Indian innovations in the radar sub-system. These are developed by CABS and with a joint patent along with M/s Astra Microwave, Hyderabad for TRMM. The most important outcome of the efforts is the realisation of a system that is both operation-efficient and cost-effective."

 

The reloaded Indian AWACS programme, first revealed here on Livefist, is also gathering speed, with the DRDO expected to move forwarded in choosing an aircraft platform for the project this year.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:50
Rome devrait maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35

 

16/02/2015 zonebourse.com

 

Le gouvernement italien va résister aux pressions politiques émanant de son propre camp et maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35 fabriqués par l'américain Lockheed Martin, a-t-on appris de sources à Rome et aux Etats-Unis.

 

Cette décision est motivée par deux facteurs: le gros contrat d'entretien obtenu par la compagnie publique de défense Finmeccanica pour ces F-35 et la nécessité de renouveler la flotte de chasseurs.

 

"Le nombre approprié (de chasseurs) pour que l'Italie joue le rôle industriel auquel elle aspire est 90", a dit à Reuters une source italienne proche du dossier. "Respecter le programme est conforme aux différentes résolutions parlementaires et 90 est le nombre qui nous permet de couvrir les besoins du pays en terme de défense."

 

Cette opinion est partagée à Washington.

 

"La participation industrielle est proportionnelle au nombre d'avions que vous commandez. S'ils réduisent leur commande, le travail qu'ils auront à faire sur le site (d'assemblage et de vérification) et l'entretien diminueront", dit-on aux Etats-Unis.

 

L'achat de F-35 permettra à l'Italie de renouveler une flotte de plus en plus obsolète, alors que les tensions géopolitiques sont vives en Europe et dans son environnement, en raison de la crise en Ukraine et de l'islamisme radical.

 

Des élus du Parti démocrate, la formation du président du Conseil Matteo Renzi, ont réclamé en mai dernier de diviser par deux la somme consacrée à ce programme, estimé à 12 milliards d'euros. Certaines formations d'opposition réclament même l'abandon pur et simple du projet.

 

Matteo Renzi a lui-même évoqué l'an dernier une réduction de ce programme pour financer des baisses d'impôts pour les revenus les plus modestes.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:45
Barkhane : Entrainement au tir du DETPRO de Niamey

 

16/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mercredi 11 février, dans le cadre de son maintien en condition opérationnelle, une section du détachement de protection (DETPRO) s’est rendue sur un champ de tir nigérien en périphérie de Niamey au Niger, pour effectuer une séance de tir.

 

L’objectif de cet exercice était la réalisation d’une séance de tir d’entraînement, obligatoire pour chaque commando. L’ensemble du groupe avait effectué en amont deux semaines de stage de validation avant projection, sur la base aérienne 126 de Solenzara.

 

Après avoir effectué des tirs de réglage, les fusiliers commandos ont procédé à des tirs statiques et dynamiques avec leurs armes de dotation, le FAMAS et le PAMAS G1. Le tireur d’élite du groupe a quant à lui effectué un tir au fusil de précision FRF2.

 

Le détachement de protection du Détachement air (DETAIR) de Niamey, assure la sécurité des installations contre toute action qui pourrait mettre en péril l’activité opérationnelle de la base.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Entrainement au tir du DETPRO de Niamey
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