Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:35
Minsk a Kiev class aviation cruiser

Minsk a Kiev class aviation cruiser

 

13 February 2015 by Pacific Sentinel

 

China's ability to modify its two decommissioned Soviet era Kiev-class aircraft carriers which now serve as hotel-theme parks in Tianjian and Shenzhen has been discussed in a recent article on Beijing-based website Sina Military Network on Feb. 10.

 

The Kiev and the Minsk were the first two vessels of four Kiev-class aircraft carriers built for the Soviet navy back in the 1970s. Also known as aviation cruisers, the 45,000-ton vessels can be equipped with 80 to 200 surface-to-air missiles, two dual-purpose guns, eight close-in weapons systems and 10 torpedo tubes. The ships have a speed of 32 knots and are capable of carrying between 12 and 13 Yak-38 fighters with vertical take-off and landing capability. The ships can also carry 14 to 17 Ka-25 or Ka-27/29 helicopters.

 

Read the full story at Want China Times

Partager cet article
Repost0
13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 07:40
Russia claims it's in the early stages of developing an aircraft carrier that can hold 100 planes

 

Feb. 10, 2015, Jeremy Bender - uk.businessinsider.com

 

Russia's government-owned Krylov State Research Center is on its way towards developing Russia's latest aircraft carrier, according to Russian media. 

The aircraft carrier is in a very rudimentary stage of its development. It's still under conceptual testing in Krylov's laboratory.

But if the tests prove successful and the carrier's design is deemed plausible, the research center will follow through with a 1:1 scale metal mock-up of the carrier (China may have just constructed its own mock-up of a new carrier). 


Read more
Partager cet article
Repost0
11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

 

10 février 2015 Le Fauteuil de Colbert

 

La France décidait en 1986 puis 1994, 2007 et 2011 d'agir mieux que tout le monde en renouvelant à moitié sa composante aéronavale. Sorte de French touch dans l'art de la guerre aéronavale dans le monde, il ne sera pas nécessaire de revenir sur le pourquoi du comment le budget de l'Etat alimente autant un second porte-avions imaginaire sans cesse amélioré au fil des années.

 

Une fois que nous avons dit cela, c'est pour mieux saisir le contraste mondial qui dépasse l'hémispère occidental qui nous englobe. Le couant de pensée dominant nous entraînait lentement mais sûrement vers un reniement de la guerre navale au sens large : puisque la Méditerranée, l'Atlantique et l'océan Indien sont des lacs américano-otaniens, la mer est utilisable par nous pour supporter nos voies de communication et donc servir à déplacer porter le fer à terre.

 

Depuis la fin du conflit Est-Ouest (1991), rien n'est venu entravé cette vue stratégique à court terme. Les engagements des Etats-Unis d'Amérique, des alliés ou de la France en dehors de leur sol ne craignaient pas une menace navale critique ayant la capacité d'entraver une action aéronavale et aéroamphibie. La configuration stratégique est telle qu'il n'y a plus lieu de lutter pour acquérir la maîtrise temporaire et locale de la mer pour agir à terre. Configuration stratégique tellement favorable que les priorités sont à terre où il y a toujours à faire. Les Etats-Unis pouvaient même imaginer descendre leur nombre de navire porte-avions de 15 (tentative d'apogée sous l'ère Reagan) à 8, voire 6 (projets de l'administration Obama avec Robert Gates comme secrétaire d'Etat à la Défense).

 

Pourquoi pas : si la Défense est le premier devoir de l'Etat, alors il nous incombe de nous adapter ?

 

La fin de l'Histoire ne s'est jamais produite. Mieux encore, certains peuples, certaines nations croient toujours au sens de l'Histoire. Tout du moins, les ambitions ne sont pas une denrée rare parmi des puissances émergentes. En tous les cas, l'expansion de leur économie en dehors de leurs frontières nationales se combine avec un volet maritime et naval.

 

Pékin développe des porte-avions. Pour un pays qui tente de récupérer toutes les coques de ces navires qui sont à démolire de par le monde, ce n'est pas une surprise qu'il y ait une ambition autre que de devenir le champion mondial de la déconstruction de porte-avions. La refonte de l'ex-Varyag puis l'apparition sur la toile de clichés montrant de nombreuses infrastructures terrestres liées au fait aéronaval atteste d'une volonté chinoise de s'approprier cet outil. De là à s'étonner que depuis 2006, la Chine communique à chaque grande étape sur la construction de trois porte-avions en plus de son "navire-école", c'est plus un aboutissement de près d'une trentaine d'années d'efforts qu'une surprise.

 

L'Inde ne désarme pas encore le vieux Viraat (1953-?). L'ancien joyau de la couronne britannique acquiert lui aussi un ancien porte-aéronefs soviétique : l'amiral Gorshkov qui devient depuis 2013 le Vikramaditya. Le programme Air Defense Ship puis Indigenous Aicraft Carrier vise, ce jour, à livrer deux unités à la marine indienne. Elles seront de conception locale (avec le concours de l'ingéniérie italienne). La première unité, le Vikrant, est espérée pour 2018. La seconde pour le milieu de la décennie suivante. Reste à savoir comment vont évoluer les ambitions aéronavales indiennes au fur et à mesure des années. Par exemple, l'Inde ne s'oriente actuellement que sur dans la filire STOBAR et non pas CATOBAR. En attendant, New Delhi table sur trois porte-avions d'ici à 2025.

 

L'Angleterre revient elle aussi sur le devant de la scène. Le concept de Sea Control ship incarné par la classe Invincible réduite de 6 à 3 navires n'a pu convaincre lors de la guerre des Malouines. A leur décharge, une seule de ces unités était alors en service : le HMS Invincible. Il devait être vendu à l'Australie quand éclata la guerre... Les deux porte-aéronefs en cours de finition ou de construction, de 65 000 tonnes à pleine charge, illustrent un retour à des ambitions aéronavales plus importantes. Le choix confirmé de la formule STOBAR et les problèmes rencontrés dans la mise au point du F-35 retarderont la montée en puissance du nouvel outil aéronaval de la Royal Navy. Et le rendez-vous de la refonte CATOBAR est toujours une question pendante de l'autre côté de la Manche.

 

Citons, pour terminer ce tour d'horizon, que l'Australie réfléchi à voix haute sur une possible reconstruction de ses deux navires amphibies achetés à l'Espagne en porte-avions, que la Russie maintient ses ambitions de remplacer et compléter le Kuznetsov, tout comme le Brésil qui souhaite au moins remplacer le Foch avec l'intérêt de l'Argentine, que le Japon et la Corée du Sud construisent et mettent en service de lourds porte-aéronefs ou que la France devra se pencher sur le cas du second porte-avions assez rapidement...

 

Le basculement océanique mondial ainsi que le pivotage d'une partie des forces américaines de la façade Atlantique à l'Asie du Sud-Est invite à reconsidérer des espaces qui ne sont ni des lacs américains ni des lacs otaniens. Le porte-avions était contesté du fait de l'existence d'une stratégie d'interdiction, notamment et surtout portée par la Chine, qui devait le condamner. Stratégie d'interdiction qui ne fait qu'imiter ce que développait l'URSS face à l'US Navy dans les années 70 et 80 du XXe siècle, période où le porte-avions n'était pas non plus abandonné.

 

De plus, l'acquisition d'un outil aéronaval hauturier par des puissances navales émergentes déplaçe l'horizon des confrontations navales potentielles de demain. La menace d'une fleet in being, quelles que soit ses capacités, rendra impératif de considérer et la menace d'un groupe aéronaval en pleine croisière avant d'envisager une action à terre, tout du moins, sans consacrer les moyens nécessaires à une maîtrise locale et temporaire de la mer. C'était l'exemple britannique en 1982 où la Royal Navy ne trouvait pas le porte-avions argentin.

 

A partir de 2015 et la rencontre du porte-avions Charles de Gaulle avec un ou deux porte-avions Indien, voire une possible croisière lointaine du porte-aéronefs chinois, nous pourrions assister à une reconsidération de la nécessaire acquisition d'une maîtrise temporaire et locale de la mer afin de projeter une force aéroamphibie contre un littoral ou pour utiliser tout simplement les communications maritimes. Dans pareil cadre, le rôle du porte-avions pour acquérir ou défendre cette maîtrise risque fort d'être reconsidéré.

 

Faudra-t-il invoquer l'effet mimétique ou l'incapacité de trouver un autre outil que la projection de la puissance aérienne depuis la mer pour expliquer la reconsidération de ce navire ? En tous les cas, nous pourrions très bien voir surgir des débats aux Etats-Unis sur un nombre de porte-avions trop bas. Tout comme les croisières des unités indiennes, chinoises et anglaises stimuleront de nouvelles diplomaties navales qui changeront les regards portés sur la maîtrise des espaces maritimes. En 2022, nous serons dans une toute autre configuration stratégique...

Partager cet article
Repost0
11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:35
La Chine construit des îles artificielles pour revendiquer des zones maritimes

 

10/02/2015 Par Julien Licourt – LeFigaro.fr

 

La République populaire entend asseoir son influence sur des ilôts inhabités mais stratégiques de la mer de Chine.

 

Une île artificielle en forme de porte-avion. La Chine est en train d'agglomérer des milliers de tonnes de terre sur un récif corallien afin de le transformer en piste d'atterrissage. L'objectif: asseoir sa domination sur une zone stratégique très disputée, la mer de Chine.

Jusqu'à présent, la majeure partie de l'île de Fiery Cross, ou Yongshu, en Chinois, se trouvait sous l'eau, à l'exception de quelques rochers et d'une surface de béton artificielle, servant à héberger une petite garnison de soldats. Des images satellites, analysées par des experts anglo-saxons de l'IHS, ont montré que depuis quelques mois, des navires chinois draguaient les fonds environnants. Les images ont également montré que ces derniers rassemblent les sédiments sur la barrière de corail, afin de faire émerger des eaux une piste de 3000 mètres de long sur 300 mètres, au plus, de large. Un port, à l'est de l'île, serait également en train d'être créé par les dragues chinoises. Il serait suffisamment grand pour «accueillir des pétroliers ou de grands navires de guerre», selon les experts de l'IHS.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 23:55
Mission ARROMANCHES : le groupe aéronaval patrouille à l’ouest du golfe d’Aden

 

10/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 2 au 10 février, déployé au large de Djibouti, le groupe aéronaval (GAN) a réalisé une patrouille opérationnelle dans le golfe d’Aden tout en conduisant un intense programme d’entraînement en coopération avec les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et les unités américaines présentes sur zone.

 

Entré dans le golfe d’Aden au tout début du mois de février, le groupe aéronaval (Task Force 473) a déployé ses unités afin de contribuer à la surveillance et à la sécurisation de ce vaste espace, sujet à de nombreux trafics et menaces, et qui abrite l’une des principales artères maritimes de la planète. Cette manœuvre, qui reflète la volonté française de jouer un rôle déterminant dans cette partie de l’océan Indien essentielle à nos intérêts nationaux, aura également contribué au renforcement de la connaissance de cette zone.

 

Parallèlement à ces manœuvres, le GAN a profité de sa présence au large de Djibouti pour s’entraîner avec les FFDj. Un exercice de tir air-sol des Rafale Marine et Super Etendard Modernisés sur le champ de tir a été réalisé, et plusieurs attaques aériennes du GAN par les Mirage 2000de la base aérienne 188 ont été scénarisées, permettant ainsi à la Task Force de continuer à s’entraîner face à ce type de menace.

 

Pour compléter le panel des interactions entre le GAN et les FFDj, un exercice de Combat Search And Rescue (CSAR), c’est-à-dire de récupération de pilote en environnement non permissif, s’est déroulé en collaboration avec les forces américaines présentes dans la zone, ainsi qu’un exercice de contre-terrorisme en mer avec le pétrolier-ravitailleur Meuse. Durant les quelques jours passés à quai à Djibouti pour une manœuvre logistique importante, une centaine de marins, en particulier ceux des brigades de protection, ont poursuivi ces échanges en menant une instruction de vie en campagne en milieu désertique au sein du centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD) d’Arta. Ils ont bénéficié de l’expertise des instructeurs du 5èmerégiment interarmes d’outre-mer (RIaOM), et ont appris à leur contact, à vivre et survivre en zone semi-désertique au cours d’une courte nomadisation.

 

Le groupe aéronaval français offre à notre pays et à ses décideurs militaires et politiques, un atout stratégique et militaire de premier plan. Affirmant la présence et la puissance de la France, il peut contribuer simultanément à la maitrise des espaces aéromaritimes, à l’entretien de notre capacité autonome d’appréciation de situation et à la projection de puissance. Il offre une capacité d’action polyvalente, graduée, et adaptée aux besoins des autorités politiques.

Mission ARROMANCHES : le groupe aéronaval patrouille à l’ouest du golfe d’AdenMission ARROMANCHES : le groupe aéronaval patrouille à l’ouest du golfe d’Aden
Mission ARROMANCHES : le groupe aéronaval patrouille à l’ouest du golfe d’Aden
Partager cet article
Repost0
10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 13:35
MAPL : 1 + 1 + 2 porte-avions


09.02.2015 par Le Fauteuil de Colbert
 

L'information est à recherchée dans les sources ouvertes, ces dernières constituent la plus grande réserve de cette matière première. En tous les cas, c'est l'une des rares manières de procéder quand nous n'avons pas accès à un service de renseignement. Ce serait donc par le fait d'un élu trop heureux et/ou maladroit que nous aurions pu apprendre la construction d'un porte-avions de conception nationale en Chine.

 

Revenons donc à notre point de départ favori : en 2006, Mer et Marine évoque, selon les informations de la rédaction, que la Chine ambitionne de se doter de quatre porte-avions. Le premier est celui qui a été achetée à l'Ukraine en 2000. Les deux suivants seraient de construction nationale. Le dernier serait un porte-avions à propulsion nucléaire. En 2015, les médias chinois fournissent des arguments à un tel format, et c'est loin d'être une première...

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 17:20
USS George Washington (CVN 73) Photo US Navy.

USS George Washington (CVN 73) Photo US Navy.

 

5 February 2015 naval-technology.com

 

The US Navy has awarded a contract to Huntington Ingalls Industries (HII) for advance planning of the refuelling and complex overhaul (RCOH) work on the Nimitz-class aircraft carrier USS George Washington (CVN 73).

 

The latest $224m modified contract will finance the planning work for the RCOH and purchase long-lead materials, including pumps, breakers, valves and steel, to support the fabrication of structural units.

 

Newport News Shipbuilding in-service aircraft carrier programmes vice-president Chris Miner said: "The company has worked closely with our navy partners, performing ship checks and selected planning tasks associated with the defuelling of the ship.

 

"This contract award allows us to move beyond defuelling and plan all the work associated with a full RCOH, which underscores the navy's continued commitment to ensuring this great national asset remains in the fleet and operational for another 25 years."

 

 

Work will be performed at HII's Newport News Shipbuilding unit, which has previously undetaken RCOH work on the initial four Nimitz-class ships.

 

USS Abraham Lincoln (CVN 72), the fifth vessel, is 60% complete and set for delivery in 2016.

 

RCOH involves refuelling of the reactors and refurbishing more than 2,300 compartments, 600 tanks and hundreds of distributive systems.

 

The project also involves an upgrade to the food service areas, aircraft launch and recovery systems, combat systems and its island.

 

HII started defuelling work on USS George Washington, which is scheduled for completion by July, last year.

Partager cet article
Repost0
9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 17:20
USS Theodore Roosevelt Fuel Transfer


9 févr. 2015 US Navy

 

ATLANTIC OCEAN (Feb. 6, 2015) Sailors aboard the aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71) participate in a replenishment at sea (RAS) with the Military Sealift Command combat support ship USNS Arctic (T-AOE 8). U.S. Navy ships conduct periodic RAS events during prolonged periods at sea to resupply equipment, goods and fuel. Theodore Roosevelt is underway participating in composite training unit exercise (COMPTUEX), which test the Theodore Roosevelt Carrier Strike Group's ability to effectively react to real-world scenarios and perform as an integrated unit. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 3rd Class Bounome Chanphouang/Released)

Partager cet article
Repost0
9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 08:35
Le porte-avions chinois "Liaoning" pourrait bientôt avoir un frère jumeau

Le porte-avions chinois "Liaoning" pourrait bientôt avoir un frère jumeau

 

03/02/2015 Sébastien Falletti correspondant en Asie - Le Point.fr

 

La bourde d'un élu local de Changzhou a confirmé ce que craignaient les États-Unis : la Chine a bien entrepris la construction d'un second navire de guerre.

 

Même dans l'empire rouge, les secrets d'État peinent à rester sous le boisseau. L'espace de quelques heures, une entreprise de la province du Jiangsu a éventé un secret de Polichinelle, emporté par la ferveur d'une campagne d'autopromotion. "Shangshang Cable Group, le leader dans son domaine en Chine et numéro dix mondial, a remporté avec succès un appel d'offres pour le deuxième porte-avions chinois", a claironné samedi le site officiel de la ville de Changzhou, sur son site Weibo, le Twitter chinois. Un nouveau succès du "made in Changzhou", immédiatement repris par le journal local du soir, dithyrambique. "En Chine, les médias locaux ont pour mission de promouvoir les gouvernements provinciaux", explique au Point.fr une journaliste, sous le couvert de l'anonymat. Problème, ce projet de porte-aéronefs est nié en bloc par l'Armée populaire de libération (APL). Branle-bas de combat, en quelques heures, le post mettant en cause la sécurité nationale est effacé à la demande express des militaires.

Trop tard ! La presse internationale et nationale relaye l'information. Cette nouvelle indiscrétion confirme les soupçons des services de renseignements occidentaux. La Chine a bien mis en chantier, sans doute à Dalian, un frère jumeau du Liaoning, son seul porte-avions en opération depuis 2012. En réalité, le mystérieux navire, dont la construction pourrait durer six ans, sera le premier véritable porte-aéronefs conçu et fabriqué par l'empire du Milieu. Car le Liaoning est d'origine soviétique et sa carcasse fut vendue par l'Ukraine en 1998 à Pékin, qui l'a remis à niveau. Symbole spectaculaire des nouvelles ambitions maritimes chinoises face aux États-Unis, le mastodonte de 60 000 tonnes est en fait avant tout un navire d'entraînement pour familiariser les marins chinois à la guerre en haute mer, jugent les experts.

 

"Combat du siècle"

 

Puissance continentale avant tout, la deuxième économie mondiale met les bouchées doubles pour tenter de combler son retard au large. En effet, sa marine "n'est pas à la hauteur de sa puissance économique", juge le quotidien nationaliste Global Times, justifiant ce nouvel investissement. Elle traîne derrière celle du Royaume-Uni ou même de l'Inde, qui sont dotés chacun de deux porte-aéronefs, souligne le journal proche du parti.

L'APL compte se doter non pas de deux mais de quatre porte-avions à terme, a laissé entendre Wang Min, le chef du parti de la province du Liaoning, l'an passé. Des affirmations jamais confirmées par le régime, mais qui nourrissent l'inquiétude des États-Unis, qui dénoncent "l'opacité" de la croissance à deux chiffres du budget militaire chinois. Avec en ligne de mire les îles Senkaku, contrôlées par le Japon et réclamées par la Chine sous le nom de Diaoyu. Ainsi que les îles Spratly, en mer de Chine du Sud, disputées par plusieurs pays d'Asie du Sud-Est, soutenus en sous-main par Washington. Pourtant, l'US Navy peut voir venir, puisqu'elle peut aligner officiellement dix porte-avions sans compter une nouvelle classe "America" de navires d'assaut "amphibies" capables d'embarquer des chasseurs de combat. Avec un budget militaire toujours trois fois plus lourd que celui de Pékin, selon le Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), le Pentagone a de la marge pour préparer le "combat du siècle" dans le Pacifique.

Partager cet article
Repost0
8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 20:35
La marine chinoise devrait à terme compter quatre porte-avions

 

03.02.2015 Source: le Quotidien du Peuple en ligne

 

Selon un communiqué publié le 31 janvier par le gouvernement municipal de Changzhou sur son microblog, une entreprise de câblage électrique de la ville a remporté l'appel d'offre pour l'équipement d'un deuxième porte-avions. Cao Weidong, expert militaire, a déclaré lors d'une interview avec CCTV, que dans l'avenir la Chine devrait posséder quatre porte-avions effectuant des tâches en alternance, et dont le déplacement approprié se situe entre 60 000 et 80 000 tonnes, la marine chinoise n'ayant pas besoin de construire des navires de 100 000 tonnes ou plus comme les États-Unis.

 

Le message, publié le 31 au matin par le Bureau d'information du gouvernement populaire municipal de Changzhou sur son compte officiel Weibo, a présenté les perspectives industrielles de Changzhou en 2015, signalant qu'une entreprise locale de câblage électrique a été retenue pour l'équipement d'un deuxième porte-avions. Plus tard dans la journée, le journal « Changzhou Evening News » a également publié un article intitulé « avions, trains à grande vitesse, porte-avions, le ‘Made in Changzhou est partout' ». Cependant, le 1er février, quand on consultait à nouveau le compte Weibo de la municipalité de Changzhou, on pouvait constater que le communiqué publié la veille avait été supprimé. De même, sur la version électronique du « Changzhou Evening News » publiée le 31 janvier, l'article en question évoquant le porte-avions n'était plus consultable.

 

Le développement militaire de la Chine, en particulier la construction de porte-avions a toujours été un sujet extrêmement sensible pour les médias étrangers, qui n'ont naturellement pas manqué d'être attirés par ce message, qui a immédiatement été interprété comme la première fois qu'un organisme officiel chinois diffuse la nouvelle de la construction d'un deuxième porte-avions. Pour l'heure, cependant, le Ministère chinois de la défense, la marine chinoise et les autres ministères n'ont apporté aucune réponse à ce message ni fait de commentaires.

 

À l'heure actuelle, le Liaoning, le seul porte-avions chinois, est en service depuis plus de deux ans. Depuis septembre 2012, le Liaoning a procédé à toute une série d'expériences scientifiques et de missions d'entrainement, parvenant à des percées majeures. En mai 2013, la première unité aérienne sur porte-avions de la marine chinoise a été officiellement constituée, et elle a accompli à la fin de la même année les premiers exercices conjoints d'un groupe de combat aéronaval. Et en 2014, le Liaoning est revenu à son port d'attache, Dalian, pour y subir une période de révision de quatre mois.

 

Certains médias estiment qu'au plan international, l'utilisation de porte-avions obéit généralement au principe des « trois tiers » : « une mission, un entrainement, une réparation ». Pour un grand pays comme la Chine, un seul porte-avions n'est absolument pas suffisant. Les responsables chinois ne se sont jamais exprimés sur un deuxième porte-avions, mais le 29 août 2013, Yang Yujun, porte-parole du Ministère de la défense, a déclaré lors d'une conférence de presse régulière du ministère que si le Liaoning est le premier porte-avions de la marine chinoise, il ne sera absolument pas le seul.

 

D'après Cao Weidong, dans la poursuite par la Chine d'une politique de défense nationale défensive, la construction de quatre porte-avions semble la plus appropriée. Du fait que généralement les porte-avions respectent la trilogie entrainement, maintenance et missions, un chiffre de quatre porte-avions, deux affectés au Sud, deux au Nord, alternant les tâches, peut permettre d'assurer une meilleure rotation. De même, le déplacement de ce genre de navire est d'une extrême importance pour assurer ses capacités de combat ; des porte-avions de 60 000 tonnes peuvent transporter de 30 à 40 avions de combat, tandis que ceux de 100 000 tonnes ou peuvent en recevoir de 70 à 80. Du point de vue des besoins actuels de la marine chinoise, la construction de bâtiments de 60 000 à 80 000 tonnes est la plus appropriée. Il n'y a nul besoin de construire des porte-avions de 100 000 tonnes ou plus comme les États-Unis.

Partager cet article
Repost0
5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 17:55
Arromanches : exercices de tirs Minigun


4 févr. 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Avant de franchir le 26 janvier le canal de Suez pour rejoindre l'océan indien, l'équipage du porte avions Charles de Gaulle a effectué des exercices de tirs MINIGUN sur cibles flottantes.
 

Partager cet article
Repost0
5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 17:55
Arromanches : exercices de tirs 12.7mm


5 févr. 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Avant de franchir le 26 janvier le canal de Suez pour rejoindre l'océan Indien, l'équipage du porte avions Charles de Gaulle a effectué des exercices de tirs 12.7mm sur cibles flottantes.

 

Partager cet article
Repost0
5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 17:35
Arromanches :Mouvements pont d'envol


5 févr. 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Mouvements d'aéronefs sur le pont d'envol du porte-avions Charles de Gaulle le 1er février 2015, dans le golfe d'Aden.

 

Partager cet article
Repost0
4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 12:30
CVN-78 USS Gerald R. Ford

CVN-78 USS Gerald R. Ford

 

January 17, 2015: Strategy Page

 

An Egyptian engineer (Mostafa Ahmed Awwad) was arrested in November 2014 and charged with espionage. The engineer, who received a security clearance in August so he could work on the new Ford class aircraft carriers, promptly began stealing technical data on the Fords and passing it to Egyptian intelligence for cash. Awwad had married an American in 2007 and had applied to become a citizen. Apparently Awwad wanted to help his home country by providing data on the Fords that would make it easier for an enemy to sink one (by knowing the best place to aim the missiles). Egypt could then sell that information to a nation that could use it (like China, Russia or Iran) and afford to pay well. This would also improve the reputation of the Egyptian intelligence agency. Awwad seemed quite disheartened when he discovered that the “Egyptian agents” he was dealing with, in Arabic, were actually from the FBI, which suspected Awwad’s loyalty and were testing him. Awwad failed the test, not the least because of his enthusiasm for spying on the United States. Awwad now faces 20 years in prison.

 

The Ford class carriers are built to better survive the large missiles Russia and China build to destroy or disable large warships. The U.S. Navy's first Ford class aircraft carrier, the USS Gerald R Ford (CVN 78), is nearly complete and will be delivered in 2016. The Ford is a unique new carrier design in many ways, not just in its new protective aspects. For example, the Ford will be the first modern American warship built without urinals. There are several reasons for this. The Ford will have a smaller crew (by at least 20 percent) and more of them will be women. Currently about ten percent of American warship crews are women, but the Ford crew will be at least 15 percent female. Since women sleep in all-female dormitories ("berthing areas"), a toilet ("head") will now be attached to each berthing area (instead of being down the hall for all in the area). Moreover, berthing areas will be more spacious (because of the smaller crew) and hold a third to half as many bunks as previous carriers. Finally, drain pipes for urinals more frequently get clogged than those coming from toilets. So eliminating the urinals means less work for the plumbers. Many of the junior sailors, who have to clean the heads, won't miss the urinals, which are more of a chore to keep clean than the toilets.

 

The Fords will be about the same length (333 meters/1,092 feet) and displacement (100,000 tons) of the previous generation (Nimitz class ships) but will look different. The most noticeable difference will be the island set closer to the stern (rear) of the ship. The USS Ford is expected to cost nearly $14 billion. About 40 percent of that is for designing the first ship of the class, so the actual cost of the first ship (CVN 78) itself will be some $9 billion. Against this the navy expects to reduce the carrier's lifetime operating expenses by several billion dollars because of greatly reduced crew size. Compared to the current Nimitz class carriers (which cost over $5 billion each) the Fords will feel, well, kind of empty. There will be lots more automation, computer networking, and robots. The most recent Nimitz class ships have a lot of this automation already. That also includes new damage control equipment, which the navy does not like to publicize, if only to keep the enemy guessing.

Partager cet article
Repost0
2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 13:35
Chine: le secret du 2e porte-avions de nouveau éventé

 

Pékin, 2 fév 2015 Marine et Océans (AFP)

 

L'armée chinoise se garde absolument d'admettre qu'elle construit un second porte-avions, mais ce secret a été de nouveau brièvement éventé par l'annonce qu'une entreprise avait remporté un marché pour équiper le futur navire.

 

Le fabricant de câbles Jiangsu Shangshang a "remporté le contrat pour le deuxième porte-avions chinois", s'est félicité durant le week-end un journal de Changzhou, en reprenant une information également publiée sur le compte officiel de microblogs de cette ville de l'est.

 

Les deux communiqués ont été effacés, mais pas assez vite: la nouvelle a été relayée par les réseaux sociaux chinois, de nombreux internautes la considérant comme une première confirmation sérieuse du chantier entouré de rumeurs.

 

Le premier porte-avions chinois, le "Liaoning", admis au service actif en septembre 2012, est issu d'un bâtiment inachevé vendu en 1998 par l'Ukraine.

 

Pour son deuxième porte-avions, l'Armée populaire de libération (APL) veut relever le défi d'une construction 100% nationale. Un chantier emblématique qu'elle entoure de black-out, selon sa tradition d'opacité concernant ses programmes d'armement.

 

Mais le secret a déjà été entamé à plusieurs reprises, notamment par Wang Min, secrétaire du Parti communiste de la province du Liaoning, qui avait évoqué en janvier 2014 le chantier dans sa province. Ses propos, non destinés à être publiés, avaient été rapportés sur des sites d'information.

 

Des hauts responsables militaires chinois ont aussi fait part de l'intention de Pékin de se doter de plusieurs porte-avions, mais sans fournir de détails.

 

En s'équipant de porte-avions, outil de projection de puissance par excellence, la Chine selon les experts assume le risque d'écorner l'image qu'elle veut donner d'elle-même: celle d'un pays qui s'arme uniquement pour se défendre, sans prétendre à l'hégémonie.

Partager cet article
Repost0
2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 12:30
Arromanches: décollages et appontages à bord du Charles de Gaulle


1 févr. 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Avant de franchir le 26 janvier 2015 le canal de Suez pour rejoindre l'océan Indien, le groupe aéronaval Arromanches, articulé autour du porte-avions Charles de Gaulle, a effectué des opérations et des exercices avec les forces alliées présentes en Méditerranée durant une dizaine de jours.

 

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 08:55
Arromanches: décollages et appontages à bord du Charles de Gaulle

 

29 janv. 2015 Crédits : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Avant de franchir le 26 janvier 2015 le canal de Suez pour rejoindre l'océan Indien, le groupe aéronaval Arromanches, articulé autour du porte-avions Charles de Gaulle, a effectué des opérations et des exercices avec les forces alliées présentes en Méditerranée durant une dizaine de jours.

 

Partager cet article
Repost0
21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:35
Révélations sur la construction du premier porte-avions chinois

 

Pékin, 20 jan 2015 Marine et Océans (AFP)

 

Le premier porte-avions chinois n'a pas été construit à partir d'une coque vide vendue en 1998 par l'Ukraine, comme l'a toujours affirmé Pékin, mais à partir d'un bâtiment déjà équipé de moteurs, acheté grâce à un intermédiaire jamais remboursé, a divulgué un journal de Hong Kong.

 

Admis au service actif en septembre 2012, le "Liaoning" est devenu le navire-amiral incarnant les ambitions maritimes de l'armée chinoise. Il a connu un long chantier de rénovation dans le port de Dalian (nord-est), dans l'opacité la plus totale.

 

Dans une grande enquête publiée de dimanche à mardi, le journal South China Morning Post livre des révélations sur les manoeuvres en coulisse qui ont permis à la Chine de s'approprier ce navire, à l'origine baptisé "Varyag" et commandé par la marine soviétique.

 

Sa construction, débutée en 1985 sur un chantier naval ukrainien, avait été interrompue après la chute de l'URSS en 1991. Dès 1992, la Chine a discrètement envoyé une délégation visiter le navire inachevé.

 

Le quotidien, basé à Hong Kong a interviewé Xu Zengping, ancien capitaine d'une équipe de basket-ball de l'Armée populaire de libération devenu homme d'affaires, qui fut secrètement chargé d'acheter le porte-avions, grâce à une société écran, au prétexte d'en faire un casino flottant à Macao.

 

"Quand l'ingénieur-en-chef du chantier naval (ukrainien) m'a conduit dans la salle des machines, j'y ai trouvé quatre moteurs flambant neufs et soigneusement lubrifiés", a relaté au South China Morning Post le businessman chinois.

 

Pékin a toujours affirmé avoir acquis une coque blindée, dépourvue d'électronique, de moteur et d'hélice.

 

En mars 1998, M. Xu a acheté aux enchères le bâtiment pour 20 millions de dollars.

 

Le remorquage du Varyag de l'Ukraine vers la Chine a tenu de l'odyssée. La Turquie s'opposa durant de longs mois à son passage dans ses détroits et, à deux reprises, l'immense bateau s'est retrouvé à la dérive à la suite de la rupture des câbles de traction. Il n'arriva à son port chinois qu'en mars 2002, après plus de 600 jours de mer.

 

M. Xu affirme que l'opération totale lui a finalement coûté 120 millions de dollars, une somme que Pékin ne lui a jamais remboursée.

 

La finalité militaire du navire de 300 mètres de long, de la classe du porte-avions "Amiral Kouznetsov", devint ensuite évidente.

 

Selon Xu Zengping, les turbines d'origine de l'ex-Varyag, rebaptisé Liaoning, ont été rénovées et modernisées.

 

Interrogé mardi, le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué ne "pas être au courant" des révélations du South China Morning Post.

 

La Chine, qui veut parvenir à terme à rivaliser avec la puissante US Navy, travaille à l'édification de groupes aéronavals autour de plusieurs porte-avions, un programme phare de centaines de milliards d'euros.

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 08:30
An F/A-18E Super Hornet from the Sunliners of Strike Fighter Squadron (VFA) 81 - photo USS Carl Vinson

An F/A-18E Super Hornet from the Sunliners of Strike Fighter Squadron (VFA) 81 - photo USS Carl Vinson

 

15 January 2015 by Mark Urban Diplomatic and defence editor, BBC Newsnight

 

How is progress measured on board the US aircraft carrier which is playing a key role in the fight against Islamic State?

 

The aircraft carrier USS Carl Vinson, plying the waters of the Gulf, represents a big slice of the coalition effort being used to pound the self-proclaimed Islamic State in Syria and Iraq - an onslaught that has been going on for the best part of five months now.

It is a floating town of more than 5,000 souls and 60 fighter aircraft engaged in a costly and complex campaign.

Each time it launches one of its jets, catapulting it over the green waters south of Iran, the event is so dramatic and inherently dangerous that it would be understandable if many a spectator forgot the question - is this air offensive working?

It's extremely hard for Western reporters to seek the answers to that on the ground, in Mosul or Raqqa. But we can be on board the carrier, speaking to those carrying out this operation, as I was for four days, gauging their sense of the task, its challenges, and whether it's achieving results.

 

Read full article

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 11:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

07.01.2014 Ouest-France
 

Oui la France a toujours un porte-avions opérationnel. La preuve, le Charles-de-Gaulle partirait faire la guerre contre Daesh dans le Golfe.

 

Selon Mer et marine, généralement bien informé sur les affaires maritimes, la mission du groupe aéronaval devrait être officiellement précisée lors des voeux annuels aux armées que le président François Hollande présentera le 14 janvier, à bord du navire au large de Toulon, son port d'attache.

Interrogé, l'Elysée a confirmé que le porte-avions transitera effectivement par le Golfe, « entamant le 12 janvier un déploiement opérationnel qui le conduira jusqu'en Inde où il participera à un exercice à la mi-avril ».

A ce titre, le « Charles de Gaulle sera disponible pour participer, si nécessaire, à toute mission opérationnelle », déclare-t-on de même source, soulignant que le président Hollande avait « choisi de présenter ses voeux aux armées pour la première fois à bord d'un bord d'un porte-avions en déploiement opérationnel ».

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 13:55
Les stars fêtent les 15 ans du porte-avions Charles de Gaulle

 

19.12.2014 Marine Nationale

 

Pour célébrer les 15 années opérationnelles du porte avions Charles de Gaulle, Michel Drucker et le capitaine de Vaisseau PierreVandier accueille à bord des nombreuses stars venues chanter et partager le quotidien des marins pour certaines d'entre elles.

Partager cet article
Repost0
17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 14:43
Porte-avions Charles de Gaulle : 15 ans d’opérations à l’honneur sur France 2

 

17 Décembre 2014 Marine Nationale

 

A l’occasion des 15 ans du porte-avions français, France 2 consacrera le 1er janvier 2015, à 20h30, une émission spéciale. Michel Drucker vous fera vivre une véritable immersion à bord du Charles de Gaulle.

 

De nombreux artistes ont partagé quelques heures de la vie des 1800 hommes et femmes qui vivent et servent à bord du porte-avions.

 

Depuis 15 ans, le porte-avions Charles de Gaulle conduit des opérations sur toutes les mers du monde. Avec les aéronefs du groupe aérien embarqué et ses bâtiments d’escorte (frégates, ravitailleurs, sous-marins d’attaque), qui forment le groupe aéronaval, il est un outil unique de projection de puissance et de maîtrise des espaces maritimes.

 

Une émission à ne pas manquer pour découvrir ou redécouvrir les 15 années d’opérations du Charles de Gaulle, plonger dans un univers inédit et aller à la rencontre des marins qui le font vivre.

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 14:30
Survol du porte-avions Charles de Gaulle - photo Maliseau / Marine nationale

Survol du porte-avions Charles de Gaulle - photo Maliseau / Marine nationale

 

10 décembre par Jean-Dominique Merchet

 

Le groupe aéronaval, autour du porte-avions Charles-de-Gaulle, quittera Toulon vers la mi-janvier pour se rendre dans le Golfe, où ses avions participeront aux frappes en Irak. Le départ est prévu juste après que le président de la République y eu présenter ces voeux aux armées, lors d'une cérémonie à bord. Le Charles-de-Gaulle devrait rester plusieurs mois «sur zone» et ses Rafales prendront la relève de ceux de l'armée de l'air, basés aux Emirats.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 13:50
Defence Secretary gets update on aircraft carrier project

 

1 December 2014 Ministry of Defence, Defence Equipment and Support and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

Michael Fallon visited Scotland to see the progress being made in building the UK's Queen Elizabeth Class (QEC) aircraft carriers.

 

While visiting the Aircraft Carrier Alliance, in Rosyth, Mr Fallon met with the project team to discuss the build progress of the second carrier, HMS Prince of Wales.

HMS Queen Elizabeth, which was formally named by Her Majesty the Queen in July this year, is currently being fitted out in Rosyth dockyard before arriving in Portsmouth.

Assembly of HMS Prince of Wales is also well underway. Speaking from the flight deck of HMS Queen Elizabeth, Mr Fallon said:

I came here to see for myself that the project is on track and on time to give Britain carrier strike capability, with HMS Queen Elizabeth operating with new F-35 planes by 2020.

These carriers will spearhead Britain’s sea power for the next 50 years, keeping the nation safe at home and protecting our interests abroad.

These magnificent ships are testament to the skill of the British shipbuilding industry and have created jobs not only in Rosyth and Scotland but across the UK. Our investment demonstrates the Government’s commitment that UK warships are only built in UK shipyards.

Work on the QEC carriers has created or sustained around 8,000 highly skilled jobs.

In Scotland alone, the QEC work has helped to directly support some 4,000 jobs and hundreds of apprentices at the Rosyth and Clyde shipyards.

With the MOD having invested some £2.66 billion in the programme at these shipyards so far – it is clear that Defence is making an unequivocal and continuing commitment to Scottish industry.

Ian Booth, Managing Director of the Aircraft Carrier Alliance, said:

We’re incredibly proud to be delivering the nation’s flagships and delighted to have the opportunity to show the Defence Secretary the progress we’re making on both ships following the naming ceremony in July.

HMS Queen Elizabeth has now reached an important engineering milestone which allows us to bring all her systems to life and HMS Prince of Wales, which only started assembly in September here in Rosyth, is now more than 40% complete.

HMS Queen Elizabeth will be handed over to the Royal Navy in 2017 and are expected to enter service by 2020.

With an expected service life of up to 50 years, the QEC carriers will be highly versatile and powerful joint Defence assets, able to meet the widest range of tasks around the world.

They are the largest, most capable and effective surface warships ever constructed in the UK.

The Defence Secretary also reiterated that there has been no change in the delivery programme for the F-35B strike aircraft which will fly from the carriers.

The phased approach to ordering F35 is working, with the first batch on track to enter initial maritime operating capability alongside HMS Queen Elizabeth in December 2020 as planned.

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 08:58
Le ministre de la Défense à bord du porte-avions Charles de Gaulle

 

29/11/2014 Sources : Marine Nationale

 

Jeudi 27 et vendredi 28 novembre 2014, le ministre de la Défense, Mr Jean-Yves Le Drian, s’est rendu à bord du porte-avions Charles de Gaulle à la mer. Ce dernier, déployé depuis une semaine au large des côtes méditerranéennes, achevait une période d’entraînement au sein du groupe aéronaval.

 

Arrivé à bord d’un hélicoptère Caïman à la tombée de la nuit, le ministre a pu assister aux catapultages et aux appontages des Rafale Marine de la 11F, embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle. En se rendant dans les hangars aviation, il a rencontré le personnel œuvrant jour et nuit pour maintenir en condition opérationnelle les aéronefs fortement sollicités. Un bilan des différents exercices de la semaine et une présentation des capacités offertes par le groupe aéronaval (GAN) dans le domaine de la projection de puissance lui ont également été exposés par l’amiral commandant la force. Enfin, le ministre a pu échanger avec les officiers, les officiers mariniers et les quartiers-maîtres et matelots au cours des nombreuses rencontres organisées lors de sa visite.

 

Dans son allocution aux marins du GAN, représentés par l’équipage du porte-avions, du groupe aérien embarqué et de l’état-major, le ministre a insisté sur le rôle essentiel de la TF 473 : «  Le groupe aéronaval concrétise à lui seul les trois grandes missions de la Marine nationale : protection du territoire, dissuasion nucléaire, intervention extérieure. Les missions auxquelles j’ai pu assister me prouvent la pertinence du choix de la France de posséder depuis plusieurs générations cet outil de puissance qui permet à notre pays de se distinguer des autres nations. »

 

Le ministre de la Défense à bord du porte-avions Charles de Gaulle

Il a également souligné leur motivation, leur passion et leur détermination, qualités nécessaires à l’accomplissement des missions que le chef des Armées peut leur confier : « Ce que j’ai vu hier et aujourd’hui témoigne de votre excellence à réaliser les objectifs qui vous ont été assignés. Je compte sur votre engagement qui est la clé de notre succès » a-t-il précisé.

 

Cette première visite officielle du ministre de la Défense à bord du porte-avions Charles de Gaulle depuis la revue navale du 15 août dernier, témoigne une nouvelle fois la place essentielle occupée par le groupe aéronaval au sein des forces armées françaises.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories