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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 17:40
photo Royal Navy

photo Royal Navy

 

 

January 31, 2014: Strategy Page

 

In early January Russia’s only aircraft carrier, the Admiral Kuznetzov passed through the English Channel on its way to the Mediterranean. The carrier had five escort vessels and military pilots flying close by could not help but notice that there was a lot of rust on the deck of the carrier. This was not a good sign.

 

The Kuznetzov left its base in northern Russia on December 17th and heading for the Syrian port of Tartus, where Russia has been building basing facilities for over a year.  Western navy officers who have seen the Kuznetzov up close (it was in the Mediterranean two years ago) have noted that the ship is long overdue for a major overhaul. The second ship of the Kuznetzov class was purchased by the Chinese a decade ago and completely refurbished. It is now in service as the Shi Lang and looks a lot better.

 

The Kuznetzov has had some updates since the 1990s but a lot of this work is suspect. Back in 2012 a military procurement official was prosecuted for substituting cheaper, substandard parts for new ones meant for the Kuznetzov. The corrupt official used forged documents to get away with this but members of the crew noticed the substandard parts and reported it. The Kuznetsov has been sent back to the shipyard several times during the last decade to fix problems and update equipment. Much was wrong with the ship, due to poor design, sloppy workmanship, or corruption. It’s gotten so bad that lackadaisical sailors are threatened with being sent to serve on the Kuznetsov as a way of motivating them.

 

The Kuznetsov continues to have problems with missing or malfunctioning equipment. This not only degrades the combat capabilities of the ship but also its habitability. At times there was no heat in the living quarters and many of the toilets didn't work. There is no money for a major overhaul, which would cost over half a billion dollars, at least for the Kuznetsov. So essential repairs are made and the ship continues to rust away, often quite visibly.

 

Kuznetsov class carriers began building in the 1980s and the lead ship was finally launched in 1995 and entered service in 1995. Originally the Kuznetsovs were to be 90,000 ton, nuclear powered ships, similar to American carriers (complete with steam catapults). Instead, because of the high cost and the complexity of modern (American style) carriers, the Russians were forced to scale back their plans and ended up with 65,000 ton (full load) ships that lacked steam catapults and used a ski jump type (STOBAR) flight deck instead. Nuclear power was dropped but the Kuznetsov class was still a formidable design. The 323 meter (thousand foot) long ship normally carries a dozen navalized Su-27s (called Su-33s), 14 Ka-27PL anti-submarine helicopters, two electronic warfare helicopters, and two search and rescue helicopters. But the ship was meant to regularly carry 36 Su-33s and sixteen helicopters, and a lack of money and facilities on the ship limits the number of aircraft that can be brought along. Other weapons include a dozen SS-N-19 anti-ship missiles and 18 vertical launch tubes for 192 anti-aircraft missiles. There are also 16 auto-cannon for anti-missile work plus some depth charges.

 

Officially called an "aircraft carrying cruiser", the ship carries 2,500 tons of aviation fuel, allowing it to generate 500-1,000 aircraft and helicopter sorties. Crew size is 2,500 (or 3,000 with a full aircraft load). Only two ships of this class exist, the original Kuznetsov, which is in Russian service, and the Varyag, which China bought unfinished from Ukraine and has rebuilt as the Shi Lang.

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 18:20
Un Greyhound sur le porte-avions Charles de Gaulle


15.01.2014 Crédit : EMA / Marine nationale


15 janvier 2014, un avion américain de type Greyhound, catapulté depuis le porte-avions Harry S. Truman, effectue une liaison avec le porte-avions Charles de Gaulle. Ce type d’aéronef est mis à disposition du groupe aéronaval français par la marine américaine pour prendre part au soutien logistique de la task force bilatérale.

Tout en participant à la sécurisation d’une région stratégique, le groupe-aéronaval, constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, est engagé dans une coopération bilatérale avec le porte-avions américain Harry S. Truman. Ce rapprochement entre la France et les Etats-Unis permet de développer l’interopérabilité en matière d’opérations maritimes.

 

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25 janvier 2014 6 25 /01 /janvier /2014 13:55
Mission Bois Belleau : interactions entre les groupes aéronavals français et américain

 

23/01/2014 Sources : EMA

 

Depuis le 12 janvier 2014, les deux groupes aéronavals français et américain, constitués autour des porte-avions Charles de Gaulle et Harry S. Truman, déployés ensemble dans le golfe arabo-persique, ont multiplié les interactions.

 

Le déploiement du groupe aéronaval permet à la France d’entretenir ses connaissances d’une zone d’intérêt stratégique et de développer ses relations avec les différents partenaires qui y sont présents, au premier rang desquels les forces navales américaines. Dans ce cadre, la France et les Etats-Unis ont débuté, à la fin de l’année 2013, une période de coopération en matière d’activités aéromaritimes qui doit permettre de renforcer l’interopérabilité entre les deux marines.

 

A la mi janvier 2014, soit à un peu plus de la moitié de cette période d’interactions, la Task Force 473, française, et la Task Force 50, américaine, ont intensifié leurs échanges. Ainsi, le 12 janvier 2014, pour la première fois depuis l’opération Harmattan en 2011, un aéronef de transport de passagers et de fret américain de type Greyhound a apponté sur le porte-avions Charles de Gaulle. Ce type d’aéronef est mis à disposition du groupe aéronaval français par la marine américaine pour prendre part au soutien logistique de la task force bilatérale.

 

En outre, les 13 et 14 janvier 2014, des appontages croisés d’avions de chasse embarquée ont eu lieu : des Rafale Marine se sont posés sur le porte-avions Harry S. Truman pendant que des F18-E appontaient sur le porte-avions Charles de Gaulle. Ces échanges mettent en exergue l’interopérabilité avancée entre les deux marines.

 

Si ces manœuvres conjointes sont fréquemment réalisées, les interactions entre les deux groupes aéronavals atteignent cette année un niveau encore jamais égalé. Pour mesurer les progrès réalisés, le vice-amiral Miller, commandant de la 5ème  flotte des Etats-Unis, a tenu à se rendre à bord du porte-avions Charles de Gaulle le 14 janvier 2014. Il a pu s’y entretenir avec le commandant de la Task Force 473, le contre-amiral Chaperon, ainsi qu’avec les différents officiers américains embarqués sur le porte-avions français.

 

En multipliant ainsi les activités opérationnelles, les deux groupes aéronavals français et américain renforcent leur interopérabilité.

Mission Bois Belleau : interactions entre les groupes aéronavals français et américain
Mission Bois Belleau : interactions entre les groupes aéronavals français et américain
Mission Bois Belleau : interactions entre les groupes aéronavals français et américain
Mission Bois Belleau : interactions entre les groupes aéronavals français et américain
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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 08:35
Pékin pousse ses porte-avions en mer de Chine

 

20/01/2014 Par Patrick Saint-Paul Correspondant à Pékin, - LeFigaro.fr

 

Pékin, dont les visées sur des îles en mer de Chine inquiètent ses voisins, se lance dans la construction d'un deuxième porte-avions. Et des indiscrétions, retirées promptement de l'Internet chinois, ont annoncé la mise en chantier de deux autres porte-avions.



La République populaire choisit de doper sa marine alors que la tension est à son comble avec ses voisins en mer de Chine. Pékin a entamé la construction d'un deuxième porte-avions, qui devrait être achevé en 2016, et a l'intention d'en mettre au moins deux autres en chantier, rapporte la presse, citant un responsable local du Parti communiste. La nouvelle a aussitôt été effacée de l'Internet chinois, en raison de son caractère sensible.

Baptisé le Liaoning, le premier porte-avions est entré en service en septembre 2012. Racheté à l'Ukraine en 1998, il a été restauré et modifié dans les chantiers navals de Dalian. Basé dans le port de Qingdao, le bâtiment croise actuellement dans les eaux disputées de la mer de Chine méridionale, où plusieurs conflits territoriaux opposent Pékin au Japon, au Vietnam à la Corée du Sud et aux Philippines.

La construction du second porte-avions aurait débuté dans le même port de Dalian, a annoncé Wang Min, numéro un du PCC dans la province de Liaoning qui a donné son nom au premier porte-avions, selon plusieurs sites d'information chinois. À court terme, la marine chinoise chercherait à s'équiper de quatre porte-avions, selon Wang Min. La Chine a besoin de mettre en place trois à quatre groupes de combat par porte-avions, si elle veut bâtir une capacité de défense crédible. La flotte de l'US Navy, grande rivale de la marine chinoise, possède une dizaine de porte-avions en activité.

 

Une seconde base navale

Les liens permettant d'accéder à certains de ces articles sont par la suite devenus inactifs. Selon le South China Morning Post de Hongkong, les autorités les auraient fait retirer, parce qu'elles veulent rester discrètes sur le sujet, ou parce que Wang Min ne serait pas habilité à en parler. Selon des informations reprises, en novembre 2013 par le quotidien officiel Global Times, la Chine serait aussi en train de construire une seconde base de porte-avions à Yulin, dans le sud-ouest de l'île de Hainan.

La construction d'une seconde base en plus de celle de Qingdao, sur l'île de Hainan, en position stratégique face au Vietnam, aux Philippines et à Taïwan, est une nouvelle indication des ambitions territoriales chinoises. L'Armée populaire de libération (APL) se montre de plus en plus sûre d'elle-même dans les eaux troubles de la mer de Chine.

En décembre dernier, une frégate escortant le porte-avions chinois Liaoning avait ainsi frôlé la collision avec le croiseur américain USS Cowpens , auquel elle avait barré la route. En manifestant sa présence dans la zone, la République populaire espère démontrer qu'elle est la puissance dominante dans la région, alors que les États-Unis cherchent à rassurer leurs alliés en y maintenant leur présence.

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 17:45
Brand Italy – military, diplomatic and humanitarian – on its way to South Africa

 

20 January 2014 defenceWeb

 

The Italian Navy’s 30th Naval Group is well into its six-month training, humanitarian and promotional sales tour and is due to port in South Africa on February 5.

 

The group departed Italy in November. It is led by the aircraft carrier Cavour and comprises the multi-mission frigate Bergamini, logistic support ship Etna and the Comandanti Class patrol ship Borsini.

 

The voyage combines training, diplomacy and humanitarian assistance with a privately funded marketing trip for Italian industry billed as a “moving country”.

 

The group has already ported in Bahrain and Doha in Qatar and has now moved into the Indian Ocean off the coast of Africa. Stops at a number of ports will see the issues of maritime security and merchant shipping protection addressed as well as support to navies of African costal countries through active co-operation.

 

The voyage is also flying the flag for the Mediterranean country’s foreign policy as well as marketing the “Made in Italy” brand. In this respect it was called a “floating Le Bourget” by Italian Defence Minister Mario Mauro when he saw the group off in November. This was in reference to the major defence industry exhibition held in Le Bourget, France.

 

The rationale behind the travelling sales mission, which will call at 19 ports before returning to Italy in April, is that companies on board will foot the bill, effectively underwriting crew training as regular funding for exercises dries up, DefenseNews reported.

 

Industry will pay more than €10 million for fuel costs and €3 million for other expenses, including port fees, while the Navy will pick up the €7 million wages bill, Navy Chief Admiral Giuseppe De Giorgi said at a press conference prior to the group’s departure.

 

He added the voyage would also see Italian Navy crews training in a challenging climate, far from home.

 

The Navy has been pushing to find creative ways to fund crew training while maintenance and operations budgets are eroding as planners divert large amounts for personnel spending, DefenseNews reported.

 

In the three-year budget published this year, maintenance and operations funding slips from €1.33 billion this year to €1.32 billion in 2014 and to €1.3 billion in 2015.

 

The Italian contingent is due to sign a co-operation agreement with Mozambique when the group ports in Maputo.

 

The marketing of Italian naval vessels also would be on the agenda in the Arabian Gulf, Morocco, South Africa and Mozambique, while in Angola, talks would continue regarding Italian industry helping to develop a new type vessel for the local navy, he said.

 

For companies in the Finmeccanica group, the voyage allows a focus on the gulf ports in Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Oman, Qatar and Kuwait.

 

AgustaWestland will be parking an NH90 and AW101 helicopter on board the Cavour, while Oto Melara will promote its new guided munitions and Selex ES the combat management system it installed on Cavour. Torpedo unit WASS will promote its Black Shark torpedo, while visitors also will see the Storm Shadow, Meteor and Brimstone missiles built by MBDA, in which Finmeccanica holds a stake.

 

Small-vessel builder Intermarine is joining the trip, as is small arms maker Beretta.

 

“We are interested in the visits to the UAE, Qatar and Kuwait,” said Lorenzo Benigni, vice president for communications at electronics firm Elettronica, which has supplied self-protection systems on Cavour.

 

The defence stands will share space with displays promoting Italy’s hosting of Expo 2015, as well as stands taken by small aircraft maker Blackshape, tire-maker Pirelli and business aircraft company Piaggio Aero. Railway technology group Mermec and microsatellite builder Sitael also will be represented, as well as an Italian trade association grouping 2 800 furniture and wooden goods manufacturers.

 

The voyage, according to De Giorgi, is “a business card for Italy” while the Defence Minister described it as “a piece of Italy”.

 

Following stops in the gulf, the ships will also port in Kenya, Madagascar, Mozambique, South Africa, Algeria, Congo, Nigeria, Ghana, Senegal, Morocco and Algeria.

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 20:35
China starts building second aircraft carrier: Media

 

Jan 18, 2014 straitstimes.com (AFP)

 

BEIJING - China has started constructing the second of four planned aircraft carriers, a top government official said according to media reports on Saturday.

 

The ship is under construction in the north-eastern port of Dalian and will take six years to build, the reports said quoting Wang Min, Communist Party chief for Dalian's Liaoning province.

 

The country's first aircraft carrier, the Liaoning, was completed in September 2012 in a symbolic milestone for the country's increasingly muscular military.

 

Another two are in the pipeline, said Wang.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:35
Un Rafale Marine se prépare à être catapulté depuis le porte-avions américain Harry S. Truman

Un Rafale Marine se prépare à être catapulté depuis le porte-avions américain Harry S. Truman

 

15/01/2014 Marine nationale

 

En pleine opération Bois Belleau, le porte-avions Charles de Gaulle et l'ensemble du Groupe aéronaval (GAN) français ont interagi avec les forces navales américaines, en océan Indien. Les activités se sont déroulées dans le golfe arabo-persique.

 

Ce fut l'occasion pour un Rafale Marine d’être catapulté depuis le pont d’envol du porte-avions américain Harry S. Truman. Un F18 américain a quant à lui été mis en œuvre par les équipes de pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle.

 

Un F18 américain mis en oeuvre par les équipes du pont d'envol du Charles de Gaulle

Un F18 américain mis en oeuvre par les équipes du pont d'envol du Charles de Gaulle

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13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 08:20
Engility Wins $29.6 M to Support US Navy's ALRE Program

 

Jan 9, 2014 ASDNews Source : Engility Holdings, Inc.

 

Engility Holdings, Inc. (NYSE:EGL), today announced that it has been awarded a $29.6 million contract to provide engineering and technology support to the U.S. Navy’s Aircraft Launch and Recovery Equipment (ALRE) program. This new contract, which was awarded by the Naval Air Warfare Aircraft Division based in Lakehurst, NJ, will accommodate incumbent work from other contract vehicles and is also expected to create opportunities for additional work.

 

“Our engineering teams have provided excellent service and the highest level of technical capability to the Navy’s ALRE program,” said Engility President and CEO Tony Smeraglinolo. “This contract award reflects the commitment and pride our people have in supporting Naval aviation.”

 

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 13:35
Le porte-avions INS Vikramaditya jette l'ancre en Inde

 

MOSCOU, 10 janvier - RIA Novosti

 

Le porte-avions indien Vikramaditya a atteint la base navale de Karwar, en Inde, le mardi 7 janvier 2014, au terme d’un voyage de 40 jours depuis la Russie, écrit vendredi 10 janvier le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

 

En 26 jours de voyage et une courte relâche à Lisbonne, le navire a parcouru 10.212 milles nautiques. C’est la distance exacte qui sépare le quai de l’usine russe Sevmach (chantiers de Severodvinsk) - qui a donné sa deuxième vie au croiseur Amiral Gorchkov - et la base navale de Karwar sur le littoral indien, où sera désormais enregistré ce navire de combat, aujourd’hui le plus puissant de la marine indienne.

 

Selon les sources de Rossiïskaïa gazeta, la fin de ce voyage qui a vu le navire traverser la Méditerranée, le canal de Suez, la mer Rouge, le golfe d’Aden et la mer d’Arabie a été relativement calme, ce qui n’a pas été le cas dans l’Atlantique où l’équipage avait dû surmonter une tempête violente. Une corvette indienne accompagnant le porte-avions avait même subi une fissure qu’il avait fallu réparer d’urgence à Lisbonne. Cette relâche planifiée, qui fut aussi un bref repos pour l’équipage, a été très utile.

 

Le Vikramaditya transportait l’équipage mais aussi une équipe d’experts russes dirigée par Igor Leonov, ingénieur responsable de Sevmach. Ces 174 spécialistes sont toujours en Inde pour garantir la maintenance du navire et tester les systèmes de climatisation ou encore les réfrigérateurs dans les mers méridionales, où les températures de l’eau et de l’air différent considérablement de celles de Mourmansk et Severodvinsk.  

 

Ces tests, lancés dans le golfe d’Aden et en mer Rouge, ont démontré le bon fonctionnement des appareils. La température de l’air et de l’eau avoisinant 28 degrés, la température dans les cabines était de 20 à 25 degrés. La température dans le compartiment des machines où le système de climatisation utilise l’eau de la mer s'élevait à 40 degrés pendant les tests, mais il s’agit là d’un inconvénient caractéristique de tous les bâtiments de surface.   

 

L’équipage a testé les systèmes stratégiques du navire dans ces "conditions domestiques" mais a aussi pris part à des exercices tactiques de la marine près du littoral indien. Les officiers supérieurs montés à bord du bateau ont été visiblement fascinés par l’efficacité et la puissance du radar embarqué ainsi que les capacités de navigation du navire.

 

Le 7 janvier, jour du Noël orthodoxe, le porte-avions a atteint sa destination et jeté l’ancre à la base navale de Karwar, sur la côte de l'Etat indien du Karnataka au Sud du pays. Sur le livre de bord a été écrite une note spéciale: depuis le début des essais le navire Vikramaditya a parcouru au total plus de 30.000 milles. Le 8 janvier, le porte-avions a enfin accosté.

 

Les experts russes et les marins indiens ont pu descendre à terre pour la première fois depuis le début du voyage. La plupart des spécialistes reviendront en Russie mais 75 resteront en Inde pour superviser la mise en service du bateau. Selon les sources indiennes, ces travaux pourraient prendre de trois à quatre mois.

 

Selon les informations de Rossiïskaïa gazeta, l'équipage du Vikramaditya pourrait reprendre des exercices militaires en mer le 15 ou 16 janvier. Des sources indiquent également qu'en février le navire devrait arriver à Bombay pour un accueil solennel. La cérémonie devrait réunir le premier-ministre indien Manmohan Singh et des invités russes.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:35
Le porte-avion Vikramaditya arrivé en Inde

 

NEW DELHI, 8 janvier - RIA Novosti

 

Le porte-avions modernisé Vikramaditya, remis le 16 novembre dernier par la Russie à la Marine indienne, est arrivé mardi dans la base navale de Karvar, dans l'Etat de Karnataka (sud de l'Inde), rapporte la chaîne de télévision locale IBN, se référant à une source au sein des Forces navales du pays.

 

Le processus d'intégration du porte-avions dans les rangs de la Marine indienne prendra entre trois et quatre mois, précise la source. Le Vikramaditya a été livré à l'Inde sans avions, ni armements. 

 

Une équipe de spécialistes russes chargée d'assurer les travaux de maintenance prévus par garantie restera à Karvar pendant un an. 

 

La Russie a modernisé le porte-avions soviétique Admiral Gorchkov pour la Marine indienne conformément à un contrat de 2004. Le porte-avions modernisé a été rebaptisé Vikramaditya (fort comme le Soleil).

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 22:55
Appontage d'un Hawkeye à bord du PA Charles de Gaulle

Appontage d'un Hawkeye à bord du PA Charles de Gaulle

 

06/01/2014 Marine Nationale

 

Le 26 décembre 2013 vers 14H00, pour la 32 000efois depuis son lancement en 1999, un aéronef a apponté, c’est à dire a accroché un des trois brins d’arrêt du porte-avions Charles de Gaulle. Le groupe aéronaval est actuellement déployé dans le nord de l’océan Indien dans le cadre de la mission Bois Belleau, alors que les premières interactions avec l’US Navy viennent de débuter.

 

« Ce chiffre de 32 000 appontages concrétise la somme d’expérience accumulée par le porte-avions Charles de Gaulle depuis sa construction. Il concrétise aussi l’investissement personnel de chacun des membres de l’équipage depuis 15 ans pour faire voler nos aéronefs de combat, efficacement et en sécurité. Cette année, cet investissement est d’autant plus remarquable que nous passons à la fois les fêtes de Noël et de la Saint Sylvestre en mer »souligne le capitaine de vaisseau Vandier, commandant du porte-avions Charles de Gaulle.

 

C’est un pilote de l’avion de guet aérien Hawkeyede la flottille 4F embarquée pour la mission Bois Belleau qui aura donc son nom gravé au tableau d’honneur de la coursive principale du bord.

 

Avec son aéronef, il revenait d’une patrouille dans le nord du golfe d’Oman, au profit des deux groupes aéronavals Charles de Gaulleet Harry S. Trumanqui ont entamé leurs opérations communes.

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 06:45
photo Bruno Gaudry - Marine Nationale

photo Bruno Gaudry - Marine Nationale

 

30/12/2013 Sources : EMA

 

Du 19 au 23 décembre 2013, le groupe aéronaval (GAN) composé du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne (FDA) Forbin, de la frégate anti-sous-marine (FASM) Jean de Vienne, du pétrolier ravitailleur (PR) Meuse et d’un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA), a fait escale à Djibouti, un mois après avoir quitté Toulon.

 

Après son appareillage le 20 novembre dernier, le groupe aéronaval a réalisé un entraînement intensif d’une dizaine de jours en Méditerranée dans le but de finaliser la préparation de son déploiement opérationnel. Ayant mis le cap à l’est, il a franchi le canal de Suez le 6 décembre.

 

Du 7 au 10 décembre 2013, le GAN a conduit avec l’Arabie Saoudite en Mer Rouge le premier exercice bilatéral de sa mission baptisé « White Shark ». Les bâtiments constituant le groupe aéronaval ont ensuite rejoint ceux de la Task Force 465, qui agissent dans le cadre de l’opération européenne de lutte contre la piraterie « Atalante »,afin de patrouiller dans le Golfe d’Aden et de participer à la sécurisation des voies maritimes stratégiques.

 

Dans le même temps, une campagne d’entraînement au tir pour les Rafale et les Super Etendard Modernisés embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle a été réalisée à Koron, à l’ouest de Djibouti du 13 au 18 décembre 2013.

 

Au terme de 600 vols durant ce premier mois, cette escale a permis de conduire des interventions technique sur les différents aéronefs. Elle a également permis d’assurer le soutien des bâtiments du groupe, mais aussi de ravitailler en vivres et en combustible.

 

Le groupe aéronaval (GAN) a quitté Toulon pour être déployé dans le nord de l’océan Indien et dans la région du golfe arabo persique (GAP) pour assurer une mission de présence opérationnelle en océan Indien. Ce déploiement permettra à la France d’entretenir ses connaissances de la zone et de développer ses relations avec les différents partenaires qui y sont présents. Il permettra également de conduire des interactions avec les forces navales américaines, alimentant ainsi une coopération opérationnelle bilatérale établie de longue date.

photo Bruno Gaudry - Marine Nationale
photo Bruno Gaudry - Marine Nationalephoto Bruno Gaudry - Marine Nationale
photo Bruno Gaudry - Marine Nationale

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:35
China To Built Two More Aircraft Carriers Between 2014 To 2015

 

Dec 12, 2013 By Yasir Faheem - asian-defence.net

 

China will construct two conventionally powered aircraft carriers in Dalian and Shanghai between 2014 and 2015, a source from China's Central Military Commission has told.

 

Under the Commission's Project 048, China aims to establish three carrier battle groups by 2020 so that all three major fleets of the PLA Navy will be able to carry out missions with the full support of an aircraft carrier. The two new Type 001A indigenous carriers will be updated versions of China's first aircraft carrier, the Liaoning, which was originally a Soviet-era Admiral Kuznetsov-class aircraft carrier purchased from Ukraine in 1998. They will also likely be designed with a ski-jump ramp.

 

Sources said that the General Equipment Department of the PLA has already signed a contract with the Beijing-based China Shipbuilding Industry Corporation to build the two carriers. The price of the two vessels is estimated to be worth US$9 billion.

 

China has yet to decide whether its J-31 stealth fighter will replace the J-15 to become the country's next generation carrier-based fighter, according to sources. The J-31 fighter entered service after the J-15, and is able to land or take off from the flight deck of the Liaoning. Sources said that a decision will only be made after the construction of the nation's second and third aircraft carriers is completed. This will give the PLA more time to think about the type of carrier-based fighter it will need in the future, the sources added.

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 12:55
Rafale-M sur le pont d’envol du porte-avions Charles De Gaulle

05.12.2013 Crédit : EMA / Marine nationale

 

30 novembre 2013, 16h15, pont d’envol du porte-avions Charles De Gaulle au large de la Corse, le « chien jaune », les bras tendus au-dessus de la tête, indique à un pilote de Rafale-M qu’il doit avancer pour positionner son avion face à la catapulte. A bord du porte-avions, les « chiens jaunes » sont de véritables chefs d’orchestre. Ils coordonnent l’ensemble des mouvements du personnel et des avions sur le pont d’envol.
Le groupe aéronaval (GAN) a quitté Toulon pour être déployé dans le nord de l’océan Indien et dans la région du golfe arabo persique (GAP) pour assurer une mission de présence opérationnelle en océan Indien. Ce déploiement permettra à la France d’entretenir ses connaissances de la zone et de développer ses relations avec les différents partenaires qui y sont présents. Il permettra également de conduire des interactions avec les forces navales américaines, alimentant ainsi une coopération opérationnelle bilatérale établie de longue date.

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 12:35
photo Livefist

photo Livefist

 

December 5, 2013: Strategy Page

 

The new Russian built Indian aircraft carrier INS Vikramaditya was turned over to the Indian Navy on November 16th and left for India ten days later. There’s one major problem however. Vikramaditya is not combat ready yet. When Vikramaditya arrives at its home port in late January it will be without its primary LRSAM/Barak 8 anti-aircraft missile system. Vikramaditya is supposed to be fully operational by mid-2014 but that won’t happen until it receives its Israeli designed air defense system. In the meantime the carrier does have several AK-630 Russian made six-barrel 30mm close-in weapon systems (CIWS), for defense against anti-ship missiles as well as MiG-29 fighters. But the long range anti-aircraft missiles are a major part of the air defenses.

 

It’s all about persistent Indian problems with managing the development of military technology. India and Israel have a deal to jointly develop and manufacture the new Barak 8 anti-aircraft missile. India calls their version LRSAM (Long Range Surface to Air Missile) and while most (70 percent) of the development work has been done in Israel, India is the major customer (buying $1.1 billion worth of LRSAM/Barak 8 for their warships). Because India has a larger navy, they will be the major user. The two countries evenly split the $350 million development cost. The Indian delay is because of problems developing features India wanted and some Indian made components in LRSAM. While the Barak 8 is being installed in some Israeli ships right now, Israel cannot just install Barak 8 in Vikramaditya until the two countries resolve some differences over the transfer of some Israeli technology to India. This has also been a problem with other Western nations and the Indian government has not been willing to change Indian laws and patent protections to avoid these problems.

 

Over the last few years India found that they had a major problem with LRSAM; they did not have enough engineers in the government procurement bureaucracy to quickly and accurately transfer the Israeli technical data to the Indian manufacturers. In addition, some of the Indian firms that were to manufacture Barak 8 either misrepresented their capabilities or did not know until it was too late that they did not have the personnel or equipment to handle manufacture of Barak 8 components.

 

Meanwhile Israel is already manufacturing and installing the new Barak 8 on its three 1,075 ton Saar 5 class corvettes. This means Barak 8 will be ready for action over a year before its scheduled 2015 service date. Israel is believed to be rushing this installation because Russia has sent high speed Yakhont anti-ship missiles to Syria and Barak 8 was designed to deal with this kind of threat. Barak 8 is also Israel’s first air defense system equal to the American Patriot (and similar systems like the U.S. Navy SM-2, Russian S-300 and European Aster 15). An improved Barak 8 would be able to shoot down short range ballistic missiles.

 

The Barak 8 is a 275 kg (605 pound) missile with a 60 kg (132 pound) warhead and a range of 70 kilometers. The warhead has its own seeker that can find the target despite most countermeasures. The missiles are mounted in a three ton, eight cell container (which requires little maintenance) and are launched straight up. The compact (for easy installation on a ship) fire control module weighs under two tons.

 

The original Barak 1 missiles was introduced in the 1980s and is also used by the Indian Navy. Each Barak 1 missile weighs 98 kg (216 pounds) each and has a 21.8 kg (48 pound) warhead. These missiles were also mounted in an eight cell container. The radar system provides 360 degree coverage and the missiles can take down an incoming missile as close as 500 meters away from the ship. The missile has a range of ten kilometers, and is also effective against aircraft. India has bought over $300 million worth of these systems.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 17:35
From The Deck Of INS Vikramaditya: Enjoy These Brilliant Pictures For Navy Day 2013

03.12.2013

 

From The Deck Of INS Vikramaditya: Enjoy These Brilliant Pictures For Navy Day 2013
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 17:35
INS Viraat, the lone aircraft carrier in use now, in Mumbai on Tuesday

INS Viraat, the lone aircraft carrier in use now, in Mumbai on Tuesday

 

 

4 décembre 2013, Portail des Sous-Marins

 

La marine indienne envisage de construire un porte-avions nucléaire, si les couts le permettent.

 

La marine indienne souhaite avoir 3 porte-avions mais le seul dont elle dispose actuellement, l’INS Viraat, est « vieux, dépassé et trop couteux à entretenir, » explique le chef de la marine indienne, l’amiral D.K. Joshi.

 

L’état-major de la marine prend graduellement conscience qu’il faudra probablement désarmer le porte-avions avant la date prévue.

 

Le porte-avions, âgé de 55 ans, a déjà subi plusieurs modernisations, très couteuse pour le budget de la défense.

 

Le mois dernier, la marine a admis au service l’INS Vikramaditya, l’ancien Gorshkov russe. Le porte-avions est actuellement en route vers l’Inde. Il faudra encore 6 mois après son arrivée à Karwar sur la côte ouest, pour le rendre entièrement opérationnel. Il est attendu en Inde en janvier.

 

Seuls les Etats-Unis disposent de plusieurs porte-avions, tous à propulsion nucléaire. L’importance des porte-avions en océan Indien, est l’objet d’une attention particulière pour les stratèges après la mise en service du porte-avions chinois, le Liaoning.

 

La Chine a aussi annoncé la semaine dernière la mise en place d’une zone d’identification aérienne en mer de Chine Orientale, dans une zone qui est aussi revendiquée par le Japon et la Corée du Sud. Les porte-avions sont le meilleur outil pour le « contrôle maritime ».

 

La marine indienne prendra une décision définitive sur son projet de porte-avions nucléaire IAC-2 — d’un déplacement de 65.000 t — après avoir étudié les expériences de la Grande-Bretagne et de la France.

 

L’état-major de la marine s’est fixée une échéance de 2 mois pour fixer le type de propulsion. La propulsion nucléaire donnerait une meilleure autonomie au porte-avions, mais le réacteur est cher à construire.

 

La Grande-Bretagne a abandonné l’idée de la propulsion nucléaire pour son porte-avions Queen Elizabeth II à cause du cout. La France est le seul pays, à part les Etats-Unis qui ait construit son propre porte-avions nucléaire, le Charles de Gaulle.

 

L’autre décision concerne le type d’équipements : catapulte et brins d’arrêt (comme les porte-avions américains et français) ou sky-jump (comme le britannique).

 

Le projet de porte-avions IAC-2 de 65.000 tonnes, qui pourrait être baptisé le Vishal, suivra le Vikrant, ou IAC-1, un porte-avions classique de 44.700 t actuellement en construction à Kochi.

 

Le Vikrant a été mis à l’eau en aout dernier. Il pourrait être admis au service actif en 2017. Le Viraat, le seul porte-avions dont dispose actuellement la marine indienne, serait désarmé à cette date.

 

Référence : Calcutta Telegraph (Inde)

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 17:35
Ten reasons why India should preserve INS Vikrant

 

December 4, 2013 Shiv Aroor - indiatoday.intoday.in

 

New Delhi - The Indian Navy is used to irony -- it remains the smallest of India's armed forces, despite having in sheer quantity, the largest area of responsibility, including an enormous coastline. But the fact that the Maharashtra government has chosen the run up to Navy Week, that begins today, to announce its decision to abandon the INS Vikrant aircraft carrier museum ship, scores spectacularly on the irony sweepstakes: today, Navy Day, is a commemoration of the Indian Navy's blistering assault on the Karachi harbour as part of Operation Trident, and the 1971 war in general, one in which INS Vikrant brought to bear formidable firepower in East Pakistan with its floating fleet of strike aircraft.

 

But if the formidable sweep of history hasn't convinced the government to preserve the INS Vikrant in a nation that so easily forgets its military history, here's a list of 10 good reasons that should:

 

1. INS Vikrant was the Indian Navy's first aircraft carrier. Once HMS Hercules in the Royal Navy, she was sold to India and commissioned into the Indian Navy in 1961. In this day, with several aircraft carriers prowling the world's oceans, it is impossible to fully capture just how momentous it was for a young country like India to own such a capability.

 

2. In the 1965 and 1971 wars, the INS Vikrant became an obsession for the Pakistan Navy, which even suggested that it had sunk her in the 1965 operations even while the Vikrant was coolly in refit at the Mumbai naval dockyard.

 

3. In the 1971 war, after she successfully evaded Pak submarine PNS Ghazi in the Bay of Bengal, INS Vikrant unleashed furious air power on Chittagong, Khulna and Cox's Bazar, destroying masses of East Pakistani assets and vessels, completely decimating any defensive capability there. After six days of unrelenting attacks, the Vikrant's Sea Hawk's ensured East Pakistan was fully contained from the sea.

 

4. INS Vikrant's performance in the 1971 war cannot be understated. With severe mechanical problems, including a failed boiler that potentially crippled flight operations and cruising speed, she still managed to bring a formidable fight to the enemy, earning her crew 2 Maha Vir Chakra and 12 Vir Chakra gallantry decorations.

 

5. During the 1962 war with China, there was a brief possibility that INS Vikrant's deck aircraft would be sent on emergency detachment to shore airfields in the North-East for strike operations -- something that never happened, adding to the overall folly of deciding not to use aircraft in offensive operations against the Chinese. Vikrant sat out the war, as did all other airborne strike assets in the country.

 

6. INS Vikrant's vintage goes back to World War II. Her build, her construction is a throw-back to the inimitably brilliant construction philosophies of the age. She remains the only British-vintage World War II aircraft carrier currently still in visitable condition. To military historians, that alone is good reason to keep her in ship shape.

 

7. After INS Vikrant was decommissioned in 1997, she has been laid up at the Mumbai naval dockyard, open to the public for painfully brief intervals during the year, but mostly invisible to the Indian public, despite enormous interest in vintage warships across the world.

 

8. She was India's first and only aircraft carrier to use a steam catapult launch system for its aircraft. The Vikrant itself was modified with a ski-jump in the late 1970s to accommodate the country's new Sea Harrier jump jets. However, with the Indian Navy now mulling the possibility of returning to catapult launch dynamics for future aircraft carriers, a preserved Vikrant will be a living example of history coming full circle.

 

9. Several veteran navymen and aviators earned their wings training on the INS Vikrant. Former navy chief Admiral RH Tahiliani was among the first Indians to land an aircraft on the ship's deck.

 

10. Finally, it is hard to describe the emotions, ghosts, wisdom, laughter and spirit that would perish if the INS Vikrant were broken up and sold for scrap. For a country that has been resolutely sea blind for decades, preserving the Vikrant wouldn't just be a symbol of respect for all that the ship has done, but that history cannot simply be sunk.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 11:22
Episode 2 - Au cœur du déploiement opérationnel du GAN

4 déc. 2013 FORCESFRANCAISES

 

Au cœur du déploiement opérationnel du groupe aéronaval "Bois Belleau"

 

Le groupe aérien embarqué (GAé) rejoint le porte-avions Charles De Gaulle au large de Toulon.

 

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 21:30
Episode 1 - GAN appareillage

3 déc. 2013 FORCESFRANCAISES

 

Le groupe aéronaval vient de mettre le cap à l’est pour rejoindre le nord de l’océan Indien et le golfe arabo-persique. Cette opération de trois mois, précédée d’une dizaine de jours de certification du groupe en Méditerranée occidentale, permettra à la France de disposer dans la zone d’une capacité militaire stratégique à la fois souple, autonome et réactive. Connaissance, anticipation, coopération régionale, prévention des crises, et capacité d'action autonome sont au programme. Ordonnée par le chef d’état-major des armées, la mission Bois Belleau durera jusqu’en février 2014 et concernera 2600 marins et renforts interarmées.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 17:55
Le «Charles-de-Gaulle» immobilisé entre 2016 et 2018

 

2 décembre 2013 Liberation.fr (AFP)

 

Le porte-avions doit subir une révision complète et une remise à niveau durant un an et demi.

 

Le porte-avions Charles-de-Gaulle va subir un «arrêt technique majeur» (ATM) de près d’un an et demi de septembre 2016 à février 2018, pour une révision complète du bâtiment, a-t-on appris auprès du ministère de la Défense.

 

Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a indiqué le 23 octobre, devant une commission élargie de l’Assemblée nationale, que l’ATM du Charles-de-Gaulle se déroulerait «comme prévu», «pour un coût de 1,3 milliard d’euros».

 

Cet ATM «sera particulièrement important puisqu’il s’agira de l’entretien à mi-vie du porte-avions», écrivent de leur côté les députées Patricia Adam (PS), la présidente de la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale, et Geneviève Gosselin-Fleury (PS) dans le rapport de la commission sur la Loi de programmation militaire.

 

«Il permettra notamment, outre les opérations "traditionnelles" d’entretien, de mise à niveau des équipements, et de renouvellement des capacités opérationnelles, d’adapter le bâtiment à un GAN (groupe aéronaval) centré autour de l’avion Rafale du fait du retrait des Super-Etendard modernisés (SEM)», soulignent-elles.

 

A l’issue de cette période d’arrêt, «le porte-avions sera en capacité de poursuivre son activité jusqu’à son retrait de service actif, programmé en 2041», notent les deux élus. Plus gros navire militaire européen, le Charles-de-Gaulle a déjà subi un entretien intermédiaire de six mois de janvier à juillet 2013. En service depuis le 18 mai 2001, il compte un équipage de près de 2 000 hommes et femmes et a déjà parcouru plus d’un million de kilomètres.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:55
Le porte-avions Charles-de-Gaulle bientôt dans l'océan Indien et dans le Golfe

 

 

PARIS, 29 nov 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Le porte-avions Charles-de-Gaulle, accompagné d'un groupe aéronaval, s'apprête à se diriger vers l'océan Indien et le Golfe pour une "mission de présence opérationnelle" de trois mois environ dans la région, a annoncé vendredi à la presse l'amiral Eric Chaperon.

 

"Le groupe aéronaval est en passe de mettre le cap à l'est pour réaliser une mission de présence opérationnelle dans l'océan Indien et dans le Golfe arabo-persique. Ce déploiement, planifié de longue date, durera un peu moins de trois mois", a indiqué l'amiral, lors d'une visio-conférence au ministère de la Défense, donnée depuis le Charles-de-Gaulle.

 

"Ce déploiement vise à affirmer la présence de la France dans une région d'intérêt stratégique, développer notre connaissance de la zone et enfin à renforcer notre coopération avec les pays riverains", a ajouté l'amiral.

 

L'officier supérieur a indiqué notamment que des exercices "Wild Shark" auraient lieu avec "les forces armées saoudiennes", puis d'autres exercices "avec le Qatar dans le Golfe arabo-persique" et enfin des exercices avec les Emirats arabes unis en mer d'Oman.

 

Le groupe aéronaval accompagnant le Charles-de-Gaulle sera composé entre autres de la frégate de défense aérienne Forbin, de la frégate anti-sous-marine Jean-de-Vienne et du pétrolier ravitailleur Meuse, a précisé l'amiral.

 

Mais "ce déploiement permettra également de conduire des inter-actions avec les forces aéronavales américaines présentes sur zone", a expliqué l'amiral Chaperon.

 

Ces exercices avec les forces aéro-navales américaines "s'échelonneront sur plusieurs semaines sous la forme d'activités communes et d'exercices axés sur le renforcement de l'inter-opérabilité commune, c'est-à-dire notre capacité à travailler ensemble", a-t-il précisé.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:40
INS Vikramaditya : dimension géopolitique du « marché de la décennie »

 

30 novembre, Sergueï Tomine - La Voix de la Russie

 

L'histoire de la modernisation et du transfert à l'Inde du croiseur porte-avions Admiral Gorchkov transformé en porte-avions Vikramaditya n'était pas brève. En 2004, année de la signature du contrat sur Admiral Gorchkov, personne à Moscou et à New Delhi ne supputait que sa réalisation s'étalerait à près de dix ans et qu'outre des reports de sa date d'exécution, les relations entre les deux pays seraient pendant un certain temps assombries par l'absence du financement, le renchérissement du contrat et des travaux complémentaires non prévus.

 

Pour l'heure, tous ces problèmes sont dans le passé. La partie russe a démontré sa volonté d'aller à la rencontre du partenaire, et la partie indienne a eu assez de retenue et de tact pour ne pas exacerber les tensions. En fin de compte un bâtiment tout à fait nouveau, équipé des instruments de navigation les plus modernes et capable d'embarquer 30 aéronefs, plus particulièrement les avions MiG-29K et les hélicoptères Ka-27 et Ka-31 se dirige vers les côtes indiennes.

 

Tous ont gagné. Moscou a confirmé se réputation de partenaire clé de l'Inde dans le domaine de la coopération militaro-technique. Des pertes d'image qui paraissaient imminentes ont été évitées. Ceux qui disaient que Moscou aurait tenté de remettre à l'Inde un patouillard rouillé se sont tus. Tout comme ceux qui accusaient l'Inde de tricher dans le différend sur le prix et de vouloir obtenir presque gratuitement un porte-avions modernisé.

 

Le contrat Vikramaditya dépasse le cadre de sa simple livraison à la marine indienne. La Russie s'occupe également de la formation de l'équipage indien. En plus, elle créera une infrastructure du stationnement de Vikramaditya en océan Indien. Etant donné que le navire restera fonctionnel pendant 30 ans, on peut dire avec certitude que Vikramaditya est non seulement le présent, mais aussi le futur de la coopération russo-indienne dans le domaine militaro-technique.

 

L'Inde a actuellement de nombreuses tâches à affronter eu égard à la protection des voies commerciales maritimes, à la nécessité d'assurer l'accès aux ressources et à la défense des intérêts de la diaspora indienne en Asie. Dans ce contexte, l'accent de la construction militaire doit être porté sur la composante navale. En d'autres termes, l'objectif stratégique devient la transformation de l'Inde ayant reçu le porte-avions Vikramaditya en une grande puissance navale.

 

Le fait de s'être dotée d'un porte-avions de pointe place la marine indienne dans une catégorie de poids tout à fait différnete. Cela lui permettra de relever un défi ambitieux : contribuer à ce que l'Inde ait des avantages stratégiques dans la région asiatique. Telle est la dimension géopolitique du marché qui a permis de transformer Admiral Gorchkov en Vikramaditya.

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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 17:50
HMS Queen Elizabeth being fitted with main radar. Photo Aircraft Carrier Alliance

HMS Queen Elizabeth being fitted with main radar. Photo Aircraft Carrier Alliance

 

29 November 2013 naval-technology.com

 

The UK Royal Navy's new Queen Elizabeth-class (QE) aircraft carrier, HMS Queen Elizabeth, has been fitted with large long range radar.

 

With the installation of main radar antenna onto the forward island, the aircraft carrier's main structure blocks are now in place.

 

Designed to provide a three dimensional and long-range picture, the radar can track up to 1,000 contacts up to a range of 400km away from the vessel.

 

Recently, HMS Queen Elizabeth has been fitted with final ramp section of the flight deck, at the Rosyth shipyard, Scotland.

 

The 64m-long and 13m-wide ramp section, which will allow jet aircraft to take off from the ship, is the final exterior piece of the aircraft carrier to be integrated.

 

Queen Elizabeth-class carriers will have a full-load displacement capacity of 65,000t, an operational range of 10,000nm and can carry up to 40 aircraft.

"The radar can track up to 1,000 contacts up to a range of 400km away."

 

Aircraft Carrier Alliance (ACA), a joint venture between Babcock Thales, BAE Systems and the UK Ministry of Defence (MoD), is constructing these two new aircraft carriers HMS Queen Elizabeth and HMS Prince Of Wales.

 

Powered by two Rolls-Royce Marine 36MW MT30 gas turbine alternators, the carriers can accommodate a crew of 1,200, including an aircrew of 600.

 

Expected to be structurally complete next year, HMS Queen Elizabeth is scheduled to commence sea trials in 2017, followed by Lightning II aircraft flight trials in 2018.

 

HMS Queen Elizabeth and HMS Prince Of Wales are expected to be operational with the Royal Navy in 2016 and 2018 respectively, replacing the Invincible-class vessels.

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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 08:55
Porte-avions Charles de Gaulle rade de Toulon - photo Marine Nationale

Porte-avions Charles de Gaulle rade de Toulon - photo Marine Nationale


28.11.2013 lefauteuildecolbert.fr
 

La décision historique est tombée dans la plus grande indifférence ! Monsieur le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, annonçait que le Charles de Gaulle allait être refondu pour 1,3 milliards d'euros (2016-2018)

 

Cette indifférence est révélatrice à plus d'un titre !

 

Premièrement, c'est une décision majeure sur le plan historique. Lors de l'élaboration de la loi de programmation militaire actuelle, et les fameuses trajectoires X, Y et Z, il avait été question, selon les bruits de coursives, de retirer du service le porte-avions. Il y a un monde entre remettre en doute l'outil majeur de la puissance aéronavale et confirmer cette dernière.
 

Pourquoi est-ce donc une décision majeure sur le plan historique ? Le temps naval est un temps long, même si cela n'est pas toujours compris. La question du second porte-avions a été ouverte en 1990 quand le R92 Richelieu n'était pas commandé. En 2013 (23 ans plus tard) le gouvernement prend la décision majeure de confirmer le R91 Charles de Gaulle avec cette refonte à mi-vie. Le prochain rendez-vous est la période 2025-2030  où il faudra débattre de l'intérêt de remplacer le Charles de Gaulle et de l'accompagner d'un sistership puisque c'est le minimum pour disposer de l'outil.

 

Notons que c'est la énième décision gouvernementale depuis 2004 qui confirme la volonté de l'Etat de maintenir la capacité à concevoir, construire et mettre en oeuvre des porte-avions, depuis la décision du président Chirac de travailler avec les anglais (et les coûts afférents !) jusqu'à cette décision de refondre l'unique porte-avions.

 

Les refontes de navires, et en particulier les refontes à mi-vie, ne sont pas monnaie courante dans l'Histoire. Ce sont des opérations très lourdes et qui nécessitent des investissements équivalent à plus ou moins la moitié de la valeur du bateau. Par exemple, Coutau-Bégarie nous décrivait l'exemple américain à travers les refontes SLEP (Sea Life Extension Program) "destiné à prolonger la durée de vie de ces porte-avions d’une quinzaine d’années [alors qu'ils avaient été conçu pour 30 ans de service] au prix de 28 mois de travaux pour un coût qui atteint maintenant environ près d’un milliard de dollars par unité. Le SLEP comporte la révision complète de la coque, des machines..., la modernisation de l’équipement électronique et la refonte des installations aéro".

 

Le coût de production du Charles de Gaulle, incluant les études, les premières pièces de rechanges et celles de grande prévoyance était de 3 milliards d'euros (contre 2 pour le R92 Richelieu).


Il s'agit bel et bien de pérenniser le porte-avions pour qu'il demeure un outil opérationnel de premier plan dans le monde pour la seconde partie de son existence opérationnelle.

 

Le volume financier impressionne et confirme donc le caractère historique de la décision. 1,3 milliards d'euros ! C'est une somme gigantesque et pour la remettre en perspective il suffit de citer le coût de la première IPER du Charles de Gaulle, intervenue après sept années d'activités opérationnelles : 0,3 milliards d'euros...

 

Nous ne devrions qu'être stupéfait par l'incroyable situation que nous vivons :

  • les anti-porte-avions français sont vent debout contre la commande d'un second porte-avons qui coûtait 2 milliards d'euros dans les années 90 et 2,5 milliards d'euros HT aujourd'hui,
  • et personne ne s'offusque que l'outil soit confirmé et lourdement modernisé pour 1,3 milliards d'euros.

C'est une situation ubuesque.

 

Qu'est-ce qu'un 1,3 milliards d'euros ? A 200 millions près, c'est le coût du porte-aéronefs Cavour (qui jauge presque autant que les porte-avions Foch et Clemenceau pour 1,5 milliards).

 

Le second porte-avions c'est l'équivalent de trois Rafale par année fiscale sur sept années.

 

La refonte du porte-avions Charles de Gaulle ce sera 1,3 milliards d'euros étalés sur deux années de 2016 à 2018.

 

L'effort financier n'est rigoureusement pas le même... et l'hystérie anti-porte-avions ne s'est même pas manifestée !

 

Nous sommes donc dans l'obligation, sans nier la nécessiter de réaliser l'IPER du Charles de Gaulle, de poser la question suivante : ne serait-il pas plus judicieux sur le plan stratégique de lancer la construction du second porte-avions grâce à la ligne de crédit prévue pour 1 milliard d'euros (moins les 0,3 milliards de l'IPER) ?

 

La situation est proprement incroyable si nous la rapportons aux "discussions" qui ont eu lieu sur l'avenir de la puissance aéronavale française de 2008 à 2013.

 

Pour en revenir à la refonte, nous ne pouvons que nous ne demander ce qu'il y aura dans ce milliards supplémentaire par rapport à une IPER classique du porte-avions.

 

Premièrement, Mer et Marine avait supposé que le Charles de Gaulle verrait le remplacement de ses radars car la suite actuelle tend vers l'obsolescence. Il y a deux solutions possibles :

  • une remise à niveau via un Herakles amélioré (le même que sur les FREMM ASM),
  • une solution ambitieuse avec un radar à surfaces planes qui pourrait être le même que celui de la FREMM-ER.

Cette dernière pourrait préfigurer ce que seront les deux FREDA qui seront livrés en 2018 et 2019 puisque le ministre de la Défense a choisi que ces deux frégates, initialement prévues pour la LPM suivante, soient contenues dans l'actuelle LPM.

Solution qui serait soutenue par l'export puisque la demande irait pour des frégates de défense aérienne avec radar à surfaces planes pouvant s'intégrer dans une défense anti-missile balistique. 

 

Deuxièmement, il n'y a pas beaucoup d'informations qui sont tombées quand aux modernisations qui seront effectuées. C'est pourquoi nous nous devons de les imaginer :

  • le déplacement de l'ilot à l'arrière du pont d'envol,
  • l'installation de catapultes électromagnétiques (et pourquoi pas atteindre la capacité catapo et le doublement des catapultes à cette occasion),
  • une défense aérienne à très courte portée par laser (à l'instar du CVN 78),
  • la modernisation des installations aéronautiques pour l'accueil de drones,
  • la robotisation du bord pour faciliter les flux logistiques,
  • l'utilisation de peintures au silicone pour la carène,
  • l'installation de dispositif de supercavitation pour améliorer la propulsion,
  • une automatisation accrue du navire (permettant de diminuer l'équipage du bateau de 1300 à 900 personnes et permettre de le doubler à terme),
  • la remotorisation du navire par des moteurs supraconducteurs,
  • l'installation de pods en lieu et place des lignes d'arbres,
  • l'utilisation de l'espace libéré pour améliorer la puissance propulsive,
  • l'autre utilisation de l'espace libéré pour améliorer les capacités d'emport de carburant et de munitions (et donc réduire le besoin logistique).

L'enveloppe de la refonte aurait pu être dépassée par tant de projets. Néanmoins, bien des suggestions ci-dessous relèvent directement d'une partie des 34 plans industriels présentés par le gouvernement.

 

 

Cette refonte à mi-vie n'a pas fini de faire parler d'elle.

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