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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 21:30
Une journée à bord du porte-avions américain USS Carl Vinson (U.S. Navy)

 

17 avr. 2015 Crédit : État-major des armées / Marine nationale

 

Opération Chammal, avril 2015
 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
HMS Queen Elizabeth - photo QEC

HMS Queen Elizabeth - photo QEC

 

April 1, 2015 by George Allison · ukdefencejournal.org.uk

 

A leaked consultation document from this years Strategic Defence and Security Review (SDSR) planning phase appears to suggest that the Royal Navy will now order a third Queen Elizabeth class aircraft carrier in response to a resurgent Russia.

 

Sources in the MoD stress that the new ship, HMS Princess Diana, will incorporate lessons learned in the design and build stages of the first two vessels of the class. Queen Elizabeth was launched in 2014; Prince of Wales is due to join the fleet towards the end of the decade. After her launch and trials, Queen Elizabeth is due to be handed over to the Royal Navy in 2017.

 

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:36
A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

A French Rafale Marine Flotille 11F - carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson photo US Navy

 

New Delhi, March 20: telegraphindia.com

 

French aircraft carrier Charles de Gaulle, heading a battlegroup of ships involved in strikes against the Islamic State from the Persian Gulf, will be in the Arabian Sea next month for 10 days of war games with the Indian Navy.

 

The exercise, the latest of a series named "Varuna", will also involve India's aircraft carrier, the INS Vikramaditya, other Indian warships and a submarine.

 

The nuclear-powered Charles de Gaulle carries on board the navalised Rafale fighter jet that also landed on and took off from the American USS Carl Vinson aircraft carrier earlier this month in the Persian Gulf.

 

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

22 mars 2015 par PA Charles De Gaulle – Marine Nationale

 

Ils sont jeunes et pleins d’enthousiasme : les matelots Emilie, Allan, Guillaume et Jedaey sont ce qu’on appelle des « veilleurs OA ». Portrait.

 

A l’arrière du porte-avions sur bâbord, au niveau du pont d’envol et donc à l’air libre, se trouve la plateforme des officiers d’appontage ou « PFOA ».

 

Aussi connus sous le nom d’ « OA », les officiers d’appontage sont des pilotes très expérimentés qui vont aider les pilotes à apponter (c’est-à-dire se poser) en toute sécurité sur le pont du Charles, un peu comme des anges gardiens. Pour accomplir ce travail minutieux, les OA ne sont pas seuls : une petite équipe de matelots les assiste dans l’objectif de rassembler les conditions optimales pour mener à bien les appontages. Mais qui sont-ils ?

 

Emilie, Allan, Guillaume et Jedaey sont les « veilleurs OA ». «On est une aide aux OA, ils comptent sur nous pour vérifier si l’avion est prêt à se poser » explique Guillaume, 21 ans. Pour cela, il faut s’assurer que les trains d’atterrissage (les roues), les volets (dispositif mobile sur les ailes permettant d’augmenter la portance de l’avion à basse vitesse) et la crosse (sorte de gros crochet à l’arrière de l’avion qui lui permet d’attraper un des brins d’arrêt et d’être stoppé) sont bien baissés. Les veilleurs OA travaillent par binômes : il y a un veilleur et un héraut de pont.

 

Le veilleur, armé de jumelles, détermine si l’avion est dans la bonne configuration et transmet l’information aux OA par un signe de la main. « Trains, volets, crosse ! » s’écrit Allan en levant trois doigts. Il n’est de service que le jour, étant donné le manque de visibilité la nuit tombée.

 

Le héraut de pont, lui, est positionné juste à côté de la piste d’appontage et dispose de plusieurs outils : une radio, une manette électronique et deux pavillons, vert et rouge. Son rôle est d’indiquer la disponibilité du pont ; le héraut va d’abord observer l’officier de pont, une personne habillée en jaune en charge de la sécurité et de la maitrise des sinistres sur le du pont d’envol, qui lèvera un pouce pour renseigner la disponibilité ou l’indisponibilité de la piste. « Ensuite, on relaye l’information aux OA en appuyant sur un bouton afin que cela s’affiche sur leurs écrans » décrit Emilie. Les pavillons, eux, permettent de signaler l’occupation du pont à l’ensemble des marins y travaillant : si un avion vient de se poser, le pont est alors « engagé » et le héraut l’indiquera par un pavillon rouge tandis que s’il est vert, l’avion peut apponter en toute sécurité. Pour les appontages de nuit, les pavillons sont remplacés par des bâtons lumineux.

 

Si ce métier implique des responsabilités, il comprend aussi sa part de traditions : lorsqu’un pilote, pour apponter sur le Charles, oublie de baisser un des trois éléments, il doit offrir une grosse boîte de bonbons aux veilleurs OA !

 

Equipés de casques, de ceintures de protection, de masques et de gilets de sauvetage, les veilleurs OA évoluent dans un milieu où les règles de sécurité sont primordiales : ils se trouvent à moins de 10 mètres d’avions appontant à une vitesse de 250km/h. «Le vrai risque, c’est de tomber dans la routine et de ne plus voir le danger» témoigne Jedaey.

 

Lorsqu’ils ne sont pas veilleurs OA, ces jeunes sont en charge de poser des cales et des saisines sur les aéronefs stationnés sur le pont. Ils apprécient néanmoins leur fonction spéciale : « ça nous sort de l’ordinaire » raconte Emilie. Pendant leur temps libre, lorsqu’ils ne sont pas de quart, notre petite bande de veilleurs OA privilégie le repos et la pratique du sport. « On enchaine les heures de travail, le créneau 00h00 – 06h00 est particulièrement dur. Alors ça fait du bien d’aller à la salle de musculation ! » précise Allan, 23 ans.

 

Au fait, comment sont-ils arrivés là ? « Nous avons eu 4 semaines de formation militaire et 5 semaines de formation spécifique sur les métiers du pont d’envol, à la Base Aéronavale de Hyères » raconte Emilie. Et pour l’avenir ? « Pour moi, ce métier est un tremplin, mon but est de devenir plongeur d’hélicoptère. Je dois passer une formation en juin» rajoute Guillaume, avignonnais engagé dans la Marine depuis 2 ans et demi. Allan et Jedaey, tous deux originaires de Guadeloupe sont eux aussi contents de s’être engagés : « C’est une passion » dit en souriant le premier, « mais je voudrais à terme devenir commando ». Pour Jedaey, qui a auparavant travaillé dans le secteur des télécommunications, être marin lui « permet d’avancer dans la vie ».

 

Nous leur souhaitons une bonne continuation et du succès dans leurs projets !

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale
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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 09:20
Le SNA Saphir - photo S. Richard 32F-Marine Nationale

Le SNA Saphir - photo S. Richard 32F-Marine Nationale

 

Mar 05 2015 - By David Cenciotti - theaviationist.com

 

If you thought aircraft carriers were invincible you were wrong.

 

On Mar. 4, the French Ministry of Defense released some interesting details, about the activity conducted by one of its nuclear-powered attack submarine (SNA) in the waters of the North Atlantic Ocean.

According to French MoD website (that is no longer online, even if you can still find a cached version of the article titled “Le SNA Saphir en entraînement avec l’US Navy au large de la Floride” [or read it on RP Defense website] ), the Saphir submarine has recently taken part in a major exercise with the U.S. Navy off Florida.

The aim of the exercise was joint training with U.S. Carrier Strike Group 12 made by the aircraft carrier Theodore Roosevelt, several Ticonderoga cruisers or Arleigh Burke-class destroyers and a Los Angeles-class submarine, ahead of their operational deployment.

The scenario of the drills saw some imaginary states assaulting American economic and territorial interests; threats faced by a naval force led by USS Theodore Roosevelt.

 

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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 07:30
photo Marine nationale

photo Marine nationale

 

10 mars 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Dans le golfe Arabo-Persique, des chasseurs F18 Hornet américains effectuent une série de "touch and go", d’appontages et de catapultages sur le porte-avions Charles de Gaulle pour obtenir leurs qualifications. Le 3 mars dernier, des Rafale Marine du porte-avions Charles de Gaulle avaient obtenu leurs qualifications à bord de l'USS Carl Vinson. Ces qualifications illustrent le haut niveau d’interopérabilité entre les deux marines.

 

Lancée depuis le 19 septembre 214, l’opération Chammal mobilise 3 000 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion ravitailleur C-135 FR, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval.

 

Reportage photos

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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 00:20
The aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71) departs Naval Station Norfolk for a scheduled deployment

 

NORFOLK (March 11, 2015) U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class Justin Wolpert/Released

 

The aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71) departs Naval Station Norfolk for a scheduled deployment. The deployment is part of a regular rotation of forces to support maritime security operations, provide crisis response capability, and increase theater security cooperation and forward naval presence in the 5th and 6th Fleet areas of operation.

 

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 12:50
HMS Prince of Wales build intensifies


11 mars 2015 Royal Navy

 

The build profile of HMS Prince of Wales intensifies as blocks are moved around the yard to accommodate the programme of lifts including that of the Gas Turbine Alternator. This video shows one of the sponsons being moved.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 19:35
China's first aircraft carrier, the Liaoning, was commissioned in 2012.

China's first aircraft carrier, the Liaoning, was commissioned in 2012.

 

2015-03-09 wantchinatimes.com

 

A People's Liberation Army Navy official has confirmed for the first time that China is building its second aircraft carrier, reports Duowei News, a US-based Chinese political news outlet.

 

Ding Haichun, a deputy political commissar of the PLA Navy, acknowledged during an interview with Hong Kong media on March 8 that China's second aircraft carrier is currently under construction and will be more advanced than the country's first carrier, the Liaoning, which was retrofitted from the Soviet-era carrier Varyag and commissioned in September 2012.

 

Once the industrial manufacturing department has completed construction, the carrier will be handed over to the PLA Navy to commence training, Ding said.

 

Naval power and electrical engineering specialist Ma Weiming added that China's catapult launch technology has absolutely no problems and can compete with that of the United States.

 

When questioned by reporters, former PLA Navy political commissar Liu Xiaojiang refused to confirm media speculation that the second aircraft carrier would commcence sea trials as early as this year, noting that the manufacturing process and schedule is highly complex.

 

Liu admitted he is uncertain just how many aircraft carriers the country intends to build. While some have claimed as many as six carriers are needed to safeguard China's territorial sovereignty and interests abroad, Liu said the answer will ultimately lie in how much research and development funding is available.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 18:35
Un homme accusé d’espionnage pour des photos du porte-avions chinois

 

10 mars 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Un Chinois accusé d’avoir vendu 500 photos du premier porte-avions de l’Armée populaire de libération a été arrêté dans le cadre d’une enquête anti-espionnage, a rapporté la presse officielle.

 

L’homme, identifié sous le nom de M. Zhang, aurait pris ces clichés en répondant à la commande d’une personne se présentant comme le rédacteur-en-chef d’un magazine, a précisé lundi soir la télévision de la ville de Dalian.

C’est dans ce port du nord-est de la Chine qu’a été construit le premier porte-avions chinois, le «Liaoning», admis au service actif en septembre 2012. Ce navire est issu d’un bâtiment inachevé vendu en 1998 par l’Ukraine.

M. Zhang est soupçonné d’avoir photographié le Liaoning d’avril à août 2014 dans le port de Dalian, où se déroule l’entretien régulier du navire-amiral de la marine chinoise.

«M. Zhang a gravement porté atteinte à la sécurité militaire du pays», a commenté la télévision de Dalian.

Selon cette même source, un autre homme a été arrêté à la même époque à Dalian, accusé d’avoir touché 90.000 yuans (13.300 euros) en échange de photos de matériel militaire qu’il aurait remises à un «reporter».

Ce dernier serait un espion étranger qui était surveillé par les services chinois de contre-espionnage, a ajouté la télévision de Dalian, sans préciser la nationalité de cette personne.

Pékin cultive une très grande opacité sur ses programmes militaires et se montre particulièrement sensible sur la question du secret-défense, en lui attribuant un très vaste champ.

La Chine a annoncé la semaine dernière son budget militaire pour 2015, en hausse de 10,1%.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 13:30
Aircraft carrier USS Carl Vinson and French nuclear aircraft carrier Charles de Gaulle transit the Northern Arabian Gulf

 

Mar. 8, 2015 U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class Scott Fenaroli/Released

 

Aircraft carrier USS Carl Vinson (CVN 70), left, and French nuclear aircraft carrier Charles de Gaulle (R91) transit the Northern Arabian Gulf. Carl Vinson is deployed in the U.S. 5th Fleet area of operations supporting Operation Inherent Resolve, strike operations in Iraq and Syria as directed, maritime security operations, and theater security cooperation efforts in the region.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 14:25
Le porte-avions São Paulo (ex-Foch) a été mis en service en 1963 - photo Rob Schleiffert

Le porte-avions São Paulo (ex-Foch) a été mis en service en 1963 - photo Rob Schleiffert

 

09/03/2015 Michel Cabirol – Latribune.fr

 

DCNS pourrait moderniser le porte-avions brésilien, le São Paulo. Une opération estimée à au moins 250 millions d'euros.

 

Le Brésil va-t-il moderniser son vieux porte-avions le São Paulo, l'ex-Foch, acheté en 2000 à la France pour 12 millions de dollars ? C'est fort possible compte tenu de la contrainte budgétaire qui contraint Brasília à reporter ses rêves de grandeur à plus tard avec l'achat de deux nouveaux porte-avions. Selon des sources concordantes, cette opération pourrait coûter au minimum 250 millions d'euros à la marine brésilienne avec l'objectif de le faire voguer encore au moins une dizaine d'années supplémentaires.

Le groupe naval DCNS est bien sûr intéressé par ce projet. Et son PDG Hervé Guillou était au Brésil la semaine dernière pour faire avancer ce dossier entre autre, selon des sources concordantes. "Le dossier avance bien et les entretiens se sont bien passés", explique-t-on à "La Tribune". Une décision du Brésil est attendue à la fin de 2015 à l'issue des études préliminaires réalisées à l'automne en vue de déterminer les travaux à réaliser. C'est actuellement l'un des dossiers prioritaires de DCNS.

 

Quelle modernisation?

Mis en service en 1963, le São Paulo, un jeune "quinqua", a toutefois besoin d'une nouvelle modernisation urgente. Car le porte-avions brésilien a été victime ces dernières années de plusieurs avaries plus ou moins importantes, qui suscitent régulièrement l'inquiétude des marins et de la presse brésilienne. Que voudra faire la marine en fonction de la corrosion du bâtiment ? En dehors d'un grand carénage nécessaire, il pourrait être doté d'une nouvelle propulsion électrique, l'actuelle datant des années 60. Et la marine brésilienne devra aussi décider si elle modernise le système d'armes du São Paulo. Ce qui ferait logiquement monter la facture.

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 22:20
USS Carl Vinson & FS Charles de Gaulle in the Northern Arabian Gulf


8 mars 2015 US NAvy

 

ARABIAN GULF (March 8, 2015) The U.S. Navy aircraft carrier USS Carl Vinson (CVN 70) and French aircraft carrier FS Charles de Gaulle (R 91) transit together in the Northern Arabian Gulf. Carl Vinson and its embarked air wing, Carrier Air Wing (CVW) 17, are deployed in support of maritime security operations and strike operations in Iraq and Syria as direction for theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of operation. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 2nd Class Samuel LeCain/Released)

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 17:30
FDA Chevalier Paul - photo Marine Nationale

FDA Chevalier Paul - photo Marine Nationale

 

4 mars 2015 par Portail des Sous-Marins

 

Depuis le 23 février, le Porte-Avions Charles de Gaulle a rejoint la coalition qui lutte contre le groupe État islamique dans le golfe Persique. Mais il n’est pas parti seul. Un sous-marin et un navire, la FDA Chevalier Paul, veillent en permanence sur sa sécurité. France 2 a pu embarquer à bord de la frégate.

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 16:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

04/03/2015 Par Denis Masliah - ledauphine.com

 

Quatre ans après son engagement au sein de l’opération Harmattan contre les forces gouvernementales de Kadhafi, le porte-avions Charles-de-Gaulle est donc de nouveau entré en guerre la semaine dernière dans le Golfe arabo-persique. Placé sous commandement américain, le « Charles » et son groupe aéronaval vont participer pendant environ deux mois aux frappes aériennes de la coalition contre le groupe État Islamique en Irak. En avril 2011, le Dauphiné Libéré avait pu embarquer sur le porte-avions et assister aux opérations en mer de Libye. Retour sur le quotidien à bord du bâtiment amiral de la Marine nationale.

 

D’abord, il y a ce vacarme permanent. Quel qu’il soit et d’où qu’il vienne, le terrien embarqué sur le porte-avions Charles-de-Gaulle en opération de guerre ne peut y échapper. Catapultages et appontages incessants des Super Etendard et des Rafale diffusant leur onde de choc dans tout le navire, rotations des hélicoptères, mise en route du brasseur de carburant, beuglement sourd de l’ascenseur à aéronefs -qui hisse avions et hélicos depuis le hangar jusqu’au pont d’envol-… Et lorsqu’une trêve survient miraculeusement dans ce déferlement de décibels, ce sont les haut-parleurs qui l’interrompent en diffusant les messages de bord à toute heure du jour et de la nuit.

 

Suite de l’article

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 16:20
A French Rafale Marine aircraft of Flotille 11F during carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson

 

ARABIAN GULF (Mar. 3, 2015) U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class John Philip Wagner, Jr.

 

A French Rafale Marine aircraft of Flotille 11F deployed aboard the French nuclear powered aircraft carrier Charles de Gaulle (CDG) launches from the flight deck during carrier qualifications aboard the U.S. nuclear powered aircraft carrier USS Carl Vinson (CVN 70). Carl Vinson is deployed as part of the Carl Vinson Strike Group supporting maritime security operations, strike operations in Iraq and Syria as directed, and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of responsibility.

 

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A French Rafale Marine aircraft of Flotille 11F during carrier qualifications aboard the USS Carl VinsonA French Rafale Marine aircraft of Flotille 11F during carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson
A French Rafale Marine aircraft of Flotille 11F during carrier qualifications aboard the USS Carl Vinson
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:35
China‬ builds scale model aircraft carrier on land to test future chinese navy‬ equipment - Google Earth

China‬ builds scale model aircraft carrier on land to test future chinese navy‬ equipment - Google Earth

 

March 4, 2015: Strategy page

 

Satellite photos show China making rapid progress in building new islands in the Spratly islands. Some of these new islands are large enough for airstrips long enough to support warplanes, but most are suitable only for light transports and helicopters. This, however, makes these new islands suitable as staging areas for helicopter raids on nearby small islands claimed, or even occupied, by another nation. In effect, these new islands have become permanent aircraft carriers dotting the disputed islands of the South China Sea.

 

In the last year or so China has rapidly gone from building platforms to bringing in dredging ships and piling up sand into new islands. Thus Hughes reef, which has had a 380 square meter (4,100 square feet) raised platform since 2004 has in the last six months had that expanded by dredging to a 75,000 square meter (18 acre) island with an airstrip and buildings now under construction. Similar platform building and island creation is under way at other reefs (Johnson South, Gaven Reefs and Fiery Cross Reef) in the Spratlys.

 

China is particularly concerned about gaining control of the Spratlys, a group of some 100 islets, atolls, and reefs that total only about 5 square kilometers (1,200 acres) of land, but sprawl across some 410,000 square kilometers of the South China Sea. Set amid some of the world's most productive fishing grounds, the islands are believed to have enormous oil and gas reserves. Several nations have overlapping claims on the group. About 45 of the islands are currently occupied by small numbers of military personnel. China claims them all, but long occupied only 8 while Vietnam has occupied or marked 25, the Philippines 8, Malaysia 6, and Taiwan one. Now China is building platforms and new islands all over the Spratly chain giving it a legal (at least according to China) claim to all of the Spratly Islands.

 

All these new islands have to be supplied with food, water, fuel and other necessities from the mainland. Most of this is by ship but the addition of airstrips provides the ability to make emergency deliveries by air. The platforms are kept because during major storms these low lying artificial islands are often flooded. The platforms provide an emergency refuge for the small garrisons on these islands. Other nations believe all this platform and island building can mean only one things, an eventual Chinese attack on the claims (and island garrisons) of other claimants.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 16:30
Anti-IS mission puts hardened French pilot on new flight path (25 Feb.)

 

Feb 25, 2015 By Valérie Leroux Aboard The Charles De Gaulle (AFP)

 

After having flown missions over Afghanistan and Libya, French Rafale fighter pilot "Sharpy" now faces fresh challenges on his new assignment against the Islamic State jihadist group in Iraq.

 

"We are well-trained, we know all the procedures but you still need to get used to the territory," he said after landing his fighter on the carrier Charles de Gaulle following a nighttime sortie.

 

French warplanes have formed part of the US-led coalition carrying out raids against IS jihadists in Iraq for several months.

 

As in Afghanistan, the enemy is extremely mobile and often elusive.

 

IS fighters embed in towns among the general population, complicating air strikes and attempts by Iraqi forces to retake territory seized by the extremists.

 

But unlike in previous conflicts, where air power supported an extensive troop presence, "we have very few people on the ground" in Iraq, Sharpy said.

 

"The planes have a role to play in identifying how the enemy moves, changes position. It's really another way of waging war."

 

After takeoff from the Charles de Gaulle, stationed in the Gulf, the Rafale and Super Entendard attack planes fly northwest, conducting sorties over jihadist strongholds, including Tikrit and Mosul.

 

After refuelling from coalition supply planes, the jets spend several hours in and around their operation zone where they mainly conduct aerial reconnaissance.

 

The planes photograph potential future coalition targets and assist Iraqi and Kurdish peshmerga forces below with real-time intelligence on IS positions.

 

"With our means of reconnaissance, including models of infrared video cameras, we can see personnel and vehicle movements and give (allies) a better idea of what is happening on the ground," Sharpy said.

 

The pilot said the hardest part was when the jets engage the enemy. "You need to respond quickly and possibly drop a bomb or fire your guns. It is stressful," Sharpy said.

 

- 'Milliseconds from disaster' -

 

Concentration is paramount and even though each flight can last several hours, the pilots cannot afford to switch off for a second.

 

"The adrenaline is pretty concentrated, that keeps you going," according to Sharpy. "There are times during the flight when you can relax a little and that is when the fatigue creeps in."

 

Yet those on mission must keep their guard up, even after the enemy has withdrawn.

 

There is a long series of checklists to complete, and they must maintain regular radio contact in airspace that can grow congested with coalition planes.

 

After up to six hours of solid flying, the pilots need to be especially focused as they come in to land.

 

Although it is one of the biggest aircraft carriers on earth, landing a supersonic jet on the Charles de Gaulle can prove challenging.

 

"You're only milliseconds from disaster," Sharpy said.

 

Even with their wheels down, the coalition pilots also face danger on the ground.

 

The burning to death of captured Jordanian pilot Maaz al-Kassasbeh in a gruesome IS video released last month drove home for Sharpy and his colleagues how the airmen are always in the enemy's firing line.

 

He gave the interview with his face covered, part of the French military's strict policy of anonymity for its servicemen since January attacks by Islamist gunmen in Paris that killed 17 people.

 

Seeing "such abuses inevitably has a psychological effect," Sharpy admitted.

 

"Many pilots ask themselves: 'What happens if I fall into the hands of IS?'"

 

"But this has also increased our determination. Fighting an enemy that is capable of such terrible acts is obviously a great source of motivation for pilots."

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 17:30
photo PA Charles de Gaulle - Marine Nationale

photo PA Charles de Gaulle - Marine Nationale

 

27 février 2015 par PA Charles De Gaulle

 

Huit heures du matin en passerelle de défense à vue et cela fait déjà quatre heures que le personnel est à son poste.

 

La passerelle de défense à vue est une petite passerelle vitrée qui abrite une dizaine de marins en charge de s’assurer, de façon permanente et surtout lors de manœuvres stratégiques (passages de détroits, accostages, appareillage), qu’aucune menace visible de surface, maritime ou aérienne, ne plane sur le porte-avions. Localisée au pont 011, tout en haut du bâtiment, la passerelle de défense à vue est un peu comme un nid, où un faucon ou une chouette (car on y travaille de jour comme de nuit !), guette l’horizon de ses yeux perçants. « En passerelle de défense à vue, on s’occupe de la veille nautique et on contribue à l’autodéfense du bâtiment. On annonce et identifie tout ce qui est visible : le type de bâtiment, sa couleur, son numéro de coque, le nombre de passagers si possible et surtout la distance à laquelle il se trouve du porte-avions », explique le second maître Olivier. C’est donc ici que se fait la surveillance de l’environnement immédiat du Charles de Gaulle.

 

Mais comment ? La passerelle dispose de nombreux outils, à la fois technologiques et humains : alidade de relèvement, caméras infrarouges très puissantes, et deux personnes assurant la veille optique appelés « faucons », qui scrutent la mer et le ciel à l’aide de jumelles. « Nous sommes un peu comme les yeux du porte-avions » ajoute Olivier. Bienvenue en passerelle de défense à vue.

 

08h15: Aujourd’hui est un jour important ; nous nous préparons à traverser le Détroit d’Ormuz. Ce passage, qui relie le golfe Persique au golfe d’Oman est long de 63km et large de 40km, il est donc plus large que le Canal de Suez et offre de meilleures conditions pour l’identification et la reconnaissance des bâtiments alentours. Lieu hautement stratégique, c’est une voie commerciale cruciale pour les flux de marchandises et d’hydrocarbures. Mais le Golfe Arabo-Persique est aussi un théâtre marqué par les conflits récurrents entre les pays riverains. Il faut donc être prudent.

 

08h44 : La mer est calme, le ciel brumeux. De la passerelle de défense à vue, on distingue difficilement d’un côté les côtes omanaises et de l’autre, celles de l’Iran. Les yeux rivés sur la « wescam », une caméra qui permet d’obtenir une vue à 360°C autour du porte-avions, le Maître Thomas, électronicien d’armes, décrit l’horizon : « Un « tango mike charlie » sur bâbord et deux boutres de pêcheurs sur l’avant tribord ». Ici, on fonctionne par noms de code : Tango pour transport, Mike pour maritime et Charlie pour conteneurs, autrement dit, un cargo transportant des biens à destination de l’Europe se trouve près du bâtiment. Aucune raison de s’inquiéter, mais ici la vigilance reste à son comble.

 

9h37 : Une chanson en farsi vient rompre le silence qui règne sur la passerelle. Elle provient d’une radio de haute fréquence partagée par tous les bâtiments aux alentours, dans un rayon de 4 km. De temps à autre, on entend les communications des autres forces présentes : hindi, arabe, anglais… Nous ne sommes pas seuls dans le coin.

 

10h00 : Perché sur une chaise haute, Christian, le chef des fusiliers marins (l’unité en charge d’assurer la protection du porte-avions) parle à ses hommes à l’aide d’une radio : « De Mars à tous les Cactus, frégate iranienne sur tribord avant en rapprochement ». En communication directe avec plusieurs équipes de fusiliers (les « cactus ») postés tout autour du bâtiment et prêts à intervenir en cas d’attaque, « Mars » analyse la situation et transmet ses ordres. Lui-même reçoit des instructions de « Soleil », le commandant du porte-avions.

 

10h16: La frégate iranienne navigue toujours à nos côtés, mais toujours à l’extérieur de notre périmètre de sécurité (2 nautiques autour du porte-avions). Arborant un drapeau lui permettant d’être identifié, celui-ci est classé neutre, mais la tension est tout de même quelque peu palpable. Tout bâtiment présentant un comportement inhabituel peut être classé selon différentes catégories : neutre, suspect et finalement hostile, lorsqu’il entre dans une zone sanctuarisée autour du Charles. Dans ce dernier cas, des tirs dissuasifs peuventéventuellement êtres ordonnés.

 

10h23 : Un aéronef iranien est détecté dans le ciel. Il s’agit d’un avion de reconnaissance et de renseignement d’un pays riverain, qui se rapproche de nous avant de repartir. Heureusement, l’hélicoptère Caïman de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul veille sur le Charles. Celui-ci permet le blanchiment de la route du porte-avions et la récolte d’informations en avance de phase sur l’environnement nautique, dans un rayon de 5 à 10 nautiques.

 

11h00 : Nous sommes maintenant au cœur du détroit et prenons le virage formé naturellement par le continent. La visibilité faible ne nous permet pas de voir les côtes, mais nous nous savons proches de la ville de Bandar Abbas, située à moins de 30 nautiques, sur la côte iranienne. Tout autour se trouvent de nombreux bâtiments, civils mais surtout militaires. Des petites embarcations sont postées tous les 4km pour garder un œil sur les flux maritimes.

 

12h17 : Le temps passe, mais les activités ne manquent pas au pont 011. Les marins ayant terminé leur quart sont relevés par leurs co-équipiers. Le matelot Margaux, âgé de 25 ans et veilleur en passerelle de défense à vue, décrit l’ambiance : « On a une certaine pression, car ce travail demande beaucoup de concentration. L’ambiance est toujours calme ici, mais pendant les passages de détroits nous sommes encore plus attentifs. Nous faisons des quarts de 4 heures la nuit et de 3 heures la journée. On a donc besoin de boire beaucoup de café et d’avoir de quoi grignoter pour tenir ! ».

 

14h05 : Des patrouilleurs approchent du porte-avions. Ceux-ci se rapprochent, changent d’inclinaison, vont de bâbord à tribord, s’arrêtent puis repartent. Grâce aux caméras, on aperçoit des individus utiliser leur radio et nous observer à l’aide de jumelles. Pour Christian, « il n’y a pas lieu de s’inquiéter, nous sommes attendus. Quand un porte-avions passe au large des côtes, il est évident que les pays riverains augmentent leurs moyens de renseignements ». Nous sommes donc aussi surveillés.

 

14h09 : Le porte-avions reçoit un appel radio des patrouilleurs, demandant des informations sur la nature de notre mission et notre trajectoire. C’est la passerelle de navigation, située au pont 09 qui répondra.

 

15h18 : Un drone a survolé le porte-avions et les autres bateaux de notre escorte. Pendant les passages de détroits, le porte-avions devient totalement hermétique : toutes les ouvertures sont fermées, notamment les deux ascenseurs qui permettent aux avions de monter du hangar (pont 02) au pont d’envol (pont 05).

 

16h00 : Rien de particulier à signaler.

 

16h54 : La luminosité baisse petit à petit. Tout d’un coup, on dénote une trainée de petits points blancs sur la mer. Des filets de pêche ? Des bouées ? Thomas effectue un zoom sur la caméra. Non, juste des mouettes posées tranquillement sur l’Océan ! Il arrive parfois de voir des bancs de dauphins, ou des « souffleurs », c’est-à-dire des baleines.

 

17h37 : « Masquage des feux ». Tous les jours, au coucher du soleil, une diffusion retentit dans tout le bâtiment pour signaler le passage aux lumières rouges. L’ensemble du porte-avions est alors plongé dans une semi-obscurité, nécessaire pour deux raisons : faire une distinction entre le jour et la nuit sur un bâtiment où les occasions de sortir à l’air libre sont rares, et surtout diminuer la luminosité générale afin de mieux voir ce qui se passe à l’extérieur. La passerelle de défense à vue est ainsi plongée dans le noir, les écrans sont masqués par des filtres atténuant la lumière. « Un des privilèges de travailler ici, c’est de pouvoir assister à de très beaux levers et couchers de soleil » souligne Margaux.

 

18h26 : Le Charles de Gaulle est sorti du détroit d’Ormuz et fait enfin son entrée dans le Golfe Arabo-Persique. On aperçoit au loin des petites lumières, ce sont des plateformes pétrolières. En passerelle de défense à vue, l’atmosphère se détend petit à petit. Les « cactus » peuvent quitter leur poste, le personnel de quart est relevé. Certains vont diner tandis que d’autres regagnent leurs postes pour se coucher. Un sommeil bien mérité après ces longues heures de veille !

photo PA Charles de Gaulle - Marine Nationalephoto PA Charles de Gaulle - Marine Nationale

photo PA Charles de Gaulle - Marine Nationale

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 12:30
Exercice dans le détroit d’Ormuz: les Iraniens coulent une réplique d’un porte-avions américain

Le Corps des Gardiens de la révolution islamique d’Iran (CGRI) a lancé la dernière semaine de février 2015 dans le détroit stratégique d’Ormuz la 9e édition de l’exercice militaire naval de grande envergure « Le plus grand des prophète » (Irib)

 

27 février 2015 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Le Corps des Gardiens de la révolution islamique d’Iran (CGRI)a lancé mercredi dans le détroit stratégique d’Ormuz la 9e édition de l’exercice exercice militaire naval de grande envergure « Le plus grand des prophètes », tentant apparemment d’en mettre plein la vue aux observateurs au même moment où des forces navales occidentales sont plus que jamais présentes dans la région pour mener la guerre au groupe armée État islamique en Irak et en Syrie.

 

L’exercice « Grand prophète 9″ (Al-Rasoul AlAazam), a été diffusé en direct sur la chaîne de télévision d’État iranienne IRIB TV, avec la participation de politiques iraniens et d’officiers de l’armée de haut-rang.

 

Ont notamment assisté à ces exercices militaires le général Mohammad Ali Jaafari commandant en chef du CGRI, le Général Hadjizadeh commandant de la force aérospatial du CGRI, le général Hossein Salami commandant adjoint du CGRI, le général Fadavi commandant de la force navale du CGRI ainsi que d’autres commandants et responsables du CGRI et le chef d’état-major des forces armées.

 

Des bâtiments de différentes classes du CGRI ont pris part à ces manœuvres qui dureront trois jours et où sont testés plusieurs tirs de missiles balistiques sol-mer d’une portée de plus 300 km.

 

Selon des images diffusées par IRIB TV, les bases côtières de missiles du CGRI ont lancé de lourdes frappes contres les « faux ennemis » et leurs bases navales, et les vedettes rapides du CGRI ont aussi déployé des mines dans la mer pour empêcher l’avancée des « forces marines ennemies ».

 

Lors de cet exercice destiné à « envoyer un message aux ennemis de l’Iran », une nuée de dizaines de vedettes rapides iraniennes s’est aussi jetée sur une réplique d’un porte-avions américain dont se sont emparés les commandos des iraniens se sont emparés avant qu’il soit pris pour cible par plus de 400 roquettes et missiles tirés à partir des vedettes rapides qui l’encerclaient.

 

À un certain moment, une caméra de la télévision d’État a montré une banderole où on pouvait lire un citation du père de la République isalmique iranienne et premier guide suprême, l’ayatollah Ruhollah Khomeini: «Si les Américains sont prêts à être enterré au fond des eaux du golfe Persique – ainsi soit-il ».

 

« La mer d’Oman, le détroit d’Ormuz et le golfe Persique sont sous le contrôle entier des forces navales iraniennes », a souligné le commandant en chef du Corps des Gardiens de la Révolution islamique, le général Mohammad-Ali Jaafari, cité par l’agence d’information iranienne Irib.

 

Le général Jaafari a expliqué en marge de ces manœuvres que: « jusqu’à présent, les exercices concentrés les tirs pour couler des frégates et des portes-avions présumés de l’ennemi ont été couronnés de succès, et tous les missiles tirés ont touché leurs cibles ».

 

« Nous avons déjà annoncé au monde entier que nos capacités visent à assurer la sécurité du golfe Persique et du détroit d’Hormuz. Et ce qui importe, c’est que les capacités iraniennes empêcheront les ennemis d’ »insécuriser » la région ou d’y asseoir leur suprématie », a également expliqué le général iranien.

 

De son côté, le commodore Kevin Stephens, porte-parole pour la 5e Flotte de la Marine américaine à Bahreïn, a déclaré que les exercices navals iraniens, commencés il y a quelques jours, n’ont eu aucun effet sur le trafic maritime.

 

Ces manœuvres ont lieu au même moment où la France a engagé lundi le porte-avions Charles de Gaulle dans les opérations de la coalition internationale dirigée par les États-Unis contre le groupe armé État islamque.

 

Le porte-avions français, engagé au côté du porte-avions USS Carl Vinson, croise au large de l’Arabie saoudite pour une mission d’environ huit semaines.

 

La Ve Flotte américaine, elle, est stationnée à Bahreïn, alors que le Qatar accueille commandement de l’armée américaine pour le Moyen-Orient et l’Asie centrale.

 

En outre, un sous-marin nucléaire d’attaque, une frégate de défense anti-aérienne et une frégate anti sous-marine de l’armée britannique sont également sur la zone.

 

Cet exercice intervient aussi alors que l’Iran est en train de négocier un accord sur son programme nucléaire controversé avec les pays du groupe 5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU – États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Chine – plus l’Allemagne). Les deux parties espèrent parvenir à un accord-cadre de le mois prochain et un accord final en Juin.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 21:30
source War Is Boring

source War Is Boring

 

25.02.2015 by JASSEM AL SALAMI – War is Boring

 

Tehran plans to swarm U.S. ships with missiles and speedboats

 

Iran has carried out a massive attack on a mock version of an American Nimitz-class aircraft carrier. Tehran wanted everyone to know about it—state TV broadcasted the military exercise live. It’s a revealing look at Iranian naval assault tactics, involving several waves of ships backed by helicopters and shore-launched missiles. The timing isn’t a coincidence. The United States and Iran are deadlocked over a deal to curb Tehran’s nuclear program. The Iranians built the giant, 1:1-scale mock-up of the carrier on top of a barge almost one year ago. Photos released from Iranian news agencies on Feb. 25 now show it as a smoldering wreck. The missiles Iran fired at it are very real. But don’t panic. The exercise—known as Great Prophet 9—didn’t factor in American escort warships and warplanes responsible for defending real carriers. It was mostly just for show.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

24 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Le porte-avions français rejoint la Task Force américaine dans le Golfe Persique pour participer aux combats contre l’Etat Islamique. Le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du Charles de Gaulle est officiellement engagé dans l’opération Chammal en Irak. La diplomatie navale a encore de beaux jours devant elle…

 

On s’en doutait très fort depuis le départ du porte-avions de Toulon le 13 janvier dernier et c’est aujourd’hui officiel : le Charles de Gaulle, qui a franchit le détroit d’Ormuz, va prendre part aux opérations contre l’Etat Islamique en Irak. Le navire et son escorte (deux frégates, un pétrolier ravitailleur et un sous-marin nucléaire d’attaque, 2600 marins au total dans ce qui est appelé la « Task Force 473 ») a rejoint la Task Force 50 américaine, centrée quant à elle autour du porte-avions USS Carl Vinson. En attendant l’entrée en scène du Queen Elizabeth et de ses F-35 (2019 au plus tôt), la France reste donc le seul pays au monde capable de travailler en étroite coopération, on a presque envie de dire sur un pied d’égalité, avec l’aviation embarquée américaine.

 

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19 février 2015 4 19 /02 /février /2015 17:30
Arromanches : nouveau déploiement du groupe aéronaval

 

19 Février 2015 Marine nationale

 

Le groupe aéronaval a appareillé ce matin de Toulon pour rejoindre l’océan Indien où il sera déployé en opérations durant plusieurs mois.

 

Pour ce déploiement, le groupe aéronaval (GAN) est constitué :

 

    du porte-avions Charles de Gaulle ;

    d’un état-major embarqué ;

    du groupe aérien embarqué (GAé) comprenant douze Rafale marine, neuf Super étendards modernisés, un avion de guet aérien Hawkeye et quatre hélicoptères ;

    de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul et de son hélicoptère Caïman Marine ;

    du pétrolier ravitailleur Meuse ;

    d’un sous-marin nucléaire d’attaque employé en élément précurseur.

 

La frégate anti-sous-marine britannique HMS Kent rejoindra le GAN en mer Rouge.

 

Planifié depuis plusieurs mois, le déploiement du GAN dans le nord de l’océan Indien vise à assurer une mission de présence opérationnelle et de pré-positionnement dans cette zone stratégique pour la France. Il permettra également de développer et d’entretenir nos relations et nos échanges avec les différents pays partenaires présents et leurs forces armées. En particulier, il participera à l’exercice aéromaritime franco-indien Varuna, au large de l’Inde.

 

Outil militaire stratégique, le GAN est à tout moment en mesure d’adapter et modifier son programme en fonction des évolutions de la crise au Levant et des besoins de la coalition pour répondre rapidement aux décisions des autorités politiques.

 

Comme en 2014, durant son dernier déploiement effectué en océan Indien, le GAN sera amené à opérer sous contrôle opérationnel américain afin d’éprouver et renforcer notre niveau d’interopérabilité et de coopération et ainsi entretenir notre capacité à conduire ensemble des opérations de haute intensité.

 

De même, la frégate britannique HMS Kent, qui participera à la protection anti-sous-marine du porte-avions, sera totalement intégrée au GAN, illustrant la confiance qui unit les marines britannique et française et leur haut niveau d’interopérabilité.

 

En 2014, le déploiement du GAN avait pour nom Bois Belleau, en référence au centenaire de la Première Guerre Mondiale et à la coopération avec nos alliés américains, fil rouge de ce déploiement.

 

Cette année, la mission que s’apprête à effectuer le GAN et ses quelque 2 600 marins porte le nom Arromanches, commune du Calvados où fut construit un port artificiel durant le débarquement des Alliés en juin 1944. En souvenir du premier porte-avions français de l’après-guerre et 70 ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la mission Arromanches mettra à l’honneur la coopération avec nos alliés américains et britanniques.

 

Le groupe aéronaval français offre à notre pays et à ses décideurs militaires et politiques un atout stratégique et un outil militaire de premier plan. Affirmant la présence et la puissance de la France, il peut contribuer simultanément à la maîtrise des espaces aéromaritimes, à l’entretien de notre capacité autonome d’appréciation de situation et à la projection de puissance. Il offre une capacité d’action polyvalente, graduée et adaptée aux besoins des autorités politiques.

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14 février 2015 6 14 /02 /février /2015 12:35
The Truth About China's Aircraft Carriers

 

10 February 2015 Pacific Sentinel
 

The hype surrounding Chinese aircraft carriers disregards PLAN budget realities.

 

According to public reports (PDF), China is building two aircraft carriers, with plans to increase that to four, according to one report, and possibly a new class of helicopter carrier for amphibious assault. For many in China, this has been a necessary evolution for a country of such wealth and international power. For the government, it is part of a techno-nationalist campaign designed to show that the country is arriving at the highest level of international power. The idea is that China can do anything the other great powers do. It can land jet aircraft on a carrier, it can put a rover on the moon, and it can put a man in space. This is the decade of impressive and inspiring achievement we have seen from China.

Yet the challenge China faces is that it is copying innovations first undertaken more than a few decades earlier (China was four decades late for manned space travel and six decades late for a jet aircraft landing on an aircraft carrier). When China puts a person on the moon later this decade it will be five decades after the United States did so. In those four to six decades, the innovation of the United States and other countries did not stand still. So we should not automatically assume that mere replication of such technological milestones is a good idea for China.

There has been some debate in the pages of The Diplomat about the expansive ambitions of China in the naval domain and about the contemporary value of aircraft carriers in naval forces in general. The view I identify most with is that from Harry Kazianis, “Why to Ignore China’s Aircraft Carriers” (January 28, 2914). He said: “There is a lot of Chinese hardware that could challenge U.S. primacy in the Pacific — but carriers are not one of them.” But I don’t even agree that Chinese hardware can challenge U.S. primacy. It takes a lot more than technology. It is about intent and allies, among many factors to consider. I don’t believe that Chinese leaders have it in their heads or in their budgets to challenge U.S. naval primacy in the Pacific.

I also take issue with the speculation about China building naval bases in the Indian Ocean. It is possible at some point that they might do so, but it is not likely to be in the leaders’ plans for the foreseeable future. Why do they need foreign naval bases? 

 

Read the full story at The Diplomat

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:50
The Eyes of the Future RN Carrier Strike Force

Thales UK and Lockheed Martin submitted final offers for the Crowsnest carrier based, Helicopter borne AEW solutions last month, competing for the £500 million ($761 million) contract.

 

Feb 8, 2015 Defence-Update

 

The British MOD is set to select soon the future Airborne Early Warning (AEW) system to be deployed on the future Royal Navy (RN) Queen Elizabeth II aircraft carriers. The Crowsnest airborne surveillance and control (ASaC) program set to become operational in 2019, will providing the Queen Elizabeth Class aircraft carriers an organic air surveillance and battlespace management for the carrier strike force from 2020.

 

Thales UK and Lockheed Martin submitted final offers for the Crowsnest solutions last month, competing for the £500 million ($761 million) contract. Although the two radar systems proposed by the companies are designed for the Royal Navy AgustaWestland EH101 Merlin Mk 2 ASaC helicopters, they are profoundly different in their mission approach, future capabilities and cost. As part of the U.K. defense ministry’s assessment of the two options, both have been flight tested on a Merlin Mk. 2.

As the Sea King family helicopters is due to retire in 2016, MOD is extending the service of a number of the Sea King helicopters operated by 849 Naval Air Squadron through 2018, to prevent a capability gap between the withdrawal of the Sea King ASaC.7 and the introduction of Merlin ASaC.2. 10 of the Merlin helicopters are to be modified to accept the Airborne Surveillance and Control (ASaC) system, configured as ‘roll on/roll off’ kit.

Leading a £750 million ($1.15 billion) upgrade to 30 of the Royal Navy’s legacy Merlin HM1 helicopters, Lockheed Martin UK has been awarded a £24 million contract to run a competition to design, develop and demonstrate Crowsnest. As the company is also one of the competitors for the tender, the Merlin team has to be ‘firewalled’ to prevent leaking commercially sensitive information to Lockheed Martin UK.

The solution proposed by Thales UK recapitalizes existing the Searchwater 2000 radars currently providing the AEW mission for the Royal Navy on board HMS Ocean. These helicopters carry the mechanically rotating radar in a retractable drum-shaped dome lowered into position below the helicopter after takeoff. Positioned below the fuselage, the rotating radar gains unobstructed view of the hemisphere below, thus covering effectively 360 degrees. Thales plans to utilize this system for the new platform, using a modernized and updated radar along with its associated Cerberus mission system – both are currently used on the Sea King ASaC7.


 

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